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VIDEO - Polémique sans précédent contre Geert Wilders aux Pays-Bas
http://fr.euronews.com/2014/03/20/polemique-sans-precedent-contre-wilders-aux-pays-bas/
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Château de Versailles: Le Nôtre un génie français
Extrait de l’émission « Des Racines et Des Ailes : Du Versailles des Rois au Versailles de la République » diffusée le 23/10/2013, et reportage « Le Nôtre, un génie français » en intégralité.
Contre-info.com 23 03 14
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Le Kenya légalise la polygamie, que les femmes y consentent ou non 21/03/2014
Les députés kényans ont voté une loi permettant aux hommes d’épouser autant de femmes qu’ils le souhaitent, sans en toucher mot à leur première épouse, à la fureur d’élues qui ont claqué la porte du Parlement de Nairobi, indiquent vendredi les médias.
La proposition de loi, adoptée tard jeudi, formalise en droit kényan des lois coutumières. A l’origine, le texte donnait la possibilité aux épouses de s’opposer à une décision de leur mari d’épouser plusieurs femmes.
Mais unissant leurs forces au-delà des appartenances politiques, les élus hommes sont finalement allés plus loin, abandonnant cette clause donnant voix au chapitre aux femmes.
“Quand vous épousez une femme africaine, elle doit savoir que la deuxième va suivre, puis la troisième (…) c’est l’Afrique”, a expliqué devant la chambre l’un de ces élus, Junet Mohammed, cité par Capital FM.
“A chaque fois qu’un homme rentre à la maison avec une femme, elle est considérée comme la deuxième ou la troisième femme”, a renchéri Samuel Chepkong’a, président de la commission des Affaires juridiques et légales du Parlement, cité par le quotidien Nation. “Selon la loi coutumière, vous n’avez pas besoin de dire à votre épouse quand vous rentrez à la maison avec une deuxième ou une troisième femme. Toute femme que vous ramenez à la maison est votre femme”.
Comme dans beaucoup de pays africains, la polygamie est une pratique commune au Kénya.
Jeudi, c’est surtout l’abandon de la clause imposant le consentement de la première épouse qui a déclenché la colère des élues.
“Si c’est bien vous l’homme dans la maison, et que vous choisissez de ramener quelqu’un d’autre — ou deux ou trois autres personnes — je pense que vous devez avoir le cran d’admettre que votre femme et votre famille ont le droit de savoir”, a estimé devant la chambre l’une d’entre elles, Soipan Tuya, également citée par Capital FM.
Le texte doit encore être promulgué par le président kényan pour entrer en vigueur.
http://www.algerie1.com/flash-dactu/le-kenya-legalise-la-polygamie-que-les-femmes-y-consentent-ou-non/ALTER INFO -
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 356
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Les cartes pipées de la dame Timochenko
Les élections législatives et présidentielles en Ukraine sont fixées au 25 mai. Elles sont pour le moins douteuses parce que c’est le fait des hommes qui se sont installés au pouvoir à la suite d’un coup d’État armé. Par ailleurs, si l’on considère ces élections comme une chance d’établir la paix et la concorde sur le sol ukrainien, elles pourraient être justifiées du point de vue historique. En revanche, il n’est pas du tout évident de savoir qui accédera au pouvoir par les urnes. Tout porte à croire qu’on distribuera le même jeu pipé de politiciens dont la population ukrainienne est lasse parce qu’ils se sont avérés incapables de l’unir autour d’une idée raisonnable et non pas destructrice.
Les nationalistes Oleg Tiagnibok et Dmitri Yarosch ne constituent pas un terrain d’entente entre l’Ouest et la Sud-Est d’Ukraine et finiront plutôt par diviser le pays encore uni. Le premier ministre Arseni Iatseniouk, le leader du parti UDAR Vitali Klitchko et le président intérimaire Alexandre Tourtchinov n’ont pas l’étoffe d’hommes politiques sérieux et leur mission consiste à réaliser sur le terrain les idees conçus en Occident.
Sur cette toile de fond, Ioulia Timochenko avec sa fameuse fausse natte a l’air assez exotique de comédienne de province. Mais elle possède un avantage, c’est l’image de martyre, victime du « régime cruel et mensonger » de Viktor Ianoukovitch. Nous avons interrogé le politologue Vladimir Pantine sur ses chances réelles de remporter la présidentielle. Et voici sa réponse :
Elle a déjà perdu une partie de son électorat et on le voyait bien à la réaction de Maïdan à son intervention qui était tiède dans la majorité. En outre, elle a désormais des rivaux influents comme Vitali Klitchko. Les oligarques ukrainiens se livrent également une lutte d’influence qui ne fera que s’exacerber. Je dirai donc que les chances de Timochenko sont 50 sur 50. Cependant, les événements qui peuvent se produire à la veille des élections peuvent soit accroître sa popularité, soit la diminuer. D’ailleurs, du moment qu’elle est soutenue par les États-Unis, elle pourrait déployer des efforts pour gagner en popularité à la faveur notamment des slogans antirusses.
Certes, Timochenko sera également présente sur « le terrain nationaliste » en ôtant le pain à Tiagnibok et Iaroch. Elle pourrait également changer de ton en s’adressant aux régions du Sud-Est parce que l’ex-première ministre est connue pour sa souplesse face à certaines situations. Il se peut aussi qu’elle se soit entourée de bons spécialistes en communication. De toute façon, Timochenko a déjà déclaré qu’elle assumait l’entière responsabilité de la situation en Ukraine en créant ainsi l’image d’une mère de tout le peuple à la fois généreuse, charitable, forte et juste. Cette technologie politique simple mais sûre peut marcher en Ukraine dans son état « dissolu » actuel. Il importe surtout de ne pas exagérer comme c’est déjà arrivé début mars, quand Timochenko a envoyé une lettre au célèbre poète ukrainien Taras Chevtchenko, littéralement dans l’au-delà.
Bogdan Bezpalko, directeur adjoint du Centre d’études ukrainiennes et biélorusses de l’université de Moscou, estime que les chances de Timochenko dépendent directement de sa rhétorique et des démarches concrètes. Il y a cependant de nombreuses « contre-indications » et contradictions :
Qu’elle ait pris ses distances vis-à-vis des putschistes est un facteur à la fois négatif et positif. Il est positif qu’elle puisse déclarer n’avoir joué aucun rôle dans la prise du pouvoir. Mais il est négatif qu’elle n’ait pas pris part au renversement de son ennemi juré Ianoukovitch en étant un témoin passif des événements.
Le jeu des candidats au poste présidentiel n’incite pas à un optimisme particulier quant à la sortie de l’Ukraine d’une crise politique, économique et sociale profonde. Il n’y a pas de visages nouveaux, la thèse répétée comme une litanie par les leaders de Maïdan, mais aussi, et c’est le plus grave, il n’y a point de personne qui pourrait arrêter le démontage collectif de l’État ukrainien et fédérer les forces saines de la société. Cela signifie que Maïdan et l’exaltation générale iront toujours bon train. Quant aux semailles et au travail en général, il peut attendre sine die parce que faire la grève, c’est plus amusant que travailler.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_03_22/Les-cartes-pipees-de-la-dame-Timochenko-6397/ -
Commentaires: dysfonctionnement
Certains commentaires reçus, lus et publiés ne s'affichent pas cependant sur l'écran.
C'est le cas, par exemple, de récents commentaires de parvus: il ne s'agit pas de modération de ma part, mais d'un dysfonctionnement dans le système de publication des commentaires.
J'espère que ce problème va être réglé rapidement.
Personnellement je ne peux rien faire d'autre que de mettre cette note.Je suis désolée.
Bien cordialement,
Gaëlle Mann
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Athènes: des milliers de migrants manifestent contre les néonazis et le racisme
Des milliers de migrants, sympathisants de gauche et des droits de l'homme, ont manifesté samedi à Athènes dans une ambiance bon enfant contre "le fascisme" et "le racisme", selon la police.
A l'occasion de la Journée internationale contre "le fascisme et le racisme", des communautés de migrants, surtout Pakistanais, Bangladeshis et Africains, se sont rassemblés dans le centre-ville et ont marché jusqu'à la place Syntagma, en contrebas du parlement, où un concert a clôturé la manifestation avec le soutien de la Mairie d'Athènes.
A la tête du cortège se trouvaient des migrants surtout d'Asie, travailleurs dans des champs de fraises de Manolada en Péloponnèse (sud), où de nombreux incidents violents avaient eu lieu ces dernières années entre des propriétaires grecs des exploitations et des migrants protestant contre les conditions misérables d'emploi.
"Éliminez les néonazis dans tout quartier, ni au Parlement européen, ni aux mairies ou les préfectures", était inscrit sur une banderole.
Des élections locales doivent se dérouler en Grèce le 18 mai, une semaine avant les Européennes et le parti néonazi Aube dorée est crédité entre 5% et 8%, arrivant en troisième position derrière la droite et la Gauche radicale Syriza, à en croire des récents sondages d'intention de vote.
La plupart de manifestants scandaient des slogans contre Aube dorée dont la moitié des députés dont le dirigeant, ont été inculpés après l'assassinat en septembre du musicien antifasciste Pavlos Fyssas près d'Athènes par un membre de ce parti. -
Crimée: des blindés russes attaquent une base aérienne. "Nous sommes au bord de la Troisième Guerre mondiale"
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Petit traité de déculpalisation, par Alexandre Del Valle
La gauche perdrait 90% de son pouvoir si l’on cessait de se culpabiliser - Alexandre Del Valle
(merci à Dirk)
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Vague de protestation aux Pays-Bas contre Wilders qui veut "moins de Marocains"
Le député anti-islam néerlandais Geert Wilders faisait face jeudi à une vague de protestations sans précédent après avoir promis à ses partisans qu'il ferait en sorte qu'il y ait "moins de Marocains" aux Pays-Bas
Des centaines de plaintes ont été déposées jeudi contre M. Wilders et un des députés de son Parti pour la Liberté (PVV) a quitté le groupe parlementaire au lendemain de ces déclarations. "Le PVV est sur une pente glissante", a soutenu le député Roland van Vliet dans une lettre à Geert Wilders annonçant sa démission. "Il était temps pour moi d'avoir un examen de conscience au sujet de ce qui se passe avec le PVV", a soutenu M. Van Vliet: "votre déclaration d'hier au sujet de la communauté marocaine m'a amené à quitter le PVV et siéger en indépendant au parlement". Le parquet a pour sa part indiqué avoir reçu plus de 100 plaintes et signalé que plus de 500 personnes ont accusé M. Wilders de discrimination via le site internet de la police.
Une page Facebook intitulée "Je porte plainte contre Wilders" avait accumulé plus de 48.000 mentions "J'aime" jeudi soir. Le plus grand groupement de Marocains des Pays-Bas avait indiqué jeudi matin qu'il allait porter plainte contre M. Wilders. Mercredi soir à La Haye, à la suite d'élections municipales ayant vu son parti terminer second dans cette ville, Geert Wilders avait harangué ses partisans, leur demandant s'il voulaient "plus ou moins de Marocains dans votre ville et aux Pays-Bas". "Moins! Moins! ", ont scandé les partisans, ce à quoi Geert Wilders a répondu: "nous allons nous en charger".
Le Parti pour la Liberté (PVV) de Geert Wilders se présentait mercredi dans deux villes des Pays-Bas: il a terminé premier à Almere, ville-dortoir à l'est d'Amsterdam, et second à La Haye, où siège le gouvernement. "Nous pensons qu'en visant un groupe particulier, Wilders est allé trop loin cette fois", a soutenu Habib El Kaddouri, un responsable de la Fondation pour les néerlando-marocains, se référant au procès dans lequel M. Wilders avait été acquitté en 2011 d'incitation à la haine. Les juges avaient estimé que le député ne pouvait pas être condamné car ses critiques étaient dirigées contre l'Islam, une religion, et non contre un groupe ethnique.
Connu pour ses formules incendiaires, Geert Wilders a par le passé comparé le Coran au Mein Kampf d'Adolf Hitler et qualifié l'Islam de religion fasciste. Lors de la campagne pour les municipales, M. Wilders avait plaidé pour une ville de La Haye avec "moins de Marocains". Il avait soutenu être habilité à poser la question en vertu de la liberté d'expression. La télévision privée RTL a pris publiquement position pour la première fois en 25 ans, le rédacteur en chef adjoint Pieter Klein assurant dans une lettre ouverte que Geert Wilders avait "vraiment dépassé les limites" et devrait en avoir honte.
Le rédacteur en chef de la radio BNR Sjors Fröelich a pour sa part indiqué comprendre maintenant les comparaisons entre Adolf Hitler et Geert Wilders, soutenant que ce dernier savait exactement ce qu'il faisait et souhaite faire l'objet d'un procès. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a lui aussi critiqué Geert Wilders, affirmant que ces propos "laissent un mauvais goût dans la bouche": "il a encore été trop loin".
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VIDEO - Ile de France : Municipales 2014 – 60 mosquées se mobilisent
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L'effet boomerang des menaces d'Obama à Poutine
Le président Barack Obama a menacé jeudi Moscou de s'en prendre à des "secteurs clé" de son économie en représailles au rattachement de la Crimée à la Russie, et annoncé l'imposition de sanctions contre 20 nouveaux responsables et une banque.La réponse de Moscou e s'est pas faite attendre.
"La Russie doit comprendre qu'une escalade supplémentaire ne fera que l'isoler davantage de la communauté internationale", a affirmé M. Obama lors d'une courte intervention à la Maison Blanche consacrée à l'Ukraine.
Vingt personnes ont été ajoutées à la liste des personnes sanctionnées dans le cadre de la situation en Ukraine, a ensuite précisé le département du Trésor. Onze responsables russes ou pro-russes en Ukraine avaient déjà été punis lundi, voyant leurs éventuels avoirs aux Etats-Unis gelés. La banque concernée est "Bank Rossiya", présentée par des responsables américains comme très proche du Kremlin, détenant des avoirs de membres de l'entourage du président Vladimir Poutine. "Nous prenons ces mesures dans le cadre de la réaction à ce que la Russie a déjà fait en Crimée", a remarqué M. Obama. Mais il a aussi brandi la menace de sanctions aux conséquences sur des "secteurs clé" de l'économie russe si Moscou ne change pas de comportement.
Barack Obama a en outre insisté sur le fait que le soutien de son pays à ses alliés de l'Otan resterait "inébranlable", et qu'il ferait passer ce message lors de la tournée qu'il va entreprendre en Europe à partir de lundi, aux Pays-Bas, en Belgique et en Italie.
La réponse de Moscou
Aussitôt après l'annonce par le président américain Barack Obama de nouvelles sanctions à son encontre, Moscou a publié jeudi sa propre liste de sanctions contre des responsables américains. Montrant que la Russie n'entendait pas se laisser impressionner, le chef de
la diplomatie russe Sergueï Lavrov a, pour sa part, averti son homologue américain, le secrétaire d'Etat John Kerry, que Moscou ne reviendrait pas sur sa décision. "Qu'il n'y ait aucun doute: à chaque acte hostile, nous répondrons de manière adéquate", a prévenu le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Nous n'avons cessé d'avertir que l'emploi de sanctions est à double tranchant et touchera les Etats-Unis eux-mêmes comme un boomerang", a-t-il ajouté, estimant que cette manière d'agir était "mal à propos et contre-productive".
La liste russe vise neuf personnes à qui l'entrée en Russie est désormais interdite. Elle concerne trois conseillers de M. Obama, Caroline Atkinson, Daniel Pfeiffer et Benjamin Rhodes. Le chef de la majorité démocrate Harry Reid, le chef républicain de la Chambre John Boehner, le président de la commission des Affaires étrangères au Sénat, Robert Menendez, ainsi que le sénateur conservateur John McCain, la sénatrice démocrate Mary Landrieu et le sénateur Daniel Coats sont aussi visés.
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a estimé que le principe même de listes de sanctions était "inacceptable"."Quels que soient les noms de familles qui figurent dans cette liste, la pratique consistant à faire des listes est pour nous inacceptable", a-t-il dit, cité par l'agence Interfax.
Evoquant le cas du chef de l'administration présidentielle russe Sergueï Ivanov, il a indiqué que celui-ci prenait l'affaire avec humour. "Dans sa précédente vie professionnelle, en 20 ans et quelque de services (...) au KGB, puis au service des renseignements extérieurs, la plupart des pays occidentaux lui avaient déjà fermé leurs portes pour son activité, donc il a déjà l'habitude", a-t-il souligné, cité par l'agence Ria-Novosti.
Lors d'une conversation téléphonique avec M. Kerry, M. Lavrov a indiqué que Moscou ne reviendrait pas sur le rattachement de la Crimée à la Russie, dont le traité a été ratifié dans la journée par la Douma (chambre basse du parlement). "Sergueï Lavrov a souligné que la décision de rattacher la Crimée à la Russie, résultat de l'expression de la volonté de la majorité absolue de ses habitants, ne serait pas reconsidérée et devait être respectée", selon un communiqué de la diplomatie russe. -
Bête comme Ayrault, la preuve par Jean-Marc sur Radio J !
Le 21 mars 2014Mauvaise pioche, monsieur le professeur de morale politique !Jean-Marc Ayrault prie ! Pas dans une église ; sur une radio – Radio J, en l’occurrence –, il en appelle, de sa voix à nul autre ennui, à l’épouvantail du pacte républicain contre le FN un peu comme on lance un SOS : « Les républicains devraient tout faire pour qu’il n’y ait aucune possibilité qu’il y ait un maire Front national dans une commune de France. »
« Tout faire » : vaste programme, lourd de menaces peu démocratiques, mais il est peut-être un peu tard pour cela et l’actuel chef du gouvernement a grandement sa part dans l’éventualité, dimanche prochain, d’un succès de suffrages du parti à la flamme tricolore… confirmé par de nombreux élus et quelques premiers édiles la semaine suivante !
Car, comme il le dit lui-même, si « le Front national se développe sur le désarroi et les peurs », c’est tout de même un peu – voire beaucoup – le résultat de sa politique, comme de celle de ces prédécesseurs UMP et centristes… Quant au fait que le FN « n’apporterait aucune solution », faudrait-il encore que les Français aient la possibilité de le constater par eux-mêmes car la seule certitude qu’ils ont, c’est que l’UMPS aux affaires ne leur en a pas apporté, pour sa part, de bien concluantes…
Au cas où la seule imprécation ne suffirait pas à détourner les Français d’un vote tant redouté, l’ennuyeux de Matignon ajoute : « D’ailleurs, il suffit de se référer aux expériences de mairies Front national, ça a toujours été la gabegie, la magouille, les combines… »
À ce que l’on sait, aucun des maires élus par le passé sous l’étiquette FN n’a ruiné, triché ou s’est compromis dans la moindre « combine » politicienne a contrario de centaines d’autres élus, pour la plupart UMPS…
« Ils ont ruiné les communes […] ils devaient protéger les gens et c’est l’inverse qui s’est passé, c’est pour ça qu’ils ont fini par disparaître », ajoute-t-il même et, emporté par sa conviction, insiste tant et plus que la gestion des communes par des élus du mouvement de Marine Le Pen serait « contre l’intérêt des Français… L’expérience nous montre que ça a toujours été un mauvais service rendu aux habitants de ces communes. »
Ruiné leur commune ? Ah bon ! Daniel Simonpieri, élu maire FN de Marignane en 1995 et conseiller régional en 1998, a pourtant été réélu maire avec 62,5 % des voix en 2001 et réélu conseiller général en mars 2004, avec 72,75 % des suffrages… et s’il a été par la suite battu et a eu maille à partir avec la justice, c’est après avoir rejoint le groupe UMP-UDF et apparentés du conseil général des Bouches-du-Rhône !
Mauvaise pioche, monsieur le professeur de morale politique !
Et que dire du plus connu des anciens maires frontistes des années 1990, Jacques Bompard ? Même s’il a quitté ce parti sans renier ses convictions pour autant, il a été réélu triomphalement deux fois à l’hôtel de ville d’Orange et siège désormais à l’Assemblée nationale… après avoir été élu conseiller général du Vaucluse dans le canton d’Orange-Ouest avec 54 % des voix, réélu en mars 2008.
Son épouse Marie-Claude Bompard, elle, n’a été élue qu’une fois à la mairie de Bollène (Vaucluse)… C’était le 16 mars 2008. On saura les 23 et 30 mars prochains ce que ses administrés pensent de sa gestion… Notons toutefois qu’élue également le 28 mars 2004 conseillère générale du Vaucluse (canton d’Orange-Est), elle a été réélue à cette fonction en 2011.
Désolé, monsieur le professeur… Quand ça veut pas, ça veut pas !
Philippe Randa, écrivain et éditeur
BOULEVARD VOLTAIRE
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La visite d'Obama en Europe mettra en évidence l'isolement de la Russie
La Maison Blanche a affirmé vendredi que la tournée du président Barack Obama la semaine prochaine en Europe montrerait que la Russie est "de plus en plus isolée" sur la scène internationale.
"Ce qui sera évident pour le monde entier est que la Russie est de plus en plus isolée et que la communauté internationale, Etats-Unis en tête, soutient les Ukrainiens et leur gouvernement, et est déterminée à imposer des coûts à la Russie" pour avoir mis la main sur la Crimée, a affirmé la conseillère de sécurité nationale de M. Obama, Susan Rice.
M. Obama entreprend lundi une tournée de six jours qui le mènera successivement aux Pays-Bas pour un sommet sur la sécurité nucléaire et une réunion du G7, à Bruxelles pour un sommet avec les dirigeants européens et une rencontre avec le secrétaire général de l'OTAN. Il se rendra ensuite à Rome et au Vatican pour une audience avec le pape François et conclura sa tournée par l'Arabie saoudite.
Le volet européen de ce voyage devrait être dominé par la crise aiguë ouverte par le rattachement de la Crimée à la Russie aux dépens de l'Ukraine, dénoncé par les Etats-Unis et leurs alliés qui ont commencé cette semaine à imposer des sanctions à l'entourage du président russe Vladimir Poutine.
"Lors de ce voyage, le président mobilisera la communauté internationale et certains de nos partenaires les plus importants dans le monde au moment où nous devons faire face à des dossiers importants", a noté Mme Rice, qui intervenait au début du point de presse quotidien de la Maison Blanche. "S'il y a un thème commun à ce voyage, c'est l'importance fondamentale de nos alliances et partenariats", a assuré Mme Rice. La Maison Blanche a en outre confirmé que M. Obama rencontrerait en tête-à-tête son homologue chinois Xi Jinping en marge des sommets à La Haye -
Metz : Marie-Jo Zimmermann (UMP), voilée et en chaussettes, drague le vote musulman
Elle a mis le paquet Marie-Jo Zimmermann pour aller draguer les voix des électeurs musulmans jusque dans l’antre des mosquées, rivalisant de clientélisme obséquieux avec son concurrent le maire sortant Gros, lèche-babouche que j’avais épinglé ici il y a quelque temps :
http://ripostelaique.com/leche-babouches-de-la-semaine-dominique-gros-maire-ps-de-metz.html
Frémissante de dhimmitude, entorchonnée dans son foulard de soumise, en chaussettes réglementaires, elle racole avec l’ardeur des gagneuses de profession, promettant des places de parking aménagées pour mendier des voix aux prochaines municipales! Collector :
http://www.youtube.com/watch?v=HURPzcA0uU0
Ce qui est intéressant c’est le premier commentaire d’un certain Mamad Koné qui est apparu sous la vidéo et qui en dit long sur l’efficacité des grossières manoeuvres de lèche-babouche de la prétendante à la Mairie de Metz :
mamad koné
ALLAH AKHBAR!!!!SOUMETTEZ VOUS FACE DE CRAIE…ON BAISE VOS FEMMES…WALLAH.
C’est ainsi Madame Zimmermann, plus vous vous compromettez, plus vous tendez une main servile, plus vous concédez d’accommodements déraisonnables, plus vous trahissez ces valeurs laïques que vous prétendez défendre, en tant que membre de l’Observatoire de la Laïcité, plus les adeptes de la secte que vous flattez vous cracheront à la figure, vous mépriseront et vous b……..!
Pas sûr par contre qu’ils votent pour vous, inch allah…
Danielle Moulins
RIPOSTE LAÏQUE
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Il y a onze ans, les États-Unis envahissaient l’Irak
JT - Début de la guerre en Irak (20/03/2003) par locapass- Publié le : vendredi 21 mars 2014
- Source : 7sur7.be
De nouvelles attaques ont frappé l’Irak faisant au moins huit morts jeudi, jour anniversaire de l’invasion du pays par les Etats-Unis voilà 11 ans, selon des responsables.
Les autorités peinent à stopper le cycle de violences, le pire depuis 2008, qui a déjà fait plus de 2 000 morts cette année, alors que s’approchent les élections législatives prévues le 30 avril.
Ces violences menées principalement par des insurgés sunnites sont alimentées par le conflit en Syrie voisine et par le mécontentement de la minorité sunnite en Irak, qui s’estime discriminée par les forces de sécurité et le gouvernement dominé par les chiites.
Le 20 mars 2003, une coalition dirigée par les Etats-Unis avait envahi l’Irak et renversé le président Saddam Hussein qui a été ensuite condamné à mort par la justice irakienne et exécuté par pendaison.
La présence pendant plus de huit ans, jusqu’à décembre 2011, des GI’s n’avait pas empêché les attentats menés principalement par des groupes liés à Al-Qaïda et des affrontements confessionnels (2006-2007) qui avaient fait des dizaines de milliers de morts.
Après le départ des troupes américaines, la violence n’a pas cessé et a connu une escalade depuis le début 2013, sur fond de crise politique marquée par des accusations de népotisme et de despotisme contre le Premier ministre Nouri al-Maliki, lancées par ses détracteurs.
Les attaques à la bombe de jeudi ont eu lieu dans les environs de Bagdad, dans les provinces de Kirkouk et Salaheddine au nord de la capitale et dans la ville de Ramadi, à l’ouest.
E&R
Requiem pour l'Irak
La politique siono-mondialiste mortifère des Etats-Uis a montré lors de la Seconde Guerre d'Irak toute sa barbarie et son mépris des peuples libres.
Bush père et fils criminels contre l'humanité qui ont fait reculer la civilisation.
"Nous ramènerons l'Irak à l'âge de pierre"
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Marine Le Pen invitée de KTO - 21 mars 2014
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L'UE signe le volet politique de l'accord d'association avec l'Ukraine
Les parties n'ont signé que les parties du documents (environ 900 pages) concernant la coopération politique, la sécurité et la lutte contre le terrorisme.
A la veille de son départ pour Bruxelles, M. Iatseniouk a déclaré que les consultations sur la signature du volet économique et commercial de l'accord d'association seraient poursuivies. Dans le même temps, le Sommet a déjà prononcé la levée des droits de douane sur les exportations ukrainiennes vers l'UE.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_03_21/LUE-signe-le-volet-politique-de-laccord-dassociation-avec-lUkraine-8895/ -
La Crimée se sépare de l’Ukraine. Et alors ?
Aux États-Unis, tout le monde n’applaudit pas des deux mains aux anathèmes lancés et aux menaces de sanctions décrétées par Barack Obama pour punir Moscou, après l’adhésion de la République de Crimée à la Fédération de Russie. Pour Ron Paul, figure de proue de la non-ingérence et du parti libertarien, les postures de matamore de Barack Obama ne sont pas seulement vaines, elles discréditent Washington.
Réseau Voltaire | Houston (Etats-Unis) | 21 mars 2014- Ron Paul est un farouche défenseur des libertés individuelles et un opposant résolu à la politique d’ingérence des États-Unis dans les affaires des autres États. Il s’est notamment opposé aux bombardements de la Serbie en 1999, aux interventions armées en Irak en 2003, en Libye en 2011, et aux menaces d’intervention contre la Syrie en 2012. Partisan du libertarianisme, Ron Paul préconise un État fédéral au rôle limité, de faibles impôts, des marchés libres, une politique étrangère de non-ingérence, et le retour à une politique monétaire basée sur l’étalon or.
Les habitants de la Crimée viennent de prendre en mains leur avenir en se prononçant au suffrage universel sur les deux options qui s’offraient à eux : conserver le statut de région autonome de l’Ukraine ou rejoindre la Fédération de Russie. Ce faisant, ils ont emboîté le pas à toute une série de pays et de régions qui cherchent à s’affranchir d’un État dominateur qui les étouffe et qui reste sourd à leurs revendications. L’Écosse, la Catalogne et Venise se sont récemment jointes à ce cortège. On n’entend guère parler de ces trois là qui mènent tranquillement leur affaire alors que le vote massif des habitants de la République autonome de Crimée pour le rattachement à la Fédération de Russie a soulevé une tempête : les dirigeants des États-Unis et de l’Union européenne se sont répandus en invectives et l’Otan s’est approchée du déclenchement d’une confrontation armée avec la Russie, comme au plus fort de la Guerre froide, une situation inédite depuis lors.
Ceci vaut-il cela ?
Ceux qui condamnent le vote organisé par la Crimée pour décider de son avenir se plaisent à souligner l’illégalité du référendum. Le droit à l’auto-détermination des peuples est pourtant l’un des principes fondateurs du droit international. L’article 1 de la Charte des Nations unies stipule clairement que la grande ambition de l’Onu est de promouvoir des relations de bon voisinage et d’amitié entre les nations, fondées sur l’égalité en droit et l’auto-détermination des peuples. Pourquoi les États-Unis se préoccupent-ils de la couleur du drapeau d’un territoire situé à des milliers de kilomètres de leurs frontières ?
Pour les détracteurs du référendum, l’occupation de la Crimée par les troupes russes est la preuve indéniable qu’il était impossible d’organiser un vote équitable. Où donc étaient ces esprits forts quand l’élection organisée sur le territoire de l’Irak, tout entier soumis à l’occupation militaire des États Unis, était saluée comme le « triomphe de la démocratie » ?
Les dirigeants états-uniens qui ont cru devoir soutenir le renversement anticonstitutionnel du gouvernement ukrainien feraient peut-être bien de réviser les leçons apprises sur le banc de l’école : cela leur permettrait de redécouvrir que la Constitution états-unienne interdit formellement à notre gouvernement de renverser des gouvernements étrangers ou encore de prendre un milliard de dollars aux contribuables pour rembourser les dettes contractées par l’Ukraine auprès de ses créanciers internationaux.
L’administration Obama a décidé d’appliquer des sanctions limitées à un groupe restreint de personnalités officielles de la Fédération de Russie et de la République de Crimée [1]. Il n’en reste pas moins que ni les États Unis, ni l’Union Européenne ne peuvent se permettre de prendre de réelles sanctions contre la Russie. Les bienfaits tirés de la globalisation des échanges commerciaux sont trop importants pour chacune des deux parties pour que soit pris le risque d’en obérer l’avenir.
On vient d’ailleurs d’assister au redressement des cours sur les marchés internationaux, après l’annonce que les sanctions garderaient pour l’instant une envergure très limitée. On sait bien, dans ces milieux, que les échanges et les accords économiques internationaux sont le chemin le plus sûr pour la paix et la prospérité. Espérons que les gouvernements auront la sagesse de suivre cette voie.
Traduction
Gérard JeannessonSource
USA Today (États-Unis)