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  • Avignon : une nuit de sang et de feu sur la Rocade, onze véhicules incendiés

     

     
    Avignon / Publié le Lundi 02/06/2014 à 05H38
     

    Samedi soir, un homme a été tué et quatre autres personnes blessées dans une fusillade qui a éclaté dans un snack. Sans lien avec cet événement, onze voitures ont été incendiées. Hier, des CRS sont arrivés en renfort

    Faits Divers - Justice - Actualités - Avignon : une nuit de sang et de feu sur la Rocade
    Samedi soir, vers 23 heures, plusieurs personnes ont été visées par des tirs de gros calibre alors qu'elles se trouvaient à l'intérieur d'un snack qui avait ouvert ses portes voilà tout juste une semaine. Les policiers de la PJ ont passé une partie de la soirée et de la nuit sur place à la recherche d'indices. Les tireurs ont sans doute utilisé une kalachnikov.

    Photos jérôme rey

     

    Pas vraiment un soir de pleine lune. Et pourtant, samedi, les comportements violents ont été exacerbés à Avignon. Sapeurs-pompiers et policiers ont passé une nuit blanche. Fusillade mortelle, tentative de suicide et incendies de voitures à répétition ont émaillé le passage de samedi à dimanche.

    22h30, il tente de se trancher la gorge

    Début de soirée mouvementé. Rue du Dr-Colombe, à Monclar, les pompiers sont appelés. Un homme de 30 ans vient de tenter de mettre fin à ses jours. La scène est particulièrement violente puisqu'il a voulu se trancher la gorge avec une arme blanche. Fort heureusement, le suicidaire n'a pas réussi à accomplir son funeste dessein. Il s'est sérieusement entaillé le cou, mais ses jours ne sont pas en danger. Les secouristes l'ont transféré à l'hôpital dans un état grave.

    23h05, fusillade mortelle dans un snack

    Vers 23h05, samedi, plusieurs personnes étaient réunies dans un snack à l'angle de la Vénus d'Arles et de l'avenue du Moulin-Notre-Dame lorsqu'elles ont été prises pour cibles par deux hommes circulant à bord d'un véhicule. Armés et encagoulés, les tireurs ont visé un petit groupe et blessé cinq personnes avant de s'enfuir. L'établissement avait ouvert il y a environ une semaine. Parmi les victimes, un jeune homme de 21 ans a été gravement blessé à la cuisse. Les sapeurs-pompiers l'ont pris en charge à une centaine de mètres du snack, place de la Coupo-Santo, et l'ont transporté à l'hôpital. Dans le même temps, les quatre autres personnes touchées ont été transportées aux urgences de l'hôpital Henri- Duffaut par des proches et dans des voitures privées. L'une d'elles, un jeune homme âgé d'une vingtaine d'années, est décédée à son arrivée au centre hospitalier. Dans la salle d'attente de l'établissement sont arrivés plusieurs proches des victimes, au moins une quarantaine de personnes, dont les esprits se sont enflammés. Cris et pleurs ont fusé pendant que le personnel soignant tentait de faire son métier...

    Hier, parmi les quatre blessés, des hommes âgés entre 20 et 40 ans, deux étaient encore hospitalisés. Les auditions de ces Avignonnais, tous connus des policiers, comme la victime, étaient en cours. La PJ d'Avignon est saisie de cette affaire qui a tout l'air d'un nouveau règlement de comptes.

    Vers 4h, onze véhicules en feu

    Sans lien apparent avec les événements précédents, en moins d'un quart d'heure, 9 voitures et deux fourgonnettes ont été incendiées dans les quartiers sud (place Berlioz, place de la Traverso, chemin du Lavarin). Hier matin, c'était la consternation au pied des immeubles où les voitures calcinées n'avaient pas encore été enlevées. Hier encore, la Préfecture a demandé à une demi-compagnie de CRS, soit 70 hommes, de se positionner pour la nuit dans les quartiers sud.

    La Provence

  • En Israël, la mafia fait plus de morts que les attaques palestiniennes

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    « La guerre des mafias cause, depuis la fin de la deuxième intifada, plus de victimes que le terrorisme palestinien » : c’est ce qu’affirme le journaliste belge Serge Dumont [1], de son vrai nom Maurice Sarfatti [2], correspondant au Moyen-Orient des journaux Le Soir (Bruxelles), Le Temps (Genève) et La Voix du Nord (France).

    Passé sous silence par les médias occidentaux, le phénomène des violences liées aux activités mafieuses fait, en Israël plus de mort que la violence liée au conflit avec la population palestinienne. Composé d’environ 18 clans, le milieu israélien opère dans des secteurs aussi diversifiés que le trafic de stupéfiants (ecstasy), le racket (boîte de nuits, restaurants ou sur les nouveaux migrants), les contrats d’assassinat, le proxénétisme, l’évasion fiscale… Jusque-là rien de spécial. Mais ce phénomène rejaillit sur toute la société israélienne par les dégâts causés par les règlements de comptes entre les différentes familles du crime organisé. Face à ce phénomène de plus en plus préoccupant, une unité spéciale, la Lahav 433, a été mise en place en 2008 avec pour mission la lutte contre la criminalité organisée et la corruption. Sans succès.

    Ainsi Libération (18 avril 2014) écrivait :

    « Les éliminations se déroulent à ciel ouvert, dans des endroits parfois très fréquentés, comme celle qui a coûté la vie à un petit boss le 15 février juste à côté de la promenade du bord de mer à Tel-Aviv, un jour de shabbat, alors qu’elle grouille de familles. Dix jours plus tard, une grenade est lancée dans un bureau de change à Petah Tikva (au nord de Tel-Aviv), blessant cinq personnes, atteintes par des fragments d’explosif. Missiles. Voitures piégées, tirs à bout portant depuis une moto, voire utilisation de missiles antichars, la violence des crimes mafieux s’intensifie et les cadavres se multiplient. »

    Le 10 janvier 2013, un attentat en plein cœur de Tel-Aviv, ciblant un parrain local, Nissim Alperon, avait fait neuf blessés. Entre la fin du mois d’octobre et le début du mois de novembre 2013, c’est la ville d’Ashkelon qui avait vécu ce climat de terreur. Située au nord de la bande de Gaza, cette ville balnéaire avait vu le déploiement de plusieurs centaines de policiers pour sécuriser la population suite à deux attentats à la voiture piégée, causés non pas par le Hamas, mais par des affrontements entre clans de la pègre israélienne.

    Des violences qui noircissent jour après jour les colonnes de la presse en Israël, où le revenu des activités mafieuses est évalué à 190 milliards de shekels par an, soit environ 40 milliards d’euros (chiffres au 20 novembre 2013).

    Pour présenter son livre L’Histoire vraie de la mafia israélienne, Serge Dumont résume :

    « Les organisations mafieuses israéliennes comptent parmi les plus violentes et les moins connues au monde. […] Si certaines se contentent d’opérer à l’intérieur des frontières de l’État hébreu, la plupart étendent leurs activités sur tous les continents. »

  • Le renseignement français n'a pu empêcher Nemmouche de frapper

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/06/01/01016-20140601ARTFIG00201-des-failles-dans-la-chaine-du-renseignement-francais.php

  • Tueur de Belgique : le coup du « facho », puis du « Français ». Nullité de la DCRI

    2 juin 2014

    parisienIl y a quelques jours, quatre personnes étaient abattues dans le « musée juif » de Bruxelles.

    En dépit de l’affaire Merah (et 30 ans plus tôt, de l’attentat de la rue Copernic) où l’« extrême-droite » avait été immédiatement et à tort désignée par la caste politico-médiatique, on a tout de suite entendu à nouveau des « personnes autorisées » pointer du doigt l’opposition nationale.

    Ainsi, la Ligue des droits de l’homme belge désignait-elle sans hésiter comme responsable le «contexte européen d’une montée en force des idées d’extrême-droite».

    En France, le maire communiste de Montreuil, Patrice Bessac, accusait immédiatement les «forces d’extrême-droite [qui] attisent des haines». Dans le journal Le Monde, un sociologue affirmait que la « première hypothèse renvoie à l’extrême-droite », puis extrapolait doctement sur « l’espace idéologique ouvert aujourd’hui pour des ‘loups solitaires’ s’inspirant d’un antisémitisme d’extrême droite et agissant isolément, ou presque ».

    Les premières accusations visaient à influencer l’opinion, appelée à voter le lendemain aux élections européennes.
    Un blog illustre l’ambiance à chaud: «Un grand merci à tous les populistes, c’est grâce à leurs discours, réducteurs, haineux, stigmatisants qu’on se retrouve à vivre de tels actes». Un journaliste de LCP (La Chaîne Parlementaire) twitte ce mot d’ordre: «Veille des élections 1 attentat antisémite frappe Bruxelles. Demain, il faut barrer la route au populisme dans les urnes». (source)

    Finalement, l’assassin s’appelle Mehdi Nemmouche. Les médias parlent donc maintenant unanimement d’un « Français » (tel le Parisien, couverture d’aujourd’hui ci-contre), insultant encore une fois un peuple dont ils feignent d’ignorer l’identité.

    L’individu est un immigré de nos banlieues, criminel multirécidiviste, parti en Syrie chez les rebelles soutenus par Hollande et Fabius, avant de revenir après un an de jihad, sans pour autant être surveillé par la DRCI !
    Comme des dizaines de milliers d’autres chaque année, il a été islamisé en prison.
    Comme des centaines d’autres, il est parti se battre en Syrie avant de revenir en France encore plus déshumanisé, avec le goût du sang.

    Contre-info.com

  • Mehdi Nemmouche, un Français comme vous et moi ?

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    Le 1 juin 2014
    De qui se moque-t-on ?
             

    Mehdi Nemmouche, Français âgé de 29 ans, est soupçonné d’avoir tué quatre personnes au Musée juif de la ville de Bruxelles. L’individu se serait rendu en Syrie en 2013, probablement pour participer au djihad. Plusieurs contributeurs de Boulevard Voltaire, dont moi-même, avaient souligné le danger mortel que représentaient ces jeunes radicalisés partis s’aguerrir en Syrie. Il n’a pas fallu attendre bien longtemps pour qu’un de ces psychopathes ne passe à l’action meurtrière.

    Notre gouvernement, ridicule comme bien souvent, a pris les devants du problème par l’intermédiaire de son ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Dans un tweet du 26 mai 2014 devenu rapidement célèbre, celui-ci tend une main vers ces jeunes égarés : « Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire qu’il y a 1.000 combats à mener dans la République, pour la France ». Ce discours transcendant aurait certainement convaincu messieurs Merah et consorts de renoncer à leurs sombres projets. Surtout que, désormais, le gouvernement a mis en place un Numéro Vert anti-djihad à la disposition des apprentis terroristes.

    De qui se moque-t-on ?

    Les djihadistes n’ont que faire de la « République » socialiste, ni même de la France ! Ils ne se sentent pas français, ils haïssent notre pays et sa culture et se fichent éperdument des bonnes intentions universalistes de Christiane, Najat et Bernard.

    D’ailleurs, les commentaires sur le susnommé Nemmouche dans les médias étaient, comme bien souvent, empreints d’euphémismes. Le suspect est présenté comme un Français, « originaire » de Roubaix. Son ancienne avocate, Maître Soulifa Badaoui, s’est d’ailleurs complaisamment étalée à la télévision, elle parle d’un jeune homme « intelligent et vif d’esprit, respectueux des règles et respectueux des autres, de son avocat et des juges ». L’expert psychiatre qui l’avait auditionné dans le cadre d’une affaire de droit commun classique estimait même qu’il était d’« un niveau intellectuel légèrement supérieur à la moyenne ». Bientôt, on nous expliquera que c’est la faute de la société, de ces méchants Français qui ne lui ont pas donné sa chance. L’islam n’a rien à voir là-dedans, pas plus que la faillite totale de l’intégration des populations étrangères…

    Cette culture de l’excuse n’a que trop duré, nous en avons assez. Aucun Français n’est responsable des meurtriers fanatisés, la France non plus. Et il est temps d’affirmer que l’identité légale n’a rien à voir avec l’identité réelle et vécue. Mehdi Nemmouche n’a de français que sa carte d’identité, rien de plus.

    Gabriel ROBIN

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Jihad en Syrie: quatre arrestations en France, une en Belgique

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/jihad-en-syrie-bernard-cazeneuve-annonce-quatre-arrestations-ce-lundi-02-06-2014-3890329.php

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  • Nemmouche ne s'opposera "en principe" pas à sa remise à la Belgique

    Le Vif

    Source: Belga
    lundi 02 juin 2014 à 18h28

    Mehdi Nemmouche, le Français soupçonné d'être le tueur du Musée juif de Bruxelles, ne devrait "en principe" pas s'opposer à sa remise à la Belgique, a déclaré lundi son avocat, Me Apolin Pepiezep.

     

    "Je viens d'en parler avec lui. En principe, il ne s'y oppose pas. Je ne peux pas trop m'avancer, il peut changer d'avis", a déclaré Me Apolin Pepiezep, ajoutant que son client continuait d'invoquer son droit au silence en garde à vue, refusant de s'exprimer sur les faits. Si elle se confirmait, cette décision de Mehdi Nemmouche, soupçonné d'avoir tué trois personnes et d'en avoir laissé une quatrième entre la vie et la mort, devrait accélérer le processus de remise du suspect à la justice belge.

    Celle-ci a délivré samedi un mandat d'arrêt européen samedi, au lendemain de l'arrestation à Marseille de Mehdi Nemmouche. Ce mandat devrait être notifié mardi à l'intéressé par le parquet général de la cour d'appel de Paris. Un magistrat de la cour d'appel statuera ensuite sur son placement en détention, sous écrou extraditionnel, lequel ne fait guère de doute.

    Dans les cinq jours ouvrés qui suivront, soit au plus tard au milieu de la semaine prochaine, une audience se tiendra à la cour d'appel de Paris, a expliqué une source judiciaire. Si Mehdi Nemmouche restait sur sa position de ne pas s'opposer à sa remise à la justice belge, l'arrêt devrait être rendu dans un délai de sept jours et ne serait pas susceptible de recours.

    En revanche, s'il changeait d'avis et contestait finalement son extradition, le délai pour statuer passerait à vingt jours et Mehdi Nemmouche pourrait le contester en introduisant un pourvoi en cassation. Ceci rallongerait d'autant le processus.

    Le ministre français de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a jugé lundi matin qu'il "serait logique" que l'extradition de ce Français de 29 ans soit accordée à la Belgique.

  • Marine Le Pen: "Le fondamentalisme ne pousse pas dans les prairies normandes"


    Marine Le Pen appelle à "rompre avec le laxisme" par FranceInfo

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  • Bruxelles : un «Français» plus que suspect

     

    Bruxelles : un «Français» plus que suspect - Est-ce vraiment sa nationalité qui détermine l’identité de Mehdi Nemmouche ?

    Est-ce vraiment sa nationalité qui détermine l’identité de Mehdi Nemmouche ?



    Jean Bonnevey
    le 01/06/2014
    Les médias n’ont cessé de titrer sur « un Français » arrêté et suspect de l’attentat du musée juif de Bruxelles. Comme s’il ne fallait retenir, pour définir cet homme, que sa nationalité. Toujours présumé innocent mais affirmé français.

    Une fois de plus les journalistes insultent l’intelligence des citoyens. Mehdi Nemmouche a peut- être des papiers français mais ce n’est pas cela qui est important pour lui et pour nous. Ce qui est important, c’est que ce jeune, issu de l’immigration,  est un délinquant défiant le vivre ensemble et qui s’est radicalisé vers le terrorisme islamique. Cet homme est un terroriste islamiste d’origine arabe- ne voulait il pas aller en Algérie- c’est cela qu’il est, bien plus qu’un français.

    Il faudra bien un  jour prendre à bras le corps le problème de ces renégats, de ces  apostats de la France qui veulent détruire notre mode de vie et nous imposer leur obscurantisme. On a peur de le dire car ce n’est pas politiquement correct. Il est plus facile et valorisant de faire croire que le terrorisme antisémite est le fruit des idées du Front national, une thèse pourtant démentie, terrorisme après terrorisme, par les faits car Nemmouche confirme Merah.
     
    On peut se demander jusqu’à quand la caste médiatique va continuer à mentir pour ne pas se démentir.
    On peut se demander jusqu’à quand la communauté juive effectivement menacée et frappée régulièrement, acceptera d’être représentée par des porte-paroles autistes sur le nouveau visage de l’antisémitisme en  Europe et en France et qui refusent obstinément de changer un logiciel vieux de 70 ans.

    Mehdi Nemmouche a été condamné à sept reprises et incarcéré cinq fois pendant plus de sept ans au total, notamment à Lille et à Toulon. C'est lors de ces séjours en prison qu'il se serait radicalisé. « Il avait un comportement de fort prosélytisme (...) Il faisait des appels à la prière collective lors des promenades en prison ». Fin 2012, début 2013, il quitte la France pour la Syrie où il reste un an. Il y aurait rejoint des forces combattantes. Il était fiché par la DGSI pour ces raisons. Il sort donc de prison en décembre 2012, donne l’adresse de sa mère et de sa tante à Tourcoing, mais n'’y met jamais les pieds. Il part en Belgique, où il est hébergé chez un ami. Puis il part en périple : Grande-Bretagne, Liban, Turquie, et sûrement Syrie. Son départ presque immédiat pour la Syrie laisse penser qu'il se serait radicalisé en prison. Lors de son arrestation, le suspect avait dans ses bagages un « drap blanc » portant une inscription en arabe au nom de l'État islamique en Irak et au Levant ( EIIL ), groupe djihadiste le plus radical combattant en Syrie, et les mots « Allah est grand ». De retour d'un séjour en Asie du Sud-Est, il est repéré par la police allemande qui signale sa présence à la DGSI. Une fiche de surveillance est alors élaborée. Personne ne sait toutefois où il se trouve, Mehdi Nemmouche n'ayant pas de domicile déclaré. Son interpellation dès son retour en France laisse penser qu'il s'agit de « son premier passage sur le territoire national depuis longtemps », souligne le procureur. Originaire de Roubaix (Nord), il a été arrêté à Marseille, à la gare routière Saint-Charles par les douaniers, alors qu'il se trouvait dans un autocar en provenance d'Amsterdam via Bruxelles.

    Un voyou devenu terroriste incontrôlé et arrêté par un heureux hasard après avoir tué avant peut-être de vouloir tuer encore ou de fuir vers un étranger plus proche pour lui que le pays dont il a la nationalité, voilà un parcours de plus en plus ordinaire.

    C’est notre sécurité qui est menacée par des gens qui, en fait, haïssent ce que nous sommes et veulent nous imposer par la force une domination de fait  de ce qu’ils croient être. Il faut leur prouver que leur «  sale guerre »  peut, pour eux, devenir fatale. C’est loin d être le cas.

    Mais ils savent que le système par anti-racisme leur trouvera toujours des excuses et que ceux qui ont tués ne seront jamais exécutés, ni même expulsés, ni même déchus d’une nationalité qu’ils méprisent et salissent. Les djihadistes de nos banlieues n’ont qu’une identité et ce n’est pas la nationalité française.
     
    METAMAG
  • Entretien avec Philippe Randa, auteur de Patton, général audace (éditions Dualpha)

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    George S. Patton  (1885-1945)

      

    (propos recueillis par Aliénor Marquet)

     

    Pourquoi le général américain Patton reste-t-il une figure de légende ?

     

    Sa conception moderne et souvent prémonitoire de la guerre, alliée à la certitude d’avoir vécu plusieurs vies antérieures, font de George Smith Patton, qui commanda notamment la 7e, puis la 3e armée sur le front européen, fut un des généraux les plus controversés de l’histoire contemporaine. Allure de cow-boy, langage haut en couleur et querelles chroniques façonnent sa légende autant que sa bravoure frôlant parfois l’inconscience. Une chance incroyable couronne immanquablement ses exploits les plus téméraires. Il a conduit ses hommes dans les campagnes de Tunisie, puis de Sicile, mena des offensives prodigieuses depuis la Normandie jusqu’en Lorraine, puis dans les Ardennes avant d’entrer en Allemagne au printemps 1945.

     

    Son ambition personnelle est assez démesurée ?

    Indéniablement ! Son ambition personnelle est toujours allée de pair avec sa fidélité à la patrie américaine et son amour de l’Armée. Il fut le plus grand général de l’armée américaine lors du dernier conflit mondial… Son destin hors du commun gêne l’histoire officielle.

     

      Nommé gouverneur de Bavière après la chute du IIIe Reich, quel regard porte-t-il sur les anciens nazis ?

     

    Il veut oublier le passé nazi des Allemands en qui il voit les futurs alliés de la lutte contre les bolcheviques. Il reste obsédé par la menace soviétique et ne s’acquitte que très mollement de dénazifier sa juridiction, écrivant même à sa femme, après une visite de Berlin en ruines : « Nous avons détruit ce qui aurait pu être une bonne race, et nous sommes sur le point de remplacer ces malheureux par des Mongols sauvages et livrer toute l’Europe au communisme. »

     

    Les Allemands comprennent qu’ils ont en Patton un allié de poids et le considèrent vite comme leur sauveur, celui qui les a délivrés des hordes russes.

     

      Patton critiquant ouvertement le programme de dénazification, c’est la disgrâce…

     

    Elle est rendue officielle par l’annonce de son relèvement du commandement de la IIIe Armée et de sa destitution de son poste de gouverneur militaire de Bavière. Il en est brisé et profondément choqué. Le peuple américain réagit avec compassion au châtiment de Patton auquel il garde toute son estime. La grandeur et la gloire de ses campagnes sont intactes dans l’opinion publique de son pays.

     

    Plusieurs rumeurs ont couru après la mort de George Patton. A-t-il été victime d’un simple accident… ou d’un assassinat ?

     

    Il est difficile de se prononcer pour une thèse plutôt qu’une autre, mais les raisons de l’éliminer ne manquaient pas.

     

    Les Soviétiques voyaient en lui un ennemi acharné qui pou­vait très bien entraîner à moyen terme son pays dans une guerre contre le communisme.

     

    Les démocrates américains pouvaient craindre que leurs adversaires républicains ne présentent ce général, devenu terri­ble­ment populaire à la fin de la IIe Guerre mondiale, à l’élection présidentielle. Patton aurait alors eu de fortes chances de l’emporter.

     

    Des juifs auraient pu vouloir l’assassiner à cause de ses sympathies envers les anciens nazis et de son antisémitisme certain.

     

    Dernière hypothèse, reprise par le cinéma, celle d’un crime crapuleux commis par une organisation de malfaiteurs à laquelle le « Vieux Sang et Tripes » se serait attaqué.

      

    Cela explique-il le succès de votre livre (actuellement la 4e édition augmentée) ?

     

    Cela explique en tout cas qu’il soit un des rares livres en français qui lui ait été consacré. Il est évidemment que l’anticonformisme du personnage, ses idées politiquement incorrectes (euphémisme !) n’ont guère incité les éditeurs français à lui rendre beaucoup d’hommage posthume.

     

    Patton, général audace,  Philippe Randa,  préface de Jacques Borde,  éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », 178 pages, 23 euros. Très nombreuses illustrations + index.

     

     

     

  • Brachay, le village le plus patriote de France

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    Situé dans la Haute-Marne, Brachay et ses 28 votants ont massivement voté pour le Front national.

     
     

    C'était le village symbole de la campagne présidentielle censé représenté «la France des oubliés» chère à Marine Le Pen. Cette dernière s'est même déplacée deux fois à Brachay (Haute-Marne), cette commune de 60 habitants qui a donné au FN son meilleur score en 2012: 72 % des suffrages. En avril 2012 puis en octobre 2013, où elle avait tenu un meeting sur la place du village.

    Dimanche, à Brachay, les partis eurosceptiques ont fait recette. La petite commune a offert 22 voix à Florian Philippot (FN), soit 84.62% des suffrages. Le Front de gauche a reçu trois voix. Un autre suffrage a été attribué à un petit parti anti-euro, l'Union populaire républicaine (UPR). «Brachay reste le village le plus patriote de France, Bravo», a tweeté le vice-président du FN, Florian Philippot.

    Mais l'UMP et le PS n'ont reçu aucun vote.

    En 2012, cette commune, proche de Colombey-les-Deux-Eglises avait fait l'objet d'un article de Rue89. Gérard Marchand, le maire frontiste d'alors y décrivait l'ambiance: «Les gens se côtoient le 14 Juillet et au goûter de Noël, c'est tout. Sinon ils travaillent leur jardin. Quand ils voient ce qu'il se passe à la télé, ils ont peur d'être attaqués la nuit. Ils sont barricadés. C'est flagrant l'hiver: les habitants ont trois verrous à la porte à 19 heures.»

    Le Figaro

  • Une jeune touriste française enterrée vivante au Maroc

    Un homme, arrêté au Maroc, aurait paniqué quand la jeune femme, diabétique, a perdu connaissance. La croyant morte, il l’aurait enterrée dans son jardin… où elle serait réellement décédée, peu après.

    Une femme de 25 ans domiciliée à Cadenet (Vaucluse) est morte dans des circonstances troublantes lors d’un séjour touristique au Maroc. Un voyage programmé à Fès entre le 19 et le 23 mai. « Tout ce que je sais c’est qu’elle a été retrouvée dans un jardin », confie la sœur de la victime.

    Fils d’un notable de Fès

    Plusieurs journaux dont Yabiladi au Maroc et El Periodiquito en Espagne relatent que la malheureuse a été enterrée vivante dans la propriété d’un homme qu’elle avait comme « ami » sur Facebook. Ce dernier est le fils d’un notable domicilié à Fès. Il y a été arrêté par la police marocaine et écroué, mercredi soir, après avoir été déféré devant le procureur général de la cour d’appel de la ville.

    Les proches de la victime, inquiets, ont découvert des éléments suspects.  Une plainte a été déposée dès lundi dernier à la gendarmerie de Cadenet. L’enquête a mis au jour la relation virtuelle entretenue avec le suspect. Le suspect serait passé aux aveux. Et d’expliquer, toujours selon nos confrères, qu’il aurait paniqué en voyant son amie perdre connaissance.

    Le Dauphiné libéré  01 06 14

  • Frédéric Haziza le 24 mai avait dû voir un blond aux yeux bleus au Musée juif de Bruxelles comme pour Merah !

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    Le journaliste Frédéric Haziza (en particulier éditorialiste sur La Chaîne parlementaire – Assemblée nationale, LCP-AN, et chef du service politique de Radio J) a publié le tweet ci-dessous le 24 mai, veille des élections européennes.

    Il avait dû voir au Musée juif de Bruxelles un blond aux yeux bleus, comme l’avaient vu plusieurs grands médias (TF1, France 2, M6…) pour Mohamed Merah avant qu’il soit arrêté et alors qu’il portait un casque intégral !

     

  • "Attention Mme Merkel", prévient Marine Le Pen

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/01/97001-20140601FILWWW00090-attention-mme-merkel-previent-le-pen.php

  • Ministre de l’Éducation communautaire

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    Benoît Hamon cède aux injonctions du CRIF

    Benoit Hamon, ministre de l’Éducation nationale, a promis à Roger Cukierman, président du CRIF, la nomination prochaine d’un Conseiller sur les questions de discriminations, de racisme et d’antisémitisme au sein de son cabinet.

    L’entretien s’est déroulé le lundi 19 mai 2014. Le ministre Benoit Hamon recevait une délégation du CRIF composée de Roger Cukierman, Robert Ejnes et Jean-François Bensahel. L’entretien a porté essentiellement sur l’antisémitisme à l’école.

    Le CRIF a demandé une application plus rigoureuse des lois contre l’antisémitisme, le racisme et les discriminations au sein de l’enseignement public, souhaitant que les chefs d’établissement scolaire dénoncent tout ce qui pourrait être considéré comme incitation aux discriminations, préjugés et actes à caractère raciste, antisémite ou homophobe. Le CRIF a proposé à ce sujet une formation à la lutte contre les comportements et discours discriminatoires, à dispenser aux directeurs d’écoles primaires.

    Selon le communiqué du CRIF, « le Ministre a apporté son soutien à ces propositions et a annoncé la nomination prochaine d’un Conseiller sur les questions de discriminations, de racisme et d’antisémitisme au sein de son cabinet. Il a invité le CRIF, au travers de sa Commission Education, à participer et à faire des propositions dans ces dossiers ainsi que dans la refonte en cours des programmes éducatifs. »

    Précisons que Benoit Hamon fait partie des socialistes qui fréquentent les dîners du CRIF.

    E&R