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Point presse de Marine Le Pen - 25 juin 2014
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Eric Zemmour: "Valls est à la tête d'un gouvernement de pompiers"
NDF
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Affaire Lambert: "Vincent n'est pas un légume"
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Pour la première fois, des associations LGBT reçues par le Roi d’Espagne
Publié par Florian BardouDe leur côté, les militant.e.s présent.e.s se sont dit satisfait.e.s de cette rencontre, critiquée par certains groupes ultraconservateurs.Simple coup de communication ou véritable geste en faveur des LGBT espagnol.e.s ? Mardi 24 juin, le tout juste couronné Felipe VI recevait au palais royal et parmi plus de 200 ONG ou associations à visée sociale, des représentant.e.s d’associations LGBT espagnoles comme la Federación Estatal de Lesbianas, Gais, Transexuales y Bisexuales (FELGTB), la Fondation Triangle ou la Confédération COLEGAS. C’est la première fois que des associations LGBT rencontrent un Roi d’Espagne.
«La générosité, l’altruisme, l’empathie, (…)vous méritez que l’on vous félicite pour avoir ces qualités et pour l’exemple que vous donnez jour après jour» a souligné le chef de l’État espagnol lors d’un discours plein d’éloges adressé aux associations. De leurs côtés, les militant.e.s LGBT ont salué le geste du nouveau monarque et ses dispositions à recevoir les associations à peine proclamé roi, alors que la vice Première ministre, Soraya Saénz de Santamaría, (Parti populaire – PP) a toujours ignoré les demandes de rendez-vous souhaitées par la FELGTB de Boti G. Rodrigo.
RECONNAISSANCE ET VISIBILITÉ
Informée de la rencontre à peine 48 heures avant, la FELGTB, représentée par sa présidente Boti G. Rodrigo soulève l’importance d’un tel rendez-vous. «Cette invitation est très importante car nous avons été un collectif humain très marginalisé. Avec cette rencontre, le chef de l’État nous a visibilisé.e.s alors que nous étions invisibles jusqu’à présent» observe la militante contactée par Yagg. «J’ai également pu lui dire qu’en tant que chef de l’État espagnol, il doit assumer la défense des droits humains à l’intérieur et à l’extérieur de l’État. L’Espagne doit lutter contre les retours en arrière qui affectent nos droits : on ne peut pas tolérer un pas en arrière de plus» poursuit la présidente de la FELGTB qui déplore que le gouvernement de Mariano Rajoy (PP) mettent en place «des politiques régressives en matière de santé, d’éducation, de famille et de libertés individuelles».José María Núñez, président de la Fondation triangle a également remercié cette main tendue à la visibilisation. Pour l’anecdote, le militant a offert aux deux filles du couple royal deux contes Je viens (Vengo, en espagnol) et De qui suis-je tombé.e amoureux/se (De quién me enamoraré) qui traitent du thème de la diversité des relations amoureuses pour les enfants. «La Fondation triangle ne demande pas à ce que le pouvoir royal prennent part au débat législatif, puisque que ce n’est pas sa fonction et cela ne doit pas l’être, mais estime que les nouveaux rois doivent connaître la réalité des personnes LGBT, de leurs familles et de leurs enfants dans leur devoir de représentation de la diversité des citoyen.ne.s espagnol.e.s et au niveau international» a-t-il commenté dans un communiqué repris par le site Dos Manzanas.
Pour autant, cette rencontre historique n’est pas du goût de tout le monde. Notamment de certains groupements ultraconservateurs comme l’organisation HazteOir ou de certains médias comme La Gaceta relève Dos Manzanas. Mais comme le fait remarquer le père Angel, des Messagers de la paix : «Quand on voit tant d’ONG, grandes, petites, des gays, des lesbiennes, des un ou des autres… On se rend compte que ce n’est pas vraiment certain qu’on soit en train de traverser une crise des valeurs, bien au contraire».
Photo Capture
YAGG.COM
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Bartolomé Esteban MURILLO (Séville 1617-1682)
Nativité de Saint Jean-Baptiste
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Entretien avec Pierre Hillard
Hillard Interview post-conférence du 7 juin à... par ErAquitainePropos recueillis par E&R Aquitaine
- Publié le : mardi 24 juin 2014
L’équipe d’E&R Aquitaine s’est entretenue avec Pierre Hillard, auteur de Chroniques du mondialisme, suite à sa conférence à Bordeaux le 7 juin 2014.
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Affaire Lambert : la famille déchirée se succède au chevet de Vincent
Viviane et Pierre Lambert, les parents de Vincent, mardi avant la décision du Conseil d'État. Crédits photo : FRANCOIS BOUCHON
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a pris le contre-pied du Conseil d'État en maintenant ce jeune tétraplégique en vie.
Le coup de théâtre survenu dans l'affaire Lambert mardi soir, après que la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a pris le contre-pied du Conseil d'État en maintenant ce jeune tétraplégique en vie, a un impact majeur dans cette procédure aux développements sans précédent. Symboliquement d'abord, avec l'ingérence des Droits de l'homme qui, s'il y a examen au fond, vont interpréter ce dossier jusque-là jugé sous le seul angle administratif. Surtout, le rebondissement repousse les délais d'arbitrage et exacerbe les tiraillements entre les membres opposés de la famille qui, au quotidien, doivent se partager une réalité ubuesque au chevet de Vincent Lambert.
Dans sa chambre d'hôpital de Reims, où il est «consigné» par la CEDH qui a interdit à la France de le déplacer, il est aussi dans un bunker ultrasécurisé qui parle bien de l'atmosphère de méfiance et de paranoïa qui règne autour de son «cas». La porte de sa chambre est équipée d'«une serrure tracée permettant l'enregistrement des entrées et sorties avec trois clefs», précise «la procédure de sécurisation», instaurée par l'hôpital. Dans le couloir, une caméra filme les allées et venues, dans la chambre un «babyphone» enregistre les sons. Tout visiteur inconnu du personnel soignant est refusé. Une carte d'identité est nécessaire pour tous les membres de la famille, lesquels sont accompagnés par l'équipe médicale pour l'ouverture de la porte, stipule l'étonnant dispositif. Le personnel «vérifie l'état du patient» à chaque entrée et sortie du visiteur et «lorsque le patient est seul, la porte de sa chambre est fermée à clef». Dans son point 8, la procédure, symbolique des tensions, indique, «en cas de décès de Monsieur Vincent Lambert», de «ne rien toucher afin de préserver les traces et indices», «ne pas toucher au corps ni aux objets dans la chambre», de «fermer la porte à clef», de «prévenir immédiatement le directeur de garde et le médecin de garde qui, lui non plus, ne pourra pas toucher au corps».
« Mon mari et moi-même, nous sommes ravis de la décision de la CEDH , c'est un grand soulagement !»
Ces précautions ont été mises en place dès le 17 janvier 2014 par le Dr Éric Kariger, médecin de Vincent Lambert à l'origine de son processus de fin de vie, au lendemain de la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne qui l'obligeait pour la seconde fois à le maintenir en vie.
Un quotidien glaçant parti pour durer des mois encore, même si chacun évite de se croiser. Les parents de Vincent Lambert, depuis janvier, ont quitté leur maison du Sud pour s'installer à Reims. Son épouse, Rachel, a déménagé en Belgique avec la fillette du couple qui a aujourd'hui 6 ans. «Quand j'ai appris la décision de la Cour européenne par les médias, je me suis effondrée et j'ai pleuré. C'est encore une nouvelle épreuve qui se présente à Vincent et c'est très dur», a-t-elle déclaré mercredi. Pour le Dr Éric Kariger mais aussi un neveu de Vincent Lambert et le député UMP Jean Leonetti, «c'est le délai et le recours de trop». Un «acharnement judiciaire», a même avancé le père de la loi sur la fin de vie.
«Mon mari et moi-même, nous sommes ravis de la décision de la CEDH, c'est un grand soulagement !, disait mercredi la mère de Vincent Lambert avant de se rendre à son chevet. Et, ce matin, j'ai envie de lui dire: “Vincent, on a encore gagné une nouvelle fois!”»
Silence du côté du Conseil d'État. Difficile pour lui de mal juger les mesures provisoires de la CEDH, d'autant qu'il s'était rallié - comme le salue l'ouvrage de Frédéric Sudre (Droit européen et international des droits de l'homme, PUF) - à l'interprétation de la CEDH dans une suspension de la procédure d'expulsion d'un étranger vers l'Algérie. Dans une ordonnance de référé du 30 juin 2009, il estimait que «l'inobservation des mesures provisoires prescrites par la Cour» constituait «un manquement» au «droit de recours individuel de l'art. 34» et «une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale»…
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Baby Loup : les masques de la voilée
L’étrange combat de Fatima Afif
Jean Ansar
le 25/06/2014
« A Rome conduis-toi comme un romain ». Il n’y a rien à ajouter à cette formule définitive. En tout cas pas de voile en France dans le cadre de la vie publique et du contact avec des non-musulmans.
La Cour de cassation a confirmé mercredi le licenciement pour faute grave d'une salariée voilée de la crèche Baby Loup, selon un communiqué de la haute juridiction. Comme l'avait préconisé le procureur général Jean-Claude Marin, la Cour, qui avait examiné l'affaire en assemblée plénière, a rejeté le pourvoi de la salariée. Cette pantalonnade, si l’on ose dire, aura tout de même duré 6 ans. 6 ans d’exploitation par ceux qui, au nom de la liberté, veulent détruire notre façon de vivre. C’est le seul problème posé.
Ils ont trouvé tout de même dans Fatima Hatif un drôle de symbole. Devenue directrice adjointe, de cette crèche, Fatima Afif est absente pendant six ans pour congé maternité puis parental. A son retour en 2008, elle fait savoir à son employeur qu'elle ne souhaite plus rester et demande une rupture conventionnelle que la crèche refuse : si elle veut partir, il lui faut démissionner. C'est à la suite de ce refus qu'elle revient travailler voilée alors qu'elle sait, puisqu'elle a participé à la rédaction du règlement intérieur, que les signes religieux sont interdits au sein de la crèche. Elle est licenciée.
Fatima Afif se rend aux prud'hommes et réclame 80 000 euros de dommages et intérêts. Elle avait également saisi la Haute autorité de lutte contre les discriminations ( Halde ). L'arrêt de la Cour de cassation du 19 mars 2013 avait annulé son licenciement. La cour estimait notamment que l'obligation de « neutralité philosophique, politique et confessionnelle » du règlement intérieur de la structure ne pouvait justifier ce licenciement pour « faute grave ». Selon elle, le licenciement constituait « une discrimination en raison des convictions religieuses » intervenue dans une « crèche privée ». Puis le 27 novembre 2013, nouveau rebondissement, la cour d'appel de Paris avait « résisté » à la Cour de cassation en confirmant le licenciement. Elle estimait que la crèche pouvait être qualifiée « d'entreprise de conviction en mesure d'exiger la neutralité de ses employés ».
Le débat ne doit pas être faussé
On ne peut soutenir qu'il s'agit d'un conflit portant sur la défense des libertés d'une salariée face à un employeur, alors qu'il s'agit en réalité d'un conflit qui met en lumière une pression communautaire sur le monde du travail. Cela pose la question de savoir ce que représente le voile comme manifestation d'un poids communautaire qui ainsi peut peser sur les libertés individuelles et le libre choix des personnes, des parents et en plus de leurs enfants ? Fatima aura cependant remporté une victoire, la médiatisation de son cas aura tué la crèche.
Aujourd'hui, à cause de cette saga judiciaire et de ses retombées, la crèche, dont le budget annuel est de 1,2 million d'euros, totalise aujourd'hui quelque 200 000 euros de dettes. La CAF, le conseil général et la préfecture n'ont pas honoré leurs engagements en temps et en heure, selon la crèche. Faute de solution rapide, Baby-Loup sera en cessation de paiement en septembre. La structure est financée à 80% par des institutions publiques. Comment résister à la subversion islamique avec de tels garants de la laïcité faiblissant dés qu’ils pensent pouvoir être accusés d’exclusion ou de racisme. Un dégât collatéral bien plus important que le cas de Fatima.
Nul doute qu'il sera fait une lecture politique de la décision de la Cour de cassation. L'épilogue de ce long feuilleton judiciaire dira si l'exécutif doit se saisir du sujet. Le gouvernement et le Parlement prendront les décisions qu'ils voudront. Mais « s'ils estiment une loi nécessaire, nous recommandons de prendre le temps », suggère Jean-Louis Blanco, président de l'Observatoire de la laïcité, dans les colonnes de Libération. « Ce n'est pas parce qu'une femme porte le foulard qu'elle est intégriste, radicale, antilaïque ou antirépublicaine », ajoute-t-il. « D'une manière générale, il faut que l'on comprenne mieux le phénomène. Et la réponse n'est pas forcément la laïcité. Il y a des problèmes de ségrégation, de discrimination, de racisme et d'intégration ».
Certains décidément font semblant de ne pas comprendre ou sont indécrottables….. ou complices.METAMAG -
VIDEO - Bruno Gollnisch: "Il faut accepter d'affronter la diabolisation"
Bruno Gollnisch était hier soir l’invité de Vanessa Burggraf sur France 24
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6 mois de prison ferme requis contre un Hommen
20h42Dans l’affaire des Hommens de Roland Garros,le procureur général a réclamé hier contre les 4 protagonistes 12 mois de prison avec sursis plus 6 mois fermes contre l’un d’entre eux. La soi-disant justification juridique s’appuyant essentiellement sur le fait de considérer comme arme au sens de l’article 132-75, les fumigènes dont la durée est inférieure à 30 secondes.
Rappelons qu’au sens de cet article une arme est un objet pour tuer ou blesser, et que l’action des Hommens toute spectaculaire qu’elle a été a bien pris toutes les précautions pour ne blesser personnes. Comme le montre les vidéos l’opération a duré quelques secondes et s’est déroulé sans aucune violence et avait pour but d’attirer l’attention de la presse internationale sur le fait qu’il existait un mouvement de résistance en France contre cette loi alors même que la presse française boudait tous les articles sur ce thème. D’un point de vue communication l’opération a d’ailleurs été parfaitement réussi puisque plus de 10’000 articles ont été publiés dans le monde entier à la suite de cette action non violente.
etcMerci à jojo2
FDESOUCHE
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Florian Philippot - 24 juin 2014 par hurraken75Florian Philippot, Vice-Président du Front National et Député européen, était l’invité de « C’ à vous » sur France 5.
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Un maire FN veut supprimer la gratuité totale de la cantine pour les plus démunis
Publié le 25.06.2014, 15h50 | Mise à jour : 17h07
Le nouveau maire FN du Pontet (Vaucluse), Joris Hebrard, souhaite supprimer la gratuité totale de la cantine scolaire pour les enfants des familles les plus pauvres.
La mesure fait polémique. Pour faire des économies dans le budget de sa commune, le nouveau maire FN du Pontet (Vaucluse) veut supprimer la gratuité totale de la cantine pour les familles aux revenus les plus modestes révèle France Bleu.
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Sur un budget global de près de 50 millions d'euros, le maire FN Joris Hébrad cherche à économiser près de 30 000 euros. Et tous les moyens sont bons, y compris de ne plus prendre intégralement en charge les repas à la cantine pour les enfants des familles les plus pauvres. Il n'y a pas de petites économies selon l'édile. «Les petits cours d'eau font les grandes rivières» argumente-t-il sur les ondes de la radio. Cela permettra en même temps, de «responsabiliser les parents d'élèves et leur montrer que tout n'est pas gratuit» justifie-t-il encore.
AUDIO. Hébrad, le maire FN : «les petits cours d'eau font les grandes rivières». Ecoutez:
«C'est une mesure anti-sociale. On touche les familles les plus défavorisées, monoparentales, les gens au RSA ou en fin de droit au chômage», fustige le leader de l'opposition municipale, l'UMP Claude Toutain. «C'est absolument scandaleux». Mais le maire FN ne voit là rien de déplorable. «Ça m'étonnerait qu'il y ait des gens qui ne puissent pas payer 1,57 euros par jour, même si les gens sont démunis, ils ont des allocations, des aides qui peuvent servir aussi à payer la cantine.»
Cette somme correspond à la demi-gratuité à laquelle pourraient prétendre les parents de 65 enfants concernés. Le tarif normal du repas étant de 3,15 euros précise le directeur de cabinet du maire, Xavier Magnin.
Mais l'opposition municipale de rappeler qu'en arrivant à la mairie, le FN Joris Hébrad s'est accordé une augmentation de salaire de l'ordre de 44%, soit «plus de 1 000 euros par mois». Une somme qui «permettrait de financer 500 repas par mois» selon les calculs de l'UMP Claude Toutain.LeParisien.fr
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Bac 2014 : déjà des perles et des bourdes de haut niveau
Découvrez les perles du bac 2014 !
Publié le 24.06.2014, 15h11 | Mise à jour : 17h42
Les candidats au Baccalauréat ont encore rivalisé d'imagination dans leurs copies. | LP/PH LAVIEILLE
Les perles du Bac 2014. Après la polémique sur les sujets du BAC S et avant l'annonce des résultats officiels début juillet, les premières perles de cette édition 2014 de l'examen du baccalauréat toutes séries confondues ont commencé à filtrer.
L'épreuve de philosophie. Invité à disserter en série Littéraire sur la question « Doit-on tout faire pour être heureux ? », les futurs bacheliers - et les autres d'ailleurs - ont répondu avec des salves très drôles, naïves ou liées à l'actualité.
«Pour être heureux, on doit parfois tout donner : par exemple ici, pour avoir le bonheur de passer 4 heures ici, je n'ai pas hésiter à affronter les grèves de la SNCF. Comme référence, je pourrais citer la CGT ou le patron de la SNCF, mais dans une copie de philosophie ça ferait un peu tâche. Alors passons cet intermède léger.»
«Vivre heureux c'est parfois simple : un bon canapé, une bière, un match. Bref, rien à faire.»
«Pourtant, pour être heureux, certains font des actes très méchants : violer, tuer, massacrer, torturer, découper, écorcher... Mais il n'est pas nécessaire toujours d'en arriver là.»
L'autre sujet de la série L était « Les œuvres éduquent-elles notre perception ? ».
«Je dois reconnaître que la pornographie en tant qu’oeuvre concrète a radicalement changé ma perception des choses.»
«Notre perception nous fait voir des oeuvres qu'il vaut mieux des fois oublier.»
L'épreuve d'Histoire-Géographie. La dissertation d'Histoire avec au choix en L ou ES, «Le projet d’une Europe politique depuis le congrès de La Haye (1948)» ou «La Chine et le monde depuis 1949», a inspiré de nombreux lycéens qui ont dressé des comparaisons très en phase avec leur vie quotidienne.
«Le projet de construction européen a vu se succéder différentes formes : la CCE, l'UE, l'UEFA.»
«L'Europe politique, c'est comme l'hiver dans Game Of Thrones : on t'en parle mais on la voit jamais arriver.»
«Au fil des années, la méfiance des européens fait qu'il sont devenus antisceptiques.»
«Le but du texte c'était d'arriver au fédéralisme : pour l'expliquer de façon simple, on prend chaque président des pays et on lui dit : "C'est fini, tu commandes plus !»
«Deng Xiaoping a construit la grande muraille de Chine pour protéger l'économie chinoise des exportations étrangères.»
«Mao a été inspiré par son successeur.»
«Un français a dit un jour : "Laissez dormir la Chine, car si la Chine se réveille, après elle sera pas contente".»
«La population chinoise mourrait de faim, surtout dans les grandes villes : Shanghai, King Kong ou encore Pékin.»
L'épreuve anticipée de Français. Invités à disserter ou commenter un poème de Victor Hugo, les candidats de tous les séries se sont lâchés de manière plus ou moins poétique.
«Dans le poème, le dialogue entre le brin d'herbe et la tombe montre clairement que nous n'habitons pas le même univers.»
«Comment s’exprime le sentiment amoureux dans les trois textes du corpus ? De façon très impénétrable.»
«Victor Hugo est un écrivain et un poète du 19ème siècle. On lui doit notamment Notre Dame de Paris ou encore Les Minables.»
«L’émotion que l’on ressent à la lecture d’un texte poétique est la satisfaction de savoir comprendre des oeuvres que les autres ne comprennent pas.»
«Devant de tels vers, on ressent une émotion comprise entre le néant intégral à l'incompréhension.»
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Italie : Un directeur du Secours catholique arrêté pour abus sexuels sur immigrés clandestins
25/06/2014 – TRAPANI (NOVOpress) – La Caritas (le Secours catholique italien) est depuis des années à la pointe du combat immigrationniste, y compris dans ses dimensions les plus explicitement politiques. Elle a ainsi co-organisé la campagne « L’Italia Sono Anch’Io » pour le vote des immigrés et l’adoption du droit du sol. En février dernier, la Caritas a installé un nouveau centre sur l’île de Lampedusa, « inspiré par l’appel du pape François à ouvrir les portes aux frères migrants ».
Les critiques accusent volontiers la Caritas d’être mue par des préoccupations financières : la gestion des centres d’accueil pour clandestins lui assure des rentrées d’argent considérables, via les subsides qu’elle reçoit du gouvernement italien. Mais une affaire qui vient d’éclater suggère que les motivations des immigrationnistes sont parfois plus sordides encore.
Le directeur de la Caritas diocésaine de Trapani en Sicile, l’abbé Sergio Librizzi, a été arrêté mardi par la police « alors qu’il s’apprêtait à dire la messe dans l’église de Saint-Pierre » dont il est curé. Il a été inculpé de violence sexuelle et de concussion.
« Les délits sexuels – a expliqué le procureur de Trapani, Marcello Viola – concernent diverses personnes, mineures et majeures, toutes étrangères à l’Union européenne, avec lesquelles le prêtre avait des contacts en raison de sa position à la Caritas ». L’accusation repose à la fois sur les témoignages des victimes et sur des enregistrements par des micros espions, placés dans la voiture de l’abbé Librizzi. L’enquête avait été lancée il y a environ huit mois.
« Depuis au moins cinq ans », selon les enquêteurs cités par La Stampa, l’abbé Librizzi « utilisait son pouvoir présumé pour contraindre les migrants à des rapports sexuels ». « En échange, il faisait en sorte que ces immigrés non ressortissants de l’Union européenne obtiennent le statut de réfugiés politiques ou des permis de séjour. Le prêtre était en effet un membre très influent de la commission préfectorale chargée d’attribuer le statut de réfugié politique ».
« Au moins une dizaine de cas » ont été établis par les enquêteurs. L’un concerne un Nigérian que l’abbé Librizzi aurait contraint à avoir des rapports sexuels avec lui à trois reprises, avant de lui donner le document tant désiré. En 2009 déjà, l’ecclésiastique aurait exigé des rapports sexuels d’un Irakien. Selon la déposition de ce dernier, l’abbé Librizzi lui aurait dit : « Je suis une personne importante, je fais partie de la commission pour la délivrance des permis de séjour, je peux te rendre tout facile ou au contraire plus difficile. Mais toi, qu’est-ce que tu me donnes ? Mais tu ne comprends pas ce que je veux ? »
D’importantes sommes d’argent ont en outre été retrouvées : le prêtre les avait cachées derrière le tabernacle de son église.
Sur l’excellent site Il Primato Nazionale, Francesco Pezzuto commente ainsi l’événement. « L’arrestation du directeur de la Caritas diocésaine n’est que le dernier en date d’une longue série d’épisodes de violence, de concussion et d’extorsion de fonds, sous couvert de l’accueil des migrants. Les enquêtes sur les associations, les coopératives, les “organisations d’utilité sociale” se multiplient, mettant à nu un véritable marché de la chair humaine, car c’est bien ainsi qu’apparaissent “les nécessiteux” aux yeux de ceux qui exploitent la souffrance. L’esclavagisme du troisième millénaire est le plus rusé et le plus honteux que l’humanité ait jamais connu ».
Et Francesco Pezzuto de conclure en accusant : « ceux qui défendent à toute force l’immigration de masse, en refusant de reconnaître l’évidence, ne pourront se disculper d’être les complices, même involontaires, de cette barbarie ».
Crédit image : copie d’écran d’ “Il Giornale”, cité dans notre article. DR.
Publié le 25 juin 2014 - Modifié le 25 juin 2014 -
Identitaires lyonnais: le rassemblement interdit
La préfecture du Rhône a invoqué aujourd'hui au travers d'un communiqué le "risque de trouble à l'ordre public" pour interdire la manifestation prévue demain à Lyon par les Identitaires.
"En lien avec Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, le préfet a décidé d'interdire cette manifestation organisée par le Bloc Identitaire en raison d'un risque grave de troubles à l'ordre public" peut-on effectivement y lire.
L'appellation choisie par l'extrême-droite, à savoir un "rassemblement anti-racailles", a aussi été considérée comme problématique par la préfecture. "Au-delà du risque de débordements, le titre même de cette manifestation, en appelant à la haine et à la confrontation, n'était pas acceptable" est-il précisé.
La manifestation devait se tenir demain pendant le troisième match de Coupe du monde de l'Algérie, dans un quartier à forte population immigrée.Scandaleux!