FDESOUCHE
N'est-il pas indécent de danser à Tel Aviv tandis que des gens meurent sous les bombes à Gaza ?
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FDESOUCHE
N'est-il pas indécent de danser à Tel Aviv tandis que des gens meurent sous les bombes à Gaza ?
A Béziers, une association d'habitants du quartier est sur le point de voir le jour pour porter officiellement la parole des riverains et dénoncer les incivilités dont ils sont victimes.
Encore une fois, la cité Biterroise se fait remarquer. Encore une fois, les incivilités sont au cœur du problème pour les riverains qui, depuis la rue de Louvois ou la résidence Le Sully subissent les nuisances des habitants installés dans la résidence qui va jouxter dans quelques mois le palais de justice en cours de construction. Un habitant explique, sous le couvert de l'anonymat par crainte des représailles : "le 29 mai dernier j'ai été contraint de faire intervenir la police à cause de la musique qui était tellement forte que les murs de la maison tremblaient. Les policiers se sont déplacés et tout de suite après le départ des forces de l'ordre j'ai eu droit à mon lot d'insultes et de menaces parce qu'ils avaient dû se déplacer. Le 6 juin dernier, c'est le service de Médiation de la ville de Béziers qui a été amené à intervenir pour faire cesser le bruit." Et le témoin rapporte encore et toujours, c'est récurrent dans la cité, que des armes circulent et que la drogue est, elle aussi, très présente sur le site.
Du côté du commissariat de Béziers, des rondes sont effectuées régulièrement et pour tout ce qui est de la drogue et des armes jamais personne n'a été pris sur le fait et aucune arme n'a été saisie sur place si ce n'est des armes factices. Un autre déplore : "Des véhicules sont incendiés ou dégradés. Nous les connaissons, mais ils sont tellement violents que nous n'osons pas nous approcher. Nous craignons pour notre intégrité et quand nous faisons une réflexion les réactions sont immédiates, ils urinent sur nos portes d'entrée, défèquent sur les marches de nos habitations. C'est un calvaire. Notre quartier est devenu invivable à cause de ce voisinage, mais aussi à cause des odeurs et des rats qui sont la conséquence de la prolifération des ordures en tous genres sur le cœur de la cité."
Les habitants dénoncent des actes d'incivilité, la dépréciation de leurs biens immobiliers qui sont devenus invendables du fait de la promiscuité avec la population qui s'est installée dans ce quartier. Et pire encore. Ils ont livré une vidéo, sans pouvoir la dater, sur laquelle de jeunes enfants se livrent à des actes sexuels. La scène se déroule à la vue de tous et une petite dizaine d'enfants, en partie dévêtus se livrent à ce drôle de jeu qui choque énormément les riverains qui ont assisté à la scène sans intervenir pour y mettre fin. Pour autant la cité Biterroise n'est pas abandonnée, et la mairie a entrepris des démolitions de bâtiments pour l'ouvrir sur l'extérieur. La construction du nouveau palais de justice laisse aussi présager de nouvelles perspectives pour pacifier ce petit coin de Béziers.
MIDI LIBRE 11 07 14
Ces dernières années, le processus visant à éradiquer de notre mémoire collective les hommes politiques, écrivains, essayistes, scientifiques jugés politiquement incorrect s’est accéléré. C’est vrai dans l’enseignement, le monde de l’édition, les médias bien sûr, mais aussi dans les communes détenues par la gauche et/ou sous la pression de lobbies divers et variés, dans l’espace public par l’éradication de noms de rues, boulevards, places, écoles, bibliothèques, hôpitaux etc, donnés à des personnalités jugés hors des clous de la pensée unique, progressiste pour faire court.
Il fallait donc s’y attendre, à Cogolin (Var) le vœu du maire FN, Marc-Etienne Lansade, de dénommer un futur parking du nom de l’homme de lettre, député nationaliste et académicien Maurice Barrès (1862-1923), a soulevé l’indignation de son opposition municipale, des partis et groupuscules de gauche et autres fraternelles humanistes.
«Nous sommes en désaccord sur ce choix idéologique d’un membre de l’extrême droite » a ânonné un élu UMPS. Ce monsieur semble ignorer que le nom du lorrain Barrès, arabophile et islamophile comme beaucoup d’hommes de droite de son époque, écrivain apprécié de Léon Blum et dont Louis Aragon avait demandé la réhabilitation littéraire dès la fin de la seconde guerre mondiale, est honoré notamment dans de grandes villes comme Neuilly, Paris, Metz, Perpignan ou Nancy.
En décembre 2009, au nom de la soumission au diktat idéologique exercé par certains lobbies, Nadine Morano, alors secrétaire d’Etat à la famille, avait déjà tenu à s’excuser publiquement de tenir une réunion politique sur les terres de l’écrivain précisant qu’il ne s’agissait « pas de réhabiliter Maurice Barrès » !
Nos bonnes âmes qui s’émeuvent du choix de la majorité municipale FN de Cogolin n’ont bien évidemment jamais protesté pour exiger que soit débaptisé, exemple parmi beaucoup d’autres, les rues portant le nom d’un traître antifrançais et d’un déserteur comme Maurice Thorez.
Que reproche-t-on à Barrès ? S’il s’agit de ce qu’il faut bien appeler son antisémitisme, l’honnêteté convient de rappeler que celui-ci fit très largement place pendant la Grande guerre à une volonté de fraternisation dans l’épreuve avec les juifs de France . La fiche que lui consacre wikipedia le rappelle fort justement. Dans son ouvrage Les familles spirituelles de la France (1917), il rend hommage au patriotisme de nos compatriotes juifs tombés au champ d’honneur -Amédé Rothstein, Roger Cahen, Robert Hertz, le rabbin Abraham Bloch « frappé à mort au moment où il tendait un crucifix à un soldat mourant »-, Barrès « les place au côté des traditionalistes, des protestants et des socialistes comme un des quatre éléments du génie national ».
L’antisémitisme athée, bien réel, de figures de la gauche comme Voltaire, Auguste Blanqui, Jean Jaurès, Pierre-Joseph Proudhon pour ne rien dire de Karl Marx, n’empêche pas qu’ils soient toujours célébrés sur les plaques de nos rues.
D’autres lui reprochent de ne pas s’être engagé en 14 (il avait alors plus de cinquante ans) l’affublant alors du cruel surnom de « rossignol des cimetières ». Un épisode que rappelait le barrésien Jean-Yves Le Gallou en mai dernier sur le blog toujours actif du regretté Dominique Venner, mettant en exergue les éditoriaux patriotiques de Barrès dans La Cocarde avec la geste d’ « Émile Driant, député, qui avait 59 ans en 1914. Il s’est néanmoins engagé et est mort en héros à la tête de ses chasseurs, au bois des Caures, en retardant de manière décisive l’avance allemande sur Verdun ».Mais gageons que ce bémol là n’est pas celui mis en avant par les opposants à la mémoire de Barrès.
Non, ce que l’on reproche à celui qui fut surnommé le prince de la jeunesse c’est bien d’être le chantre de l’enracinement, de l’énergie nationale. Entendons nous bien, il y a des aspects potentiellement problématiques à la pensée barrésienne. En conviant au dépassement du moi individuel par le moi lié indissolublement à la nation, par le culte du paysage national, il appelle de ses vœux un nationalisme intransigeant, exigeant le retour des Français sur eux-mêmes, le rejet des influences étrangères.
Nous le relevions sur ce même blog en 2010, le compatriote lorrain de Jeanne d’Arc, mettait déjà en garde de manière prémonitoire contre les conséquences de l’afflux de populations inassimilables voulant « nous imposer leur façon de sentir ». Il rappelait aussi dans « Scènes et doctrine du nationalisme »que « le nationalisme est acceptation d’un déterminisme » qui fait que « nos ancêtres pensent et parlent en nous. Toute la suite des descendants ne fait qu’un même être ». Bref qu’il n’y a pas de moi véritable sans le « support de la collectivité ».
Cela peut aussi déboucher sur un nationalisme, il faut aussi en convenir, qui n’est pas celui du FN, soit un chauvinisme haineux, bêtement raciste et antisémite, qui bouillonna dans ses écrits publiés lors de l’affaire Dreyfus ; quand bien même il s’agit de les remettre dans le contexte de la grande violence des affrontements littéraires et politiques de l’époque.
Il faut aussi se méfier des lectures historiques anachroniques, consistant à faire dire au passé ce qui n’est perceptible qu’à la lumière d’enseignements postérieurs. Les travaux bien connus et étayés de l’historien israélien Zeev Sternhell ont fait de Barrès, qui resta fidèle au régime républicain, parlementaire assidu et respectueux qui exécrait… le parlementarisme, l’un des pères intellectuels du fascisme. Il est rappelé qu’il fut élu député pour la première fois en 1894 en se revendiquant d’un socialisme nationaliste, certains n’hésitant pas à inverser les deux termes de l’étiquette…
Pour notre part, au-delà de la puissance et des fulgurances de son œuvre littéraire, nous retenons du Barrès politique les éléments intemporels qui parlent au cœur de tous les patriotes français, à savoir que notre identité nationale n’est en aucun cas réductible à la seule idéologie des droits de l’homme, abstraite et désincarnée.
Cette conception charnelle, enracinée de la nation et du devenir de notre peuple, constate Bruno Gollnisch, est bien en effet une des différences majeures de notre courant de pensée avec l’idéologie dominante. C’est bien parce que nous voulons rester nous-mêmes, transmettre ce que nous avons reçu que nous sommes attaqués avec la virulence haineuse que l’on sait. Etre et durer…
par Alexei Anishchuk
LA HAVANE (Reuters) - Au début d'une tournée de six jours en Amérique latine, le président russe Vladimir Poutine est arrivé vendredi à Cuba et a rencontré l'ancien président Fidel Castro, adversaire historique des Etats-Unis.
Aucun détail n'a été donné sur cette rencontre entre le maître du Kremlin et le "comandante" âgé de 87 ans, qui a abandonné le pouvoir en 2008 pour raisons de santé à son frère Raul.
Au cours de cette tournée en Amérique latine, qui le conduira également en Argentine et au Brésil, Vladimir Poutine compte bien accroître la présence russe dans cette zone, au plus fort des tensions liées au conflit ukrainien.
Au Brésil, le président russe assistera mardi et mercredi à un sommet des pays émergents du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).
A Cuba, située à seulement 150 km des côtes des Etats-Unis, Vladimir Poutine a participé vendredi au côté de Raul Castro à une cérémonie au monument érigé à La Havane en hommage aux soldats soviétiques, puis a déposé une gerbe au mémorial du héros national Jose Marti.
Lors de cette visite, il entend mettre l'accent sur l'économie. La Havane va notamment conclure un accord de prospection pétrolière avec les compagnies russes Rosneft et Zaroubejneft.
ACCORD PÉTROLIER
Cette dernière est déjà impliquée dans l'exploration et l'exploitation des gisements cubains offshore, qui représentent 20 milliards de barils, selon les autorités locales. L'Institut américain de géologie les évalue quant à lui à 4,6 milliards de barils.
Les opérations communes de Rosneft et de la compagnie cubaine Cupet "pourront débuter dans un avenir très proche", a assuré Poutine.
Plusieurs compagnies étrangères, dont l'espagnole Repsol, la malaisienne Petronas et la vénézuélienne PDVSA, ont déjà foré sans succès au large de Cuba.
(Jean-Philippe Lefief et Guy Kerivel pour le service français)
Yahoo! Actu - 11 07 14
À quelques jours de la fin de la Coupe du monde de football au Brésil, la FIFA a décidé de sanctionner deux pays : l’Algérie et le Nigéria.
La FIFA condamne le comportement des supporters algériens lors des quatre matchs de la compétition mondiale au Brésil. Ils sont accusés d’avoir fait usage de pétards et de fumigènes dans les tribunes et d’avoir aveuglé le gardien russe avec un faisceau laser, lors de la rencontre avec ce pays.
La Fédération algérienne de football (FAF) a été condamné à verser 50 000 euros d’amende pour « comportement inconvenant des supporters algériens ». Cette dernière a réagi en appellant les supporters à « se comporter de manière responsable et civilisée afin d’éviter une autre sanction qui pourrait être la suspension de l’équipe ».
Une suspension dont a été victime le Nigéria : la FIFA a estimé que l’ingérence du gouvernement de ce pays africain dans sa fédération de football était inacceptable. Le ministre des Sports nigérian avait souhaité nommer lui-même le nouveau responsable des instances du football de son pays, en remplacement d’Alhaji Aminu Maigari, qui a été limogé à son retour du Brésil.
Patrick et Isabelle Balkany
Lu sur Wikipédia!:
Patrick Balkany est le fils de Gyula Balkány, directeur de société[1], juif hongrois qui fut déporté à Auschwitz[2] et de Gisèle Frucht[1]. Non-bachelier[3], il reprend l'entreprise familiale de prêt-à-porter créée par son père[4]. Il est aussi acteur de 1965 à 1967 et joue parfois son propre rôle dans des séries télévisées de 2001 à 2010, faisant notamment une apparition dans Commissaire Moulin[5].
En 1976, Patrick Balkany épouse Isabelle Smadja qu'il a rencontrée lors d'un match de boxe en 1975[6]. Ils ont deux enfants : Vanessa et Alexandre[4], tous les deux gérants de diverses sociétés[7],[8]. Patrick Balkany se déclare juif non-pratiquant[2].
http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Balkany
LE SCAN POLITIQUE - La cellule anti-blanchiment de Bercy se penche sur le train de vie du couple, soupçonné d'avoir cherché à dissimuler une partie de son patrimoine au fisc. Parmi les dépenses les plus étonnantes, les sept abonnements à Canal+ payés chaque année par le maire de Levallois...
C'est une note qui a pu peser dans le choix de la justice d'accélérer l'enquête pour blanchiment de fraude fiscale dont fait l'objet le couple Balkany. Remise aux juges début mai par la cellule anti-blanchiment Tracfin, elle dresse un panorama complet du train de vie du maire de Levallois-Perret et de son épouse, première adjointe. M6 a pu mettre la main sur ce document, et les révélations sont parfois surprenantes.
On y apprend par exemple que Patrick Balkany, grand fan de sport, a payé sept abonnements à Canal+ pendant six ans et demi, soit la bagatelle de 45 abonnements, pour une somme estimée à environ 1500 euros.
Moins anecdotique, selon Tracfin, Isabelle Balkany aurait bénéficié en 2012 d'une demi-part supplémentaire au titre de personne isolée, lui permettant d'obtenir un remboursement de 6 000 euros par le fisc. Or cette réduction d'impôts est réservée aux célibataires, veufs ou divorcés, qui vivent seuls et ont un enfant à charge. Ce qui n'est, semble-t-il, pas le cas d'Isabelle Balkany.
Toujours selon M6, Tracfin s'étonne des frais de personnel du couple, qui seraient supérieurs à leurs propres revenus... La rémunération de leurs employés de maison s'élèverait à 195.733 euros tandis que le couple n'a déclaré toucher en 2012 «que» 136.098 euros. «Tracfin s'étonne à tort», assure à M6 l'avocat du couple, Me Grégoire Lafarge. «Le personnel de maison à Saint-Martin a été très normalement payé par l'agence immobilière de Saint-Martin».
Le conseil des Balkany évoque ici la villa «Pamplemousse», au coeur de l'enquête en cours. Longtemps, le couple, qui ne paie pas l'impôt sur la fortune, a refusé d'admettre être propriétaire de cette bâtisse de luxe, louée entre 7.500 et 10.500 dollars par semaine. Lors de sa garde à vue, fin mai, Isabelle Balkany a fini par reconnaître ce que la presse soupçonnait depuis déjà plusieurs mois. Mais son avocat assure que la villa a été achetée avec des fonds «licites» et que la situation fiscale particulièrement avantageuse des Balkany est lié au régime particulier en vigueur à Saint-Martin, qui leur permettrait d'échapper à l'ISF. Les juges ne manqueront pas de s'en assurer.
LE FIGARO
Israël ne lâchera pas tant que le «calme» ne sera pas revenu «dans les rues d'Israël». Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, a rappelé ce vendredi après-midi, à l'occasion d'une conférence de presse au ministère de la Défense à Tel-Aviv, l'objectif de l'Etat hébreu, avec son opération «Bordure protectrice».
Pas d'opération terrestre mais une intensification de l'opération aérienne
Si le Premier ministre israélien n'a pas évoqué d'opération terrestre dans la bande de Gaza, cible d'intense raids aériens depuis lundi, il a parlé «d'intensification» de l'opération en cours. Visant les «terroristes» du Hamas, la branche armée des Brigades Izz al-Din al-Qassam, dans la bande de Gaza, les frappes israéliennes ont déjà fait plus de 100 morts côté palestinien, dont de nombreux civils.
«Aucune pression internationale ne nous empêchera de frapper les terroristes»
Malgré le bilan qui s'alourdit d'heure en heure du côté de Gaza, Benjamin Netanyahou a de nouveau justifié la mission de Tsahal. La finalité de l'opération est de «rétablir le calme», et «je continuerai jusqu'à atteindre cet objectif», a martelé le chef du gouvernement. «Aucune pression internationale ne nous empêchera de frapper les terroristes qui nous attaquent», a-t-il insisté. Expliquant, à l'adresse de la communauté internationale, qu'Israël était situé dans une zone «prise par l'islamisme extrémiste», le Premier ministre israélien a promis que lui et son armée allaient se «défendre sur tous les fronts». «J'ai eu une très bonne conversation avec le président (américain Barack) Obama et d'autres dirigeants, qui ont tous dit comprendre le besoin d'agir», a-t-il enfin plaidé.
En réplique au lancement de la mission «Bordure protectrice», les roquettes en provenance de la bande de Gaza pleuvent également sur Israël. Netanyahou a fustigé le Hamas, arguant que le groupe se cachait «derrière les habitants de Gaza pour mener ses attaques». Et de préciser : «Il porte donc l'entière responsabilité de la situation que traverse les habitants de Gaza aujourd'hui».
LeParisien.fr 11 07 14
11 juillet 2014 par Marie de Remoncourt
Dans le cadre du projet de Cité gastronomique de la ville de Dijon, l’hôpital général de la ville se voit dans l’obligation de fermer ses portes d’ici la fin de l’année 2014. Jusque là, pourquoi pas ? Mais voilà, au cœur de cet hôpital se trouve une chapelle, chère au cœur de nombreux Dijonnais et qui plus est toujours en activité. La chapelle pourrait ainsi devenir une vinothèque de 800m², soit purement et simplement un espace commercial de vente de vin !
Comme le souligne Maxime Cumunel, de l’Observatoire du patrimoine religieux : « Il faut bien comprendre, ajoute-t-il, que ces chapelles étaient évidemment des chapelles d’hôpitaux au sens actuel du terme, mais aussi des chapelles ouvertes sur la rue. C’est-à-dire ouvertes à tous ; des chapelles où avaient lieu des baptêmes, des mariages, des funérailles. Des chapelles où des personnes sont enterrées. On ne peut pas les traiter comme des bâtiments ordinaires ». Évoquant la vocation de cette chapelle, il ajoute qu’elle est « premièrement universelle, puisque c’est le fond de l’Église, à savoir être accessible à tous et gratuitement. Et à défaut d’avoir une dimension cultuelle, qu’elle ait au moine une vocation intellectuelle, afin qu’elle soit valorisée et que les gens puissent l’identifier comme leur patrimoine, et non pas une boutique que l’on peut trouver n’importe où ».
Malgré les protestations de l’êveque Mgr Minnerath, la sauvegarde de la chapelle semble pour l’instant compromise. Aujourd’hui en France, plus de 270 églises sont menacées. Si l’abandon et le manque de fond a conduit à la démolition d’un peu plus d’une vingtaine d’entre elles, va-t-il également falloir se battre désormais pour conserver les églises parfaitement opérationnelles et couramment fréquentées ?!
Contre-info.com
Les infections par le VIH, le virus du sida, augmentent parmi les homosexuels, souligne vendredi dans un rapport l'OMS qui, pour la première fois, appelle les hommes ayant des relations sexuelles entre eux à prendre à titre préventif des antirétroviraux. "Nous constatons une explosion de l'épidémie" pour ce groupe à risque, a indiqué aux journalistes Gottfried Hirnschall, qui dirige le département VIH de l'Organisation Mondiale de la Santé.
Plus de 30 ans après l'émergence de la maladie et alors qu'il est aujourd'hui possible de vivre avec le sida, il attribue cette évolution au fait qu'il y a un relâchement dans la prévention. Aujourd'hui, les homosexuels ont 19 fois plus que la population moyenne le risque d'être contaminé par le virus. A Bangkok par exemple, le sida affecte 5,7% des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes contre 1% de la population en général.
Dans ses nouvelles recommandations publiées vendredi, l'OMS "recommande fortement aux hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes de considérer la prise des antirétroviraux comme une méthode supplémentaire de prévention face au VIH". En mai dernier, les autorités sanitaires américaines ont recommandé l'utilisation d'antirétroviraux de façon préventive contre le sida pour tous les groupes à risque, notamment les homosexuels, dans l'espoir de réduire le nombre des nouvelles contaminations, inchangé depuis vingt ans.
Prendre une pilule quotidienne combinant deux antirétroviraux, en plus de l'usage des préservatifs, pourrait diminuer les risques de 20 à 25%, soit éviter "un million de nouvelles infections au sein de ce groupe en 10 ans", selon l'OMS.
Alors que l’armée ukrainienne se prépare à reprendre la ville de Donetsk, toujours aux mains des séparatistes pro-russes, Amnesty International dénonce ce vendredi la multiplication des cas de tortures et d'enlèvements de militants pro-Kiev dans l'Est.
Les forces ukrainiennes ont déclenché jeudi une attaque près du village de Karlivka, à 30 km à l'ouest de Donetsk, chef-lieu de la région du même nom dans l'est de l'Ukraine en proie à une insurrection armée pro-russe, a annoncé le ministère de l'Intérieur. Un reporter de l'AFP sur place a vu avancer plusieurs convois de blindés et de camions transportant des troupes et a entendu des tirs nourris d'artillerie.
"Les unités du ministère de la Défense, de la Garde nationale et des bataillons de la défense territoriale ont lancé une offensive vigoureuse près du village de Karlivka" appuyée par des blindés, a indiqué le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.
Les séparatistes ont confirmé les combats dans cette zone. "Il y a eu des combats à Karlivka aujourd'hui. Nous avons détruit deux tanks" des forces ukrainiennes, a déclaré le "ministre de la Défense" des séparatistes Igor Strelkov au cours d'une conférence de presse à Donetsk. "L'ennemi a subi des pertes, nous avons aussi eu des pertes malheureusement", a-t-il ajouté sans plus de précisions. "Des échanges d'artillerie se poursuivent", a-t-il dit en début d'après-midi.
Les forces loyalistes cherchent actuellement à encercler les deux places fortes des insurgés dans l'Est, Donetsk et Lougansk.
Porochenko prêt pour un cessez-le-feu "bilatéral"
Le président ukrainien Petro Porochenko s'est dit prêt à un "cessez-le-feu bilatéral" dans l'est séparatiste du pays à condition que soit assuré le contrôle de la frontière avec la Russie, dans un entretien téléphonique mené jeudi soir avec la chancelière allemande Angela Merkel. Petro Porochenko "a souligné qu'il était nécessaire d'assurer le contrôle sur la frontière afin d'arrêter le transfert d'armes et de combattants depuis la Russie ainsi que la libération de tous les otages et le lancement des négociations inconditionnelles", selon un communiqué de la présidence ukrainienne publié à l'issue de l'entretien.
Selon Kiev, Mme Merkel a souligné au cours de cette conversation que les représentants d'une mission de l'OSCE présente dans l'est de l'Ukraine n'avaient "pas accès aux postes-frontière à cause des agissements des combattants".
M. Porochenko s'est également entretenu au téléphone jeudi soir tard avec le vice-président américain Joe Biden, discutant du rétablissement des infrastructures dans les localités libérées des séparatistes dans l'est de l'Ukraine, selon la présidence ukrainienne. M. Biden a promis une assistance américaine dans de tels projets, selon la même source.
La présidence ukrainienne a par ailleurs indiqué avoir repris le contrôle de Siversk, une ville de 12.000 habitants à 100 km au nord de Donetsk où un drapeau ukrainien flotte désormais sur la mairie ainsi que du poste-frontière Tchervonopartisansk dans la région de Lougansk. Les troupes ukrainiennes, qui ont repris cette dernière semaine le contrôle de plusieurs localités, dont l'ex-bastion séparatiste de Slaviansk, avancent vers Donetsk et Lougansk, deux capitales régionales qui se préparent à résister.
Tortures et enlèvements
Par ailleurs, l'ONG Amnesty International a dénoncé ce vendredi la multiplication des cas de tortures et d'enlèvements dans l'est de l'Ukraine, actes dont sont principalement victimes les militants pro-Kiev. "Des centaines de personnes ont été enlevées ces trois derniers mois", précise Denis Krivocheïev, directeur d'Amnesty chargé de l'Europe et d'Asie centrale. "La plupart des enlèvements sont commis par des séparatistes armés (pro-russes) et les victimes subissent souvent des tortures", a-t-il souligné dans un communiqué.
Selon le ministère ukrainien de l'Intérieur, près de 500 personnes ont été enlevées dans l'est du pays entre avril et juin. L'ONU a de son côté répertorié 222 cas d'enlèvements, souligne Amnesty. Il s'agit de militants, hommes politiques, journalistes, entrepreneurs, membres des commissions électorales locales ainsi que des militaires et policiers.
"Au fur et à mesure que les troupes pro-Kiev reprennent le contrôle de Slaviansk, Kramatorsk (bastions des séparatistes pro-russes, ndlr) et autres localités dans l'est de l'Ukraine, de nouveaux captifs sont libérés et de nouveaux cas inquiétants se révèlent", indique Amnesty. Anna, une militante pro-ukrainienne a été retenue en otage pendant six jours au cours desquels elle a été frappée et blessée à coups de couteau par ses ravisseurs qui l'ont contrainte à écrire avec son sang un slogan séparatiste.
Un autre militant pro-ukrainien, Sacha, 19 ans, s'est enfui à Kiev après avoir été retenu en otage et torturé par des séparatistes à Lougansk. Il a été libéré après que son père a payé une rançon de 60.000 dollars.
Jardin des Plantes à Paris, juin 2014
(Photo CE)
Par pour La Voix du Nord, Publié le 10/07/2014
L’émotion était vive, ce jeudi, dans le quartier rouvroysien autour de la place Tamboise après la sidérante découverte d’une petite fille de quelques heures dans une poubelle enterrée.
« On ne peut être qu’étonné suite à ce type d’actes, réagissait le maire, Jean Haja. Est-ce le désespoir, la crainte, la peur, qui a fait réagir cette femme… J’en sais rien. Est-ce un acte désespéré, réfléchi ? J’attends d’avoir plus d’éléments avant de juger ». Le premier magistrat ne veut émettre aucune hypothèse, même pas celui du déni de grossesse qui a déjà fait la une des journaux et auquel certains ont pensé hier en apprenant la nouvelle. « Je ne sais ce qui a animé cette mère à commettre cet acte abominable. Une maman, ça protège son enfant avant tout. Ce n’est d’ailleurs peut-être pas la mère qui est en cause… En tout cas, je me garde bien de ressentir de la révolte ou de la haine. On peut condamner ce geste mais avant, il faut le comprendre ».
Une retenue qui tranche avec les autres commentaires que l’on pouvait entendre jeudi en fin d’après-midi, place Tamboise, où plusieurs dizaines de personnes se sont arrêtées et ont perturbé le travail de la police.
Des policiers qui devront déterminer dans quelles circonstances un bébé, de quelques heures à peine, qui avait encore son cordon ombilical a été jeté dans un conteneur enterré destiné à recevoir du verre. C’est une passante qui a donné l’alerte, surprise par des cris entendus dans cette poubelle.
Une fois sur place, les secours ont dû se faufiler la tête la première dans la colonne pour secourir le bébé. En état d’hypothermie, la petite fille présentait des coupures, consécutives à sa chute dans le conteneur rempli de débris de verre. Elle a été transportée dans un état jugé sérieux, au service de réanimation néonatale du centre hospitalier de Lens pour y passer la nuit en surveillance. Le personnel médical n’était pas en mesure, hier soir, de se prononcer sur son pronostic vital.
Une enquête a été ouverte pour répondre aux multiples interrogations soulevées par cette sordide découverte. Le conteneur a été retiré de son emplacement et transporté dans les locaux de la police pour être analysé. Un appel a été lancé aux centres hospitaliers du secteur pour signaler l’admission de toute patiente présentant les signes d’un accouchement récent. Il semblerait qu’un signalement ait déjà été donné.
Quelle société pourrie où, pour certaines femmes, les enfants ne sont plus que des déchets !
10/07/2014 – SANVIGNES-LES-MINES (NOVOpress)
Sanvignes-les-Mines (Saône-et-Loire), 4.000 habitants, est une paisible bourgade de l’ancien bassin minier. Elle a hérité de son époque de grande activité industrielle d’une fort belle piscine municipale qui fait dès juin – lorsque le temps le permet – la joie des scolaires et des licenciés de son club, et en juillet-août celle de familles bien tranquilles. Mais il y a une ombre à ce tableau idyllique : le débarquement occasionnel de bandes de cités de villes voisines, qui préfèrent ce lieu à la piscine couverte mieux gardée dont ils disposent par ailleurs. Un problème récurrent existant depuis de fort nombreuses années, sans qu’il y soit, au-delà du mutisme, apporté de réponse adéquate.
Ils sont quelquefois une trentaine à arriver en berlines de luxe pour profiter des équipement municipaux selon leur bon plaisir, en chahutant et bien sûr en entrant sans payer. Et au désespoir des voisins dérangés par tant de bruit, ils aiment aussi occasionnellement les bains nocturnes et ne se gênent pas pour manger au bord des bassins. Et lorsqu’enfin, alertée par la population, vient une patrouille de police, elle se contente de constater les faits. A deux contre trente, c’est compréhensible…
Il y a quelques jours et à la grande stupéfaction des parents présents et du chef de bassin, une bande d’individus a enjambé les barrières de la piscine encore fermée au public, perturbant un cours de natation donné à des enfants en bas âge, et privant en même temps des licenciés de l’usage des plongeoirs squattés par les intrus. Malgré les demandes réitérées du chef de bassin, qui ne lui ont valu que des marques d’irrespect, la bande a pu s’amuser en toute quiétude pendant trois quarts d’heure, avant que n’arrive enfin la police alertée par de nombreux coups de fil, pour les prier gentiment de partir. Un de ces individus a d’ailleurs baissé son caleçon volontairement et longuement devant les agents de police et les enfants présents, puis ils sont partis, sourire aux lèvres, en narguant l’autorité et les adultes, et visiblement fiers de leur acte de bravoure !
Un geste que Robert Ménard assume totalement. Le maire de Béziers, élu avec le soutien du Front national, a commémoré samedi dernier les "massacres d'Oran" du 5 juillet 1962 devant une stèle en l'honneur de quatre fusillés de l'OAS - une cérémonie en forme d'appel du pied à l'égard de son électorat pied-noir.
Depuis des années, cette stèle qui se trouve dans le cimetière municipal de Béziers provoque le courroux de l'opposition. Y figurent en effet les photographies de Dovecar et Piegts, à l'origine de l'assassinat du commissaire d'Alger, de Bastien-Thiry, organisateur de l'attentat manqué contre De Gaulle au Petit-Clamart, et de Degueldre, fondateur des commandos Delta. Quatre homme condamnés à mort par les tribunaux français après la guerre.
Mais plutôt que de retirer la plaque commémorative, comme l'exigeait Aimé Couquet, membre du PCF, Robert Ménard a préféré s'incliner devant elle avec Elie Aboud, candidat malheureux aux municipales et député UMP de l'Hérault. Son ex-rival s'est joint à lui pour déposer une gerbe sur la stèle, en présence de 150 à 200 "rapatriés" de l'Algérie française. Et le fondateur de Reporters sans frontières, qui revendique ses racines pieds-noires, a prononcé un discours sur "l'indifférence du gouvernement d'alors" et les "centaines de Français d'Algérie livrés sans défense à Oran au couteau des égorgeurs". Un classique de l'extrême droite, en somme. La "stèle de la honte" en supplément.
"Ça n'est pas une stèle en l'honneur de l'OAS, mais de fusillés comme il y en a tant eu, avec un certain nombre de noms qui figurent sur cette plaque", minimise auprès du "Nouvel Observateur" Robert Ménard. "Je suis né à Oran, mon père a failli être tué ce jour-là. Il y a un déni de réalité sur ce qui s'est passé." Les critiques ? "Je m'en contrefiche", assène le maire de Béziers.
"C'est une véritable provocation", s'insurge de son côté Aimé Couquet, qui exigeait déjà du prédécesseur de Ménard le retrait de la stèle, en vain. "Nous n'avons rien contre les rapatriés d'Algérie. Ce qui nous pose problème c'est le fait de s'incliner devant ces photographies de tueurs de l'OAS qui ont été jugés et fusillés dans le cadre des lois de la République."
Le conseiller municipal dénonce un discours "tourné vers les principes de l'OAS".
"Ça n'a pas été fait au petit bonheur la chance. Outre sa nostalgie de ce qu'a fait l'OAS en Algérie, on voit bien le côté électoraliste de la chose, vis-à-vis des nombreux rapatriés de Béziers."
Robert Ménard, lui, compte renouveler l'opération chaque année, et mettre "les drapeaux de la ville en berne le 19 mars", jour du cessez-le-feu de la guerre d'Algérie.
Laura Thouny - Le Nouvel Observateur
Courageux Robert Ménard ! Vrai Français, vrai patriote!
FDESOUCHE
Thomas Fabius a forcé un barrage de police et grillé un feu au volant de son Audi cabriolet. La brigade anticriminalité ainsi que des gardiens de la paix en tenue l’ont alors pris en chasse. Ils l’ont interpellé.
Thomas Fabius a obtempéré, tout en déclinant sa qualité de fils de…. ce qui lui a permis, malgré l’encerclement par les policiers, d’appeler son avocat.
Thomas Fabius a été emmené au commissariat du 7e puis a été interrogé sans avoir êté placé en garde à vue. Il est ressorti libre en fin d’après-midi.
Essayez de faire la même chose demain et si vous jouissez de la même bienveillance… vous recommencerez avec un sweat LMPT.
Michel Janva dans Le Salon Beige
via ALTERMEDIA
10 juillet 2014 par CharlotteO
Cela fait déjà de trop longues années que la justice française crache son injustice et sa partialité sur tout opposant un peu zelé au système politico-médiatique en place, mais le phénomène s’accélère et gagne en obscure clarté.
1500 euros d’amende requis contre les Femen pour avoir vandalisé Notre-Dame, peinturlurées de slogans haineux envers le Pape, l’Eglise et l’ensemble des catholiques. Cette modique somme ressemble fort à un encouragement à poursuivre cette lutte anti-chrétienne primaire, vulgaire et destructrice.
Les Femen sont pathétiques et leurs soutiens de moins en moins nombreux. C’est la Justice, et ce qu’elle incarne, qui est inquiétante.
Relaxe pour l’empoisonnement de sept patients, relaxe pour le viol collectif d’une handicapée, amende ridicule pour ces profanatrices multi-récidivistes… Pendant qu’un Hommen encoure 6 mois de prison ferme pour avoir déployé une banderole à Rolland-Garros, pendant qu’une mère de famille encoure 4 mois de ferme pour avoir « aimé » un photo-montage ridicule comparant Taubira à une guenon sur Facebook, que des jeunes sont mis en examen et placés sous contrôle judiciaire pour être montés sur le toit d’une mosquée en chantier ou pendant qu’Esteban croupit toujours en prison alors que tout prouve qu’il n’a fait que se défendre…
Les exemples sont légion et le message est clair : ce sont les résistants à ce gouvernement, et plus largement à l’idéologie largement partagée à « droite » comme à « gauche » qu’il sert, qui sont poursuivis et condamnés, eux seuls.
Contre-info.com
E&R