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  • Ce que l'on sait sur l'avion de la Malaysia Airlines abattu en Ukraine

    Le Vif.be

    Source: Belga
    vendredi 18 juillet 2014 à 07h19

    Un Boeing 777 de la Malaysia Airlines s'est écrasé jeudi en fin d'après-midi dans l'Est de l'Ukraine, près de la frontière russe. Il transportait 295 personnes et 15 membres d'équipage. Le vol MH17 au départ de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol assurait la liaison avec l'aéroport de Kuala Lumpur, en Malaisie. Que s’est-il passé ? Le point sur la situation.

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    © Reuters

    Par quoi a-t-il été abattu ?

    Pour l’instant rien n’a encore été officiellement confirmé, mais un consensus de plus en plus large semble affirmer que l’avion a bel et bien été abattu. Une piste renforcée par le fait que les différentes forces présentes en Ukraine se jettent la pierre et que l'équipage de l'avion n'a signalé "aucun problème" en survolant l'Ukraine.

    S’il est pratiquement certain que l’avion a été abattu reste la question de savoir par quoi et surtout par qui. Deux hypothèses sur ce qui aurait pu abattre l’avion. La première émise par des experts des services de renseignement américains évoque, le tir d'un missile sol-air précise l’Express. « Philippe Migault chercheur à l'IRIS, rapportait sur France Info que les rebelles prorusses se sont emparés récemment d'une batterie de missiles Buk de fabrication russe ». Une piste confirmée par un expert balistique contacté par L'Express «ce type de système dispose d'une portée verticale comprise entre 25 et 30 kilomètres selon les modèles. "Techniquement", une telle batterie pourrait donc suffire à abattre un avion en croisière à 10 000 mètres d'altitude. »

    La seconde hypothèse évoque la possibilité d'un missile tiré depuis un jet militaire. De nombreux rapports font d'ailleurs état d'échange de tirs entre avions russes et ukrainiens depuis le début du conflit dans la région.

    La question reste pour l’instant incertaine puisque les autorités de Kiev et les rebelles se rejettent mutuellement la pierre et qu’il n’existe encore aucune analyse matérielle qui permettrait d’en attribuer solidement la responsabilité. Les experts américains étudient pour l’instant leurs données pour savoir si l'engin a été tiré par les séparatistes prorusses, selon un responsable sous couvert de l'anonymat. Plus tôt jeudi, M. Obama avait appelé son homologue ukrainien Petro Porochenko, et les deux hommes avaient souligné que "toutes les preuves sur les lieux du crash" devaient rester en place jusqu'à ce que les enquêteurs internationaux "soient en mesure d'examiner tous les aspects de cette tragédie". Le Canada a pointé la responsabilité russe. "Nous ne savons pas encore qui est responsable de cette attaque, mais nous continuons de condamner les actes d'agression militaire perpétrés par la Russie ainsi que l'occupation illégale de l'Ukraine (...) à la source du conflit actuel dans la région", a déclaré le Premier ministre Stephen Harper dans un communiqué.

    Quant à la Russie, le président Vladimir Poutine a accusé jeudi l'Ukraine de "porter la responsabilité de la terrible tragédie. Il ne fait pas de doute que l'Etat sur le territoire duquel cela s'est passé porte la responsabilité de cette terrible tragédie", a déclaré le président russe, cité par l'agence de presse RIA Novosti. "Cette tragédie n'aurait pas eu lieu si la paix avait régné dans ce pays, si les opérations militaires n'avaient pas repris dans le sud-est de l'Ukraine", a poursuivi M. Poutine. Le président russe, qui s'exprimait tard jeudi soir à Moscou, a indiqué avoir demandé aux responsables militaires russes d'"apporter toute l'aide nécessaire pour faire la lumière sur cet acte criminel".

    Réunion d'urgence

    L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a convoqué vendredi ses experts pour une réunion d'urgence à Vienne, après le crash d'un Boeing 777 malaisien dans l'est de l'Ukraine, annonce l'agence de presse Itar-tass. "Une réunion extraordinaire est prévue pour 12h30 heure locale", selon l'OSCE.

    De son côté, le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra une réunion d'urgence vendredi à New York à partir de 16H00 (heure belge) à propos de l'avion de ligne malaisien qui s'est écrasé dans l'est de l'Ukraine, a annoncé jeudi la présidence rwandaise du Conseil. La réunion, qui devrait être publique, a été demandée par le Royaume-Uni, avaient indiqué auparavant des diplomates du Conseil.

    La deuxième boîte noire retrouvée (témoins)

    Les services de secours ont retrouvé la deuxième boîte noire de l'avion malaisien en provenance d'Amsterdam qui s'est écrasé jeudi dans l'est de l'Ukraine, indique l'agence Reuters sur base de témoignages de personnes présentes sur les lieux de l'accident. Une première boîte noire avait été retrouvée jeudi par des séparatistes prorusses . L'avion de la Malaysia Airlines, qui s'est écrasé jeudi dans l'est de l'Ukraine, était parfaitement en ordre. Il n'y avait jamais eu de problèmes techniques avec l'appareil, qui avait encore été inspecté le 11 juillet. C'est ce qu'écrit la compagnie aérienne vendredi sur son site internet. "Le prochain contrôle aurait dû avoir lieu le 27 août. L'avion a été construit en 1997 et a donc volé pendant 17 ans", annonce la Malaysia Airlines. L'avion a volé au total 75.322 heures depuis sa mise en service.

    Fermeture de l'espace aérien de l'Est de l'Ukraine jusqu'à nouvel ordre

    Les autorités ukrainiennes ont fermé toutes les routes aériennes survolant l'est du pays après le crash jeudi d'un avion de la Malaysian Airlines, a annoncé Eurocontrol. "Tous les plans de vol comportant ces routes sont maintenant rejetés par Eurocontrol", a indiqué le gestionnaire de l'espace aérien européen, qui précise que "ces routes resteront fermées jusqu'à nouvel ordre".

    Le Boeing a décollé jeudi d'Amsterdam à 13h30, heure de Kiev, ou 12h30, heure de Bruxelles. La communication a été coupée avec l'appareil à 16h, heure de Kiev, ou 15h, heure de Bruxelles. A cet instant, l'appareil survolait l'est de l'Ukraine à une altitude de 10.000 mètres, selon le site d'information russe indépendant Dojd.

    "C'est pas beau à voir"

    Un morceau de la queue de l'avion avec les couleurs de la Malaysia Airlines gît dans un champ de blé près d'une petite route de campagne. De l'autre côté, on a rassemblé des valises, des sacs et quelques autres effets personnels. "C'est pas beau à voir", avertit un milicien séparatiste prorusse. Dans le fossé, les armatures de deux sièges de l'avion. Deux torses y sont encore maintenus par des ceintures de sécurité. Partout dans les champs alentours, des dizaines de corps, souvent déchiquetés, des membres épars. En plein milieu de la petite route de campagne, un pied sectionné témoigne de la violence du choc.

    L'avion s'est désintégré et des débris ont même été retrouvés dans un village à dix kilomètres, expliquent des habitants. "Je m'étais assoupie, il devait être environ 16h00", dit Katia, 62 ans. "Il y a eu un énorme bruit, ça a secoué comme un tremblement de terre". Un réacteur, un train d'atterrissage et un gros morceau de fuselage sont tombés dans le champ juste en face de sa ferme. Ils brûlent encore par endroits dans une forte odeur de kérosène. "Je me suis cachée dans la cave avec mon bébé", dit Natalia, 36 ans. Son mari, Alexandre, 43 ans, montre la palissade en bois de la ferme, noircie par les flammes. "Les raisins de la treille ont aussi brûlé, on a eu beaucoup, beaucoup de chance", dit-il. Quand ils ont entendu une première explosion, l'avion était encore en l'air, mais déjà en train de se désintégrer. La guerre entre séparatistes et loyalistes n'avait pas touché leur hameau, mais, à l'occasion des combats des derniers jours dans des localités un peu à l'est, plus proches de la frontière russe, ils ont vu voler les avions de chasse ukrainiens.
    "Ces pauvres gens" soupire Natalia, "vous croyez qu'ils comprenaient quelque chose à cette guerre en Ukraine ? Déjà que nous, on n'y comprend rien". Les premiers secours sont arrivés une vingtaine de minutes après l'accident, mais sans espoir de retrouver des survivants.

    Deux lances à incendie s'étirent inutilement dans le champ, témoignant de l'impuissance des pompiers locaux face à l'ampleur de la catastrophe. "Les chefs doivent installer un QG et nous dire quoi faire, alors on le fera", soupire l'un d'eux. La nuit tombe. Pas de groupe électrogène. Pas d'éclairage. Les pompiers s'éclairent aux phares de leur camion. Partout dans les champs reposent encore les restes des victimes du vol de Malaysia Airlines. Oleg, un combattant séparatiste, explique avoir retrouvé 13 corps. "Je ne vois pas comment il pourrait y avoir des survivants, ils étaient en morceaux". "Comment l'avion est-il tombé, je ne le sais pas, mais nous sommes des combattants pas des terroristes dit-il, à propos des accusations de tirs de missiles. La zone du drame est située à quelque 25 km de la frontière russe à vol d'oiseau.

  • Roger Cukierman (président du CRIF) : Dimanche, « c’était un peu la Nuit de Cristal. On a échappé de peu à un véritable pogrom… »

     

    Selon Roger Cukierman, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France, dimanche à Paris, « c’était un peu la Nuit de Cristal. On a échappé de peu à un véritable pogrom… » Interrogé mercredi sur BFM TV, il dénonce un « climat d’oppression » à l’encontre des juifs dans notre pays, affirmant à tort que le slogan « mort aux juifs » a été scandé au micro d’une manifestation pro-Palestine le 13 juillet 2014. « On ne peut pas imaginer qu’autant de synagogues aient été attaquées, autant de lieux, et avec des battes de baseball, des barres de fer, avec des instruments qui étaient passibles de violences, on disait même que dans les sacs à dos, il y avait des pierres qui étaient destinées à être utilisées… », continue Roger Cukierman, manifestement très inquiet. « Aujourd’hui, on en est au meurtre (…), il s’agit de volonté meurtrière », affirme-t-il avant de préconiser des interdictions de manifestations et des arrestations de militants pro-Palestine. Pendant tout l’entretien, le président du CRIF fait mine de croire que les tensions intercommunautaires sont religieuses alors qu’elles découlent directement du conflit israélo-palestinien : « En l’occurrence, nous sommes les sentinelles de la République et ceux qui nous agressent sont des gens qui veulent s’opposer à tout ce qu’ils appellent des mécréants, c’est-à-dire qui ne partagent pas leurs conceptions religieuses. »

    NDF

  • Rencontre du Président du CRIF avec le Premier Ministre Manuel Valls

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    Le CRIF en action
    Publié le 17 Juillet 2014

     

     
     
     

    Roger Cukierman a été reçu ce 17 juillet 2014 par Manuel Valls. Le Premier Ministre comprend et partage l’émotion de la communauté juive devant les événements de dimanche touchant notamment plusieurs synagogues.

     

    Il a souligné sa volonté d’interdire les manifestations qui risquent de troubler l’ordre public tout en étant conscient du poids que cela représente pour les forces de sécurité et de la nécessité de respecter le droit à manifester. Il a confirmé sa volonté de lutter contre les menaces terroristes et d’essayer de maîtriser la dangerosité des réseaux sociaux sur internet au niveau européen. Roger Cukierman était accompagné de Robert Ejnes, Directeur exécutif du CRIF.

    CRIF
  • Le 17 juillet 1918, le tsar Nicolas II, sa famille et quatre fidèles sont assassinés.

     

    La famille impériale russe, le tsar Nicolas II, la tsarine Alexandra, les grandes-duchesses Olga, Tatiana, Maria et Anastasia, le tsarévitch Alexis et plusieurs domestiques demeurés à leur service, sont assassinés à Ekaterineburg.

    Bien que cela ne concerne pas l'histoire de France, cet assassinat a été commis en haine de la foi et de toute autorité. C'est dans le même esprit que la famille royale de France a été assassinée en 1793.

    Lois Spalwer

    Le Salon Beige

  • Taubira a la même adresse que Walwari… qui a fait condamner Anne-Sophie Leclere

     

    10h18

    Quand on va sur le bas du site de l’organisation créée par Christiane Taubira, on découvre l’adresse du mouvement politique de Cayenne Walwari.

    http://www.walwari.org/

    Enorme hasard, c’est la même adresse que celle de Christiane Taubira et de sa permanence parlementaire !

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    Riposte Laïque

     

    via FDESOUCHE

  • Violences : la barre du demi-million de faits par an est franchie

     

    19h44

    [Extrait d'un très long article paru sur le Figaro]

    Le Figaro révèle le contenu du tableau de bord confidentiel du ministre de l’Intérieur élaboré pour mieux piloter ses services.

    Un demi-million de faits de violence en un an en France. La barre historique est franchie. C’est que révèle le «tableau de bord» remis le mois dernier au ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. Ce document confidentiel de plus de 300 pages, dont Le Figaro a eu connaissance, est remis à jour mois après mois. Il a été élaboré sur les recommandations de son prédécesseur, Manuel Valls, pour suivre l’évolution des crimes et délits enregistrés par ses services et piloter l’activité opérationnelle de la police et de la gendarmerie. Pour la période du 1er juin 2013 au 31 mai 2014, sur douze mois glissants donc, les atteintes volontaires à l’intégrité physique se chiffrent très précisément à 504.081 infractions, contre 485.601 l’année précédente, soit une augmentation de 3,8%.

    Les informations accessibles à l’hôte de Beauvau comprennent également les violences contraventionnelles. Des faits qui relèvent du tribunal de police et non de la correctionnelle, puisqu’à la différence des violences délictuelles ils n’entraînent pas d’incapacité de travail de huit jours ou plus. Il peut s’agir de violences de rue, comme un vol un peu musclé de téléphone portable, de violences à l’école ou dans le cadre privé. Très révélateurs d’un certain climat social, ces événements parfois traumatisants sont passés en un an de 118.214 à 137.159, soit une hausse de 16%.

    FDESOUCHE

  • Signez la pétition pour Anne-Sophie Leclere

    http://www.france-petitions.com/petition/439/condamnation-d-anne-sophie-leclere-pour-un-nouveau-jugement-equitable-en-france-continentale/signatures

     

    Pétition signée!

  • Un ex-commandant de bord évoque les hypothèses sur l'origine du crash de l'avion malaisien


    Crash du Boeing de Malaysia en Ukraine : un... par BFMTV

  • EN DIRECT. Crash en Ukraine: l'avion malaisien abattu par un missile sol-air

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-boeing-de-malaysian-airlines-s-ecrase-en-ukraine-17-07-2014-4008263.php

    Mise à jour 23h31

    + VIDEOS

  • Réforme pénale : le laxisme d’Etat institutionnalisé

     

    Marine Le Pen - France 3

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Par le vote définitif ce jour de la nouvelle réforme pénale de Mme Taubira par le Parlement, le laxisme d’État, qui était jusqu’alors une pratique anormale et détestable de la Justice, devient une politique institutionnalisée et inscrite dans le code pénal.

    Mesure phare : la fin de la prison comme élément central des peines par l’instauration d’une « contrainte pénale », qui concernera dès 2015 tous les délits passibles de moins de 5 ans d’emprisonnement, puis à partir de 2017 l’ensemble des délits.

    C’est donc en situation de semi-liberté, hors les murs d’une prison, que l’immense majorité des condamnés de France exerceront tout ou partie de leurs peines.

    Jamais une telle réforme, qui bouleverse aussi profondément le rapport de la société à la Justice, n’a été avalisée par les Français ; jamais un tel mépris des victimes n’a été ainsi exprimé par un garde des Sceaux.

    Dans le même temps, pour le peu de détenus qui resteront en prison, on apprend avec stupéfaction que ces derniers seront autorisés à disposer de téléphones portables dans leurs cellules, au mépris de toutes les règles de bon sens et de sécurité. C’est en tout cas l’avis exprimé par la nouvelle contrôleuse générale des prisons, plus soucieuse elle aussi du confort personnel des détenus, que des risques évidents liés à l’utilisation de téléphones portables (trafics, organisations mafieuses, sécurité des gardiens, etc.)

    Face à une telle dérive des politiques pénales, déjà largement amorcée sous la présidence de Nicolas Sarkozy avec les lois Dati, le Front National rappelle son exigence d’une politique de tolérance zéro à l’égard des délinquants et criminels, l’expulsion dans leur pays des criminels étrangers, l’exécution stricte des peines et la construction pour ce faire de 40 000 places de prison supplémentaires, remettant ainsi notre pays dans la moyenne des autres pays développés.

  • Gaza: 4 enfants tués sur la plage sous les yeux des journalistes

    • Publié le : jeudi 17 juillet 2014
    • Source : lematin.ch

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    Des frappes israéliennes ont tué des enfants qui jouaient sur une plage de Gaza hier mercredi. L’armée a annoncé qu’elle allait enquêter sur cet « incident tragique ».

    Est-ce la bavure de trop ? Quatre enfants palestiniens ont été tués mercredi après-midi sur une plage de Gaza par des frappes israéliennes, sous les yeux de journalistes.

    Une première frappe touche peu après 16h00 (15h00 heure suisse) une cahute de pêcheurs sur la digue du port de pêche de Gaza. Un groupe d’enfants sort en courant. Une deuxième frappe atteint le groupe. Les gamins terrifiés, certains ensanglantés, remontent la plage en criant pour se réfugier dans un hôtel, à 200 mètres de là, où résident des journalistes.

    « J’ai mal, ma poitrine brûle, ma poitrine brûle »

    Quatre d’entre eux ont trouvé la mort et au moins cinq autres ont été blessés dans ces frappes, a indiqué le responsable des services des urgences à Gaza, Achraf al-Qoudra. Ahed Atef Baker, 10 ans, Zacharia Ahed Baker, 10 ans, Mohamed Ramez Baker, 9 ans, et Ismaïl Mohamed Baker, 11 ans. Tous cousins.

    À l’hôtel, une des victimes se tient le ventre en hurlant avant de s’écrouler et d’être transportée à la hâte par le personnel vers une ambulance. Au moins trois enfants qui s’y sont abrités sont blessés par des éclats, dont l’un à la tête.

    « J’ai mal, ma poitrine brûle, ma poitrine brûle », se lamente l’un d’eux. Une ambulance emporte aussi un homme dont la jambe a été arrachée. Quelques instants après les frappes, venues de la mer ou de l’air, une fumée noire s’élève de la cahute, couverte de paille, qui se consume.

    Toute la scène a été filmée par des journalistes de TF1. Voici leur reportage. Attention, ces images sont susceptibles de choquer.

    E&R

     

  • A Hong-Kong, les plus pauvres habitent sur les toits: bidonvilles en plein ciel...


    A Hong Kong, les plus pauvres habitent sur les... par 20Minutes

  • Perpignan: Lola a avoué n'avoir jamais été violée

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    Coup de théâtre dans l'affaire Lola. Cette jeune femme de 26 ans, qui affirmait avoir été la victime d'un en plein jour, près d'un boulevard très fréquenté de Perpignan (Pyrénées-Orientales), a finalement avoué avoir tout inventé.

     

     

      

    SUR LE MÊME SUJET

     Placée en garde à vue mardi soir, elle a été interrogée durant 24 heures - jusqu'à ce jeudi midi - par les enquêteurs du commissariat de Perpignan, interloqués par «des incohérences dans ses déclarations». C'est au sortir de cette garde à vue qu'elle aurait avoué son mensonge à son .

    La jeune femme «m'a dit qu'elle n'avait pas été violée»  a déclaré ce dernier, Me Etienne Nicolau à des journalistes.

    Théoriquement, la jeune femme s'expose à des poursuites pour dénonciation mensongère d'un ayant «exposé les autorités judiciaires à d'inutiles recherches», un délit passible de six mois d'emprisonnement et de 7.500 euros d'amende.

    Mais selon «l'Indépendant», le procureur de Perpignan lui a assuré qu'il ne la poursuivrait pas pour «dénonciation de crime imaginaire», l'expertise du psychiatre ayant conclu que son discernement était aboli au moment des faits. Elle devra en revanche répondr d'«outrage à personne dépositaire de l'autorité publique» pour avoir insulté un policier lors d'une précédente audition.

    Une affaire très médiatisée

    Lola avait appelé le commissariat peu avant 19 heures, le 25 juin, depuis la ruelle où ses agresseurs l'avaient attaquée, selon elle, à proximité du boulevard Kennedy, une artère d'un quartier de bureaux du sud de Perpignan. Selon ses déclarations, elle venait d'être violée par un homme sous la menace d'un couteau, tandis que le complice de son agresseur filmait la scène avec un téléphone portable.

    Une marche de soutien avait réuni 450 personnes à Perpignan le 6 juillet, avec en tête de cortège Lola et ses proches brandissant une banderole proclamant : «Je montre mon visage, montrez-nous le vôtre», à l'attention des agresseurs.

    L'affaire avait été très médiatisée, la jeune femme ayant elle-même lancé un appel à témoin, en pleurs, à la radio et organisé une conférence de presse, demandant qu'on arrête de passer les viols «dans les faits divers comme si ce n'était pas quelque chose de grave». «Je suis là aussi pour dire à mes agresseurs que je ne lâcherai pas et qu'on finira par les retrouver», avait-elle dit, filmée au côté de son compagnon.

    LeParisien.fr

  • EN DIRECT. Un Beoing de Malaysia Airlines s'écrase dans l'est de l'Ukraine: 295 morts

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-boeing-de-malaysian-airlines-s-ecrase-en-ukraine-17-07-2014-4008263.php

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  • 9 mois ferme pour une blague : comparatif

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    Revenons sur l’ahurissante condamnation qui a frappé une ex-candidate FN qui avait simplement repris (comme des milliers de gens) une image humoristique sur sa page facebook. C’est une étape grave dans la répression que la République totalitaire entend exercer contre les patriotes, sous couvert « d’antiracisme », qui n’est – rappelons-le – qu’un nom de code pour « racisme antiblanc ».
    D’ailleurs, on sait bien que si la condamnée n’avait pas été une Blanche raillant une Noire, le verdict aurait été très doux (ou il n’y aurait simplement pas eu de procès) : ce verdict de neuf mois ferme est donc lui-même raciste, anti-blanc.

    Rappelons aussi que, pour prendre neuf mois ferme, il faut habituellement :

    • forcer un barrage et blesser sept policiers (Ouest-France, 1er juillet 2014)
    • tabasser sa femme jusqu’à lui briser les côtes et agresser un unijambiste à l’aide d’une massue à pics (L’Observateur du Valenciennois, 9 mai 2011)
    • attaquer une famille et menacer de mort des policiers sous l’emprise d’alcool et de cannabis, en état de récidive (Ouest-France, 14 février 2013)
    • tirer des coups de feu sur quelqu’un (L’Observateur du Douaisis, le 29 octobre 2011)
    • être président local de SOS racisme, militant anti-violence, et défigurer sa compagne à coups de pied au visage, « avec acharnement », jusqu’à lui déchausser quatre dents, lui fracturer le nez, la couvrir de sang des pieds à la tête (la Voix du Nord, le 9 août 2012)
    • se livrer à une séance de torture raciste sur un étudiant blanc – agression, séquestration, vol :

    « Une nuit de cauchemar.
    Un homme a été condamné lundi par le tribunal de Lille, à 15 mois de prison dont 8 mois avec sursis, pour une agression et une séquestration sur un étudiant, pour le motif que celui-ci était blanc.

    Les faits, particulièrement violents, se sont déroulés dans la nuit du 13 juin, dans un appartement situé rue de la Clé, au cœur du quartier tranquille du Vieux-Lille, rapporte la Voix du Nord.

    Après s’être fait voler sa carte bancaire et son code chez lui, la victime a vu revenir ses deux agresseurs, une heure plus tard, furieux de ne pas avoir pu retirer suffisamment d’argent liquide.

    Commence alors une véritable séance de torture. Les deux hommes de couleur noire le frappe à plusieurs reprises, le force à avaler des médicaments et le recouvre de liquide de nettoyage en criant : « Les blancs, ça pue. » Son appartement est mis à sac et des inscriptions racistes sont taguées à la bombe: « Nike les blancs, Black Power revient. »

    Au cours d’une patrouille policière juste après les faits et auquel participe la victime, un mineur de 15 ans est interpellé au parc Matisse de Lille. Son complice, âgé de 20 ans, déjà condamné pour l’agression d’une jeune femme le 3 juin dernier, est ensuite arrêté dans la foulée.

    Malgré les aveux du mineur qui a avoué « qu’ils avaient envie de dépouiller un blanc », les magistrats n’ont néanmoins pas choisi de qualifier les faits avec la circonstance aggravante de l’acte raciste.

     

    SOS Racisme Nord a réagi après cette condamnation. « Nous condamnons fermement les faits qui ont été commis et nous apportons tout notre soutien à la victime, indique à metronews Houmria Berrada, présidente de SOS Racisme Nord. Mais la sentence est sévère par rapport à d’autres types d’agressions racistes. Le juge a voulu faire un exemple. Nous demandons le même type de sévérité pour les agressions dans l’autre sens. » [infiniment moins nombreuses que les agressions anti-blanches - NDCI] »  (source)

    Contre-info.com

  • C'était un 17 juillet: mort d'Henri Poincaré, un génie français


    Henri Poincare VS Albert Einstein par Dean Mamas par Super_Resistence

    Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
    On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
    Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

    Ci-dessus vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste.

    Contre-info.com

  • Valérie Trierweiler : une pseudo “première dame” qui a coûté cher à l’Etat (Présent n°8146)

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    16/07/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Mardi (15/7), la Cour des comptes a rendu public son rapport sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République – frais personnels, déplacements… – durant l’année 2013. Dans ce rapport figurent les dépenses réalisées par l’Etat et notamment celles liées à l’ex-pseudo première dame du président de la République, Valérie Trierweiler (photo).

    Ainsi, d’après les calculs de la Cour des comptes, il apparaît que l’ancienne compagne de François Hollande aurait coûté la modique somme de plus ou moins 480.000 euros à l’Etat. Oups !

    La note est plutôt salée. Il faut dire qu’une maîtresse à la maison, ça coûte bonbon à entretenir. Mais c’est nous qu’on est les princes et on fait ce qu’on veut avec l’argent des autres. En l’occurrence celui des contribuables français. Reste que ça fait chérot la présence, la touche féminine au bras de Monsieur « Moi président, un homme comme tout le monde ».

    Un train de vie d’émir du pétrole

    Une du n° 8146 de "Présent"

    Une du n° 8146 de “Présent”

    Pour être à la hauteur et donner une belle image de marque à son mollusque président aux rondeurs confortables, l’ex-pseudo première dame avait à son service cinq personnes, cinq collaborateurs, dont la rémunération brute annuelle s’élevait au total à 396.000 euros. Par ailleurs, « quatre officiers du groupement de sécurité de la présidence de la République étaient prioritairement affectés à sa sécurité ».

     

    Reine de la ruche, Valérie Trierweiler avait à disposition « le rez-de-chaussée de l’Hôtel d’Evreux : six bureaux et un salon (celui dit des Fougères) ».

    Quant aux déplacements de la dame, également pris en charge par l’Etat, ils s’élèveraient à 85.000 euros. Tout ça dans le cadre « d’activités de représentation et de soutien à des opérations à caractère humanitaire ». De quoi reprendre tous en chœur la chanson de Jacques Brel : Madame promène son c… aux frais de la princesse. Il est vrai que devant un pot de confiture grand ouvert en permanence on n’hésite pas à mettre le doigt dedans sans aucun remords. Faire valser l’argent public mis à disposition, c’est un peu la même chose.

     

    Trierweiler vs Bruni

    Comparant les frais des “moitiés” des présidents Sarkozy et Hollande, les sages de la rue Cambon avaient évoqué en 2013 le coût d’un site internet, financé par l’Elysée, réservé à l’épouse de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni, d’un montant de 330.000 euros en 2011 et 80.000 euros en 2012. Du côté des collaborateurs attachés à celle-ci, on en comptait huit pour une rémunération nette totale de 36.448 euros par mois.

    Valérie Trierweiler moins coûteuse que Carla Bruni ? Certes. Sauf que Carla Bruni était (et est) l’épouse légitime de Nicolas Sarkozy et donc une officielle première dame, restée aux côtés de son mari tout le temps de son mandat.

    Que sont devenus les personnels au service de Valérie Trierweiler ? En février dernier, à la suite de la liaison dévoilée du « scooterman » de l’Elysée avec l’actrice Julie Gayet, révélation suivie de la séparation de Valérie Trierweiler de François Hollande, les postes des agents ont été supprimés. Toutefois, pas de pointage à Pôle Emploi pour ces derniers. La Cour des comptes précise en effet que « ces personnels ont été affectés sur des postes vacants au sein de la présidence ou remis à la disposition de leur administration d’origine ».

    Pierre Malpouge

    Crédit photo Une : Cyclotron via Wikipédia (cc).

     

  • A Cayenne, un guet-apens judiciaire

    16 juillet 2014   Karine Legentil                               

    Front National flammeCommuniqué du Front National

    Le « mouvement Walwari » (association indépendantiste créée en Guyane par Christiane Taubira) a cru pouvoir citer devant le tribunal correctionnel de Cayenne Mme Anne-Sophie Leclère pour le délit d’injure envers la même Mme Taubira après que Mme Leclère l’eut caricaturée sur Facebook. Cette association a cru aussi pouvoir citer pour la même infraction le Front National.

    Le Front National a demandé au premier président de la cour d’appel de Cayenne la récusation de M. Stéphane Rémy, le président du tribunal correctionnel, au motif de son appartenance au syndicat de la magistrature. Le premier président a rejeté cette demande sans même faire mention de l’argument soulevé par le FN tenant à l’existence du « mur des cons » et au fait que la présidente du SM est mise en examen pour injure envers le Front National.

    Le Front National a ensuite tenté de trouver à Cayenne un avocat susceptible de le défendre. Il n’y est pas parvenu (Mme Leclère, compte tenu de son très petit niveau de vie, ne s’y est même pas essayée…). On mesure déjà l’iniquité de ce procès qui oblige ces deux défendeurs à comparaître à des milliers de kilomètres.

    C’est dans ces conditions de chausse-trape que s’est déroulé ce procès et que des condamnations révoltantes viennent d’être prononcées : 9 mois de prison ferme contre Mme Leclère, 30.000 euros d’amende contre le Front National et 50.000 euros de dommages et intérêts au profit du « mouvement Walwari ». Il doit s’agir des condamnations les plus importantes prononcées depuis longtemps en matière de droit de la liberté d’expression.

    Évidemment, le Front National interjette appel de cette décision (devant la cour d’appel de Cayenne). Le Front National fera valoir que le droit français a expressément exclu la responsabilité pénale d’une personne morale pour les délits relatifs à la liberté d’expression. Le procureur de Cayenne avait relevé cette impossibilité de déclarer coupable le Front National du délit d’injure. Tout ceci n’a pas arrêté, à l’évidence, les juges du tribunal de Cayenne. Le Front National fera aussi valoir qu’il n’a pas injurié Mme Taubira, qu’il n’a donné aucun moyen à Mme Leclère de le faire, qu’il a d’ailleurs exclu définitivement cette Mme Leclère.

    Clairement, au tribunal de Cayenne, les règles ne sont pas appliquées, il faut dénoncer avec vigueur ces violations incroyables de notre état de droit.

  • Florian Philippot sur BFM TV et RMC - 16 07 14

    Apolline de Malherbe recevait Florian Philippot, vice-président du Front National et député européen, sur BFM-TV et RMC.