Florian Philippot (FN) : « Manuel Valls est... par Lopinionfr
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Un tweet de Jean-Marie Le Pen
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Afrique du Sud : 3389 blancs doivent prendre la porte de la compagnie d’électricité
10/03/2015-Johannesburg (NOVOpress)
Eskom, première compagnie sud-africaine d’électricité et dixième fournisseur au monde a reçu un ultimatum pour réduire son nombre d’employés blancs de 44,3 % au cours des cinq prochaines années. Cela signifie que 3 389 blancs devront prendre la porte. Cette demande fait partie du programme fédéral « Black Empowerment ».
Pendant des années Eskom a été poussée à n’engager que des non-blancs. La firme déclare d’ailleurs que c’est un souci majeur que de trouver des candidats non blancs assez qualifiés. Actuellement les cadres intermédiaires chez Eskom sont à 30 % blancs et à 21% pour sa main-d’œuvre qualifiée.
Parmi les 3 389 employés qualifiés de race blanche dont va se séparer Eskom, 1 081 sont des ingénieurs et des administratifs, afin d’améliorer sa politique de discrimination positive vers les hauts postes.
Ces détails proviennent du syndicat Solidarity – principale représentation des salariés en Afrique du Sud – qui précise que service public d’électricité reflétera alors la démographie nationale au 31 mars 2020.
“Selon ces objectifs, il y a environ 3 400, soit 44 %, d’employés de race blanche en trop chez Eskom. Les niveaux d’emploi qui seront les plus durement touchés sont ceux de spécialistes expérimentés et de cadres intermédiaires. Les syndicats doivent maintenant être consultés sur les nouveaux plans d’Eskom,” a ajouté Dirk Hermann le directeur général de Solidarity.
“Nous sommes complètement abasourdis par ces nouvelles demandes. Eskom connaît actuellement une crise et nous, ainsi que d’autres syndicats, devons maintenant travailler avec eux sur ces mesures très agressives. On devait plutôt parler avec eux sur des solutions à trouver pour faire face à la crise actuelle. »
Solidarity a déclaré que les postes visés sont d’une importance cruciale pour Eskom qui doit déjà faire face à des plans sociaux en série.
« Sur les 3 400 blancs environ qui doivent partie, 3 200 occupent des postes critiques aux niveaux techniques et managériaux, » précise Hermann.
Eskom étalera son objectif de 2020 sur cinq ans, selon des objectifs annuels par type de d’emploi, ajoute Solidarity.
Citant la documentation d’Eskom, le syndicat a déclaré que la démographie provinciale pourrait également rentrer en compte lors de la détermination des postes.
“Dans le cas d’Eskom cela peut aggraver la perte de compétences techniques. La majorité des centrales électriques du groupe est située dans le Mpumalanga. Dans cette province les Africains noirs constituent 90,8 % de la population totale,” dit-il.
En supposant que 1 000 personnes travaillant dans une centrale électrique, cela signifierait que seuls d’entre eux 92 peuvent être Blancs ou Indiens.
Dans le Limpopo, où se trouvent de nouvelles centrales telles que celle de Medupi, 95,4 % des habitants sont des noirs africains. Dans ce cas seulement 46 employés pourraient être blancs ou Indiens par tranche de 1 000 salariés.
« La priorité absolue d’Eskom est que les lumières s’allument, » a déclaré le parti de la DA (Democratic Alliance – parti anti apartheid) dans un communiqué ce dimanche (9 mars).
« Jouer la carte de la victimisation raciale ne servira à rien pour justifier des dysfonctionnements qui au final, pénaliseront les sud-africains pauvres et pour la plupart noirs. Les plans sociaux sont désormais une réalité quotidienne et touchent durement les plus défavorisés et la DA demande à Eskom d’utiliser les compétences de tous ses ingénieurs pour trouver une solution aux difficultés actuelles au lieu d’aggraver le problème. “
Le parti politique a cependant noté que l’Afrique du sud est confrontée à une grave pénurie d’ingénieurs. Le ministre des Sciences technologiques, Naledi Pandor, a récemment déclaré que malgré le nombre élevé d’étudiants inscrits chaque année en ingénierie, l’Afrique du Sud ne produit environ que 1 500 ingénieurs diplômés par an – dont seulement la moitié va travailler sur le terrain.
Le ministre a ajouté que la pénurie de professionnels en ingénierie signifie que nous n’avons pas assez de professionnels disponibles pour les travaux en cours. Et cela ne tient pas compte des dernières instructions de ce gouvernement décidément très populiste.
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VIDEO - Bruno Gollnisch contre la meute anticomplotiste
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Bruno-Gollnisch-contre-la-meute-anticomplotiste-31567.html
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Chômage: "Il serait peut-être temps de copier les Américains" (Marc Fiorentino)
Ajoutée le 9 mars 2015Marc Fiorentino s'est penché sur la baisse spectaculaire du chômage aux États-Unis. Selon lui, aux États-Unis, en Allemagne, on se rapproche de plus en plus du plein-emploi, tandis qu'en France, le chômage atteint des records, mais personne ne réagit. De ce fait, il serait peut-être temps de copier les Américains, ou au moins les Allemands. - Good Morning Business, du 9 mars, sur BFM Business
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VIDEO Marion dénonce le "florilège de crapules UMP" dans l'Essonne et parle de l'enquête envisagée par Martin Schulz
Marion Maréchal-Le Pen dénonce le "florilège... par FranceInfo -
Soupçons de fraude inédits contre le FN au Parlement européen
Reuters –
STRASBOURG (Reuters) – Les soupçons de fraude relative aux conditions d’emploi de vingt assistants parlementaires du Front national au Parlement européen constituent une première, à cette échelle, dans l’histoire de l’institution.
Le parti d’extrême droite y voit pour sa part un coup de pouce de l’Allemand Martin Schulz, président social-démocrate du Parlement de Strasbourg, au gouvernement français, à moins de deux semaines des élections départementales.
« C’est la première fois qu’on est confronté à des cas de fraudes supposées dans de telles proportions. Il y a eu des précédents, mais ça concernait des députés à titre individuel, a dit mardi à Reuters Jaume Duch, porte-parole de l’institution.
Martin Schulz a saisi lundi l’Olaf, l’Office européen de lutte antifraude, du cas de ces vingt assistants parlementaires qui travailleraient essentiellement pour le parti de Marine Le Pen et non pour ses 23 eurodéputés.
L’Olaf devra évaluer le bien-fondé de la dénonciation, dans un délai de un à deux mois. Si elle décide alors de lancer une enquête, celle-ci pourrait prendre un à deux ans, selon les statistiques de l’institution.
Les députés européens peuvent recruter un ou plusieurs assistants parlementaires jusqu’à concurrence d’une somme mensuelle de 21.379 euros. Certains sont dits « accrédités » s’ils secondent le député au sein des institutions européennes, les autres, chargés d’animer la permanence parlementaire, sont qualifiés de « locaux ».
Les accusations du Parlement se fondent sur la consultation de l’organigramme de la direction du Front national, publié en février, où apparaissent vingt assistants, quatre accrédités et seize locaux, selon un communiqué.
Parmi les locaux, « dix ont conclu un contrat de travail qui indique comme adresse d’exécution l’adresse du siège du Front national à Nanterre », précise le Parlement.
PEUT-ÊTRE 7,5 MILLIONS D’EUROS DE PRÉJUDICE
Comme le révélait Le Monde, lundi soir sur internet, le préjudice pour le budget communautaire pourrait atteindre 7,5 millions d’euros si la fraude était avérée, soit le montant des salaires litigieux durant cinq années de mandat parlementaire.
« Nos assistants sont très souvent des gens qui militent pour leur parti et pour ses idées, ce qui est encore autorisé en euro-dictature », a justifié à Reuters Florian Philippot, député européen et vice-président du parti.
Il a précisé que certains travaillaient seulement à mi-temps au sein du parti.
« M. Schulz (…) a appliqué à la lettre les ordres de M. (Manuel) Valls qui hier expliquait qu’il fallait que les élites se mobilisent contre le Front national », a pour sa part réagi Marion Maréchal-Le Pen sur France Info.
« C’est de l’acharnement politique, évidemment, en période électorale », a-t-elle estimé, alors que des sondages placent le parti de Marine Le Pen en tête des intentions de vote pour le premier tour des départementales, le 22 mars.
Le Parlement européen brandit de son côté les mesures d’application du statut des eurodéputés qui prévoient que « seuls peuvent être pris en charge (par le budget européen) les frais correspondant à l’assistance nécessaire et directement liée à l’exercice du mandat parlementaire des députés ».
Les salaires versés aux assistants par le Parlement « ne peuvent servir directement ou indirectement à financer des contrats établis avec des groupes politiques du Parlement ou des partis politiques », précise ce règlement.
Le statut des assistants a fait l’objet de plusieurs réformes visant à moraliser un domaine longtemps marqué par l’opacité et l’emploi de membres de la famille de l’eurodéputé.
Il a fallu attendre 2001 pour que les parlementaires soient tenus de produire un contrat de travail et le justificatif de paiement des charges sociales pour bénéficier des indemnités.
Depuis 2009, les assistants sont rémunérés directement par le Parlement et assimilés à une catégorie particulière de fonctionnaires.
(Gilbert Reilhac avec Sophie Louet à Paris, édité par Yves Clarisse)
BOULEVARD VOLTAIRE
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Marion Maréchal-Le Pen pointe "un florilège de crapules UMP" dans l'Essonne
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Israël : un archéologue dit avoir découvert la maison de Jésus
Europe 1Publié à 22h48, le 08 mars 2015, Modifié à 17h46, le 09 mars 2015
Dossiers :
ARCHÉOLOGIE - Un archéologue britannique avance avoir retrouvé la maison où a grandi Jésus à Nazareth, en Israël. (en Palestine)
Une découverte tellement incroyable qu'on peine à y croire. Et pourtant. Ken Dark, archéologue britannique de la Reading University, pense avoir mis la main sur les ruines de la maison de Jésus. C'est ce que nous enseigne son compte-rendu de fouille, publié en mars dans la revue Biblical Archaelogical Review et rapporté par le Huff Post américain. Selon le Nouveau Testament, Jésus, né à Béthléem, a passé son enfance à Nazareth, en Galilée, au nord d'Israël.
De nombreux objets retrouvés. Débutées en 2006, les recherches menées par le Britannique ont révélé une maison creusée dans du calcaire, à flanc de colline. Les scientifiques ont découvert une avant-cour, une série de pièces et d'escaliers ainsi qu'un sol en partie dans sa forme originale. Une des portes d'entrée a même été retrouvée intacte. De nombreux objets ont également été dégagés dont un pot de cuisine. Deux tombes de l'époque encadrent enfin le site.
S'il n'est révélé qu'aujourd'hui, le site était connu depuis le 19e siècle, quand des nonnes l'avaient découvert sous une église, dans leur couvent de Nazareth. Mais ce n'est qu'avec le lancement de la mission britannique que des fouilles plus approfondies ont pu être menées.
Un faisceau d'indices troublants. Ken Dark avance qu'il ne peut pas formellement prouver que Jésus a grandi dans cette maison. "Il est toujours très difficile de relier des preuves archéologiques à des personnes spécifiques", explique-t-il. Cependant, un faisceau d'indices lui permet de supposer fortement que les pierres dégagées ont vu évoluer le Messie des chrétiens, ainsi que ses parents, Joseph et Marie.
Premier indice, Ken Dark a découvert qu'une partie des ruines de la maison ont été réutilisées pour être incorporées, durant le Moyen-Âge, dans des constructions d'églises. Ce qui voulait dire, selon l'archéologue, que cette maison avait une valeur particulière aux yeux des religieux de l'époque. "De grands efforts ont été faits pour inclure les vestiges de ce bâtiment. À la fois les tombes et la maison ont été décorées de mosaïques à l’époque byzantine, ce qui laisse penser qu’elles étaient d’une importance spéciale, et peut-être vénérées ", précise l'archéologue dans la revue Biblical Archaeological Review.
Deuxième indice, Ken Dark se base, pour appuyer son hypothèse, sur un texte datant du 7e siècle. Le livre Au sujet des lieux saints, écrit en 670, raconte le voyage en Palestine d'un moine franc. La maison de Jésus à Nazareth y est décrite : située entre deux tombes et sous une église. Ce qui concorde avec le résultat des fouilles archéologiques. Enfin, des méthodes archéologiques classique ont permis au chercheur de dater la maison au 1er siècle après le début de l'ère chrétienne.
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Mantes-la-Ville (78) Le maire FN retire à la LDH son local municipal - Une adhérente de la LDH "dérape" gravement
http://www.fdesouche.com/573355-mantes-la-ville-78-la-mairie-fn-retire-la-ldh-son-local-municipal
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Gueule de haine
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[Tribune libre] Ukraine : Les Etats-Unis veulent la guerre… sur le sol européen
par
vendredi 6 mars 2015On ne devrait plus se bercer d’illusions sur les intentions des dirigeants américains : ils veulent la guerre. Une guerre qui doit se dérouler sur le Vieux Continent et qui doit entraîner le plus d’Européens possible dans une confrontation militaire avec la Russie. Les Ukrainiens, sauf un grand sursaut des masses populaires, devraient se résigner à voir leur pays servir durablement de champ de bataille à ce conflit des grandes puissances dont les enjeux leur échappent, depuis qu’ils ont perdu le contrôle des manifestations « Place Maïdan », un soir de février 2014.
Soldats américains en Lithuanie
De l’EuroMaïdan à l’escalade militaire
En tout cas, les derniers développements aux Etats-Unis ne sont guère rassurants. Un an après les manifestations de l’EuroMaïdan, odieusement dévoyées par « des atlantistes », les États-Unis ont officialisé la décision d’envoyer en Ukraine quelques 600 parachutistes appartenant à la 173ème brigade aéroportée. L’annonce a été faite lundi dernier par le colonel Michael Foster, commandant de la brigade, et confirmée par Ben Hodges, haut commandant des forces américaines en Europe. Les premières unités combattantes de la brigade devraient se poser en Ukraine d’ici le 8 mars. Officiellement, pas pour combattre, mais pour former les troupes ukrainiennes (en débâcle dans le Donbass) au maniement des armes américaines en voie d’expédition[1].
Au sujet, justement, de l’expédition des armes américaines à Kiev, on sait qu’elle entraînerait réciproquement l’accroissement des moyens militaires des républiques autonomes de l’Est (Donetsk et Lougansk) par Moscou. Parce que, pour la Russie, il est hors de question que les forces des pays de l’OTAN se déploient jusque sur les frontières russo-ukrainiennes, et ils n’ont pas tort. Les Russes n’ont jamais digéré d’avoir été bernés par les Occidentaux en marge de la réunification allemande[2]. C’est pour essayer de contrer ce risque d’escalade militaire que la France et l’Allemagne ont décidé, début février dernier, d’entrer directement en contact avec Vladimir Poutine, sans consulter Washington. Il s’agissait de rassurer le chef du Kremlin sur le fait que Français et Allemands s’opposeront à l’envoi en Ukraine des armes américaines[3]. Le président russe s’est montré ouvert aux propositions franco-allemandes, et accepté les Accords de Minsk II[4] du 11 février 2015. Le hic avec Minsk II est qu’il y avait deux grands absents : les Britanniques et les Américains. N’étant pas liés par ces accords, ils vont continuer d’attiser le conflit.
Il faut vous entretuer pour l’Amérique
Dix jours seulement après la signature des Accords de Minsk, David Cameron annonçait l’envoi de soldats britanniques en Ukraine. Une semaine plus tard, John Sawers, l’ancien patron du MI16, (sorte de CIA britannique) affirmait que « la guerre contre la Russie ne fait que commencer »[5]. Avec l’envoi des unités de combat en Ukraine par les USA, les Britanniques sont ainsi rejoints par leurs cousins américains qui tiennent à ce que la situation continue de se dégrader et qu’elle finisse par dégénérer. Bien évidemment, les armées américaines et britanniques ne vont pas s’engager en première ligne contre l’armée russe. Ce déploiement atlantiste vise plutôt à entretenir durablement un climat de haine entre populations, un environnement de violence permanente et de désolation.
Une des stratégies utilisées par les fauteurs de troubles états-uniens contre les pays qu’ils ciblent consiste à frapper directement les populations soit par des violences aveugles, soit pas des embargos, soit par des humiliations en mettant systématiquement ces drames collectifs sur le dos de l’« ennemi » qu’ils se sont choisis. Il ne faudrait pas s’étonner si les populations russes/russophones des pays frontaliers deviennent la cible des tueries aveugles et des famines provoquées volontairement, ce qui les amènera à demander de plus en plus l’aide de Moscou. Une aide que Poutine ne pourra pas durablement leur refuser, au risque de se mettre à dos les Russes de l’intérieur[6]. Sauf qu’en intervenant davantage en Ukraine ou, le moment venu, dans les pays baltes, le président russe deviendrait un « agresseur ». Exactement l’image que les médias occidentaux et les dirigeants d’outre-Atlantique s’emploient à lui coller à la peau. Dès lors, des forces européennes, plus ou moins officiellement, chemineraient vers les « pays agressés » par la Russie. Le début d’un engrenage meurtrier au cœur de l’Europe.
Face à ces agissements américains, on est tenté de dire : ils sont fous ces Américains ! Pas du tout. En réalité, les Etats-Unis, une puissance à bout de souffle, misent sur le conflit ukrainien pour entraîner le plus d’Européens possible dans une confrontation militaire avec la Russie[7]. Le pari est que, sauf usage d’armes stratégiques (scénario suicidaire), le sol américain devrait être préservé des ravages de cette guerre qui commence. Lorsque tout cela sera fini, Européens et Russes, quel que soit le camp qui l’aura emporté sur l’autre, seront ruinés économiquement, voire exsangues. Comme à l’issue de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, il ne restera qu’une puissance d’ultime recours : les Etats-Unis d’Amérique.
Des milliards de dollars de contrats de reconstruction, une remise sous tutelle des nations européennes et la préservation, par l’Amérique, de son statut de « superpuissance planétaire ».
Boniface MUSAVULI
AGORA VOX
(merci à Dirk)
[2] Le 9 février 1990, James Baker, secrétaire d'Etat américain (de George Bush), avait assuré à Mikhaïl Gorbatchev que l'alliance occidentale n'étendrait "pas d'un pouce" son influence vers l'Est si Moscou acceptait que l'Allemagne réunifiée entre dans l'Otan. Le lendemain, 10 février, Hans-Dietrich Genscher, le ministre allemand des Affaires étrangères, refit cette promesse à Edouard Chevardnadze, son homologue russe : « l'Otan ne s'étendra pas à l'Est ». Mais depuis, la Pologne, la République Tchèque, la Hongrie, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie, la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie ont adhéré à l'Otan. Avec les événements de l’EuroMaïdan, l’enjeu était, entre autres, de faire également entrer l’Ukraine dans l’Otan. Cf. http://www.courrierinternational.co...
[3] C’est en tout cas ce qu’assure le journaliste italien Giulietto Chiesa : https://www.youtube.com/watch?v=1w6...
[7] Provoquer un conflit brutal entre Européens et Russes permet aux Américains de se prémunir contre une éventuelle alliance stratégique entre Européens et Russes, alliance qui entraînerait de fait la fin de l’hégémonie américaine. Dans Le Grand échiquier de Zbigniew Brzezinski (1997), où il est question, entre autres, de « briser la Russie » en trois entités (une Russie européenne, une république de Sibérie et une république extrême-orientale), il est également question de cultiver la docilité des « sujets protégés » et d’empêcher les rivaux potentiels de former des alliances offensives. Un rapprochement stratégique entre la Russie et les nations européennes (sujets protégés) est ainsi un scénario que les tenants de l’hégémonie états-unienne n’admettraient en aucune manière.
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Dernière "trouvaille" contre le FN? Le Parlement européen enquête sur 20 assistants parlementaires pour fraude et emplois fictifs
6Medias 09-03-2015 - 21:45
Les instances de l'institution ont saisi l'Office européen de lutte anti-fraude. Elles soupçonnent 20 assistants parlementaires siglés Front national de ne pas travailler pour le Parlement. Le FN dénonce une démarche dictée par Manuel Valls.
Le Front national doit faire face à une nouvelle procédure compromettante. C'est ce que révèle Le Monde, ce lundi 9 mars : les instances du Parlement européen ont saisi l'Office européen de lutte anti-fraude à propos de 20 assistants parlementaires rattachés aux 24 députés européens du parti frontiste. La formation politique dirigée par Marine Le Pen doit déjà faire face à une enquête judiciaire à Paris pour blanchiment en bande organisée.
Le Monde apporte des détails sur les postes occupés par certains assistants : cinq sont conseillers spéciaux de Marine Le Pen et trois oeuvrent aux côtés du président d'honneur frontiste, Jean-Marie Le Pen. Seulement voilà : ces assistants sont fortement suspectés de ne jamais travailler sur le front européen. Or, tous sont rétribués par le Parlement. Selon Le Monde, l'un d'eux reçoit mensuellement 10 535 euros.
Un préjudice de plus de 7,5 millions d'euros ?
Ces pratiques allant à l'encontre de la morale et du règlement intérieur interne du Parlement européen, le président de l'institution, Martin Schulz, a saisi les organes d'enquête sur cette possible fraude. Le préjudice se chiffrerait au-delà de 7,5 millions d'euros. Le dirigeant social-démocrate allemand a par ailleurs adressé un courrier à la ministre de la Justice française, Christiane Taubira, pour l'avertir de son initiative. Selon les éléments qui seront révélés ou non par l'enquête, le parquet national financier pourrait se saisir du dossier.
La présidente du FN n'a pas tardé à réagir. Sur Twitter, elle accuse le Premier ministre Manuel Valls : "Manuel Valls mobilise ses amis socialistes contre le FN : le président du Parlement européen sort la grosse caisse. Une plainte sera déposée contre lui pour dénonciation calomnieuse". Le vice-président du parti, Florian Philippot, renchérit sur le réseau social : "Dernière trouvaille de Valls l'enragé : aller chercher papa Schultz (sic) et monter une affaire bidon ! (...) Conseil de communication à papa Schultz (sic) : la prochaine fois, attendez un peu plus de 24 heures après les envolées délirantes de Valls contre le FN".
Nicolas Bamba - 6Medias -
Frédéric Mitterrand rêve de s’accoupler avec El Blanco !
- Publié le : lundi 9 mars 2015
- Mots-clés : Manuel Valls; Politique; UMPS
- Commentaires : 23
- Source : E&R
À quelques jours d’une déculottée électorale, Manuel Valls multiplie les déclarations extravagantes et les déplacements dans l’Hexagone.
L’agitation du ténébreux catalan n’a pas manqué d’attirer l’attention de Frédéric Mitterrand, qui a profité de son passage sur le plateau de Salut les Terriens, l’émission d’Ardisson sur Canal +, pour avouer son attirance sexuelle pour le Premier ministre :
« Je l’adore, je le trouve très mignon. J’ai même fait des rêves érotiques avec Valls ! »
Des propos qui ont fait saliver Ardisson, imaginant déjà des ébats tauromachiques entre l’ex-ministre de la Culture de Sarkozy et l’ancien maire d’Évry :
« Vous aviez la muleta et il faisait le petit taureau ? »
« Ça ne se passait pas dans l’arène, ça se passait dans un lit directement. C’était vachement bien ! » a répondu le neveu de l’ancien Président de la république qui déjà, en 2013, avait avoué avoir un faible pour François Fillon et Laurent Wauquiez...
Après le tourisme sexuel en Thaïlande et l’Indonésie, il semble que l’auteur de La Mauvaise Vie, ait décidé de relocaliser ses partenaires sexuels.
Une bonne nouvelle pour le Premier ministre, qui, au fond du trou après la future débandade des Départementales, pourra se consoler dans les bras du franco-tunisien [1] Mitterrand.
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AUDIO - Florian Philippot sur RTL 9 mars 2015
http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-rtl-26/
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Les députés FN se mobilisent contre le RSI
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RSI: la spoliation organisée des artisans et petits commerçants
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Marine Le Pen invitée du Bureau Politique: son entretien en intégralité
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L’Histoire inacceptable : Le premier propriétaire esclavagiste américain était noir
8 mars 2015 par admin4 - Contre-info.com
« Avant 1655 il n’y avait aucun esclave légal dans les colonies américaines britanniques qui deviendront les Etats-Unis, seulement un contrat bilatéral appelé « indenture » pour des serviteurs qui proposaient leur service en échange d’une aide matérielle. Concrètement des noirs acceptaient de partir dans ces colonies britanniques et de travailler pendant un certain nombre d’années pour rembourser leur voyage et leur entretien. Avec cette pratique tous les maîtres étaient tenus de libérer leurs serviteurs après un certain temps. La durée limite de ces contrats était de sept ans. À leur départ on leur accordait 50 acres de terre (environ 20 hectares). Cela était valable pour n’importe quel Africain acheté à des marchands d’esclaves. Eux aussi avaient droit à leurs 50 acres à l’expiration de leur contrat.
Anthony Johnson était un africain venu de l’actuelle Angola. Il avait été amené aux Etats Unis
pour travailler dans une ferme de tabac en 1619. En 1622 il failli mourir quand des Indiens Powhatan attaquèrent sa ferme. 52 des 57 personnes présentes périrent dans l’attaque. Et c’est aussi pendant son passage dans cette ferme qu’il épousa une servante noire.
Quand Anthony fut libéré il fut aussi légalement reconnu comme “Noir libre” et fit fructifier son lopin de terre avec beaucoup de succès grâce à son dur labeur et son intelligence. En 1651 il possédait 250 acres et cinq serviteurs africains en « indenture ».
Puis en 1654 Johnson aurait dû libérer John Casor, un de ses serviteurs. Au lieu de cela Anthony dit à Casor qu’il prolongeait son temps. Casor s’enfuit et devint l’employé d’un fermier blanc, Robert Parker.
Anthony Johnson poursuivi aussitôt en justice Robert Parker devant le tribunal de Northampton et en 1655 la cour jugea qu’Anthony Johnson pourrait retenir John Casor indéfiniment. La cour autorisa ainsi les noirs libres à posséder des êtres de leur propre race comme biens meubles, c’est-à-dire comme esclaves. Voilà comment John Casor est devenu le premier esclave à vie et Anthony Johnson le premier propriétaire américain d’esclave.
Les blancs eux par contre ne pouvaient toujours pas légalement avoir un serviteur noir comme esclave. Mais en 1670 l’assemblée coloniale passa une loi donnant le droit à des blancs libres (ndlr : des blancs pouvaient aussi être en « indenture ») ainsi qu’aux noirs et aux indiens de posséder des noirs comme esclaves.
En 1699 le nombre d’Africains libres suscita de telles craintes de voir une insurrection raciale que l’état de Virginie ordonna le rapatriement des noirs libérés en Afrique. Beaucoup de noirs se vendirent alors à des maîtres blancs pour ne pas retourner sur le continent africain. Mais des milliers d’autres furent rapatriés dans des pays comme la Sierra Leone et le Libéria qui de fait devinrent des colonies d’anciens esclaves africains américains longtemps financées par les divers gouvernements d’Amérique.
Monrovia, la capitale du Libéria, a été ainsi nommée en honneur du Président US James Monroe et Freetown, la capitale du Sierra Leone, en honneur à la liberté accordée par l’Amérique.Néanmoins les propriétaires noirs d’esclaves noirs continuèrent à prospérer aux États-Unis.
En 1830 il y avait 3775 familles noires vivant au Sud ayant des esclaves noirs.
Et avant la guerre de sécession en 1860 il y avait environ 3,000 esclaves appartenant aux ménages noirs dans la seule ville la Nouvelle-Orléans.Des faits qui nous donnent à méditer la vision d’Orwell : « Qui contrôle le passé contrôle le présent. Qui contrôle le présent contrôle le passé. » »
Source : Henri Guillaumet ici
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Marine Le Pen: "La principale préoccupation du gouvernement, c'est le Front national !"