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  • Valls présente sa "politique de peuplement" pour casser les ghettos


    "Il faut arrêter d'ajouter de la pauvreté à la... par francetvinfo

    La liste des mesures

    Pour changer la donne, l’exécutif a ainsi livré tout un éventail de mesures dont l’enveloppe total représentera « autour de 1 milliard d’euros » sur trois ans, a indiqué le Premier ministre, précisant que certaines dispositions liées à l’école ou à l’emploi, ne sont pas contenues dans cette somme.

    > Obliger les communes à construire du logement social

    Le principal outil du gouvernement pour développer le logement social est la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain) qui oblige les communes de plus 3.500 habitants (et 1.500 en région francilienne) à construire 25% (depuis 2014) de logements sociaux. Problème: selon un premier bilan provisoire dévoilé le 19 février dernier, un tiers des communes ne respectent pas ces obligations.

    Le gouvernement a donc demandé aux préfets de faire des propositions d’ici au mois de juin pour produire des logements sociaux dans ces communes qui ne respectent pas ces obligations, quittent à délivrer eux-mêmes les permis de construire.

    A l’inverse, pour favoriser la mixité sociale, les préfets ont reçu des instructions pour limiter la construction de logements sociaux dans les 1.500 quartiers prioritaires de la politique de la ville dès lors que le taux de logement social y dépasse 50%.

    > Limiter la concentration des plus pauvres dans certains quartiers

    Autre mesures destinée à favoriser la mixité sociale: les bénéficiaires du droit au logement opposable (Dalo) ne se verront plus proposer un logement dans les 1.500 quartiers les plus modestes. Il ne faut plus reloger dans les quartiers prioritaires de la politique de la Ville les personnes dont les ressources sont en dessous du seuil de pauvreté », a-t-il indiqué.

    > Recalculer plus justement le montant des loyers

    La politique de loyer dans le parc social sera revue pour diversifier les habitants de ces immeubles. Ces loyers ne seront plus fixés en fonction du financement d’origine de l’immeuble mais des revenus des locataires. Cette possibilité permettrait de minorer le loyer d’un logement dans une zone favorisée pour l’attribuer à un ménage à faibles ressources, explique l’exécutif.

    BFM.tv

    FDS

     

  • "Apartheid social": un milliard d'euros sur trois ans pour favoriser la mixité

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    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/03/06/01016-20150306ARTFIG00343-apartheid-social-un-milliard-d-euros-sur-trois-ans-pour-favoriser-la-mixite.php

     

  • Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n° 395

    A écouter jusqu'au bout

  • Sylvia Stolz condamnée à 20 mois de prison ferme en Allemagne pour des « propos négationnistes » tenus en Suisse

    5 mars 2015 par Pierrot - Contre-info.com

    S’il est incroyable d’envoyer des gens en prison pour de simples affirmations historiques, il est encore plus fou qu’ils se fassent condamner par des tribunaux et par des lois qui n’ont pas juridiction. Rappelons que les négationnistes sont envoyés plusieurs années en prison simplement parce qu’ils ne croient pas aux chambres à homicide dans les camps allemands.

    Un discours sur l’holocauste prononcé en 2012 à Coire par la négationniste allemande Sylvia Stolz lui vaut une condamnation à 20 mois de prison ferme. La prévenue récidiviste a fait appel du jugement de la Cour suprême de Munich, qui s’était vu confier le dossier par la justice suisse.

    La peine infligée fin février pour négationnisme relatif à l’holocauste est élevée, car l’avocate allemande radiée du barreau avait déjà été condamnée à la prison pour des faits similaires dans le passé (NDCI : à 3 ans et demi), indique jeudi 5 mars une porte-parole du tribunal. Cette dernière confirme une information relayée par plusieurs médias suisses.

    Pas de génocide

    Invitée par la «Coalition anti-censure» basée à Walzenhausen (AR), Sylvia Stolz a présenté en novembre 2012 un exposé d’une heure et demie à Coire. La femme âgée de 51 ans y a nié le génocide perpétré contre les juifs européens durant la dictature nazie, selon l’acte d’accusation. «Il n’est pas possible d’établir une constatation concluante qu’un génocide ait eu lieu», a-t-elle notamment déclaré.

    Deux mois plus tard, un avocat suisse a alors porté plainte contre la négationniste. Il avait eu vent de son discours.

    Source : lematin.ch

  • Deux lesbiennes musulmanes abusent et tuent la fille de l’une d’entre elles

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     Au Royaume-Uni, deux lesbiennes musulmanes ont été jugé coupables d’homicide involontaire, et non de meurtre, pour avoir tué une fillette de huit ans qui s’est retrouvée au centre d’un jeu sexuel impliquant du vampirisme, des amants fantômes et une multitude d’autres esprits « musulmans ».

    La mère de cette fillette avait été séduite par une voisine qui l’avait convaincue de quitter son mari et de s’embarquer dans cette relation homosexuelle avant de la persuader que sa fille était possédée par des esprits mauvais. La fillette a subi d’atroces sévices de la part de ces deux femmes avant d’être tuée pour « empêcher les portes de l’enfer de s’ouvrir ».

    Lire la suite

  • Financement de la campagne de Sarkozy en 2007 : Claude Guéant en garde à vue

    06 Mars 2015, 13h42 | MAJ : 06 Mars 2015, 16h14

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    L'ancien ministre de l'Intérieur Claude Guéant.                                                    
    L'ancien ministre de l'Intérieur Claude Guéant. LP/OLIVIER LEJEUNE

    L'ancien ministre de l'Intérieur Claude Guéant (UMP) a été placé en garde à vue dans l'enquête sur les accusations de financement lybien de la campagne de Sarkozy en 2007, indique l'AFP, confirmant une information du  site internet de L'Express.

     

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    Les juges d'instruction du pôle financier de Paris s'interrogent sur la découverte lors d'une perquisition en février 2013 d'un virement de 500 000 euros en octobre 2008 sur le compte bancaire de l'ancien bras droit de Nicolas Sarkozy. , qui avaient en partie été utilisés à l'achat de son domicile parisien. affirme que l'ancien bras droit de Nicolas Sarkozy.

    Interrogé fin juillet 2013 sur l'origine de ces fonds par les policiers de la division nationale des investigations financières, l'ex-secrétaire général de l'Elysée l'avait expliquée par la vente de deux tableaux du XVIIe siècle, des marines signées d'un peintre flamand coté, Andries Van Eertvelt. Mais des experts ont contesté la valorisation de ces oeuvres.

    L'acheteur était un avocat malaisien, grand amateur d'art. Un mystérieux personnage, dont les sociétés semblent se résumer à des boîtes aux lettres en périphérie de Kuala Lumpur, qui aurait pris sa retraite. En 2013, les juges Tournaire et Grouman avaient émis une commission rogatoire internationale pour que la police malaisienne interroge Sivajothi Muthiah Rajendram.

    La piste d'un financement libyen de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy avaient vu le jour entre les deux tours de la campagne présidentielle de 2012, lorsque Mediapart avait publié un document évoquant un accord de la Libye de Mouammar Kadhafi pour financer M. Sarkozy, dont ce dernier assure qu'il s'agit d'un faux.

    Une information judiciaire avait été ouverte en avril 2013, notamment pour «corruption active et passive» et «trafic d'influence» sur ces accusations, et confiée aux juges Serge Tournaire et René Grouman.

    LE PARISIEN

  • Quand un rapport officiel du CNESCO souligne l’écart de performance entre élèves autochtones « français de souche » et élèves immigrés…

    http://www.fdesouche.com/571307-quand-un-rapport-officiel-du-cnesco-souligne-lecart-de-performance-entre-eleves-autochtones-francais-de-souche-et-eleves-immigres

     

  • DÉCOUVERTE EXCEPTIONNELLE

    Mémoire des peuples

    DÉCOUVERTE EXCEPTIONNELLE - Une tombe princière celte près de Troyes

     Une tombe princière celte près de Troyes



    Jean Chichizola*
    le 05/03/2015
    Du jamais vu en France depuis la découverte de la tombe de Vix et son inoubliable trésor en 1953… Les archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) ont découvert une tombe princière exceptionnelle du début du Ve siècle avant notre ère à Lavau (Aube), près de Troyes. Située sur un site funéraire utilisé dès 1400/1300 avant notre ère, la tombe recèle une série d'objets fastueux qui prouve la puissance de la personne enterrée là, et qui illustre également les échanges survenus à l'époque entre les élites celtes locales et les Grecs.

    Dans la chambre funéraire, au centre d'un tumulus de 40 mètres de diamètre, le défunt repose sur un char, une arme à ses côtés, et voisine avec un chaudron en bronze d'environ un mètre de diamètre. Les quatre anses de ce dernier sont ornées d'étonnantes têtes d'Acheloos, un dieu fleuve grec représenté barbu, avec des cornes, des oreilles de taureau et une triple moustache. Plus émouvant encore, huit têtes de lionnes très finement représentées, décorent le bord du chaudron. Selon les experts de l'Inrap, ce serait l'œuvre d'un artisan en Grèce ou en Italie du sud.


    Mais c'est tout un service à boisson d'origine gréco-italique que les archéologues ont exhumé avec, outre le chaudron retrouvé effondré sur lui-même comme le cratère de Vix, une passoire en argent doré (servant à filtrer un vin chargé d'épices et d'aromates). Sans oublier un oenochoé (sorte de «pichet» à vin qui sert à puiser la boisson dans le chaudron avant de la servir), qui présente une particularité très significative pour les archéologues. Cette «cruche», en céramique attique à figures noires représentant Dionysos allongé sous une vigne qui fait face à un personnage féminin, vient tout droit des ateliers athéniens. Mais, à la différence des céramiques «ordinaires», celle-ci est rehaussée d'or. Un détail qui, analyse Dominique Garcia, le président de l'Inrap, «indique que les Celtes n'ont probablement pas attaché une grande importance à cet oenochoé plutôt ordinaire, qui n'a pris de la valeur qu'une fois rehaussé d'or. L'objet a en somme été “customisé” pour son propriétaire. Un phénomène qu'on retrouve à l'autre bout du continent européen, chez les Scythes» des steppes du sud de l'Ukraine et de la Russie.

    Comment ce prince celte a-t-il pu acquérir un tel trésor? Pour les archéologues de l'Inrap, il a profité d'un rôle intermédiaire entre les gisements de matière première (l'étain venu d'Angleterre, l'ambre venue de la Baltique sans oublier les esclaves) et les marchands grecs qui étaient demandeurs. Situés sur la haute vallée de la Seine, Lavau et sa région occupent une place idéale pour un tel commerce. Le «cadeau» grec au prince celte permettait probablement d'asseoir la puissance, et de se ménager l'appui, d'un partenaire très utile… Plus de deux millénaires plus tard, ce «cadeau» va aussi permettre de mieux connaître les principautés celtiques du premier âge du Fer. Ce qui renforce encore la dimension européenne de la découverte de Lavau.

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  • Départementales : aux élections des présidents des conseils généraux, l’UMP votera PS contre le FN

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             (Le Canard Enchaîné)

    FDS

  • Provocation ?

     

    Voilà deux ou trois jours qu’on nous bassine avec le « meilleur apprenti de France » qui est un clandestin, ira ou n’ira pas au Sénat recevoir sa médaille… Finalement il ira, parce que Gérard Larcher considère que sa réussite « mérite d’être saluée ».

    Il s’agit évidemment d’une opération de propagande immigrationniste, dans laquelle Gérard Larcher lui-même joue un rôle d’idiot utile.

    Apparemment, il ne se rappelle pas qu’en 2011 il avait accueilli au Sénat une jeune Rom clandestine, « meilleure apprentie de France », sans que ça fasse la une des médias.

    Mais cette foi il fallait que ça fasse la une des médias… car on ne sait pas assez que les clandestins sont des gens brillants, et qu’il faut donc les régulariser, et qu’il faut de plus en plus d’immigrés.

    En 2012 et en 2013 aussi, il y avait eu un clandestin « meilleur apprenti de France ». (Mais pas en 2014, curieusement.)

    Bref, ou bien les jeunes clandestins sont vraiment extraordinaires, ou bien il y a vraiment énormément de clandestins, ou bien on se fout vraiment de nous.

     
     
    Le blog d'Yves Daoudal 

    Commentaires

    • Les médias feraient mieux de parler des boulangeries qui ferment les unes après les autres et qui n'emploieront donc plus d'apprentis même clandestins qui leur étaient fournis en tout légalité évidemment par des lycées professionnels, car il n'y a pas plus surveillé que les petites entreprises artisanales.
      Des boulangeries qui ferment non pas parce qu'elles ne peuvent pas vendre leur pain mais parce qu'elles sont ruinées par les taxes.
      Et l'on va acheter son pain faute de mieux en grande surface, c'est cela la France.

      Répondre à ce commentaire

  • Les images stupéfiantes de la tombe princière celte découverte par des archéologues

    Le Vif

    05/03/15 à 11:06 - Mise à jour à 11:54

    Un ensemble archéologique de 7000 m2 a été mis au jour par l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), à Lavau, près de Troyes, en France. Parmi les incroyables découvertes, une chambre funéraire celte de 14m² datant du Ve siècle avant JC. Cette sépulture est riche de plusieurs objets grecs quasiment intacts attribués à un prince qui n'est pas encore identifié.

    Les découvertes en images:

    http://www.levif.be/actualite/international/les-images-stupefiantes-de-la-tombe-princiere-celte-decouverte-par-des-archeologues/diaporama-normal-369995.html?utm_source=Newsletter-05/03/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBDAGLV&M_BT=10384380009393#photo=3

     

  • « Si tout le monde peut être français, le communautarisme est inévitable »

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    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou réalisé par Charlotte d’Ornellas

    ♦ « Depuis 1803 (Ire République !), la base de la nationalité est la filiation et, donc, le droit du sang : un expatrié a, par exemple, des enfants français. »


    Le mot « Français » est souvent complété d’une appartenance communautaire… Que veut-il dire ?

    Il existe deux sens très différents au mot « Français » aujourd’hui :

    – un sens administratif, d’abord : être français, c’est avoir une carte d’identité française ;

    – un sens historique et culturel, ensuite, pour les Français de civilisation européenne et d’expression française.

    De ces deux définitions découlent une série de confusions devenues récemment caricaturales avec l’expression « djihadistes français ». Cette appellation est juridiquement vraie mais elle n’a aucun sens si l’on considère la définition culturelle et historique du mot « Français ».

    Quelle évolution du Code de la nationalité a permis un tel fossé entre différents « Français » ?

    Depuis 1803 (Ire République !), la base de la nationalité est la filiation et, donc, le droit du sang : un expatrié a, par exemple, des enfants français.

    Mais cette règle a été progressivement déviée par l’ajout d’éléments de droit du sol : un enfant né en France de parents étrangers peut devenir automatiquement français entre 13 et 18 ans, et un enfant né en France de parents eux-mêmes nés en France est automatiquement français… S’ajoutent à cela des naturalisations de masse sans sélection. Résultat : on fabrique chaque année autour de 150.000 « Français » dont beaucoup ne sont absolument pas assimilés.

    Il y avait eu un grand débat en 1986 autour de la suppression de ces éléments de droit du sol. Le slogan du FN était : « Etre français, cela s’hérite ou se mérite », mais ce point de vue était aussi défendu par le RPR et l’UDF ! Malheureusement, cette même année, de nombreuses manifestations étaient organisées contre la loi Devaquet qui voulait réformer l’Université et, à cette occasion, un jeune manifestant d’origine immigrée, Malik Oussekine, était mort… Victime d’une campagne de sidération médiatique, le gouvernement Chirac avait alors abandonné sa loi sur l’Université et la réforme de la nationalité.

    Il créait à la place la Commission de la nationalité qui a théorisé la conception « citoyenne » de la nationalité contre la volonté du peuple qui avait soutenu à 55% des partis opposés à celle-ci.

    Comment en est-on arrivé à parler de « Français de souche » ?

    En 1987, la conception de la nationalité française dite « citoyenne » est donc adoptée.

    En clair, tout le monde peut être français s’il réside en France et adhère à un minimum de « valeurs » républicaines (ce qui n’est même pas vérifié ni réellement défini) : une coquille vide, conception très abstraite, cache-sexe d’une communautarisation du pays. On s’est mis alors à parler de Français juifs, de Français noirs, de Français musulmans… Et le Français « moins », c’est-à-dire le Français tout court, s’est alors retrouvé dans l’expression de « Français de souche », résultat d’une conscientisation qui a débuté dans les années 2000 grâce au site François Desouche.

    Le Français de souche, c’est un Français blanc, de civilisation européenne et de religion ou d’héritage chrétien.

    Le problème, c’est que les Français « plus » sont particulièrement protégés : interdiction de les « stigmatiser », et des associations soi-disant représentatives (CRIF, CRAN, CFCM) font valoir leurs exigences. A partir du moment où l’on refuse toute spécificité d’origine, de culture, d’histoire, de civilisation au concept de Français, il ne reste plus rien et les revendications identitaires de toutes sortes divisent la France. Parler de « vivre ensemble » dans cette situation est totalement hors-sol : il n’existe nulle part, ni dans les habitudes alimentaires, ni dans le choix du lieu de vie, de l’établissement scolaire ou des références culturelles. Il est le cache-sexe d’une société éclatée puisqu’il ne peut y avoir de communauté nationale sans communauté de civilisation. Le problème n’est pas nouveau, Aristote le disait déjà !

    Qui pourrait représenter les Français de souche ?

    Pour les Français de souche, le vote FN est la voie politique la plus évidente pour exprimer leur « cri de douleur ». Mais les dirigeants du FN entendent, eux, s’adresser aux « Français de toutes origines » – ce qui peut se comprendre – et ne sont pas loin d’adhérer à la conception citoyenne de la nationalité…

    Il y a, là encore, un fossé qui se creuse : les deux principaux dirigeants rejoignent cette conception citoyenne de la nationalité alors que les militants, les adhérents et une très grande partie des cadres et des élus défendent une conception civilisationnelle de la nationalité. Les Français de souche sont encore en grande majorité, mais ils sont les véritables orphelins de la République.

    On ne parle plus que de « République ». Où est passée la France ?

    Le mot « République » est effectivement devenu un mot-valise pour désigner tout ce qui est politiquement correct : il a remplacé les mots « nation » et « identité ».

    On ne parle plus de France mais de République. Rappelons-nous pourtant que si la Guerre de 1914 a été conduite par des « nationaux républicains » (Poincaré, Clemenceau, les généraux), les soldats, eux, sont morts pour la France ! On meurt pour quelque chose de charnel, pas pour une idée abstraite.

    Quelles solutions ?

    Même si l’expression « Français de souche » est sortie de la bouche du président Hollande dans un contexte ultra-stigmatisant puisqu’il s’agissait de qualifier le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union (qui, par ailleurs, est d’extrême gauche), il s’est imposé quand même. C’est une première victoire sémantique pour tous ceux qui développent une volonté de réappropriation de leur identité.

    Ce combat trouve désormais un relai intellectuel chez Zemmour, Juvin, Finkielkraut, Camus, Millet mais également dans LMPT, les Veilleurs ou les propos de Béatrice Bourges.

    Ces discours permettent une conscientisation des origines de la France. Il y a donc une demande populaire et une expression intellectuelle : les Français de souche sont encore très largement majoritaires ; l’enjeu est donc désormais de tenter un renversement politique malgré la dictature médiatique.

    Il faut enfin s’affranchir de la culpabilisation imposée dans la sphère publique : ce système communautaire qui détruit la France ne tient plus que grâce à une propagande intense qu’il faut contrer. Et à laquelle, surtout, il ne faut pas céder !

     Jean-Yves Le Gallou
    Président de Polémia.

    Ancien député européen
    essayiste
    1/03/2015

    Source : Boulevard Voltaire.fr

    Polémia – 2/03/2015

  • Un pâtissier de Grasse accusé de vendre des gâteaux “racistes” porte plainte contre le CRAN

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    05/03/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Depuis quinze ans, le pâtissier Yannick Tavolaro vend à Grasse des gâteaux nommés “Dieux” et “Déesses” qui sont aujourd’hui au centre d’une polémique aussi stupide que préoccupante. En effet, certains considèrent que ces pâtisseries porteraient une représentation raciste des noirs.

    Pour le CRAN (Conseil représentatif des associations noires), ces gâteaux sont des “caricatures négrières, obscènes et injurieuses qui puisent dans la vieille tradition du racisme colonial”. L’association “antiraciste” exige donc “le retrait immédiat de ces pâtisseries racistes et se réserve le droit de porter plainte pour incitation à la haine raciale”.

    Blessé par de telles accusations, Yannick Tavolaro a décidé de déposer plainte contre le CRAN.

    Une page Facebook de soutien au pâtissier a également été ouverte

  • Frontex : l’Europe submergée par la vague de clandestins

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    05/03/2015 – PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation)
    Tout le monde le constate. Jean Raspail avait raison d’écrire le Camp des Saints. En effet tous les signes sont là. Ces signes rappellent la vague de réfugiés que décrit l’auteur dans son ouvrage. Ce qu’on constate, c’est que les quartiers sont surpeuplés d’étrangers, ce sont les images terribles de Lampedusa, ce sont les bénéficiaires de l’Aide médicale de l’Etat attribuée en priorité aux étrangers. On imagine la vague mais on ne peut se la représenter… Depuis hier, nous en avons des preuves par les chiffres ! L’agence européenne Frontex a dévoilé hier son dernier rapport. Accablant.

    Que racontent ces chiffres ?

    L’agence européenne Frontex est l’agence de coordination des Etat sur les frontières extérieures. Elle a dévoilé hier les chiffres de l’immigration illégale en Europe. (L’immigrationnisme n’est plus un problème national) Car, c’est toute l’Europe qui est touchée, atteinte et submergée. Les entrées clandestines ont presque triplé par rapport à l’année précédente. Cela concerne plus de 274 000 immigrés. Pour rappel en 2013, ils n’étaient — que — 100 000. Et ce ne sont que les entrées clandestines détectées.

    Autre chiffre en hausse : le nombre de séjours illégaux qui a dépassé le record. 400 000 séjours illégaux détectés en un an.

    Mais alors ce flux est organisé ?

     

    Oui. Il est organisé par l’absence de politique frontalière. D’abord parce que les Etats ont perdu le contrôle de leurs frontières. Mais aussi et surtout par incohérence et dogmatisme européen. Les administrations ne sont pas directement responsables des entrées massives sur le territoire. C’est parmi les immigrés qu’il faut trouver les responsables. Les passeurs, ces hommes qui vendent une place sur un bateau de la mort. Ils vendent une place au paradis, mais l’immigré n’y trouve que l’enfer. Le nombre de passeurs interpellé a augmenté de 31 % par rapport à l’année dernière. L’arrivée de l’immigré illégal n’est pas seulement liée au laxisme de la police aux frontières.

    Quelles sont les causes des départs ?

    L’Europe n’est pas tant coupable de l’arrivée que du départ. Cette année, le pays d’origine massivement représenté, c’est la Syrie. 62 550 Syriens ont atteint l’Europe. Ne soyez pas étonnés. La France est coupable d’avoir aidé les terroristes rebelles et d’avoir déstabilisé le pays. L’Union européenne a installé la guerre civile en Syrie depuis 2011. Si des Syriens sont arrivés illégalement en Europe, nos gouvernants actuels sont responsables de leur départ.

  • Tweets de Jean-Marie Le Pen

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