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  • Pour Chloé, Aurélie et tous les autres ! Tribune par Vincent Revel

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    28/04/2014 – FRANCE (NOVOpress)
    En Hollandie, comme sous l’ère Sarkozy d’ailleurs, les vies brisées ne nous enseignent rien. Médiatiquement, elles servent juste à créer de l’émotion, une indignation passagère strictement contrôlée. Elles permettent aux incapables et aux fautifs de se justifier en donnant l’illusion d’être des personnes responsables. Mais au rythme de la désinformation continue, ces vies brisées entrent vite dans l’oubli pour l’immense majorité des consommateurs d’images que sont devenus les citoyens dociles de la Vème République.

    Après bien d’autres, Chloé et Aurélie (photos) rejoignent la cohorte des innocents sacrifiés sur l’autel d’un système décadent. Ce qui est le plus tragique, c’est d’écouter, sans résistance, les leçons de morale de ceux qui devraient normalement garantir notre sécurité et dont les échecs s’affichent jour après jour. Dans un esprit soixante-huitard, libéral et libertaire, mondialiste et sans-frontiériste, ils continuent de transformer les coupables en victimes et les victimes en coupables, sans jamais se remettre en cause.

    Face à l’ignominie, notre peuple, en voie de dislocation, ne réagit plus que par intermittence par le biais de marches blanches.

     

    Du pourquoi et du comment, il ne veut pas savoir, il préfère le confort même si celui-ci mène tout droit à un suicide collectif. Face à l’horreur, il préfère détourner le regard en prétextant, comme le lui ont appris les nouveaux censeurs, que rien ne peut être fait contre l’inéluctable, que le risque zéro n’existe pas, que l’insécurité et la barbarie ont toujours été présentes, que tout cela est bien malheureux mais que c’est inévitable dans le monde du bien vivre ensemble. C’est le prix à payer pour vivre le rêve, pour ne pas dire l’utopie, de nos dirigeants déracinés. Le poids de la fatalité pèse sur les épaules du bon peuple tout en lui donnant bonne conscience car elle lui permet de faire comme si de rien n’était. Le relativisme ambiant justifie le pire et l’égalitarisme explique et conforte les actes les plus odieux. Tout ce cirque médiatique n’est qu’une mascarade car la réalité est bien plus cruelle. Elle a le goût du sang, du carnage, de la honte car elle nous dévoile notre incapacité à protéger les nôtres.

    La lâcheté guide nos actions et la peur annihile toute réaction. Pourtant, dans notre société multiculturelle où « le droit de l’hommisme » règne sur nos consciences comme peut le faire une religion orientale, où l’emballement de la procédure judiciaire à l’américaine broie tout sur son passage, nous serions en droit de réclamer justice.

    Dans les morts de Chloé et d’Aurélie, nous connaissons tous les vrais responsables. Ces meurtres sont le reflet des défaillances, voulues et entretenues par nos politiques, de notre système judiciaire et de notre politique d’immigration.

    Comment pouvons-nous continuer à ne pas voir ? Pourquoi sommes-nous encore si peu nombreux à vouloir essayer de sauver ce qui nous unit ? Débarrassons-nous de l’esprit de culpabilité qui nous accable et nous terrasse. Tournons le dos à ce consumérisme individualiste et à ce communautarisme violent qui nous détruisent de l’intérieur.

    Soyons lucides et élevons-nous contre cette oligarchie cosmopolite capable de nous faire croire au lendemain d’actes terroristes islamistes que le remède à nos maux se résume par la nécessité d’avoir plus de mosquées sur notre territoire, d’avoir aussi une loi plus intransigeante contre le racisme et une autre loi liberticide sur le renseignement pour mieux contrôler les groupes identitaires ! Leurs mensonges sont tellement énormes que plus personne n’y prête attention. Il n’est pas normal que des faits divers comme ceux auxquels nous sommes confrontés (l’enlèvement et le meurtre d’une enfant de 9 ans par un délinquant étranger interdit de territoire et l’arrestation de Sid Ahmed Ghlam soupçonné du meurtre d’une jeune femme et d’un projet d’attentat islamiste contre plusieurs églises, après avoir bénéficié généreusement du regroupement familial) ne nous fassent pas plus réagir. Il est anormal que nous ne soyons pas plus nombreux à nous détourner définitivement de nos bonimenteurs. Cette indifférence est inquiétante car elle ne fait que confirmer l’idée défendue, entre autres par Éric Zemmour, que « l’âme du lieu s’est envolée ».

    « Nous ne savons plus où nous allons, car nous ne savons plus d’où nous venons. » Nous sommes perdus alors nous faisons mine de relativiser des évènements et des faits inacceptables, en évitant scrupuleusement les amalgames et les stigmatisations, de peur d’être ostracisés. Il n’y a pas de fatalité dans la vie des Hommes. Nous récoltons juste ce que nous semons et le pire reste à venir.

    Vincent Revel

    Crédit photo : DR.

  • Méditerranée : l’ONU propose “un encouragement à l’immigration légale comme solution globale”

    22h19

    Alors que l’Union européenne (UE) peine à mettre en place une stratégie à long terme pour traiter en profondeur la question de l’immigration clandestine, sous les projecteurs depuis les derniers drames survenus en Méditerranée, l’instance onusienne, par la voix de son secrétaire général, plaide pour la légalisation de l’immigration.

    “Il n’y a pas de solution militaire à la tragédie qui est en train de se produire en Méditerranée”, a déclaré, hier, Ban Ki-moon dans un entretien au journal italien La Stampa. Ban Ki-moon s’est dit préférer “un encouragement à l’immigration légale comme solution globale”, selon des propos cités par l’AFP. [...]

    Même Amnesty International réclame que les “opérations européennes de sauvetage de migrants en Méditerranée doivent impliquer des missions de recherches et secours au plus près des côtes libyennes”. “Nous voyons seulement cette mission patrouiller le long des frontières de l’Italie. Mais tous les bateaux qui ont coulé se trouvaient beaucoup plus loin, bien plus près de la Libye, et les navires (de Triton) ne vont pas dans cette zone”, selon Gauri Van Gulik, directrice adjointe d’Amnesty International pour l’Europe citée par l’agence Reuters. [...]

    Pour Ban Ki-moon, “une approche globale est cruciale qui prenne en compte les racines du problème, la sécurité et les droits humains des migrants et des réfugiés, comme avoir des canaux légaux et réguliers d’immigration”. “Les Nations unies sont prêtes à collaborer avec nos partenaires européens à cette fin”, dit-il.

    Faut-il comprendre que l’ONU va opposer son veto ? En attendant la mise en place d’une stratégie, des migrants continuent de fuir certaines zones de conflits ou des foyers de misère dans l’espoir de gagner les rivages cléments de l’Europe. Hier, 350 migrants syriens ont été interceptés dans le sud-est de la Turquie par les gardes-côtes alors qu’ils embarquaient pour l’Union européenne, a rapporté, hier, l’agence de presse officielle Anatolie reprise par l’AFP. 71 migrants ont été arrêtés à bord du bateau et 279 à terre, alors qu’ils attendaient au port de Mersin leur tour de monter à bord, selon la même source. Les migrants, parmi lesquels des femmes et des enfants, cherchaient à atteindre des pays de l’Union européenne, notamment l’Italie.

    Source et Source

    Merci à Mielrubis

  • Italie : un clandestin sur quatre est positif à l’hépatite C

    22h08

    « 20 à 25% des clandestins qui arrivent sur les côtes italiennes sont positifs à l’hépatite C »

    Au cours d’une rencontre organisée à Vienne par le laboratoire Msd, en marge d’un Congrès international sur le foie, Antonio Craxì, professeur de gastro-entérologie à l’Université de Palerme, a tiré la sonnette d’alarme : après l’alerte de cas de gale dans le pays, il y a un risque d’aggravation d’une situation déjà précaire.

    Selon Craxì, l’hépatite C ne représente pas un risque pour la santé publique, surtout grâce au mode de transmission de ce virus. « Mais – prévient-il – certaines de ces personnes restent sur le territoire, elles auront donc accès aux soins ». [...]

    Source

    Merci à Mielrubis

  • Lyon : Julien et Elise agressés aux cris de « Sales Français » (Maj : Communiqué Romain Vaudan FN)

    21h00

    Le racisme anti-Français n’est pas un fantasme

    [...] Ce regrettable fait divers est tristement symptomatique du climat de tension qui règne actuellement dans notre pays, à Lyon comme ailleurs. Nos rues ne sont plus sûres, et le droit fondamental de pouvoir circuler en toute sécurité, n’est plus assuré.
    Mais cette affaire met aussi en lumière une forme de racisme de plus en plus répandue et dont les médias se font hélas assez peu l’écho : le racisme « anti-Français ». Car si Julien et son amie ont été agressés, c’est précisément parce qu’ils sont « Français » aux yeux de leurs agresseurs qui eux, manifestement, ne le sont pas, ou bien ne se considèrent pas comme tels.
    A l’heure où la lutte contre le racisme et l’antisémitisme a été érigée en grande cause nationale par notre gouvernement et où un budget de 100 millions d’euros a été alloué à ce plan, il serait judicieux que les pouvoirs publics prennent toute la mesure de l’ampleur de ce racisme dont personne ne parle mais qui est pourtant bien réel, dans nos rues, dans nos écoles et sur Internet.
    Les formes de racismes sont multiples, mais tant que certains bien-pensants et autres associations antiracistes largement subventionnées par l’argent public continueront à nier l’existence du racisme « anti-Français », la fracture communautaire qui menace aujourd’hui notre pays ne cessera de se creuser, et nous pourrons craindre le pire pour les années à venir.

    Romain Vaudan


     

    Julien, 23 ans, se souviendra longtemps de sa première sortie lyonnaise : il a été roué de coups, en présence d’une amie, à la sortie d’une boîte. Témoignage.

     

    Sept points de suture sur le front. Trois autres sur le crâne. L’œil gauche tuméfié. Une entorse à un pouce et un genou douloureux. Originaire de l’Ain, Julien gardera un souvenir pour le moins douloureux de sa première sortie en boîte à Lyon. Dimanche à l’aube, il a été passé à tabac à proximité d’un établissement du quai Augagneur. Pour quelle raison ? Lui-même l’ignore.

     

    « Je ne sais pas jusqu’où ils seraient allés »

    Un groupe d’amis avait décidé, ce samedi soir, de faire la fête à Lyon. Au petit matin, alors qu’ils attendent un taxi, deux d’entre eux, Julien et Elise, partent en quête d’une boulangerie. « Tout est allé très vite. Il y avait trois individus, en jogging, avec des bouteilles de bière à la main. Ils nous ont traités de fils à papa et de sales Français », explique la jeune fille âgée de 19 ans qui demeure dans l’agglomération lyonnaise. « L’un des trois m’a ceinturée, poursuit-elle, et les deux autres ont frappé Julien, sans préavis. Il a essayé de se défendre mais s’est retrouvé à terre. J’ai pu me débattre et je me suis couchée sur lui pour le protéger. J’ai pris des coups dans le dos. Je hurlais et un de nos amis est arrivé, ce qui les a mis en fuite. Sinon je ne sais pas jusqu’où ils seraient allés. J’ai vraiment eu très peur. »

    Julien a le visage en sang. « L’un des agresseurs avait une grosse chevalière », se souvient-il. Ce n’était décidément pas son jour car l’appel des secours va être à l’origine d’un malentendu : 45 minutes d’attente, dans l’indifférence générale : « il y avait des forains, des gens qui passaient, mais j’ai dû arrêter une voiture pour demander des mouchoirs. Lorsque mes parents, que j’ai appelés, sont arrivés en même temps que les pompiers, tout le monde est alors venu », regrette Elise.

    Après quelques heures d’attente et de soins aux urgences, Julien est allé porter plainte dimanche en fin d’après-midi. Chauffeur de métier, il a déjà sept jours d’arrêt de travail. « Je ne suis pas près de ressortir à Lyon », plaisantait-il, hier, même si cette agression laissera des traces : « Beaucoup d’incompréhension et de lassitude. Si j’ai un conseil à donner, en tout cas, c’est toujours de rester en groupe. »

    Source : Le Progrès version papier du 28 avril 2015 – version numérique (abonnés)

    Merci Damien

  • Terroristes expulsés d’Italie : les associations musulmanes déposent des recours pour les faire revenir

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    28/04/2014 – ITALIE (NOVOpress)
    Devant la menace croissante du terrorisme islamique, en particulier sous forme d’infiltrations parmi les « réfugiés », le gouvernement italien s’est enfin décidé à prendre quelques mesures. Il y a deux semaines, le ministre de l’Intérieur Angelino Alfano a ainsi annoncé l’expulsion de deux Tunisiens, les frères Jouini et Mohamed Ghazi, « impliqués dans des activités de terrorisme de matrice islamique ». Jouini Ghazi, 29 ans, était clandestin en Italie et s’était signalé par ses appels au djihad sur les réseaux sociaux. Il avait notamment exalté sur Twitter le massacre de chrétiens coptes par les musulmans de l’Isis. Mohamed, 30 ans, avait déposé une demande de permis de séjour, qui n’avait pas abouti, et « il partageait avec son frère », dans le parler gendarmesque du ministre Alfano, « des circuits relationnels sous le signe d’une interprétation radicale du credo islamique ». Ni l’un ni l’autre ne travaillaient mais « ils fréquentaient la mosquée locale » à Vérone.

    Au total, le ministre se vante d’avoir expulsé depuis décembre « trente-deux personnes liées à l’extrémisme islamique » – ce qui, rapporté aux dizaines de milliers de clandestins débarqués, ne fait pas beaucoup.

    Si partielle et tardive qu’elle soit, l’expulsion de ces clandestins djihadistes a suffi à susciter les protestations de leurs coreligionnaires. Izzedine Elzir, président de l’Ucoii (Union des communautés et organisations islamiques en Italie), la plus grande organisation musulmane de la péninsule, a annoncé vendredi que « des recours seraient déposés auprès des tribunaux italiens et auprès de l’Union européenne » pour obtenir le retour des terroristes. L’Ucoii, a-t-il précisé, ne le fera pas directement mais par ses relais : « Des associations de volontaires feront respecter l’état de droit » qui, selon lui, « n’a pas toujours été respecté ».

    D’après Il Giornale, l’avocat d’Oussama Kachia, un Marocain expulsé pour ses déclarations sur Facebook en faveur de l’Isis et ses menaces de mort contre les « infidèles », a d’ores et déjà déposé un recours au Tribunal administratif du Latium.

    Crédit image : copie d’écran du deuxième lien de notre article. DR.

  • Immigrés clandestins aujourd’hui, islamistes demain ?

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    28/04/2014 - SOCIÉTÉ (NOVOpress) Une tribune de Clément Martin, Conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela.

     

    Dimanche dernier, 800 immigrés clandestins ont trouvé la mort au large des côtes italiennes en tentant de traverser la mer Méditerranée pour rejoindre l’Europe. S’est alors déclenché un ouragan médiatique contre « l’Europe forteresse », responsable de la mort de tous ceux qui veulent y pénétrer illégalement. La pauvre Europe, il est vrai, n’accueille « que » 300 000 clandestins par an : c’est comme si une nouvelle Nice s’installait en Europe chaque année, entièrement peuplée d’immigrés illégaux. Pour certains, il faut aller encore plus loin. Pour Libération, il faut « légaliser l’immigration ». Remarquons l’approximation sémantique : l’immigration est déjà bien légale en Europe et la France en accueille tristement sa part puisque près de 200 000 titres de séjour sont délivrés chaque année. Pour éviter l’immigration illégale, il faut simplement l’autoriser. De la même manière que pour mettre fin au trafic de drogue, il faut ouvrir des salles de shoot ?
    Mais la réalité est toute autre : si les « frontières » de l’Europe sont encore plus ouvertes, les morts vont se multiplier. À moins, bien sûr, que l’Union européenne n’affrète, encore, des bateaux ? Ou creuse un tunnel ? Africastar : la voie rêvée de l’Eldorado, où attendent aides sociales, France Terre d’Asile et allocation premier-enfant, pour tous les clandestins.

    Clement-Martin-Generation-Identitaire

    Autoriser l’immigration ? Devrons-nous aussi affréter nous-mêmes les bateaux de clandestins ?

    Tous les jours, de nouvelles embarcations pleines de clandestins arrivent sur nos côtes, sous le regard de garde-côtes, dont l’unique mission est de les ramener sur notre terre ferme. Et ces clandestins, que l’on ne veut pas renvoyer, peuvent tranquillement s’installer chez nous, traverser les frontières et faire venir femmes et enfants un peu plus tard. Une fois les familles réunies aux frais du contribuable, notre administration encourage le « renouvellement de population », soit, en d’autres termes, le remplacement des Européens de souche. Ce sont à ces mêmes « de souche » à qui l’on demande de supporter au quotidien trafics, insécurité et africanisation, mais aussi d’accepter de vivre avec ces nouveaux voisins.

    « Combien de terroristes dans ces barques ? » demandait Marine Le Pen, après les attentats de Mohammed Merah. Et, comme souvent, les patriotes avaient raison. Rappelons-nous de la chute de Kadhafi, quand les prisons ont été ouvertes et que beaucoup des anciens détenus ont tenté la traversée : devons-nous les accueillir, ou alors, comme toute personne saine d’esprit le ferait, faut-il les laisser sur le pas de notre porte ? Ajoutons, en sus, que l’État Islamique a menacé l’Europe de l’ensevelir sous des torrents migratoires composés, en partie, de ses moudjahidines. Pour les torrents migratoires, c’est déjà fait. Pour les islamistes, c’est en cours ?

    Un risque sécuritaire, économique, social et surtout civilisationnel insupportable

    Face à cette déferlante, la fermeté est l’unique solution qui s’offre à nous en ces temps périlleux. Le Camp des Saints de Raspail n’était pas une vue de l’esprit, mais une prophétie, qui se déroule sous nos yeux, aujourd’hui même. Il est temps que les Européens s’unissent pour lutter ensemble contre ce grand remplacement et pour leur identité. Le problème n’est pas « économique », ni « social », mais tout simplement civilisationnel : des peuples sont en train d’envahir l’Europe et nous devons vaincre ou périr. La seule politique migratoire qui vaille est celle qui dissuade et qui repousse les clandestins. L’Australie a suivi cette voie : l’immigration a été réduite de manière drastique et les tentatives d’entrée illégale sont si faibles, qu’en 2015, aucun n’a péri en tentant de rejoindre l’île.
    Nous savons que les naufrages en Méditerranée sont des drames. Mais il existe un autre drame qui se déroule tous les jours, c’est celui du remplacement des populations européennes par d’autres, venues essentiellement d’Afrique. Et seul un changement radical de rapport au monde et de conscience politique pourra nous sauver de cette chute. Là est le devoir de chaque homme doté d’une véritable conscience identitaire : nous sommes là pour défendre une civilisation menacée de disparaître. « Chacun de nous est le dernier des Européens » ! Toute autre considération doit être perçue a minima comme une faute grave, si ce n’est une trahison.

    Clément Martin,
    Conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

  • Hillary Clinton veut contraindre les partisans de la tradition à accepter l’avortement

     

    La prétendante à la candidature démocrate aux prochaines élections américaines en 2016, Hillary Clinton, n’a pas craint de s’en prendre directement à la foi – et notamment à celle des catholiques américains – en affirmant lors d’une conférence à New York qu’il « faut changer » les « croyances religieuses » qui condamnent les « droits reproductifs », des mots qui renvoient dans le vocabulaire de leurs promoteurs à l’avortement et à la contraception. Il s’agit bien de redéfinir les dogmes traditionnels.

    Hillary Clinton s’exprimait lors du sommet de l’ONG féministe Women in the World, jeudi dernier. « Oui, nous avons divisé le taux de mortalité maternelle par deux, mais bien trop de femmes se voient refuser l’accès – essentiel – à la santé reproductive », a-t-elle déclaré. Il y a un an, le président de la National Organization for Women américaine, Terry O’Neill, publiait une tribune dans le même sens, qualifiant l’avortement de « mesure essentielle pour prévenir le crève-cœur de la mortalité infantile » (sic).

    Hillary Clinton veut changer les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement par la contrainte

    C’est par la contrainte que Hillary Clinton veut voir les gouvernements agir en vue de redéfinir les dogmes religieux traditionnels, sous couvert de promouvoir une politique féministe : « C’est le grand chantier inachevé du XXIe siècle », dit-elle. Venant de la part d’une candidate à la présidence des États-Unis, ce n’est pas une déclaration à prendre à la légère.

    « Les droits doivent exister dans la pratique, et pas seulement sur le papier. Les lois doivent être soutenues par des ressources et par une volonté politique. Il fait changer les codes culturels profondément enracinés, les croyances religieuses et les préjugés structurels », a-t-elle déclaré, sous les applaudissements enthousiastes.

    Pour mieux marquer sa détermination, Hillary Clinton a dénoncé l’objection de conscience à l’égard de l’Obamacare qui rembourse la contraception, du financement du Planning familial et des politiques faites au nom des homosexuels et des « transgenres » : ce sont des obstacles que le gouvernement doit faire tomber, selon la candidate à la présidence. Elle a notamment dénoncé le jugement de la Cour suprême obtenu par la société Hobby Lobby lui permettant de ne pas financer la contraception pour ses employées : c’est aux femmes de choisir si elles veulent utiliser des pilules abortives et contraceptives, si elles veulent se faire stériliser, et les employeurs ne doivent pas obtenir le droit de ne pas financer ces choix, a-t-elle précisé.

    Les « droits reproductifs », moteur de la lutte dialectique contre les dogmes religieux traditionnels

    Hillary Clinton s’exprime en tant que candidate de gauche, mais son discours n’est ni original, ni non-conformiste par les temps qui courent : le Fonds des Nations unies pour la population, FNUAP, affirmait dans son rapport 2012 que les objections religieuses contre la pilule du lendemain et la stérilisation doivent être vaincues, rappelle LifeSiteNews. En 2014, le Comité de l’ONU pour les droits de l’enfant affirmait que l’Église catholique devait changer le droit canon en ce qui concerne l’avortement pour « identifier les circonstances » où celui-ci est « acceptable ».

    Avec un programme aussi ouvertement anticatholique, Hillary Clinton montre que les promoteurs de la culture de mort et du démantèlement de la loi naturelle ne se cachent plus. Derrière la promotion de l’avortement, il y a une volonté de détruire la religion, et spécialement la seule religion qui reste fidèle au respect intégral de la morale naturelle.

    E&R

  • A 145 ans, le corps de Lénine se porte au mieux

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    Europe 1Pauline HofmannPublié à 18h08, le 28 avril 2015, Modifié à 18h08, le 28 avril 2015

    europe 1

    Par Pauline Hofmann

    JEUNESSE ÉTERNELLE - Pour le 145e anniversaire de la naissance de Lénine, son corps a été une nouvelle fois exposé en public à Moscou. Il reste en excellent état.

    Vladimir Ilitch Oulianov alias Lénine aurait eu 145 ans le 22 avril 2015. Près de 100 ans après sa mort, le corps du dirigeant soviétique est toujours en excellent état grâce à une équipe d'embaumeurs qui travaille à sa conservation. Le magazine Scientific American détaille les techniques expérimentales utilisées par la demi-douzaine de scientifiques du Centre pour la recherche et l'enseignement scientifiques en technologies biochimiques de Moscou.

    Les anatomistes, biochimistes et chirurgiens – également chargés des dépouilles de Ho Chi Min et des deux dictateurs nord-coréens Kim Il-Sung Kim Jong-Il – étudient chaque semaine le corps du dirigeant soviétique, habituellement exposé dans un cercueil du mausolée Lénine sur la Place rouge à Moscou en Russie. Grâce à des instruments de précision, ils mesurent l'humidité, la couleur et la forme de la peau à la recherche de signes de déshydratation.

    De la javel pour les moisissures. Avec ce travail de fourmi, explique Alexei Yurchak, professeur d'anthropologie sociale à l'université de Californie à Berkeley, "le corps est de moins en moins ce qu'il était en termes biologiques". Il faut dire, explique le scientifique américain auteur d'un livre sur cette relique, que l'équipe "doit parfois substituer des parties de peau et de chair avec du plastique ou d'autres matériaux" pour éviter leur dégradation. De la javel est également utilisée pour effacer les traces de moisissure sur la peau. Tous les deux ans, le corps est réembaumé en le plongeant dans des bains de glycérol, de formaldéhyde, d'acétate de potassium, d'alcool, d'autres produits. L'aspect, la flexibilité et le toucher du corps de Lénine ont ainsi pu être maintenus, insiste l'article du Scientific American. Dans son corps, il n'y a plus ni sang, ni organe, ni aucun autre fluide corporel. A l'exception des cils, les poils de moustache que l'on peut admirer sont toujours ceux du vrai Vladimir Ilitch.

    Parmi les techniques testées par les embaumeurs russes au cours de ce siècle, certaines ont permis des évolutions médicales importantes en médecine des vivants. Selon le Scientific American, un procédé a inspiré des chercheurs pour une nouvelle méthode pour maintenir le sang dans un rein lors d'une transplantation.

    Fêtera-t-il ses 200 ans ? A l'origine, le corps du fondateur de l'Union soviétique ne devait être présenté au public que temporairement. Mais la ferveur populaire a poussé les dirigeants soviétiques à conserver cette relique jusqu'à aujourd'hui. En 2012, Lénine avait failli être enterré, comme il l'avait demandé avant sa mort. Mais les autorités russes continuent de repousser la décision, arguant que Lénine est une icône pour les nostalgiques de l'URSS.

    Europe1

  • Institut Iliade : « Discerner les continuités qui donnent au monde européen son identité »

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     22 avril 2015 | Polémia

     
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    Philippe Conrad, président de l’Institut Iliade, historien et directeur de La Nouvelle Revue d’histoire, répond aux questions de Le Rouge et le Noir.

    ♦ « La “vieille Europe ”, celle d’avant le « sombre XXe siècle », nous a laissé en ce domaine un héritage exceptionnel dont nous souhaitons que les générations nouvelles d’aujourd’hui, désemparées par les escroqueries du prétendu “art contemporain”, puissent le redécouvrir ».


    R&N : Philippe Conrad, pouvez-vous présenter l’Institut Iliade ?

    Philippe Conrad : L’institut Iliade a été créé en juin 2014, un an après la mort de Dominique Venner qui avait formulé le souhait de voir une structure de ce type poursuivre l’action qu’il avait engagée en vue de réveiller la conscience française et européenne, endormie dans les temps de chaos que nous connaissons depuis plusieurs décennies. L’Institut a vocation à développer des actions de formation intellectuelle au profit des jeunes générations qui accèdent aujourd’hui aux responsabilités. Il a également pour but l’organisation de manifestations culturelles telles que conférences, colloques ou voyages. Il dispose d’un site qui doit faire connaître ses activités et fournir les munitions intellectuelles nécessaires à tous ceux qui cherchent à comprendre le monde d’aujourd’hui et à agir sur lui.

    R&N : Vous introduirez le colloque de l’Iliade le 25 avril prochain sur l’univers esthétique. Quel est le but du colloque ?

    Philippe Conrad : Après avoir évoqué l’an dernier la figure de Dominique Venner, nous nous attachons cette année à la représentation de la beauté qui a été, dans la longue durée, celle des Européens. Chaque espace de civilisation définit des normes particulières quant à la conception de l’homme ou de la société, et c’est tout autant vrai en matière artistique. Or la « vieille Europe », celle d’avant le « sombre XXe siècle », nous a laissé en ce domaine un héritage exceptionnel dont nous souhaitons que les générations nouvelles d’aujourd’hui, désemparées par les escroqueries du prétendu « art contemporain », puissent le redécouvrir.

    R&N : Qu’est-ce qu’un « univers esthétique » ? Ce qui encadre l’art ? Un ensemble de valeurs ?

    Philippe Conrad : Un « univers esthétique » correspond à une certaine appréhension du monde, à un ensemble de règles et de représentations dans le cadre desquelles peuvent évoluer les artistes et les créateurs qui vont exprimer, au fil du temps, des valeurs ou des sensibilités qui, au-delà des transformations formelles ou des inspirations successives, témoignent de permanences supérieures.

    R&N : De quelle Europe parle-t-on ? Quelles limites chronologiques et géographiques ?

    Philippe Conrad, président de l'Institut Iliade

    Philippe Conrad, président de l’Institut Iliade

    Philippe Conrad : Notre Europe se constitue déjà, à beaucoup d’égards, avec les sociétés aristocratiques qui se mettent en place à partir de l’Age du Bronze. Elle s’affirme ensuite en Grèce avec les récits fondateurs que nous a laissés Homère, puis à Rome, mais aussi dans les contrées « barbares » des mondes celtique et germanique. L’aventure se poursuit à Byzance et dans le monde slave tout autant que dans l’Occident latin profondément imprégné par le christianisme à partir du IVe siècle. C’est sur cette petite péninsule du continent asiatique qu’évoquait Valéry que s’est développé un espace civilisationnel tout à fait original qui va engager, à partir des XVe-XVIe siècles, le décloisonnement du monde et imposer à la planète une domination remise en cause par l’immense tragédie que fut la guerre civile européenne de 1914-1945.

    R&N : Y a-t-il des univers pré-chrétiens, chrétiens et post-chrétiens ? Quelle continuité entre les univers esthétiques, ancien puis chrétien et enfin moderne ? Quel est l’apport de l’Europe chrétienne selon vous ?

    Philippe Conrad : Il est aisé de discerner les continuités qui, dans la longue durée, donnent au monde européen son identité, de l’Antiquité antérieure au christianisme puis à la modernité qui s’en est progressivement éloignée. L’héritage du christianisme demeure, dans tous les cas, essentiel dans la construction de notre civilisation, quels que soient les dénis de réalité auxquels nous avons été confrontés quand les inspirateurs de la calamiteuse Europe de Bruxelles ont refusé haut et fort de reconnaître les racines chrétiennes pourtant indiscutables de notre civilisation. Le christianisme est devenu, à partir de la fin de l’Antiquité, et pour les quinze siècles qui ont suivi, la religion de l’Europe et a largement déterminé les différents aspects sociaux, politiques, culturels de sa civilisation.

    R&N : Quel est le rôle de la France dans cet univers esthétique européen ?

    Philippe Conrad : Ce rôle est évidemment majeur du fait de l’histoire qui a été celle de notre pays au cœur du continent. Il suffit d’évoquer notre patrimoine médiéval, l’importance de la place occupée par la langue française à partir du XVIIe siècle ou le rôle de premier plan joué par les artistes ou les penseurs français au cours des derniers siècles pour le constater. En cela, la France s’inscrit dans la magnifique symphonie d’une Europe où plusieurs pays ont successivement occupé le premier rang dans le contexte des rivalités de puissance du passé mais où, aujourd’hui, les facteurs d’unité apparaissent, sur le plan culturel, de plus en plus évidents, dans un monde dominé par un matérialisme et un utilitarisme devenus puissamment mortifères.

    Philippe Conrad
    20/04/2015

    « L’univers esthétique des Européens », colloque annuel de l’Institut Iliade, samedi 25 avril de 14h à 18h30 la Maison de la Chimie, 28 rue Saint Dominique, 75007 Paris. Avec les interventions d’Alain de Benoist (« L’art européen, un art de la représentation »), Slobodan Despot (« L’art européen et le sentiment de la Nature »), Christopher Gérard (« La beauté et le sacré »), Jean-François Gautier (« La polyphonie du monde »), Javier Portella (« La dissidence par la beauté ») et des présentations de hauts lieux européens (Duarte Branquinho, Adiano Scianca, Philip Stein, Marie Monvoisin).

    Renseignements et Inscriptions :  http://institut-iliade.com/   (formulaire d’inscription en bas de page)

    Source : Le rouge et le Noir.org

    Correspondance Polémia – 22/04/2015

  • C’était un 28 avril…

      

    1945 : les troupes allemandes en Italie ont capitulé mais les dernières troupes italiennes de la RSI se battent encore.
    Une course-poursuite s’engage entre services secrets britanniques et américains pour enlever Mussolini.
    Winston Churchill, qui veut faire oublier son admiration pour Mussolini jusqu’en 1939, a décidé de le faire disparaître afin d’éviter qu’il ne soit jugé et qu’il ne parle.
    Ce samedi 28 avril, Mussolini et Clara Petacci, qui l’a de nouveau rejoint, sont soustraits des partisans locaux par une équipe de tueurs qui agissent sur ordre de Londres. Sans avertissement, ils sont abattus à la lisière du village de Mezzagra. Les deux cadavres, ainsi que ceux de six dignitaires fascistes, sont emmenés à Milan où ils sont outragés puis pendus par les pieds à la façade d’un garage, place Loreto, face à une foule haineuse.

    1946 : décès, à Croissy, du colonel de La Rocque, né en 1885, des suites de sa déportation par les Allemands en mars 1943, puis de son internement ne France en 1945 par le gouvernement français de la Libération. Le colonel de La Rocque fonda le Parti social français (PSF) et se rallia au Maréchal Pétain. Il est enterré à Saint Clément (Cantal), près du hameau de La Rocque.

    Contre-info.com

  • Naturalisations dans l’Yonne : Cameroun, Congo, Gabon, Guinée, Côte d’Ivoire, Madagascar, Maroc, …

     

    0h33

    23 adultes et 12 enfants ont reçu leur décret de naturalisation, cet après-midi, à la sous-préfecture de Sens. Ces nouveaux concitoyens et concitoyennes sont issus de onze pays : Cameroun, Congo, Gabon, Guinée, Côte d’Ivoire, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal, Tunisie et Turquie.

    Source

    Merci à jeanmarie89000

     

  • Aux sources du génocide arménien

    Posté le 27 avril 2015 à 11h36 | Lien permanent

     

    Quelques rappels opportuns ici, les uns connus, d'autres moins...

    Paula Corbulon

    Le Salon Beige

    A lire absolument

     

    ob_320786_genocide-armenien.jpg 1915.jpg

     

  • « Ça me fait chaud au cœur d’être élue Miss Côte-d’Or »

    18h27

    Quelques heures après sa victoire au concours Miss Côte-d’Or 2015, la jeune Dijonnaise revient sur la soirée de samedi, ses rêves de miss et en dit un peu plus sur elle.

    Le Bien Public

    Merci à Who is Who

  • Privé de discours, Jean-Marie Le Pen compte bien défiler le 1er mai

     

     

    LE SCAN POLITIQUE - S'il n'a pas accès à la tribune, le président d'honneur du FN ne se gênera toutefois pas pour s'exprimer publiquement et se défendre des accusations portées à son encontre par sa propre famille politique.


     

    Pour la 36e fois, Jean-Marie Le Pen devrait bien marcher, vendredi, entre la rue de Rivoli et la place de l'Opéra , à Paris, à l'occasion du traditionnel défilé frontiste du 1er mai. Interrogé par l'AFP, son directeur de cabinet a confirmé la participation du président d'honneur du FN. Et ce malgré sa convocation devant le bureau exécutif de son parti, le 4 mai prochain, après avoir provoqué une crise interne en donnant une interview polémique à Rivarol.«J'ai bien l'intention de venir, si j'ai bien récupéré physiquement», a confirmé l'eurodéputé à Europe 1, dix jours après son hospitalisation pour des problèmes cardiaques. Selon Le Monde, Jean-Marie Le Pen va publier un communiqué cette semaine pour rappeler qu'il est «l'initiateur de la conjonction du 1er-Mai entre Jeanne d'Arc et la Fête du travail» et «appeler les jeunes à manifester».

    Comme l'indiquait Le Figaro vendredi, Jean-Marie Le Pen ne prendra pas la parole à la tribune, aucun autre discours que celui de la présidente du FN n'ayant été annoncé. Habituellement, le patriarche s'exprime devant les militants frontistes réunis sur la place de l'Opéra. L'année dernière, il livrait un discours historique sur Jeanne d'Arc. Un an plus tard, faute de tribune, le fondateur du Front national a promis de s'exprimer devant les nombreux micros qui devront probablement se tendre devant lui. Pas de quoi réchauffer l'ambiance entre Marine Le Pen et son père.

    LE FIGARO

  • HUMOUR - Naufrage des migrants...

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    E&R

  • Népal : Israël évacue en priorité les mères porteuses de bébés destinés à des couples homosexuels

     

    Israël va évacuer en priorité 25 bébés nés de mères porteuses et leurs parents adoptifs, pour la plupart homosexuels, depuis le Népal où un violent séisme a ravagé le pays, ont annoncé dimanche les autorités israéliennes.

    Il y a actuellement à Katmandou 25 nourrissons nés de mères qui les ont portés pour le compte d’Israéliens venus les récupérer au Népal, a expliqué le ministère des Affaires étrangères. Quatre d’entre eux sont des prématurés nécessitant des services médicaux qu’ils risquent de ne pas trouver après le tremblement de terre, a dit le ministère.

    Les Affaires étrangères évaluent à 600 ou 700 le nombre d’Israéliens se trouvant au Népal, la grande majorité d’entre eux étant des randonneurs. Aucun d’entre eux n’aurait été tué.

    Les 25 bébés et les Israéliens qui s’occupent d’eux seront les premiers à monter dans l’avion pour être ramenés en Israël, a dit à l’AFP Sabine Hadad, une porte-parole du ministère de l’Intérieur.

    Les Affaires étrangères se sont montrées prudentes quant à l’imminence de ces départs, qui peuvent être retardés pour des raisons médicales ou des considérations légales népalaises, ont-elles dit. Mais les autorités israéliennes feront tout pour amener ces bébés en Israël, a dit un porte-parole du ministère, Paul Hirschson.

    « Trois de ces bébés devaient partir vers Israël dimanche soir avec huit accompagnateurs », a-t-il dit.

    Sur les 25 enfants concernés, 15 ont vu le jour par l’entremise de Tammuz, une société israélienne prodiguant les services de mères porteuses, a dit à l’AFP son responsable commercial Roy Youldous.

    « La plupart des clients de Tammuz sont des hommes homosexuels », a-t-il expliqué.

    En vertu de la loi israélienne, seuls les couples hétérosexuels ont le droit d’avoir des enfants de mères porteuses.

    Les homosexuels ou les personnes seules se tournent parfois vers la gestation pour autrui dans des pays en voie de développement, une pratique très controversée dénoncée par ses détracteurs comme l’exploitation de la misère. D’autres Israéliens, autorisés à recourir à des mères porteuses, renoncent à le faire en Israël à cause du prix ou de la complexité des procédures.

    « En dehors des Etats-Unis, où les prix découragent également les candidats, le Népal est pratiquement la seule destination possible, malgré les conditions qu’il impose, comme l’exigence que les mères porteuses ne soient pas Népalaises », dit Roy Youldous.

    « Actuellement, 52 parents israéliens, futurs parents ou leurs proches se trouvent au Népal dans l’attente d’avoir un bébé par l’entremise de Tammuz », a-t-il encore précisé.

    « Quatre-vingt femmes, toutes Indiennes, attendent des bébés pour Tammuz », a-t-il expliqué, assurant que les mères porteuses sont suivies par un travailleur social.

    « La clientèle de Tammuz est aussi australienne, brésilienne ou britannique », selon M. Youldous.

    Noa Roth, une femme célibataire, vient d’avoir il y a trois jours sa première petite fille par ce moyen, a dit sa soeur Tamar Rotem à l’AFP.

    Tamar Rotem a expliqué ne pas avoir eu de nouvelles de sa soeur depuis le séisme et s’inquiéter pour le bébé né prématurément et nécessitant des soins particuliers.

    Elle pense que sa soeur et le bébé passent la nuit dans une abri de fortune dressé à l’extérieur de l’hôpital de Katmandou.

    « Nous ne savons pas s’ils ont des médecins ou une équipe médicale à leurs côtés », a-t-elle dit, « nous ne savons pas si on nourrit les prématurés. Nous sommes très inquiets ».

    « Ces bébés sont en danger de mort », s’est-elle alarmée.

    E&R

  • 1er Flash Mob Trad à la gare de l'Est à Paris

    1er Flash Mob Trad à la gare de l'Est à Paris.

    2 thèmes de bourrée 2 temps, danse traditionnelle du Centre-France, http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourr%C3...

    (merci à Dirk)

  • Le chômage a augmenté de 0,4% en mars, nouveau record pour Hollande

    http://www.leparisien.fr/economie/emploi/les-chomage-a-augmente-de-0-4-en-mars-avec-15-400-inscrits-en-plus-27-04-2015-4728937.php

    + Infographie

  • Paris : appel à témoins après le décès d'une femme, bousculée dans le métro

     

    27 Avril 2015, 22h41 | MAJ : 27 Avril 2015, 22h41

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                                                         Illustration. C'est sur la ligne 9, à la station Voltaire, qu'une bousculade survenue le 18 avril vers 21 h 20 a causé la mort d'une femme de 60 ans. La police recherche des témoins de ce drame. LP / J.D.

    La police a lancé lundi un appel à témoins après la mort d'une femme de 60 ans décédée après avoir été bousculée dans une station du métro parisien.

    Samedi 18 avril, vers 21H20, la victime, qui marchait «avec difficulté», a chuté «lourdement en arrière» alors qu'elle tentait de monter dans la dernière rame du métro à la station Voltaire (ligne 9, en direction de la mairie de Montreuil).

     

    «Blessée gravement à la tête», elle est décédée le mardi 21 avril.

    Le 2ème district de la police judiciaire de Paris est saisie de l'enquête pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», précisent la préfecture de police et la direction de la PJ. Un numéro vert (0800 00 27 08) ouvert 24h/24 et 7jours/7 et une adresse mail (pppj-appelatemoin@interieur.gouv.fr) ont été mis en place.

    Le Parisien