Politique en direct - Région en direct
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Politique en direct - Région en direct
Il a échangé quelques mots avec cette jeune femme âgée d'une vingtaine d'années, qu'il connaissait de vue. C'est alors que deux jeunes hommes s'en sont pris très agressivement à elle, faisant fuir l'amie qui l'accompagnait, raconte ce lundi le quotidien La Provence.
«Ils lui ont demandé une cigarette. C'est 8 fois sur 10 la méthode de ce genre de voyous en guise d'approche», expliquait dimanche une source proche de l'enquête. «J'ai vu ces deux types arriver. Ils l'ont coincée dans un coin, ils lui parlaient un peu en arabe, un peu en italien, explique Lamjed au quotidien marseillais. Ils lui ont demandé des cigarettes, puis du shit. Comme elle n'avait rien, l'un a dit à l'autre de sortir son couteau pour la balafrer au visage. Là, je suis intervenu, je leur ai dit d'arrêter, qu'il y avait des caméras et que les flics allaient arriver. Ils ne m'ont pas calculé et ont mis des gifles à la fille. Alors j'en ai repoussé un, je l'ai fait tomber au sol mais je ne l'ai pas frappé.»
«Je me serais senti coupable de n'avoir pas réagi...»
L'agresseur a alors sorti un couteau de son sac. Le jeune Tunisien a essayé de lui échapper mais les autres l'ont rejoint. Il a tenté de se défendre mais a été touché une première fois au mollet. «J'avais beaucoup de mal à tenir debout, mais j'ai réussi à saisir une chaise d'une pizzeria et à les frapper avec.» Un deuxième coup de lame l'a alors atteint au thorax, puis un troisième à l'épaule. Une vingtaine de témoins ont assisté à l'agression, sans intervenir. «On aurait cru qu'ils étaient au cinéma en train de regarder un film», déplore Lamjed. Il a réussi à désarmer son adversaire, avant d'aller s'asseoir, en sang.
Grièvement blessé, il a été transporté à l'hôpital de la Timone dans un état très critique par les marins-pompiers marseillais. Aujourd'hui rétabli, il confie que sa famille, restée en Tunisie, lui a reproché d'avoir pris autant de risques. «Et la jeune fille que j'ai défendue s'est excusée mais elle n'y est pour rien et je ne regrette rien. Je me serais senti coupable de n'avoir pas réagi...» Dimanche, Yves Moraine, le maire des 6e-8e indiquait à La Provence son intention de lui remettre une médaille d'honneur et de solliciter Jean-Claude Gaudin pour qu'il reçoive aussi celle de la Ville.
Les deux agresseurs ont été interpellés par un équipage de la Bac non loin de là, à la station de métro Rond-Point du Prado. L'un d'eux, blessé à la main dans la bagarre, avait laissé des traces de sang derrière lui... Ils ont été placés en garde à vue à la brigade criminelle de la sûreté départementale, saisie de l'enquête. Ils s'agirait de deux jeunes Marocains de 16 et 17 ans, en situation irrégulière. Ils ont été écroués et une information judiciaire a été ouverte.
LE PARISIEN
25/05/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Tandis qu’un montage vidéo incrimine les violences policières, les forces de l’ordre sont au bord de la rupture, coincées entre des clandestins de plus en plus agressifs et le pouvoir politique qui ordonne de ne rien faire.
La vidéo (Youtube) fait le buzz sur internet : on y voit un montage de violences policières, entrecoupées de déclarations lénifiantes de Bernard Cazeneuve. Les images auraient été tournées le lendemain de la visite du ministre de l’Intérieur à Calais, « une journée ordinaire », selon les sous-titres du document.
Les forces de l’ordre sont ulcérées par le procédé visant à les discréditer. Selon Gilles Debove, d’Unité-SGP-Police-FO, ce jour-là, « une demi-compagnie de CRS a dû être rappelée en urgence en renfort, car ça partait de tous les côtés. »
« Une nouvelle fois, on n’y voit que des bribes de vidéos, estime Ludovic Hochart, d’UNSA-police. En général, quand on les voit au complet, la légitimité des interventions est démontrée. »
L’examen des images montre d’ailleurs que les mêmes séquences sont utilisées à plusieurs moments du clip. Mais au delà de cette manip, les forces de l’ordre veulent voir dans leurs réponses musclées aux clandestins la preuve « que les migrants n’ont plus peur des policiers », rendant leur travail de plus en plus difficile.
Les clandestins seraient « plus nombreux et plus agressifs », et les incidents au Tunnel « plus fréquents qu’avant ». L’émeute qui vient de se dérouler dans un camp de clandestins, faisant 14 blessés, ou le pillage de camions témoignent d’ailleurs de la violence de plus en plus grande qui règne parmi cette population. De plus, des chauffeurs poids-lourds anglais ont décidé de boycotter Calais, de peur que l’un d’entre eux soit un jour tué par un clandestin.
Délégué régional d’UNSA-Police, Denis Hurth pointe aussi l’insuffisance des effectifs : « entre 35 et 70 hommes à l’instant T, face à près de 2 000 migrants ».
Cerise sur le gâteau, les CRS ont reçu depuis la diffusion de ce clip l’instruction de ne plus rien faire, pour éviter les vagues.
On ne fait plus notre boulot de flic, on fait de la politique ! déclare un CRS. Depuis la vidéo, on nous demande d’être soft et de ne rien faire.
Naturellement, il est plus simple d’incriminer les policiers que de tenter de résoudre le problème. Une fois de plus, c’est la stratégie du thermomètre cassé qui prévaut pour résoudre les accès de fièvre. Les clandestins seront eux contents de savoir que l’on doit les laisser tranquilles et que de plus, le Défenseur des droits Jacques Toubon a pris fait et cause pour eux. Selon lui, ils doivent pouvoir bénéficier du droit d’asile en France : « Ils ont aussi un certain nombre de droits lorsqu’ils séjournent sur notre territoire », notamment le droit à l’hébergement.
Crédit photo : capture d’écran de la vidéo montrant les violences policières
NOVOpress
A l’annonce de l’arrivée de migrants à Marino, petite ville située aux portes de la capitale italienne, la rage des habitants s’est transformée en furie incontrôlable à tel point que, dans la nuit du 21 au 22 mai, 8 appartements destinés à 78 migrants ont été détruits.
Cette nuit là, les vitres ont été cassées et tout ce qu’il y avait à l’intérieur des logements a été détruit : les lits, les radiateurs, les wc, les cuisinières et le mobilier.[...] Désormais, ces appartement ne sont plus vivables et il est probable que l’arrivée des réfugiés soit momentanément retardée.
La situation est explosive à la rue Cesare Colzza 55, à quelques 30 km de Rome. Hier, une centaine de citoyens, pour la plupart locataires dans les immeubles voisins, ont protesté toute la journée. Ils étaient protégés par la police anti-émeutes. (…)
Merci à natacha3
Cinq membres d’un groupe « néonazi » de Haute-Saône, interpellés l’an dernier, ont été condamnés vendredi à Vesoul à des peines de prison ferme allant de 3 mois à 2 ans, tandis que deux autres ont écopé de 6 mois avec sursis. Ils ont été condamnés pour avoir organisé ou participé à un «groupe de combat» appelé «Blood & Honour C18», pour des dégradations de biens, la plupart par des tags, en Haute-Saône et dans le Doubs et pour «provocation» à la haine raciale ou à la violence.
Ils avaient au départ été mis en examen pour «organisation et participation à un groupe de combat» et «association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit puni de 10 ans de prison» mais ne nourrissaient en réalité, d’après les investigations, « aucun projet concret en dehors de leurs provocations ».
Les peines sont lourdes, 18, 20 et 24 mois ferme, pour les trois leaders du groupe, âgés de 29, 30 et 44 ans, pour des graffitis finalement. Plus que ne prennent la plupart des violeurs et dealeurs, par exemple…
L’explication est donnée par le président du tribunal correctionnel de Vesoul, Fernand Kato, et elle est très inquiétante pour tous les citoyens : leurs comportements auraient été « quelque peu dangereux pour l’image de la République » !
Avec un argumentaire aussi flou et idéologique, le Régime peut coller des années de prison ferme à ses opposants…
25/05/2015 – MONDE (NOVOpress)
Italie : Les maires ont l’ordre d’accueillir des clandestins et de leur servir café au lait, biscuits et confiture
Les clandestins africains débarquent toujours plus nombreux et les maires ont de plus en plus de réticences à les accueillir. Aussi le ministre de l’Intérieur italien, Angelino Alfano – l’ancien dauphin de Berlusconi –, a-t-il décidé d’adopter la manière forte. Toutes les communes italiennes de plus de 300 habitants reçoivent désormais d’autorité leur quota du fardeau : un « réfugié » entre 300 et 1000 habitants ; deux « réfugiés » à partir de 1000 habitants ; six « réfugiés » à partir de quatre mille habitants, et ainsi de suite. Une circulaire du ministre, transmise par les préfets, donne aux maires des ordres minutieux, propres à leur causer des difficultés inextricables. Le quotidien Il Tempo a recueilli le témoignage, qui vaut pour beaucoup, de Gianni Scarabotti, maire de Mandela, une commune de 916 habitants dans une région sinistrée de la province de Rome.
Que vous demande la préfecture ?
– De loger un réfugié dans une structure appropriée.
Et votre mairie a une structure appropriée ?
– Mais avec moins de mille habitants comment est-ce que nous pourrions avoir une structure appropriée ? Il n’y a même pas une banque, même pas un distributeur de billets : aucun établissement de crédit n’ouvre un guichet ici. Bien sûr que nous n’avons pas de structure appropriée.
Et comment aller vous faire ?
– Je vais devoir lui trouver un endroit… Lui louer une maison. Que sais-je ? Un studio.
Combien ça coûte par mois un studio à Mandela ?
– Plus ou moins 300 euros.
Et qui paie ?
– L’État. Dans la circulaire les communes sont informées qu’elles recevront un montant de 35 euros par jour pour le logement, trois repas, les vêtements, la blanchisserie, les services. Cela fait à peu près mille euros par mois.
Et pour la nourriture ?
– Je vais devoir passer une convention avec un restaurant local, je vais devoir m’organiser… Peut-être qu’avec 7 à 10 euros par repas je m’en tirerai. Comment est-ce que nous payons les vêtements ? Et le nettoyage, qui le fait ? Et puis il y a le problème du menu.
Du menu ?
– Eh oui ! Dans la circulaire, par exemple, il est dit que, au petit-déjeuner, nous devons servir du café au lait ou du thé, avec des biscuits ou des biscottes et de la confiture. Mais est-ce que nous devons l’apporter à l’immigré à domicile ? Et qui est-ce qui le lui porte ? Peut-être pourrions-nous passer une convention avec un bar où il puisse retirer son repas.
Je comprends. Mais revenons au menu.
– Supposons qu’arrive ici un musulman, nous devons lui préparer un menu adapté à sa religion. Le Ministère de l’Intérieur nous l’ordonne. Mais ici nous avons des sangliers, des porcs… Les musulmans ne mangent pas cette viande-là ! Les restaurants font de la cuisine locale. Il y a du porc ! Et qu’est-ce qu’ils doivent préparer comme menus de substitution ? Du poulet, du riz ? Pour ne pas parler de la langue. Si l’immigré ne parle pas anglais ou français, comment faisons-nous ? Nous ne sommes pas préparés, nous n’avons pas de personnel spécialisé.
Il est impossible que l’immigré trouve un emploi ?
– Euh… Je ne sais pas… Voyez, nous avons dans le village cinq compatriotes qui sont en situation de précarité. Ils ne travaillent pas. Chaque mois, la mairie leur donne un bon de 350 euros.
Vous êtes en train de me dire qu’un immigré vit avec mille euros par mois et cinq Italiens avec 350 euros chacun ?
– Exactement. Mais attention : pour l’argent que nous donnons à nos compatriotes sans travail, l’État ne nous rembourse par un centime. Au contraire, chaque année il retire des ressources aux communes. Mais le gouvernement nous donne l’argent pour le réfugié. »
À ce stade, le journaliste estime urgent de faire préciser au maire qu’il n’est pas raciste. Il avait même organisé, dans sa commune de Mandela, un hommage à Nelson Mandela. Le maire récite consciencieusement sa leçon sur « ce symbole de la lutte contre le racisme et l’apartheid, exemple pour le monde entier, grande leçon pour l’Occident qui se prétend civilisé ». C’est bouleversant, bien sûr, mais ça ne règle pas le problème du petit-déjeuner à servir au clandestin tous les matins.
Crédit photo : LPLT via Wikipedia (CC) = église San Vincenzo di Mandela, commune de Mandela, Italie
David via Flickr (CC) = petit déjeuner
25/05/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Toujours sans nouvelles du maire de Venelles, notre confrère Francis Gruzelle, éditorialiste sur ripostelaique.com, a déposé un avis de signalement de disparition de personne.
Injoignable à sa mairie ou son domicile, introuvable dans les hôpitaux de la région, comptes Facebook et Twitter fermés, Robert Chardon semble avoir été « rayé de la carte » depuis ses déclarations-choc sur la nécessité d’interdire le culte musulman en France. Aux dernières nouvelles, il avait été interné en hôpital psychiatrique après ses déclarations, mais nul ne sait dans quel établissement le maire a été placé.
Devant l’impossibilité de joindre le maire de Venelles ou même de trouver trace de lui, Francis Gruzelle a déposé un signalement de disparition de personne à Madame le Procureur de la République Dominique Moyal près le Tribunal de Grande Instance d’Aix-en-Provence.
Espérons que cette démarche officielle sera suivie d’effet.
Crédit photo : Robert Chardon, le 24 juillet 2012
Cet homme de 27 ans avait décidé de ne pas baisser les yeux, de ne pas faire comme s'il n'avait rien vu de l'agression qu'était en train de subir une jeune femme d'une vingtaine d'années à l'arrêt de bus Michelet, sur le boulevard du même nom, dans le 8e arrondissement de Marseille. Alors vendredi vers 21 heures, Lamjed, un Français d'origine tunisienne qui attendait lui aussi un bus, est intervenu pour que les deux jeunes, âgés d'environ 18 ans, cessent d'importuner très agressivement leur proie qui venait déjà d'être abandonnée par une amie, terrorisée par leurs comportements.
"Ils lui ont demandé une cigarette. C'est 8 fois sur 10 la méthode de ce genre de voyous en guise d'approche", expliquait hier un enquêteur. Cette intervention courageuse et louable - trop rare, sans doute parce que souvent dangereuse - lui a valu plusieurs coups de couteau dans le ventre. Les deux garçons armés de lames se sont acharnés sur lui.
Grièvement blessé, Lamjed a été retrouvé par les marins pompiers , baignant dans une mare de sang. Il a d'abord été transporté dans un état très critique à l'hôpital mais, selon nos informations, sa vie ne serait plus en danger.
Un équipage de policiers de la Bac a pu interpeller les jeunes hommes qui se sont rendus coupables de cette tentative de meurtre, dans l'enceinte de la station de métro Rond-Point du Prado. L'un d'eux s'était blessé à la main au cours de la rixe et les fonctionnaires ont donc pu les suivre à la trace... de sang.
Ces deux jeunes, qui seraient en situation irrégulière sur le sol français, sont actuellement en garde à vue à la brigade criminelle de la sûreté départementale qui a été saisie de l'enquête. "Dans la presse, vous vous faites écho des plus graves agressions, mais les blessures par coups de couteau sont légion à Marseille, continuait l'enquêteur, que nombre de jeunes en portent sur eux, c'est déjà grave, mais qu'ils s'en servent aussi souvent et facilement, c'est encore autre chose..."
LA PROVENCE
Ranson
Ave María de Franz Schubert interpretada por Las Hijas de María, Madre de Nuestro Salvador.
http://www.bfmtv.com/planete/une-tortue-de-mer-sauvee-grace-a-l-impression-3d-887904.html
La nouvelle a été révélée dans les médias, notamment sur l’antenne de Sud radio, par Geoffroy Le Jeune, chef du service politique de Valeurs actuelles. Marine Le Pen informait dernièrement le Bureau Politique du FN avoir eu connaissance, de sources sûres, d’une volonté du tremblotant Manuel Valls d’interdire le Front National. Une solution certes radicale pour clore notamment tout débat sur l’opportunité d’un changement de nom de notre Mouvement! Marine a ainsi annoncé que le Premier ministre aurait demandé à ses services la rédaction d’une note juridique pour savoir si ladite interdiction pouvait reposer sur une base légale, fondée en droit. Nous savons que les adversaires de l’opposition patriotique, de l’UMP au Front de Gauche, contestent le caractère républicain d’une des piliers du programme frontiste, à savoir notre volonté de réinstaurer la préférence (priorité) nationale et plus largement de redonner aux Français la maîtrise de leur destin. Et cela, le Système ne nous le pardonne pas.
Dans le années 90, l’actuel premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, Jean-Luc Mélenchon, tous les partis d’extrême gauche, des journaux comme Libération, Charlie hebdo, des officines antiracistes comme SOS racisme, la Licra, le Mrap, des lobbies divers et variés, des figures du petit monde intellocrate tous dressés contre le FN, «le parti de la pensée sauvage » comme le définissait Jean Baudrillard, ont mené campagne pour la liquidation du FN.
Une campagne qui avait été enrayée de manière assez nette après les aveux de l’ancien Premier ministre et candidat malheureux face à Jean-Marie Le Pen en 2002, Lionel Jospin. Invité le 27 octobre 2007 de l’émission Répliques sur France culture, M. Jopsin avait avoué la supercherie : «Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste, donc tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front National, qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste aussi, à sa façon, mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste, et même pas face à un parti fasciste ». Propos réitérés par M. Jospin, qui a de nouveau prouvé par là qu’il était un homme honnête et estimable, lors de son passage dans l’émission de Laurent Ruquier sur France 2 en 2010.
Dernièrement, du fait de la montée en puissance électorale de l opposition patriotique, cette idée d’interdire le FN circule de nouveau de manière plus ou moins implicite dans une médiasphère accusant grotesquement le FN de parenté avec le nazisme -voir notre article publié hier. Une volonté d’acclimater les esprits à la liquidation du Front dont témoigne en février dernier, exemple parmi d’autres, la saillie du (mauvais) député PS du Bas-Rhin, Philippe Bies. Ce dernier avait ainsi déclaré sur Twitter, réagissant à l’abjection de la profanation du cimetière juif de la commune de Sarre-Union: «C’est sans doute une coïncidence mais le FN a fait près de 41% aux dernières municipales à Sarre-Union»… Invité début mai par Léa Salamé sur France Inter, l’avocat au barreau de Lille, Éric Dupond-Moretti, s’était clairement prononcé pour une interdiction du Front: «c’est un parti qui n’est pas républicain (…). Je pense qu’il faut l’interdire, oui. Mais c’est compliqué». Peut être plus compliqué en effet que de multiplier à son encontre, comme cela est le cas ces derniers mois, les procédures et les enquêtes fallacieuses pour l’entraver et salir son image…
Invité aujourd’hui de l’antenne de Sud radio, le très décrié député UMP de l’Oise, Eric Woerth, a fait part de l’embarras d’une partie du Système devant la révélation au grand jour de cette volonté d’éradication. « Ce genre de questions ne fait que renforcer le FN » a-t-il dit. «Le Front National véhicule des idées d’extrême-droite, mais qui sont autorisées. Ce type de débat, ça fait monter le FN parce que ça énerve les gens. Je suis à l’opposé de ce qu’il propose (…) mais il est autorisé par la République. C’est un adversaire en tant que parti. L’interdire, c’est autre chose. Peut-être que M. Valls se dit qu’il est incapable de faire baisser le Front National par d’autres méthodes. »
« Le FN est un parti a poursuivi M. Woerth. Tant qu’il reste dans les valeurs constitutionnelles de notre République, il n’y a aucune raison (de l’interdire). Ce n’est pas seulement le FN. Toute organisation qui briserait le droit constitutionnel, qui irait sur un terrain juridique impossible, serait interdite. C’est vrai pour tout le monde ».
Il est certain que le FN, lui, ne prône pas l’interdiction de l’UMP et du PS, dont les dirigeants n’ont que le mot «République» à la bouche, mais qui ont pourtant commis des atteintes bien réelles, tangibles, contre notre République française. Bruno Gollnisch constate, comme l’avait fait dans une tribune peu avant sa disparation l’historien Dominique Venner, que les partis dits de gouvernement ont privé notre pays des trois attributs de la souveraineté Française. A savoir «la capacité de faire la guerre et de conclure la paix», dont nous sommes privés du fait de notre inféodation à l’Otan et aux Etats-Unis; la capacité de «battre monnaie» que nous avons abandonné à la technocratie mondialiste bruxelloise et bien sûr « la maîtrise du territoire et de la population». Autant de raisons pour la Caste aux abois de faire taire le FN, et à travers lui , la colère du peuple français qu’elle s’échine à museler et bafouer.