La courbe de notre décadence dégringole inexorablement.
Chômage et pauvres record, mal payés en masse, valeurs morales saccagées, respect familial bafoué, communautarisme exacerbé, liberté de pensée et d’arrière-pensée pourchassée, délinquances dans tous les coins, drogues dans tous les recoins, policiers mis en examen, délinquants mis en liberté, pension complète aux étrangers sur fond d’immigration totale sacralisée.
Que ce soit les travers d’une gauche, c’est évident : son idéologie communiste mortifère a laissé place à un mondialisme maçonnique. Mais que penser des 75 % de ce centre et de cette droite molle qui, complexés, ont poursuivi l’œuvre destructrice d’apprentis sorciers ? Par leur manque de courage et leurs connivences, aucun espoir à attendre d’eux !
Durant cette alternance oligarchique, que de grands coups de com’ et de mensonges ! Les uns procédant par réformettes en supprimant les réformettes des autres !
L’heure a sonné. Le mur du non-retour est là. Devant lui, un faible espoir demeure.
Derrière, comme son homologue israélien, il deviendra mur des lamentations.
Alors, quid de notre avenir ?
Le PS, au trop-plein d’idéologues, poursuivra laxisme, incompétence et leçons de morale.
L’ex-UMP, au trop-plein d’insignifiants, poursuivra peu ou prou la même ligne politique, malgré ses dénégations officielles.
Quant aux médias (85 % de gauchistes), ils continueront allègrement la désinformation et non-information, en toute partialité. N’attendez d’eux que des informations futiles.
Pour apprendre les faits importants, il faut consulter le Net, lequel d’ailleurs est en sursis, visé dans le collimateur de tous ces démocrates autoproclamés.
Quel autre grand parti peut-il influencer le cours de l’Histoire, sinon le FN !
Certes, on peut l’exécrer, ne pas lui pardonner ses petites ou grandes phrases, lui reprocher sa néo-orientation extrême-gauchisante, son refuge de mignons, le parricide, son europhobie et, plus généralement, d’avoir dans son sein autant de tordus que chez les autres. Il n’empêche que c’est le seul des grands mouvements à proposer d’aller dans un sens vital, le seul bon sens : celui d’arrêter net toute immigration.
Certes, il aura autant de difficultés à réduire la misère, le chômage, le déficit, et à résister à la multitude d’adversité et de grèves qui vont surgir spontanément. Mais perdre son identité, sa culture, sa religion, sa langue, ses mœurs, ses racines, c’est la fin de notre civilisation. C’est hautement plus important qu’être chômeur ou miséreux, état qui peut être provisoire.
Vu la situation des envahisseurs adeptes de la religion « d’amour et de paix », le plein-emploi et la liberté des mœurs ne sont pas du tout garantis, loin de là !
On risque donc d’être apatride, acculturé, dhimmi et néanmoins chômeur ! Un comble…
Alors, perdu pour perdu, tentons des personnalités vierges de tout passif politique aux prochaines élections.