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  • Délit d’opinion

     

    Christine Boutin condamnée pour avoir dit : "L’homosexualité est une abomination, mais pas la personne"

    Le tribunal correctionnel de Paris a condamné ce vendredi Christine Boutin pour provocation à la haine ou à la violence contre les homosexuels et 5000 € d’amende. L’ex-présidente du Parti chrétien avait déclaré que « l’homosexualité est une abomination » dans la revue trimestrielle Charles en avril 2014. Elle a d’ailleurs déjà annoncé sur Twitter son intention de faire appel.

    Christine Boutin doit par ailleurs verser 2000 euros de dommages et intérêts à l’association de lutte contre les discriminations liées au sexe Mousse et ainsi qu’à l’association Le Refuge.

     

    Le tribunal correctionnel a été au-delà des réquisitions du procureur, qui avait réclamé à l’audience fin octobre une amende de 3.000 euros à son encontre.

    Dans un entretien au magazine Charles paru en avril 2014 sous le titre « Je suis une pécheresse », Christine Boutin affirmait :

    « L’homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Le péché n’est jamais acceptable, mais le pécheur est toujours pardonné ».

    Lire la suite de l’article sur leparisien.fr

  • Trierweiler joue la mère Noël auprès des migrants à Pantin

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    Sebastien Thomas | | MAJ :

     
    Pantin, samedi midi. Valérie Trierweiler est venue partager le noël des migrants, organisé par le Secours Catholique (LP/ST.)

    Avec son bonnet rouge vissé sur la tête, Valérie Trierweiler s’est facilement prêtée au jeu des photos ce samedi midi lors du noël du Secours Populaire, association dont elle est la maraine. Cette année, les responsables ont décidé de l’organiser à Pantin, dans un restaurant d’insertion, et surtout d’inviter des familles de migrants syriens et irakiens en plus des filleuls que suit l’association. «Il fallait montrer que l’on ne les oublie pas, souligne-t-elle. Surtout depuis qu’on a appris qu’un des terroristes s’est fait passer pour un migrant. C’est un moyen de lutter contre les amalgames

    Ainsi une quarantaine de personnes ont partagé le repas de noël avec les bénévoles. Un moment important pour Ali, irakien, venu avec sa femme et ses deux enfants, installé dans le Val d’Oise. «C’est une occasion formidable pour s’intégrer, s’enthousiasme-t-il. C’est aussi un moyen d’associer toutes les religions et montrer qu’on peut parfaitement s’entendre». Ce ne sont pas les enfants, tous coiffé d’un bonnet... vert qui diront le contraire. Et pourquoi vert ? «C’est la couleur de l’espérance, précise Julien Lauprêtre, président du Secours Populaire. En fait nous suppléons le père Noël en intervenant auprès de ceux qui n’ont pas eu la chance de le voir.»

    NdB: Bonnets verts parce que le vert est la couleur de l'islam!

    LE PARISIEN

     

     

  • Le nouveau bipartisme : FN contre RPS – par Guillaume Faye

     

     

    19/12/2015 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Il était prévisible que le Front national n’emportât aucune présidence de région. Mais sa progression est considérable : plus de 6,8 millions de suffrages au soir du second tour. Seul contre tous, il s’est confirmé comme premier parti de France face aux deux coalitions objectivement alliées LR–Centristes et PS–extrême gauche. Le RPS. Ces élections régionales ont été en fait un référendum pour ou contre le FN. Son ascension vers le pouvoir a commencé mais elle sera incertaine, difficile et explosive.

    Le plafond de verre existe toujours mais il monte…

    Au second tour des élections régionales, le 13 décembre, plus de 6,8 millions d’électeurs ont donc voté FN, un record historique. Il a dépassé les 6,4 millions de la présidentielle de 2012 alors que la participation était plus forte de vingt points cette année-là. Le FN est le seul parti capable de rassembler un tiers de l’électorat. La coalition droite–centristes a accumulé (avec l’apport artificiel de voix de gauche anti-FN dans trois régions) 41% des suffrages, la coalition de gauche 30% et le FN seul 29%.

    Au plan national, comme le sanglier poursuivi par la meute, le FN seul affronte à droite LR, UDI, le Modem et à gauche PS, Radicaux de gauche, Front de gauche, EELV et PCF, soit huit formations politiques contre une. La grande ligue.

    Obtenir près de 30% des suffrages exprimés, c’est à la fois énorme pour un parti considéré comme d’ ” extrême droite” (dans les années 80, quand le FN dépassait la barre des 10% ont parlait de séisme…) mais insuffisant : bien que premier parti de France, dans ce nouveau système tripartite (en apparence seulement), le Front national doit affronter deux coalitions plus ou moins alliées, celle de la droite et des centres et celle de la gauche et de l’extrême gauche. Il joue à un contre deux. 30% des électeurs sont pour lui mais 70% contre, ne l’oublions pas. Les jeux ne sont pas faits. Le plafond de verre est à 50% des suffrages exprimés. Le FN, isolé et sans alliances, en est encore loin. Mais il ne faut jurer de rien. C’est la marée qui monte, poussée par le vent des événements…

    Le vote FN a progressé de 7 point sous Sarkozy et de 10 sous Hollande. 57 % des Français estiment que le FN est un ”parti comme les autres”. Il y a dix ans, ils étaient à peine 10% à le penser. Cela dit le vote massif pro-FN, d’un point de vue sociologique, n’est pas ”politique”, au sens classique, mais plutôt symbolique. C’est une sorte d’appel au secours, dont la submersion migratoire est la première motivation.

    La coalition anti –FN : les Nuls contre les Inconnus

    Nous ne sommes pas dans un nouveau système tripartite (droite, gauche, FN) mais dans un duel droite–gauche contre FN. Comme le reconnaît Guillaume Tabard (Le Figaro, 14/12/2015) : « de Manuel Valls à Alain Juppé […] en passant par Bertrand et Estrosi, la tentation ou le désir d’un nouveau paysage bipolaire affleure, autour de la seule question du Front national ». Le bloc, l’agrégat bicéphale Républicains et alliés avec PS et alliés, qu’il faut nommer RPS, s’oppose donc au FN dans une nouvelle configuration bipartisane de fait. Pour l’opinion publique, ceux qui ont gouverné (RPS) s’opposent à ceux qui n’ont pas encore gouverné (FN). Les nuls contre les inconnus.

     

    Christian Estrosi, symbole théâtral du politicien roué, félicité par Manuel Valls pour sa victoire, s’est posé en « résistant » face au FN (allusion ridicule et insultante à la vraie Résistance de 1940–1944) et a assuré qu’il créerait un « conseil territorial » pour gouverner la région PACA avec la gauche. Alain Juppé : « merci à ceux qui ne partagent pas nos idées et qui se sont mobilisés pour éviter le scénario du pire. Cela nous oblige ». Sous entendu : on est tous d’accord, droite et gauche contre le FN.

    Non seulement la gauche s’est désistée en faveur de la droite et du centre dans les régions Nord et Sud-Est, ce qui prouve que l’animadversion anti FN est plus forte que le sacrifice de tous les élus régionaux, mais les gagnants, MM. Bertrand et Estrosi, ont promis qu’ils ”tiendraient compte” des voix de gauche qui les ont fait élire. Autrement dit, ils mèneront la même politique que la gauche, avec d’infimes nuances, comme cela se passe au niveau national. Le RPS est donc bien un fait politique et la divergence gauche–droite n’est pas programmatique ni idéologique mais politicienne.

    Elle peut être idéologique, mais en paroles seulement, pas en actes. Mme Pécresse, nouvelle présidente de l’Ile–de–France par exemple – j’en fait le pari– n’abolira pas la remise de 75% sur le prix des transports pour les immigrés clandestins., par ailleurs constitutionnellement illégale. M. Raffarin : « nous devons travailler avec le gouvernement car le FN est un adversaire commun ». NKM, Estrosi et Bertrand parlent de « rassemblement républicain » contre le FN. M. Sarkozy, lui, avec son ”ni ni” ne sait plus où il habite. Un projet stratégique de recomposition politique est en cours pour former un barrage–bloc gauche–droite contre le Front national. LR, ex UMP, est en panne de programme ; le carriérisme politicien est le seul horizon de ses dirigeants. L’alliance droite modérée–centre mou– gauche contre le FN est la coalition qui se dessine après ces élections.

    Alain Juppé a d’ailleurs déclaré le 11 décembre qu’aux prochaines législatives, il appellerait au retrait du candidat de droite arrivé troisième en cas de triangulaire ou à voter pour le PS en cas de duel. Ce qui prouve bien qu’une bonne partie des caciques de la coalition molle LR–Centre voit cette dernière comme alliée de la gauche contre le FN. Il y a, dans le raisonnement de la classe politique, l’idée d’un bloc moralement légitime gauche–droite majoritaire contre un FN moralement illégitime, minoritaire mais en dangereuse progression. Le problème est que le ”peuple électoral ” pense de moins en moins ainsi.

    La bonne vieille tactique du ”front antifasciste”

    La tactique du PS (M. Valls) –comme de François Hollande en prévision du second tour de la présidentielle de 2017– consiste à dire : ”la question n’est pas de voter pour nous et notre programme mais de voter contre ce FN d’extrême droite, pour faire barrage à l’horreur”. La logique de légitimation positive (”notre programme est le meilleur, votez pour nous”) cède la place à celle de la légitimation négative : ” notre bilan est mauvais, mais l’essentiel n’est pas là ; votez pour nous pour vous éviter le pire, le Front national ”.

    Face à la montée du Front national, on s’emploie donc à ressusciter la tactique communiste du Komintern inventée par les services soviétiques dans les années trente, le « front antifasciste ». Le « front républicain » n’est que la réplique essoufflée de ce dernier. Sauf que le FN est sans doute plus ”républicain” et démocrate que les sectes partisanes et oligarchiques qui usurpent ces termes. Quand on patauge dans l’échec complet et qu’on n’a rien à offrir, on utilise cette ressource, en ignorant que le FN n’a rigoureusement rien à voir avec les mouvements fascistes, comme l’a démontré le politologue et historien des idées politiques Pierre–André Taguieff.

    L’argument selon lequel le FN serait l’héritier de Vichy (qui était un régime de gauche, ne l’oublions pas, soumis à l’occupant national–socialiste, ne l’oublions pas non plus), rabâché par l’intellocratie, n’a aucune prise sur l’électorat, notamment des nouvelles générations.

    Un conseiller de l’Élysée, cité par Le Figaro (08/12/2015) déclare : « Hollande veut apparaître comme le candidat de la République et du rassemblement, contre le terrorisme et l’extrême droite […] Il fait le pari qu’il sera face à Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017 » Hallucinant mais vrai : le FN est mis sur le même curseur de dangerosité que le terrorisme islamique. Le FN est comparé à Dae’ch. Cette rhétorique est tellement dépourvue de bon sens qu’elle est évidemment contre productive.

    Le soir du premier tour des régionales, le 6 décembre, sur les plateaux télé, on a entendu des politiciens de gauche ou LR comparer le FN au « péril brun » (allusion à la ”peste brune” nazie) ou l’assimilant à un danger pour la ”république”, la démocratie, les libertés publiques. Au soir du second tour, on a rabâché sur les TV à la face des (rares) invités FN placides: ” vous n’êtes pas des républicains ni des démocrates ”. Sous entendu : vous êtes des nazis dissimulés.

    Et ces paroles ignobles provenaient de gens, associés électoralement au Parti communiste et aux trotskistes, abreuvés au lait d’un marxisme qui, comme l’islam(isme), a multiplié les crimes contre l’humanité. Inversion de la réalité, incongruité. Passons.

    L’oligarchie ”démocratique” contre le populisme

    Diaboliser le FN, le présenter comme un danger majeur pour la démocratie, la République, les ”valeurs” (lesquelles ?), comme un risque de dictature, fonctionne parfaitement bien pour un certain nombre d’électeurs (droite ou gauche). La question est de savoir combien tombent dans ce piège : de moins en moins, d‘après les sondages, mais toujours suffisamment pour créer un ”plafond de verre”, qui monte, certes, mais qui se situe toujours en dessous du seuil fatidique de 50%.

    En effet, un certain pourcentage d’électeurs préfère voter pour la coalition droite–gauche que pour le FN, représenté comme un parti spécial et dangereux. Mais exclure idéologiquement le FN de l’arc politique légitime gauche–droite est une tactique à double tranchant : ce peut être pertinent dans l’effroi (positif) mais aussi susciter l’exaspération par la grosseur du mensonge (négatif). L’ennemi principal et objectif de l’oligarchie (qui se réclame évidemment de la ”démocratie”, comme le faisaient les soviétiques) c’est le ”populisme”, le peuple autochtone, dont la représentation symbolique (plus que politique) est le Front national.

    Pour les idéologues de gauche, inspirés par le trotskisme bourgeois du think tank Terra Nova, les ”classes dangereuses”, ce sont les masses des électeurs FN et de la ”Manif pour Tous” qui a marqué les esprits et fut sévèrement réprimée par la police. Ce ne sont pas les banlieues islamisées et violentes qui effraient mais ces petits Blancs de la France périphérique qui osent faire de la résistance par leur vote silencieux. Le peuple de souche des classes populaires est placé sous la surveillance attentive de l’oligarchie et de ses alliés objectifs. Vous devinez lesquels.

    Un vote FN symbolique et insurrectionnel

    La carte des scores électoraux FN au premier tour des régionales regroupe à peu près exactement celle des zones à forte présence d’immigration afro-maghrébine et d’islamisation. Fait sociologique incontournable. La motivation du vote massif FN de la part de nouveaux électeurs n’est ni celle d’un vote protestataire ni celle d’un vote d’adhésion mais, entre les deux, celle d’un vote insurrectionnel.

    Le programme économique du FN que j’ai souvent critiqué (voir autres articles de ce blog) importe assez peu pour ses électeurs. Même ceux qui sont libéraux passent l’éponge et votent FN, un peu à l’aveugle, pour ”essayer autre chose”. Immigration et islamisation non maîtrisées, délinquance explosive, justice anti répressive, Éducation nationale déliquescente, sont les principales raisons du vote FN. La question de la résorption du chômage vient, contrairement aux discours des politologues télévisuels, en second lieu.

    Cela dit, la position brutale du FN pour l’abandon de l’Euro, très irréfléchie, lui a probablement fait perdre plusieurs points dans ses scores électoraux. La direction du FN a très médiocrement piloté son programme économique et social, ce qui lui a fait perdre – et empêché de capter – plus de voix qu’elle n’en a gagnées. C’est la faiblesse majeure du FN. Ses solutions en matière économique sont superficielles, amateuristes et déconnectées de la réalité. Elles constituent un verrou. Elles sont sans originalité, banalement alignées sur la politique pratiquée depuis des décennies par les gestionnaires d’un État Providence en faillite. Manque d’audace et de talent. Dommage : gros handicap pour le FN.

    Les propos racistes anti Blancs (et ethnomasochistes) de M. Claude Bartolone à l’encontre de Valérie Pécresse, accusée d’être la candidate de la « race blanche », ont probablement abouti non pas à faire voter pour lui des abstentionnistes ”Beurs–Blacks” du 93 comme il l’espérait, mais à accentuer un report de voix FN (vote utile) vers son adversaire féminine LR., et à le faire battre. M. Bartolone n’est pas réputé, même au PS, pour être un génie…

    La dynamique sociologique du FN

    Mais ce nouveau bipartisme est une autoroute pour le Front national. Il apparaît comme la seule force d’alternance à une classe politique droite/gauche qui a échoué dans tous les domaines, dont le bavardage idéologique fut inversement proportionnel aux actes, aux résultats. Il est probable que le FN va continuer de bénéficier de fuites d’eau d’électeurs(–trices), d’élu(e)s et de diverses forces (y compris LR et gauche) qui vont rejoindre ses rangs. Pour des raisons à la fois idéologiques et d’intérêt, sincères et insincères. C’est la nature humaine.

    Dans ce contexte, les petits partis souverainistes ou identitaires en orbite autour du FN, qu’ils s’y opposent ou lui fassent du genou, vont très probablement se vider de leur encadrement et le rejoindre.

    M. Malek Boutih, député PS de l’Essonne, probablement le plus lucide des élus de gauche sur la situation du pays, auteur d’un rapport percutant sur les banlieues défrancisées et islamisées qui va dans le sens des analyses politiquement incorrectes de l’historien Georges Bensoussan, disait récemment que contre la progression du FN, il fallait en finir avec les incantations sur les ”valeurs” et « passer aux actes ». Passer des mots à l’action. Il a raison. Mais son propos est ambigu. Passer aux actes pour faire régresser le chômage et la paupérisation ? Il faudrait des recettes libérales, à la manière suisse ou anglaise. Impensable pour le logiciel socialiste. Passer aux actes pour limiter l’immigration, la criminalité, l’islamisation, racines du vote FN ? Là, il faudrait se tourner vers une solution à la japonaise. Impensable pour le logiciel socialiste. Ou bien passer aux actes pour promouvoir une ”identité heureuse” à la Juppé, un ”vivre ensemble” des intellos germanopratins, un ”islam des Lumières” ? On nage dans le rêve et c’est l’impasse.

    Le premier parti de France ne dirige aucune région ou département, peu de communes et se trouve quasi absent de l’Assemblée et du Sénat. Néanmoins il a obtenu 358 conseillers régionaux. Cette frustration des électeurs FN et des abstentionnistes favorables au FN va probablement renforcer à l’avenir son implantation. Surtout si – ce qui est prévisible – de nouveaux attentats islamiques ont lieu, si les problèmes divers liés à l’immigration incontrôlée et à la criminalité s’accentuent, ce qui est inévitable.

    Le spectre de la guerre civile

    M. Valls, dans son syndrome colérique permanent, a déclaré que le FN était « raciste et antisémite ». Antisémite ? Qui est antisémite en France, qui menace et qui tue les Juifs ? Le FN ? Les cathos de la Manif pour Tous ? Non. Des gens issus de cette immigration musulmane que chérit le pouvoir socialiste et ses alliés trotskistes ”antisionistes” –concept euphémique. La pensée de gauche est à la fois obsolète et perverse.

    Manuel Valls, Premier ministre irresponsable qui aime à rabâcher en boucle qu’il ”prend ses responsabilités”, a affirmé aussi que le Front national portait en lui « les germes de la guerre civile ». Les massacres du 13 novembre ont-ils été commis par des adhérents du FN ? Guillaume Tabard écrit à ce propos : « parler de ”guerre civile” recèle un autre danger. Celui de ce qu’on appelle la prophétie autoréalisatrice. À savoir, provoquer dans les faits ce qu’on annonce dans les mots. […] Prédire la ”guerre civile” n’est-ce pas en partie la susciter ? » (Le Figaro, 12–13/12/ 2015). La guerre civile en France et en Europe aura lieu. D’ailleurs, elle a déjà commencé, en basse intensité, puisque l’ ”état d’urgence ” est décrété. Son spectre hante les discours. La responsabilité d’une éventuelle guerre civile revient entièrement aux gouvernants qui depuis les années 70 ont ouvert les frontières à une immigration massive inassimilable d’origine majoritairement musulmane.

    Les attentats de janvier et de novembre 2015 ont eu un effet de radicalisation et de mimétisme auprès des musulmans de France, essentiellement les jeunes et les mineurs. On note un accroissement majeur des apologies du terrorisme, des agressions physiques anti françaises, des dégradations de lieux de cultes chrétiens et juifs. Les origines des auteurs sont parfaitement connues et pudiquement tues. « Les attentats de janvier et novembre ont déclenché une vague de délinquance qui révèle les fractures de la société française », titrait Le Figaro (16/12/2015). Il s’agit plus que de ”fractures”, selon le jargon politico journalistique, mais d’une faille tellurique majeure entre deux ”nations” au sein même de la France.

    Une surenchère terroriste islamique est à prévoir sur le territoire français – comme en Belgique – mélangée à des émeutes ethniques bien plus graves que celles de 2005. Pour la première fois, comme je l’avais prévu, un parti ethnique musulman est apparu. L’Union des démocrates musulmans (UDM) en Seine–Saint–Denis et dans les Yvelines a constitué sa liste et a obtenu 5,90% des voix à Mantes–la–Jolie, en sachant que les immigrés boudent massivement les urnes. Pour combien de temps ? Il va y avoir du sport et le FN sera en première ligne. En sera–t–il capable ? Sinon d’autres solutions devront être froidement envisagées qui ne seront pas des plaisanteries.

  • Marine Le Pen: "Je n'admets pas que 7 millions d'électeurs du FN soient ramenés au rang d'assassins"

     

    Lien VIDEO: http://www.francetvinfo.fr/politique/front-national/photos-de-l-ei-publiees-par-marine-le-pen/video-marine-le-pen-ne-retire-pas-les-autres-photos-de-deach-de-son-compte-twitter-j-attends-que-ces-familles-m-appellent_1227589.html

  • François Hollande renonce à la proportionnelle pour les législatives de 2017

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    18/12/2015 – POLITIQUE (NOVOpress)

    C’était pourtant une promesse phare de sa campagne de 2012. En 1986, après que François Mitterrand eut instauré une dose de proportionnelle, 35 députés du Parti patriote avaient fait leur entrée à l’Assemblée nationale. « En 2017, ce ne serait pas les 35 députés Front National des législatives de 1986 que vous auriez, mais bien une centaine d’élus frontistes » a confié le chef de l’État à son entourage. Rappelons que le premier parti de France ne compte que deux députés : Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard.

  • Crise des migrants : Viktor Orbán impose son style en Europe et voit sa popularité augmenter

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    17h34

     

    Il n’y a pas si longtemps, les gares et les camps hongrois étaient débordés, suite à la crise migratoire subie par l’Europe.

    Certains autres dirigeants de l’Union Européenne ont comparé la politique sévère de la Hongrie à l’Allemagne nazie. D’autres ont accusé le Premier ministre Viktor Orbán et son refus d’accueillir les réfugiés musulmans — ainsi que son ambition de faire de la Hongrie une « démocratie non libérale » — d’atteinte aux valeurs européennes.

    Aujourd’hui, M. Orbán a réussi presque à lui seul à débarrasser la Hongrie des migrants. En même temps, il a resserré son emprise sur le pouvoir, et vu certains des dirigeants occidentaux qui le critiquaient se résoudre à reprendre, à contrecœur, certaines de ses méthodes.

    La transformation soudaine du leader hongrois, passé du statut de paria à celui de modèle ultra-conservateur, reflète l’évolution de l’Europe face à la plus grande migration de masse depuis la Seconde Guerre mondiale. En quelques mois, un mouvement d’accueil des réfugiés fuyant la guerre qui déchire par la Syrie, mené par la chancelière allemande Angela Merkel, a cédé la place à un froid calcul sur les défis logistiques et sécuritaires posés par l’immigration incontrôlée.

    La ligne politique anti-migrants de M. Orbán — avec une rhétorique dure, de nouvelles et sévères lois d’asile et une clôture de 175 km le long de la frontière sud — a commencé à être moins critiquée, alors que les dirigeants occidentaux considèrent la crise de plus en plus à travers un prisme sécuritaire.

    «La politique de l’UE sur les migrants a été une sorte de suicide rituel, » a déclaré Peter Szijjarto, le ministre hongrois des Affaires étrangères, qui assure que M. Orbán a changé les termes du débat. « Cela a représenté une menace majeure pour l’Europe, mais au moins, maintenant, ce n’est plus un sacrilège que de parler ouvertement de ce sujet. »

    Même les adversaires les plus virulents du leader hongrois ont été contraints d’imposer un contrôle renforcé de l’immigration, dans un contexte de hausse de la crainte de l’extrémisme islamiste dans la foulée des attentats de Paris, et des difficultés de l’Allemagne à gérer ses demandes d’asile.

    En Autriche, où le Premier ministre Werner Faymann a comparé le traitement des réfugiés par M. Orbán à « des scènes sorties des pages les plus sombres de notre histoire », les autorités prévoient de mettre en place une clôture de 3,7 km sur sa frontière avec la Slovénie d’ici la fin de l’année. La Macédoine a également érigé une clôture de barbelés le long de la frontière grecque, avec des matériaux offerts par Budapest.

    Les autorités autrichiennes rejettent la comparaison avec la clôture de la frontière de la Hongrie, affirmant que leur barrière est là pour guider les réfugiés aux points de passage désignés, plutôt que d’en empêcher complètement l’accès. Cependant, l’Autriche n’exclut pas l’extension de la clôture à l’avenir.

    Ses opposants accusent les réponses politiques de M. Orbán — considérant la crise migratoire comme une « invasion » musulmane de personnes cherchant à pénétrer « derrière les lignes ennemies », et l’introduction de nouvelles lois qui rendent pratiquement impossible la demande l’asile en Hongrie — d’aller à l’encontre des normes européennes.

    Pourtant, les électeurs hongrois semblent approuver ses méthodes.

    Un sondage publié la semaine dernière a montré un soutien à M. Orbán à 48%, contre 32% avant la crise des migrants, faisant de lui l’un des dirigeants de l’Europe centrale les plus populaires.

    Porté par son succès, M. Orbán a confirmé son intention de briguer un troisième mandat consécutif comme Premier ministre en 2018, et a réitéré sa critique de dirigeants européens qui, selon lui, ont oublié le «bon sens, les vertus militaires et la fierté nationale ».

    Peu de temps après le discours de dimanche lors du congrès du parti Fidesz, les délégués ont adopté une motion accusant la politique migratoire de l’UE d’être « hypocrite, irresponsable et dangereuse », ajoutant qu’elle risquait de provoquer « l’éradication des fondations chrétiennes de la civilisation européenne ».

    Les responsables pro-gouvernementaux insistent sur le fait que la politique de M. Orbán et sa rhétorique parlent également aux électeurs ailleurs en Europe, où les dirigeants politiques traditionnels ont du mal à élaborer une réponse cohérente à la crise.

    En effet, le cercle de dirigeants aux vues similaires à celles de M. Orbán s’est élargi, depuis que le parti de droite Droit et Justice, en Pologne, a remporté une majorité absolue au parlement du pays en octobre.

    Ces deux pays, ainsi que la Slovaquie et la République tchèque, sont désormais d’accord pour coopérer plus étroitement sur la sécurité des frontières et les questions politiques, formant un noyau dur de pays d’Europe de l’Est, sceptiques face aux positions de Berlin et de Bruxelles La Hongrie et la Slovaquie ont contesté le plan de la Commission européenne sur le partage du fardeau des réfugiés devant la Cour européenne de justice.

    Maria Schmidt, un historien conservateur et conseiller du gouvernement Orbán, affirme : « Quel message ont [les dirigeants occidentaux] ? Les gens veulent entendre un nouveau langage ; de nouvelles voix plus conforme à la réalité. Voilà ce que vous voyez avec Donald Trump, avec Marine Le Pen et ailleurs. » [...]

    Traduction Fdesouche

    The Financial Times

  • Face à Donald Trump, Michael Moore lance une campagne: “Nous sommes tous musulmans”

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    18/12/2015 – ÉTATS-UNIS (NOVOpress)
    Le réalisateur américain Michael Moore a trouvé le moyen de manifester son hostilité à Donald Trump. Le mercredi 16 décembre, il s’est rendu devant la Trump Tower à New York avec un panneau portant le message suivant “We are all muslim”.

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  • Le fermier français de 1950 vu par les Américains

     

    Une carte postale à peine croyable aujourd’hui.

    Ce petit film américain tourné dans les années 1950 présente la France agricole de l’époque en focalisant sur une ferme typique d’Eure-et-Loir. « Jean Duval » est le fermier français moyen.

    A voir absolument!

  • Florian Philippot invité de France 2

  • Les Restos du cœur sont en « situation financière particulièrement difficile » à cause des attentats

    http://www.bvoltaire.fr/extvideo/les-restos-du-coeur-sont-en-situation-financiere-particulierement-difficile-a-cause-des-attentats

  • L’Etat rénove les quartiers sensibles mais délaisse les logements des gendarmes

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    Une proposition de loi sur le financement de la réhabilitation des casernes de militaires et de gendarmes a été rejetée par l’Assemblée nationale.

    Les gendarmes bénéficient d’une concession de logement par nécessité absolue de service sur leur lieu de travail, qu’ils sont tenus d’honorer en contrepartie d’une disponibilité permanente. La gendarmerie gère aujourd’hui plus de 75.000 logements. En général, la famille suit bien évidemment le gendarme au gré des mutations. Cette suggestion implique que l’État doit veiller à une certaine qualité de son parc immobilier.

    Les crédits afférents ont toujours été insuffisants, variable d’ajustement des budgets. Il faudrait actuellement débourser entre 200 et 300 millions d’euros par an pour la réhabilitation des logements. Le ministère de l’Intérieur ne lui consacre que 74 millions d’euros cette année et aucun euro n’est consacré à l’entretien courant depuis 2013. Un niveau de dépenses historiquement bas. La situation pourrait même devenir ingérable d’ici quelques années car les plans de remboursement montent soudain à partir de l’année 2019, du fait des contrats de construction de type partenariat public-privé (PPP). 

    Une proposition de loi sur le financement, par l’Agence nationale de rénovation urbaine, de la réhabilitation des casernes de militaires et de gendarmes a été rejetée par l’Assemblée nationale jeudi 3 décembre. C’est le genre d’information qui passe inaperçue et qui est souvent révélateur de l’état d’esprit d’une époque. « L’ANRU n’a pas été créée pour répondre à cette problématique et ne peut se substituer aux ministères de la Défense et de l’Intérieur », a expliqué le ministre de la Ville Patrick Kanner devant les députés. Ce n’est pas faux, mais des dérogations ont déjà profité à cinq programmes, dont les internats d’excellence, accessibles aux élèves des zones urbaines sensibles, décidés en 2010 sous Sarkozy dans le cadre de l’égalité des chances. Mais, apparemment, les gendarmes et les militaires ne sont pas dignes d’une telle dérogation !

    Dans les années 80, époque ou je commandais un escadron de gendarmerie mobile, il n’était pas rare que les gendarmes mobiles soient logés misérablement, notamment en région parisienne, afin d’assurer, par exemple et cas vécu, la garde d’immigrés en situation irrégulière logés, eux, dans un hôtel Mercure 3 étoiles en attendant l’étude de leurs dossiers. Voilà comment l’on traitait déjà les serviteurs de l’État à l’époque, et je m’aperçois que ça n’a pas beaucoup évolué.

    Il y a un décalage entre les hommages répétés aux militaires et gendarmes particulièrement mobilisés ces temps-ci et l’absence de crédits pour réhabiliter et entretenir leurs logements et casernes. La vétusté et l’insalubrité de certaines casernes de gendarmerie reviennent régulièrement dans les préoccupations des gendarmes et de leur famille. Cet aspect de la vie quotidienne figurait parmi les principales revendications lors des grandes crises de 1989 et de 2001 dans la gendarmerie. Les leçons n’ont donc servi à rien et nos gouvernants ont toujours aussi peu de considération pour leurs gendarmes et militaires.

    Trois ministères se rejettent le bébé. Celui de l’Intérieur auquel est rattaché la gendarmerie depuis 2009 et qui gère donc son parc immobilier, celui de la Défense puisque les gendarmes ont le statut militaire, et celui des Finances qui renvoie les deux premiers face à face et qui a souvent le dernier mot. Le budget « sécurités » étant voté par le Parlement, c’est donc la représentation nationale qui, in fine, endosse cette situation alors qu’elle aurait pu y remédier par l’adoption de ce projet de loi. Le rattachement de la gendarmerie au ministère de l’Intérieur n’a pas rendu plus efficace la gestion de cette problématique.

    Attention à ne pas trop tirer sur la corde en ces temps difficile où l’on demande toujours plus aux gendarmes, militaires et policiers. Récemment, des balcons sont pour ainsi dire tombés dans les casernes de Melun et de Maisons-Alfort, où l’un d’eux s’est même écrasé à quelques mètres d’une épouse de gendarme. Cette situation n’est pas digne de notre République.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
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    Pétition signée

  • Migrants : le Danemark veut confisquer les bijoux des réfugiés pour financer l'accueil

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    Des réfugiés arrivant en Suède depuis le Danemark.

    Le gouvernement danois a défendu vendredi son projet controversé de confisquer bijoux et autres effets de valeur aux migrants pour financer leur accueil. Présenté en novembre, le projet de loi prévoit d'autoriser la fouille des bagages des migrants et de confisquer tout objet de valeur ou argent liquide au-delà de 3000 couronnes danoises (400 euros). Les montres, les bijoux auxquels leurs propriétaires manifestent un attachement particulier comme les alliances, mais aussi les téléphones portables, ne sont pas concernés par cette mesure qui s'inscrit dans le cadre d'un resserrement plus large des conditions d'accueil des migrants dans le royaume scandinave. 

    «Fuir des régimes brutaux (...) pour être accueillis dans ce même esprit totalitaire»

    Mais cette mesure, qui rappelle, selon ses détracteurs la spoliation des juifs par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, est décriée par les médias. Le Washington Post estimait ainsi que ce projet de loi de Copenhague avait une «connotation particulièrement douloureuse en Europe». Ce vendredi, une pétition «Non à la confiscation des biens des migrants» avait recueilli près de 5900 signatures. «Fuir des régimes brutaux et totalitaires témoigne de l'aspiration des hommes à vivre dans une société plus accueillante. Refusons que les demandeurs d'asile soient accueillis dans ce même esprit totalitaire», s'indignent ses auteurs. 

    De son côté, le gouvernement danois, dirigé par les libéraux, reste sur ses positions. « Certains médias étrangers réprouvent le fait que nous puissions à l'avenir saisir les effets de valeur des demandeurs d'asile et exiger qu'ils prennent en charge le coût de leur séjour dans des centres pour réfugiés», a écrit la ministre de l'Intégration Inger Stojberg sur son compte Facebook. «Ces critiques ne sont pas justifiées», continue la ministre, du parti de droite Venstre, qui prône une immigration a minima. Le Premier ministre danois, Lars Lokke Rasmussen a quant à lui regretté «un portrait erroné du Danemark».

    Sous l'influence d'un parti anti-immigration, le gouvernement du Danemark reste très réticent à accueillir des réfugiés malgré les appels à la solidarité de son voisin allemand et une opinion publique émue. En septembre, le pays fermait sa frontière à des trains allemands transportant des migrants. 

    Le gouvernement danois est mené par le parti libéral Venstre mais ce dernier n'a pas la majorité au Parlement. Aux législatives en 2015, le Parti du peuple (extrême droite) avait fait un score très important, obligeant désormais le gouvernement à travailler avec lui pour obtenir des réformes. 

    LE PARISIEN 

  • HUMOUR

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  • Danger!

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  • Bien vu !

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  • Bernard Cazeneuve voudrait faire arrêter Marine Le Pen


    Marine Le Pen : "Monsieur Cazeneuve va venir me... par Europe1fr

    NdB: Marine Le Pen a fait disparaître la photo du journaliste décapité par Daesh: elle ne savait pas que ce corps supplicié était celui de James Foley. Mais elle gardé sur twitter les deux autres photos: un otage brûlé vif dans une cage et un autre écrasé sous un char d'assaut.   

    MPI

  • Le roi d’Arabie Saoudite ordonne la décapitation de 28 personnes suite à la chute d’une grue !

     in International, Islamisme / by / on 17 décembre 2015 at 21 h 10 min /

     

    décapitation arabie saoudite

    Décidément les amis de François Hollande sont d’une tolérance qui permet de comprendre pourquoi ils président un groupe au sein du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU : le roi d’Arabie Saoudite a ordonné la décapitation de 28 personnes qu’il considère responsables de la chute d’une grue à la Mecque, chute qui s’en est suivi d’une panique provoquant la mort de 1300 pèlerins.

    C’est ce roi très clément que François Hollande avait invité en France et pour lequel il avait, au mépris de la loi, fait privatiser des plages publiques. C’est à ce fou furieux sanguinaire que la France a également vendu des rafales.

    L’exécution a eu lieu en place publique, a été filmée et diffusée sur Internet.

    Et dire que pendant que l’ami terroriste de François Hollande décapite 28 malheureux, le gouvernement socialiste s’insurge d’une photo diffusée par Marine Le Pen montrant un corps décapité par l’Etat islamique pour dénoncer l’islamisme…

    MPI