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Extrait de l’étron écrit par Olivier Adam pour le torchon bobo-gauchiste Libération à propos des élections régionales : « Le peuple old school est déboussolé ? Les « petits Blancs » ont peur de voir remis en cause leur mode de vie ? Pauvres chéris. Pauvre petite France aigre, mesquine et ratatinée, si malheureuse qu’elle s’autorise à se jeter sans complexe dans les bras du FN. Je lui préfère la France new school. Métissée, populaire, ouverte, mélangée, combative, progressiste. Celle-là même qui se mêle dans les quartiers meurtris au plus profond le 13 Novembre, mais aussi partout en France, dans ses villes, ses banlieues, ses campagnes. La peste est là. Mais elle ne vient pas de l’extérieur. Nous l’avons secrétée dans nos murs mêmes. Elle vient du plus profond. Même pas peur. Jeunes ou moins jeunes, on emmerde encore et toujours le Front national. Il n’a pas changé. Nous non plus. »
Comme le précise NDF : Par contre, Libé ne refuse pas (voir ici) l’argent des impôts des « petits Blancs ». Ceux-ci ont le droit de payer et… de se taire.
Ambiance beaucoup plus décontractée sur les plateaux télé une semaine après. À deux heures de l’annonce des résultats, ce ne sont plus les mêmes. On plaisante, on s’interpelle avec des rires de gorge. Ruth Elkrief est toute rose de plaisir, Hervé Gattegno le militant anti-FN de RMC (ils le sont tous, mais lui le porte en bandoulière) a son gros nez qui frémit. Ils annoncent un « référendum pour ou contre le FN », ils se gargarisent du « sursaut civique », ils savent que le Front national n’emportera aucune région ce soir. Ils ont passé leur semaine entière (et leur vie !) à ça. « Une semaine de matraquage nord-coréen » selon l’expression de Robert Ménard.
La victoire volée, c’est bien le sentiment qui est tombé sur six millions et demi d’électeurs à 20 heures en découvrant que le Front national, premier parti de France arrivé en tête dans six régions n’aura aucune présidence. « Il y a des victoires qui font honte aux vainqueurs », a déclaré Marion Maréchal-Le Pen. Ils se sont mis à 19 partis et formations (15 à gauche et 4 à droite), 19 contre 1 pour ce beau résultat. « Un agglomérat difficile à démêler » comme l’a décrit Florian Philippot dans lequel tout était permis : calomnie, mensonge, clientélisme, vote communautaire… Et Manuel Valls terrorisant les électeurs en brandissant la menace de la guerre civile.
Ils se sont soigneusement repartagé le fromage, passe-moi la rhubarbe, je te passe le séné, cinq régions pour le PS, sept régions pour Les Républicains. Ingérables localement, ils en feront l’expérience très vite, alors qu’ils sont les débiteurs les uns des autres et qu’ils se détestent tous cordialement. La vieille mafia politique ne retrouve plus son énergie que pour ce genre de hold-up électoral pour sauver ses sièges et trahir ses électeurs. Alain Juppé, 70 ans, 40 ans aux crochets de la vie politique et toujours partant pour une présidentielle, y a vu un « signe de bonne santé de notre démocratie ». La démocratie est sauvée, de même que la planète !
Comment vont-ils les « tenir » demain ces Français dégoûtés, excédés, dont la colère est plus que jamais là, lorsque les taxes, le chômage et les migrants vont continuer de déferler ? Lorsque les attentats islamistes vont recommencer parce qu’ils n’ont pris aucune mesure décisive pour les endiguer ? À l’UMPS on les entend répéter en boucle qu’ils ont « compris », qu’ils ont eu très chaud, « vraiment merci aux électeurs de cet avertissement ». C’est la quinzième fois qu’ils nous font le coup. Qui peut les croire encore ?
Ils font bien de se congratuler, de se passer la main dans le dos et de déclarer clairement comme Estrosi et Richert que ces arrangements de l’entre-deux-tours les « engagent » vis-à-vis de la gauche. Au point où ils en étaient déjà, qu’est-ce que ça va être… Ils font bien d’en profiter ces vieux crocodiles du marigot, ces vieux francs-macs poussiéreux vissés à leurs sièges depuis des décennies, et les Marie-Guite Dufay et les Le Drian et les François Bonneau qu’il va falloir encore se farcir six ans, ces « politiciens des années 70 » comme l’a déclaré Philippe de Villiers à propos d’Estrosi dénonçant « ses combinaisons avec la gauche qui rappellent la SFIO du temps de Defferre », ces vieux caciques du système, ces hommes et ces femmes d’un passé dont on ne veut plus.
Ils font bien d’en profiter parce que la montée du FN est inéluctable. Parce que la seule force d’opposition à ce qu’ils sont et à ce qu’ils font n’a jamais été aussi importante. Socialistes ou UMP, beaucoup vont céder leur place aux conseillers FN. Le parti de Marine Le Pen fait le plus gros score de son histoire en nombre de voix et progresse encore entre les deux tours. Il y a deux régions de France, le Nord et la Provence où comme l’a déclaré Marine Le Pen le Front national a réussi « l’éradication totale d’un parti socialiste particulièrement malfaisant ». L’implantation locale, capitale pour la présidentielle de 2017, progresse nettement. On avance. Mais pas assez vite.
La région Languedoc-Roussillon, a, hier été remportée par le parti des patriotes. En France c’est le principe franc-maçon: « solve et coagula » qui a une fois de plus gagné contre le peuple avec la coalition de multiples partis mondialistes opposés dans leurs programmes. Le Vaucluse et le Var en PACA ont aussi obtenu une majorité FN.
La tactique des mondialistes consiste à multiplier les petits partis du Système afin de dispatcher les diverses opinions, contradictoires d’un parti à l’autre, pour pouvoir au deuxième tour créer des coalitions intrinsèquement contradictoires. C’est le grand principe de la Franc-maçonnerie: isoler les contraires pour ensuite les assembler. Une manœuvre qui consiste à escamoter les divers programmes contradictoires pour centrer l’attention des électeurs sur un bouc émissaire, en l’occurrence le FN sur lequel il suffit de concentrer les peurs.
Si la région Languedoc-Roussillon n’avait pas a été couplée à la région Midi-Pyrrénée, hier, le Conseil régional aurait été remporté par le FN. C’est le résultat de l’implantation des patriotes à Béziers avec Robert Ménard, l’une des meilleures vitrines de la vraie France. L’implantation des mairies Front national dans le Vaucluse et le Var a aussi donné une majorité FN aux départements du Vaucluse mais aussi à celui du Var. Ce qui donnerait au total six départements remportés par les patriotes, hier. On comprend ainsi mieux pourquoi il était si urgent de créer les grandes régions.
Avec 6.820.147 voix, le FN a battu son propre record. Mais surtout, il multiplie par trois son nombre de conseillers régionaux. Si le parti des patriotes n’a remporté aucune présidence dans le nouveau découpage des régions, hier, il poursuit néanmoins sa montée élection après élection. Que vont inventer les mondialistes, la prochaine fois pour endiguer les cris de la vraie France aujourd’hui encore bâillonnée ?
En outre avec ses 358 conseillers régionaux, ses maires et autres élus, le FN n’aura pas de mal cette fois-ci à rassembler les signatures pour la présidentielle de 2017.
L’ensemble des cadres du parti frontiste se sont d’ailleurs félicités, malgré leur défaite, de ces résultats. « Election après élection, la montée du courant national est inexorable », a affirmé Marine Le Pen dans son allocution à l’issue de l’annonce des résultats. « Une performance tout à fait remarquable », a jugé le numéro deux du parti, Florian Philippot. A noter qu’en voix le FN progresse dans l’ensemble des régions sauf en Corse, où il perd 577 suffrages, et en Île-de-France où il en perd 59.000.
En outre, le parti d’extrême droite a obtenu la majorité absolue dans le département du Vaucluse avec 51,28% des voix, terre d’élection de la jeune députée et candidate pour les régionales, Marion Maréchal-Le Pen. Une première pour le parti de Marine Le Pen qui est par ailleurs arrivé en tête dans 8 autres départements.
A noter également que c’est en région PACA, région inchangée, que le parti des patriotes a remporté le plus grand pourcentage de voix avec deux départements dans lesquels il se retrouve majoritaire. La Provence est la plus vieille terre d’élection du Front national.
358 conseillers
Mais le FN peut surtout se réjouir des 358 conseillers régionaux nouvellement élus, soit trois fois plus que le nombre de sièges qu’il possédait depuis 2010 (118). « En triplant notre nombre de conseillers régionaux, nous serons la principale opposition », veut croire la présidente du parti.
Ces conseillers régionaux s’additionnent aux 62 élus départementaux que le parti a fait élire en mars dernier. La constitution d’une génération de cadres politiques fait clairement partie de la stratégie du FN qui pâtit encore d’un certain manque de professionnels nécessaires pour investir des candidats compétents aux différentes élections. Si le FN n’a empoché aucune présidence de région, il sort une nouvelle fois incontestablement renforcé de ce scrutin. (Source des citations: Les Echos)
A noter que la Corse échappe à la gauche puisque c’est un parti régionaliste qui l’a emporté. C’est la première fois qu’un parti régionaliste remporte une élection en France métropolitaine. Il est donc logique que le FN ait perdu des voix en Corse, puisque les régionalistes défendent leur identité régionale, à défaut de l’identité nationale. Ce qui au total est tout-de-même une défaite pour le système.
CARTE. Régionales : sans la réforme territoriale, le FN aurait pu gagner en Languedoc-Roussillon
A l’appel du collectif Fils de France, des musulmans appellent à manifester à Paris contre Daech.
La volonté tient en un seul mot : réagir. Un mois après les attentats qui ont frappé Paris et Saint-Denis, un collectif appelle à manifester dimanche au Trocadéro, à Paris, contre la « barbarie » de l’Etat islamique. L’imam de Bordeaux Tareq Oubrou a répondu favorablement. [...]
Un tribunal allemand a jugé que les islamistes patrouillant dans les rues de Wuppertal (Rhénanie du Nord-Westphalie) avec des gilets fluos portant l’inscription « Police de la sharia » ne violaient pas la loi, et ne pouvaient pas être poursuivis.
Une procédure en appel est annoncée mais, dans l’immédiat, les neuf personnes contre lesquelles une plainte avait été déposée en septembre 2014 pour avoir « conseillé » à des gens (principalement des musulmans) à la sortie de bars, discothèques et salles de jeux, de ne pas adopter des « coutumes occidentales » peuvent continuer leurs patrouilles.
Le groupe est connu pour avoir revendiqué certains quartiers comme « zone sous contrôle de la charia ».
Le tribunal a considéré que les « recommandations » de cette police de la sharia ne violent pas la loi concernant le port d’uniformes, ni concernant les manifestations publiques.
Parmi les militants salafistes de cette « police de la sharia », il y a Sven Lau, un Allemand privé de passeport après un voyage en Syrie où il était, selon ses dires, en « mission humanitaire » . malgré ses photos téléchargées le montrant dans un tank ou avec un fusil d’assaut Kalachnikov dans les mains. Il a été en prison et est soupçonné d’être le recruteur de jeunes musulmans pour le djihadisme en Syrie.
Les patrouilles de la « police de la sharia » dans Wuppertal avaient été critiquées par le Conseil central musulman d’Allemagne les qualifiant de «préjudiciables pour les musulmans » mais selon la justiceallemande, il n’y a rien de punissable.
BREIZATAO – ETREBROADEL (11/12/2015) Après sa demande d’interdiction de toute immigration musulmane aux USA suite aux attaques terroristes de San Bernadino (lire ici), Donald Trump – candidat favori pour l’investiture républicaine – a vu sa cote de confiance s’envoler. Il devançait déjà largement tous ses opposants.
Selon un sondage réalisé par CBS News/New York Times, le milliardaire atteint désormais 35% d’opinions favorables, soit le double de son concurrent le plus proche (source).
Finançant sa campagne de façon indépendante, dénonçant la corruption de l’établissement politique américain, Trump rencontre un vrai soutien populaire depuis qu’il a annoncé vouloir construire un mur anti-migrants à la frontière mexicaine, expulser 11 millions de migrants illégaux et mettre un terme à l’étatisme impulsé par Washington.
Les politiciens des deux principaux partis, démocrate et républicain, sont vent debout contre le candidat, tout comme la presse dominante.
Lors de la conférence de presse de présentation, il a été dit que « ce texte n’est pas un document du magistère, ni un enseignement doctrinal de l’Église catholique ».
Ouf.
Néanmoins on souligne que c’est la « première réflexion théologique » de la Commission sur ce thème.
La « réflexion » est d’une extrême confusion, pour une raison simple, c’est qu’on veut laisser entendre que les juifs n’ont pas besoin du christianisme pour être sauvés (parce que les dons de Dieu sont sans repentance et il n’y a qu’une Alliance) mais qu’on n’ose pas le dire ouvertement.
Heureusement que le texte n’est pas un document du magistère, car, non content de rejeter implicitement une bonne partie des épîtres et des Actes des apôtres, il rejette explicitement les chapitres 8 et 9 de l’épître aux Hébreux…
Tout ce qu’on garde du Nouveau Testament sur le sujet, c’est (comme Nostra Æetate) certaines expressions du chapitre 11 de l’épître aux Romains.
Dans le raisonnement de la commission (et des dialoguistes de cette espèce depuis Vatican II), il y a deux erreurs, qui sont en amont de toute théologie : une erreur historique, et une erreur arboricole.
L’erreur historique est d’imaginer que le judaïsme d’aujourd’hui est celui de l’Ancien Testament. C’est complètement faux. Le judaïsme de l’Ancien Testament, de la Torah, des Rois, d’Esdras et de Néhémie, des Maccabées, est centré sur le Temple de Jérusalem et sur les sacrifices du Temple, sur le sacerdoce du Temple. Si le judaïsme d’aujourd’hui est le judaïsme authentique, alors il faut dire que le calvinisme est le christianisme authentique. C’est un fait historique avant d’être théologique qu’il y a eu une rupture du judaïsme, rupture opérée par le christianisme. Car le Temple a été remplacé par Jésus-Christ.
L’erreur arboricole est d’imaginer que lorsqu’on greffe un arbre on laisse subsister l’arbre franc. Si saint Paul a utilisé cette image de la greffe de l’olivier sauvage (les païens) sur l’olivier franc (le judaïsme), c’est pour souligner qu’il y a un nouvel arbre sur une souche ancienne. La souche est juive, l’arbre est chrétien. Magnifique image qui donne les éléments de continuité et de rupture. Mais l’arbre vivant est chrétien. Et pour que cet arbre existe, les branches de l’ancien arbre « ont été retranchées ». Une expression soigneusement censurée de toutes les citations de ce passage que font les dialoguistes…
Avant toute réflexion théologique, il est nécessaire d’en finir avec ces deux erreurs.
Alors que le FN ne comptait que 118 conseillers régionaux depuis 2010, le mouvement d’extrême droite va atteindre un nombre de sièges jamais atteint dans son histoire.
Selon un rapport publié par le quotidien allemand Tagesspiegel, un climat de peur règne à Berlin, avec des gangs dirigés par des familles arabes qui appliquent une justice parallèle, ignorant la loi allemande. Le spécialiste allemand de l’islam Mathias Rohe affirme dans ce rapport que le problème a cessé d’être marginal, même s’il ne concerne encore que certains quartiers. Ainsi, par exemple, « les mariages sont contractés selon les règles islamiques, et en cas de séparation la faute est toujours imputée à la femme ». Quand un délit est signalé aux autorités, les membres des gangs exercent des pressions pour forcer les victimes à retirer leur plainte et ils forcent les témoins à déposer de faux témoignages. Les auteurs du rapport mettent aussi en avant la passivité des imams musulmans qui semblent se moquer du droit allemand.
En 2013, il y avait à Berlin 250 000 musulmans pour 3,5 millions d’habitants, soit deux fois plus q’au début des années 90. Depuis le début de l’année 72 000 « réfugiés » sont arrivés dans la capitale allemande.
11/12/2015 – FRANCE (NOVOpress) Claude Bartolone a accusé Valérie Pécresse de défendre « Versailles, Neuilly et la race blanche ». Le philosophe et maire-adjoint de Versailles François-Xavier Bellamy a décidé de lui répondre dans une tribune cinglante.
Monsieur Bartolone, soyons sérieux: votre tactique de fin de campagne n’est pas seulement ridicule. Elle est coupable. Elle est dangereuse. Elle est irresponsable. Il aura fallu, c’est un comble, que ce soit le candidat du Front National qui vous ramène à la raison, en rappelant cette évidence: «Personne n’a parlé de race blanche dans cette campagne.» Vous êtes le seul à le faire. Incapable d’assumer le jeu politique, vous jouez le conflit ethnique. Les noirs et les arabes avec moi, si vous voulez battre les blancs! C’est cela que vous appelez « la République » ? C’est cela « le rassemblement » ?
Votre sortie n’a rien d’un accident. Elle signe, noir sur blanc, le seul vrai nom de votre camp: vous n’avez pas de vision, pas de projet, parce que votre moteur, c’est la haine. La haine de celui qu’on peut rejeter en toute bonne conscience, de cette France que vous insultez, et qu’une tribune sur le site de l’Obs appelait cette semaine à violer… La haine de ces familles que vous méprisez, des catholiques qui osent encore exister, de tous ceux qui, parce qu’ils aiment encore leur pays, méritent bien d’être méprisés. Votre Île-de-France est «humaine et fraternelle», sauf pour les Versaillais, qui ne méritent pas votre humanité. Votre Île-de-France est «ensemble, ensemble, ensemble »… mais ensemble contre « la race blanche » ?