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  • La dictature castriste légitimée par Hollande!

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    En 2012, faisant la leçon à Sarkozy, François Hollande proclamait qu’être président, ce n’était pas recevoir les dictateurs en grand apparat… Avec lui, jamais la France n’a plus justement revendiqué d’être la patrie universelle des droits de l’Homme. Son Président, avec un courage qui tient de ce que l’une de ses ex-compagnes aurait appelé la « bravitude », a évoqué la question du droit des personnes avec le dictateur cubain pour qui l’on avait déroulé avec ostentation le tapis rouge. Sa couleur soulignait pour une fois l’honneur qu’on lui réservait et non la couleur politique de sa dictature, ni le sang versé par les opposants. La gauche française qui a toujours tendance à croire que la Révolution a commencé en 1793 ne réprime qu’avec difficulté l’élan de sympathie qui la pousse l’oeil brillant et les bras ouverts vers ce que le Livre Noir du Communisme appelait à juste titre l’interminable totalitarisme tropical. On gage que l’allusion à la liberté d’expression durant la conversation entre présidents fut courtoise et succincte.

    Pour la gauche française au pouvoir, il y a trois sortes de dictatures. Celles de droite sont ignobles et infréquentables même lorsqu’elles restaurent l’économie d’un pays. Celles de gauche inspirent la sympathie pour leur sens du progrès même quand elles précipitent un peuple dans la misère et l’y maintiennent. Leur difficulté avec la liberté n’est qu’un tragique accident de l’histoire provoqué par la hargne et la perfidie des réactionnaires locaux. Pinochet, no ! Castro, Si ! Le fait que l’un ait rétabli la démocratie après un référendum dans un pays à l’économie relancée alors que l’autre ou son frère sévissent toujours dans leur île de pauvreté ne gêne nullement les admirateurs et sympathisants de Cuba et néanmoins socialistes français. On les comprend : en France, au bout de quelques années de mauvaise gouvernance, le peuple les congédie.

    La troisième catégorie est celle des régimes autoritaires riches. Il y a pour eux des accommodements raisonnables. Le Roi d’Arabie Saoudite qui bombarde les Yémenites, comme son adversaire chiite, le Président Iranien, dont le pays retrouve sa fortune, sont éminemment fréquentables. Leur concours dans la mise en oeuvre des peines capitales ne nous regarde pas. La différence entre la deuxième catégorie et la troisième est simple. A la troisième, on fait les yeux doux pour vendre. A la seconde, avec une générosité portée par la sympathie idéologique, on remet la dette et on promet une aide à l’investissement local. Lors de la visite de François Hollande à La Havane, on avait pu voir le regard enthousiaste de Mme Taubira accompagné d’un rayonnant sourire à destination du dictateur cubain. Entre militants des droits de l’homme et de la liberté, le courant passe !

    Ce clivage subit depuis quelque temps une évolution. Selon François Hollande, la guerre froide est finie. C’est vrai depuis longtemps et beaucoup des dictatures de droite qui résistaient au communisme, notamment en Amérique latine, ont disparu, tandis que les satellites de l’URSS s’effondraient. Mais la dictature cubaine s’est maintenue. Le Castro qui visite Paris est celui qui tenait le ministère de la défense, réactiva les tribunaux militaires et fit du poteau d’exécution un outil judiciaire permanent. Plus de 100 000 Cubains ont connu les camps, 17 000 ont été fusillés, 20% des Cubains ont voté avec leurs rames et choisi l’exil. C’est peut-être l’un d’eux qui sera le prochain président républicain des Etats-Unis. Mais le pouvoir responsable de cette tragédie est celui qui a eu droit à l’accueil chaleureux de politiciens et de « cultureux » qui ont ainsi révélé la place respective de la liberté et de l’idéologie dans leurs postures et leurs signatures. Jacobo Machover, l’auteur de « Cuba, une Utopie cauchemardesque » avait dénoncé la complaisance complice de nombre d’intellectuels français à l’égard du régime castriste. Il vient de fustiger la légitimation de Raul Castro qui est la légitimation de la répression.

    En réalité, les Etats-Unis d’Obama ont rallumé la guerre froide contre la Russie. François Hollande adopte dans cette nouvelle configuration l’attitude du suiveur docile au point de vouloir aller plus loin que son maître. Il voulait bombarder Assad, il veut maintenant faire avancer la fin de l’embargo que réclame le Président Américain. Il y a donc toujours les bons et les mauvais régimes autoritaires suivant le regard que Washington porte sur eux. La gauche politique et médiatique peut donner libre cours à son tropisme castriste puisque les progressistes américains draguent désormais Cuba. On remet sa dette à Cuba tandis qu’on fait subir aux paysans français les conséquences des sanctions injustifiées imposées par les Etats-Unis à la Russie de Poutine. Plus que jamais, c’est le cas de le dire, le microcosme politico-médiatique français est hors-sol. Le Prix Nobel de littérature péruvien  Mario Vargas Losa avait eu la clairvoyance et le courage de condamner le régime cubain. C’est lui aussi qui dénonçait « la Civilisation du spectacle » et la frivolité des politiques. La mise en scène brillante mais incohérente de notre politique par ceux qui nous dirigent ne lui donne que trop raison.

    NDF

     

  • Arras : six militants de Génération identitaire condamnés dans l’affaire de la banderole

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    03/02/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
    Le 29 août 2015, des membres de Génération identitaire montaient sur le toit de la gare d’Arras avec une banderole demandant l’expulsion des islamistes. Ils ont été jugés le 5 janvier et, finalement condamnés ce mardi à 500 € d’amende chacun pour avoir occupé illégalement le toit de la gare d’Arras.
    Ils envisagent toutefois d’interjeter appel.

    En dehors de ces amendes, les militants doivent faire face à des frais de justice importants, ils appellent à les aider ici

  • Paul-François Paoli : « Non, les hommes ne sont pas fait pour « vivre ensemble » sans condition préalable » [interview]

    http://www.breizh-info.com/2016/02/02/paoli-vivre-ensemble-interview/

    (merci à Dirk)

  • Réunion de l'UOIF à Lille: trois orateurs déprogrammés

    A la suite d’une vive polémique (dont nous avons fait

    l’écho hier), le congrès organisé ce dimanche à

    Lille par l’Union des organisations islamiques

    de France (UOIF) est maintenu mais sans la

    participation de trois orateurs étrangers, le Syrien

    Mohamed Rateb al-Nabulsi (qui a écrit que

    « Le fait [pour une femme] de parler avec un

    homme étranger doit se faire à travers un rideau

    […] Quant à sortir

    de chez elle, la femme est invitée à ne le faire

    que pour une nécessité ou un cas d’urgence »),

    le Marocain

    Abouzaïd al-Mokri (qui a écrit que « Les juifs

    ont une capacité incroyable à détruire les nations,

    y compris chrétiennes, de l’intérieur »). et le

    Saoudien Abdallah Salah Sana’an, suspectés

    d’être des prêcheurs radicaux. « Nous sommes

    très vigilants quant à tout discours qui se tient

    dans la manifestation, mais je ne peux pas me

    livrer à une censure préalable », avait déclaré

    lundi le président de l’UOIF, Amar Lasfar, qui a

    tout de même maintenu l’intervention de l’islamologue controversé Tariq Ramadan. Par ailleurs,

    déprogrammer ces trois orateurs revient à justifier

    le maintien du congrès de l’UOIF, pourtant réputée

    proche des Frères musulmans.

    Valeurs actuelles

  • Jubilation pour « la fin de l’homme blanc »

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    David Rothkopf

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    02/02/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)

    Il en est qui le nient, crient au fantasme, traînent en justice ceux qui osent dire qu’il est en cours et que c’est le plus grand phénomène de l’histoire – je veux parler, bien sûr, du Grand Remplacement ou, de manière moins littéraire, du génocide en cours des peuples de souche européenne. Il en est qui s’en réjouissent ouvertement. Sous le titre « La fin d’une époque… pour les mâles blancs », David Rothkopf, rédacteur en chef du magazine américain Foreign Policy, y a récemment décrit en propres termes, avec précision et jubilation, tous les aspects du processus.

    « Les hommes blancs, relève d’abord Rothkopf, ont eu un grand succès. De l’essor des Grecs à la naissance des grands empires occidentaux, ils ont contrôlé une grande partie du monde ou cherché à le faire. L’histoire est très largement le résultat des décisions prises par les hommes blancs qui étaient au pouvoir ». Heureusement, tout cela est en train de s’achever. Rothkopf énumère les facteurs de ce « grand tournant de l’histoire mondiale ». C’est, d’abord, l’essor « des grandes civilisations non-blanches », en Asie et en Afrique, tandis que « les sociétés qui avaient donné à l’homme blanc sa plus grande influence dans le monde – celles de l’Europe et des États-Unis – ont du mal à maintenir leur influence dans le monde ». Dans ces mêmes sociétés occidentales, les droits des femmes s’imposent, après « des millénaires de répression ». Surtout, « les flots de réfugiés et de migrants ont transformé la démographie des sociétés ».

    « Il en résulte que le statu quo qui datait de plusieurs millénaires va connaître un bouleversement. Rien qu’en Europe, l’afflux des migrants et des réfugiés est déjà en train de produire des changements démographiques irréversibles – un grand mélange des cultures. Aux États-Unis, d’ici le milieu de ce siècle, l’ancienne population majoritaire sera une minorité. La majorité, selon les démographes, sera non-blanche. À cette date, l’Europe comprendra des masses de populations d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie.
    C’est-à-dire que, en 2050, ce seront les hommes blancs qui cocheront la case “autre” sur les formulaires de recensement ». Les peuples concernés, du reste, le sentent bien. Les hommes et les femmes politiques, en Amérique et en Europe, qui s’opposent à l’immigration de masse, doivent tout leur succès « à une reconnaissance culturelle croissante, quoiqu’inconsciente, que ce qui a été la classe ethnique la plus privilégiée du monde n’a plus longtemps à vivre ».

    Rothkopf se fait lyrique pour célébrer « les merveilleux avantages » de ce qu’il appelle « la diversité » – « chaque vague de sang neuf et d’idées nouvelles ». « Certainement, conclut-il, nous ne devons pas, ne serait-ce qu’un seul instant, déplorer la fin de l’âge de l’homme blanc, car il y a du moins une lueur d’espérance qu’arrivera bientôt l’âge de “tous” » – de tous sans les Blancs.

    Faut-il voir là une aberration individuelle de l’idéologie « progressiste », poussée jusqu’à ses plus folles conséquences ? Faut-il y reconnaître plutôt, selon la thèse, célèbre et très discutée aux États-Unis, de Kevin MacDonald, une stratégie de groupe parfaitement rationnelle, par rapport aux intérêts de ceux qui la conduisent ? Rothkopf, ancien secrétaire d’État au commerce de Bill Clinton, membre de quantité de think tanks, n’est pas un antifa boutonneux. Il s’agit bien, en tout cas, de notre sort à nous – de notre extermination, de notre disparition de la face de la terre.
    Rothkopf, dans son exultation, n’a pu se retenir de nous jeter à la face le destin que le Système nous prépare.

    Flavien Blanchon

  • « Le réensauvagement de l’espèce est en marche » – Entretien avec Renaud Camus

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    Source : Boulevard Voltaire

    L’ONU vient de publier un rapport sur les « migrations de remplacement ». Selon l’Organisation, « le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité ». Cela rejoint votre idée de « Grand Remplacement » ?

    Ce rapport n’est pas le premier. Il y a très longtemps que l’ONU et ses commissions tournent autour du concept de remplacement, ce qui évidemment me fait bien rire, mais jaune, alors que je me fais traiter, y compris par certains de nos amis, de complotiste et d’illuminé. Le point de vue de l’ONU empile deux aberrations, dont la première est au moins une grave erreur d’appréciation et la seconde une monstruosité morale.

    La première est la conviction qu’il faut enrayer le déclin démographique des populations et le vieillissement qui l’accompagne nécessairement. Or, l’un et l’autre, surtout le premier, sont la sagesse même. Toutes les politiques écologiques qui prétendent sauver la Terre sans tenir compte de la désastreuse explosion démographique sont un vain et ruineux bavardage. Les peuples les plus développés, dans leur tréfonds, sont bien conscients de cette donnée-là et évolueraient naturellement, si l’immigration d’abord, l’invasion migratoire ensuite, n’intervenaient pas, vers une décroissance démographique naturelle et modérée, parfaitement raisonnable, et qui ne menacerait en rien leur existence, d’autant qu’eux-mêmes n’ont jamais été si nombreux. Cette légère décroissance entraînerait, c’est vrai, un inévitable vieillissement de la population, auquel on a parfaitement les moyens de faire face, qui n’implique en rien le moindre empêchement de faire des enfants ou la disparition de la jeunesse mais qui pourrait, n’était la Grande Déculturation, être l’occasion d’un progrès de la vie de l’esprit.

    Le problème de la planète n’est pas du tout la dénatalité relative de l’Europe : il est la surnatalité explosive et catastrophique de l’Afrique.

     

    Quant à la monstruosité morale et culturelle, morale parce que d’abord culturelle, elle tient évidemment à ce que j’appelle le remplacisme, le totalitarisme post-industriel et financiariste, pan-économiste, rival et souvent complice de l’islamisme : pour lui, la matière humaine indifférenciée est indéfiniment échangeable avec elle-même, remplaçable à merci. Faut-il souligner qu’il ne saurait y avoir de dignité de l’espèce qu’en la constitution permanente d’hommes et de femmes irremplaçables ? Dès lors que l’homme est remplaçable par l’homme, il l’est aussi par la bête, et réciproquement, par la machine et par la chose. Le remplacisme est une chosification du vivant.

    Dans ses conclusions, l’ONU donne des chiffres, mais n’aborde pas les conséquences culturelles d’une telle migration. Or, n’est-ce pas le plus important ?

    Évidemment, mais culturel n’est pas assez dire. Ontologique serait plus vrai. Le remplacisme est un tout.

    À Cologne, en prévision du carnaval, l’Allemagne met en place une politique intensive d’information et distribue quantités de tracts et autres notices invitant les réfugiés à « ne pas violer les femmes, à ne pas boire d’alcool ni uriner en public ». Pensez-vous que cela puisse être efficace ?

    On nous expliquait déjà qu’il était vilain d’abandonner son chien avant les vacances. Demain, on nous rappellera qu’étrangler ses vieux parents ne se fait pas du tout. Le réensauvagement de l’espèce est en marche.

    Comment analysez-vous le fait que politiques, médias puis organisations féministes aient tenté de cacher les événements de la Saint-Sylvestre pour les premiers, et qu’elles aient été si lentes à réagir pour les secondes ?

    Le remplacisme est un tout, je le répète, et entre autres choses une fabrique de l’ersatz, du faux, du mensonge et, non pas du silence, certes, mais de l’assourdissement : tout pour que la vérité n’affleure pas, et d’abord celle du Grand Remplacement et de sa vraie nature.

     

  • Réfugiés : un marché en plein essor

     

    23h26

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    Du logement d’urgence aux cours de langues, la vague des réfugiés représente une aubaine pour certains entrepreneurs qui se frottent les mains à la perspective d’une nouvelle manne d’argent public. Arte enquête sur un marché émergent.

    (…) Logements, infrastructures diverses, cours de langues, aide médicale, assistance juridique, formation professionnelle… : dans ces domaines où la demande explose, nombreux sont les entrepreneurs à se frotter les mains à la perspective d’une nouvelle manne d’argent public.
    Dans toute l’Europe, fabricants de conteneurs habitables, équipementiers, entreprises de sécurité ou organismes de formation privés sautent ainsi sur l’occasion.

    (…)  Et faut-il s’inquiéter du non-respect des procédures d’appel d’offre qu’elle occasionne, dans un contexte de dérégulation croissante ?

     

    Source

  • Belgique : fillette de 11 ans agressée à la piscine (Màj : le migrant irakien relâché)

     

    21h15

    02/02/2016

    La chambre du conseil de Furnes a décidé mardi que l’Irakien de 23 ans, au centre d’une polémique à propos d’un incident survenu à la piscine de Coxyde, devait être libéré et ne plus être retenu dans un centre fermé pour demandeurs d’asile. Le parquet et l’Office des étrangers ont la possibilité d’interjeter appel.

    Un incident survenu à la piscine de Coxyde le 23 janvier avait fait grand bruit. Un Irakien résidant au centre d’accueil de la ville côtière était suspecté d’attouchements sur une fillette de 11 ans. L’intéressé a toujours nié cette version. Selon d’autres sources, le suspect aurait en réalité voulu porter secours à la jeune fille, qui était en difficulté.

    Le lendemain des faits, le suspect était placé en centre fermé. Mais cette procédure n’était pas compatible avec le respect des droits de la défense. Son avocat, Me Jonas Bel, a dès lors réclamé la libération de son client.  (…)

    Source

    Merci à Stormisbrewing

  • Islamisme : 8.250 individus radicalisés en France

     

    21h58

    Le Figaro dévoile en exclusivité la carte de France des personnes signalées pour « radicalisation ». Le phénomène a doublé en moins d’un an et touche de plus en plus d’adolescents et de femmes.

    Ils ont été repérés par leur entourage ou par les services de l’État (police, gendarmerie, Éducation nationale) en raison d’un repli identitaire, d’une apologie du terrorisme ou de leur hostilité aux institutions. Un dernier bilan officiel établi le 28 janvier, dont Le Figaro dévoile le détail, révèle que 8.250 personnes radicalisées ont été signalées sur l’ensemble du territoire contre 4.015 en mars dernier, soit plus qu’un doublement en moins d’un an. Contrairement à une idée reçue, « ces derniers ne basculent quasiment jamais en pianotant seuls sur leur ordinateur. Le déclencheur est dans 95 % des cas lié à un contact humain », précise-t-on à l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste. Si la contagion a gagné tout le pays, Paris, l’Île-de-France et le Sud-Est comptent le plus grand nombre de cas déclarés.

    Carte sur Le Figaro

  • Le préfet de Saint-Brieuc interdit la manifestation contre l’islamisation et l’immigration

    http://www.bvoltaire.fr/florisdebonneville/prefet-de-saint-brieuc-interdit-manifestation-contre-lislamisation-limmigration,235908?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=a8a5443617-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-a8a5443617-24089849&mc_cid=a8a5443617&mc_eid=0b0d8f3739

  • Juppé en Algérie, étape incontournable d'une campagne présidentielle

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    LE SCAN POLITIQUE - Le maire de Bordeaux est en Algérie pendant trois jours. Une visite stratégique à plusieurs égards, à laquelle se plient tous les présidentiables.

    C'est un point d'étape fondamental du parcours d'un présidentiable. Alain Juppé, candidat déclaré à la primaire de la droite et du centre, a entamé ce dimanche une visite de trois jours en Algérie. L'occasion d'abord de rencontrer son homologue, le maire d'Oran, avec laquelle Bordeaux est jumelée. Mais également de s'entretenir avec le président algérien Abdelaziz Bouteflika. Et de traiter, avec son état-major, toute une série de dossiers cruciaux pour l'Hexagone.

     

    Le maire de Bordeaux n'est pas le premier présidentiable à rendre visite à Alger. François Hollande, dès la fin 2010, avait effectué son pèlerinage de trois jours dans l'ancienne colonie française. Il en avait profité pour rencontrer le premier président de l'Algérie indépendante, Ahmed Ben Bella. Qu'il s'agisse d'Alain Juppé aujourd'hui ou de François Hollande et Nicolas Sarkozy hier, tous ont à l'esprit les mêmes motivations.

    Diaspora, coopération militaire et hydrocarbures

    Pour Benjamin Stora, historien spécialiste de la question algérienne, il y a «trois raisons principales» à ces déplacements. «D'une part, il y a une diaspora algérienne très importante en France, qui représente une clientèle électorale de plusieurs millions de voix. Aujourd'hui, ils s'abstiennent, mais en 2012 ils ont voté massivement en faveur de François Hollande», explique-t-il. Un élément sur lequel Alain Juppé tentera sûrement de capitaliser. «Autre élément capital, la coopération très étroite sur le plan militaire entre Paris et Alger», poursuit Benjamin Stora. Notamment sur la question antiterroriste: «L'Algérie partage une très grande frontière avec le Mali, la Libye et la Tunisie. Cela représente des considérations stratégiques très importantes», assure l'historien. Et puis, enfin, il y a l'enjeu des hydrocarbures, «mais que je ne citerais qu'en troisième», relativise Stora. Probablement parce que les réserves de pétrole et de gaz du pays, d'après de nombreux experts, sont en voie d'épuisement. En 2014, le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal avait déclaré que «d'ici 2030, l'Algérie ne sera plus en mesure d'exporter les hydrocarbures, sinon en petites quantités seulement».

    En 2017, le passé pourrait ressurgir

    Quid de la question mémorielle? Pour Benjamin Stora, elle «n'est abordée que lorsque les choses vont mal entre la France et l'Algérie. Quand ça va mal, on ressort le passé, les morts de la guerre, les harkis, etc. Mais pas quand les relations sont bonnes». La problématique avait été relancée par François Hollande lors de sa visite à Alger en décembre 2012, sept mois après son élection. Devant les parlementaires algériens, le président français déclarait reconnaître «les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien». Aucun de ses prédécesseurs n'avait formulé d'excuses aussi appuyées vis-à-vis de l'ancienne colonie.

    Lors de sa visite en novembre 2006, Nicolas Sarkozy «venu en ami», avait dénoncé «un système colonial, qui est un système injuste, qui a fait beaucoup de souffrance». Sans toutefois présenter d'excuses officielles, préférant dire qu'il «n'y avait pas de douleur que d'un seul côté». Alors qu'il se lançait sur sa trajectoire présidentielle, le ministre de l'Intérieur de l'époque avait également annoncé un «assouplissement» des conditions d'attribution des titres de séjour aux Algériens.

    Mais le président des Républicains, qui ne s'est pas encore officiellement lancé dans la course pour la primaire, pourrait être moins consensuel lors de sa future campagne. Dans son livre La France pour la vie, Nicolas Sarkozy remet en cause «la spécificité, en matière migratoire, de la situation avec l'Algérie». Une situation régie par une convention internationale spécifique, en vigueur depuis 1968. «J'avais engagé des discussions avec les autorités algériennes, en 2011, pour renégocier cet accord», écrit l'ancien président. Une initiative dont on verra si elle est reprise par d'autres candidats à droite, ou si elle est laissée de côté au profit d'un dialogue plus apaisé.

    LE FIGARO

  • Le turc devient une des langues officielles des institutions européennes de Strasbourg

     

    Le Conseil de l'Europe et la Cour européenne des droits de l'Homme incluent désormais le turc parmi leurs langues de travail.

     

    La langue turque est devenue une des langues officielles des institutions européennes de Strasbourg après la promotion de la Turquie au rang des pays les plus représentés au Conseil de l'Europe.

    Le Conseil de l'Europe a ainsi adopté le turc comme une de ses six langues officielles avec l'anglais, le français, le russe, l'allemand et l'italien lors de sa Session d'hiver qui se tient actuellement à Strasbourg.

    L'adoption du turc comme une langue officielle a été motivée par la transformation de la délégation turque à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), dont le nombre est passé de 12 à 18. La Turquie est ainsi devenue parmi les pays les plus représentés à l'APCE avec la France, la Russie, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Italie.

    Le premier discours prononcé en turc à l'APCE a été celui du député Utku Cakirozer (Parti républicain du peuple - CHP) lors de la session de mercredi.

    S'exprimant à l'Agence Anadolu sur l'adoption du turc comme la langue officielle du Conseil, Talip Kucukcan, président de la délégation turque (Parti de la Justice et du Développement - AK Parti), s'est dit "fier" de promouvoir le turc comme une langue de travail à l'échelle internationale.

    "L'influence d'un pays se mesure à son pouvoir de représentation", a-t-il ajouté.

    D'autre part, la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), juridiction internationale fondée par le Conseil de l'Europe, a également adopté le turc comme une de ses langues de travail.

    La plateforme du Recueil des arrêts et décisions de la Cour (HUDOC) est ainsi devenue disponible en turc avec l'anglais, le français et le russe.

    AA

    TRT

  • Un avertissement de madame Taubira !

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  • Deux sculptures uniques découvertes en Crète

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    © REUTERS/ Alkis Konstantinidis
    Culture
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    Des sculptures des anciens dieux grecs, Artémis et Apollon, ont été découvertes lors de fouilles archéologiques en Crète. Les deux sculptures sont uniques dans leur genre et sont très bien conservées.

    Lors de fouilles archéologiques dans la ville ancienne Apter, dans les environs d'Héraklion, les scientifiques ont retrouvé deux sculptures de dimensions modérées représentant les dieux de la mythologie de la Grèce antique, Artémis et Apollon, annonce le site du ministère grec de la Culture.

     

    La hauteur de chacune des sculptures ne dépasse pas 35 centimètres, ou un demi-mètre avec la base. Celle d'Artémis a été faite en bronze, celle d'Apollon — en marbre. Les chercheurs estiment que ces sculptures auraient pu décorer une des villas situées sur l'île.

    Selon les archéologues, les deux sculptures sont uniques dans leur genre, grâce à leurs dimensions modérées et à leur état exceptionnellement bon. Ce dernier fait rend la découverte d'autant plus étonnante. Les scientifiques ont été impressionnés par les insertions réalisées en matériaux de couleur blanche destinées à faire ressortir l'iris des yeux de la déesse de la chasse.

    Les sculptures peuvent être datées de la deuxième moitié du I siècle de notre ère. Les archéologues estiment que ces sculptures ont été réalisées en dehors de la Crète pour ensuite y être transportées et utilisées dans un temple domestique. Ces sculptures étaient très certainement des objets de luxe pour l'époque.



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  • Les contes européens sont bien plus anciens qu'on ne le croit

    Insolite
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    Les contes des peuples européens, recueillis et mis sur papier au 18ème et 19ème siècles par des ethnographes et des folkloristes comme Charles Perrault et les frères Jacob et Wilhelm Grimm remontent à la haute antiquité.

    Les scientifiques de la Nouvelle université de Lisbonne et de l'université de Durham (Royaume-Uni) sont arrivés à la conclusion qu'une partie de ces sujets avaient été créés il y a plusieurs milliers d'années, à l'époque préhistorique et se seraient transmis par le bouche à oreille entre les différents peuples indo-européens avant même l'apparition des langues contemporaines, rapporte The Independent. 

    Dans leur étude, les scientifiques ont combiné les méthodes traditionnelles de la linguistique avec une approche basée sur les progrès de la génétique et la théorie de l'évolution. Ainsi, ils constatent que plusieurs sujets des contes européens qu'on pensait dater du 16ème et du 17ème siècle, remonteraient en fait à l'Age du bronze.

    "Un bon nombre de ces sujets proviennent de l'époque précédant l'écriture et la mythologie hellénique et romaine. Plusieurs d'entre eux paraissent dans des manuscrits latins et grecs, mais ils sont en fait beaucoup plus anciens", constate l'anthropologue de l'université de Durham Jamshid Tehrani.

     
     

    Les scientifiques ont ainsi découvert que les sujets qui sont à la base de contes tels que "La belle et la bête" et "Le Nain Tracassin" étaient apparus il y a près de 4.000 ans. Cependant le sujet du conte anglais "Jack et le Haricot magique", portant sur un garçon qui aurait vaincu un géant, a près de 5.000 ans. 

    "Il est étonnant de voir que ces contes sont passés à la postérité par la voie orale. Ils existaient avant l'apparition de l'anglais, du français et de l'italien. Peut-être que les gens racontaient ces contes en proto-indo-européen", souligne Jamshid Tehrani.

    Le conte le plus ancien est "Le Diable et le forgeron", qui est apparu il y a près de 6.000 ans.



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