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  • L'étrange anneau de Jeanne d'Arc

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  • Crise migratoire : la rupture historique qui pourrait emporter l'Europe

     

     

     

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Face à la crise migratoire, il n'est pas impossible que l'on assiste à un événement historique qui marque la fin de l'Europe comme construction politique et la déstabilisation durable des sociétés européennes, estime le Groupe Plessis.

     
     

    Groupe Plessis est le pseudonyme d'un groupe de hauts fonctionnaires.


    Les migrations posent désormais à l'Europe un défi existentiel. Ne soyons pas naïfs, la déferlante migratoire, si rien de sérieux n'est fait, n'est pas près de s'arrêter. Ce mouvement massif de populations, engagé depuis des décennies, s'est brusquement accéléré avec la crise libyenne qui a ouvert l'accès de la Méditerranée centrale aux migrants africains. Il s'est encore amplifié avec la crise syrienne, ouvrant les routes des Balkans et de la Méditerranée orientale à un nouveau flux massif en provenance du Proche et du Moyen-Orient, mais également d'Afghanistan et du Pakistan. Il n'y a aucune raison, en l'état actuel des choses, de penser que ce mouvement s'épuisera de lui-même, bien au contraire: les candidats au départ se comptent par millions. Et la nouveauté pour l'Europe, c'est à présent une vague d'immigration clandestine algérienne!

    A cette crise migratoire, profondément déstabilisatrice pour les nations européennes, s'est ajouté le risque terroriste. Des indications convergentes montrent que des combattants de Daech, par centaines et peut-être par milliers, profitent de ce flux pour infiltrer l'Europe. Dernier en date, le général Breedlove, commandant les forces de l'OTAN en Europe, déclarait le 1er mars dernier devant le comité des forces armées du Sénat américain, que «l'Europe fait face à l'inquiétant défi de ces migrations de masse enclenchées par l'instabilité et l'effondrement des Etats et masquant les déplacements de criminels, de terroristes et de combattants étrangers. Dans ce mélange, l'Etat islamique se répand comme un cancer…» . De son côté, le directeur d'Europol estime entre 3 000 et 5 000 le nombre des djihadistes infiltrés en Europe . Nombre d'entre eux sont certainement passés parmi les migrants, à l'instar de plusieurs des assassins de l'attentat de novembre et du 4ème commando dont on vient d'apprendre l'existence . D'ailleurs, Manuel Valls a reconnu lui-même que plusieurs terroristes «ont profité de la crise des migrants pour se glisser en France» .

    Préoccupante également la proportion d'hommes jeunes parmi ces migrants. Les populations déplacées par la guerre sont, comme c'est le cas d'ailleurs dans les camps en Turquie , généralement composées au moins à parts égales de femmes et d'hommes. Or, d'après les statistiques d'Eurostat , 72% des demandeurs d'asile en Europe en 2015 sont des hommes, à tel point qu'en Suède désormais, le rapport hommes/femmes des 16/18 ans s'établit à 123 pour 100, soit une proportion plus dégradée qu'en Chine …

    D'autres signes alarmants sont apparus: les agressions de Cologne et les événements similaires révélés depuis, les attaques de chrétiens dans des foyers de réfugiés en Allemagne , les avertissements d'autorités religieuses du Levant. Alors, parmi ces migrants, combien de combattants, combien de sympathisants de l'islam radical et du djihad, combien de neutres plus ou moins bienveillants, combien de fanatiques?

    Décidément, les migrants sont bien l'arme non-conventionnelle («hybrid war») qu'a évoquée Donald Tusk, le très consensuel président du conseil européen, devant le Parlement européen le 23 septembre 2015 . Il n'est toutefois guère facile de savoir qui tient cette arme de déstabilisation massive. On peut cependant affirmer sans se tromper qu'elle profite à Daech, bien sûr, mais également à la Turquie dont on connaît par ailleurs le jeu trouble en Syrie. Et c'est avec cette même Turquie que la chancelière allemande, après entraîné l'Europe dans le chaos, s'avise de négocier un accord de dupes dont on peut assurer à coup sûr, s'il voit le jour, qu'il ne sera mis en œuvre qu'au seul bénéfice de la Turquie. Pour les Turcs: la libre-circulation en Europe (!), le doublement de l'aide européenne de trois à six milliards d'euros, des avancées dans les négociations d'adhésion à l'Union ; pour les Européens: la promesse de réadmissions, hypothétiques compte tenu notamment des obstacles juridiques, de demandeurs d'asile arrivés en Grèce, moyennant en plus, et c'est le comble, la réinstallation en Europe, un pour un, de réfugiés syriens présents en Turquie. Et l'on nous présente cet accord comme une victoire! La Sublime Porte sait bien profiter de nos faiblesses…!

    Cet accord boiteux, pour ne pas dire calamiteux, ne freinera pas ou guère les flux migratoires, mais suscite pourtant l'émotion des belles âmes qui y voient une atteinte insupportable au dogme selon lequel l'immigration est bonne par essence, et d'autant meilleure qu'elle est massive. Face à la crise migratoire, les élites européennes apparaissent impuissantes, pétrifiées par leurs contradictions, prises entre la crainte des conséquences de cet événement sans précédent et leur vision irénique de l'immigration. Pourtant, certains ont pris la mesure du désastre, notamment en Europe de l'Est où les pays les plus menacés tentent de s'unir pour endiguer le flux et protéger leurs frontières. C'est bien la preuve que l'Union européenne, simple instance bureaucratique de gestion, est incapable d'assurer la sécurité des Européens. Seuls les Etats, qui disposent, selon la définition de Max Weber, du monopole de la violence légitime, sont en mesure de s'opposer au besoin par la force, certes avec retenue et discernement, au franchissement illégal de leurs frontières. Et c'est bien la grande faiblesse de l'Europe et des Etats de l'Ouest du continent que de renoncer par avance à ce recours à la force ; c'est l'abdication de toute maîtrise de son destin ; c'est la porte ouverte à toutes les soumissions.

    Pendant ce temps en France, pourtant victime d'attentats meurtriers, notre classe politique ne s'inquiète guère. On vote le 18 février, à la dérobée, dans un hémicycle quasi-désert, une loi surréaliste sur l'immigration, qui rendra encore plus difficile le renvoi des clandestins et des déboutés du droit d'asile (voir, sur FigaroVox du 19 février, l'excellente tribune d'Alexis Théas ). On est ainsi désormais sûr qu'aucun clandestin ou demandeur d'asile, ou peu s'en faut, qui mettra le pied en France ne repartira sinon volontairement. Notre Gouvernement pousse décidément à son paroxysme l'art d'être à contre-courant… Mais le silence sur ces sujets de la droite, toute à la préparation des primaires et à ses querelles d'appareil, n'est pas moins sidérant et dénote une futilité et une désinvolture inquiétantes. Quant au FN, ses députés n'ont même pas participé au vote de la dernière loi.

    Il n'est pas impossible que l'on assiste à un événement d'une ampleur historique qui marque la fin de l'Europe comme construction politique et la déstabilisation durable et peut-être irrémédiable des sociétés européennes. On entend d'ailleurs de plus en plus de Français prêts à partir à l'étranger pour y trouver, pour eux et leur famille, la sécurité et l'avenir qu'ils pensent désormais ne plus pouvoir trouver en France. Face à ce vent mauvais, des solutions existent (voir entre autres notre article du 14 octobre dernier ), au premier rang desquelles on trouve la protection effective et active, au besoin par la force, de nos frontières et la remise à plat de tout notre dispositif juridique et administratif de gestion de l'immigration. Mais il manque une voix, respectée et crédible, sérieuse, volontaire et patriote, pour les porter dans le champ politique. Nous, comme bien d'autres, attendons l'émergence de cette personnalité.

  • TousUnisContrelaHaine : la campagne gouvernementale d’avilissement des Français de souche

     

    Publié par Antonin Campana sur 21 Mars 2016, 14:05pm

    Catégories : #Antijaphétisme

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    Le Gouvernement « français » vient d’entamer une campagne contre le racisme (sic) dont l’abjection le dispute au cynisme (vidéos ici). Pour un coup de trois millions d’Euros, une série de clips racistes répartissent l’humanité en deux grandes catégories, deux espèces pourrait-on presque dire tant la distance les séparant est ontologique :

    Il y a tout d’abord les victimes : les Juifs, les Musulmans, les Arabes et les Noirs.

    Et il y a les bourreaux, les éternels coupables, les éternels racistes, ceux qui « commencent toujours par des mots et finissent toujours par des crachats, des coups et du sang » : les Blancs en général et les Français de souche européenne en particulier.

    Les clips ne laissent aucun doute quant à cette catégorisation de l’humanité. Les victimes sont clairement nommées (« Juifs », « Musulmans », « Arabes » et Noirs »). L’identité du raciste quant à elle apparaît clairement à travers le timbre des voix, le vocabulaire employé, les images et les propos tenus : « les Musulmans ne sont pas comme nous », « dans vingt ans la France sera musulmane », « les Noirs, ils sont pas pareils c’est génétique », les Juifs « ne se mélangent pas », les Arabes « ne font aucun effort pour s’intégrer »….

    Si l’on s’en tient à ces clips, les Blancs, les Français autochtones, les chrétiens ne sont jamais victimes du racisme ! Jamais victime du racisme, mais seuls comptables du racisme ! Le message subliminal est clair : les «Juifs », les « Noirs » ou les « Arabes » subissent le racisme mais ne l’éprouvent pas entre eux, ni contre les Blancs. Seuls ces derniers en sont coupables.  Cette campagne de haine amplifiée par la connivence des médias distingue donc les Blancs de tous les autres hommes. Elle les distingue pour les avilir ! Littéralement, elle les extrait de l’humanité en les accablant d’une tare (le racisme) que les autres ne possèdent pas et dont, peut-on supposer, ces derniers seraient biologiquement ou culturellement immunisés.

    Ce message s’inscrit dans le discours du plus pur antijaphétisme. Ce racisme antiblanc dont nous avons déjà décrit le caractère institutionnel est nécessaire à la République pour expliquer l’échec de son modèle de « vivre ensemble ». Nous sommes au cœur d’un système d’avilissement qui nie le Français de souche  (le « Français de souche ça n’existe pas, dixit Hollande ou les tribunaux républicains) tout en le reconnaissant comme une incarnation du racisme.  Le Français de souche a le choix entre ne pas être ou être un salaud !

    Cette campagne de propagande est donc une campagne raciste, une campagne de haine qui impose aux consciences un système d’avilissement qui justifie la haine contre les Blancs. Comment pouvons-nous supporter ce racisme subventionné qui fait des Blancs des êtres « différents », malsains, sujets aux comportements irrationnels et dangereux pour les autres ? Comment pouvons-nous supporter que notre humanité soit remise en cause, qu’elle ait pour certains ce quelque chose en plus ou en moins qui justifie que l’on s’adresse à nous pour nous faire la morale ? Comment pouvons-nous supporter d’être traités comme des hommes inférieurs, des sous hommes pires que les autres hommes ? Comment pouvons-nous supporter d’être constamment piétinés ?

    Antonin Campana

    (Suite)

    On me signale que le site du gouvernement « français » cherche à justifier l’absence du racisme antiblanc dans ses clips  : «un choix : traiter des types de racisme qui sont à la source aujourd’hui des agressions les plus fréquentes. C’est pour cette raison que les agressions et menaces anti-blancs, anti-roms et anti-asiatiques ne font pas l’objet de films dédiés car ils sont proportionnellement moins nombreux ».  

    MAIS LE PROBLEME N’EST PAS LÀ !

    Le problème n’est pas que le racisme antiblanc ne soit pas traité, le problème est que le racisme soit toujours imputé aux seuls Blancs, qu’ils aient le monopole du racisme  !

    Cette lecture du racisme a pour conséquence de confirmer un système d’avilissement des Blancs que l’on retrouve déjà dans l’histoire enseignée, les attendus des juges, les informations relatées par les médias de cour, le cinéma, la littérature moderne ou les plaintes des associations subventionnées… Ce système d’avilissement enseigne le mépris à l’égard du Blanc, mais le déshumanise aussi, l’expulsant hors de l’humanité « normale ».

     Le gouvernement parle d’agressions « moins nombreuses » contre les Blancs pour justifier ses « choix ». Quelle aimable plaisanterie ! 90 morts rien qu’au Bataclan ! 90 personnes tuées par des musulmans qui voulaient faire la peau à des « mécréants »,  des « idolâtres » et des « croisés » (revendication ici). Faut-il rappeler aux benêts du gouvernement leur propre définition du racisme : « discrimination, haine, violence  à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » ?

    Même si cela était, même si les agressions contre les Blancs étaient moins nombreuses (cela ne durerait d’ailleurs pas en raison de l’antijaphétisme d’Etat), la République aurait un devoir de donner une place à part au racisme qui accable les Autochtones de ce pays. D’une part parce que les Autochtones n’ont pas « d’ailleurs » où se réfugier (l’Afrique pour les Africains, Israël pour les Juifs, les Antilles pour les Antillais, le Bled pour les Arabes…), d’autre part parce que, tirant la conséquence de ce qui précède, la Déclaration sur les Droits de Peuples autochtones l’oblige à protéger tout particulièrement le peuple autochtone de ce pays. Les benêts du gouvernement « français » rétorqueront que la République ne reconnaît pas le peuple autochtone de France. Devant un Tribunal Pénal Autochtone (TPA), cela sera du plus mauvais effet.

    AC

  • Me Damien Viguier: " Ils font réger la terreur même chez les avocats!" (VIDEOS)

    http://www.medias-presse.info/proces-faurisson-ils-font-regner-le-terreur-meme-chez-les-avocats-me-viguier/51353

  • Le premier voyage officiel du président de la région PACA Christian Estrosi a été pour Israël

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    image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/06/estrosi-mur-israel-mpi.jpg

     

     

    Le premier voyage officiel de Christian Estrosi en tant que nouveau président de la région PACA est quasiment passé inaperçu, hormis dans les médias communautaires juifs. Il s’agissait sans surprise d’un voyage en Israël. Selon Actualité Juive, il s’agissait d’une promesse faite à Myriam Fierberg-Ikar, maire de Netanya, ville jumelée avec Nice dont Christian Estrosi est le maire.

    Le voyage s’est déroulé du 14 au 17 février 2016. Christian Estrosi était accompagné d’une délégation composée notamment de son directeur de cabinet Antony Borré venu avec son épouse Véronique, conseillère à la sécurité, de ses adjoints, le député Rudy Salles et la conseillère départementale Martine Ouakhnine, de Nathalie Siran, responsable de la direction des relations internationales de la ville de Nice, de Lucien Samak, président du Consistoire régional, de Maurice Niddam, président de l’Association Culturelle Israélite de Nice, du député de Marseille Bernard Deflesselles, de Serge Amar, adjoint au maire d’Antibes, de Michèle Teboul, présidente du CRIF local, et de Zvi Amar, président du Consistoire de Marseille.

    La délégation a rencontré Beate Klarsfeld qui a reçu la nationalité israélienne à titre honorifique. Des rencontres avec des entreprises israéliennes étaient également au programme.

    Après une visite du Centre de l’Armée de l’air israélienne, Christian Estrosi s’est entretenu avec le ministre de la Défense israélien, Moshe Yaalon, et avec le ministre de l’Intérieure, Gilad Erdan. Christian Estrosi y a réaffirmé son soutien à Israël.

    La délégation s’est aussi rendua au mémorial de Yad Vashem ainsi qu’au mur Occidental de Jérusalem et à l’église du Saint-Sépulcre.

    A l’issue de ce voyage, Christian Estrosi et l’ambassadeur de France en Israël ont annoncé que la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) a été sélectionnée pour la prochaine édition de la semaine du goût en Israël. Cela valait bien le déplacement d’un tel aréopage

    Au fait, qui pourrait nous dire combien ce voyage a coûté aux contribuables de PACA ?

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  • Légion d'honneur

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  • C’était un 19 mars…

     

    Vu chez T. de Chassey :

    1937 : Pie XI publie l’encyclique Divini Redemptoris : « le communisme est intrinsèquement pervers, et l’on ne peut admettre sur aucun terrain de collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne ». Jamais un système politique ne fut condamné aussi radicalement par le magistère. On peut retrouver le texte en fin d’article.

    1944 : décès, près de Toulouse, du général de Curières de Castelnau, doyen des grands chefs de l’armée française. Né en 1851 dans une vieille famille du Rouergue, il avait participé à la guerre de 1870 dès sa sortie de saint Cyr. C’est lui qui proposera, en 1916, à Joffre de nommer Philippe Pétain au commandement de l’armée de Verdun. La Grande guerre lui aura coûté trois de ses fils. Elu à la chambre bleu horizon, il devient en 1925, président de la Fédération nationale-catholique ainsi que de la Ligue des patriotes.

    1946 : Marcel Bucard, chef du Parti franciste (se voulant l’unique équivalent français du fascisme italien), tombe sous des balles françaises à 10h35 au fort de Châtillon, après avoir chanté « Je suis chrétien, voila ma gloire ».
    Il avait marché vers le poteau pieds nus, comme les martyrs, vêtu de sa chemise bleue, puis avait prié avec l’aumônier ; refusant le bandeau et une fois attaché, il s’écria « Qui vive ? France ! ».
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  • Selon Musset, il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée…

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    Source : Polémia


    En matière d’immigration, le choix des gouvernants est clair. Il faut qu’elle soit de plus en plus ouverte.

    Dans un grand silence que certains commentateurs assimilent à de l’indifférence et face à un hémicycle vide, le gouvernement socialiste a fait adopter par l’Assemblée nationale en dernière lecture la loi n° 2016-274 publiée le 8 mars 2016 au Journal officiel relative aux droits des étrangers en France. Alors que la France, comme l’ensemble de l’Europe, connaît une crise migratoire dont les conséquences sont vitales et peuvent être tragiques pour notre pays, le pouvoir socialiste, indifférent à l’intérêt général des Français et mû par ses tropismes idéologiques, abaisse plusieurs protections juridiques contre l’invasion et, au contraire, renforce l’attractivité de la France au profit de celle-ci.

    Dans une discrétion assourdissante que certains commentateurs assimilent à de l’indifférence et face à un hémicycle vide, le gouvernement socialiste a fait adopter par l’Assemblée nationale en dernière lecture la loi n° 2016-274 publiée le 8 mars 2016 au Journal officiel relative aux droits de l’étranger en France.

    Cette loi (*) ouvre encore plus la porte à l’immigration même irrégulière. Qu’on en juge.

    L’accès à la nationalité française par déclaration est élargi et facilité
    L’article 59 de la loi élargit l’accès à la nationalité française par déclaration en introduisant une innovation majeure dans le droit français de la nationalité :
    « Peuvent réclamer la nationalité française à leur majorité, par déclaration souscrite auprès de l’autorité administrative, en application des articles 26 à 26-5, les personnes qui résident habituellement sur le territoire français depuis l’âge de 6 ans, si elles ont suivi leur scolarité obligatoire en France dans des établissements d’enseignement soumis au contrôle de l’État, lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française en application des articles 21-7 ou 21-11 ». (Nouvel article 21-13-2 du Code civil).

    Cette loi crée ainsi une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française par déclaration. Il semble possible de l’assimiler à une forme indirecte du droit du sol transmis par un lien de fratrie, qui ne nécessite pas d’être né sur le territoire français, mais d’avoir un frère ou sœur devenu lui-même français soit de plein droit soit par déclaration. À ce titre, elle constitue un recul important du droit du sang.

    Elle peut représenter une innovation particulièrement dangereuse et de nature à encourager l’invasion actuelle quand on sait que l’idée de famille en Afrique Noire est profondément différente du concept européen. Une « fratrie » subsaharienne peut être en réalité une mini tribu et regrouper une centaine de frères et sœurs voire plus.
    Enfin, il est symptomatique que les textes de loi utilisent le terme « réclamer » et non « demander poliment » pour obtenir la nationalité française par déclaration.

    L’institution d’une carte de séjour pluriannuelle vise à abaisser un obstacle administratif à l’immigration-invasion
    jusqu’à aujourd’hui, le système français reposait sur la délivrance d’une carte de séjour d’un an renouvelable pendant cinq ans, avant d’accéder au titre de résident de dix ans. Les cinq ans de séjour temporaire constituaient une période probatoire, destinée à s’assurer d’une bonne intégration.

    L’article 17 de la loi (article 313-17 du CESEDA) crée une carte de séjour pluriannuelle de quatre (ou deux) ans qui sera délivrée « au terme d’une première année de séjour régulier ». Désormais, dès l’expiration du visa de long séjour d’un an, l’étranger obtient le droit à un titre de séjour, ne nécessitant pas un renouvellement annuel, d’une durée de quatre années, avant l’obtention du titre de dix ans.

    Ce document est à mi-chemin entre la carte de séjour valable un an et la carte de résident de dix ans. L’objectif est, selon l’exécutif, d’éviter aux étrangers en règle des passages répétés et anxiogènes en préfecture. Pour le rapporteur du texte, Erwan Binet (PS), ces interminables files d’attente montrent que « la France est un pays d’immigration », mais « qui ne l’assume pas », car cet « accueil indigne » était jusqu’il y a peu « politiquement voulu » ?

    En réalité est ainsi écartée une disposition qui avait pour objectif que les étrangers fassent la preuve de leur volonté d’intégration. La carte pluriannuelle de quatre ans tend à pérenniser et figer la présence de l’immigré pendant cette durée. Une protection administrative est ainsi abaissée.

    La création d’un « passeport talent » : la pire ou la meilleure des choses ?
    L’article 17 de la loi du 7 mars 2016 crée le titre « passeport talents », valable quatre ans, qui remplacera la multitude de titres existants pour les étrangers qualifiés ou ayant une compétence particulière. (Nouvel article 313-20 du CESEDA).

    Une telle disposition peut être la pire ou la meilleure des choses. Elle peut réellement encourager l’arrivée de talents intellectuels, scientifiques ou artistiques pour le plus grand bien de la France. Connaissant les socialistes, elle peut constituer une porte grande ouverte à une immigration de travail rendue inutile par les 6 millions de personnes inscrites à Pôle Emploi.

    La communication d’informations à l’autorité administrative compétente est favorisée et organisée, mais étroitement contrôlée
    L’article 48 du texte de loi (nouvel article 611-12 du CESEDA) renforce la lutte contre la fraude aux titres de séjour en donnant la possibilité aux préfets d’obtenir des données d’autres administrations et de certaines personnes privées (banques, etc.), ce qui est plutôt positif. En commission, un amendement socialiste a introduit la CNIL et le Conseil d’État pour contrôler les informations susceptibles d’être transmises, ce qui peut constituer un frein.

    Malgré cette évolution du texte, cette possibilité d’accéder aux données privées et administratives des étrangers reste contestée par les écologistes et le Front de gauche.

    Des étrangers en situation irrégulière et malades, régularisés parce que malades
    L’article 13 de la loi prévoit en faveur de tout étranger malade et en situation irrégulière un droit à la régularisation s’il ne peut pas bénéficier effectivement d’un traitement approprié dans le pays dont il est originaire.

    « La carte de séjour pluriannuelle portant la mention “Vie privée et familiale” est délivrée de plein droit (…) à l’étranger résidant habituellement en France, si son état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et si, eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié. La condition prévue à l’article L. 313-2 n’est pas exigée » (nouvel article 313-11-11 du CESEDA).
    Ainsi un étranger en situation irrégulière en France, qui n’est pas en mesure de recevoir des soins appropriés dans son pays d’origine, obtient le droit à une régularisation en plus de celui d’être soigné en France.

    Quatre observations peuvent être formulées :
    • — Le fait d’être malade peut ainsi conduire un clandestin à être régularisé. Bonjour les simulateurs ;
    • — une telle mesure risque d’entraîner un appel d’air d’une ampleur potentiellement gigantesque ;
    • — elle comporte un effet de cliquet redoutable ; à partir d’un certain âge, on a toujours mal quelque part et pour des pathologies sérieuses on n’est jamais réellement guéri ;
    • — enfin, l’impact sur les comptes de la santé déjà déficitaires ne peut être que considérable.

    Le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière est affaibli
    L’article 35 de la loi porte une atteinte grave au dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière. Il supprime la rétention administrative de cinq jours, délai pendant lequel le préfet pouvait décider de garder un étranger, notamment susceptible d’un arrêté d’expulsion, en rétention, le temps d’organiser son départ. Ce délai passe à 48 heures, durée nettement insuffisante pour organiser le retour d’une personne dans son pays (article 551-1 du CESEDA). C’est le juge des libertés, généralement très laxiste en matière de droit des étrangers, qui pourra autoriser une prolongation de cette durée (article 552-1).

    Ainsi le dispositif de lutte contre l’immigration illégale risque fort de perdre une grande partie de son efficacité.
    En outre, la nouvelle loi interdit, sauf exception, le placement en rétention des familles avec enfant (article 551-1 du Code), ce qui rend l’éloignement des familles en situation irrégulière très difficile, voire impossible, surtout avec des magistrats immigrationnistes.

    Le parcours personnalisé vise l’intégration républicaine et non l’assimilation à la France
    L’article 1 de la loi reformule la rédaction de l’article 311-9 du CESEDA sur le parcours d’intégration républicaine destiné à l’étranger qui souhaite s’installer durablement sur le territoire français.
    Il s’agit d’intégration républicaine et civique et non d’intégration à l’histoire et à la culture de la France qui sont totalement ignorées.

    L’information qui est dispensée est dans « une langue que l’étranger comprend », ce qui laisse augurer du niveau supposé d’intégration.
    Une formation à l’histoire et à la géographie est prévue, mais seulement pour celles du département ou de la région de résidence de l’étranger. Rien n’est évidemment prévu concernant l’Histoire de France.
    Bien entendu, ces formations sont prises en charge par l’Etat, c’est-à-dire par les contribuables français, les envahis.

    Présence de journalistes dans les zones d’attente et les lieux de rétention administrative : une aubaine pour les immigrationnistes
    Selon l’article 44 de la loi :
    « Sous réserve de ne pas porter atteinte à la dignité des personnes et aux exigences de sécurité et de bon fonctionnement de la zone d’attente, les journalistes titulaires de la carte d’identité professionnelle mentionnée à l’article L. 7111-6 du Code du travail peuvent être autorisés à y accéder dans des conditions fixées par décret en Conseil d’État » (art. L. 221-6).

    Il en va de même pour les lieux de rétention administrative.
    Gageons que les médias et les associations immigrationnistes sauront tirer les plus grands avantages de cet article de loi.

    Conclusion
    En définitive, la loi, bien nommée, sur les droits des étrangers en France se place dans la lignée des textes en faveur de l’immigration depuis 40 ans. Elle favorise l’ouverture et l’accueil. Elle va dans le sens d’une augmentation des droits des étrangers et affaiblit le dispositif de la lutte contre l’immigration illégale.

    Il semblerait que les socialistes, vexés de la préférence que marquent les migrants et réfugiés pour l’Allemagne et l’Angleterre, veuillent renforcer, comme l’a souligné le député LR Guy Geffroy dont la voix a semblé bien solitaire, l’attractivité de la France alors que la crise des migrants bat son plein, et donner un souffle supplémentaire aux pompes aspirantes afin de redevenir les bons élèves de l’Europe mondialiste.

    En réalité, le gouvernement socialiste associé aux immigrationnistes de tout poil et stimulé par eux accélère le processus de remplacement et de dissolution du peuple français avant les élections de 2017. Partisan déterminé de l’immigration de masse et de l’invasion-submersion il poursuit son œuvre de trahison de notre nation.

    André Posokhow
    Consultant Polémia

    NOVOPRESS

  • Qui se cache derrière Hillary Clinton ?

    Israël et Wall Street

    Le plouto-sionisme est le mariage à trois de la ploutocratie, du sionisme d’extrême-droite et de la candidate à la présidentielle américaine Hillary Clinton, une criminelle qui a une série de guerres à son actif, une raciste et une servante zélée de Wall Street. Où donc ce ménage-à-trois mortel va-t-il nous conduire ? La réponse est qu’un groupe de donateurs richissimes, entièrement dévoués à la cause de la domination israélienne au Moyen-Orient et à l’intensification des interventions militaires américaines dans la région, a garanti le soutien inconditionnel de Clinton pour les ambitions de Tel Aviv, en échange de millions de dollars pour financer une armée de colleurs d’affiches et de votants pour sa campagne au sein du Parti démocrate.

     

    Le plouto-sionisme et Clinton

    Les plouto-sionistes représentent les principaux financiers qui soutiennent Clinton. Ses soutiens millionnaires, parmi les nababs et les requins de la finance les plus puissants, comptent : George Soros [$ 6 millions au moins, NdT], Marc Benioff, Roger Altman, Steven Spielberg, Haim et Cheryl Saban [$ 3 millions et plus], Jeffrey Katzenberg, Donald Sussman, Herb Sandler, Jay et Mark Pritzker, S. Daniel Abraham [$ 1 million], Bernard Schwartz, Marc Lasry, Paul Singer, David Geffen, Fred Eychaner, Norman Braman et Bernie Marcus.

    Dans la file d’attente, on trouve aussi les millionnaires Républicains faiseurs de rois, Sheldon et Miriam Adelson, les frères Koch aux côtés du multi-millionnaire libéral Michael Bloomberg, qui a versé $ 11 millions lors des élections de 2012. Ces bailleurs de fonds Républicains à l’ancienne sont de plus en plus effrayés par la rhétorique anti-libre-échange et anti-interventionnisme du quasi-candidat de leur parti, Donald Trump, et se retournent vers la candidate fermement pro-Israël, pro-guerre et pro-Wall Street, Madame Clinton.

     

    Les idéologues du Israël d’abord et Clinton

    En plus de ces puissants plouto-sionistes, toutes les cohortes d’idéologues Israël d’abord sont derrière Clinton. Citons les habituels avocats de la guerre en chambre, comme Victoria Nuland, son mari Robert Kagan, Donald Kagan, Robert Zoellick, Michael Chertoff, Dov Zakheim parmi tous ces promoteurs des guerres continuelles de Washington un peu partout dans le monde. Madame Nuland, Secrétaire d’État adjointe pour les Affaires d’Europe orientale, s’est vantée ouvertement d’avoir utilisé des centaines de millions de dollars, pris sur l’argent des contribuables, pour financer le coup d’État ukrainien au profit de l’extrême-droite. Michael Chertoff, directeur de la Homeland Security après le 11 septembre, a jeté en prison des milliers de musulmans innocents tandis qu’il libérait cinq agents du Mossad israélien arrêtés par le FBI, pour leur implication ou leur pré-connaissance des attaques sur New York, parce qu’ils ont filmé l’effondrement des tours et célébré l’événement sur le toit d’un entrepôt dans le New-Jersey ! [Plutôt de leur camionnette, NdT]

    Les plouto-sionistes et les idéologues d’Israël d’abord soutiennent Mme Clinton pour la récompenser pour ses activités militaires et économiques intenses qui favorisent les ambitions de domination régionale de Tel Aviv. Ses réalisations pour l’État juif vont de la promotion de guerres à grande échelle, qui ont détruit l’Irak, la Syrie, la Libye et l’Afghanistan ; les sanctions économiques et le blocus contre l’Iran (elle a menacé de faire disparaître l’Iran en 2007) ; et ses déclarations répétées de soutien inconditionnel à Israël pour ses destructions contre le peuple palestinien emprisonné dans Gaza, destructions qui ont coûté la mort de milliers de civils et fait perdre leur toit à des centaines de milliers d’autres. Dans une lettre à son banquier, Haim Saban, Hillary a déclaré : « Israël n’a pas donné une leçon suffisamment dure au Hamas (le peuple de Gaza) l’an dernier ».

     

    Clinton vs Trump : quand les menteurs se prétendent modérés

    Les plouto-sionistes, les idéologues du Israël d’abord, les médias de masse américains et leurs acolytes de Wall Street, l’élite des Partis républicain et démocrate entonnent tous la même rengaine contre le premier prétendant à la candidature républicaine, Donald Trump, le proclamant danger pour tout ce pourquoi l’Amérique se bat (sic). A part se moquer de lui, le chœur des anti-Trump oppose son extrémisme au pragmatisme de la va-t-en guerre Clinton.

    Un examen minutieux des faits révèle qui est ultra-extrémiste et qui tient compte de la réalité :

    Les femmes

    Mme Clinton a approuvé beaucoup de guerres, contre les peuples d’Irak, d’Afghanistan, de Syrie et de Libye, guerres qui ont tué ou mutilé des centaines de milliers de femmes et d’enfants et ont jeté hors de leurs maisons des millions de familles. Ce record de chaos sanglant et indéniable a été cité par Donald Trump quand il a soutenu que sa politique serait bien meilleure pour les femmes que celle de la pourtant féministe Clinton.

    En fait, les pires attaques de Trump contre les femmes sont ses propos et ses blagues vulgaires et misogynes, qui paraissent toutefois bien pâles devant les dévastations soutenues et défendues par Clinton.

    Les Afro-américains

    Clinton est soutenue par les politiciens noirs les plus influents, qui depuis longtemps ont été maternés par le Parti démocrate et vont à la soupe quand ils vendent Clinton à l’électorat noir en tant que protectrice des droits civiques. En fait, comme Steve Lendman l’a écrit, Hillary a parlé des jeunes Noirs marginalisés comme « des super-prédateurs sans conscience, ni empathie ». Sous le mandat de son mari Bill, elle a participé au débat pour soutenir ses lois draconiennes sur le crime, dites « des trois coups », lois qui ont permis l’incarcération en masse de centaines de milliers de jeunes Noirs ; et elle a soutenu son programme de réforme de la protection sociale, lequel a réduit en lambeaux le réseau social pour les pauvres et obligé des millions de mères appauvries à travailler pour des salaires de misère, mettant encore plus en danger la stabilité des ménages dirigés par des Noires. Concernant les affaires africaines, la guerre à la Libye de la Secrétaire d’État « Ma Sœur » Hillary a provoqué la fuite, le viol et le massacre de dizaines de milliers de femmes africaines d’Afrique noire, prises dans les serres des seigneurs de la guerre djihadistes qui étaient ses alliés. Des millions d’immigrés originaires d’Afrique subsaharienne vivaient et travaillaient depuis des années dans la Libye de Kadhafi, des dizaines de milliers en devenant même citoyens. Ils ont subi l’horreur de l’épuration ethnique non déclarée dans la Libye libérée par Clinton.

    Trump, au pire, n’a rien fait pour nuire aux Afro-américains et personne ne sait ce qu’il pense de la question noire. Il s’oppose à la guerre de Clinton en Libye et a sévèrement critiqué sa politique, disant qu’elle était responsable du chaos et de la misère dans la Libye d’après les bombardements de l’OTAN.

    Les Hispaniques

    Sous l’Administration Obama-Clinton, près de 2 millions d’immigrants hispaniques ont été arrêtés, chez eux et sur leur lieu de travail, arrachés à leurs familles et expulsés sans procès. Secrétaire d’État, Clinton a soutenu le coup d’État au Honduras qui a renversé le gouvernement démocratiquement désigné du Président Zelaya et qui a conduit directement à l’assassinat de plus de trois mille activistes, féministes, indigènes, défenseurs des droits civiques et de l’environnement, comme Berta Caceres. Clinton a soutenu activement des coups d’États ratés contre les gouvernements bolivien et vénézuélien, arrivés démocratiquement au pouvoir.

    Trump s’est lancé dans une surenchère verbale, menaçant d’étendre et d’alourdir les expulsions de l’équipe Obama-Clinton aux 11 millions d’immigrés hispaniques illégaux travaillant sur le territoire des États-Unis. Qui s’ajouteraient donc aux 2 millions déjà expulsés par Obama, et aux centaines de milliers qui sont rentrés volontairement chez eux. Sa vision extrémiste est complètement sur la même ligne que celle de sa concurrente soi-disant pragmatique, dont le Département d’État a promu la destruction de tant de familles hispaniques aux États-Unis.

    Politique étrangère

    Clinton a lancé ou soutenu plus de guerres concomitantes que n’importe quel autre Secrétaire d’État dans l’Histoire des États-Unis. Elle a été l’instigatrice des bombardements américains sur la Libye et du changement de régime brutal qui a brisé ce pays. Elle a soutenu l’escalade militaire en Irak, soutenu la prise de pouvoir violente en Ukraine, conçu la mobilisation militaire contre la Chine – le pivot vers l’Asie – et négocié la présence permanente de milliers de soldats américains en Afghanistan.

    Clinton a régulièrement promis à son soutien financier Haim Saban et au premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, qu’elle donnera à Israël « tout le soutien militaire, diplomatique, économique et moral nécessaire pour vaincre le Hamas », peu importe le nombre de victimes civiles chez les Palestiniens. Hillary la féministe pragmatique est une supportrice fervente des despotes saoudiens et de leur guerre génocidaire contre les forces populaires au Yémen. Elle pousse à la poursuite de dures sanctions commerciales contre la Russie.

    Trump s’oppose à toute nouvelle intervention des États-Unis au Moyen-Orient. Lors de son débat en Caroline du Sud, il a dénoncé à plusieurs reprises l’invasion de l’Irak par le Président George W. Bush – comme étant fondée sur « des mensonges délibérés au peuple américain », ce qui a pétrifié l’élite du Parti républicain. Il a refusé le financement plouto-sioniste, expliquant qu’étant seulement un « honnête courtier » indépendant, il ne prenait pas le parti d’Israël dans son conflit avec les Palestiniens et pouvait donc être l’homme de la situation pour conclure un accord. Il s’oppose à l’envoi de troupes terrestres en Europe ou en Asie, envoi qui imposerait un énorme fardeau financier aux contribuables américains. Il est allé jusqu’à suggérer que les puissances européennes et asiatiques devraient payer pour leur propre défense. Trump explique que les États-Unis pourraient s’allier avec Poutine contre le terrorisme islamique radical, et il considère la Russie comme un possible partenaire commercial. Son anti-interventionnisme a été qualifié d’isolationnisme par les idéologues plouto-sionistes et les seigneurs de la guerre militaristes réfugiés dans leurs think tanks à Washington, mais le slogan de Trump « l’Amérique d’abord » résonne profondément dans l’électorat américain, lassé de la guerre et économiquement dévasté.

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  • Un défilé des anciens soldats lettons de la Waffen SS

     

    © Sputnik. Oksana Dzadan
    Points de vue
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    Oxana Bobrovitch
    9213296

    A Riga, le 16 mars est une date, la date officieuse pour se rappeler les Légionnaires de la Lettonie, les soldats lettons qui ont servi dans Waffen SS et se sont battus à côté de l'Allemagne nazie dans la Deuxième Guerre mondiale.

    Depuis 1994, les défiles réunissent un millier de personnes, malgré les protestations assidues des organisations antifascistes locales et internationales, malgré les demandes d'un Rapporteur Spécial des formes du racisme contemporain de l'ONU… Une fois de plus, cette année les anciens de la Légion Whaffen SS ont battu le pavé de la capitale lettonne, avec un muet consentement de l'Europe.

     
    © Sputnik.
    Défilé annuel des partisans de la Waffen SS

    En 2000, le gouvernement letton a aboli la journée comme journée commémorative officielle. Mais ceux qui observent chaque année un millier de personnes défiler dans les rues de Riga ne sont pas dupes: l'indulgence effroyable des gouvernements des pays avoisinants de l'Europe réunie est évidente. Ca prend de l'ampleur même.

    Pour Alexandre Prokopenko, Président du Parlement des non-représentés de Lettonie le message que tentent passer les manifestant est clair:

    Marche d'anciens combattants des Waffen SS à Riga
     

    « La commémoration annuelle des Légionnaires de la Lettonie qui ont servi dans Waffen SS a une fonction très précise dans notre pays: notre gouvernement et tous ceux qui les soutiennent, essayent de réviser les résultats de la Seconde guerre mondiale. Etant du côté des nazis, ils ont perdu la guerre. Et maintenant, ils essayent organiser ces soi-disant « manifestations des vainqueurs » pour démontrer aux autres leur insignifiance. Ils essayent de dire: « Vous avez combattu du mauvais côté, il aurait fallu soutenir Hitler, c'est lui qui a libéré la Lettonie, et vous tous, ne sont que des occupants! »

     

    Bien entendu, ni le Président, ni le gouvernement n'utilisent ces propos directs, mais ils sous-entendent cette opinion dans toutes leurs actions.

    La preuve? Voilà: les manifestations antifascistes ne sont pas autorisées de défiler au centre-ville, on les envoie sur la périphérie. Et les descendants spirituels du nazisme, ainsi que quelques descendants directs des Légionnaires d'antan ont droit de passer en ville, sous les drapeaux d'état, et d'organiser une manifestation auprès du symbole de notre pays — la statue de la Liberté.

    Ainsi, ces gens qui étaient les vrais criminels, passent pour des héros.

     

    Cette année, les organisations antifascistes ont organisé une grande action de protestation. Ils ont fait la lecture des noms de gens qui ont péri: 400 000 personnes ont été tués par les nazis en Lettonie, dont 80 000 juifs. C'était une démarche très forte contre l'héroïsation du nazisme et le soutien gouvernemental dont elle bénéficie ».

    La Russie est souvent critiquée assidument par les Pays Baltes, mais l'Europe ne lève pas sa voix contre eux… Pourtant, la, il y a un prétexte très concret.

    « Dans le système international du partage du travail politique, le rôle des Pays Baltes, et surtout le rôle de la Lettonie est tout particulier. Ils doivent jouer le rôle d'un critique de la Russie, de jouer le rôle d'un chien qui aboie sur la caravane qui passe. Et ils sont récompenses par beaucoup d'indulgence. Certains dirigeant de l'Union Européenne peuvent les gronder de temps en temps, mais aucune action de ne suit les paroles ».

    les partisans de la Waffen SS
     

    Tous les ans, l'ONU vote une résolution qui condamne l'héroïsation du nazisme, mais l'Union Européenne ne fait rien. « Il se trouve que l'Union Européenne accepte ces manifestations en Lettonie, » — déplore Alexandre Prokopenko. Le Président du Parlement des non-représentés de Lettonie nous a donné même un exemple que lors des séances de l'OSCE, quand il attire l'attention des participants sur le caractère nettement anticonstitutionnel de telles manifestations profascistes, il frôle l'accusation de la trahison d'Etat, on l'accuse de donner un faux éclairage de la politique Lettone dans l'Union Européenne.

     

    Pour le Père Patrick Desbois, président de l'association Yahad-In Unum et auteur du livre « La Shoah par balle », le révisionnisme vient souvent de l'ignorance:

    « L'Allemagne a bâti sa démocratie en reconnaissant les crimes fascistes. Les jeunes Allemands sont obligés d'aller dans les endroits ou ont été commis des crimes de génocide. Il y a actuellement des jugements d'anciens gardes d'Auschwitz. Je crois que l'Allemagne est un modèle démocratique, et je ne comprends pas pourquoi les pays baltes ne prennent pas ce modèle-là, en reconnaissant la responsabilité de certains leurs citoyens dans le génocide pendant la Seconde guerre mondiale. Cela ne diminuera pas leur démocratie. Bien au contraire. On a l'impression que la reconnaissance de leur passe fasciste entame leur démocratie. C'est faux.

    Riga: marche d'anciens SS et crimes des nazis pendant la 2e guerre mondiale
    © Sputnik. Iliya Pitalev/US Holocaust Memorial Museum

    Je ne suis pas sûr que les jeunes de Riga aujourd'hui apprennent dans leurs livres d'Histoire les assassinats de masse. Je ne suis pas sûr qu'ils connaissent les fusillades de dizaines de milliers de personnes en Biélorussie par des Lettons. Et quand on ne sait pas, on ré-fabrique l'histoire. C'est l'ignorance qui fabrique l'histoire. La tentation fasciste est une tentation très forte. Ça donne une supériorité et ça a tenté des milliers de jeunes. Inconsciemment, ce genre de manifestations soutiennent des idéologies ».

     

    L'écrivain Marek Halter considère que l'Europe ne doit pas être indulgente:

    « Il faut que l'UE réagisse. L'appel à la haine, les appels racistes sont condamnés par les règles de l'UE. Riga fait partie de l'UE. L'UE doit prendre les mesures et demander aux gouvernements d'interdire ce genre de manifestations. Il y a des principes en Europe et c'est autour de ces principes et ces valeurs que l'Europe s'est constituée. La solidarité, les respects des autres, la condamnation du racisme et de l'antisémitisme. Si l'Europe ne réagit pas, il faudrait organiser devant les ambassades dans tous les pays européens ».

    La Russie n'oubliera jamais le prix que son peuple a payé pour la victoire à la Seconde Guerre mondiale, mais les Pays baltes tentent de spéculer là-dessus et de d'attirer les faveurs de l'Europe:

    Croix gammée
     

    « Il y a un problème avec certains pays baltes. Pendant la guerre, ils n'étaient pas du bon côté de la barricade. La plupart de gardiens des camps d'extermination venaient de là-bas. Je crois que, contrairement à d'autres pays comme l'Allemagne, ils n'ont jamais fait leur mea-culpa. La « dénazification » dans les esprits n'a jamais été accomplie. On les a pris dans l'Europe sans leur demander les comptes sur leur passé.

     

    A partir du moment où ils sont rentrés dans l'Europe, ils ont accepté les conditions aussi et l'idéologie de l'Europe. Il faudrait que l'Europe se manifeste ».

    L'Ambassade de Russie en Lettonie a commenté de son côté les manifestations à Riga. « La « Journée des Légionnaires » est une insulte à la mémoire des millions d'innocents de toutes les nationalités qui ont péris pendant la guerre » — lit-on dans le communiqué diffusé par l'Ambassade.

    Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

    Lien pour voir les photos en entier: https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201603171023454685-lettonie-riga-waffen-ss-defile/

  • Culture - Stéphane Ravier sur "La voix est libre" France 3 Provence Alpes

    http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/emissions/la-voix-est-libre-provence-alpes

    Regardez l'émission jusqu'au bout

  • Donald Trump remercie New York

    Capture.PNG New York.PNG

  • A propos du cardinal Barbarin...

    http://breizatao.com/2016/03/17/le-cardinal-barbarin-promoteur-dun-pelerinage-islamo-chretien-cree-par-un-pedophile-pro-nazi-proche-des-islamistes/

  • Pays-Bas: Geert Wilders devant la justice pour des propos anti-Marocains

    Par le 19/03/2016 - FDS

    0h34

    Le député néerlandais comparaît suite à des propos jugés insultants tenus à l’égard de la communauté marocaine. En mars 2014, après les élections municipales, Geert Wilders avait demandé à ses partisans s’ils voulaient plus ou moins de Marocains dans leur ville. Quand ces derniers avaient répondu « moins », le leader du Parti pour la liberté (PVV) avait ajouté: « Nous allons nous en charger ».

  • L'institut Ipsos mis en examen dans l'affaire des sondages de l'Elysée

    http://www.bvoltaire.fr/breves/linstitut-ipsos-mis-en-examen-dans-laffaire-des-sondages-de-lelysee,245943

    Lire!

  • Norvège: les enfants envoyés dans de faux camps de réfugiés

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    Crise migratoire (653)
    0106156

    L'objectif du projet est de montrer aux enfants les conditions difficiles dans lesquelles sont contraints de vivre les migrants.

     

    Les Norvégiens envoient leurs enfants dans de faux camps de réfugiés.

    Selon le quotidien, l'ambiance y est tout à fait conforme à celle qui règne dans les camps de réfugiés arrivant en Europe. Les adolescents reçoivent une quantité minimum de nourriture, dorment dans des locaux surpeuplés, des coups de sirène retentissant dans la nuit. En outre, les chefs changent brutalement la température des locaux en pleine nuit.

    SPUTNIK

    Monstrueux!

  • Cérémonie du 19 mars : Hollande veut «honorer toutes les souffrances»

     

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    Face à la vive polémique, François Hollande s'est justifié ce samedi de commémorer le cessez-le-feu du 19 mars 1962 en Algérie pour rendre hommage aux victimes de ce conflit.

     
     



    «Le 19 mars 1962 ce n'était pas encore la paix, c'était le début de la sortie de la guerre, dont l'histoire nous apprend qu'elle est bien souvent la source de violence, ce qui fut tragiquement le cas en Algérie avec des représailles, des vengeances, des attentats, des massacres», a déclaré le président de la République, lors d'un discours prononcé devant le mémorial érigé quai Branly (Paris VIIe) pour les victimes de la guerre d'Algérie mais aussi celles des combats en Tunisie et au Maroc.

    «Le 19 mars, ce sont les mémoires de toutes les victimes qui sont reconnues», a martelé François Hollande, ajoutant que «le sens de la journée nationale du 19 mars, c'est d'honorer toutes les souffrances». A son initiative de François Hollande, une loi avait été votée au Parlement le 6 décembre 2012 pour faire de ce jour celui «du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie» mais aussi «des combats en Tunisie et au Maroc».

    Les harkis y voient une «insulte»

    Pour François Hollande, même «s'il y a une plaie qui ne s'est jamais vraiment refermée», il s'agit aujourd'hui de «convoquer l'histoire, non pas pour nous diviser mais pour nous réunir». «Alimenter la guerre des mémoires, c'est rester prisonnier du passé, faire la paix des mémoires c'est regarder vers l'avenir. C'est ce message d'unité et de paix, de rassemblement aussi que j'entendais aujourd'hui en ce 19 mars délivrer devant vous», a lancé le chef de l'Etat en réponse aux critiques venues également de la droite et du Front national contre son initiative. Choisir le 19 mars, «c'est considérer qu'il y a désormais un bon et un mauvais côté de l'Histoire et que la France était du mauvais côté», a ainsi dénoncé vendredi l'ex-président Nicolas Sarkozy, patron du parti Les Républicains.

    Pour de nombreuses associations d'anciens combattants et de pieds noirs, le 19 mars marque non pas la fin du conflit algérien, mais le début de l'exil et du massacre de civils et des harkis. Brandissant une pancarte «19 mars» barrée d'un bandeau de deuil, entre 150 et 200 harkis se sont réunis ce samedi, devant le mémorial du camp de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), pour dénoncer leur «abandon» par la France. «Le 19 mars, c'est la date de notre massacre, a lancé Hocine Louanchi, coordinateur du Rassemblement militant de la cause harkie. François Hollande a voulu nous insulter.»

    LE PARISIEN

  • Discours de Viktor Orban : « le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe »

    Discours de Viktor Orban, Premier Ministre de Hongrie, pour la célébration de la fête nationale du 15 mars, au Jardin des Musées à Budapest avec l’accompagnement bruyant des manifestants gauchistes en marge de cette célébration.

     

    Serons-nous un peuple d’esclaves ou un peuple libre ?

    « Nous ne permettrons pas aux autres de nous dire qui nous laissons entrer dans notre maison et dans notre pays, avec qui nous voulons vivre, et avec qui nous allons partager notre pays.

    C’est pour cela que nous refusons les installations forcées de populations … et nous ne permettrons, ni les chantages ni les menaces. »

    Le Premier ministre a déclaré que le temps était venu de sonner le tocsin, de se retourner contre les forces hostiles, de résister et de rassembler nos alliés.

    « Le temps est venu de brandir les drapeaux des nations fières, le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe et de préserver l’avenir de l’Europe.

    Le temps est venu de demander à tous les citoyens et toutes les nations européennes, quelle que soit leur affiliation politique, d’être unies, … de s’unir ; l’unité de l’Europe doit être rétablie.

    Les dirigeants européens et leurs citoyens ne peuvent plus vivre dans deux mondes séparés. »

    […]

     

    L’Europe n’est pas libre parce que la liberté commence par pouvoir dire la vérité, ce qui est actuellement interdit.

    « Il est interdit de dire que ce ne sont pas des réfugiés qui arrivent sur nos sols mais une menace d’invasion.

    Des dizaines de millions de personnes sont prêtes à envahir nos pays, ces masses amènent des crimes et la terreur.

    Ces masses humaines, venant d’autres civilisations, sont un danger pour notre mode de vie, notre culture, nos coutumes, nos traditions chrétiennes.

    Ceux qui sont déjà chez nous, au lieu de s’intégrer et de s’adapter, ont érigé un monde à part, avec leurs lois, leurs idéaux et ils sont en train de faire exploser l’Europe séculaire, millénaire.

    Ces masses humaines sont dirigées vers nous, il ne s’agit pas d’une chaîne d’événements inattendus, mais d’un plan délibéré.

    Aujourd’hui, il est interdit de dire à Bruxelles que des dirigeants œuvrent pour acheminer le plus rapidement possible ces masses d’étrangers pour nous coloniser. Cette colonisation vise à remodeler la totalité de l’Europe au niveau religieux et culturel, à transformer ses bases ethniques, à éliminer ainsi le dernier obstacle – les États-nations – pour établir “l’ordre international”.

    Bruxelles a volé et englouti par tranches les souverainetés nationales des peuples, et beaucoup de ses fonctionnaires travaillent au plan “États-Unis d’Europe”, plan auquel personne n’a jamais donné son accord.

    Désormais, les citoyens européens ont peut-être compris que notre avenir est en jeu. Non seulement, notre prospérité est en danger mais également notre sécurité, notre existence pacifique.

    La migration est comme une cours d’eau qui, par la force du courant, emporte ses rives. »

    Lire le discours complet sur dreuz.info

  • VIDEO - L'ennemi public n°1 arrêté à Molenbeek

    http://fr.novopress.info/199584/lennemi-public-n1-arrete/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29