http://www.midilibre.fr/2016/07/27/timothe-fournier-heros-mort-a-nice-n-existe-pas,1372009.php
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Pour les chrétiens qui n'ont rien compris à l'Evangile
(merci à turigol)
Publié le - Mis à jour le
Le 14 avril 2016, la cour d’appel de Bruxelles avait condamné Fatima Aberkane à 15 ans de prison. Son avocat Me Cédric Moisse confirme la remise en liberté de sa cliente, sous conditions.
Le 29 avril, son avocat Cédric Moisse déposait un pourvoi en cassation. Le pourvoi ne sera pas examiné avant le 5 octobre.
Pour Me Cédric Moisse, du cabinet Sven Mary, plus de cinq mois d’attente pour l’examen d’un recours en matière pénale dépassait largement les délais raisonnables.
C'était le motif pour lequel Me Moisse demandait à la chambre des mises en accusation de libérer Fatima Aberkane en dépit de sa condamnation à 15 ans de prison ferme en avril dernier pour terrorisme.
Présentée comme l’égérie de Daech en Belgique, Fatima Aberkane était, selon l’arrêt de la cour d’appel, une femme qui "contaminait ses propres fils" et les poussait à "quitter ce pays de kouffars" pour les engager à "mourir en martyrs" en combattant dans les rangs de Daech.
Une figure marquante de l’islamisme radical belge, liée à Malika El Aroud - la veuve de celui qui tua le commandant Massoud en Afghanistan juste avant le 11 septembre. Engagée, selon la justice, dans le "radicalisme destructeur".
Voilà celle dont l’avocat demandait donc la libération. Or, Me Cédric Moisse ne manquait pas d’arguments.
Il y avait ces délais trop longs d’attente pour l’examen du pourvoi en cassation.
Il y avait le comportement de Fatima Aberkane qui n’avait jamais cherché à se soustraire à la justice alors qu’elle en avait eu mille fois la possibilité.
Me Cédric Moisse ne manqueait pas de rappeler que le juge d’instruction n’a jamais placé sa cliente sous mandat d’arrêt et que celle-ci, qui était donc libre, n’avait jamais cherché à fuir.
Cédric Moisse pouvait ajouter que c’est Fatima Aberkane qui interjeta appel parce qu’elle trouvait trop lourde la première condamnation à 8 ans. Mauvaise idée qui lui valut de passer de huit à… quinze ans.
Quinze ans de prison motivés par le fait que, selon les juges, Fatima Aberkane avait exprimé à l’audience des "regrets" manquant de sincérité. C’est ce qu’elle contestait et qui formait la base du pourvoi que la Cour de cassation se proposait d’examiner en octobre prochain.
L’égérie belge de Daech, âgée de 55 ans, demandait donc ce vendredi sa remise en liberté sous conditions : Mme Aberkane promettait de fréquenter un centre spécialisé en matière de déradicalisation, de ne pas quitter le territoire belge, de ne pas consulter des sites pro-EI et de ne pas se rendre à Molenbeek.
DH be
NdB: La justice belge encore plus laxiste que la nôtre ?
Un autel aménagé sur le trottoir, une sono pour diffuser les cantiques et la messe en latin dans la rue et des fidèles qui prient agenouillés à même le bitume… Près de 200 catholiques traditionalistes ont participé, ce dimanche, à une messe en plein air devant l’église Sainte-Rita désormais murée, pour protester contre leur évacuation, mercredi dernier. Propriété d’une association catholique belge, la petite église, qui n’est pas consacrée par le Vatican, a été vendue à un promoteur qui doit construire à la place un immeuble de logements sociaux avec parking. Depuis le départ la communauté gallicane qui occupait initialement le site (et qui s’était fait connaître en organisant des bénédictions d’animaux), l’édifice était squatté par des « paroissiens sans église » de la mouvance traditionaliste. Leur évacuation, en application d’une décision de justice, a été dénoncée par le FN et divers mouvements proches de l’extrême droite.
Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué dimanche une attaque à la machette dans laquelle deux policières ont été blessées samedi à Charleroi, selon Amaq, un organe de propagande de l'organisation djihadiste.
"L'assaillant de Charleroi est un soldat de l'EI qui a mené cette opération en réponse aux appels pour attaquer la population des pays de la coalition croisée" qui mène des raids contre les positions de l'EI en Syrie et en Irak, écrit Amaq. L'agresseur a été touché par balles par une troisième policière, avant de décéder à l'hôpital où il avait été conduit.
Dimanche, le parquet fédéral belge a affirmé que l'assaillant était un Algérien de 33 ans connu de la police "pour des infractions de droit commun mais pas pour des faits de terrorisme". Il séjournait en Belgique depuis 2012. En raison des "indices permettant de considérer que l'attaque ait pu être inspirée par un motif terroriste", le parquet fédéral a repris l'enquête menée initialement par le parquet de Charleroi. "Un juge d'instruction spécialisé en matière de terrorisme a été saisi", a-t-il précisé.
Sur le qui-vive, la police belge a effectué des dizaines de perquisitions antiterroristes depuis les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, préparés depuis la Belgique et auxquels ont participé des djihadistes belges. Le 22 mars 2016, des attentats à l'aéroport international de Zaventem et dans la station de métro Maelbeek qui ont fait 32 morts, ont été revendiqués par l'EI.
Belga
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NdB: La Suède en voie d'islamisation et de métissage
Au-delà des spécificités marseillaises, c’est la stratégie des disciples de l’islam qui mérite de retenir l’attention.
Une association de femmes des quartiers nord de Marseille, Smile13, propose, le 10 septembre prochain, d’organiser, dans un parc aquatique aux périphéries de la ville, une journée burkini, où le bikini serait interdit. Les dames sont sommées de se cacher cheveux, épaules, cou, bras, poitrine, ventre, cuisses, mollets. On ignore si leur bouche, leurs mains et leurs pieds échapperont au regard impudique des hommes… Ces derniers sont priés de rester chez eux, sauf s’ils sont encore des enfants de moins de 10 ans, ou des maîtres-nageurs.
Les arguments utilisés (permettre à des femmes pudiques musulmanes de sortir de chez elles) sont les mêmes que ceux qu’employaient Martine Aubry et les siens, à Lille, il y a plus de dix ans maintenant, pour justifier les piscines communautaristes. Apparemment, des élus LR et FN montent au créneau, et la journée pourrait être annulée.
Il serait intéressant de savoir qui finance Smile13, et le montant des aides dont bénéficie cette association. Rappelons que, le 10 février 2012, le procureur de la République, Jacques Dallest, avait considéré que l’élue socialiste de Marseille, Sylvie Andrieux, était intervenue « très concrètement » pour attribuer des subventions à des associations inexistantes et qu’elle était au centre d’un « clientélisme politique » destiné à une « fidélisation de l’électorat et d’intérêts politiques ». Le détournement de fonds publics, de 2005 à 2009, se montait à 700.000 euros, prix à payer pour cette élue des quartiers nord pour obtenir le vote des cités.
Mais au-delà des spécificités marseillaises, c’est la stratégie des disciples de l’islam qui mérite de retenir l’attention. Smile13 organise des cours d’arabe (en lisant le Coran) et des ateliers de cuisine ramadan. Comment ne pas voir, dans l’organisation de cette journée, la volonté, de la part de ses animatrices, d’imposer à notre pays les « bonnes » pratiques musulmanes, au détriment de nos principes laïques et républicains, marqués notamment par la mixité, la privatisation du fait religieux et l’égalité hommes-femmes ?
Comment ne pas y voir la poursuite de la conquête de l’espace public – certains diraient la guerre sous d’autres formes – par les voiles, de plus en plus nombreux dans nos rues, mais aussi dans nos universités, les qamis, les djellabas, les barbes, les boucheries halal, les mosquées et autres marqueurs visibles de l’offensive de l’islam ?
Certains pourraient s’indigner de l’indécence d’une telle requête, dans une période où des adeptes de cette religion ont déjà tué 250 personnes sur le sol français, en dix-huit mois, et que deux d’entre eux viennent d’égorger un prêtre dans une église.
Pourquoi se gêneraient-ils ? Les socialistes sont tellement paniqués qu’ils sont prêts à toutes les concessions avec de prétendus musulmans modérés. Ceux-ci, adeptes de la taqîya, vont leur promettre que l’islam de France sera une arme efficace contre le terrorisme, mais que cela a un prix. Exit, donc, entre autres, notre laïcité, bradée par Cazeneuve et Valls, qui sont prêts à ce que nos impôts paient le salaire des imams !
Seul problème, chez les soldats d’Allah : tout compromis est compris comme un signe de faiblesse qui va les encourager à exiger toujours davantage.
Aujourd’hui, c’est le burkini dans des piscines marseillaises. Demain, ce seront d’autres revendications politico-religieuses communautaristes. La multiplication de ces requêtes n’a qu’un but : accélérer la soumission de la France à la charia. Comme quoi il n’y a pas que les attentats qui sont des actes de guerre.
Le 6 août 1945 à 2h45 (heure locale), le bombardier B-29 Enola Gay piloté par Paul Tibbets décolle de la base de Tinian, avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 de 12 kilotonnes, surnommée Little Boy. L'équipage est composé de 12 hommes, dont quatre scientifiques. Deux autres B-29 l'escortent, emportant les instruments scientifiques destinés à l'analyse de l'explosion.
La bombe est armée en vol et larguée à 8 h 15, à près de 9 000 mètres au-dessus de la ville. À 8 h 16 mn 02 s heure locale, après 43 secondes de chute libre, la bombe explose à 580 mètres du sol, à la verticale de l'hôpital Shima situé au cœur de l'agglomération.
L'explosion, équivalant à celle de 15 000 tonnes de TNT, rase instantanément la ville. 75 000 personnes sont tuées sur le coup dont un tiers de militaires, la ville étant entre autres le siège de la 2e Armée, chargée de la défense de l'ouest du Japon, et de nombreux arsenaux et bases aériennes. Dans les semaines qui suivent, plus de 50 000 personnes supplémentaires meurent. Le nombre total de morts reste imprécis ; il est de l'ordre de 250 000. Sur les 90 000 bâtiments de la ville, 62 000 sont totalement détruits.
Il ne resta aucune trace des habitants situés à moins de 500 mètres du lieu de l'explosion.
Au retour, les aviateurs verront pendant 500 kilomètres le champignon qui, en deux minutes, a atteint 10 000 mètres d'altitude. L’Enola Gay atterrit six heures plus tard à Tinian.
Son équipage est aussitôt décoré.
CRIME CONTRE L'HUMANITE
(merci à Dirk)
Une nouvelle et belle chanson des Brigandes!
Selon une enquête du « Wall Street journal », Salah Abdeslam, qui n’avait en théorie pas droit au chômage car il gérait un bar, avait reçu 19.000 euros d’aides sociales.
Les terroristes de Paris et Bruxelles ont-ils financé en partie leur attaque grâce à l’argent des aides sociales ? Selon des enquêteurs belges spécialistes des questions financières, au moins cinq auteurs présumés des attentats de Paris et de Bruxelles vivaient en tout cas en partie de diverses allocations, révèle jeudi le quotidien américain The Wall Street Journal (WSJ).
19.000 euros. Parmi eux, figure Salah Abdselam, le dernier auteur présumé toujours en vie des attentats du 13-Novembre. En théorie, il n’avait pas droit au chômage car il gérait un bar, mais dans les faits, l’État belge lui a versé presque 19.000 euros en deux ans jusqu’au mois d’octobre 2015, trois semaines avant les attaques qui ont frappé Paris et Saint-Denis.
Khalid E., qui a déclenché sa bombe dans le métro de Bruxelles, a touché pendant deux ans des allocations chômage. Les versements se sont arrêtés trois mois avant qu’il ne passe à l’acte.
Selon le président belge de la Cellule de traitement des informations financières (CTIF), Philippe de Koster, il n’y a pas de preuve que cet argent a pu servir à financer directement les attentats. Indirectement, toutefois, il aurait pu assurer le train de vie des terroristes, explique-t-il dans les colonnes du quotidien américain. Selon le WSJ, réclamer des allocations sociales est d’ailleurs l’un des conseils donné par le groupe État islamique (EI) pour obtenir « de l’argent facile ».
Des contrôles renforcés. Vu des États-Unis, il faudrait réformer l’État providence. Mais côté belge, la priorité est d’abord donnée à une meilleure coordination entre les services de sécurité et les services sociaux. L’État belge affirme que depuis quelques mois les contrôles ont été renforcés. En France, en Belgique, aux Pays-Bas et au Danemark, plus d’une centaine d’individus ont ainsi été privés d’aides sociales après s’être rendus en Syrie.
06/08/2016 – 09H00 Lorient (Breizh-info.com) – Stupéfaction et colère chez les partisans de la réunification bretonne : la préfecture du Morbihan aurait informé l’association Bretagne réunie de l’interdiction de défiler avec la banderole « Nantes en Bretagne ». Traditionnellement, le mouvement le plus actif et fédérateur en faveur de la réunification de la Bretagne défile en effet, lors de la grande parade (le premier dimanche du festival, cette année ce dimanche 7 août 2016) avec sa banderole, au milieu des bagadou et des sonneurs.
Il faut dire que la réunification bretonne fait l’unanimité au Festival interceltique de Lorient, chez les organisateurs comme les festivaliers. Cela n’est pas discutable. Pour se justifier, la préfecture du Morbihan, qui représente le gouvernement, invoque l’état d’urgence. Il n y a pourtant jamais eu le moindre trouble à l’ordre public, plusieurs années durant, en raison de cette banderole, bien au contraire.