Les attentats se multiplient sur notre sol ces derniers temps, avec leurs wagons de victimes. Le point commun de ces attaques meurtrières est qu’elles se font au cri de « Allah akhbar ! » par des guerriers obéissant tous aux commandements coraniques médinois abrogeants, selon une technique pratiquée déjà en son temps par leur inventeur Mahomet. La preuve en est que les auteurs tués se font enterrer selon le rite musulman, que ce soit chez nous ou dans un pays d’origine qui ne les a généralement pas vus naître.
C’est en raison de ces attaques islamiques massives que Martine Aubry vient d’annoncer sa décision d’annuler la Braderie de Lille en septembre, événement mondialement prisé, en raison « des risques que nous n’arrivons pas à réduire ». Quel aveu d’impuissance alors qu’il suffirait de bouter hors de France les fichés S et autres déséquilibrés, radicalisés en prison ou ailleurs.
La maire de Lille avoue donc redouter un attentat d’individus faisant partie de la communauté qui a permis son élection au poste qu’elle occupe. Elle a une responsabilité dans le choix de cet électorat spécifique qu’il convient de traiter avec des égards particuliers, avec des pincettes, en gardant les fesses surtout bien serrées. Martine et ses amis socialistes ont voulu et mis en place cet électorat remplaciste par mépris du prolétariat de base ayant perdu en rentabilité.
La ville avait prévu d’interdire les bombonnes de gaz, stigmatisant par là la communauté islamique, ce type d’attaque étant leur signature la plus connue. Il est donc clair, au moins, que ce n’est clairement pas une attaque de skins d’extrême droite vêtus de t-shirts « #JeSuisJean-Marie » que redoute Mme Aubry-Brochen.
En 2006, elle disait pourtant trouver « génial » d’avoir 35% de Maghrébins dans sa ville, ajoutant qu’elle s’emmerdait ferme avec des gens « tous pareils ». Comprenez avec des Français de racines, car on présume qu’elle ne s’ennuierait pas au Ghana où les gens sont pourtant là aussi tous pareils… Mais ces remplaçants qui l’inquiètent tant aujourd’hui, ceux qu’elle a tant appelés de ses voeux sont, pour certains, aussi dangereux qu’une cargaison de nitroglycérine dans une camionnette circulant sur un chemin caillouteux.
La preuve est une fois encore faite que la France est en état de guerre, occupée par des islamistes comme elle l’était en 39-45 par les Allemands, unique période de cessation dans toute l’histoire de la Braderie (entre 39 et 44), vaste brocante puisant sa première édition au Moyen-Age puisqu’on l’évoquait déjà en 1127, rien de moins. Au XIIe siècle, les valets y vendaient les anciens objets et vêtements de leurs maîtres.
Quelle sera la prochaine étape ? Le couvre-feu à 18h ?
Cet événement est important et son annulation montre l’ampleur des conséquences des attentats terroristes. Ce sont nos traditions populaires qui sont remises en cause.
La gay pride reste autorisée, et Paris Plage bat actuellement son plein sans même de fouille de ceux qui s’y rendent. Une journée Burkini se tiendra à Marseille avec un millier de participantes, et le Tour de France n’a pas été interdit malgré l’afflux de curieux tout au long du parcours. Et que dire de l’Euro et de ses nombreuses fanzones ! A croire que certains évènements seraient plus à risques que d’autres, alors que l’attaque peut surgir à tout moment là où on s’y attend le moins. Par ailleurs, les transports en commun continuent de circuler, y compris à Lille. N’importe quel taré peut entrer sans problème aux urgences d’un hôpital pour y faire un carton sans croiser le moindre vigile malgré une grosse affichette « Vigipirate » à l’entrée. L’accès au Forum des Halles est une vaste blague. Le vigile regarde votre sac d’un œil torve et vous laisse passer quoiqu’il contienne.
L’annulation d’un événement aussi réputé et ancien revient à se coucher devant l’ennemi, à lui offrir son postérieur abaissé en signe de soumission, à se dhimmiser pour mieux se rendre à lui, à lui faire allégeance, à lui donner les clés de la ville de Lille, celles de la France.
Selon le président de la branche des professions saisonnières de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie, cette annulation revient à « abandonner une partie de notre liberté ».
Les islamistes doivent être contents, ils n’auront même pas besoin de se lever tôt pour bosser à leurs desseins, le règne de la terreur se met en place tout seul. Vivons cloîtrés pour vivre à genoux.
« Même pas peur » qu’ils disaient ! Tu parles ! L’islam gagne, les jours des « mécréants », des « kouffars », sont comptés. Mme Aubry en a sa part de responsabilité. Les graines de cette terreur qui la gagne soudain, c’est aussi elle qui les a semées.
Les Lillois ne pourront pas vider leurs greniers ni récupérer quelques piécettes, les acheteurs ne feront pas d’affaires et ne se délecteront pas de moules-frites, les commerçants qui comptent sur la Braderie pour faire du chiffre en seront pour leurs frais. En 2015, pas moins de 2,5 millions de visiteurs s’étaient déplacés.
Bref. Une fois encore, une fois de plus, avec l’interdiction de la Braderie de Lille, la république en place asservit son peuple en le vendant au plus offrant. « El fath », la conquête, se met en place partout. La France devient terre d’islam et d’interdits.
Merci aux vendus qui la dirigent.
Caroline Alamachère
Riposte Laïque
(merci à Dirk)