Bachar el-Assad - Entretien sur Boulevard Voltaire par bvoltaire
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Clèves (Allemagne) : un père allemand salué comme un héros par la police après avoir sauvé sa fille d’un viol par un migrant syrien
0h56Un père allemand est salué comme un héros par la police après avoir sauvé sa fille d’un violeur réfugié
L’homme de 57 ans a couru jusqu’au lieu du crime dans la ville de Clèves après que sa fille lui a téléphoné pour lui dire qu’un homme la suivait. Quand il est arrivé, l’homme avait frappé sa fille, presque inconsciente, et déchirait ses vêtements après l’avoir traînée du côté du sous-bois. Son père, qui est arrivé sur les lieux à l’aide d’un scooter, a sauté en criant, et a frappé l’agresseur à plusieurs reprises.Il l’a ensuite retenu tout en appelant la police et une ambulance avec son téléphone portable. (…) Son agresseur, âgé de 23 ans, vit dans un foyer pour demandeurs d’asile à Clèves. (…)
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États-Unis : Fiat-Chrysler devance Trump et rapatrie la production d’un modèle (Màj)
21h34Fiat Chrysler va investir un milliard de dollars d’ici à 2020 dans deux de ses usines dans le Michigan et l’Ohio. Le groupe automobile compte y assembler notamment sa nouvelle jeep de luxe et son pickup de marque Ram, actuelleent fabriqué au Mexique. 2.000 emplois doivent en outre être créés.
Fiat Chrysler a annoncé la création de 2000 emplois et le rapatriement de la production d’un gros pick-up aux États-Unis, au moment où les constructeurs automobiles sont sommés par le président élu américain Donald Trump de freiner leurs délocalisations vers le Mexique.
Encore une victoire de Donald Trump? Le président-élu américain peut en tous cas se satisfaire de voir un nouveau constructeur automobile rapatrier une partie de sa production aux États-Unis. Le groupe italo-américain Fiat-Chrysler va investir un milliard de dollars d’ici à 2020 dans deux de ses usines dans le Michigan et l’Ohio. 2000 nouveaux emplois seront créés pour assembler notamment sa nouvelle Jeep de luxe Wagoneer ainsi qu’un pick-up, précise son communiqué publié à la veille de l’ouverture du salon automobile de Detroit. Il va également produire dans son usine de Warren (Michigan) une grosse camionnette à plateau (pick-up) de marque Ram, actuellement fabriquée au Mexique.
Le groupe « apporte une démonstration supplémentaire de son engagement à renforcer sa base manufacturière aux États-Unis« , assure Fiat Chrysler, prenant bien soin d’ajouter qu’il a créé 25 000 emplois dans le pays depuis 2009.
Le message semble indirectement destiné Donald Trump, qui a été élu sur la promesse de ramener des emplois industriels aux États-Unis et qui a multiplié les menaces contre les géants de l’automobile, accusés d’implanter leurs usines au Mexique pour y fabriquer à moindre coût des voitures destinées aux États-Unis.
Ford, Toyota et GM ont déjà plié
Par tweets interposés, Donald Trump, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, s’en est ainsi pris tour à tour au numéro un américain du secteur General Motors et au leader mondial, le japonais Toyota, assurant qu’il n’hésiterait pas à leur faire payer de « lourdes taxes frontalières » s’ils ne changeaient pas de cap. Les deux groupes, dont le cours de Bourse a été aussitôt plombé par ces menaces, ont réagi en assurant continuer à investir aux États-Unis.
Également durement critiqué par le président élu pendant sa campagne, l’américain Ford a, lui, décidé mardi d’abdiquer en annulant la construction d’une usine de 1,6 milliard de dollars au Mexique pour investir dans une de ses installations existantes dans le Michigan et y créer 700 emplois. Le constructeur, numéro 2 américain, a invoqué un « vote de confiance » dans l’agenda économique du futur président américain, qui a notamment décidé de sabrer l’impôt sur les sociétés.
Fiat Chrysler a pour l’heure été épargné par les attaques du président élu mais est toutefois loin d’être à l’abri. Il a ainsi récemment transféré vers le Mexique la production de sa Jeep Compass qui commencera à être exportée vers les États-Unis à partir de la fin janvier. Renfloué en 2009 par les fonds publics alors qu’il était acculé à la faillite, il dispose de trois sites industriels au Mexique –Toluca, Ramos Arizpre et Saltillo– où il produit essentiellement des pick-ups mais aussi les Fiat Fremont et Fiat 500.
Renault est « pragmatique » assure Carlos Ghosn
D’autres groupes automobiles ont, eux, par avance montré patte blanche, en se disant prêts à s’adapter à la nouvelle réalité politique américaine. « Nous sommes pragmatiques, nous nous adapterons à n’importe quelle situation, à la condition que ce soit la même règle pour tous », a ainsi indiqué jeudi Carlos Ghosn, le patron de l’alliance Renault-Nissan, lors du CES de Las Vegas.
Donald Trump pourra en tout cas revendiquer un nouveau succès politique, après avoir déjà obtenu en décembre –moyennant un cadeau fiscal de 7 millions de dollars– du fabricant de climatiseurs Carrier qu’il renonce à créer une usine au Mexique pour investir aux Etats-Unis et y créer 1000 emplois.
L’industrie automobile a utilisé l’accord Aléna, qui lui permet, sous certaines conditions et sans droits de douane, d’exporter vers les États-Unis des marchandises produites au Mexique où la main d’oeuvre est moins chère. Pendant la campagne, cet accord de libre-échange signé en 1994 a été inlassablement attaqué par Donald Trump, qui a promis de le renégocier ou de le dénoncer purement et simplement.
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Golden Globes : le discours très politique de Meryl Streep fait réagir Trump et fracture Twitter
https://francais.rt.com/international/31988-golden-globes-discours-tres-politique
Meryl Streep, actrice, 67 ans, soutien d'Hillary Clinton
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Boris Le Lay sur Alep et la propagande mensongère des médias
merci à Dirk
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Marine Le Pen en déplacement à Ecouis et Igoville dans l'Eure (27)
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JOURNAL TVL DU 09.01.17
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La fin du mainstream
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États-Unis : les salariés de Ford sont satisfaits car une usine ne sera pas délocalisée au Mexique
19h26Les employés de Ford ont salué la promesse du groupe américain de renoncer à construire une usine au Mexique, pour investir dans une installation déjà existante dans le Michigan (nord des États-Unis) et y créer 700 emplois.
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Fort Lauderdale, l'ombre du jihad: on ne vous a pas dit que "Santiago" s'appelait Aashiq Hammad
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La délégation française ne sera pas présente à Washington pour l'investiture
Par Philippe Gélie
Mis à jour le 08/01/2017 à 19h47Le républicain sera officiellement investi 45e président des États-Unis le 20 janvier 2017. Seul l'ambassadeur français à Washington sera présent.
De notre correspondant à Washington
Aucun responsable politique français n'assistera dans la tribune officielle à l'investiture de Donald Trump le 20 janvier prochain à Washington. Ainsi le veut la coutume d'un événement essentiellement national - épargnant sans doute bien des états d'âme au gouvernement socialiste de François Hollande.
Les invitations à la prestation de serment sont distribuées par l'entourage du président élu, l'Administration sortante et les élus du Congrès. Jusqu'à un million de tickets a été émis, de cinq couleurs (vert, orange, jaune, bleu et argent) correspondant à un positionnement au pied du Capitole. Les militants républicains venus des 50 États forment le gros des invités.
Les ambassadeurs des 180 pays représentés à Washington sont conviés, mais généralement pas leurs dirigeants, à l'exception des deux voisins, le Canada et le Mexique. Cette année, le premier ministre Justin Trudeau a déjà annoncé qu'il serait occupé ailleurs. Et il n'est pas avéré que le président Enrique Pena Nieto vienne applaudir celui qui veut lui faire payer un mur de 10 milliards de dollars sur sa frontière.
L'ambassadeur de France, Gérard Araud, qui sera présent, a reçu ces dernières semaines une demande d'un responsable politique français pour en être. Non sans peine, il lui a trouvé une place auprès d'un représentant américain dont l'épouse ne pouvait assister à la cérémonie, mais l'intéressé (que l'ambassadeur refuse de nommer) s'est finalement ravisé. Araud, qui avait réagi à la victoire de Trump par un tweet depuis effacé - «Un monde s'effondre devant nos yeux» - a également été sollicité par le comité d'investiture pour organiser une «party» à sa résidence, ce qu'il fera le 19 janvier.
Marion Maréchal-Le Pen, qui s'était vantée de ses connexions avec le conseiller stratégique de Trump, Steve Bannon, a-t-elle reçu une invitation? Son compère de l'Ukip Nigel Farage, proche de Donald Trump, a dû passer par le gouverneur du Mississippi, Phil Bryant, pour s'assurer une place à la tribune. Certains médias assurent que Jared Kushner, le gendre du président, fait «le forcing» pour avoir le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Il n'est pas rare que des personnalités étrangères se vantent d'être «invitées à l'investiture», quand il ne s'agit le plus souvent que d'un événement privé organisé autour de la cérémonie - et des centaines sont prévus. Milorad Dodik, le président de la République serbe de Bosnie, a ainsi montré une invitation sur un plateau de télévision en suggérant qu'il était le seul dirigeant des Balkans à avoir reçu cet honneur. Il s'agissait en fait d'un bal privé orchestré par des militants du Tea Party, ne lui donnant pas droit à un visa diplomatique.
Le Figaro
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Comment se prépare l'investiture de Donald Trump
Le 20 janvier, le président élu des États-Unis se prêtera à la traditionnelle cérémonie d'investiture avec comme point d'orgue son adresse à la nation, véritable pierre angulaire du mandat à venir.
Le déroulé. L'Inauguration Day prévu le 20 janvier est l'un des rituels les plus importants et les plus symboliques de la démocratie américaine. Les différentes étapes de l'investiture ont varié selon les époques. Aujourd'hui, la cérémonie, très ritualisée, dont l'origine remonte à 1789, s'articule autour de cinq moments clés: d'abord la prestation de serment sur les marches du Capitole, face à la foule rassemblée sur le Mall. Puis l'adresse du président à la nation, à midi, entrecoupées de différents discours, chants, prestations et prières. Vient ensuite un traditionnel déjeuner au Capitole suivi en début d'après-midi par un défilé sur la Pennsylvania Avenue. La journée se clôture enfin sur les très prisés bals d'investiture organisés dans toute la capitale. Le couple présidentiel prévoit d'assister à seulement deux galas.
LIRE AUSSI - Maison-Blanche: l'investiture, un rituel parsemé d'anecdotes
Le discours. La rédaction incombe cette année principalement à Stephen Miller. Le jeune Californien, ancien conseiller du futur ministre de la Justice Jeff Sessions, avait déjà signé le discours de Donald Trump à la convention du parti républicain. L'historien Douglas Brinkley ou encore son proche conseiller Stephen Bannon ont aussi été sollicités. La rédaction du texte a déjà occupé le candidat pendant une bonne partie des fêtes de fin d'année. L'enjeu est de taille tant le discours d'investiture donne le la de la présidence à venir. Il permettra aussi de jauger la capacité du président élu à élargir l'horizon des Américains.
Les invités. L'usage veut que les anciens présidents assistent à la cérémonie. Trois d'entre eux seront au Capitole pour voir Donald Trump prêter serment: Jimmy Carter, Bill Clinton et George W. Bush. Le père de ce dernier, 92 ans, s'est fait porter pâle. Six responsables religieux ont également été invités à lire une prière ou un texte. Donald Trump peine davantage à trouver des artistes. Andrea Bocelli ou encore la star de la country Garth Brooks auraient ainsi décliné l'invitation. Et le membre d'une chorale a préféré démissionner pour ne pas avoir à chanter. Une danseuse des Rockettes, également invitée, a ouvertement critiqué la participation de la troupe à l'événement.
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VIDÉO - Jackie Evancho, 16 ans, ex-candidate d'«America's Got Talent», chantera l'hymne national.
(NdB: vidéo supprimée sur Youtube)
Pour l'heure, une chose est sûre: Jackie Evancho, 16 ans, ex-candidate d'un télécrochet, succédera à Aretha Franklin et à Beyoncé, invitées par Barack Obama en 2009 et 2013, pour interpréter l'hymne national. «Les soi-disant célébrités renommées veulent toutes leur ticket pour l'inauguration, mais regardez ce qu'ils ont fait pour Hillary, rien. Je veux le peuple», a réagi Donald Trump sur Twitter.
La sécurité. En tout, quelque 13.000 militaires et membres de la Garde nationale seront déployés pour sécuriser la capitale. Coût de l'opération selon le New York Times : 100 millions de dollars. Toujours pour raison de sécurité, l'idée un temps avancée d'ouvrir les portes de la Maison-Blanche a dû être abandonnée. D'autant que la journée s'annonce agitée à Washington, notamment à cause des anti-Trump. Pas moins de 23 permis de manifester ont été déposés. Une grande marche sur Washington pour les droits des femmes est aussi prévue dès le lendemain de l'investiture sur le modèle de celle des droits civiques d'août 1963. Plus de 240.000 personnes prévoient d'y participer.
Le coût. En 2009, le coût de l'Inauguration Day s'était élevé à quelque 170 millions de dollars. Quatre ans plus tard, Barack Obama avait préféré baisser la voilure et autorisé qu'une partie des frais soit assurée par des entreprises privées. Près de 53 millions de dollars avaient été collectés pour payer les festivités. Donald Trump espère, lui, lever entre 65 et 75 millions de dollars. Avis aux amateurs: d'après CNN, il faut compter entre 25.000 et un million de dollars pour assister au défilé, danser lors du bal et participer à un «dîner aux chandelles» en présence du vice-président et du président tout fraîchement investis.
Le Figaro
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Jérusalem : quatre morts dans une attaque au camion-bélier, les autorités évoquent Daech
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Feux de joie
C'est, sans doute, l'une des meilleures du début de cette année nouvelle. La cohérence entre la ministre de l'environnement et le ministre de l'intérieur apparaît évidente .....__._,_.___ -
VIDEO. "On ne s'habitue pas, mais on ne pleure pas" : avec Eric, SDF, face au froid de la nuit parisienne
Regardez et écoutez...
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VYDEO - Quand François Fillon s'accroche avec un auditeur
Ecoutez bien!
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85 000 exemplaires de Mein Kampf vendus en un an en Allemagne
Die dunklsten Stunden der Geschichte *
* Les heures les plus sombres de l’histoire
- Publié le : jeudi 5 janvier 2017
- Mots-clés : Allemagne; Culture; International; Seconde Guerre mondiale
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- Source : lefigaro.fr
- E&R
Un incroyable succès de librairie. Depuis sa sortie en janvier dernier, la nouvelle édition commentée du manifeste d’Hitler en est à sa sixième édition. D’après son éditeur, cet engouement ne serait pas lié à la montée sans précédent outre-Rhin de l’AfD, le parti populiste de droite.
Il y a un an, le manifeste d’Hitler, tombé dans le domaine public, était réédité. C’était la toute première fois depuis 1945. Avant même sa sortie en librairie, le premier tirage de cette édition commentée, soit 4.000 exemplaires, était épuisé. Un incroyable succès de librairie s’annonçait.
Depuis, 85.000 exemplaires ont été écoulés, a indiqué aujourd’hui l’Institut d’histoire contemporaine (IfZ) de Munich qui publie cet ouvrage. On en est même à la sixième édition !
Le texte original d’Hitler a été assorti de 3 500 notes historiques explicatives afin d’éviter son utilisation à des fins de propagande nazie, mais des critiques s’inquiétaient néanmoins de la sortie de ce livre en deux tomes totalisant quelque 2.000 pages. Ilona, libraire à Prenzlauer Berg, dans un quartier de Berlin ne comprend pas cet engouement.
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Fusillade en Floride: les autorités n'écartent aucune piste
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Calais (62) : deux mois après, les camps réapparaissent et les migrants reviennent de plus en plus nombreux
J-7Pour la plupart revenus des Centres d’accueil et d’orientation où ils avaient été conduits après le démantèlement de la «Jungle», les migrants construisent de nouveaux camps plus discrets, dans des conditions toujours très précaires.
Plusieurs centaines de clandestins sont revenus dans le Calaisis, quelque deux mois après le démantèlement de la «Jungle» à la fin du mois d’octobre dernier, affirme The Independent. Selon le journal britannique, ils sont installés dans six campements situés en zone rurale, à l’écart des grands axes, dans des baraquements de fortune – et leur nombre est en constante augmentation depuis quelques jours.
Un grand nombre d’entre eux sont des mineurs dont la demande d’asile a été rejetée par l’administration britannique : après avoir été répartis dans des Centres d’accueil et d’orientation (CAO), ils ont donc décidé de traverser la France pour tenter à nouveau leur chance à Calais.
«Il y a de plus en plus de gens qui reviennent, et rien que cette semaine, ce sont plusieurs dizaines d’entre eux qui sont arrivés ; ça ne peut que continuer et s’accélérer», estime Julien Muller, bénévole de l’association Terre d’errance, qui intervient dans l’un de ces «camps secrets» situé à Norrent-Fontes, à 70 kilomètre de Calais. Environ 130 personnes y vivent, et s’il existe en réalité depuis 2008, c’est depuis le démantèlement de la «Jungle» qu’il a commencé de s’accroître.
(…)
Merci à oxoxo
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Calais : un appel aux citoyens va être lancé pour nettoyer l’ex- »Jungle »
22h38Des tubes de dentifrice, des sacs de couchage, des bouteilles en plastique écrasées… Deux mois après son démantèlement, la « Jungle » n’est toujours pas propre. Rien de catastrophique mais les restes du camp de migrants sont encore bien visibles. En parcourant les 40 hectares désormais déserts, on s’aperçoit que le site est encore loin d’avoir retrouvé son aspect originel.
L’établissement public propriétaire des 20 hectares de la moitié nord de la lande, va lancer un appel aux volontaires pour enlever le plus gros des détritus qui jonchent encore le sol du site. « Il s’agit de permettre aux habitants de se réapproprier les lieux à travers une opération citoyenne », estime Loïc Obled, délégué Manche-mer du Nord au Conservatoire du littoral. Mais ce sera une opération symbolique. »
Natacha Bouchart, maire de Calais, n’est pas contre cette idée de faire participer les habitants au nettoyage : « Le Conservatoire du littoral a l’habitude de faire participer les habitants à ses actions, alors pourquoi pas », a-t-elle expliqué dans La Voix du Nord.