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  • Syrie : un obus explose à proximité de la délégation française

     

    20h42

    Quelques minutes à peine après l’arrivée de la délégation française à l’aéroport d’Alep, vers 15h ce samedi 7 janvier, un obus s’est écrasé sur tarmac de l’aéroport. À tout juste 200 mètres de l’impact, trois députés français, Thierry Mariani (LR), Nicolas Dhuicq (LR) et Jean Lassalle (MoDem) se trouvaient dans le hall de l’aéroport réservé aux personnalités au moment de l’explosion. Les officiels présents dans l’aéroport d’Alep ont immédiatement été confinés par les militaires syriens.

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    Deux nouveaux obus ont explosé par la suite à proximité de l’aéroport avant que la chasse et l’artillerie de l’armée syrienne ne répliquent. Pendant une longue attente ponctuée par des déflagrations, Thierry Mariani a fumé cigarette sur cigarette pour tromper l’angoisse, rapporte notre envoyé spécial auprès de la délégation française.

    Une fois le calme revenu, le Tupolev du gouvernement syrien a finalement pu décoller dans l’après-midi, toute lumière éteinte, pour rallier Damas. L’aéroport d’Alep est officiellement fermé depuis plusieurs années et la venue de la délégation française devait rester confidentielle. Si rien ne permet encore de penser que la délégation française était directement visée les autorités françaises et syriennes s’interrogent sur l’étrange coïncidence entre cette attaque et la venue des trois députés français.

    RTL

  • États-Unis : fusillade dans un aéroport de Floride, au moins 5 morts (MàJ : le tireur est-il un combattant de Daesh ?)

    http://www.fdesouche.com/808031-etats-unis-fusillade-dans-un-aeroport-de-floride-plusieurs-victimes

    + vidéo, photos

  • Italie: des migrants séquestrent 25 humanitaires

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    L’Italie est au bord de la faillite, une faillite alimentée aussi par une crise migratoire sans précédent dont les quantités sont ingérables.

    Journaliste

    résidant en Italie

     
     
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    Le décès d’une demandeuse d’asile ivoirienne de 25 ans, lundi, dans le centre d’hébergement de Cona près de Venise, a déclenché la révolte des quelque 1.400 migrants africains y résidant. Bloquant les accès au centre, ils ont déclenché plusieurs incendies, détruit du mobilier et forcé 25 opérateurs humanitaires (dont deux médecins et une infirmière) à se barricader dans un des containers de la structure, sans chauffage ni lumière, ayant préalablement coupé l’électricité. Les captifs seront libérés dans la nuit grâce à l’intervention des forces de l’ordre qui, après plusieurs heures de « délicates médiations » (selon les mots du préfet de Venise), sont parvenus à pénétrer dans le territoire soustrait à leur autorité.

    Un préfet, Angelo Senna, qui s’empressera devant les caméras de démentir aussi bien la prise d’otages – les opérateurs et médecins se seraient délibérément abrités dans les bureaux – que les incendies volontaires – les migrants auraient allumé des feux pour se réchauffer. À ces doux euphémismes (lire : contre-vérités), le maire de la petite ville de Cona répondra qu’il n’a vu, lui, que de constantes incivilités de la part des résidents du centre, et ce, depuis leur arrivée.

    Concernant le regrettable décès, les voix des migrants sont unanimes : les responsabilités seraient à imputer au centre d’accueil ou au service de secours. Les accusations divergentes – manque d’accès aux médicaments d’une femme malade depuis des jours, conditions sanitaires faisant proliférer les maladies contagieuses, lenteur de l’ambulance – seront démenties par l’heure d’appel aux urgences et par l’autopsie effectuée sur le corps de la jeune femme, qui révélera une embolie bilatérale massive, un incident fulgurant ayant entraîné une mort immédiate.

    Les motivations de la révolte et de la détérioration du centre étant infondées, cela s’apparente donc plus à l’énième déchaînement d’occupants qui, fidèles à une attitude victimiste à eux familière et à des prétentions toujours plus agressives, saccagent la maison de leur hôte.

    Ils auront, cependant, raison sur un point : la structure est saturée, et cela génère divers problèmes de gestion dont ils ont à pâtir. Oui, ils ont raison : ils sont souvent logés dans des conditions indignes… Parce que l’Italie est au bord de la faillite, une faillite alimentée aussi par le poids d’une crise migratoire sans précédent dont les quantités sont simplement ingérables. Oui, ils ont raison : l’Europe n’est pas l’eldorado promis à leur départ.

    Mais ils n’ont raison que dans une certaine mesure (et prendre 25 personnes en otage pour protester contre une mort naturelle ne l’est certainement pas). Car ils sont les premiers responsables de la dégradation et de la saleté du camp, et les vidéos de dénonciation publiées à partir de leurs smartphones dernière génération, montrant des déchets et excréments jonchant le sol, susciteront difficilement l’émoi : à défaut de rester chez eux pour participer à l’amélioration de leur pays, ils pourraient au moins faire ici ce que nous faisons tous : le ménage.

    BV

  • Une Niçoise en niqab insulte un policier. Quelle sanction ? Quelle faute ?

     

    Professeur de Lettres
     
     
     

    Jeudi, Nice-Matin relatait un fait divers.

    Mardi, 8 heures 30, avenue de la Californie à Nice. Une femme attend le bus, vêtue d’un niqab, voile intégral ne laissant voir que les yeux. Or, cette tenue est interdite sur la voie publique : première provocation. Une patrouille de police verbalise Halima, une Française de 49 ans née en Algérie.

    « Tu ne vaux pas mieux que la semelle de ma chaussure, sans ton arme tu n’es rien » : ces propos amènes et déférents s’adressent à un des policiers, d’origine camerounaise. Deuxième provocation. Elle reconnaît, mercredi devant le tribunal correctionnel de Nice, s’être emportée : « Je l’ai rabaissé, c’est vrai. » Mais nie tout racisme, quoiqu’elle ait répété : « Il est africain et français. Africain et français… Troisième provocation.

    Interdite de niqab dans la salle d’audience, elle « remonte ostensiblement son gilet sur ses cheveux » : quatrième provocation. La présidente suspend l’audience, qui peut néanmoins reprendre cinq minutes plus tard.

     

    La prévenue est « souriante dans le box, s’exprimant avec aisance », tandis que la présidente rappelle des faits pourtant accablants : « Vous portiez le voile intégral. Ce n’est pas la première fois que vous êtes contrôlée et verbalisée pour ce type de faits. Il y a déjà sept procédures. Vous savez parfaitement que c’est une infraction dans un lieu public. » Récidive et goguenardise : cinquième et sixième provocations.

     Le tribunal a condamné Halima à trois mois de prison avec sursis, une amende de 100 euros, des dommages et intérêts à verser au policier et… un stage de citoyenneté, suggéré par l’avocat de la défense.

    Pour celui-ci, en effet, c’est une « sanction plus positive qu’un emprisonnement ». Car si Halima s’obstine à porter le niqab « sans comprendre que son attitude complique la mission des policiers », comme l’explique le procureur, c’est sans doute parce que, jusqu’ici, personne n’a pensé à faire avec elle œuvre de pédagogie, à prendre le temps de lui expliquer que « vu le contexte, [les policiers] ont autre chose à faire » que de parler chiffons… Et Halima ne demandera peut-être pas mieux que d’ôter son niqab quand, grâce au stage, elle aura compris qu’il embête les policiers.

    Pourtant, la présidente a lu l’autre moitié des douceurs qu’Halima a susurrées au policier : « Je ne reconnais aucune loi. La loi, c’est moi. Je ne reconnais que la loi universelle, celle d’Allah. » Alors que l’interdiction du niqab n’est qu’« une loi nationale ». En d’autres termes, pour Halima, la charia prime clairement sur les lois de la République. Et doit même les remplacer. Mais patience : la France est bientôt mûre… Déjà, l’avocat du policier a rappelé l’esprit de la loi du 11 octobre 2010 : « Ce n’est pas le signe religieux qui est mis en cause par le législateur mais bien la dissimulation du visage qui en découle. » La présidente, de son côté, affirme que l’interdiction du niqab a pour unique but de « pouvoir contrôler les personnes pour des raisons de sécurité ».

    Et ceux qui auront voulu voir dans le comportement d’Halima les signes d’une « pratique religieuse devenue identitaire, revendicatrice et séparatiste », selon la formule de Ziad Khoury sur le site de Valeurs actuelles, ne sont sans doute que d’affreux islamophobes…

    BV

  • Trump exige que les ambassadeurs américains démissionnent avant son arrivée à la Maison Blanche

    L’ambassadeur américain au Canada fait partie des premiers représentants diplomatiques à avoir obtempéré à la demande de l’équipe du président élu Donald Trump de démissionner avant son arrivée à la Maison Blanche, en annonçant son départ ce vendredi. »Comme demandé, je démissionne de mes fonctions d’ambassadeur des Etats-Unis au Canada avec effet au 20 janvier », a tweeté Bruce Heyman, proche du président sortant Barack Obama.

    Citant des sources diplomatiques, le quotidien New York Times avait révélé jeudi que l’équipe de transition de Donald Trump avait requis que tous les ambassadeurs américains quittent leurs fonctions « sans exception » le jour de l’investiture, le 20 janvier.

    Bruce Heyman, en poste à Ottawa depuis avril 2014, est un ancien responsable de la banque d’affaires Goldman Sachs. Il a été un important donateur pour les campagnes de M. Obama en 2008 et en 2012. En nommant M. Heyman au Canada, plus important partenaire commercial des Etats-Unis, le président Obama avait placé un homme de confiance à une époque où l’ancien gouvernement conservateur canadien cherchait à obtenir la construction de l’oléoduc controversé Keystone XL.

    Barack Obama a finalement mis son veto à la construction de cet oléoduc pour lequel Donald Trump a exprimé son soutien au cours de sa campagne électorale. 

    Les précédentes administrations, qu’elles soient républicaines ou démocrates, avaient pour habitude de laisser une « période de grâce » de quelques semaines ou de quelques mois aux ambassadeurs en poste pour assurer la transition.

    BV

  • Crest, le plus haut donjon de France !

    Départ dans la Drôme à la découverte de la Tour de Crest, le plus haut donjon de France. Depuis 900 ans, elle culmine à 52 mètres de haut et fait la fierté de toute une région.

    A voir en plein écran!

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  • Le Congrès a officialisé l'élection de Donald Trump

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    Le Congrès des États-Unis a officialisé les résultats de l’élection présidentielle. L’investiture du président élu Donald Trump est programmée pour le 20 janvier 2017.Les deux chambres du Congrès américain ont officiellement confirmé les résultats de l'élection présidentielle et la victoire de Donald Trump, malgré toutes les protestations survenues dans la salle.

    Le vice-président américain Joe Biden, président du Sénat des États-Unis et membre du Parti démocrate, a dressé le bilan final du vote des grands électeurs conformément au mandat des électeurs du 19 décembre. Plusieurs protestations contre les résultats de l'élection sont survenues lors de la séance d'appel des États, en raison de l'« ingérence russe » et de la soi-disant « suppression des votes des électeurs », néanmoins rejetées par Joe Biden. Ainsi, Jim McGovern, représentant démocrate du Massachusetts à la Chambre des représentants des États-Unis a appelé à annuler les résultats dans l'État de l'Alabama. « Je proteste contre la ratification du bilan dans l'État de l'Alabama, en vertu des votes des grands électeurs, n'ayant pas été remis dans les conditions redevables et conformément au règlement en vigueur, compte tenu des activités illégales et prouvées de la Russie », a lancé le député. ©
     
    Pour sa part, Joe Biden a répondu que toute protestation devait être présentée d'une manière légale et signée par le sénateur de l'État en question. Sinon, la demande n'allait pas être examinée. Ensuite, d'autres appels ont également été rejetés par le président du Sénat des États-Unis. La cérémonie officielle d'investiture du 45e président américain, Donald Trump, est prévue pour le 20 janvier 2017.

     https://fr.sputniknews.com/international/201701061029478221-presidentielle-resultats-inauguration-electeurs-senateur/
  • Vague de froid sur toute la France

  • GR - Etude exclusive: le taux de prénoms musulmans en France, département par département

    http://www.fdesouche.com/807775-etude-exclusive-le-taux-de-prenoms-musulmans-departement-par-departement

     Déroulez l'article jusqu'au bout

     (merci à Dirk)

  • Pour les SDF, le froid rend cet hiver encore dur

    http://www.francetvinfo.fr/societe/sdf/sdf-le-froid-rend-cet-hiver-tres-difficile_2002273.html

    + vidéo

    Quelle honte et quel scandale! On laisse nos SDF mourir de froid et de misère dans la rue... Seuls comptent l'hébergement des migrants et leur "dignité"!

     

     

  • L'enseignant niçois poursuivi pour avoir aidé des clandestins est relaxé

    Par Edouard de Mareschal
    Mis à jour le 06/01/2017 à 18h36 | Publié le 06/01/2017 à 12h43

    Il était poursuivi pour avoir convoyé des Érythréens qu'il entendait héberger chez lui avant de les conduire à la gare. Le procureur avait requis six mois de prison avec sursis mais le tribunal a estimé qu'il avait agi pour préserver leur dignité. Le parquet va faire appel.

    Les poursuites formées à l'encontre de Pierre-Alain Mannoni, enseignant chercheur niçois qui comparaissait devant la justice niçoise pour son aide apportée à des migrants érythréens, se sont soldées vendredi par une relaxe. Le procureur avait requis six mois de prison avec sursis à son encontre. Mais le tribunal lui a accordé l'immunité pénale, estimant qu'il avait agi pour préserver la dignité des migrants. Cette disposition, introduite dans la loi en 2012, prévoit l'immunité pour les passeurs qui agissent sans aucune contrepartie, et si la vie des personnes assistées est jugée en péril. «Le tribunal a reconnu que j'avais agi pour préserver leur dignité, et ça, ce n'est pas condamnable, c'est ça qui est important», a déclaré Pierre-Alain Mannoni à la sortie du tribunal. «C'est une grande victoire pour les gens qui aident et aussi pour tous les gens qui ont besoin d'être aidés». Le parquet a indiqué dans la soirée qu'il allait faire appel.

    Interpellé à un péage

    Pierre-Alain Mannoni, chercheur au CNRS de 45 ans, avait été interpellé le 18 octobre à un péage près de Menton avec dans sa voiture trois Erythréennes dont une mineure, qu'il emmenait à son domicile pour les héberger. Il voulait leur faire prendre un train pour Marseille. «Elles avaient peur, elles avaient froid, elles étaient épuisées, elles avaient des pansements aux mains, aux jambes, l'une boitait en faisant des grimaces de douleurs et l'autre ne pouvait pas porter son sac avec sa main blessée», raconte-t-il dans un article publié quelques jours plus tard sur Mediapart. Après 36 heures de garde à vue, le Niçois est libéré sous contrôle judiciaire. Sa voiture avait été saisie et il a reçu l'interdiction de quitter Nice. La veille, Pierre-Alain Mannoni avait déjà aidé un autre groupe de migrants, mais sans être inquiété. L'affaire a mobilisé les milieux associatifs et enseignants. Au total, entre 100 et 200 personnes s'étaient rassemblées le 23 novembre devant le tribunal avant le début de l'audience. Plusieurs personnalités politiques étaient également présentes, à l'image de Cécile Duflot. Une pétition en ligne lancée par la mère du prévenu avait recueilli près de 70.000 signatures. Et une collecte pour lui payer les frais de justice a récolté près de 8800 euros.

    Alors que la vallée de la Roya est devenue le principal point de passage des migrants venus d'Italie depuis 2015, de nombreux habitants ont pris l'initiative de leur venir en aide. Dans une affaire similaire un temps jugée avec celle de Pierre-Alain Manonni, un agriculteur comparaît depuis mercredi pour avoir installé illégalement une cinquantaine d'Érythréens dans un centre de vacances désaffecté en octobre. L'occupation des lieux avait pris fin trois jours plus tard avec l'intervention des forces de l'ordre. Contrairement à l'enseignant, Cédric Herrou, 37 ans, revendique une action «politique». Devant la magistrate, l'agriculteur a déclaré agir ainsi «parce qu'il faut le faire». «Il y a des gens qui sont morts sur l'autoroute, il y a des familles qui souffrent, il y a un État qui a mis des frontières en place et qui n'en gère absolument pas les conséquences», a-t-il poursuivi. Alors qu'il comparaissait, il a reçu le soutien de quelque 300 personnes, dont de nombreux membres d'un collectif d'aide aux migrants Roya Citoyenne, rassemblées devant le palais de justice. Le procureur a requis 8 mois de prison avec sursis, et la décision a été mise en délibéré au 10 février.

    LE FIGARO

  • Interview de Nicolas Bay sur LCI - 05.01.17

    Encore des persécutions judiciaires sur les attachés parlementaires...

  • La Russie retire son porte-avion Amiral Kouznetsov et son croiseur Petr Veliki des côtes syriennes

     

     Source: Reuters
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    Le ministère de la Défense russe a annoncé le retrait du porte-avion Amiral Kouznetsov et du croiseur Petr Veliki vers la mer Noire. Cette décision a été prise dans le cadre de la diminution de la présence militaire russe en Syrie.

    «En conformité avec la décision du Chef suprême des armées russes, Vladimir Poutine, le ministère de la Défense procède à la diminution de la présence militaire russe en Syrie», a fait savoir le chef de l’Etat major des armées russes, le général Valeri Guerassimov.

    Le général a aussi rappelé que dès le 30 décembre 2016, le cessez-le-feu avait été instauré suite à l’accord signé par la Russie, l’Iran et la Turquie pour «donner la possibilité de mettre fin au conflit qui dure depuis six ans».

     

    Le porte-avion Amiral Kouznetsov  et le croiseur Petr Veliki quittent donc les eaux syriennes. Il s'y était rendu en novembre 2016 afin de soutenir les forces syriennes dans leur lutte contre les combattants rebelles. Environ 20 chasseurs russes étaient stationnés sur le porte-avions, tandis qu'un contingent aérien de taille équivalente se trouvait à la base russe de Hmeimim, près de la ville syrienne de Lattaquié.

    «Tous les tâches assignées au groupe du porte-avions ont été accomplies», a fait savoir Andreï Karpatov, colonel général des forces russes en Syrie.

    RT

  • JOURNAL TVL DU 06. 01. 2017

  • Un tireur ouvre le feu dans un aéroport de Floride, faisant au moins cinq morts

     

    La fusillade a éclaté dans la zone de livraison des bagages de l'aéroport de Fort Lauderdale. Rien n'a encore filtré sur l'identité du tireur.

    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le
    publié le

    Au moins cinq personnes ont été tuées et au moins huit ont été blessées dans une fusillade à l'aéroport international de Fort Lauderdale-Hollywood, en Floride, vendredi 6 janvier. Le tireur a été arrêté par la police et placé en détention, annonce le shérif du comté de Broward.

    Les voyageurs réunis sur le tarmac par la police

    Cette fusillade a eu lieu au terminal 2 de l'aéroport, dans la zone de livraison des bagages. Les forces de sécurité ont rassemblé des voyageurs sur le tarmac, selon les images diffusées par les chaînes de télévision américaines. Cet aéroport voit transiter de nombreux touristes inscrits pour une croisière ou se rendant dans un pays des Caraïbes.

     

    Après la panique initiale, "le calme semble revenu mais la police ne laisse personne partir de l'aéroport", témoigne Ari Fleischer, ancien attaché de presse du président George W. Bush, sur son compte Twitter.

     

    Le motif de l'attaque est pour l'heure inconnu, a souligné Barbara Sharief, une élue locale.

  • Fête de l'Epiphanie le 6 janvier

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    Visite des Rois Mages à l'Enfant Jésus