A lire absolument en déroulant le texte
(merci à Dirk)
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A lire absolument en déroulant le texte
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L’arrivée massive de 2 600 migrants au Québec bouleverse bien des façons de faire dans le domaine de l’immigration. C’est notamment le cas pour une famille française bien établie du côté de Shawinigan, en Mauricie, qui vient d’apprendre qu’elle doit quitter le Québec.
Cela fait des mois que ces Français font des démarches pour devenir résidents permanents au Québec. Pour l’instant, ils détiennent un visa de visiteur qui arrive à échéance à la fin du mois d’août.
Ils ont fait une demande de prolongation de ce visa, mais s’ils n’obtiennent aucune réponse, ils seront obligés de quitter le Canada. (…)
Ces derniers sont déçus de la situation, d’autant plus que le Canada accueille actuellement des milliers de migrants. «Ils fuient leur pays pour aller chercher quelque chose ailleurs. Peu importe où, c’est dans le premier pays d’accueil. Nous, c’est une volonté de notre part de venir ici. […] On ne demande pas à être pris en charge», a expliqué Pascal Bourdot, en entrevue à TVA Nouvelles.
Le couple a acheté une maison ancestrale de Sainte-Flore, avec comme but de la rénover et revitaliser le village. Mais pour mener à terme tous ces projets, ils vont avoir besoin d’une prolongation de leur visa. Toute la communauté de Sainte-Flore les soutient et une pétition a été lancée pour interpeller le gouvernement.
Une situation similaire affecte une autre famille française établie à Québec depuis deux ans.
Loïc Bovis et Karine Vidal se sont acheté une maison qu’ils viennent de rénover à Val-Bélair. De leur union est né un garçon aujourd’hui âgé de un an. Il est donc Canadien de plein droit.
Mais mardi matin, le couple a eu une très mauvaise surprise en recevant un avis d’expulsion prochaine à cause de documents perdus ou mal complétés.
(…)La situation provoque du questionnement: pourquoi on accueille actuellement autant de migrants haïtiens qui arrivent ici de manière illégale tandis qu’on menace d’expulsion ceux qui sont déjà établis et qui contribuent à faire rouler l’économie.
Amie du couple en difficulté, Renée-Claude Lessard leur prête main-forte. «On voit le gouvernement dépenser de l’argent pour les immigrants, avec nos impôts, je n’ai aucun problème», a d’abord indiqué M. Lessard.
Mme Lessard pense être face à un simple problème de communication entre la famille et Immigration Canada
«C’est une famille qui est établie, qui veut travailler. Ils sont heureux de payer leurs impôts», a-t-elle assuré.
Il existe un dernier recours qu’ils comptent exercer, mais, d’ici là, il leur est interdit de travailler.
Merci à Pythéas
NdB: Le Québec mondialiste ne veut plus de Français, il veut oublier l'histoire de sa fondation.
La Corée du Nord commence à lever le voile sur son plan d'attaque vers le territoire de Guam dans le Pacifique.
Le jeu de ping-pong entre Washington et Pyongyang continue. La Corée du Nord a surenchéri ce jeudi dans l'escalade de tension, se moquant de Donald Trump accusé d'avoir «perdu la raison». Elle a également présenté un plan détaillé pour tirer une salve de missiles vers le territoire américain de Guam, dans le Pacifique.
Ce plan d'une rare précision, qui vise un avant-poste stratégique des forces américaines sur la route de l'Asie, constituera «un avertissement crucial aux Etats-Unis», a prévenu le régime nord-coréen, car, selon lui, «seule la force absolue» aura un effet sur le président américain. Ce plan sera présenté au dirigeant Kim Jong-Un mi-août, «pour une évaluation».
Selon l'armée, quatre missiles seront tirés simultanément et «voleront 17 minutes et 45 secondes sur une distance de 3 356,7 km, et s'écraseront en mer à 30 ou 40 km de Guam». Ils s'abîmeraient ainsi à l'extérieur des eaux territoriales américaines, après avoir survolé le Japon.
«La Corée du Nord n'a pas l'intention d'attaquer les Etats-Unis mais doit montrer qu'elle peut répliquer en cas d'attaque américaine. C'est un coup de semonce de leur part», analyse Juliette Morillot, historienne et co-auteure de «La Corée du Nord en 100 questions» (ed. Taillandier). «La Corée du Nord est dans une attitude de dissuasion, elle cherche à poursuivre son programme nucléaire et à assurer la pérénité du régime.» Si le risque que le pays mette sa menace à exécution existe, l'historienne souligne que «personne n'a intérêt à déclencher un cataclysme.»
Tokyo, qui a déjà averti qu'il abattrait tout missile menaçant son territoire, a réaffirmé qu'il ne pourrait «jamais tolérer les provocations» du pays reclus.
Des tirs vers Guam placeraient Washington dans une position délicate : si les Etats-Unis ne tentent pas de les intercepter, leur crédibilité en prendrait un coup et Pyongyang se sentirait pousser des ailes pour mener un test de de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) grandeur nature. Mais si une interception était tentée et qu'un missile y survivait, l'efficacité des systèmes de défense balistique américains serait remis en cause.
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Cet avertissement nord-coréen fait suite à un tweet menaçant du chef de la Maison Blanche affirmant que l'arsenal nucléaire américain est «plus fort et plus puissant que jamais». Quelques heures auparavant, Donald Trump avait stupéfait la communauté internationale en promettant au dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un la «colère» et le feu», mise en garde qui semblait tout droit sortie du répertoire oratoire de Pyongyang. «Chaque parti emploie la rhétorique de l'autre, note Juliette Morillot. Lorsque Kim Jong-Un parle de Trump comme d'un "gars qui a perdu la raison", il réemploie le vocabulaire que les autres lui réservent habituellement.»
Cette guerre rhétorique autour des programmes balistique et nucléaire de Pyongyang alimente les craintes d'une erreur de calcul qui aurait des conséquences catastrophiques sur la péninsule coréenne et au-delà. Pour rappel, en juillet, la Corée du Nord a mené deux tirs réussis de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), mettant une bonne partie du continent américain à sa portée.
Bien que les tensions «n'ont jamais été aussi importantes», selon ses propres mots, Juliette Morillot estime tout de même qu'il «est difficile d'imaginer que le Pentagone laisse Trump entrainer les Etats-Unis dans un conflit qui impliquerait la Chine, le Japon, la Corée du Sud ainsi que la Russie qui ne laissera pas faire.» «Il y a cependant un signe très ténu d'apaisement», note l'historienne. Alors que la tension est à son comble, un pasteur canadien retenu depuis plus de deux ans et demi a en effet été libéré ce jeudi. L'homme avait été condamné en janvier 2015 aux travaux forcés à perpétuité. «Ce n'est pas anodin de la part de la Corée du Nord» estime Juliette Morillot.
Le Parisien
Au moins cinq migrants africains sont morts et cinquante sont portés disparus après avoir été jetés à la mer jeudi par des passeurs au large du Yémen. Ce drame se rajoute à celui de mercredi qui a vu périr cinquante migrants issus de la même région selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Jeudi, plus de cinquante-cinq migrants africains ont été intentionnellement jetés dans la Mer Rouge par des passeurs, au large de la province de Chabwa dans le sud du Yémen. Cinquante sont portés disparus et cinq ont péri selon l'Organisation internationale des Migrations (OIM). Au total, 180 personnes en provenance de Somalie et d'Éthiopie ont été jetées à la mer. «Nous avons envoyé nos équipes dans la zone. Vingt-cinq passagers (blessés) du bateau sont actuellement soignés sur la côte du Yémen», a déclaré à l'AFP une porte-parole de l'organisation.
La veille, un premier drame s'est déjà déroulé dans la même zone maritime au large du Yémen, avec environ cinquante victimes dont vingt-neuf avaient été découvertes dans des tombes creusées à la hâte sur la plage. Le bilan est lourd en seulement en 24 heures: quelque 300 voyageurs d'infortune ont été délibérément jetés à la mer par des passeurs, dont des dizaines sont morts ou portés disparus.
«Les survivants ont dit à nos collègues sur la plage que les passeurs leur avaient demandé de se jeter à la mer après avoir vu ce qui semblait être des représentants des autorités», a indiqué Laurent de Boeck, chef de mission de l'OIM, en parlant de l'incident de jeudi. L'organisation internationale a indiqué travailler étroitement avec le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) pour donner une sépulture aux morts et soigner les survivants.
Les migrants sont majoritairement issus des pays qui composent la Corne d'Afrique (Éthiopie, Erythrée, Somalie et Djibouti). Ils affluent massivement au Yémen ces dix dernières années alors que c'est un pays pauvre, classé au dernier rang en termes d'IDH au niveau mondial et déchiré par une guerre civile depuis trois ans. Plus de 10.000 morts, une dizaine de pays impliqués, le Yémen est devenu le théâtre de la féroce lutte d'influence entre l'Arabie Saoudite et l'Iran, entre Sunnites et Chiites. Au nord, à Sanaa, se mêlent rebelles houthistes et fidèles de l'ex-président Saleh. Dans le Sud siège un autre gouvernement, reconnu celui-ci par la communauté internationale et par une coalition de pays dirigée par l'Arabie Saoudite. Ces troubles internes font le jeu des groupes terroristes, à commencer par al-Qaida dans la péninsule arabique.
En réalité, ce sont ses voisins, les pays du Golfe plus riches, que les migrants cherchent à tout prix à atteindre pour trouver du travail. Malheureusement, leur voyage s'interrompt généralement au Yémen où ils se retrouvent entassés dans des camps pour une durée indéterminée. L'ONU estime que le pays, où une épidémie de choléra a déjà fait plus de 1.900 morts, est le théâtre de la «plus grave crise humanitaire dans le monde».
Entre 2008 et 2016, plus de 345 000 migrants et demandeurs d'asile sont arrivés au Yémen par la Mer Rouge selon les chiffres du Secrétariat Régional Mixte des Migrations (RMMS). Ils venaient de la ville littorale de Obock, de la République de Djibouti. Plus de 80% d'entre eux étaient éthiopiens, le reste des voyageurs était somaliens et érythréens.
Les migrants éthiopiens sont particulièrement touchés par ce gigantesque trafic d'êtres humains. Il y a plusieurs étapes à franchir avant d'arriver au Yémen et chacune d'entre elles exige un paiement. «Tout le long du trajet, certains passeurs mentent et augmentent leurs prix. Si les voyageurs n'ont pas assez d'argent pour payer la prochaine étape, ils finissent dans des camps où ils sont généralement détroussés, torturés, voire violés jusqu'à ce que ces passeurs-là soient payés et que les migrants finissent dans les mains d'un autre trafiquant», indique Michael Kirby Smith, photojournaliste qui travaille avec l'organisation non gouvernementale Human Rights Watch.
«C'est choquant et inhumain. La souffrance des migrants sur cette route est immense. Beaucoup de jeunes gens paient les passeurs avec l'espoir d'avoir une vie meilleure», s'insurge un des responsables de l'OIM.
L'organisme estime à 55.000 le nombre de migrants, dont un tiers de femmes, arrivés au Yémen en provenance de la Corne de l'Afrique depuis le début de l'année. Plus de 30.000 de ces nouveaux migrants n'ont même pas 18 ans.
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Elle a bien fait de laisser traîner ses yeux. Une passagère d’un vol Seattle-San José aux Etats-Unis a permis l’arrestation d’un pédophile, rapporte Mercury News. L’institutrice a regardé par hasard l’écran du téléphone portable de son voisin et a été horrifié de découvrir la teneur des messages…
« J’ai juste vu écrit en gros ‘enfant en sous-vêtements’. Je me suis dit : ‘mais qu’est-ce que c’est que ça ?’ Mon cœur s’est emballé et ensuite j’ai vu d’autres textos arriver ». Persuadée d’avoir affaire à un pédophile, la passagère a discrètement pris des photos de l’écran de son voisin et a fait part de ses craintes à l’équipage. Ce dernier a contacté les forces de l’ordre, qui ont arrêté le présumé pédophile à l’arrivée du vol.
Il s’est avéré que l’intuition de la passagère zélée était la bonne : l’homme demandait une amie à lui, baby-sitter de profession, de procéder à des attouchements sur deux enfants. Âgés de 5 à 7 ans, ces derniers auraient été drogués et violés. Les deux responsables de ces actes ont été placés en garde à vue.
Selon plusieurs sources concordantes, il s’agit d’Hamou B., un individu fiché ILE (infraction à la législation sur les étrangers) qui serait présent illégalement en France.
Cet homme de 37 ans a été arrêté mercredi après-midi dans le Pas-de-Calais.
Il est l'homme qu'ont traqué 300 policiers mercredi. Né en 1980 en Algérie et originaire de Sartrouville (Yvelines), Hamou B. est le principal suspect dans l'attaque des militaires renversés dans la matinée à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Là où peu avant 8h, une voiture-bélier a foncé dans le groupe de soldats, déployés dans le cadre de l'opération Sentinelle, en blessant six dont trois grièvement. L'oeuvre d'une BMW qui prend la fuite immédiatement après l'attaque et qui sera interceptée quelques heures plus tard sur l'A16 dans le Pas-de-Calais.
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Pour l'instant, les enquêteurs travaillent encore à déterminer les motivations du conducteur. Selon nos informations, Hamou B. est connu des services de police, mais n'est pas fiché S. Plusieurs perquisitions ont eu lieu en milieu d'après-midi à son domicile et dans celui de son entourage. Un important déploiement de police à Bezons (Val-d'Oise) serait également lié à cette affaire.
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Quant à Hamou B., il a été hospitalisé. Lors de l'intervention «musclée» de la BRI sur l'autoroute A16, l'homme de 37 ans a été atteint de cinq balles alors qu'il tentait de fuir. Son pronostic vital n'est pas engagé.
BREIZATAO – POLITIKEREZH (09/08/2017) Une évolution démographique inattendue a eu lieu aux USA : le nombre de naissances d’enfants blancs est redevenu majoritaire après avoir été mis en minorité à partir de 2011.
Le taux de natalité blanche en Amérique a fait un retour miraculeux en représentant la majorité des naissances en 2016 – inversant un déclin vieux d’une décennie – selon les chiffres du Centre National pour les Statistiques Sanitaires.
Ce nouveau rapport, titré « Naissances : Données Provisoires pour 2016 », date de juin 2017 mais n’a été publié que la semaine dernière.
Selon le rapport, les chiffres provisoires du nombre de naissances aux Etats-Unis pour 2016 était de 3,941,109, en baisse de 1% par rapport à 2015.
Le rapport indique que sur les 3,941,109 naissances en 2016, 1,054,564 sont des enfants blancs non-hispaniques. Cela représente 52% du total.
Le taux de natalité hispanique – l’un des plus grands facteurs de l’explosion de la population non-blanche aux USA – a, selon ces chiffres, significativement baissé.
En France, les naissances non-blanches devrait devenir majoritaires d’ici à 2025 selon une étude (voir ici).
(Source : Occidental Dissent)
Les députés ont très largement validé mercredi la suppression de la réserve parlementaire, ultime volet de la réforme.
C'est le «dernier acte» de la loi pour la confiance dans la vie politique, annonce la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, inaugurant l'ultime discussion sur le texte. Mercredi 9 août, l'Assemblée a donc adopté le dernier volet de cette loi de moralisation, la suppression de la réserve parlementaire par 412 voix pour. 74 députés ont voté contre et 62 se sont abstenus. Cette mesure vient compléter l'arsenal supposé assurer «la probité et la transparence» du monde politique, estime Yaël Braun-Pivet, rapporteure du texte.
La semaine dernière, l'interdiction des emplois familiaux de collaborateurs, la suppression de l'indemnisation de frais de mandat et l'inéligibilité des élus en cas de crime ou de délit mettant en cause leur probité ont déjà été validées. Ainsi que d'autres mesures veillant à prévenir les conflits d'intérêts: les parlementaires ne pourront plus exercer une activité de conseil au cours de leur mandat et les lobbys ne seront plus autorisés à rémunérer les assistants parlementaires. «Avec ces textes nous permettons aux Français de retrouver confiance», s'exclame Jacques Krabal, député La République en marche.
Cette loi n'a rien de satisfaisant pour l'opposition qui pointe des «mesurettes» ou au mieux quelques «avancées». À droite comme à gauche, on condamne notamment la suppression de la réserve parlementaire. «Cette suppression est un non-sens, ce sont nos territoires et l'ensemble du monde associatif qui vont être pénalisés», prédit le député Les Républicains,Philippe Gosselin.
Ils sont également nombreux à critiquer le manque d'ambition du texte. «Des mesures auraient dû être prises comme la suppression du “verrou de Bercy”», regrette ainsi Clémentine Autain, député de La France insoumise.
Cette loi ne serait que la première pierre de l'édifice visant à renouer la confiance entre les Français et les politiques. D'autres mesures sont en effet attendues dans le cadre de la révision constitutionnelle. Il devrait alors être question de réformes, comme la réduction du nombre de parlementaires ainsi que la limitation des mandats dans le temps.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 10/08/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
L'individu, identifié comme Hamou B., a été arrêté, ce mercredi après-midi, sur l'autoroute en direction de Calais à bord de la BMW recherchée. Tôt ce matin, la voiture a percuté six soldats de l'opération Sentinelle à Levallois-Perret. Les autorités évoquent un «acte délibéré».
Le ministre de l'Intérieur a évoqué un «acte délibéré». Ce mercredi matin, des militaires de l'opération Sentinelle ont été renversés par une voiture à Levallois-Perret. Alors que le conducteur du véhicule a pris la fuite, un important dispositif a été mis en place pour le retrouver. Après plusieurs heures de traque, un individu a été interpellé en début d'après-midi par les Brigades de recherche et d'intervention (BRI) de Lille et de Rouen sur l'autoroute A16, entre Boulogne et Calais. Cet homme, né en 1980, est «susceptible d'être l'auteur» de l'attaque «car il était à bord du véhicule recherché et a tenté de prendre la fuite», a affirmé une source judiciaire à l'AFP. Selon plusieurs sources concordantes, il s'agit d'Hamou B., un individu a priori inconnu des services de renseignement et fiché ILE pour infraction à la législation sur les étrangers.
Pour échapper à son arrestation, le conducteur a percuté un ou plusieurs véhicules, et les policiers ont fait feu à plusieurs reprises. Blessé par balle, tout comme un policier, il a été hospitalisé à Lille, selon une source policière.
Sa garde à vue a été levée mercredi après-midi compte tenu de son hospitalisation, tandis que des perquisitions étaient en cours, selon des sources concordantes. «Son état de santé ne permettait pas qu'il soit entendu» par les policiers et la garde à vue de cet Algérien de 36 ans «a été rapidement levée», a indiqué une source judiciaire. Elle reprendra si les médecins jugent son état compatible avec cette mesure.
Si les enquêteurs sont certains que la voiture de location qu'il conduisait est bien celle qui a percuté les militaires ce matin, ils ne confirmaient pas, à ce stade, que le conducteur arrêté était bien celui qui a renversé les soldats.
L'attaque a eu lieu à 8 heures ce matin, au moment de la relève, a indiqué au Figaro la Préfecture de police de Paris. Selon nos informations, les soldats étaient à pied et rejoignaient leurs véhicules stationnés place de Verdun, non loin de la mairie. Ils se trouvaient près d'une base de cantonnement, où ils sont hébergés dans le cadre de l'opération Sentinelle, lorsqu'une voiture les a violemment percutés. Six soldats du 35e régiment d'infanterie de Belfort «ont été blessés, quatre légèrement et deux plus grièvement», toujours d'après la Préfecture de police. Leur pronostic vital n'était toutefois pas engagé et leurs blessures n'inspiraient plus d'inquiétude dans l'après-midi, selon le premier ministre Edouard Philippe, les blessures subies étant «fort heureusement légères».
Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et la ministre des Armées Florence Parly se sont rendus, à la mi-journée, au chevet des militaires blessés à l'hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne. Le locataire de la place Beauvau a dénoncé «un acte délibéré» et donné quelques détails quant au déroulé de la scène: «Une voiture qui était dans le quartier est arrivée vers le dispositif, elle roulait doucement, à 5 mètres à peu près des militaires, elle a accéléré de manière à pouvoir les percuter. (...) Nous savons que c'est un acte délibéré, ce n'est pas un acte accidentel», a-t-il affirmé.
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Plus tôt, la préfecture des Hauts-de-Seine avait également évoqué un «acte a priori volontaire». «C'est sans aucun doute délibéré», a déclaré, pour sa part, Patrick Balkany, sur BFMTV. Le maire de Levallois-Perret a précisé que les forces de l'ordre étaient à la recherche d'une voiture de marque BMW. Selon lui, le véhicule était positionné dans une impasse, ce qui laisse penser que le conducteur avait bien l'intention de foncer sur les soldats.
Dans un communiqué publié dans la matinée, la ministre des Armées a condamné «avec la plus grande fermeté cet acte lâche qui n'entame en rien la détermination des militaires à œuvrer pour la sécurité des Français». «L'enquête en cours déterminera ses motivations et les circonstances dans lesquelles (l'auteur) a agi», a ajouté Florence Parly. Devant l'Assemblée nationale, le premier ministre Edouard Philippe a rendu hommage aux militaires et félicité «l'ensemble des forces de sécurité qui dans un délai très court ont permis d'appréhender le suspect, principal à ce stade, de cette attaque».
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En fin de matinée, le parquet antiterroriste a ouvert une enquête de flagrance pour les chefs de tentatives d'assassinats sur personne dépositaire de l'autorité publique en lien avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste et criminel. Les investigations ont été confiées à la section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris, à la sous-direction antiterroriste et à la Direction générale de la sécurité intérieure.
Un très important dispositif de police a été déployé. Des vérifications dans plusieurs endroits précis et un travail de recherche sur le véhicule - une berline de couleur sombre - et son propriétaire ont été effectués, d'après une autre source policière. Les enquêteurs ont également par ailleurs exploité les bandes de caméras de vidéosurveillance. Avec la ville de Nice, Levallois-Perret est une des villes les plus équipées.
Rapidement, plusieurs élus ont manifesté leur soutien aux militaires blessés, à l'image d'Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes.
http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-bfmtv-5/
Toujours vif et intéressant!
Avec Jérôme Cochet elle a coupé court aux fantasmes ! Ne reste que la réalité.
Marion Maréchal-Le Pen a le droit d’aimer qui elle veut et de mener sa vie comme elle l’entend. Apparemment, elle entretient une relation avec Jérôme Cochet, responsable du FN de Grasse, chargé de la communication de David Rachline (Closer).
Jérôme Cochet n’a pas toujours été délicat dans ses tweets, mais qu’importe. J’ai bien conscience qu’il est déjà de mauvais goût de s’immiscer si peu que ce soit dans une liaison qui ne concerne que le couple.
Et pourtant ! Comment expliquer qu’en apprenant cette information j’aie éprouvé comme une légère déception tenant à la certitude que cette banalisation estivale l’avait atteinte comme tant d’autres ?
Parce que même ceux qui étaient, comme moi, très éloignés du FN sur le plan politique attendaient de cette jeune femme – nièce de Marine Le Pen dont la prestation lamentable au second tour de l’élection présidentielle avait frappé beaucoup d’esprits, y compris au sein de son parti – une démarche singulière, moins classique.
Elle avait annoncé sa retraite des joutes politiciennes et des aigreurs intestines, dont certaines lui avaient été réservées par la présidente ou par Florian Philippot. Mais sur un mode ambigu ménageant l’avenir et laissant espérer un retour tonitruant de nature à donner au FN un nouveau visage imprégné d’une authentique philosophie conservatrice, en l’ayant purgé de ses contradictions idéologiques internes.
Elle avait déjà exprimé à ce sujet, en plusieurs occasions, son point de vue en n’hésitant pas à provoquer, en manifestant sa lassitude à l’égard de la notion de République ressassée pour tout et n’importe quoi et en rappelant cette évidence que la France n’avait pas commencé en 1789. Ce qui rejoignait la pensée drôle de Raymond Radiguet disant qu’il avait mal à la tête depuis cette même année.
À tort ou à raison, la personnalité de Marion Maréchal-Le Pen, par ailleurs très douée sur le plan médiatique, en même temps qu’elle suscitait une inquiétude démocratique encore plus vive chez certains de ses adversaires, semblait pouvoir offrir des perspectives d’entente de la droite, que sa tante a toujours récusées par principe.
Aussi, au risque d’être un goujat mêlant l’intimité d’une vie privée aux choses sérieuses de la politique, voir Marion Maréchal-Le Pen dans les bras du FN le plus classique et provocateur qui soit n’emballe pas le citoyen s’il la comble, elle. Un désabusement absurde si on veut, mais subtil, indéniable. Un retour en arrière. Une retombée.
Avec Jérôme Cochet, elle a coupé court aux fantasmes ! Ne reste que la réalité.
Peut-être faut-il la remercier.
Le 8 août, le président américain a promis le feu à la Corée du Nord si elle continuait de menacer les Etats-Unis alors même qu'elle développement son arsenal nucléaire, en violation du droit international.
«La Corée du Nord ferait mieux de ne plus proférer de menaces envers les Etats-Unis», a déclaré Donald Trump depuis son golf de Bedminster, dans le New Jersey, où il passe ses vacances.
«Elles se heurteront au feu et à la colère», a-t-il ajouté, promettant une réaction d'une ampleur «que le monde n'a jamais vue jusqu'ici».
Pyongyang a assuré le 7 août que le durcissement sensible des sanctions des Nations unies ne l'empêcherait pas de développer son arsenal nucléaire, menaçant les Etats-Unis de leur« faire payer le prix de leur crime [...] un millier de fois».
Sous l'impulsion de Washington, le Conseil de sécurité de l'ONU a imposé à la Corée du Nord des sanctions qui pourraient lui coûter un milliard de dollars de revenus annuels, tout en restreignant ses échanges économiques cruciaux avec la Chine, son principal allié et partenaire économique.
Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a exclu un retour rapide au dialogue avec la Corée du Nord, estimant que la nouvelle volée de sanctions démontrait que la planète avait perdu patience face à ses ambitions nucléaires.
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