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NdB: Le 11 Novembre, jour douloureux pour la mémoire française, des centaines d'étrangers font la fête sur les Champs Elysées et bloquent la circulation... HONTEUX!
Espérons qu'ils ne profaneront pas la Tombe du Soldat inconnu.
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NdB: Le 11 Novembre, jour douloureux pour la mémoire française, des centaines d'étrangers font la fête sur les Champs Elysées et bloquent la circulation... HONTEUX!
Espérons qu'ils ne profaneront pas la Tombe du Soldat inconnu.
Ce 11 novembre n’est pas une fête. Loin de là.
Pour commencer, il marque l’anniversaire d’un armistice de sang. Celui de la guerre la plus meurtrière de l’Histoire de France : 1,7 million de Français, civils ou militaires, périssent. Un chiffre trois fois supérieur à celui de la Seconde Guerre mondiale. Pour célébrer l’événement, le recueillement semble plus adapté que les strapontins.
Mais cet anniversaire est tout particulier. Il a des relents de scandale.
Au lendemain du conflit, l’État français a laissé un choix aux familles des personnes mortes au combat : inhumer leur proche dans une nécropole nationale ou reprendre le corps afin qu’il reposât dans la tombe familiale.
Trois cent cinquante mille familles ont décidé d’inhumer le défunt par leurs soins. La plupart ont choisi une sépulture dite perpétuelle.
Mais la perpétuité sépulcrale, en France, est à l’image de la carcérale : elle n’est qu’un fantasme destiné à rassurer les foules.
Une sépulture perpétuelle dure en réalité 99 ans. Ce qui signifie qu’en cette année 2017, dans nos cimetières communaux, les milliers de tombes où sont inhumés des Morts pour la France ont disparu ou vont disparaître !
Il est en effet facile de comprendre que la grande majorité des corps ont été enterrés avant novembre 1918. Seuls sont partis en bière après cette date des prisonniers ou des malades, des blessés (gazés, mutilés…) ayant péri au cours des mois ou années après la fin de la guerre.
Les familles auraient-elles, à l’époque, choisi l’inhumation par leurs propres moyens si on leur avait annoncé que la sépulture de leur combattant allait disparaître moins d’un siècle plus tard ? Il y a lieu d’en douter. Quoi qu’il en soit, c’est peu dire que l’État ne se montre pas à la hauteur du respect dû aux Morts pour la France.
Au moment où l’on célébrera le centenaire de la fin de la Grande Guerre, des centaines de milliers de corps de combattants auront rejoint les fosses communes municipales, anonymes et morts parmi les morts, à jamais rayés de nos mémoires.
Dans le même temps, on continue à faire pression, dans les hautes instances dirigeantes, pour créer des carrés musulmans, orientés vers La Mecque, dans nos cimetières.
Ainsi, trois directives ministérielles datant de 1975, 1991 et 2008 encouragent les communes à installer ces espaces confessionnels (l’union, janvier 2011).
Sans parler du rapport de la commission Stasi sur la laïcité (2003) qui enjoignait fortement les municipalités à agir en ce sens.
Tout ceci au mépris total de la loi de 1905, puisque ce sont les mairies qui en auraient la charge financière et conceptuelle. Comment feront-elles passer cette spécificité pour les musulmans ? Elles argueront que l’islam n’est pas un culte mais une armée de dégénérés lubriques ?
A ce propos, dans un rapport du 31 mai 2006, le Conseil d’État relève que : « L‘institution de carrés confessionnels dans les cimetières n’est pas possible en droit. Toutefois, en pratique, les carrés confessionnels sont admis et même encouragés par les pouvoirs publics afin de répondre aux demandes des familles, de confession musulmane notamment, de voir se créer dans les cimetières des lieux d’inhumation réservés à leurs membres. »
Résumons : c’est interdit et impossible pour la loi, mais en pratique il faut le faire. Si quelqu’un a une interprétation différente de ce texte, j’attends volontiers sa version, mais personnellement, j’y vois là un nouvel « accommodement raisonnable » qui jette aux oubliettes un fondement de notre société contemporaine.
Le symbole est d’autant plus fort qu’en islam, on n’enterre a priori ses morts qu’en terre musulmane. La confection d’endroits spécialement dédiés à ce culte est donc un signe de l’avancée de la conquête de notre territoire : si les mahométans consentent à s’y faire enterrer dans le respect de leur idéologie, c’est qu’il s’y sentent en terre islamisée.
Le résultat est que l’on supprime la mémoire de nos combattants, de ceux qui sont morts pour la France, par les cadavres d’envahisseurs.
On remplace la mémoire du peuple qui a défendu notre terre et notre héritage par la chair putréfiée des colonisateurs.
En ce 11 novembre 2017, centenaire de l’armistice, c’en est pratiquement fini des tombes individuelles de Poilus. Cette étape du Grand remplacement est franchie.
Il ne restera que nos larmes et des fosses communes pour pleurer nos morts.
Mais peut-être aussi une rage indicible contre ceux qui enfouissent notre mémoire six pieds sous terre.
Lou Mantely – Riposte laïque
Stèle au Baou de Sormiou, face au soleil et à la mer qu'ils ne verront plus jamais
(Photo EB)
Dans un autre arrondissement
(Photo EB)
Jupiter célèbre le franc-maçon Clemenceau et la "victoire". Quelle victoire ? La victoire de qui ? De ceux, toujours les mêmes qui veulent en finir avec les peuples blancs. Au génocide européen de 14-18, le plus grand de l'Histoire de l'humanité, succède aujourd'hui le grand remplacement, véritable génocide de substitution, dont les effets seront pires.
Macron et ses complices républicains de tous bords poignardent dans le dos les millions de poilus morts (disons le sans rire) pour la France.
Pauvres poilus qui doivent se retourner dans leurs tombes en se disant : "Tout ça pour ça !"
En 1914, les peuples européens auraient dû écouter Jaurès, mettre la crosse en l'air et pendre les responsables de ce qui suivrait ! Aucune goutte de sang européen pour les maîtres du monde !
Le "père la victoire" était une belle crevure jacobine :
« J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre … j’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements des vieillards de 90 ans et de jeunes filles à peine nubiles. Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche. »
CLEMENCEAU
Projection murale au musée Georges-Clemenceau
Le 9 novembre 2017
GALA
Comme un souvenir de Tchernobyl. L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire a publié jeudi 9 novembre une note d'informationintitulée "Détection de ruthénium-106 en France et en Europe", où elle rend publiques les conclusions de son enquête sur un rejet radioactif en provenance de Russie détecté fin septembre.
Cette fuite, qui aurait nécessité une protection des populations si elle était survenue en France, pourrait avoir pour origine un accident nucléaire passé sous silence dans le sud de la Russie ou à la frontière kazakhe. Quatre questions sur un événement mystérieux mais sans conséquence sanitaire pour la population française, selon les autorités nucléaires.
Le 4 octobre, l'IRSN donnait l'alerte en signalant la détection d'un radionucléide artificiel, le ruthénium-106, à de très faibles niveaux (quelques millibecquerels par mètre cube d'air) dans le sud-est de la France (stations de La Seyne-sur-Mer, Nice et Ajaccio). La substance avait auparavant été détectée dans l'est de l'Europe, ainsi qu'en Autriche, en Suisse et en Norvège.
L'IRSN a une mission de surveillance nationale de l'atmosphère, et dispose pour cela d'un réseau de stations de collecte d'aérosols par filtration d'air. La présence de ruthénium-106 a été détectée en France pendant deux semaines, du 27 septembre au 13 octobre, ainsi que "dans la plupart des pays européens".
Le ruthénium-106 est un produit de fission issu de l'industrie nucléaire. Il est par ailleurs utilisé dans le domaine médical pour des traitements par curiethérapie.
Dès son premier communiqué, l'IRSN assurait que les "niveaux très faibles de contamination atmosphérique observés à ce jour" étaient "sans conséquence pour l'environnement et pour la santé". Néanmoins, l'autorité disait "maintenir une vigilance de surveillance".
Le 9 novembre, l'autorité confirme ce bilan rassurant :
"Les niveaux de concentration dans l’air en ruthénium-106 qui ont été relevés en Europe et a fortiori en France sont sans conséquence tant pour la santé humaine que pour l’environnement."
Le gouvernement précise de son côté avoir, par précaution, réalisé des "contrôles par sondage sur les champignons importés des pays concernés, qui n'ont révélé aucune contamination à ce jour". Les champignons sont en effet un aliment particulièrement à risque.
A partir des conditions météorologiques fournies par Météo France et des résultats de mesure disponibles dans les pays européens, l’IRSN a réalisé des simulations afin de localiser la zone de rejet, d’évaluer la quantité de ruthénium rejetée ainsi que la période et la durée de rejet.
S'il est impossible de "préciser la localisation exacte du point de rejet", l'IRSN est en mesure de conclure que "la zone de rejet la plus plausible se situe entre la Volga et l'Oural". Pour cette zone, la quantité rejetée de ruthénium-106 estimée est "très importante" : entre 100 et 300 térabecquerels.
(L'Obs / Source IRSN)
Pourtant, aucun pays n'a revendiqué la fuite auprès des autorités nucléaires internationales. "Les entreprises de Rosatom n'ont rien à voir avec la fuite du ruthénium-106" détectée en Europe, affirme le service de presse de la société d'État russe, qui gère l'activité de toutes les entreprises du secteur nucléaire national.
La société kazakhe Kazatomprom, opérateur national chargé de la production du combustible nucléaire, a également démenti être à l'origine de la fuite : "Il n'y a pas de sites au Kazakhstan d'où une éventuelle fuite de cette substance pourrait se produire", assure son service de presse.
Le rejet est "accidentel eu égard à la quantité rejetée", affirme l'IRSN.
"Les conséquences d’un accident de cette ampleur en France auraient nécessité localement de mettre en œuvre des mesures de protection des populations sur un rayon de l’ordre de quelques kilomètres autour du lieu de rejet."
En ce qui concerne les denrées alimentaires, des mesures auraient été prises sur plusieurs dizaines de kilomètres, ajoute l'autorité.
La pollution ne peut pas provenir d'un réacteur nucléaire, car d'autres éléments radioactifs que le ruthénium-106 auraient été alors détectés. L'IRSN formule deux hypothèses d'origine de la fuite :
"En conséquence, l’IRSN a, dans ses investigations, fait l’hypothèse d’un rejet issu d’une installation."
"Le problème pour nous n’est pas au niveau du territoire français mais de l'urgence à identifier l'origine de cette contamination", alerte auprès de BFMTV Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et directeur du laboratoire de la Criirad (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité). "Si cette contamination vient bien d'une installation terrestre, il peut y avoir eu depuis plusieurs semaines une exposition aux radiations des travailleurs, des riverains."
"Soit l'installation à l'origine de ces rejets n'en est même pas consciente, soit il y a une dissimulation par les autorités du pays. Dans les deux cas, c’est grave.
T.V.
Il a rejoint l’association des jeunes porte-drapeau d’Ile-de-France l’an dernier.
Les jours fériés comme ce 11 novembre ne riment pas avec grasses matinées pour Ilyes Bouhadjar. A seulement 7 ans, ce petit garçon qui vit dans le quartier des Mille-Mille à Aulnay-sous-Bois, est porte-drapeau. «C’est le plus jeune de France » confirme Thierry Saunier, vice président de l’association des jeunes porte-drapeaux d’Ile-de-France, créée il y a deux ans et demi.
«Il y a quatre ans, sous l’arc de Triomphe, j’ai réalisé à quel point les collègues porte-drapeau se raréfiaient » explique Philippe Wolf, 63 ans, fondateur de cette association qui recense une quarantaine de membres et recrute normalement à partir de 10 ans. Ilyes n’avait que 6 ans quand il a rejoint les rangs de ces ambassadeurs de la mémoire. A bien chercher, pas de Poilu ni de militaire dans sa famille, ni au Maroc, le pays de ses quatre grands-parents, ni en France. Son père est électricien, sa mère logisticienne et lui se rêve « médecin dans un hôpital ». Mais son oncle Oualid, est porte-drapeau, lui aussi.
«J’ai vu mon tonton qui faisait ça et j’ai voulu être au porte-drapeau moi aussi », explique Ilyes tout simplement. L’association valide et commande un costume à sa taille. «Avec Venus, une petite de 7 ans qui vient des Hauts-de-Seine, c’est notre petit couple ! » sourit Thierry Saunier. Ce Villepintois a confectionné chez lui avec des bénévoles des drapeaux légers : 950 grammes, mât et toile compris. Car ce drapeau, il faut le maintenir des heures, droit ou incliné à 45 ou 80 degrés selon les moments.
«On le porte avec des gants blancs, ça veut dire que tu habilles le drapeau, c’est pour se rappeler de quelqu’un qui venait du porte drapeau », explique Ilyes qui participe en moyenne à deux cérémonies par mois, un peu partout en Ile de France et même au delà.
«Il est formidable, il est capable de tenir 30 minutes ou une heure sans bouger » salue Thierry Saunier. Et les journées de commémoration peuvent être longues. Linda, la maman, en sait quelque chose. «Un dimanche, Ilyes est rentrée après 20 heures » sourit-elle, fière de ce fils aîné à l’emploi du temps de ministre. «L’éducation se fait dès le plus jeune âge ! » justifie la maman. « On peut être pratiquant, je suis voilée, je suis allée à la Mecque et je suis française. C’est important de ne pas dénigrer son pays », tient elle à ajouter.
Dans la chambre d’Ilyes, le poster des cinq piliers de l’islam fait face au drapeau du PSG. Ce samedi, il va falloir choisir entre les cérémonies du 11 novembre à Paris et Bobigny, et les cours d’arabe... Ses meilleurs souvenirs de porte-drapeau ? La rencontre des tirailleurs sénégalais et un dimanche au Mont-Valérien, «j’ai vu la flamme du Général de Gaulle ».
Sa maman intervient : «Il y a aussi eu le 11 mai, dans ta classe. » Elle en a conservé une vidéo sur son téléphone. On voit Ilyes et deux membres des portes drapeaux, tous trois en habits, dans la classe de CE1 B de l’école Savigny. Tout le monde chante la Marseillaise, main sur le coeur. L’enseignant qui filme conclut de ces mots : «Un message de la banlieue et d’Aulnay-sous-Bois ».
Le Parisien
Une nouvelle agression sauvage s’est produite fin octobre à Aubervillliers (Seine-Saint-Denis). La victime, un modeste employé chinois de 29 ans, a été frappé par plusieurs individus qui voulait le voler. Il a été très grièvement blessé à la tête et a du être conduit dans un état sérieux à l’hôpital. Ses jours ne sont plus en danger.
Mardi 24 octobre, à 20 heures, à Aubervilliers, non loin du Millénaire, cet homme est assailli par des inconnus qui en veulent à son téléphone portable. Il rentrait de son travail dans le «sentier» asiatique d’Aubervilliers lorsqu’il a reçu un coup derrière la tête. Un ami qui marchait avec lui a eu le temps de voir s’enfuir cinq hommes. Grièvement blessé à la tête, la victime s’effondre sur le sol et s’évanouit. Il est transporté à l’hôpital de la Pitié Salpétrière (Paris XIIIe) la tête en sang. Ses proches indiquent qu’il était en proie à de violents vomissements. Il souffre d’un traumatisme crânien sérieux et à dû subir fin octobre une intervention chirurgicale.
Cette agression sauvage n’est pas sans rappeller celle de Chaolin Zhang, 49 ans. Ce couturier chinois d’Aubervilliers était mort des suites d’une agression à la tête commise le 7 août 2016. Le scénario ressemble en tous points à celui de Chaolin : trois jeunes l’avaient frappé pour lui voler sa sacoche. A l’intérieur il n’y avait presque rien. Comme pour la victime du Millénaire. Celle-ci n’était en possession que de son portable et une somme d’argent dérisoire. Les agresseurs de Chaolin Zhang, âgés de 15, 17 et 19 ans sont poursuivis pour vol avec violence ayant entrainé la mort sans intention de la donner, aggravé par le caractère raciste de l’agression. Le plus jeune a été condamné à deux ans de prison ce vendredi 10 novembre par le tribunal pour enfants. Les deux autres passeront devant la cour d’assises des mineurs.
Le Parisien
NdB: En Chine, ces trois ordures auraient déjà reçu une balle dans la nuque.
http://www.breizh-info.com/2016/06/30/45808/baisse-qi-moyen-france-linfluence-de-limmigration
avec un panel des QI dans le monde
le journaliste, très gêné, essaie de la faire taire!
Nicolas Bay a répondu aux questions de Nicolas Beytout http://www.lopinion.fr/video/lopinion/nicolas-bay-rapprochement-entre-partie-lr-fn-se-fera-naturellement-137539
« Nous avons saisi la police judiciaire et ouvert une enquête pour tentative d’assassinat puisqu’il nous dit qu’il avait pour projet de faucher des personnes avec son véhicule depuis une mois. Mais ce qui domine à cet instant c’est son profil psychiatrique » Pierre-Yves Couilleau, procureur de la république de Toulouse.
D’après une source policière interrogée par L’Express, il a été identifié comme étant Abdellah B., un homme au profil de déséquilibré. Il était recherché par les services de police pour des faits de droit commun, selon une autre source policière. Il n’était pas fiché S pour radicalisation et était inconnu des services de renseignement. Il aurait été incarcéré par le passé pour des affaires de stupéfiants.
« Lors de son interpellation, il a dit aux policiers: ‘Je suis en mission' », confie l’une de nos sources. Le parquet de Toulouse précise par ailleurs qu’il a indiqué avoir projeté son passage à l’acte « depuis un mois ».
Le conducteur a été arrêté quelques minutes plus tard. On ne connaît pas encore son identité, ni ses motivations, mais d’après la police, il était recherché dans une autre affaire. Il n’était pas fiché S. Certaines sources policières évoquent un homme perturbé psychologiquement.
Le conducteur, âgé de 28 ans, a été interpellé sur place, route de Grenade. Il est déjà connu des services de police, et n’était pas fiché S. Selon les premiers éléments de l’enquête, il prétend avoir « reçu des ordres » pour commettre son acte. Pour l’heure, les enquêteurs n’écartent pas la piste d’un acte commis par un déséquilibré.
Le conducteur, né en 1989, est connu pour des faits de droit commun, notamment en rapport avec les stupéfiants, mais n’est pas fiché S selon nos informations. (BFMTV)
A 16h ce vendredi, un véhicule a foncé sur un groupe de personnes devant le lycée Saint-Exupéry à Blagnac, en Haute-Garonne près de Toulouse.
Trois étudiants chinois ont été blessés dans la collision. Le pronostic vital est engagé pour deux d’entre eux.
Le conducteur, qui n’est pas fiché S selon nos informations, a lui-même dit avoir foncé délibérément sur le groupe. Il a été interpellé sans difficulté. Le service régional de la police judiciaire de Toulouse a été saisi.
Trois piétons ont été fauchés par un automobiliste plus tôt dans l'après-midi, à Blagnac, près de Toulouse, selon France 3 Occitanie. Deux personnes ont été grièvement blessées, une autre plus légèrement. Les trois personnes auraient entre 22 et 23 ans. Leur pronostic vital n'est pas engagé.
L'automobiliste a été interpellé. Il aurait foncé volontairement sur les piétons, qui sortaient du campus universitaire de Blagnac.
Pour l'instant, rien n'indique s'il s'agit ou non d'un attentat terroriste.
LE SCAN POLITIQUE - Le coût annoncé comprend notamment les deux collaborateurs de la "première dame" et un secrétariat pris sur l'effectif de la présidence.
Le statut de première dame dont dispose Brigitte Macron est souvent perçu d'un mauvais œil par une partie de l'opposition. Même si une «Charte de la transparence» a été érigée pour clarifier son rôle, certaines zones d'ombre persistent. Parmi elles: le coût annuel des moyens alloués à l'épouse d'Emmanuel Macron. Résolus à enfin lever le voile sur le sujet, les députés de La France insoumise ont profité vendredi du vote du projet du budget de l'Elysée pour 2018 pour interpeller l'exécutif.
Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a donc pris la parole et a fait gage de transparence devant l'hémicycle. «Je peux vous indiquer un chiffre qui vient des services de Bercy: le coût des moyens mis à disposition du conjoint du chef de l'État, du fait des collaborateurs, est de 440.000 euros. Elle bénéficiera aussi du renfort de sécurité parce que le conjoint du chef de l'État fait aussi l'objet d'une protection», a affirmé celui qui sera bientôt à la tête de La République en marche. Comme prévu par la «Charte de transparence» sur le «statut du conjoint du chef de l'État» publiée en août, Brigitte Macron dispose de deux collaborateurs et d'un secrétariat pris sur l'effectif de la présidence.
Le montant est assez élevé pour relancer le débat autour du statut de Brigitte Macron. Le député insoumis Jean-Hugues Ratenon a par exemple estimé qu'«un conjoint, une conjointe, n'avait aucune légitimité démocratique» et qu'un statut pose donc «un réel problème démocratique». «Nous sommes pour rompre avec la conception d'une forme de monarchie présidentielle», a de son côté ajouté le député de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière. «Le président de la République n'a pas embauché Brigitte Macron, il l'a épousée», lui a alors répliqué Christophe Castaner sous les applaudissements des députés de la majorité. «Elle n'est pas rémunérée», mais «a une fonction de représentation» et «bénéficie de moyens dans la représentation», a-t-il poursuivi. Assez pour définitivement fermer le ban?
Harcèlement scolaire des bons élèves: «On m'a volé mes affaires, on m'a traitée de tous les noms» |
A l'heure où la société valorise tant la réussite scolaire, dans les cours de récréation c'est loin d'être le cas. Des élèves sont régulièrement agressés ou mis à l'écart en raison de leurs bonnes notes. Un phénomène dont témoignent nos internautes qui ont répondu très nombreux à notre appel à témoins, preuve de l'ampleur du fléau. Parmi eux, Pauline : « Bonne élève, très curieuse, j'adorais discuter avec mes professeurs à la fin des cours. J'allais passer mes récréations au CDI à lire, j'étais studieuse et surtout j'aimais apprendre ; une hérésie dans mon collège où les profs étaient les "ennemis". Mes camarades m'insultaient continuellement, me disaient que j'avais des bonnes notes uniquement parce que je "suçais les profs" », confie-t-elle à 20 Minutes. Anne a vécu le même enfer : « J'ai reçu toutes sortes d'insultes à cause de mes bonnes notes ("fayote", "intello", "fille à papa", "surdouée"…) », énumère-t-elle. Tout comme Marie-Elisabeth : « Tout le monde se moquait de moi et je n'avais pas d'amis dans la classe ». « Je me suis retrouvée nue au milieu de la salle de gym »Pour Claire, chaque remise d'un devoir corrigé était une épreuve : « Car tous mes camarades n'attendaient qu'une chose : connaître la note que j'avais reçue. Lorsque le professeur me rendait ma copie, s'ensuivait des insultes ("oh la salope", "quelle connasse"). J'étais isolée dans ma classe, mise à l'écart parce que considérée comme l'intello de service, la chouchoute des professeurs », déplore-t-elle. Et les agresseurs font souvent preuve d'imagination dans les humiliations qu'ils font subir à leurs victimes, comme en témoigne Aurélie, qui a tout enduré : « poils à gratter, jet de boue, insultes, intimidations, rumeurs de maladies graves (une personne est parvenue à faire croire que j'avais un cancer…) En 3e, on écrivait même des menaces de mort sur ma table en classe », décrit-elle. « On m'a volé mes affaires, on m'a traitée de tous les noms, on m'a tripotée dans la cour de récré », raconte aussi Berthe, collégienne précoce. Et le harcèlement scolaire se transforme parfois en violences physiques : « Un jour, un garçon m'a frappée au ventre », se remémore avec effroi Juliette. « Mo, i je me suis retrouvée nue au milieu de la salle de gym, lors d'un cours de sport », évoque Axelle. Des humiliations vécues très douloureusement à l'époque. Perrine décrit son « impression de ne pas faire partie de la bande, car trop de bonnes notes et trop calme en cours ». Laurent évoque un « sentiment d'exclusion » et Aurélie une « perte d'estime de soi, une timidité maladive, un repli sur soi et surtout l'apparition de tocs ». « J'ai reçu peu de soutien de la part des professeurs »Pour ne pas être confrontées à leurs agresseurs, certaines victimes de ce harcèlement ont adopté des stratégies d'évitement, comme Laly, qui a déserté la cour de son école primaire : « Le peu de fois où je m'y trouvais, j'étais harcelée (chewing-gum dans les cheveux, insultes sur mon physique, déshabillement devant tout le monde) », se souvient-elle. Quant à Lucie, elle a tenté de s'éloigner de l'image de bonne élève qui lui collait à la peau : « J'en suis arrivée à répondre faux quand le prof m'interrogeait pour éviter les moqueries », indique-t-elle. Si toutes les victimes de ce harcèlement scolaire ont éprouvé un fort sentiment de solitude, il a été ravivé par le peu d'aide qu'elles ont reçu à l'époque, à l'instar de Laurent : « J'ai reçu peu de soutien de la part des professeurs (ils avaient d'autres chats à fouetter) et de l'administration ». « Seule ma professeure de mathématiques a eu une réaction appropriée face à ces comportements, punissant les élèves responsables lorsqu'elle en était témoin. Le reste de l'équipe éducative a, semble-t-il, feint de n'avoir pas conscience des traitements dont je faisais l'objet », témoigne aussi Claire. Mais il faut souligner aussi que beaucoup d'élèves harcelés n'osent pas se confier : « Je n'en ai jamais parlé à mes parents parce que j'avais honte », avoue ainsi Berte. Désespérée, Marie-Elisabeth confie même avoir cherché à se suicider. « Il faut beaucoup de courage pour être bon élève aujourd'hui »Déstabilisés dans leur scolarité, ces bons élèves confient conserver encore des séquelles de ce qu'ils ont vécu à l'époque. « Il m'a fallu des années pour reprendre confiance en moi », indique Berte. « C'est une période de la vie dont les souvenirs sont néfastes », soupire aussi Laly. « Encore aujourd'hui, à 22 ans, je n'ai absolument pas confiance en moi, je me déteste au plus haut point, je ne supporte pas mon reflet dans le miroir, car je ne cesse d'entendre les insultes qui ont rythmé mon quotidien durant tout ce temps », confie aussi Sara. Un sentiment partagé aussi par Laurent : « J'ai conservé beaucoup de colère face à tout ça. Et aussi de la méfiance et de la peur envers l'être humain ». Quant à Claire, si elle a été harcelée au collège, au lycée elle en a encore subi les conséquences « J'ai pu constater que lorsque je recevais une meilleure note que mes camarades les plus proches, j'éprouvais toujours une sorte de honte, comme si j'avais à m'excuser d'avoir mieux réussi qu'eux ». Avec le recul, Anne analyse clairement les choses : « Il faut beaucoup de courage pour être bon élève aujourd'hui et préférer sa construction personnelle plutôt que l'inclusion dans un groupe. Il faut accepter d'être seul ou alors plus proche des professeurs que des élèves. Et retirer du plaisir de ses résultats et non de sa place dans le microcosme de l'école ». |
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Avec Noël qui approche, les grandes centrales commerciales multiplient les initiatives afin de promouvoir l’indifférenciation des sexes : plus question pour certaines enseignes (Système U, Jouet Club…) de mettre en avant des garçons jouant aux camions et aux chevaliers et des petites filles jouant à la dinette ou aux poupées princesses.
Des initiatives dont se félicitent les féministes et les partisans de la destruction des repères élémentaires qui conduisent pourtant à une société équilibrée. « Les jouets non sexués finiront par prouver que filles et garçons ne sont pas si différents.» écrivait déjà, en 2012, la journaliste Hanna Rosin, pour Slate.
En réalité, ces initiatives sont essentiellement pilotées non pas pour « libérer» les petites filles (si ce n’est en réalité lui donner la possibilité de se retrouver plus tard, comme les hommes, à vendre son CV à un patron plus ou moins bien intentionné), mais bien contre la construction naturelle des garçons. « 9 idées de jeu pour aider les garçons à sortir des stéréotypes de virilité et de refoulement de leurs émotions » peut-on lire sur le site Apprendre à éduquer.
Ainsi, il faudrait absolument fabriquer des garçons dénués de toute virilité, de toute envie de se battre, de toute agressivité. Et à l’inverse, créer chez les jeunes filles un sentiment permanent de revanche à prendre sur les garçons, donc d’agressivité mal placée.
Le garçon, l’homme, ne doit plus se rêver guerrier, soldat, cowboy, chevalier, pirate, aventurier. Ou plutôt le petit garçon européen bien entendu puisque les idéologues (blancs) de la destruction de l’identité sexuelle ne raisonnent que par leur petit prisme obtus et ultra minoritaire dans le monde.
Et cela bien que nous ne pesions rien face aux milliards d’individus qui continuent et continueront à se reproduire, à éduquer, et à grandir selon les lois naturelles. Sans se soucier de quelques apprentis Frankenstein qui ne tiendraient pas longtemps en place dans la plupart des pays du globe …
Le résultat, non pas uniquement de ces campagnes infamantes sur le prétendu « sexisme des jouets » , mais d’une éducation tendant vers l’indifférenciation des sexes, on le retrouve déjà dans les cours de récréation et dans la rue ; des jeunes hommes de plus en plus féminisés (les fameux « plumeaux ») qui ressemblent de moins en moins à des hommes, des personnels enseignants et éducatifs qui sanctionnent lourdement les bagarres, les défis entre gamins dans les cours de récréation, des parents d’élèves qui expliquent à leurs enfants qu’en cas d’agression, il faut aller se plaindre plutôt que d’apprendre à se défendre …
L’homme (et particulièrement l’homme blanc) ne doit plus être un protecteur pour la femme, il doit refouler son instinct animal au plus profond de lui, tel est le message quotidiennement répandu, de manière subliminale ou non.
Mais jouer à la poupée n’arrête pas (et n’arrêtera pas) les balles. Ces jeunes garçons à qui, aujourd’hui, on veut enlever le droit d’être des chevaliers servants, des pirates, des soldats, ne seront pas demain ou dans vingt ans, des guerriers et des individus capables de faire face aux grandes menaces qui pèseront sur eux durant ce 21ème siècle.
Ces hommes à qui on explique durant leur enfance et leur adolescence qu’il ne faut pas répondre si on les agresse (et qu’on risque même la prison, plus tard, à l’âge adulte, si la situation se produit), que les armes à feu sont des objets diaboliques, qu’ils doivent refouler leur virilité, qu’ils doivent s’identifier à Magloire ou à Hanouna plutôt qu’à Rambo ou à Attila, alors ces hommes ne pourront pas répondre lorsque des islamistes formés et déterminés mettront à feu et à sang leurs villes.
Lorsque des barbares viendront s’emparer de leurs terres et de leurs femmes (qu’ils voient eux toujours comme des femmes, fragiles et pour le coup sans protecteur).
On en voit déjà les prémices, lors de ces agressions dans les transports en commun, où tout le monde baisse les yeux, se renie, se montre incapable de dompter une peur tout à fait normale par ailleurs.
En cas d’attentat, ces individus indifférenciés se contenteront de mettre ce qu’ils sont « en lieu sûr » via leur smartphone, après avoir, pour fuir, écrasé les cadavres ensanglantés jonchant les routes.
Ils auront en effet suivi à la lettre les conseils de gouvernants qui expliquent que pour sa sécurité, il faut fuir ! Incapables de comprendre ce qui leur arrive, incapable de penser que durant des siècles, leurs aînés agissaient différemment pour le bien commun.
Vu comme cela, on se rend compte à quel point vouloir que les garçons jouent à la poupée et fassent le ménage n’est pas aussi anodin que cela en a l’air.
Apprendre à son fils à jouer à la poupée ou à la dinette aujourd’hui, lui expliquer que c’est normal de s’habiller en rose (et pourquoi pas mettre du rouge à lèvres ?) cela revient simplement à lui donner une capsule de cyanure à consommer plus tard .
Car il y a de par le monde, des masses d’individus, qui n’ont ni envie de jouer à la poupée avec nos filles, ni envie de jouer aux billes avec nos garçons. De la conquête dans l’histoire du monde …
Qu’on rassure ceux des nôtres à qui l’on a désappris la souffrance, avec le cyanure, ils n’auront pas le temps de se rendre compte qu’ils sont morts. Merci papa, merci maman, merci les féministes, merci Marlène, et tous(t.e.s.L.G.B.T.I.I.I inclusivité oblige c’est ça ?..) les autres !
Espérons que tout cela ne soit qu’un cauchemar et que les garçons de Bretagne, de France et d’Europe se réveillent enfin !
Julien Dir
BREIZ-INFO.COM
(merci à Dirk)