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  • Les Allemands vont-ils devoir retourner aux urnes ? Le scénario qui effraie Angela Merkel

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    Plus de six semaines après les législatives, les partis qui dominent le Bundestag ne parviennent toujours pas à former une coalition. Face à une CDU d'Angela Merkel affaiblie, les libéraux évoquent l'hypothèse d'un nouveau vote.

    Alors que les négociations entre les trois principaux partis allemands patinent, le chef du Parti libéral allemand (FDP) Christian Lindner pourrait faire trébucher Angela Merkel et brandit la menace de convoquer de nouvelles élections législatives. «Nous n'avons pas peur de nouvelles élections», a-t-il martelé dans le quotidien allemand Berliner Morgenpost le 5 novembre 2017.

    Sortie affaiblie des dernières élection législatives allemandes le 24 septembre, Angela Merkel a toutes les peines du monde à former une coalition politique, une «coalition jamaïcaine», selon le jargon politique allemand, en raison des couleurs des trois partis concernés qui rappelle le drapeau de la Jamaïque. Et la chancelière a dû revoir ses ambitions. Angela Merkel s'estimerait désormais heureuse de pouvoir former un gouvernement... avant Noël. Mais pour le FDP, plusieurs points d'achoppement demeurent avant de rejoindre les rangs de la coalition, dont la question qui a parcouru toute la campagne des législatives, celle de l'immigration. «Nous voulons une loi sur l'immigration [...] qui ouvre la porte aux [migrants] qualifiés et bien plus stricte avec les demandeurs d'asile», a ainsi déclaré Christian Lindner dans la même interview.

     

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  • Journal TVL du 6 novembre 2017

  • Vincennes (94) : un commando dévaste un restaurant japonais pendant le service

     

    23h17
    Si la piste de la vengeance se confirme, elle fait froid dans le dos. Un commando d’une quinzaine d’hommes a pris d’assaut jeudi soir un restaurant japonais de la rue Diderot, à Vincennes. Le fils du gérant a été tabassé, les cuisiniers gazés et le commerce dévasté. Un peu plus tôt dans la journée, c’est le livreur qui avait été attaqué. Pourquoi une vengeance ? Rien ne permet d’y répondre formellement. Mais selon nos informations, encore plus tôt dans la journée, l’employé de caisse, qui était semble-t-il soupçonné de voler de l’argent, a été remercié.

     

    Après le licenciement, le restaurant Sushi Thaï doit trouver un remplaçant en urgence. Le fils du gérant, qui assurait les livraisons, s’y colle. Et un nouveau livreur est appelé à la rescousse. C’est donc lui qui se rend rue Garibaldi à Montreuil (Seine-Saint-Denis) pour honorer une commande. Un guet-apens.

    Une vingtaine d’hommes encagoulés, gantés et vêtus de noir se jettent sur lui et lui portent des coups. L’un tient une matraque, un autre une bombe lacrymogène et un troisième une arme de poing. Ce dernier lui pose le canon sur le torse et lui ordonne de lui remettre son téléphone avant de disparaître avec le scooter. L’affaire aurait pu en rester là avec ce braquage d’un livreur. Mais il ne s’agit pas du fils du gérant. Le commando passe alors à l’action.

    « Il était 21 h 10 exactement, raconte un riverain. Je le sais parce que je regardais la Soupe aux choux. J’ai vu trois groupes d’hommes encagoulés et gantés. Ils étaient environ 12 ou 13. Ils sont entrés dans le restaurant et ont fait sortir les quatre clients. »

    Armés cette fois de matraques, d’une bombe lacrymogène et de marteaux, les malfrats se dirigent aussitôt vers le fils du gérant. Ils le gazent tout d’abord et le tabassent avec leurs poings et leurs matraques. Le jeune homme sera transporté à l’hôpital Bégin de Saint-Mandé. Il présente deux plaies importantes au niveau du crâne et un gros hématome à l’œil. Les deux cuisiniers seront eux aspergés de gaz lacrymogène.

    Les agresseurs ne prennent même pas la fuite. Ils saccagent consciencieusement le restaurant. Les quatre écrans plats sont cassés. Les vitrines du commerce sont brisées ou dégradées. A l’intérieur, le frigo est renversé, les canettes de soda ont roulé au sol. « Ils ont tout cassé », résume un policier. Ils ne laisseront sur place qu’un marteau. Les malfaiteurs en profitent aussi pour voler la recette de 800 €.

    Le Parisien

  • Etats-Unis : tuerie dans une église du Texas, au moins vingt morts

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    >Faits divers|Le Parisien|05 novembre 2017, 21h13|MAJ : 05 novembre 2017, 22h58|11

    Environ une cinquantaine de paroissiens assisteraient d’habitude à la messe de cette église. Max Massey/KSAT 12/via Reuters
     
     

    L’assaillant, identifié dans les médias comme un ancien membre de l’U.S. Air Force, est lui-même décédé. On ignore pour l’heure ses motivations.

    Un homme a ouvert le feu ce dimanche dans une église baptiste de Sutherland Springs, au sud-est de San Antonio, au Texas (Etats-Unis), où il aurait fait au moins vingt morts et environ autant de blessés, selon les médias américains.

    Albert Gamez Jr, un responsable du comté de Wilson où se trouve la First Baptist Church, confie avoir été informé de la présence de «27 morts et plus de vingt blessés», tout en précisant attendre une confirmation formelle de ce bilan.

     

     

     

    L’assaillant, lui-même décédé, aurait été identifié comme Devin Patrick Kellley, selon CBS News, qui cite des sources de la police fédérale. Cet ancien membre de l’U.S. Air Force, qui a servi de 2010 à 2014, serait passé devant une cour martiale pour cause d’indignité, selon la chaîne.

    Un témoin raconte qu’il serait entré dans le bâtiment aux alentours de 11h30 (18h30, heure française) et aurait alors ouvert le feu. Une vingtaine de détonations aurait retenti, affirme CNN.

     

     

     

    Parmi les victimes figurerait un enfant de deux ans, confie un témoin interrogé par Kens-TV. Le pasteur de l’église, exceptionnellement en Oklahoma ce weekend, a confié à ABC que sa fille de 14 ans avait également été abattue. Les journalistes sur place attestent de la présence de nombreux secours, de la police locale et du FBI. Dallas News ajoute qu’au moins six hélicoptères ont été utilisés pour évacuer les blessés, et News4SA que les démineurs seraient en chemin.

     

     

     

    La chaîne précise qu’une cinquantaine de personnes se rendraient habituellement à la messe de cette église, dans une ville d’à peine quelques centaines d’habitants.

     

     

     

    Sur Twitter, Donald Trump a affirmé « contrôler la situation depuis le Japon », où il est actuellement en visite diplomatique. « Que Dieu soit avec les gens de Surtherland Springs », ajoute-t-il. Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, et le sénateur du Texas, Ted Cruz, ont également présenté leurs condoléances sur le réseau social.

     

     

     

    May God be w/ the people of Sutherland Springs, Texas. The FBI & law enforcement are on the scene. I am monitoring the situation from Japan.

     

     

    Il y a un peu plus d'un mois les Etats-Unis ont connu la pire fusillade de leur histoire, avec 58 morts parmi le public d'un concert en plein air à Las Vegas, dans le Nevada.

    Le Parisien

  • Munich (All.) : deux « nafris » font des selfies avec un SDF endormi et essaient de lui mettre le feu

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    21h14

    Deux jeunes hommes ont failli mettre le feu à un SDF endormi. Ils ont allumé un sac en plastique se trouvant juste à côté de leur victime qui ne se doutait de rien […] Juste avant que les flammes n’atteignent les vêtements du sans-abri au risque de le blesser grièvement, un témoin s’est précipité et a écarté du pied le sac qui brûlait. Les deux coupables sont actuellement en fuite.
    […]

    Selon Michael Riehlein, porte-parole de la police, ils s’étaient d’abord amusés à photographier l’homme de 51 ans qui dormait et à prendre des « selfies » avec lui.
    […]

    La police espère l’aide de témoins et décrit ainsi les deux hommes : âgés de 18 à 20 ans, mesurant de 1,70m à 1,80m, de type arabe/nord-africain […]

    (Traduction Fdesouche)

    Süddeutsche Zeitung

    NdB: Les salopards! Mettre le feu à un pauvre homme... Ils ne méritent aucune pitié.

  • Marine Le Pen sur France 3 (05/11/2017) : Dimanche en politique

    https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2FMarineLePen%2Fvideos%2F1950213864994928

  • LES PÉDOPHILES AMÉRICAINS PORTERONT SUR LEUR PASSEPORT LA MENTION DE LEURS AGRESSIONS

     

    Aux Etats-Unis, les agresseurs sexuels de mineurs figurant sur les bases de données américaines auront désormais inscrite sur leur passeport une mention qui préviendra les autorités étrangères de leurs crimes passés. Cette loi a été élaborée afin d’éviter l’exploitation et le trafic d’enfants dans les pays étrangers victimes de tourisme sexuel par des pédophiles.

    Le département d’Etat américain a prévenu qu’il révoquerait les passeports existant et prierait les personnes condamnées pour atteinte ou agression sexuelle sur mineur de refaire leur passeport selon la nouvelle législation. Une notice imprimée à l’arrière de sa couverture signalera : «Le possesseur de ce passeport a été condamné pour une agression sexuelle envers un mineur et il est un délinquant sexuel au regard des lois américaines.»

    «International Megan Law» : la loi qui va tout changer pour les pédophiles voyageurs

     

    Cette mesure découle de l’«International Megan’s Law to Prevent Demand for Child Sex Trafficking», loi américaine pour empêcher le trafic d’enfants, qui a été signée le 8 février 2016 par le président Barack Obama. Elle prévoit également l’obligation pour les agresseurs sexuels de mineurs de se signaler aux autorités américaines 21 jours avant leur départ. 

     

     Après le vote de la loi «Megan» en 2016, les voix de certains groupes et associations de défense des citoyens s’étaient élevées contre cette disposition, évoquant la dangerosité de partager des informations avec des pays étrangers, dans lesquels la vie du délinquant sexuel pourrait être menacée.

    En outre, certains exigent d’établir une distinction entre un pédophile violent et une personne majeure ayant eu une relation sexuelle consentie avec un adolescent mineur proche de la majorité. Un cas avait fait date en 2015, celui d’un majeur de 19 ans qui avait séduit en ligne, puis eu des rapports sexuels consentis avec une jeune fille qui lui avait annoncé avoir 17 ans, alors qu’elle n’en avait que 14. Les parents de l’adolescente avaient porté plainte. Dans ce dernier cas, le jeune homme a été inscrit au fichier des agresseurs sexuels pour une durée de 25 ans.

     

    Source

  • Assises : esclave sexuelle à 13 ans, l'horreur à la barre

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    >Faits divers|Pascale égré|24 octobre 2017, 6h36|11

    Cour d’assises de Paris, hier. Elodie*, 23 ans, a décrit l’abomination 
    vécue depuis son arrivée en France en 2006, alors qu’elle était âgée de 12 ans.

    CHRISTELLE GOTH
     
     

    Enfermée et violée pendant des années par l'homme qu'elle croyait être son père, une jeune femme a eu la force de dénoncer celui qui est jugé depuis vendredi. Le verdict est attendu aujourd'hui.

    Lorsqu'elle se glisse dans la salle, ombre discrète aux longs cheveux noirs, pour rejoindre son avocat, Me Cédric Alépée, sur le banc de la partie civile, lui commence à grimacer et à se tortiller sur sa chaise roulante (il souffre de divers maux). Lorsqu'elle accroche sa frêle silhouette à la barre pour livrer son terrifiant récit, il écoute la tête en arrière, les yeux parfois clos. L'homme, placé hors du box, se retrouve tout près de ce corps menu qu'il est accusé d'avoir violé dès l'âge de 13 ans, enfermé durant des années, privé d'adolescence et d'école... Meurtri à vie. Et lorsqu'en larmes, tournée vers celui dont elle a longtemps cru qu'il était son père, Elodie*, 23 ans, lâche ce cri déchirant — « J'aurais voulu qu'il reconnaisse ! » —, il la fixe, impassible. La scène, glaçante, donne la nausée.

    Avortement forcé

    Bamo Malumba, 54 ans, jugé depuis vendredi devant la cour d'assises de Paris pour viols sur mineure par personne ayant autorité, nie tout en bloc. Au contraire, il salit. Entre le verbiage mensonger et complotiste de cet ancien gardien d'immeuble et la parole limpide de sa victime, le contraste est saisissant. Il révèle tout le courage de cette jeune femme au parcours chaotique, atteinte d'un très fort diabète, qui a fini par réussir à se confier à sa médecin à l'hôpital en mars 2014. « Oui, je dénonce toujours, confirme-t-elle. Ce que j'ai vécu, je n'avais pas la force d'en parler. J'avais peur. Un jour, j'ai craqué. » Elle ajoutera : « Je n'ai plus de mots pour exprimer ma douleur. J'essaie... »

     

    Née à Kinshasa, en République démocratique du Congo, élevée par une grand-mère, Elodie a 12 ans lorsqu'elle est envoyée en France, en 2006, sous une fausse identité. « Tu vas faire des études et rencontrer ton père », lui promet-on. Elle séjourne d'abord chez une tante, puis à l'hôpital lorsqu'on diagnostique sa maladie. « Une histoire avec un oncle », en fait une première tentative de viol, conduit un juge à la placer chez son soi-disant père. « Où dormiez-vous ? » demande la présidente. « Dans son lit. Au bout d'un mois, un jour, je me suis réveillée. Il était en train de me pénétrer. Il m'a expliqué que c'était normal, parce que tous les pères le faisaient avec leurs enfants. » Elle précise : « Après, c'est devenu une habitude. Il continuait toute la journée. Je disais pas non. » « Je ne sentais plus rien », a-t-elle confié depuis à une psychologue.

    A 14 ans, Elodie tombe enceinte. Le Cytotec qu'il lui a fourni, un médicament gastrique connu pour son usage abortif détourné, n'a pas suffi. « J'avais du mal à dormir, il m'a dit : Tiens, prends ça. Plus tard, il m'a dit que c'était pour enlever les bébés. » A l'hôpital où il la conduit pour avorter, il l'oblige à désigner « un ami », puis à accepter une contraception.

    Sex-toys et visionnage de films pornos

    A 16 ans, entre foyers, séjours à l'hôpital, errance dans des hôtels et consommation du cannabis qu'il lui procure, son isolement s'aggrave. Il lui impose sex-toys et visionnage de films pornos, s'en inspire, la filme durant les rapports, menace ses petits copains et la menace elle... Placée, malgré tout elle fugue et revient : « Je ne savais pas où aller. Je ne voulais pas devenir l'enfant de l'Etat qui n'a pas de famille. » « Elle subit une vie de petite femme enfermée. Une soumission absolue, corps et âme, à l'homme qui lui a été désigné comme père », décryptera un psychiatre.

    Des analyses réalisées durant l'instruction ont permis de prouver la paternité de Bamo Malumba lors de l'IVG de 2009. Lui ose, face à la cour : « Sachez que la science ne sait pas tout. » Il invoque « sorcières » et ce drôle de label de « mari de nuit ». Il affirme : « Chez nous, une femme peut utiliser un homme sans qu'il le sache ! » Plus tôt, quand l'avocat général lui a demandé ce qu'elle attendait du procès, Elodie a imploré : « Que je sois reconnue en tant que victime. Parce que ce n'est pas de ma faute ! Maintenant, j'ai peur qu'on ne me croie pas... »

    « Moi, je vous crois ! » lui a répondu, solennel, le magistrat. Le verdict est attendu aujourd'hui. Bamo Malumba encourt vingt ans de réclusion.

     

    * Le prénom a été changé.

    Le Parisien

  • ROBERT MÉNARD : « JE SUIS CONFONDU PAR L’ARCHAÏSME DE NOS DROITES »

     

    Si nous voulons gagner, nous avons le devoir de développer une vision alternative, cohérente, pragmatique, audacieuse.

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste. Fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     
     
     
     

    Si l’on vous entend bien, vous voulez construire, avec Les amoureux de la France, une autre droite…

    Absolument. Une droite girondine. Une droite à la fois fière et ouverte aux autres. Une droite qui s’émeut aux vers d’Edmond Rostand mais sait être pragmatique, de bon sens. Une droite soucieuse du seul bien commun. Une droite qui refuse de se laisser enfermer dans une image ringarde qui sentirait le formol et la naphtaline. Une droite audacieuse dans les questions qu’elle pose et qu’elle se pose, iconoclaste parce que se moquant des diktats des uns et des autres, des médias et de ses pairs. Une droite qui refuse les facilités, les propos de campagne, les promesses qu’elle sait intenables. Une droite de liberté, d’exigence démocratique, profondément européenne. Pour cela, il nous faut regrouper tous ceux qui sont prêts à cette « révolution culturelle » et ils n’étaient pas tous là lors du lancement de notre plateforme, loin s’en faut…

    On vous sent de plus en plus critique à l’égard des prises de position de ceux qui sont pourtant vos partenaires politiques…

    Je suis confondu par l’archaïsme de nos droites. Je constate, comme chacun, d’un côté, la révolution technologique et les avancées de la science et, de l’autre, des politiques quasi muets sur les conséquences de ces changements radicaux. Quelques exemples. Aujourd’hui, une poignée d’entreprises, toutes nord-américaines, peuvent s’immiscer dans notre vie – le mot est d’ailleurs mal choisi puisque c’est volontairement que nous leur confions notre intimité – sans que nous nous interrogions vraiment sur cette nouvelle dépendance. Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft sont le Big Brother du 1984 de George Orwell version cool, sympathique, souriant. Comment répondons-nous à ce défi, à cette ombre portée sur nos libertés ? Je n’en sais rien mais, plus grave, je ne sais pas vers qui me tourner pour m’aider à y voir plus clair. Dans un tout autre domaine, l’homme génétiquement modifié qu’on nous annonce pour demain, le transhumanisme, ne vont pas sans poser des questions, c’est le moins qu’on puisse dire. Pas un mot, si ce n’est des banalités, dans les programmes des politiques les plus proches de nous. Comme s’ils ne pensaient qu’avec des concepts du siècle passé, autant dire du Moyen Âge à la vitesse des changements à l’œuvre…

    Mais il y a d’autres priorités ! Ces questions ne sont pas le quotidien de vos électeurs…

    Vous vous trompez. Si, en effet, on ne s’interroge pas, chaque matin en se levant, sur sa dépendance à l’égard des géants de la Silicon Valley, beaucoup de parents s’inquiètent en revanche du devenir de leurs enfants biberonnés aux écrans de toutes sortes. De même, je ne crois pas être le seul à m’effrayer de ce que nous mettons dans nos assiettes. Des produits dont, en vérité, nous ne savons pas vraiment ce qu’ils contiennent, comment ils ont été faits, par qui ils ont été fabriqués. Ce qui, me semble-t-il, n’est pas étranger à la montée en puissance et en sympathie de mouvements comme L214 ou le véganisme. Tout cela pour vous dire que nous ne pouvons nous contenter du prêt-à-penser qui nous tient lieu de viatique pour, croyons-nous, changer le monde.

     

    Encore une fois, vous n’avez pas le sentiment d’être à mille lieux des préoccupations de nos concitoyens et, notamment, des plus humbles, ceux-là même qui vous font confiance ?

     

    Si nous voulons gagner – et ne pas nous contenter de gérer notre capital électoral comme une sorte de magot… – nous avons le devoir de développer une vision alternative, cohérente, pragmatique, audacieuse. Il nous faut gagner la confiance de nouveaux électeurs qui ne se retrouvent pas dans nos vieux discours, dans nos vieux mots, dans nos vielles habitudes de penser. Prenons une question centrale : celle de l’identité. Si elle est menacée par les flux migratoires – ce que nous ne cessons de répéter avec raison – elle l’est tout autant par des technologies, des modes qui, sous couvert de rendre nos vies plus agréables, font de nous les dévots de la première des religions : le consumérisme. On réussit à nous faire croire que nous voulons ce qu’on veut nous vendre. Une nouvelle forme d’aliénation que le camarade Karl Marx n’aurait osé imaginer !

    Si vous vous mettez à citer Marx…

    Je veux piocher dans les textes de tous ceux qui se sont employés à questionner le monde. Je ne veux passer à côté d’aucune « arme intellectuelle » qui, je l’espère, nous permettra de changer l’existence de mes concitoyens. Or, j’ai la conviction que par habitude, par facilité, par paresse – je ne veux pas imaginer que ce soit également par incompétence – nous nous contentons trop souvent de répéter comme des perroquets les mantras, les tables de la loi d’une vieille droite, coincée entre Maurras, pour les plus radicaux, et l’art de l’auto-flagellation pour les moins assurés. Quitte à me répéter : construisons une droite qui fasse l’éloge du temps long et reprenne le futur en main. Une droite d’avant-garde qui rejette les vieilles lunes conservatrices. Une droite qui ne se contente pas de promettre plus de croissance, moins de chômage et d’insécurité mais une droite d’intelligence, de générosité, de compassion et de panache ! Pas seulement moins d’impôts, moins d’assistanat, moins de bureaucratie, mais plus de vie, plus d’envie, plus de mémoire aussi. Notre politique doit redonner du souffle, proposer un horizon enthousiasmant. Il faut tout remettre à plat.

    Mais comment ?

    En partant de notre plateforme « Les amoureux de la France » pour construire ce programme qui nous fait toujours défaut. Et puis, il faudra trouver celui ou celle qui l’incarnera, qui saura nous faire gagner. Est-ce un responsable politique aujourd’hui identifié ? Ou, au contraire, quelqu’un de nouveau ? Je n’en sais rien. Mais, en revanche, on peut, d’ores et déjà, dessiner une début de portrait robot : à l’écoute, avenant, attentif, un cœur à l’unisson de la France, de conviction et de tempérament. Ça élimine pas mal de monde…

    BV

  • Pédophilie au Maroc: les révélatios-choc d'une ex-amant de Pierre Bergé et de Saint-Laurent

    https://www.valeursactuelles.com/societe/pedophilie-au-maroc-les-revelations-choc-dun-ex-amant-de-berge-et-saint-laurent-90361

    NdB: C'est l'immonde Pierre Bergé qui demandait qu'on supprime toutes les fêtes chrétiennes! 

  • Montpellier : un étudiant de 20 ans poignardé à mort par un Algérien qui sortait de prison pour meurtre (MàJ) Par Koba le 04/11/2017

     

    13h57

    04/11/17

    « C’est terrible et c’est en même temps complètement absurde. » Quelques heures après la mort jeudi soir, en plein cœur de l’Écusson, d’un étudiant de 20 ans, les enquêteurs semblaient vendredi encore abasourdis : d’un côté, un mobile dérisoire, et de l’autre, un geste d’une violence extrême, aux conséquences fatales.

    Le ton est monté entre Joachim, étudiant en géographie, et un Algérien de 29 ans.

    Midi Libre


    03/11/17

    Le meurtrier présumé de l’étudiant de 20 ans, poignardé à mort jeudi vers 22h dans la rue Saint-Guilhem, devant la supérette située à l’angle de la rue de la Valfère, dans l’Écusson à Montpellier est âgé de 29 ans. Il n’est pas né en France.

    Formellement identifié dans la nuit grâce à la caméra de vidéosurveillance de la supérette et au fichier des personnes déjà condamnées, il est déjà connu de la justice, notamment pour homicide volontaire.

    En effet, il a été condamné en 2013 à dix ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Hauts-de-Seine et il avait été récemment libéré après avoir purgé une partie de sa peine.Il était venu s’installer à Montpellier, dans un appartement du Plan Cabanes, proche du cours Gambetta, où il a été interpellé ce vendredi à l’aube.

    Outre sa condamnation pour meurtre, son casier judiciaire en mentionne d’autres, très nombreuses et notamment des délits de violences volontaires avec arme sur la voie publique.

    e-metropolitain.fr

     Merci à sterling roswell

    NdB: ... et il été libéré avant 2023! Qui peut comprendre, sinon les complices qui paradent dans les tribunaux d'une justice pourrie ?

  • Holocauste : la Pologne donne une gifle à Israël

     

    Le Parlement polonais a approuvé un projet de loi qui interdit aux juifs qui prétendent être les survivants de l’Holocauste et à leurs familles de récupérer leurs biens confisqués pendant la Seconde Guerre mondiale. La décision du Parlement polonais a provoqué la colère de Tel-Aviv et de Washington.

    Selon la loi ratifiée par les parlementaires polonais, la législation exigeait que les prétendants « soient citoyens de la Pologne d’aujourd’hui ». En outre, il faudrait qu’ils aient été « résidents en Pologne au moment où ces biens ont été nationalisés par le [gouvernement de l’époque] ».

    Ainsi, ces remarques ont frustré la grande majorité des prétendants de l’Holocauste et leurs familles de demander à la Pologne d’indemniser, car ils ont quitté la Pologne pendant la guerre et vivent maintenant hors de la Pologne.

    Le Parlement annonce ne jamais permettre aux juifs installés hors de la Pologne de jouir des mêmes droits que d’autres citoyens du pays.

    « Le spectre de la crise plane sur les relations diplomatiques Pologne/Israël dans ce contexte », écrit Yediot Aharonot.

    Dans une démarche inhabituelle, Israël a accusé la Pologne de « discriminer les survivants de l’Holocauste » en ratifiant au sein de son Parlement une législation sur la restitution dont la langue exclut de nombreux bénéficiaires juifs potentiels.

  • PEYNET

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  • JT TVL 03 novembre 2017

  • Argenteuil : “Mamie Tricot”, 73 ans, violemment agressée à coups de balai

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    Par 
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    / Vendredi 3 novembre 2017 à 10:463
    Photo © XAVIER VILA/SIPA
     

    Agression. Argenteuil est sous le choc. Sa “Mamie Tricot”, du nom de cette retraitée de 73 ans qui, pour joindre les deux bouts malgré sa petite retraite, vend ses tricots dans la rue, a été violemment agressée dans la rue.

    Nos confrères du Parisien rapportent cette terrible nouvelle. “Elle est assise là contre le mur du magasin, sur sa chaise, avec son autoradio, sa poussette et ses cabas plein de pelotes de laine” narre le quotidien. Elle, c'est une retraitée de 73 ans, surnommée “Mamie Tricot”. Elle vend ses créations, car elle n'arrive pas à  ivre avec sa petite retraite. Mais un matin, rien ne se passe comme prévu pour Mamie Tricot. “Un homme l’a agressée à coups de balai. Sans raison particulière, l’homme lui a asséné deux coups, un à l’oreille et à l’autre à l’épaule” explique le Parisien, qui révèle que la police municipale est très vite arrivée sur les lieux.

     
     

    “La mamie a été emmenée au poste pour déposer une plainte avant d’être conduite à l’unité médico-judiciaire” explique également le journal. L'agresseur a été interné en hôpital psychiatrique.

    Elle n'a que deux euros pour vivre

    L'article précise également que Mamie Tricot a de très faibles revenus, d'où l'obligation pour elle de vendre ses tricots. “Après avoir payé toutes ses factures, le loyer, la mutuelle, il lui reste à peine plus de 2 € pour vivre”.

     

    Valeurs actuelles

    NdB: La pauvre, elle ne faisait aucun mal. C'est horrible de lire  ce fait-divers.  Voilà la France en 2017, la France si généreuse envers les immigrés qui lui crachent dessus...

    Et maintenant, que va devenir Mamie Tricot? 

     

     

  • Culture Allemande : « Hansel et Gretel » à l’Opéra de Stuttgart

     

    15h04

    Hansel et Gretel est un conte populaire figurant parmi ceux recueillis par les frères Grimm dans le premier volume des Contes de l’enfance et du foyer (Kinder- und Hausmärchen, 1812, nº KHM 15).

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    (…) Oper Stuttgart

    (Merci à Remigration)

  • Dustin Hoffman accusé à son tour de harcèlement sexuel par une ancienne stagiaire

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    Dustin Hoffman. hiMedia  / 
     

    Anna Graham Hunter avait 17 ans au moment des faits. Mercredi 1er novembre, cette écrivaine a publié une tribune dans le Hollywood Reporter. Elle y raconte comment en 1985 son expérience sur le tournage du film « Mort d’un commis voyageur », de Volker Schöndorff, aux côtés de Dustin Hoffman, s’est transformée en véritable cauchemar. L’acteur américain qui avait à l’époque 48 ans ne s'est pas gêné pour la harceler sexuellement. Son récit est précis et alimenté par des extraits de lettres qu’elle envoyait alors à sa sœur.

     
     

    Depuis que le scandale Weinstein a éclaté en octobre dernier, de nombreuses femmes osent enfin prendre la parole pour dénoncer leurs agresseurs. Cette fois-ci, c’est Dustin Hoffman, âgé de 80 ans aujourd’hui, qui doit répondre de ses actes. Anna Graham Hunter l’accuse en effet de harcèlement sexuel. En dernière année au lycée, elle avait été embauchée en 1985 comme assistante de production stagiaire et devait veiller au confort de la star. Sa première rencontre avec l’acteur a commencé ainsi : « Il m’a demandé de lui faire un massage des pieds dès mon premier jour sur le plateau, ce que j’ai fait ». Elle raconte ensuite comment toute l’équipe du film riait aux blagues salaces de Dustin Hoffman. « Il flirtait ouvertement, attrapait mes fesses et parlait de sexe devant et avec moi. Un matin je suis entrée dans son dressing room pour prendre sa commande pour le petit-déjeuner : il m’a regardée et a souri de toutes ses dents, en prenant son temps. Il a dit fièrement : "Je voudrais un œuf dur…et un clitoris à la coque". Les gens qui l’entouraient ont éclaté de rire. Je suis partie, sans voix. Puis je suis allée dans la salle de bains et j’ai pleuré ».

    Une autre stagiaire harcelée

    Anna Graham Hunter explique que cette situation a duré cinq longues semaines. Elle se rappelle ainsi d’un certain lundi où l’acteur lui avait demandé : « Alors, tu as fait l’amour ce week-end, comme je te l’avais dit ? ». Malgré sa réponse négative, Dustin Hoffman avait lourdement insisté. La jeune femme n’était visiblement pas la seule à recevoir des mains aux fesses. Une autre stagiaire, prénommée Élizabeth, a elle aussi subi le comportement inapproprié de l’interprète de « Rain Man ». Alors qu’elle lui demandait ce qu’il voulait pour le petit-déjeuner, il avait répondu : « Ton sein gauche ». « Tu es dégoûtant », lui avait-elle rétorqué. « Ok, ton sein droit alors », avait-il déclaré.

    L’équipe fermait les yeux

    Quand Anna avait osé se plaindre de cette attitude déplacée à d’autres membres du personnel, on lui avait simplement répondu « que pour le bien de la production, il fallait sacrifier certaines valeurs et juste laisser couler ». Et si l’acteur lui mettait la main aux fesses, elle n’avait qu’à « avoir le sens de l’humour et ricaner ou lui donner une petite tape sur la main ou un truc dans le genre ».

    La réaction de Dustin Hoffman

    Contacté par le Hollywood Reporter, Dustin Hoffman a réagi à ces accusations. Il n’a pas nié les faits et s’est excusé. « J’éprouve le plus grand respect pour les femmes et je me sens mal à l’idée d’avoir pu faire quelque chose qui l’a mise dans une situation inconfortable. Je suis désolé. Cela ne reflète pas qui je suis ».

  • Pourquoi il y aura un second procès Merah

     

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    DÉCRYPTAGE - La justice a condamné jeudi soir Abdelkader Merah et Fettah Malki à 20 et 14 ans de prison. Une décision contestée par le parquet général qui a décidé de faire appel. Selon lui, la cour n'est pas allée assez loin.

    Personne ne semble satisfait du verdict rendu jeudi soir par la cour d'assises spéciale de Paris à l'issue du procès Merah. Moins de 24 heures après la décision des juges de condamner Abdelkader Merah à 20 ans de prison et Fettah Malki à 14 ans, le parquet général a décidé de faire appel de leur condamnation. Pour rappel, l'avocate générale Naïma Rudloff avait requis lundi à l'encontre du frère de Mohamed Merah la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 22 ans de sûreté et 20 ans pour le second accusé.

    » LIRE AUSSI - Le dossier du procès d'Abdelkader Merah

     

    Le parquet général a fait connaître sa décision dans un communiqué envoyé vendredi matin, estimant que les cinq magistrats professionnels qui composaient le jury n'avaient «pas tiré toutes les conséquences juridiques des faits qui lui étaient soumis». Le ministère public regrette notamment qu'ils aient acquitté Abdelkader Merah pour «complicité d'assassinats». Ce dernier a, en revanche, était condamné pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. L'appel porte également sur la peine infligée à Fettah Malki. Le ministère public a tout intérêt à le faire: s'il ne faisait pas appel, les peines infligées aux condamnés ne pourraient être alourdies lors d'un second procès.

    Manque de preuves

    Le verdict rendu par les juges apparait comme un compromis. En étant condamné à 20 ans de prison, Abdelkader Merah a été condamné à la peine maximum pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Par cette condamnation, la cour a voulu sanctionner le militant radical qui était en lien avec son frère au moment des faits et qui a participé au vol du scooter, utilisé par Mohamed Merah lors de ses crimes. Une décision qui va dans le sens de l'avocate générale et des parties civiles. Sauf qu'ils n'ont pas totalement suivi les réquisitions du parquet: les magistrats ont en effet estimé que les preuves manquaient pour reconnaitre Abdelkader Merah coupable de complicité d'assassinats. De quoi, cette fois-ci, donner partiellement raison à la défense, qui en avait fait un des axes majeurs de son argumentaire. Elle avait même plaidé l'acquittement.

    Le second accusé, Fettah Malki, a également été reconnu coupable d'association de malfaiteurs terroriste pour avoir fourni un gilet pare-balles et une arme à Mohamed Merah. Il a été condamné à 14 ans alors qu'il en risquait 20. Dans son cas, les juges ont écouté les arguments de l'avocate générale, sans pour autant suivre à la lettre ses réquisitions. Ils ont en effet considéré que Fettah Malki ne pouvait ignorer la radicalisation de Mohamed Merah et ses motivations terroristes. Un coup dur pour ses avocats qui ont inlassablement tenté de démontrer que leur client n'avait rien à avoir avec le terrorisme.

    «Le mal absolu»

    C'est donc sans surprise que Fettah Malki a annoncé sa volonté de faire appel. «Après, nous verrons bien, à la réflexion, si cet appel doit être maintenu mais, pour l'instant, il a décidé de faire appel», a expliqué l'un de ses avocats Me Etelin. Fettah Malki s'est présenté comme un délinquant qui jouait le rôle de «commerçant» du quartier, insensible aux questions de religion. «On avait pensé qu'on pourrait faire comprendre à la cour qu'elle pourrait retenir une association de malfaiteurs, mais simplement de droit commun, parce que les relations entre Mohamed Merah et Fettah Malki sont des relations de délinquants de quartier». L'avocat estime qu'avec cette décision, «tous ceux qui ont eu des rapports avec les djihadistes pourront être condamnés».

    Tout comme ses confrères de la défense, Me Dupond-Moretti, avocat d'Abdelkader Merah, a jugé sur France Inter que la peine infligée à son client était «lourde» et qu'elle était «intrinsèquement discutable». Il met notamment en cause l'association de malfaiteurs, la qualifiant d'«infraction fourre-tout»: «On y a mis son appartenance à une mouvance islamiste, et c'est à peu près tout ce que l'on peut y mettre». Finalement, «la question est: est-ce qu'un type qui incarne le mal absolu par les temps qui courent peut se voir condamné au bénéfice du doute?», demande-t-il, n'excluant pas de faire appel du jugement. «Il faut que je voie avec Abdelkader Merah, qu'on en discute (…) Je pense qu'on s'oriente vers un deuxième procès», a-t-il précisé.

    Tous ont 10 jours pour faire appel à partir du moment où le jugement a été prononcé. Les parties civiles, qui représentent les victimes, ne peuvent pas faire appel.