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  • Sébastien Chenu, porte-parole du FN, face à Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/sebastien-chenu-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-1000905.html

  • A Annecy, le migrant mineur isolé a touché 150 000 euros d’aide en 4 ans : il avait en réalité 26 ans

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    15h50
     

    (…) Il a, pendant quatre ans et demi, vécu sur le territoire français en tant que “mineur isolé”, pris en charge à ce titre par différentes instances, dont le conseil départemental.

    Des examens osseux et dentaires attestant de son âge

    Il avait à l’époque fourni un extrait d’acte de naissance attestant de son âge. Sa majorité approchant, il se rend en préfecture pour demander une carte de séjour. Selon le protocole, ses empreintes sont entrées dans le fichier. Le hic, c’est que sa fiche est ressortie avec un tout autre âge. L’homme aurait en fait 26 ans. Sur décision de la procureure de la République, il est envoyé à Lyon pour subir une série d’examens osseux, de la mâchoire et de la clavicule, mais également dentaires. Les résultats ont conforté son âge adulte. Il est donc poursuivi par la justice pour faux document et escroquerie. D’après les premières estimations, il aurait touché autour de 150 000 euros d’aides depuis quatre ans et demi. (…)

     

  • Ces Allemands qui s’installent en Hongrie car leur pays "accueille trop de migrants"

     

    Depuis 2015, l’Allemagne a accueilli près d’un million et demi de demandeurs d’asile, et a dépensé 20 millions (20 milliards ! – NDLR E&R) d’euros pour héberger et former les réfugiés. Au grand dam de certains compatriotes d’Angela Merkel, qui trouvent que leur gouvernement « ferait mieux d’augmenter les retraites au lieu d’aider les migrants ». Exaspérés, ils déménagent donc... en Hongrie, et notamment autour du lac Balaton, une région touristique et viticole à deux heures de route de Budapest.

     

     

     

     

    On connaît la politique très hostile aux réfugiés du Premier ministre nationaliste Viktor Orban, qui a notamment fait construire une double-clôture à la frontière et rendu particulièrement difficile l’obtention du droit d’asile. « La Hongrie est l’une des dernières régions d’Europe sans migrants », se félicite-t-il. Et c’est justement ce qui attire ces immigrants d’un nouveau genre.

     

    Un pays "sans migrants" pour leurs vieux jours

    Ce sont surtout des actifs proches de la retraite, ou des retraités. Ils sont ouvriers qualifiés ou cadres supérieurs. Parmi ces derniers, Karl Ruppert est un retraité originaire de Rosenheim, en Bavière. Avec sa femme, ils viennent d’acheter une belle maison avec jardin et vue sur le lac Balaton. Ancien responsable de la communication chez un fabricant de tabac, Karl explique pourquoi il a choisi de vivre en Hongrie :

    « Viktor Orban n’est peut-être pas un pur démocrate, mais pour moi ce n’est pas le plus important. Orban empêche son pays d’être submergé par les réfugiés, et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles on s’installe ici. »

    Lire l’article entier sur francetvinfo.fr

     

    NDLR E&R  : les frais engagés pour les réfugiés se montent à 20 milliards et non pas 20 millions.

     
  • Réaction de Wallerand de Saint-Just à la levée de l'immunité de Marine Le Pen

    http://www.frontnational.com/videos/reaction-de-wallerand-de-saint-just-a-la-levee-de-limmunite-de-marine-le-pen/

    Quel scandale!

  • Nouvelle couv' de PRESENT

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  • Charte des Patriotes : Florian Philippot révèle ses contradictions, par Marc Limeuil

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    08/11/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Publiée hier, la Charte des Patriotes, le parti créé par Florian Philippot, révèle au grand jour les contradictions de celui qui n’a rien de la belle mécanique intellectuelle qui manquerait au Front national. Florian Philippot fait clairement prévaloir ses idées progressistes sur la souveraineté populaire.

    Outre que, dans cette Charte qui comprend vingt-six points, la question de l’immigration, réduite aux seuls clandestins, n’arrive qu’en vingt-et-unième position – alors que le « bien-être » des animaux, ces « êtres sensibles », est le point n° 6… –, Florian Philippot affirme dans le même article 23, d’un côté que « le gouvernement doit se concentrer sur les grands problèmes de la nation et laisser à la société le soin de définir son modèle de société, par des outils comme le référendum d’initiative populaire », et de l’autre, à la ligne suivante, que « Les Patriotes respectent les derniers choix de société comme le mariage pour tous », défini comme ressortant de « l’épanouissement de chacun dans un respect scrupuleux des libertés individuelles ».

    Or, rappelons-le à l’auteur de cette « charte » qui ferait rigoler n’importe quel jury de son cher Sciences Po, ce n’est pas « la société » qui a décidé d’imposer le « mariage pour tous », mais le gouvernement de l’époque, et celui-ci l’a fait contre l’avis de « la société », qui avait justement réclamé un référendum sur le sujet par le dépôt, au Conseil économique social et environnemental (Cese) d’une pétition signée par près de 700 000 personnes !

    Celle-ci avait été jugée irrecevable, sans doute au grand soulagement de Florian Philippot, qui sera aimable d’indiquer, dans une prochaine mouture de sa « charte », quels sujets peuvent être soumis à référendum… et quels sujets ne doivent surtout pas l’être.

    Marc Limeuil

  • VIDEO - Trump vs Soros

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  • Courage: le Goncourt et le Renaudot dénoncent le nazisme 72 ans après sa chute

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    Beaucoup plus fort que Romain Gary ! Le grand écrivain a obtenu pour la seconde fois le prix Goncourt en 1975 pour La vie devant soi en attribuant la paternité du livre à son neveu, pourvu du pseudonyme d’Emil Ajar. Le 6 novembre 2017, l’avocat américain Mike Godwin, inventeur de la loi du même nom, a décroché les deux plus prestigieux prix littéraires français, le prix Goncourt et le prix Renaudot. Pour le premier, il s’est affublé du nom et de la personne d’un littérateur peu connu, Eric Vuillard à qui il a fait endosser L’Ordre du Jour. Pour le second, c’est Olivier Guez qui aurait écrit La disparition de Josef Mengele. Le premier livre parle de la collusion d’Hitler avec le grand capitalisme allemand et le second de la fuite et de la vie heureuse en Amérique du sud du médecin en chef d’Auschwitz. Il reste à espérer que, quand la supercherie sera découverte, ces deux marionnettes ne tomberont pas dans la même dépression interminable que Paul Pavlowitch, le malheureux neveu manipulé par Gary.

    La critique n’est pas de notre temps

    Quel courage, tout de même, dénoncer la montée en puissance du nazisme et ses séquelles plus de 70 ans après la chute du IIIème Reich ! Un courage qui a été salué par les jurys, le bon Monsieur Pivot en tête, comme par les journalistes.

     

    Cohérence des prix Goncourt et Renaudot. L'Ordre du jour, la montée du nazisme, La Disparition de Josef Menguele, son agonie planquée.

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    Non, non, nous ne voulons pas de romanciers qui parlent des brûlants problèmes d’aujourd’hui. Quelle mouche a piqué Alain Finkielkraut d’intituler une de ses récentes émissions de Répliques, A la Recherche du temps présent ? Franchement, ce Patrice Jean qui parle dans L’Homme surnuméraire de l’angoisse des mâles d’aujourd’hui déclarés inutiles et nuisibles à la société, quel intérêt ? Et ce Benoît Duteurtre qui nous bassine avec la bétonnisation du monde, l’enlaidissement de Paris par Hidalgo et le tourisme de masse dans Pourquoi je préfère rester chez moi, en voilà un raconteur de futilités ! Ces pauvres garçons répètent à l’infini le modèle de Balzac, qui termine son œuvre par des livres dont l’action lui est quasiment contemporaine comme La cousine Bette, ou de Proust qui à la fin de La Recherche du Temps perdu décrit en direct la société de l’immédiate après-guerre de 14-18, juste avant sa propre mort.

    Il est temps de dénoncer les guerres préhistoriques

    Non, non, les jurés Goncourt et les jurés Renaudot ont totalement raison, nous voulons des romans qui évacuent les douloureux problèmes de la société française d’aujourd’hui, qui ne risquent pas de la cliver, de « dresser les Français les uns contre les autres ». Vous voyez le mauvais effet d’un romancier qui écrirait le monologue intérieur d’une mère de djihadiste parti en Syrie, et qui attendrait interminablement à sa fenêtre de banlieue le retour de l’enfant guerrier ou d’un de ses copains ? Et l’effet désastreux du journal d’un vieil homme de Villejuif qui verrait son entourage et sa ville s’africaniser peu à peu inexorablement ? On ne monte plus jamais Le Rhinocéros d’Ionesco et on a bien raison. De mauvais esprits pourraient croire que cette pièce nauséabonde, où tout l’entourage de Béranger se transforme irrésistiblement en rhinocéros sans que personne y trouve à redire, est une métaphore à peine voilée du « Grand Remplacement » qui galope à travers les villes et campagnes de France.

    Bref, nous voulons des romans qui soient pour le Bien et contre le Mal. Nous exigeons de bons gros romans historiques qui dénoncent avec vigueur la croisade contre les Albigeois dits aussi Cathares, qui traînent dans la boue son ignoble chef Simon de Montfort, ou bien un ouvrage vigoureux qui s’en prendrait au génocide commis par Charlemagne contre les Saxons. Songez que les survivants prisonniers étaient conduits à Verdun, entièrement dépouillés de leur virilité et vendus aux harems d’Afrique du Nord. Voilà un scandale qui a trop été occulté. Et pour les grands prix littéraires de l’an prochain, je suggère qu’on se penche sur les guerres préhistoriques, longtemps niées et pourtant pleines de massacres sur lesquels pourra s’épancher le goût contemporain du pleurnichage à motifs antédiluviens. Certes Ao, le dernier Néandertal de Marc Klapcynski, remonte à 2010 et il est un peu tard pour le couronner du Goncourt ou du Renaudot. Mais d’autres thèmes, passionnants et matières à scandale, peuvent inspirer des romans dans l’année qui vient. Qui racontera le massacre d’homo florensis, ce pauvre hobbit qui mesurait un mètre et fut génocidé par Sapiens à son arrivée en Indonésie ? Ou bien l’extermination de ces gentils chameaux géants qui vivaient en Amérique jusqu’à l’arrivée de ce même Sapiens ? Décidément une brute très épaisse, et pourtant notre ancêtre.

    CAUSEUR

  • JT TVL 08 NOVEMBRE

  • Emploi fictif d’Anne Hidalgo : nouvelles accusations du Canard Enchaîné

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    0h04

    L’étau se resserre autour de la maire de Paris. Dans son édition de mercredi, le Canard Enchaîné vient étayer nos révélations du 25 octobre sur l’emploi (non) occupé d’Anne Hidalgo entre 2000 et 2002, de nouvelles preuves à l’appui.

     

    La maire de Paris finira-t-elle comme François Fillon ? D’après les calculs du Canard Enchaîné en kiosque demain, Anne Hidalgo a perçu indûment 116.000 euros entre 2001 et 2002. Ce n’est certes pas autant que les 900.000 euros qu’avait empochés l’épouse de l’ancien candidat des Républicains dans des conditions suspectes. Mais ces nouvelles accusations viennent sérieusement alourdir le dossier de l’emploi fictif de la maire de Paris, que nous avons ouvert par nos révélations de fin octobre.

    Pour rappel, Capital a dévoilé, bulletins de paye à l’appui, qu’Anne Hidalgo avait perçu un salaire mensuel de 3.040 euros (+ 1.000 à 2.000 euros de primes) de la part du ministère du travail jusqu’en janvier 2003, alors qu’elle était devenue en mars 2001 première adjointe au maire de Paris, Bertrand Delanoë, et pour cela rémunérée 5.575 euros puis 6.424 euros par mois. Problème : son job d’élue à temps plein ne lui laissait pas le temps d’assumer une activité annexe. Plusieurs de nos sources ont confirmé que l’emploi d’Hidalgo était imaginaire.

    Dans le détail, Anne Hidalgo, inspectrice du travail en chef de son état, était détachée par le Ministère du Travail depuis novembre 2000 au cabinet de Marylise Lebranchu, ministre de la Justice du gouvernement Jospin. Très vite, comme nous l’avons raconté, elle s’est surtout consacrée à la campagne municipale de Bertrand Delanoë. Le Canard de ce mercredi révèle qu’elle a pourtant touché durant cette période deux primes de cabinet – pour un montant total de 3.500 euros par mois – en plus de sa rémunération du ministère du travail, alors qu’elle n’effectuait selon nos confrères, qu’une “partie minime de cette fonction”.[…]

    A l’appui de ces nouvelles révélations du Canard Enchaîné, deux questions se posent : pourquoi Anne Hidalgo a-t-elle attendu août 2002 pour réclamer un détachement qu’elle aurait dû exiger dès l’automne 2000, ou au moins en mars 2001 ? Et ne devrait-elle pas désormais rembourser les rémunérations perçues jusqu’en juin 2002 ?

    Capital

  • Université de Hambourg : de nombreuses plaintes au sujet d’étudiants musulmans qui prient bruyamment

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    22h29

    Un nouveau code de conduite religieuse a été imposé par l’université de Hambourg à ses étudiants après de nombreuses plaintes au sujet d’étudiants musulmans qui priaient bruyamment ou se pressaient dans les sanitaires pour se laver les pieds.

     

    Un nouveau code de conduite religieuse a été mis en place par un philosophe et un groupe d’étudiants en religion à l’université de Hambourg, ville du nord de l’Allemagne, selon les informations de Inside Higher Ed (IHE). Ses règles de bonne conduite ont commencé à être appliquées à la mi-octobre. Selon le président de l’université, Dieter Lenzen, le code a été mis en place après des plaintes reçues contre des étudiants en religion «qui dérangeaient la vie de la faculté». Il ajoute que des salafistes extérieurs à l’université avaient fait pression sur les étudiantes musulmanes pour qu’elles portent des tenues islamiques plus traditionnelles, y compris le voile intégral.

    RT

    Merci à Pythéas

  • L’école se meurt, l’école est (presque) morte

     

    Par Jacques Aboucaya

     

    Le réquisitoire aussi implacable que plaisant d’un membre du sérail

     

    Constat sans appel, notre école est en faillite. En queue du peloton européen. En français, mathématique, histoire, langues étrangères. En culture générale. Les enquêtes se suivent et le confirment. Le quart des élèves entrant en sixième maîtrise mal la lecture et l’écriture. La plupart sortent de l’école aussi ignares qu’ils y étaient entrés. Comment en est-on venu là ? La recette est simple. Placez aux postes clés des idéologues démagogues et sectaires, imbus de leur prétendue science pédagogique, usant d’un jargon qui transforme, par exemple, les parents en « géniteurs d’apprenants ».  Leur seul but, remplacer la hiérarchie du mérite par l’égalité à tout prix. Quitte à pratiquer la discrimination dite « positive ». Dans le même temps, supprimez tout ce qui pourrait ressembler à une sélection, mot honni entre tous. Pour couronner le tout et parachever une entreprise entamée il y a plusieurs lustres, confiez la tête du Ministère à une pécore aussi arrogante qu’incompétente. D’une inculture crasse. D’autant plus péremptoire. Le tour est joué. Oui, mais n’est-ce pas, objectera-t-on, nier l’évidence de résultats prodigieux ? Pour une classe d’âge, plus de 90 pour cent de réussite au bac, qui dit mieux ? Poudre aux yeux. Escroquerie. Que deviennent la plupart de ces bacheliers ? Des chômeurs. Aigris, de surcroît. Bernés. Victimes du miroir aux alouettes. Proies toutes désignées pour les fondamentalistes de tout poil. La drogue. La délinquance. Augustin d’Humières sait de quoi il parle. Professeur de lettres classiques dans un lycée de Seine-et-Marne, il connaît le sérail de l’intérieur. A l’inverse de la plupart de ses collègues, fonctionnaires dociles, esclaves des directives officielles, il a décidé de parler. D’assumer sa part de responsabilité dans l’effondrement d’un système « injuste, inégalitaire et absurde qui n’a fait qu’engendrer l’ignorance, la violence et le ressentiment. » Balançant entre colère froide et franche hilarité, il livre son expérience d’un effondrement prévisible, sinon programmé. Ce qu’il raconte – sur les inspecteurs généraux, les chefs d’établissement, les délégués syndicaux, les profs, les parents et les élèves – fait froid dans le dos. Sauf à prendre le parti d’en rire, car certaines scènes évoquent à la fois Kafka et Courteline. Mais le rire se fige vite si l’on songe qu’il s’agit de nos enfants et de la décadence de notre pays.

    J.A.

    Un petit fonctionnaire, d’Augustin d’Humières. Grasset,  142 p., 15 €.

    Le 07 novembre 2017

  • Le Journal TVL du 7 novembre

  • « Il n’y aura pas de mosquées en Hongrie, c’est une question de sécurité nationale » déclare un député pro-Orbán

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    20h11
    Hongrie – Le député hongrois du Fidesz, Gergely Gulyás, a déclaré « qu’il n’y aura pas de mosquées en Hongrie » et a fait valoir que « du point de vue de notre propre sécurité, les mosquées auraient un impact négatif. »

     

    Bayer Zsolt, l’animateur sulfureux d’émissions politique et éditorialiste pro-Orbán bien connu, a reçu à la télévision  Echo TV le chef de la délégation parlementaire du Fidesz – parti de Viktor Orbán -, Gergely Gulyás.

    Tout en commentant la récente attaque survenue à New York, Zsolt Bayer a félicité le président américain Donald Trump pour avoir appelé publiquement à la peine de mort pour l’attaquant présumé.

    Gergely Gulyás a approuvé Zsolt Bayer, déclarant que « l’Europe occidentale n’a rien fait contre ce danger … Partout où l’islam radical lève la tête et est autorisé à prendre racine, ce genre d’actes peut se produire à tout moment. »

    « C’est vrai, » a acquiescé M. Gulyás. « Il n’y aura pas de mosquées en Hongrie … Nous avons entrepris une initiative en ce sens, […] nous ne pouvons pas changer notre position là-dessus car il ne s’agit pas simplement de liberté de culte mais bien de sécurité nationale. »

    VisegradPost / Hulala

     

     

  • Allemagne: la violence va crescendo dans les centre d'accueil pour réfugiés

    https://fr.gatestoneinstitute.org/11319/allemagne-accueil-refugies<top>

  • Le soutien scolaire gratuit dans les collèges, c'est maintenant

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    Des élèves de collèges dans une cour de récréation.

    Les collégiens pourront se voir proposer ce soutien scolaire "une heure par jour, c'est-à-dire quatre heures par semaine", explique Jean-Michel Blanquer.

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    Les collégiens qui le souhaitent pourront bénéficier, à partir de lundi, de quatre heures hebdomadaires de soutien scolaire gratuit, une aide aux devoirs qui sera étendue l'an prochain au primaire, indique le ministre de l'Education dans un entretien publié dimanche 5 novembre par "20 minutes".

    "Avec la mesure 'devoirs faits', nous offrons un soutien scolaire gratuit à tous les collégiens pour lutter contre les inégalités", déclare Jean-Michel Blanquer, détaillant le fonctionnement de ce dispositif annoncé il y a plusieurs mois.

    Les collégiens pourront se voir proposer ce soutien scolaire "une heure par jour, c'est-à-dire quatre heures par semaine":

    "En fin de journée dans 35% des collèges et lors de la pause méridienne ou des heures de permanence dans 65% des établissements (notamment en zone rurale en raison des contraintes de transport)".

    "Environ 25% des collégiens" pourront en bénéficier, "mais cela pourrait monter à 35% des élèves, lorsque le dispositif sera mieux connu des collégiens et de leurs familles", estime Jean-Michel Blanquer. L'idée est d'"inciter" les élèves qui en ont le plus besoin à s'y inscrire.

     

    Au total, "220 millions d'euros sont destinés à financer ce dispositif pour les collégiens en 2018", précise-t-il, soulignant que la mesure "sera étendue à l'école primaire à la rentrée 2018".

    Professeurs volontaires, assistants d'éducation et associations seront mobilisés.

    S'y ajoutent 7.000 jeunes en service civique.

    "Mais notre objectif est d'atteindre 10.000. Nous allons donc encore en recruter."

    NdB: Une mesure pour favoriser en douce l'immigration... 

  • Immobilier à Grenoble : « Les prix baissent mais personne ne veut acheter. L’insécurité a fait fuir les gens »

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    23h15

    Alors que le marché est reparti à la hausse, 20 Minutes s’est penché sur l’immobilier dans les plus grandes villes de France. A Grenoble, les prix baissent mais paradoxalement, les biens ne se vendent plus…

     

    (…) Autre raison : la délinquance et la criminalité. « Avoir une ville qui n’est plus très sécurisée a fait fuir les gens », avance Martine Manhes. « En 2010, avant les émeutes de la Villeneuve, on vendait en moyenne 24 logements par an dans ce quartier. En 2011, deux seulement ont été vendus et aucun en 2012 », confirme Fabien Caminotti. Et de citer un autre exemple : « Après l’incendie volontaire de la gendarmerie, on a constaté que des transactions de 220.000 euros qui étaient en attente, avaient tout simplement disparu. Elles ont été retirées…»

    20minutes.fr

    Merci à yabonlaseku