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  • Conférence de presse de Sébastien Chenu, Julien Sanchez et Jordan Bardella - 14.11.2017

    Conférence de presse de Sébastien Chenu, Julien Sanchez et Jordan Bardella, porte-paroles nationaux du Front National, ce mardi 14 novembre 2017 à Nanterre. Ordre du jour : présentation du questionnaire et des "ambassadeurs de La refondation ".

  • RENAUD CAMUS : « MACRON EST L’INCARNATION PARFAITE DU REMPLACISME GLOBAL »

     

    « Le remplacisme est petit-fils de la révolution industrielle et fils du taylorisme fordien. »

    Ecrivain

    Fondateur du NON

    Librairie
     
     
     
     

    Renaud Camus, Emmanuel Macron est entré à l’Élysée le 14 mai dernier. Un semestre, le dixième du temps d’un quinquennat ! Que vous inspire tout d’abord le personnage en lui-même ? Un personnage de roman, un super-technocrate ? Certains n’hésitent pas à le comparer à Bonaparte !

    Emmanuel Macron me facilite beaucoup la vie, au moins intellectuellement, car si l’on me demande de résumer d’un mot ce que je veux dire par remplacisme global, je peux répondre : Macron. Il en est l’incarnation parfaite.

    Je l’ai dit cent fois, le Grand Remplacement, la substitution ethnique, le changement de peuple, si énormes qu’ils soient comme phénomène, ne sont qu’une petite partie d’une phénomène plus large encore, le remplacisme global où je vois l’un des deux principaux totalitarismes à l’œuvre de par le monde (l’autre étant évidemment l’islam). Remplacer, telle est l’essence des sociétés post-industrielles et post-modernes : tout doit y être remplaçable et s’y trouver remplacé — le vrai par le faux, l’original par la copie, les matières par leur reconstitution synthétique, les services et les objets par leur version low cost, l’homme par l’homme, l’homme par la femme, l’homme et la femme par les robots, les mères par les mères porteuses, la ville et la campagne par la banlieue, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une post-humanité hagarde et hyper-violente, l’espèce humaine par la Matière Humaine Indifférenciée (MHI).

    Le remplacisme est petit-fils de la révolution industrielle et fils du taylorisme fordien qui, à force de tout standardiser selon les exigences de la production et du profit, a fini très logiquement par vouloir standardiser l’homme lui-même. L’homme est à ses yeux une petite entreprise artisanale à succès, que rachète la grande distribution multinationale pour en commercialiser une version low cost, dénaturée mais hyper-profitable. Dans ses desseins plutôt noirs, le remplacisme s’est trouvé sur le tard un allié inespéré mais de poids, et, après tout, très naturel, très logique, l’antiracisme, qui a fini par signifier ce que portait son nom, la haine des races, la croyance absolue en leur inexistence et, paradoxalement, la foi non moins absolue en leur égalité et, surtout — c’était le plus précieux pour le remplacisme —, le désir de les fondre en une seule.

    Emmanuel Macron se situe exactement au point de convergence de ces deux généalogies, financiarisme bancaire post-industriel d’un côté, antiracisme de l’autre — à ceci près, tout de même, que lui n’est même plus antiraciste, il est bien au-delà : les origines n’existent pas pour lui et, comme on sait, « il n’y a pas de culture française ».

     

    En mai 2016, vous déclariez, dans un entretien à Boulevard Voltaire , que l’élection présidentielle de 2017 serait un référendum sur le changement de population. Comme interprétez-vous le résultat de cette élection ? Les Français ont dit oui au changement de population ou bien cet enjeu a tout simplement été occulté ?

     

    Cet enjeu a été totalement occulté mais les Français n’ont, au mieux, pas dit non, il faut bien le reconnaître, à mon immense regret. Il convient de dire qu’en cet univers où tous les mots mentent, il en est peu qui mentent plus fort que Français, qualificatif qui réunit en un monstrueux amalgame envahisseurs et envahis, colonisateurs et colonisés, occupants et occupés. L’issue des votes dépend déjà largement du peuple de remplacement, puisqu’on a eu la folie sans précédent de lui donner le droit de vote. Mais, surtout, le peuple remplacé est hébété par l’enseignement de l’oubli, l’imbécillisation de masse, la répression, la censure, les injections permanentes de haine de soi, la peur, le monopole médiatique presque complet dont jouit le remplacisme (Boulevard Voltaire et TV Libertés nonobstant). Aussi bien l’issue ne sera-t-elle plus politique, à présent. Je l’ai déclaré dans un autre entretien, en volume, celui-là, avec Philippe Karsenty : 2017 était la dernière chance avant le Grand Remplacement. J’aurais dû préciser : la dernière chance politique.

    À travers les décisions, ou les non-décisions, de ce premier semestre du Président Macron à la tête de l’État, décelez-vous une quelconque évolution de la politique dans le domaine de l’immigration qui serait de nature à vous rassurer, ou au contraire ?

    Pas du tout, et très au contraire : on est entré dans le mode automatisé du changement de peuple. Le remplacisme global est au pouvoir et il procède selon un mode de gouvernement que j’ai appelé, par opposition à la démocratie directe, la « davocratie » directe – le gouvernement par Davos -, sans intermédiaire. Les grands argentiers du monde, ceux qui se réunissent une fois l’an à Davos, ont constaté qu’ils étaient désormais assez forts pour gérer directement le parc humain, en se passant de la caste politique, qui représentait pour eux une perte de temps et d’argent. La France est un modèle, à cet égard – le macronisme supprime le microcosme : renvoi à leurs études de toutes les grandes figures de la vie politique depuis trente ans, les Sarkozy, les Hollande, les Juppé, voire les Marine Le Pen ; constitution d’un gouvernement de second couteaux ; remplacement de la représentation nationale par une cargaison de zombies à peine alphabètes qui doivent tout au pouvoir et sont bien résolus à ne lui faire ni ombre ni peine. On vient à bout des pouvoirs locaux en les mettant au pain sec et à l’eau, en organisant leur ruine, même. Surtout, surtout, on pulvérise les partis politiques : des trois dont les Français croyaient il y a encore un an qu’ils avaient en main le destin de la nation, pas un ne tient encore sur ses jambes aujourd’hui. Le changement de peuple avait déjà échappé au peuple, voici qu’il échappe à ses élus. Il est géré par des machines, ou par des hommes au cœur de machine.

    Entre remplacistes et anti-remplacistes, macroniens et identitaires, on en arrive ainsi, sur un point unique, à une étrange convergence, due à une coïncidence, ou à la rigueur extrême de l’opposition : les deux parties sont d’accord pour sortir de la politique, laquelle d’ailleurs suppose un peuple, et il n’y a pratiquement plus de peuple. Les remplacistes et Macron sortent de la politique par l’économie, par la finance, par la gestion d’entreprise, par The Principles of Scientific Management, qui est à la fois leur Das Kapital et leur Mein Kempf, presque aussi terrifiant (« Dans le passé, l’homme était premier, écrit froidement Taylor ; à l’avenir, c’est le système qui doit être premier »). Les anti-remplacistes et moi, si j’ose dire, voulons sortir de la politique par l’Histoire, ou par l’ontologie.

    En effet, quand la seule question sérieuse qui se pose est celle de la survie d’un peuple et d’une civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’Histoire. De Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique, mais de l’Histoire. C’est pourquoi Karim Ouchikh et moi, à Colombey-les-Deux-Églises, le 9 novembre, jour anniversaire de la mort du Général, et près de sa tombe, avons crée un Conseil national de la résistance européenne, que nous comptons constituer et élargir par cooptation. Mais c’est un autre sujet, cet entretien est déjà trop long, je vous en parlerai une autre fois, si vous m’en donnez l’occasion.

    BV

  • JT TVL 14 NOVEMBRE 2017

  • Terrorisme : la guerre est aussi intérieure, par Ivan Rioufol

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    Une guerre civile menace la France, mais la Macronie garde les yeux fermés. Ce lundi, le chef de l’Etat s’est rendu sur les lieux des attentats djihadistes du 13 novembre 2015, notamment au Bataclan, pour rendre un hommage silencieux aux 130 morts et aux 683 blessés. L’offensive terroriste avait été lancée du fief de l’Etat islamique à Raqqa. La chute de la ville syrienne, et de Daesch, n’ont pas éteint les risques, même si Emmanuel Macron a cru bon de supprimer le secrétariat d’Etat à l’aide aux victimes, créé en février 2016. Dans Le Figaro de ce jour, le patron de la DGSI confirme : “Tout ce qui se passe sur les théâtres d’opérations est transposable sur notre territoire”. Ces propos de Laurent Munez signifient donc que la guerre extérieure est aussi une guerre intérieure. Elle est principalement menée par des Français, en tout cas administrativement, contre d’autres Français. Le général Pierre de Villiers, ancien chef d’Etat-major des armées, l’admet aussi (1) : “Désormais, l’ennemi peut aussi bien se trouver à l’intérieur de l’Hexagone que très loin au-delà des mers”. En 2015, le ministre de la Défense de l’époque, Jean-Yves Le Drian, soutenait encore : “Je ne parlerai jamais d’ennemi intérieur”.

    Il y a, oui, une cinquième colonne, motivée par la détestation de l’Occident et singulièrement de la France. Or, quand le président déclare tout dernièrement, à Abu Dhabi : “Ceux qui veulent faire croire que l’islam se construit en détruisant d’autres monothéismes sont des menteurs et vous trahissent”, il cautionne un irénisme qui désarme les élémentaires vigilances. Faut-il rappeler à Macron l’éradication des Chrétiens d’Orient ou des Juifs en terre d’islam. Faut-il lui rappeler les motivations suprémacistes du djihad et l’intolérance salafiste ? Qui ment ?

    Le déni du choc des cultures empêche le chef de l’Etat de comprendre une partie des ressorts de l’offensive islamiste. Quand il préfère expliquer le terrorisme par les conditions économiques et sociales ou par le réchauffement climatique, il sous-estime la guerre en cours et les moyens d’y répondre. On comprend encore mieux, au regard de cet état d’esprit si craintif, la démission du général de Villiers, ses “désaccords majeurs” évoqués dans son livre, et ses inquiétudes pour l’avenir de la défense nationale. Ceux qui voient en Macron un président de choc, brutal et cassant avec ses adversaires, ne distinguent pas la main qui tremble dès qu’il s’agit de sortir du confort de la technocratie et de ses impératifs financiers. Vendredi, à Clichy (Hauts-de-Seine), une centaine d’élus ont dû pallier la démission des pouvoirs publics en s’opposant enfin à des prières de rue organisées illégalement en centre-ville depuis 8 mois, alors même que la commune compte deux mosquées.

    L’effacement de l’Etat face au communautarisme et aux minorités est une plaie qui reste à soigner. Le soir du 11 novembre, des drapeaux algériens et marocains ont été déployés devant l’Arc de Triomphe et la tombe du Soldat Inconnu par des centaines de supporters de foot, dont certains criaient : “On est chez nous !”. Les médias n’ont pas même relevé ces scènes choquantes. Elles illustrent pourtant un multiculturalisme qui fait le lit de possibles tensions à venir. Sachant de Macron ne fera qu’aggraver ces situations, il reste aux Français écoeurés à sonner eux-mêmes le tocsin.

    (1) Servir, Fayard

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 13 novembre et repris du blog d’Ivan Rioufol

  • ROBERT MÉNARD : « JE NE PENSE PAS QUE TOUT SOIT AFFAIRE D’IMMIGRATION, D’ISLAM OU D’EUROPE »

     

    Ce qui m’importe, c’est de savoir ce que je peux faire dans une ville comme la mienne où les musulmans sont nombreux, très nombreux.

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste. Fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     
     
     
     

    Vous expliquez à longueur d’interview que le renouveau de la droite ne peut pas passer par les partis politiques et, « en même temps », vous participez à la plate-forme Les Amoureux de la France qui ressemble fort à un cartel de partis… Un peu contradictoire, non ?

    Il fallait bien commencer ! Mais, c’est vrai, s’il ne s’agit que de regrouper les petits partis coincés entre le FN et Les Républicains, notre démarche sera vouée à l’échec. On ne peut pas dire, à longueur de temps, que les partis sont morts, qu’ils font partie du passé et imaginer, ne serait-ce qu’une seconde, que nous pourrions échapper à ce diagnostic. C’est pourquoi nous devons aller chercher d’autres acteurs que les vieilles machines militantes : du côté des élus locaux comme des acteurs des médias alternatifs, par exemple. Il ne se passe pas un jour sans que je reçoive un message d’homme ou de femme que je ne connais pas et qui appelle à un vaste rassemblement des droites. Nous avons quelques années devant nous pour réussir ce pari.

    Mais vous avez déjà essayé avec votre rassemblement de Béziers en juin 2016 !
    Et nous avons en partie manqué le coche !

    Nous avons cru, j’ai cru, naïvement, que chacun serait prêt à oublier ses petits intérêts pour se mettre au service d’une dynamique. C’était faire l’impasse sur les questions d’ambition et d’argent – les partis doivent bien compter leurs supporters lors des élections pour profiter des subsides de l’État… Chaque parti, fût-il un groupuscule, est conduit par une personnalité qui s’imagine, même si elle refuse de l’avouer, un destin plus ou moins national…

    Alors, concrètement, comment peut se faire ce rassemblement que vous appelez de vos vœux ?

    Commençons par le commencement. Que disent les Français ? À quels problèmes sont-ils confrontés ? Quels sont les obstacles qui nous empêchent de répondre à leurs demandes ? Pourquoi bien de nos propositions, pourtant marquées du sceau du bon sens, continuent-elles à faire peur ? Comment passer outre les oukases des uns et des autres ? Le reste – ces éternelles discussions sur les « trahisons » de son voisin d’Hémicycle -, nous pourrions le mettre de côté. Essayons de nous coltiner le réel. Que répondre à mes concitoyens qui ne supportent plus des voisins au mode de vie radicalement différent du leur ? Que faire face à des mineurs, à des gamins de douze ou treize ans qui se sentent si forts du sentiment d’impunité qu’ils ne craignent rien ni personne ? Où loger des familles dont vous savez pertinemment que leur attribuer un logement social revient à rendre invivable toute une cage d’escalier ? C’est à cela que le maire que je suis doit faire face. Et je ne crois pas un instant que la rhétorique de mes amis politiques m’aide de quelque manière que ce soit… Pour tout dire, je ne pense pas un instant que tout soit affaire d’immigration, d’islam ou d’Europe. C’est un peu plus compliqué que cela…

     

    Sur l’Europe, justement, vous êtes en profond désaccord avec les souverainistes, ceux-là mêmes avec qui vous flirtez actuellement…

     

    Je me sens européen. L’Europe est notre berceau et notre humus. Mais je refuse de la voir confisquer par une bureaucratie tatillonne, par des commissaires non élus, par des technocrates au sang-froid. Je suis européen et j’aime mon pays. Les deux à la fois. Je ne veux pas avoir à choisir. Je suis fier de cette civilisation européenne, de cette civilisation judéo-chrétienne qui a toujours su attirer les talents, accueillir les réprouvés, répondre aux appels des déshérités. Mais je vous l’avoue, si Bruxelles et ses institutions européennes me hérissent le poil, ce n’est rien en comparaison de l’OTAN. Il nous faut, d’urgence, construire une Europe forte, qui sache respecter les singularités de chacune de ses nations, pour ne pas finir comme les vassaux des États-Unis.

    Et sur l’islam ?

    Mettons les pieds dans le plat. Je ne vais pas passer ma vie à m’interroger pour savoir si l’islam est compatible ou pas avec la République. Je ne vais pas passer mon temps à envoyer des sourates à la figure de mes contradicteurs pour prouver que le Coran est truffé de propos sexistes, homophobes, d’appels à la violence, de propos haineux à l’égard de tous ceux qui ne font pas partie de l’Oumma, la communauté des croyants. Ce qui m’importe, c’est de savoir ce que je peux faire dans une ville comme la mienne où les musulmans sont nombreux, très nombreux. J’entends bien, j’approuve et je soutiens ceux qui me répondront : arrêt de l’immigration ou, du moins, réduction massive. Mais en attendant ? Et puis, je ne vais pas mettre tous les musulmans dans le même sac ! Je ne confonds pas la dame, serveuse dans le restaurant en bas de chez moi, et le barbu qui rêve d’imposer la charia ! Je ne suis pas le maire des seuls Biterrois d’origine. Demain, arrivés au pouvoir, il nous faudra bien prendre en compte tous ceux qui vivent ici. S’il nous faut combattre une idéologie qui veut, ni plus ni moins, que notre mort, si je ne veux abandonner aucun territoire à ces dévots radicalisés qui jurent obéissance à de supposées lois divines, si j’entends dénoncer ces compagnons de route de l’islamisme qui naviguent entre naïveté et lâcheté, je veux également réussir l’assimilation d’une population qui n’a aujourd’hui d’autre horizon que notre pays.

    Vous ne seriez pas en train de tourner casaque ?

    J’essaie seulement d’apporter des réponses concrètes aux problèmes tout aussi concrets de mes administrés. Et j’ai la prétention de penser que si, tous autant que nous sommes, nous nous y employions avec un peu plus de constance, d’énergie, nous pourrions un jour être aux postes de commande dans ce pays. C’est la seule chose qui vaille : gagner pour changer la vie des plus malheureux, des « gens de rien » de monsieur Macron, des « sans-dents » de monsieur Hollande. C’est pour cela que nous faisons de la politique, n’est-ce pas ? Échapper à cet homme qui « n’a d’autre but que lui-même » dénoncé par Camus et qui pourrait être moi… ou vous.

    BV

  • Algérie : Au moins un demi-million de visas délivrés par an annonce triomphalement l’ambassadeur de France

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    POSTED BY LA RÉDACTION ON 7TH NOVEMBRE 2017
     
     

     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (07/11/2017) L’Etat Français repeuple rapidement l’Hexagone avec des millions de migrants afro-musulmans mais s’y livre dans une relative discrétion, laissant la population faire face au fait accompli.

    Ce n’est qu’au hasard de déclarations d’officiels que l’on peut mesurer l’étendue de cette politique qui devrait, d’ici quelques décennies, voir la population autochtone devenir minoritaire. L’ancien ambassadeur en Algérie Xavier Driencourt indiquait ainsi en octobre que près d’un demi-million de visas étaient délivrés aux seuls Algériens.

    Observalgerie (source) :

    L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a assuré lors d’une déclaration à la presse hier jeudi que les problèmes liés à l’obtention du visa vers son pays seraient réglés avant la fin de l’année en cours. « Depuis que je suis arrivé en juillet, j’ai pris les choses en main et toutes les difficultés sont en voie de règlement » a indiqué Xavier Driencourt. Sur un autre volet, l’ambassadeur s’est félicité du nombre des visas délivrés aux Algériens par les services consulaires de son pays. « Quand j’ai quitté Alger en 2012, on délivrait 200.000 visas. Aujourd’hui, on délivre 410 000. Nous avons doublé le nombre de visas en cinq ans » a-t-il annoncé. « Nous délivrons presque 40% de visas de circulation. C’est à dire des visas pour deux, trois ou quatre ans. Cela facilite les choses. Ces visas ne sont pas comptabilisés dans les 410 000 que j’ai cités » a-t-il ajouté.

    Ces chiffres sont naturellement à additionner aux masses de migrants d’autres pays afro-musulmans, en plus des clandestins divers actuellement installés dans l’Hexagone.

     
     
  • Les Ultras Parisiens descendent le bd Voltaire au cri de « Daech, Daesh, on t’enc. » puis entonnent La Marseillaise devant le Bataclan

    <thttp://www.fdesouche.com/906491-les-ultras-parisiens-descendent-le-boulevard-voltaire-direction-le-bataclan-au-cri-de-daech-daesh-on-tencop>

    2 vidéos

  • Stéphane Bern propose de faire payer l’entrée des cathédrales et crée une vive polémique

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    Emmanuel Macron et Stéphane Bern après une visite au château de Monte-Cristo à Marly-le-Roi le 16 septembre 2017.
     

    L'animateur Stéphane Bern a suggéré dans une interview qu'il fallait faire payer «d'urgence» l’entrée des cathédrales, s'attirant les foudres de l'Eglise et de ses évêques et de la Twittosphère.

    C’est une petite phrase, mais elle a rapidement déclenché les passions et fait réagir l’Eglise par le biais de la Conférence des évêques de France (CEF) et la twittosphère. Dans une interview accordée au Parisien Week-end du vendredi 8 novembre, l'animateur Stéphane Bern a déclaré qu'«il [fallait] d’urgence faire payer l’entrée des cathédrales». Une proposition qui n'a pas convaincu les principaux intéressés. La CEF a répliqué le 13 novembre que les églises étaient «avant tout» des «lieux de prière et de culte dont l'accès doit être libre».

    Droit de réponse et précisions

    La sénatrice Nathalie Goulet de l'Union des démocrates et indépendants a interpellé Stéphane Bern sur Twitter, estimant que cette proposition était «une violation de la loi de 1905», une forme d'impôt sur le culte. Quid des mosquées, des temples et synagogues ?

    RT

  • JOURNAL TVL DU 13 NOVEMBRE

  • Vintimille: manif pour exiger l'expulsion immédiate de tous les migrants qui sont dans la ville

    http://www.fdesouche.com/906001-vintimille-italie-une-manif-pour-reclamer-lexpulsion-immediate-de-tous-les-migrants-qui-sont-en-ville

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  • Berlin (Allemagne) : un migrant syrien de 23 ans surpris en train de violer un poney dans une ferme pour enfants

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    21h09
     

    Une baby-sitter avec un jeune enfant a vu la scène, a photographié l’homme et a appelé la police.

    Un jeune homme a violé un poney du « Kinderbauernhof » dans le parc de Görlitzer. L’incident s’est produit vendredi dernier vers 15 heures.

    Amanda F. décrit l’incident « Ma baby-sitter se rendait avec notre fils à Görlitzer Park et ils ont aperçu un homme agresser sexuellement un poney. »

    La baby-sitter ne veut plus commenter l’incident. La scène était trop traumatisante.

    Elle a néanmoins pris une photo de l’agresseur pendant son acte et a immédiatement contacté les employés de la ferme des enfants. Les employés qui doivent assurer la sécurité dans le parc Görlitzer ont également été convoqués. Le personnel a appelé la police.

    L’agresseur a fui mais a été vite retrouvé, il s’agit d’un Syrien de 23 ans.

    Le zoo des enfants est particulièrement populaire auprès des jeunes familles. Il y a deux poneys, deux ânes, une demi-douzaine de moutons et de chèvres et une dizaine de poulets, canards et lapins chacun. « Ici, des choses positives se produisent tout au long de l’année », explique un employé. « Il est dommage que nous soyons maintenant associés à un tel incident. »

    Berliner Morgenpost

    La zoophilie, c'est permis par l'islam?

  • Palmanova (Italie) : trois Marocains dévalisent le prêtre qui les avait accueillis

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    16h01
     

    Le prêtre qui ne pardonne pas.

    Un prêtre a été volé par trois jeunes marocains auxquels il avait offert son aide en échange de leur engagement à effectuer quelques menus travaux utiles à la petite paroisse de Palmanova, province de Udine. Deux d’entre eux, comme on peut le lire dans un article du Libero, ont été arrêtés par les carabiniers. Les nord-africains, qui ont fini à la barre du tribunal, ont négocié un accord sur une peine d’un an et quatre mois avec obligation d’effectuer du volontariat dans la paroisse qu’ils avaient dévalisée. Le ministère public accepta mais Don Angelo Del Zotto s’y opposa, demandant à ce que les immigrés restituassent la totalité des sommes dérobées, à savoir 10000 euros et d’autres objets précieux. Ainsi, les deux jeunes retourneront au tribunal lundi pour connaître leur condamnation.

    Don Angelo leur avait ouvert les portes de la paroisse

    Le prêtre connaissait seulement un des trois hommes, dont il s’occupait souvent, mais il voulut faire également confiance aux deux autres. Ils lui semblaient en effet corrects. Ils avaient frapper à sa porte pendant plusieurs semaines d’affilée pour lui demander une main charitable. Et ils le remercièrent en lui dévalisant son appartement alors qu’il célébrait la messe. Ils dérobèrent six mille euros, des images sacrées, des bijoux en or, et même les souvenirs de famille du prêtre précédent.

    […]

    Ils remplirent un sac entier et fuirent. Les investigations des carabiniers se concentrèrent rapidement sur eux et furent démasqués. Khalifa Bagrar, 19 ans, habitant à San Daniele del Friuli, et El Mehdi Zinaoui, 22 ans, habitant à Trivignano Udinese, qui avec leur complice avait été accueillis par le prêtre comme des fils.

    Secoloditalia

    Merci à anonimo

  • Immense manifestation patriotique à Varsovie pour la fête de l'Indépendance!

    http://www.fdesouche.com/905535-pologne-importante-manifestation-patriotique-a-varsovie-pour-la-fete-de-lindependance#

     vidéos

    A voir absolument! 

     Magnifique!

  • Un ferry faisant la liaison Marseille-Alger prend feu : au moins 30 véhicules brûlés

     

     
     

    L'incendie se serait déclaré après que le véhicule d'un passager ait pris feu, selon l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs, qui assure que les dégâts ne sont que matériels : au moins 30 voitures ont brûlé.

    Dans la nuit du 11 au 12 novembre, un incendie s'est déclaré sur le Tariq Ibn Ziyad, un ferry qui effectuait la liaison Marseille-Alger, alors qu'il se trouvait au nord des îles Baléares (Espagne). La protection civile espagnole a fait état dans un communiqué de plusieurs blessés légers parmi les 472 passagers. 26 personnes auraient notamment souffert d’inhalation de fumée.

     
     

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  • Schiappa : l'âge minimal du consentement sexuel à "13 ou 15 ans"

     

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    L'âge de présomption de non-consentement des mineurs, seuil en dessous duquel un enfant ne pourrait être considéré comme sexuellement consentant, est "en train d'être débattu" et se situera entre "13 et 15 ans", a indiqué aujourd'hui la secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa.

    >> Lire aussi - Fixer un âge minimum pour le consentement sexuel

     

    Interrogée sur BFMTV sur l'acquittement récent par une cour d'assises d'un homme jugé pour le viol d'une jeune fille de 11 ans, Mme Schiappa a répondu qu'"en tant que membre du gouvernement", elle ne pouvait "pas réagir à des décisions de justice".

    >> Lire aussi - Un homme, accusé d'avoir violé une fille de 11 ans, acquitté

    "Néanmoins dans la loi contre les violences sexistes et sexuelles (que le gouvernement veut proposer en 2018, ndlr), nous avons identifié trois volets, dont celui de la création d'un seuil de présomption de non-consentement irréfragable", a-t-elle ajouté.

    Cela consistera à inscrire dans la loi le fait "qu'en dessous d'un certain âge, on considèrerait qu'il ne peut pas y avoir débat, jamais, sur le consentement sexuel d'un enfant, et que tout enfant en dessous d'un certain âge serait d'office considéré comme violé ou agressé sexuellement".

    "L'âge est un sujet qu'on est en train de débattre. Le Haut conseil à l'égalité préconise 13 ans, des parlementaires 15 ans, des experts aussi. Il faut regarder l'âge médian européen, l'âge de la maturité affective. Cela se jouera entre 13 et 15 ans", a-t-elle précisé.

    Un rassemblement prévu mardi

    Plusieurs décisions de justice récentes ont rouvert le sujet de la mise en place d'un âge en dessous duquel le consentement d'un enfant ne peut être présumé, ce qui n'existe pas en France contrairement à d'autres pays européens. Des parlementaires ont également déposé des propositions de loi en ce sens.

    Dans un communiqué, l'association féministe Les Effronté-e-s regrette dimanche que "la justice (ait) tranché qu'une enfant de 11 ans a pu consentir à un rapport sexuel désiré avec un inconnu qui l'a abordée et entrainée vers un parc" et demande la fixation d'"un âge minimal à 15 ans". Avec d'autres associations, elle appelle à un rassemblement "mardi à 18H30 devant le ministère de la Justice".

    Les deux autres volets du projet de loi annoncé par le gouvernement comprendront un allongement du délai de prescription des crimes sexuels sur les mineurs, qui pourraient déposer plainte jusqu'à 30 ans après leur majorité contre 20 ans actuellement, et une verbalisation du harcèlement de rue. Une concertation a été lancée auprès des acteurs du secteur (policiers, magistrats...) et des citoyens.

    LIRE AUSSI:

    >> Emmanuel Macron s'exprimera sur les violences sexuelles le 25 novembre

    Le Figaro