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  • 37 % des cas de nouvelles infections par le VIH en France concernent des personnes nées en Afrique subsaharienne

     

    14h58

    (…) En attendant, la PrEP a fait ses preuves. À San Francisco, le nombre de nouveaux cas de VIH a chuté de 49 % entre 2012 – année où la PrEP a été autorisée aux États-Unis – et 2016. À Londres, le nombre de nouvelles infections chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes a diminué de 29 % entre 2015 et 2016. Prochaine cible, les personnes nées en Afrique subsaharienne, qui représentent 37 % des cas de nouvelles infections par le VIH en France.

  • Roumanie: un ministre s'excuse après avoir comparé l'incinération de porcs malades à "Auschwitz"

     

     
    Le ministre avait affirmé mardi soir lors d'une interview télévisée que dans les élevages touchés par cette épidémie, "les porcs sont incinérés, c'est un travail incroyable, c'est comme Auschwitz.
     
     
     
     

    L'opposition de centre droit a aussitôt demandé sa démission, soulignant qu'il était "inacceptable de comparer l'incinération des porcs à une tragédie mondiale".

  • Alexandre Benalla a-t-il vraiment été mis à pied ? Il vient de se rendre à la fourrière pour y retirer un véhicule de la flotte présidentielle

     

    18h37

     

    Le 20 juillet dernier, soit deux jours après les révélations du Monde sur l’affaire Benalla, le jeune bodyguard de 26 ans était encore au volant d’un véhicule de la flotte présidentielle. Le Renault Talisman, immatriculé EY-196-VZ, géré par le commandement militaire du palais de l’Élysée, dirigé par le général Éric Bio-Farina, était garé en stationnement gênant sur le trottoir d’une rue adjacente au tribunal de grande instance, dans le quartier des Batignolles, dans le 17e arrondissement de Paris. Emmené à la fourrière Chevaleret, dans le sud de la capitale, c’est un certain Alexandre Benalla qui est venu le récupérer aujourd’hui, vers 13 heures.

    Et ce, alors même que l’Élysée a assuré qu’il avait été mis à pied et qu’il fait l’objet de sanctions administratives.  (…)

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    18h37

    Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.

    Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.

    Radio6.fr

  • Affaire Benalla-Macron: les médias et les vraies questions

    Un homme de main passé du PS à Macron, Alexandre Benalla, provoque une affaire que les médias ont montée en mayonnaise : derrière l’arbre de ses brutalités et passe-droits, se cache une forêt de vraies questions qui se posent à tout le système, et pour commencer aux médias.
     
    Les grands médias des grands oligarques de France ont fait Macron, ils sont en train de le défaire, ou de lui donner un avertissement, ou de jouer avec lui une comédie dont il est urgent de chercher la signification. Politiques et médias, prompt à se jeter sur l’os de l’affaire Benalla, crient au scandale d’Etat, à la crise de régime (Mélenchon a parlé de « Watergate »). Quant aux médias, ils ont relevé les fautes commises par Benalla, les avantages et les protections dont il jouissait, mais ils ont omis de poser des vraies questions, pourtant très simples, qui pourraient éclairer utilement l’affaire.
     

    Les questions que ni Macron ni le PS ne se sont posées sur Benalla

     
    Son parcours au PS, par exemple. Il a été gros bras et factotum socialiste. Il finit chauffeur chez Montebourg, ministre de quelque chose à l’époque, du redressement économique. Celui-ci le vire pour délit de fuite (il aurait pu se virer lui-même pour délit de fuite devant ses responsabilités et la réalité), très bien : mais l’homme est insubmersible et « rebondit », comme on dit. Comment cela est-il possible ? Le parti socialiste, celui de Hollande, Ségolène Royal et Martine Aubry, n’est-il pas le sanctuaire du bien et du scrupule ? Benalla savait-il des choses sur les uns ou les autres ? Ou bien est-ce la règle au PS d’employer des hommes de main douteux ? En tout cas, chez Macron, ça ne l’a pas handicapé. L’Elysée, c’est comme la légion étrangère, on est une grande famille et l’on ne pose pas de question sur le passé. Quel est le vrai prénom de Benalla ? A-t-il des liens avec les services marocains ? Ce n’est pas à Emmanuel Macron qu’il faut le demander. Il « fait confiance aux procédures en place ». Il « n’interfère pas dans les enquêtes ».
     

    La vraie question que n’osent pas poser les médias sur Benalla

     
    C’est donc aux médias que je vais poser mes questions. Ils s’indignent, et les réseaux sociaux s’indignent avec eux (c’est une tendance nouvelle, un consensus croissant, signe de prise en main, entre médias et réseaux sociaux), de la situation faite à Benalla : salaire à dix mille par mois, logement de fonction quai Branly, passe-droits divers dont une carte d’entrée très spéciale à l’Assemblée nationale, grade de lieutenant-colonel de gendarmerie dans la réserve nationale à vingt-six-ans, etc. Comme son profil psychologique, son bref passage chez les Bleus (« il s’occupait des bagages », pour Christophe Castaner) ni son passé au PS ne semblent justifier cette ascension irrésistible, il faut croire qu’il rend de vrais services, en rapport avec ces avantages. Ce n’est pas une supputation, c’est une certitude logique. Toute la question est : quel type de services ? Est-il mandaté par quelqu’un d’extérieur aux institutions républicaines ? Accomplit-il des besognes inavouables ? Son étoile tient-elle à son silence sur certaines choses dont il aurait été témoin ? Ou encore est-il ce que l’on avait accusé Mathieu Gallet d’être, l’amant du président ? On n’a pas seulement le droit de poser la question, on en a le devoir.
     

    Collomb, la femme de Colombo, la fiancée de Benalla

     
    On comprendrait mieux si c’était le cas l’utilité d’avoir fait transpirer dans les médias l’information selon laquelle Benalla devait se marier le jour même de sa garde à vue : la diversion sur la vie privée hétérosexuelle de Benalla masquerait sa fonction homosexuelle. Ici, nous sommes dans la conjecture. Ce qui l’alimente, c’est que la fiancée de Benalla, comme la femme de Colombo, reste invisible. Ce sont aussi toutes les vraies questions sans réponse.
     
    Pourquoi les brutalités sur deux manifestants qui ont lancé l’affaire, qui remontent à mai, ne sont-elles sorties que deux mois plus tard dans la presse ? Pourquoi Gérard Collomb, ministre de l’intérieur, qui les connaissait, les a-t-il couvertes ? Une réponse s’impose, qui n’a pas été donnée dans les médias : parce qu’il avait tout lieu de penser que l’affaire serait facile à étouffer.
     

    Sous-préfet ? L’arbre qui cache la forêt des vraies raisons

     
    Si cette réponse n’a pas été donnée, c’est qu’elle pose une question fichtrement embêtante : pourquoi, dans ce cas-là, l’affaire Benalla est-elle sortie ? Si elle était facile à étouffer, c’est qu’on connaissait les fautes commises par Benalla, et que les preuves de celles-ci étaient bien au chaud dans les mains de personnes de confiance. Pourquoi, et sous quelle influence, ces personnes de confiance, ont-elles donné les images de manifestants « molestés » aux grands médias, au Monde, pour ne pas le nommer ? Et pourquoi maintenant ? A cette question, une réponse a été donnée par Valeurs Actuelles : l’Elysée avait proposé le jeune Benalla pour le poste de sous-préfet, au tour extérieur. Les gens de la préfectorale auraient trouvé cela plus fort que du roquefort, et, pour se venger tout en se protégeant, auraient dénoncé Benalla aux médias.
     

    L’affaire sortie par les grands oligarques de Macron : pourquoi ?

     
    Le capitaine Haddock avait une formule pour commenter ce genre d’hypothèses : Racontez-ça à un cheval de bois et il vous flanquera une ruade. Mon expérience du journalisme d’investigation me dit que les informations d’importance sont toujours données à un niveau élevé, en général le plus haut. Un sapeur-pompier qui dénonce un passe-droit dans la hiérarchie des sapeurs-pompiers pour l’honneur des sapeurs-pompiers, je n’y crois pas. La seule exception, c’est l’affaire de cœur, ou de fesse : Cahuzac est tombé à cause de sa femme. Le reste du temps, c’est le ministre de l’intérieur qui donne le dossier clefs en main, avec une faveur rose, à l’organe de délation choisi (ici, Le Monde). Je n’irai pas jusqu’à suggérer que Collomb a donné lui-même l’info, mais c’est quelqu’un de son niveau, dans le système d’oligarchie, peut-être Minc, Atali, Niel, Pigasse ou quelqu’un des leurs.
     

    Affaire Benalla : l’arbre qui cache la forêt de la guerre civile en marche

     
    Les dernières questions arrivent. Pourquoi cette affaire Benalla, et pourquoi maintenant ? Pour coincer la réforme constitutionnelle ? Pour faire descendre le jeune gorille trop dominant Macron de son arbre ? Ce serait un coup de Hollande, retour vers le passé ? Vous y croyez ? Alors quoi ? Les médias qui ont fait Macron s’apprêteraient à le défaire en constatant son échec ? Quel échec ? Ce serait beaucoup trop tôt. Il y a une question qu’aucun journaliste n’a posée : pourquoi Benalla casse-t-il du manifestant à ses heures de loisir ? Pour enrichir son expérience personnelle ? Sinon, ça ne paraît pas très utile. C’est même incongru, cocasse. Pendant sa garde à vue, ça a frappé un flic. Réponse de Benalla, il a aidé les policiers qu’il devait observer car ceux-ci se trouvaient « en grande difficulté ». Prenons-le au sérieux. Ça prouve déjà son côté chevaleresque. Et puis cela veut dire que pour une simple manif de premier mai les forces sont complètement dépassées. On le croit. Des images venues de Suède montrent quatre policiers en difficulté devant un migrant en colère.

    Le rapport des forces (hors armée) entre hordes invasives et police est en train de s’inverser. C’est cela qu’ont montré les deux dernières soirées de « liesse nationale », les 14 et 15 juillet. Cette rupture « gravissime » que l’affaire Benalla, montée en neige, a pour première fonction de faire oublier au télézappeur. 
     

    Pauline Mille

    REINFORMATION.TV

     
     
     
     
  • Après l’affaire Benalla, l’affaire Brigitte ?

     

    Les dépenses de la "première dame" détaillées par la Cour des Comptes

    Dans leur rapport annuel sur l’Élysée, les magistrats de la Cour des comptes expliquent ne pas pouvoir chiffrer le coût total de la première dame pour les finances publiques. Mais ils listent quand même toutes les dépenses qui lui sont liées. Le montant dépasse les 280 000 euros par an.

     

    Le passage que la Cour des Comptes consacre à Brigitte Macron débute par un avertissement en forme de déception. Ses magistrat affirment que même si la charte de transparence mise en place par Emmanuel Macron prévoit que la Cour puisse suivre les dépenses de son épouse, « cette forme de comptabilité reste à ce jour insuffisamment développée pour réaliser complètement cet exercice ». Cela n’empêche pas les Sages de la rue Cambon d’aligner les frais et les chiffres.

    Pour commencer, ils rappellent que Brigitte Macron dispose d’un directeur de cabinet et d’un chef de cabinet, ainsi que de deux secrétaires, dont l’une est également affectée au secrétariat du conseiller porte-parole.

    Lire la suite de l’article sur capital.fr

  • " Il y a quelque chose de puéril dans la posture de Macron"

    Ce mercredi, Julien Pearce reçoit Philippe Bas, sénateur LR de la Manche, président de la commission des lois du Sénat pour évoquer l'affaire Benalla.

  • Des centaines de migrants forcent la frontière à Ceuta en lançant de la chaux vive et des excréments sur la garde civile

    Des centaines de migrants forcent la frontière à Ceuta en lançant de la chaux vive sur la garde civile

    Plus de 600 migrants africains ont traversé de force, jeudi 26 juillet, la barrière frontalière séparant le Maroc de l'enclave espagnole de Ceuta.

    La double barrière entre l'enclave espagnole de Ceuta et le Maroc est surmontée de barbelés.

    Il s'agit de la plus importante entrée illégale de personnes depuis février 2017, quand 850 demandeurs d'asile avaient franchi la frontière en deux jours. Jeudi à l'aube, lors d'un assaut extrêmement violent, les migrants ont lancé sur les officiers de la garde civile de la chaux vive et des excréments, tout en utilisant des sprays enflammés à la manière de lance-flammes. Une quinzaine de policiers ont été blessés, et cinq ont dû être hospitalisés pour des brûlures au visage et aux bras. 

    Une centaine de migrants ont néanmoins été arrêtés par les forces de l'ordre marocaines, et une centaine d'autres par la garde civile espagnole. Quelques 602 personnes sont en revanche parvenues à escalader la double barrière qui protège l'enclave, non sans être blessés par les barbelés. Une fois en Espagne, plusieurs migrants ont d'ailleurs eux aussi été hospitalisés, et les autres se sont dirigés vers le centre de rétention, où ils peuvent déposer une demande d'asile. 

    Ceuta et Mellila, deux confettis territoriaux administrés par Madrid et situés au nord du Maroc, constituent les seules frontières terrestres entre l'Afrique et l'Europe. Depuis la décision de l'Italie de refuser les navires humanitaires, la pression migratoire s'est accentuée sur l'Espagne



    Eléonore BEZ
  • JOURNAL TVL 25 JUILLET 2018

  • Les Bleus, l'accès au renseignement, le logement quai Branly : le Canard bombarde l'affaire Benalla

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    Philippe Mizerski et Alexandre Benalla le 1er mai, illustration
     

    Dans son édition du 25 juillet, l'hebdomadaire qui sort tous les mercredis participe au déversement de révélations qui alimente la presse française depuis le début de l'affaire Benalla. Le palmipède ouvre les vannes en grand.

    L'édition du Canard enchaîné de ce 25 juillet multiplie les révélations à charge dans l'affaire Benalla. Au moins trois informations livrées par le palmipède retiennent l'attention et mettent à mal les lignes de défense dressées par le ministre de l'Intérieur et le président de la République lui-même.

    Premièrement, l'hebdomadaire livre une information que le ministre de l'Intérieur s'est échiné à nier catégoriquement au cours de ses deux auditions parlementaires sous serment, à l'Assemblée puis au Sénat : selon les informations du journal qui cite un enquêteur de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), Alexandre Benalla avait le bras très long au sein des forces de sécurité, à tel point qu'il avait accès, selon ce témoignage, à «tous les télégrammes, à toutes les notes de service» de la police. Par ailleurs, selon le Canard, qui cite toujours cette source : «On le [Alexandre Benalla] voyait régulièrement dans la salle de commandement, et sur des dispositifs. Son omniprésence, comme sa façon d'agir, donnaient le sentiment qu'il faisait partie de la haute hiérarchie policière.» Un sentiment que semblait cette fois partager Gérard Collomb, selon ses propres déclarations.

    Alexandre Benalla logeait-il quai Branly ?

    Autre révélation qui semble gêner le gouvernement, lequel s'est énergiquement ingénié à qualifier cette information de «fake news» à plusieurs reprises, notamment par la voix d'Agnès Buzyn et du président lui-même dans son allocution privée du 24 juillet à la maison de l'Amérique latine à Paris : Alexandre Benalla aurait bien déclaré dans un document de l'administration fiscale — dont l'hebdomadaire s'est procuré une copie — qu'il occupait un logement au 11, quai Branly à Paris. Pour mémoire, c'est dans cette dépendance de l'Elysée, sobrement appelée le site de l'Alma, que François Mitterrand avait logé sa famille illégitime, ainsi que cela avait été révélé par la suite dans le cadre de l'affaire Mazarine Pingeot, sa fille cachée.

    A l'appui de cette révélation, Le Canard enchaîné produit dans ses colonnes la copie du document, ainsi que l'a relevé l'élu Les Républicains de Saône-et-Loire, Gilles Platret.

    Gilles PLATRET@gillesplatret
     
     

    Le @canardenchaine révèle également ce matin, outre le mensonge de Collomb sous serment, que l’Elysée a menti en assurant que n’a jamais habité dans le logement de fonction quai Branly : il le déclare à l’administration fiscale comme son logement à compter du 9 juillet.

     

    Enfin, l'hebdomadaire relate la soirée du retour des Bleus en France et révèle le rôle de premier plan d'Alexandre Benalla, vu depuis les coulisses.

    Le retour très mouvementé des Bleus : un ratage signé Elysée ?

    Selon les informations du palmipède, lors de la journée du retour de l'équipe de France, après avoir eu maille à partir avec un commandant de gendarmerie sur le tarmac à Roissy, ainsi que RT France le rapportait le 20 juillet, l'ancien attaché de mission au cabinet de l'Elysée aurait ensuite été chargé d'imposer une «cadence d'enfer» au bus conduisant les Bleus sur les Champs-Elysées. «A la clé, l'assurance pour Macron de faire l'ouverture des 20 heures avec les Bleus en direct à l'Elysée», selon le Canard.

    Le journal révèle également comment s'est déroulée l'évacuation de la Place de la Concorde qui a eu lieu plus tard dans la soirée, lorsque les 300 000 fans massés dans le secteur s'attardaient, déçus de n'avoir pas pu célébrer le sacre de leur champions du monde : «Benalla, en bon maître de cérémonie, a donné l'ordre à un commissaire — qui s'est rebiffé, avant d'obéir — de disperser le peuple de la Concorde à coups de matraque.» Ces informations se recoupent également avec celles que RT France publiait le 20 juillet.

    Lire aussi : Arrivée des Bleus à Roissy : Gendarme : «Qui êtes-vous ?», Benalla : «Vous me manquez de respect»

  • Macron s'exprime pour la première fois devant la presse et s'emporte contre les médias

    https://www.bfmtv.com/politique/affaire-benalla-macron-s-exprime-pour-la-premiere-fois-devant-la-presse-1495241.html

  • Et pendant ce temps là, Brigitte Macron accueille seule Brigitte Bardot à l'Elysée

     

    Brigitte Macron a accueilli et raccompagné Brigitte Bardot seule, lors de sa venue à l'Elysée ce 23 juillet. S'il a assuré l'entretien, Emmanuel Macron a séché la séance photo. Contrairement à son habitude.

    Emmanuel Macron a reçu Brigitte Bardot à l'Elysée, ce 24 juillet aux alentours de 11 heures du matin. Au coeur de l'affaire Alexandre Benalla, le président de la République a donc décidé de continuer à assurer les entretiens qu'il avait prévu dans son agenda. Seules rencontres qu'il peut conduire sans sortir de l'Elysée. D'ailleurs, contrairement à ses habitudes, et à la tradition, le président de la République n'est pas sorti sur le perron pour accueillir l'ancienne actrice, chanteuse et désormais activiste. Il ne l'a pas raccompagnée non plus, privant les photographes d'une poignée de main avec l'icône.

    Seule Brigitte Macron est sortie de l'Elysée, raccompagnant l'actrice mais ne prenant pas vraiment la pose. Les photographes n'avaient pas été autorisés à entrer dans la cour du Palais de l'Elysée. Les quelques clichés ont donc été capturés de l'extérieur des grilles. La première dame s'est elle aussi montrée discrète quoique souriante, sur le parvis du Palais. Seule image de l'entretien, et d'Emmanuel Macron : un cliché montrant Brigitte Bardot assise dans un salon de l'Elysée avec à ses pieds Nemo et le couple présidentiel assis à ses côtés en train de discuter. L'image a été diffusée par la Fondation Bardot.

     

    Closer

    NdB: Il semble que le couple présidentiel ne connaît pas la politesse élémentaire envers une vieille dame qui a des difficultés pour marcher. 

  • Les syndicats de police dénoncent les « barbouzes » au sein de la sécurité du président Macron : « Benalla faisait régner la terreur » (Màj)