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  • 17 juillet 1918 : le massacre de la famille impériale russe

     

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    La famille impériale des Romanov

     

     
     

    La chute du Tsar Nicolas II après la révolution de février puis celle d’octobre 1917, la signature du Traité de Brest-Litovsk le 3 mars 1918 qui met fin à la guerre sur le front russe, puis le régime de terreur instauré par les Bolcheviks permettent à Lénine (1870-1924) d’asseoir chaque jour un peu plus son pouvoir.

    À l’image des révolutionnaires français face à l’Ancien régime, il s’agit de faire table rase du passé pour créer un nouveau monde, naturellement meilleur que le précédent. Après son abdication, Nicolas II et sa famille sont placés, le 22 mars 1917, en résidence surveillée au Palais Alexandre à Saint-Pétersbourg. Au mois d’août suivant, sur ordre du gouvernement provisoire dirigé par Alexandre Kerenski (1881-1970), la famille impériale est transférée à Tobolsk, en Sibérie, soi-disant pour la protéger des dangers de la Révolution. En réalité, les conditions de détention de Nicolas II et de sa famille ne cessent de se dégrader, au point que leurs membres finissent par partager les rations des soldats qui les gardent. Leur présence agace aussi Lénine qui craint deux menaces : d’abord les armées blanches, favorables au Tsar et qui combattent toujours l’armée rouge; ensuite les puissances étrangères, au premier rang desquelles, l’Angleterre. Le roi Georges V étant le cousin germain de Nicolas II (1), les tentatives d’enlèvement sont toujours possibles.

    Entre avril et mai 1918, la famille impériale est rapatriée à Ekaterinbourg, ville réputée pour sa forte assise révolutionnaire. Elle loge dans la villa Ipatiev (2). On pourra ainsi mieux la surveiller. Mais les armées blanches, notamment des unités de la Légion tchèque, arrivent aux portes de la ville et la crainte d’un enlèvement grandit. Le 16 juillet, ordre est donné d’éliminer physiquement la famille impériale. Il est signé, au nom du Soviet régional de l’Oural, par Iakov Sverdlov (1885-1919) (3). Officiellement, Lénine n’est au courant de rien… Mais Léon Trotski (1879-1940) affirmera plus tard le contraire.

    Vers minuit, on réveille le Tsar et sa famille. Le geôlier, Iakov Iourovski (1878-1938) aurait indiqué à Nicolas II : « Nikolaï Alexandrovitch, les vôtres ont essayé de vous sauver, mais ils n’y sont pas parvenus. Et nous sommes obligés de vous fusiller. Votre vie est terminée ». On les conduit dans la cave de la villa et la quinzaine de soldats présents abattent le Tsar, sa famille et les membres de sa suite. Ils sont plus assassinés qu’exécutés. Plusieurs d’entre eux sont littéralement terminés au couteau ou à la baïonnette. Puis les onze corps (4) sont emportés jusqu’à un puits de mine avant d’être repêchés pour être brûlés. En vain. Finalement les corps sont aspergés d’acide sulfurique pour empêcher toute reconnaissance.

    Par la suite, les restes de la famille impériale sont retrouvés dans une fosse commune d’Ekaterinbourg en 1991 puis identifiés grâce à des tests ADN. Les onze martyrs du 17 juillet ont été canonisés par l’Église orthodoxe en 2000.

    Un siècle plus tard, l’enquête criminelle n’est toujours pas officiellement close et il y a toujours des révisionnistes communistes pour affirmer que la famille impériale n’a pas été massacrée sur ordre des Bolcheviks…

    1 Leur ressemblance est à ce point frappante que l’on croirait deux frères jumeaux.
    2 Elle a été démolie en 1977.
    3 C’est en son honneur qu’Ekaterinbourg sera rebaptisée en 1924 Sverdlovsk.
    4 Ceux de Nicolas II et sa famille (sept personnes) auxquels s’ajoutent ceux de sa suite (femme de chambre, valet de pied, médecin et cuisinier)

     
  • En France, fêter la victoire voudrait donc dire aussi… agresser les femmes ?

     

     
     

    Le Point, France Info, BFMTV, Le Parisien, Le JDD, Closermag, le Dauphiné, Madmoizelle, Madame Figaro, l’Obs… la liste des  journaux évoquant cet épineux sujet s’allonge, même si une fois de plus, ce ne sont pas eux qui ont levé le lièvre mais les réseaux sociaux : sur Twitter, pour rassembler les nombreux témoignages livrés ça et là de façon désordonnée, a été lancé le hashtag #MeTooFoot. Vous avez compris.

    Nombre de jeunes femmes qui avaient souhaité se joindre à la foule dimanche soir, dans les bars ou sur les Champs-Élysées ont vite déchanté et rebroussé chemin. Quand elles le pouvaient encore : « La coupe du monde m’a rappelé qu’en tant que femme, je reste parfois une proie », « je me débattais en pleurant », « Je le repousse, il me prend par le cou en me disant :  c’est la victoire, qu’est-ce que tu attends ? » , « Je suis mal, très mal », «j’avais envie de pleurer d’énervement ».

    Voilà. L’écriture inclusive n’y peut rien. L’éradication des cartables roses non plus. Tous les bouquins de Marlène Schiappa encore moins : le premier droit de la femme devrait être celui d’évoluer librement où elle veut, dans la rue, les bars ou les transports en commun, quand elle veut, le matin, dès potron minet ou le soir, entre chien et loup, et si cela lui chante. Mais l’égalité entre homme et femme ne peut se concevoir que si une toute petite chose, purement matérielle, qui fait défaut à cette dernière et que l’on appelle la force physique, n’est pas toute puissante dans l’espace public. Et elle le devient sitôt qu’une société, par laxisme, paralysie, inconscience, idéologie, retourne à la loi de la jungle autrement appelée… celle du plus fort.

    Mais que croyait-on, au juste ? Que des petites frappes alcoolisées et agressives, cognant les passants, défiant les forces de l’ordre, saccageant les voitures, brisant les devantures et pillant les magasins allaient s’incliner, devant les jeunes filles en fleur, comme des gentlemen déférents : « mais après vous, mademoiselle ! ».

    Prise en étau entre une population masculine autochtone biberonnée à l’école libertaire – qui a dérégulé les relations hommes-femmes pour une plus grande fluidité du commerce sexuel (au vieux sens du terme), comme l’école libérale a dérégulé les relations marchandes pour une plus grande fluidité du commerce tout court, conduisant, dans l’un et l’autre cas, à plus de brutalité et moins de protection pour le (la) plus faible -, et une population masculine allochtone dont le regard sur la femme n’est pas culturellement le nôtre – et qui jauge péremptoirement la vertu de celle-ci à l’aune de critères qui nous sont étrangers -, ne pouvant compter, pour plaider sa cause en haut lieu, que sur un bataillons de féministes sourdes et aveugles à cette enclume comme à ce marteau, la femme est parfois, disons-là, bien seulette. Et le soir de la coupe du monde, elle n’était pas à la fête. Comment s’en étonner ?

     
  • Légion d’honneur pour les Bleus : «Les soldats la méritent plus que nous», estime Olivier Giroud

     

    17h31

     

    Les joueurs de l’équipe de France championne du monde vont recevoir la Légion d’honneur. Lundi, les services de l’Elysée ont indiqué qu’elle ne leur sera remise que dans quelques mois. Les coéquipiers d’Hugo Lloris seront donc récompensés d’une des plus hautes distinctions de la République, à l’instar des champions du monde 1998, emmenés alors par Didier Deschamps.

    Interrogé sur BFMTV à l’hôtel de Crillon mardi matin, Olivier Giroud a donné son sentiment à propos de cette décoration. « Cela représente beaucoup, ça veut dire que l’on a fait beaucoup pour le pays. C’est une chance, un privilège. Je pense surtout aux combattants de la guerre qui la méritent bien plus que nous. Je la prendrai avec plaisir et je vais la bichonner », a conclu l’attaquant des Bleus.

    Dans le même entretien, Olivier Giroud est revenu sur les festivités de lundi et notamment la descente des Champs Elysées dans un bus à impériale.

  • L’affligeant bilan de quatre « soirées festives » à Paris, par Pierre Malpouge

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    Les nuits de fête se suivent et se ressemblent. Qu’il s’agisse des deux nuits de la fête nationale des 13 et 14 juillet, ou de celles des 15 et 16 juillet célébrant la victoire des Bleus, les fêtards et les racailles ayant envahi l’avenue des Champs-Elysées à Paris et les rues adjacentes, ont laissé éclater leur joie, de façon parfois très violente.

    Telles les fourmis ravageuses et détruisant tout sur leur passage du film Quand la Marabunta gronde, les « poètes » du ballon rond s’en sont donné à cœur joie en matière de casse et d’exactions diverses et variées. Voitures brûlées, magasins pillés, mobilier urbain saccagé, vitrines brisées, agressions, heurts avec les forces de l’ordre, le volet « gentil » de la fête aura été de courte durée.

    Noyés dans une foule immense, les casseurs ont en effet investi les Champs-Elysées où s’étaient massées des centaines de milliers de personnes.

    Dimanche soir, quelque 845 voitures étaient déjà parties en fumée. La veille au soir, 508 personnes avaient été placées en garde à vue suite à ce que l’on nomme « incidents », du côté de la Place Beauvau.

    « Compte tenu de la foule présente et malgré des débordements inacceptables, on doit enregistrer un bilan mesuré », a souligné pour sa part le préfet de Paris, Michel Delpuech, heureux récipiendaire de la Légion d’honneur (promotion du 14 juillet).

    45 policiers et gendarmes ont été blessés. Gaz lacrymogènes et engins lanceurs d’eau ont répondu aux jets de bouteilles ou de chaises.

    Mêmes débordements festifs dans la nuit de lundi à mardi aux abords de l’Hôtel Crillon (place de la Concorde) où des « supporters » énervés d’attendre l’apparition des « héros » se sont frottés aux forces de l’ordre. Ce mardi à 6 h du matin, la carcasse calcinée d’une voiture continuait à fumer à quelques pas de l’Olympia.

    Ailleurs en Ile-de-France, 24 voitures ont brûlé en Seine-Saint-Denis, des voitures ont également été incendiées en Seine-et-Marne et dans le Val-de-Marne. Dans le Val-d’Oise, une cinquantaine de personnes ont été interpellées tandis qu’en Essonne, incendies en série et affrontements entre bandes et policiers se sont déroulés.

    Ce type de « joyeusetés » se décentralise désormais un peu partout en France.

    L’alcool et la stupidité ont aussi été à l’origine d’accidents graves, voire mortels : à Saint-Félix (Oise), un automobiliste qui hurlait sa joie en conduisant est décédé après avoir percuté un platane. En Meurthe-et-Moselle, trois enfants ont été percutés par une moto. A Aubenas (Ardèche), trois piétons ont été heurtés par un automobiliste. A Annecy, un homme s’est noyé après avoir sauté dans un canal presque à sec…pour manifester sa joie. A Marseille, plusieurs « incidents » entre supporters et forces de l’ordre ont éclaté autour du Vieux-Port. Même chose à Nantes, à Ajaccio, à Strasbourg ou encore à Rouen. Mais comme le disent les autorités, toutes ces joyeuses soirées se sont globalement déroulées de manière très festive partout en France.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 17 juillet 2018

  • Anniversaire de Jean-Marie Le Pen (90 ans) et les Brigandes !

    Prédédé une introduction de Jean-Maris LE  PEN

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         

  • Des Bleus dans les yeux: victoire et désespoir…

     

    Protocole et "débordements" ont un peu terni la fête qui se voulait populaire

     

    La folie douce qui a gagné les Français depuis la victoire des Bleus ne cachera pas longtemps de douloureuses fractures. La sphère médiatico-politique est tiraillée entre l’envie de tirer parti du formidable résultat sportif et la volonté de ne pas en faire trop… D’autant que la délinquance endémique a une nouvelle fois troublé la fête.


    Ainsi, depuis dimanche soir, tout va pour le mieux dans la meilleure des France ! « Les Bleus sont entrés dans l’histoire » par ici. « Rien ne sera plus comme avant » par là. La presse nationale se repaît de ces fadaises depuis 48 heures. Mais on ne nous fera pas le même coup qu’en 1998 : au diable les récupérations politiques ! N’est-ce pas ? Et c’est vrai, on est d’abord tenté d’adhérer à l’optimisme de Natacha Polony quand elle affirme que « les jours de gloire ne se dédaignent pas, quels qu’ils soient ».

    L’unité retrouvée, vraiment ?

    Depuis dimanche, les journalistes n’ont de cesse de rappeler la baraka d’Emmanuel Macron. Sa cote de popularité devrait en toute logique remonter après ce Mondial. A écouter nos éditorialistes, c’est formidable pour la France. Ah ! Les bains délicieux à venir pour savourer tout ça dans la piscine hors-sol de Brégançon ! En bon chef croquignolesque de notre startup nation, Emmanuel Macron avait déclaré aux joueurs que la compétition ne serait réussie que si la France allait jusqu’au bout. La coupe sinon rien. Euphorie des télés : le pari est gagné. La pression « de dingue » du président et l’exigence de Deschamps ont payé !

    A lire aussi: La France, championne du monde de la casse

    On s’extasie devant les embrassades entre les joueurs et Macron (sans oublier la présidente de la Croatie, sosie officiel de Jeane Manson). Toutefois, il demeure pour certains mauvais coucheurs une difficulté à se réjouir complètement. La lecture des journaux entretient leur malaise. D’une manière plus ou moins sibylline, les gros titres nous apprennent que l’équipe de France signerait l’unité retrouvée d’un merveilleux peuple multiculturel. Les gros sabots (à crampons) de 1998 n’ont pas été chaussés par les politiques, mais les médias de la Macronie semblent tentés. L’impayable Lilian Thuram n’a-t-il pas successivement été invité, hier soir, à commenter le retour des Bleus en France sur M6 puis TF1 ? La France « black blanc beur », ce cadeau empoisonné que la Chiraquie a laissé à nos footeux en 1998 ? Notre sphère politico-médiatique y va à présent piano piano… Sans avoir complètement changé sa partition, l’évoquer semble du plus mauvais goût 20 ans plus tard. Le « suicide français » vient cette fois s’immiscer dans notre petite parenthèse de bonheur… Pendant des heures d’un « décryptage » sociologique plus ou moins appuyé à l’antenne, tout ce petit cirque minimise soigneusement les graves débordements qui ont émaillé certains rassemblements le soir de la victoire de Griezmann, Mbappé et leurs amis.

    Identité caricaturée

    La pression que l’équipe de France a eue sur les épaules est à la mesure de l’écrasant poids de la question identitaire française. Craignant de se faire complètement voler la vedette par son ami Mbappé, Griezmann avait gentiment « trollé » TF1 avec un tonitruant : « Vive la France ! Vive la République! », un soir de France-Argentine.

    Téléfoot
     
    @telefoot_TF1
     
     

    Revoyez l'ENOOORME vidéobomb de @AntoGriezmann alors que @KMbappe revient sur son match au micro de @FredCalenge 
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  • La mer, bergère d'azur...

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    (Photos EB - Marseille juillet 2018)

  • Éric Zemmour évincé de la matinale de RTL

     

     

    La chronique « On n'est pas forcément d'accord », dans laquelle Éric Zemmour intervenait, n'a pas été reconduite, selon « Challenges ».

    Par LePoint.fr
    Publié le  | Le Point.fr
    La chronique &#171;&#160;On n&#8217;est pas forc&#233;ment d&#8217;accord&#160;&#187; de la matinale anim&#233;e par Yves Calvi ne sera pas renouvel&#233;e &#224; la saison prochaine. Mais &#201;ric Zemmour ne quitte pas la station pour autant.

    La chronique « On n’est pas forcément d’accord » de la matinale animée par Yves Calvi ne sera pas renouvelée à la saison prochaine. Mais Éric Zemmour ne quitte pas la station pour autant.

     
     
  • L'implacable radicalisation de la Suède

  • Les Champs Elysées évacués par les CRS après de graves incidents

    Plusieurs centaines de milliers de personnes se sont massées sur les Champs-Elysées pour célébrer la victoire des Bleus en finale de Coupe du monde.

  • Pour le ministre de l’Éducation nationale : « Les Bleus sont une preuve parmi d’autres que l’intégration des étrangers fonctionne plutôt bien »

     

    20h07
    On a beaucoup projeté de fantasmes politiques sur l’Équipe de France de football. Du « black-blanc-beur » de 1998 à la Coupe du monde 2018, les Bleus ont toujours été vus, selon leurs résultat et leur état d’esprit, comme le miroir d’une société qui parvient, ou non, à intégrer ses populations d’origine étrangère. Invité dans le Grand Rendez-vous d’Europe 1 avec CNews et Les Echos dimanche, à quelques heures de la finale contre la Croatie en Russie, Jean-Michel Blanquer a appelé à ne pas trop en faire. « Il faut absolument rester équilibré dans les commentaires. C’est du football, c’est du sport, il ne faut ni minimiser ni extrapoler« , a déclaré le ministre de l’Éducation nationale.

     

     

    Ce qui ne l’empêche pas de considérer que « d’une certaine façon, l’Équipe de football vient souligner de bonnes nouvelles » qu’on « ne voit pas habituellement ». « On insiste souvent sur les pannes de l’intégration mais la réalité c’est que l’intégration fonctionne plutôt bien. Pas parfaitement, mais plutôt bien« , a estimé le ministre, avant de donner un exemple pour appuyer son propos. « Le taux d’insertion dans l’enseignement supérieur en Seine Saint-Denis est supérieur à la moyenne nationale. »

    Cohésion nationale. De manière plus générale, Jean-Michel Blanquer ne juge pas que seule une finale de Coupe du monde soit à même d’unifier le pays et faire oublier ses divisions. La France « a beaucoup plus de cohésion nationale qu’on veut bien le dire« , a-t-il souligné. Cette finale « est un grand moment, mais ce n’est pas le seul. Il y a une possibilité d’unité nationale Nous sommes un grand pays et un grand pays qui sait s’unir dans les grandes circonstances. »

     
  • La fan-zone du Champ de Mars ! Horrible bousculade, des gens piétinés...

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    Très nombreux malaises, sécurité surchargée, crainte d'un mouvement de foule, difficile de gérer l'entrée de 90.000 personnes à la fanzone

     

  • Foot. Omar Sy salue « les drapeaux partout, qui ne sont pas des drapeaux hostiles, pas nationalistes »

     

    13h36

    Quelques heures du match France-Croatie, l’acteur Omar Sy remercie les Bleus pour le chemin qu’ils ont parcouru depuis l’Euro 2016 évoque les symboles que les Bleus représentent désormais pour la jeunesse française.

    […] Quel kif de pouvoir rêver de cette finale, de cette coupe, de voir toute l’effervescence qu’il y a dans les familles, dans les rues, dans nos yeux. Le fait d’être si près, c’est déjà tellement grand et, quoi qu’il advienne, vous avez donc déjà gagné tellement. Vous êtes porteurs de beaucoup de symboles : l’unité, la diversité, l’espoir, l’ambition, la jeunesse. Plus que jamais, nous en avons besoin, de ces symboles. […]

    Il suffit ensuite de voir votre photo de groupe pour constater à quel point elle est le symbole de la diversité et du vivre-ensemble, comment elle illustre la diversité. Parfois, on vous critique, on parle de problème de cohésion et d’attitude des jeunes de banlieue. Vous montrez qu’il faut encourager les choses et les laisser faire. L’espace d’un moment, on oublie tout le reste. Ça fait du bien de pouvoir faire la fête ensemble aussi. C’est réjouissant de voir le branle-bas de combat en France, l’organisation des fan-zones, la légèreté des derniers jours, les drapeaux partout, qui ne sont pas des drapeaux hostiles, pas nationalistes. Ils reprennent juste leurs vraies couleurs. […]

     

     

     

  • Une manifestation pro-Trump à Londres réunit des milliers de soutiens du Président Américain

     

    14h59

    Une manifestation pro-Trump à Londres réunit des milliers de soutiens du Président Américain

     

    «Des Britanniques ont manifesté avec force en faveur du Président Trump. Des milliers de supporters se sont réunis à Londres dont beaucoup portaient des casquettes MAGA et agitaient des drapeaux. Certains brandissaient des pancartes : “La Grande Bretagne aime Trump”.»
    – Fox News, 15 juillet 2018, 12h45

    . Certains brandissaient des pancartes : “La Grande Bretagne aime Trump”.»
    – Fox News, 15 juillet 2018, 12h45

     

  • Nice (06) : journée d’hommage aux 86 victimes de l’attentat islamiste du 14 juillet 2016

     

    0h54
    Le 14 juillet 2016, quelque 86 personnes tombaient sur la promenade des Anglais, à Nice (Alpes-Maritimes), au cours d’un attentat au camion bélier. Deux ans plus tard, alors que la France célèbre sa fête nationale, les Niçois rendent hommage à leurs victimes. Samedi matin, au cours d’une cérémonie, ce sont les noms des victimes qui sont égrénés. Des témoins et victimes aussi se souviennent, marqués pour toujours.

     

     

     

    Samedi après-midi, la cérémonie officielle s’est déroulée en présence du Premier ministre. Le 14 juillet 2016, il n’aura fallu que quatre minutes et 17 secondes pour répandre la mort. Édouard Philippe a rappelé la volonté de fermeté de l’État face au terrorisme. « Nous combattrons les idéologies mortifères, sans répit, sans concession, sans haine non plus mais sans aucune naïveté, dans le respect de nos valeurs mais sans faiblesse« . La ville de Nice a décidé de reprendre la tradition du tir du feu d’artifices en 2019. Le 15 juillet…

  • Migrants : la cinglante diatribe de Marion Maréchal contre Emmanuel Macron

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    / Vendredi 13 juillet 2018 à 17:3077
    Marion Maréchal. Photo © Shutterstock/SIPA
     
     

    Offensive. Le président français et Angela Merkel en prennent pour leur grade, tandis que l’ex-députée du Vaucluse apporte son soutien à Viktor Orbán.

    Marion Maréchal est bel et bien de retour en politique. Dans une interview accordée au quotidien italien Corriere della Serra, repérée par Le Figaro, l’ancienne députée du Vaucluse, qui vient de lancer son école, l’Issep, tire à boulets rouges sur la politique immigrationniste de l’Europe, s’en prenant violemment à Emmanuel Macron et Angela Merkel.

    « Pour lui, la France est une start-up, l’Europe est un marché »

    La nièce de Marine Le Pen fustige ainsi le chef d’Etat français qui, en critiquant le refus de l’Italie d’accueillir le navire humanitaire Aquarius, a selon elle « fait une grave erreur en insultant le peuple italien ». « Mais vous n'êtes pas les uniques victimes de son mépris », poursuit-elle. « Il l'exprime également contre les Français », lâche Marion Maréchal, dans une allusion à peine voilée à l’usage par le président du mot « lèpre » pour qualifier les « extrêmes ». « Pour lui la France est une start-up, l'Europe est un marché et les peuples un agglomérat d'individus interchangeables », s’étrangle-t-elle.

    SUR LE MÊME SUJET
     

    La chancelière allemande n’est pas épargnée. « Quand Merkel décide d'accueillir un million de migrants, elle les impose aux autres pays », s’insurge-t-elle, avant d’appeler à « une politique commune contre les ONG qui sont complices des trafics d'êtres humains ». Marion Maréchal fait clairement part de son soutien au Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, qualifié de « leader autoritaire » par la classe politique. « Une Europe des Nations qui défend une civilisation aux racines chrétiennes, en lutte contre les excès du libéralisme et la domination de la finance et une politique de soutien à la natalité plutôt que le recours à l'immigration pour la relance démographique, voilà la vision soi-disant ‘autoritaire’ d'Orbán », lâche-t-elle. Et de conclure en soulignant que bien loin des 49% de voix remportées le leader hongrois avec près de 70% de participation, « Emmanuel Macron est le moins bien élu de tous les présidents de la Ve République ». « Lequel des deux est dans une position la moins démocratique ? » Un parallèle qui ne manquera pas de faire grincer le chef de l’Etat.

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