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Benalla: encore un passeport banlieue qui passe mal !
http://resistancerepublicaine.eu/2018/07/19/benalla-encore-un-passeport-banlieue-qui-passe-mal/
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Macron a mis deux mois et demi à lâcher Benalla
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50 familles de fermiers blancs fuyant les violences en Afrique du Sud bientôt accueillies en Russie
© RTLa famille Schlebusch reçue à StavropolLes premières familles de fermiers blancs vont bientôt arriver en Russie pour s'y installer et ainsi fuir les menaces et violences auxquelles elles font face en Afrique du Sud. Ils seraient près de 15 000 à envisager cette solution.
La famille Schlebusch, qui habite à Bloemfontein, en Afrique du Sud, sera une des premières à venir s'installer dans le sud-ouest de la Russie. Comme la plupart des autres Boers – les descendants des colons néerlandais –, ils viennent y chercher l'asile politique. Ils expliquent être victimes d'attaques violentes et de menaces de mort dans leur pays natal, où le président Cyril Ramaphosa a ordonné, le 20 février dernier, «l'expropriation de terres sans compensation» des fermiers blancs pour accélérer leur «redistribution» aux Sud-Africains noirs.
Source: RTLa famille Schlebusch avec le vice-délégué aux droits de l'homme de Stavropol Vladimir PoluboyarenkoDébut juillet, le père de famille Adi Schlebusch a visité la région agricole de Stavropol en Russie, pour venir prendre ses marques. Interrogé par RT, il a confié les raisons qui l'ont poussé à prendre la décision d'immigrer. «La réalité est que nous craignons pour nos vies. Et la réalité c'est qu'un fermier blanc par jour est attaqué en Afrique du Sud», a ainsi déclaré Adi Schlebusch, dont le grand-père a été assassiné dans sa ferme. «Le gouvernement est certainement responsable d'avoir créé ce climat d'antagonisme envers les fermiers blancs», a-t-il accusé.
«Je sais que la croissance de la production agricole est immense en Russie. Alors je pense que c'est le bon moment pour investir dans l'agriculture du pays, je pense qu'il y a beaucoup de potentiel», a-t-il poursuivi.
Source: RTLa famille Schlebusch en compagnie du vice-délégué aux droits de l'homme de Stavropol Vladimir PoluboyarenkoLa région de Stavropol s'apprête à accueillir 50 familles boers, d'après les chiffres communiqués par le vice-délégué aux droits de l'homme de la région Vladimir Poluboyarenko. Il a déclaré à RT qu'un plan existait pour l'installation dans la région de 500 familles et leur bétail. Vladimir Poluboyarenko estime à 15 000 le nombre de Boers prêts à quitter leur pays pour commencer une nouvelle vie en Russie. Une délégation russe doit d'ailleurs se rendre en Afrique du Sud pour peaufiner avec la communauté boer un plan de réinstallation.
Les Blancs, qui représentent 8% de la population sud-africaine, possèdent 72% des fermes dans le pays. Or, dans un souci de «soigner les divisions du passé», le président sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé le 20 février dernier que «l'expropriation de terres sans compensation» était envisagée pour accélérer leur «redistribution» aux Sud-Africains noirs.
Une mesure similaire avait été prise au Zimbabwe au début des années 2000 : des milliers de fermiers blancs avaient été expulsés manu militari au profit de Noirs, plongeant le pays dans une profonde crise économique.
RT
NdB: Voilà une excellente nouvelle qui nous réjouit le coeur! Et merci à la Russie et à l'Australie!
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JOURNAL TVL 20 JUILLET 2018
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Alexandre Benalla placé en garde à vue: l'Elysée engage une procédure de licenciement
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Les drag-queens envahissent les bibliothèques publiques et visent les petits enfants – l’idéologie passe mieux « avant trois ans »
https://reinformation.tv/drag-queens-bibliotheques-enfants-ideologie-jallais-86563-2/
Il y a moins d’un an, RiTV avait évoqué le démon drag-queen qui avait fait son heure de lecture enfantine à la bibliothèque publique de Michelle Obama à Long Beach. Aujourd’hui, le phénomène s’est encore amplifié en Amérique du Nord. Pire, il se démocratise outre-manche mais aussi en France. Et dans des édifices publics, des bibliothèques aux crèches. C’est « culturel », nous dit-on. Ce serait même humaniste, dans le sens où cette initiation maçonnique ouvre l’éventail des possibilités d’être de tout un chacun, et la tolérance pour tous, pour parler leur langage…
Ni plus ni moins, c’est le programme transgenre qui se met en marche à destination des petits. Car il faut que l’idéologie LGBT atteigne les jeunes esprits avant l’âge de trois ans, comme l’expliquait la directrice d’une bibliothèque américaine – après, ils sont déjà trop genrés… !
La communauté LGBTQ2+ pose les principes du transgénérisme
Évidemment que l’entreprise est idéologique. La première histoire racontée aux enfants par une drag-queen avait eu lieu à la bibliothèque Harvey Milk (activiste gay) de San Francisco et c’est l’auteur « queer » Michelle Tea qui en avait eu l’idée. Depuis, c’est une traînée de poudre. Les promoteurs de ces événements se défendent en disant vouloir créer « un endroit safe qui prépare un monde plus safe », comprenez inclusif, ouvert, sécurisant pour tous…
C’est en réalité, avant tout, un combat contre la nature, la distinction entre homme et femme. Le combat transgenre succède en toute logique au combat homosexuel, allant jusqu’au bout du renversement.
Mais une telle déconstruction ne peut être admise que par ses adeptes. C’est la raison pour laquelle ils visent aujourd’hui la cour de récré ou mieux la classe niveau garderie… Et les drag-queens, personnages « visiblement » compréhensibles, sont les meilleurs vecteurs du transgénérisme. Dans son livre Trouble dans le genre paru en 1990, Judith Butler disait déjà que les drag-queens sont les meilleurs exemples de ce qu’elle appelle la « performativité du genre », c’est-à-dire la dissociation flagrante entre sexe et genre…
Alors ça danse, ça chante, ça fait swinger les bracelets à strass, et ça déguste des cupcakes arc-en-ciel – pléthore de ces séquences en vidéo sur les réseaux sociaux. Il faut bien faire passer la pilule aux enfants, enrober l’invraisemblable avec le festif post-moderne qui fait tout avaler. Les tenues ? Extravagantes ou ultra glamour (si l’on peut dire), leur point commun majeur est l’outrance du maquillage, pour cacher ces traits masculins qu’on ne saurait voir…. (ou parfois féminins, certaines étant des drag-kings !) A côté, les mères de famille venus avec leurs bambins ne semblent même plus des femmes….
Les drag-queens promeuvent dans les bibliothèques des espaces « inclusifs »
Comme le remarquait Jonathon Van Maren de LifeSite, de plus en plus de bibliothèques canadiennes souscrivent à la Drag Queen Story Hour (DQSH) pour lire des livres « LGBT-friendly », de My Princess Boy à Heather Has Two Mommies. Toronto, Burlington, Edmonton, Winnipeg, Charlottetown, Burnaby, Terre-Neuve, Vancouver… Très souvent, même, c’est le festival LGBT de la ville qui parraine l’événement, comme à Halifax ou à Calgary.
Et la vague arc-en-ciel est arrivée en Europe puisqu’à Londres, sept établissements de la London Early Years Development ont accueilli ainsi des drag-queens durant l’hiver 2017, sans compter un certain nombre d’établissements publics primaires. En France, la bibliothèque de Montreuil et la Taverne Gutenberg à Lyon ont lancé l’initiative ces toutes dernières semaines.
Il y a deux discours chez les promoteurs de ces séances de l’horreur (les tout-petits en ont peur, de l’aveu même des drag-queens). Pour le public, c’est l’idée qu’il faut être ce qui nous plaît, réaliser ce dans quoi on se sent le plus à l’aise. Mais par derrière, on avoue qu’il est parfait d’exposer de très jeunes enfants à des hommes qui s’habillent en femmes, « parce que les enfants sont très ouverts jusqu’à environ trois ans. À trois ans, ils commencent à absorber tous les « ismes » que les adultes ont développés très efficacement » (dixit June O’Sullivan, présidente de London Early Years Foundation). Un drag-queen le disait lui-même : il est important que les « jeunes enfants impressionnables » soient exposés à des personnes non binaires…
L’idéologie imposée aux enfants
Le drame est que ces petits enfants évidemment non pubères sont souvent « confus » dans leur genre, comme le faisait remarquer dans le DailyMail, en novembre dernier, Dilys Daws, une psychothérapeute pour enfants, parce qu’ils s’identifient momentanément à un parent, un frère, une sœur, parce qu’ils n’ont amorcé encore aucun développement physique… Et que cette confrontation peut amener à des conséquences extrêmement néfastes.
« Il y a cette idée qui balaie le pays qu’être transgenre est une « situation ordinaire ». Il y a tellement de publicité que les enfants pensent qu’ils pourraient être transgenres, alors que cela ne leur serait pas arrivé autrement ».
Tout est donc fait pour normaliser la dysphorie du genre, qui est à la base un trouble, très majoritairement passager de l’enfance. On utilise le temps de la mise en place de l’identité sexuelle pour la bouleverser et rendre problématique pour la suite la distinction naturelle entre homme et femme. C’est révolutionnaire, c’est diabolique.
Mais malheureusement, comme le disait la directrice de Calgary Pride (festival LGBT de Calgary, Canada), « la conversation sur l’expression du genre ne fait que commencer »… La fluidité sexuelle pour tous, c’est pour demain.
Clémentine Jallais
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Climat : on dénonce une vague de chaleur mondiale, mais la glace est bien là qui ne fond pas – et les ours non plus… 13 juillet 2018 14 h 15 min· Ours glace climat Europe, États-Unis, mais aussi Sibérie… la grosse chaleur est là, nous dit-on ! Mais il f
https://reinformation.tv/86419-2-ours-glace-climat-clementine-jallais/
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JOURNAL TVL 19 JUILLET 2018
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Alexandre Benalla: pourquoi la justice n'a-t-elle pas été saisie ?
causeur.fr/alexandre-benalla-justice-macron-sanction-153008
Au ski derrière Macron
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L'ONU programme le raz-de-marée... 159 millions d'immigrés d'ici à 2025...
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4 militants renvoyés devant la justice après l'entrée de migrants dans les Hautes-Alpes
Ils ont permis l'entrée d'une vingtaine de migrants en avril.
Quatre militants qui avaient permis l'entrée en France d'une vingtaine de migrants le 22 avril lors d'une marche à Briançon (Hautes-Alpes) seront jugés devant le tribunal correctionnel de Gap le 8 novembre prochain, a indiqué mardi le procureur de Gap.
Ces quatre personnes, une femme et trois hommes âgés entre 22 et 51 ans, avaient été convoqués mardi matin à la gendarmerie de Briançon dans le cadre d'une enquête visant à identifier "les principaux acteurs côté français du passage en force de la frontière du 22 avril", a précisé dans un communiqué Raphaël Balland, le procureur de la République à Gap. Le magistrat a ajouté :
"Les quatre personnes se sont présentées sans contrainte à leurs convocations par les gendarmes mais elle ont refusé de répondre à toutes les questions portant sur les faits au cours de leur garde à vue."
L'un des quatre militants interrogés, qui s'était enfui menottes aux poignets le 22 avril "alors qu'il venait d'être difficilement maîtrisé par plusieurs policiers de Briançon", comparaîtra également pour rébellion.
Les quatre militants – dont deux membres sont issus du conseil d'administration du collectif "Tous Migrants", qui vient en aide aux réfugiés dans la région – étaient entendus sous le régime de la garde à vue pour "aide à l'entrée irrégulière" d'étrangers "en bande organisée".
"Principe de fraternité"
Trois militants – une Italienne, un Suisse et un Belgo-Suisse âgés de 23 à 27 ans – sont déjà poursuivis dans cette affaire. Ils avaient comparu le 31 mai devant le tribunal correctionnel de Gap mais leur procès avait été renvoyé également au 8 novembre dans l'attente d'une décision du Conseil constitutionnel.
Celle-ci a été rendue le 6 juillet : les Sages ont affirmé qu'une aide désintéressée au "séjour" irrégulier des étrangers ne saurait être passible de poursuites au nom du "principe de fraternité". En revanche, l'aide à "l'entrée" irrégulière reste illégale.
Benoit, 48 ans, un des militants convoqués, avant d'entrer dans la gendarmerie :
"J'ai la conscience tranquille, je n'ai rien à me reprocher, on a juste aidé des personnes, le principe de fraternité n'a pas de frontières."
Pour Me Yassine Djermoune, un avocat des mis en cause, les militants y voient "une tentative d'intimidation".
Aucune poursuite pour les identitaires
Le 22 avril, près de 150 militants antifascistes avaient franchi la frontière franco-italienne par les pistes de ski du col de Montgenèvre avec une vingtaine de migrants africains. Après de brefs heurts avec les forces de l'ordre, le cortège avait rejoint Briançon sous escorte.
Le 21 avril, une centaine de militants d'extrême droite de Génération identitaire, agissant sous la bannière du mouvement "Defend Europe", avaient bloqué ce col frontalier voisin pour marquer leur hostilité à l'entrée de migrants. Les jours suivants, ils avaient mené des "patrouilles" dans les vallées de la région, agissements qui font l'objet d'enquêtes diligentées par le parquet de Gap mais aucune poursuite n'a encore été engagée.
A.R.
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FOLHUMOUR
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JT TVL 18 JUILLET 2018
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Poitiers (86) : une jeune femme et son compagnon tabassés pour avoir répondu « Non, vive la France ! » à des individus qui criaient « vive l’Algérie ! »
18h59Si d’autres grandes villes ont connu une nuit beaucoup plus chaude, Poitiers a tout de même été le théâtre d’incidents dans la nuit de dimanche à lundi.
Vers minuit, quartier de Saint-Eloi, deux jeunes gens de 19 ans sont dépassés par une voiture d’où sort un cri : « Vive l’Algérie ! ».
Les passants ont le malheur de répondre « Non, vive la France ». Le conducteur descend, donne un coup de poing à la jeune femme qui tombe au sol. Puis des complices arrivent à pied et frappent son compagnon qui s’en tire avec des bleus sur tout le corps. Il a un arrêt de travail inférieur à 8 jours. Les agresseurs sont recherchés par la police.
Merci à Paladin
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Xavier Moreau analyse la rencontre Trump-Poutine au sommet d'Helsinki
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Clandestins : la Hongrie rejette le pacte mondial des Nations unies sur la migration
16h53Ce mercredi, le gouvernement hongrois a rejeté le pacte mondial sur la migration des Nations unies, avant son approbation finale. Interrogé par Euronews, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, a dénoncé un document « biaisé » et « déséquilibré ». Interview.
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Russie : 100 000 personnes commémorent le centenaire de l'assassinat du dernier tsar Nicolas II
Procession nocturne commémorant l'assassinat du dernier tsar, Nicolas II.Une procession nocturne a réuni à Ekatérinbourg près de 100 000 personnes pour commémorer le centenaire de l'assassinat du dernier tsar Nicolas II et des membres de sa famille après son abdication par les bolchéviques.
A la tête de l'Eglise orthodoxe russe, le patriarche Kirill a guidé une procession nocturne de près de 100 000 personnes, commémorant le centenaire de l'assassinat de Nicolas II et de sa famille. Le 17 juillet, la procession a quitté vers 2h (heure locale) le lieu de l'assassinat, à Ekatérinbourg (Oural), pour rejoindre à pied le monastère de Ganima Iama, situé à 21 kilomètres. Près de 20 000 personnes se sont ensuite jointes aux commémorations dans ce monastère, érigé sur le site où ont été enterrés les dépouilles du dernier tsar et des membres de sa famille après leur exécution par les bolchéviques.
Nous devons vraiment résister à toute idée ou dirigeant qui nous propose, via la destruction de notre vie, de nos traditions et de notre foi, d'adopter un soi disant nouvel avenir inconnu et heureux
La Russie doit tirer des leçons «de cette expérience difficile et amère», a déclaré à cette occasion le patriarche de toutes les Russies, s'adressant aux pèlerins. «Nous devons vraiment résister à toute idée ou dirigeant qui nous propose, via la destruction de notre vie, de nos traditions et de notre foi, d'adopter un soi disant nouvel avenir inconnu et heureux», a-t-il souligné.
Une famille impériale canonisée
Nicolas II, la tsarine Alexandra et leurs cinq enfants ont été fusillés dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 par les bolchéviques qui ont ainsi mis fin à 300 ans de règne des Romanov à la tête de l'Empire russe. La famille impériale a été canonisée en 2000 par l'Eglise orthodoxe russe et en 2008, la Cour Suprême de Russie l'a réhabilitée, la jugeant victime de la répression politique bolchévique.
Découverts en 1979, les ossements de Nicolas II, de sa femme et de trois de leurs enfants ont été inhumés à la forteresse Pierre et Paul de Saint-Pétersbourg en 1998. Retrouvés en 2007 seulement, les restes présumés des deux autres enfants du tsar, Alexeï et Maria, n'ont toujours pas été inhumés, faute d'accord entre les autorités et l'Eglise.
Ce 16 juillet, de nouveaux tests ADN sur les restes de la famille impériale ont confirmé leur authenticité. Un porte-parole de l'Eglise, Vladimir Legoïda, a déclaré que le clergé examinerait «avec attention» ces résultats.
RT
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JT TVL 17 JUILLET 2018
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JT TVL 17 JUILLET 2018