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  • Macron au Congrès de Versailles: instauration à l’automne « d’un cadre et de règles » pour l’islam en France; « la frontière véritable est celle qui sépare les progressistes des nationalistes »

    Macron au Congrès de Versailles: instauration à l’automne « d’un cadre et de règles » pour l’islam en France; « la frontière véritable est celle qui sépare les progressistes des nationalistes »

    23h18

    Emmanuel Macron a convoqué les 925 parlementaires français au château de Versailles, ce lundi 9 juillet, pour assister à son deuxième discours du Congrès. Le chef de l’Etat, qui a commencé à s’exprimer vers 15h, a prononcé un discours de près d’une heure et demie.

     

    Emmanuel Macron
     
    @EmmanuelMacron
     
     

    Nous vivons dans un pays qui ressent sourdement la peur d’un effacement culturel, d’un déclin lent des repères historiques qui ont forgé notre nation.

     
     

     

    Le chef de l’Etat a annoncé, sans précisions, l’instauration à l’automne d’un « cadre et de règles » garantissant que l’islam « s’exercera partout de manière conforme aux lois de la République ».

    Migrants : « Aucune solution de court terme »

    Dans une évocation du « défi migratoire » qui touche l’Europe, Emmanuel Macron a rappelé sa position médiane (…). Le chef de l’Etat a appelé à un partenariat refondé avec l’Afrique. S’il promet un « renforcement de nos frontières communes en Europe« , Emmanuel Macron s’est aussi refusé aux « solutions de facilité que d’aucuns proposent, et qui consisteraient à organiser des déportations à travers l’Europe […] d’étrangers qu’on ne voudrait pas« .

    « La frontière véritable qui traverse l’Europe est celle qui sépare les progressistes des nationalistes« , a diagnostiqué Macron.

    NouvelObs

  • « Délit de solidarité » : la victoire à la Pyrrhus des no border

     

     

    La décision du Conseil constitutionnel a peu de conséquences pratiques

     

    En réponse à l’ami des migrants, Cédric Herrou, le Conseil constitutionnel a estimé, comme l’ont repris les grands médias, « qu’une aide désintéressée au séjour irrégulier ne saurait être passible de poursuites, au nom du ‘principe de fraternité’ « . Mais la « victoire » des no border n’est que symbolique. 


    Notre planète connaît, depuis le début du XXe siècle, une expansion démographique inouïe dans l’histoire de l’humanité : une multiplication par huit de la population (de 1 milliard à bientôt 8…). Les questions de l’occupation de l’espace habité et de sa stabilité socio-économique, puis politique, deviennent donc des problèmes sans précédent historique. Et comparer les mouvements de population des siècles précédents avec ceux du XXIe siècle n’a aucun sens. En effet la pression immigratoire que subit le continent européen depuis un demi siècle a concerné des millions de personnes, le mouvement s’accentuant récemment et se dramatisant (exploitation cynique et vénale de la crédulité des migrants par des entreprises de trafic d’êtres humains et leurs complices; morts dans des conditions terribles).

    Le droit à émigrer n’est pas un droit à immigrer

    En droit se posent plusieurs questions relatives à l’attitude que les pays de destination (et non pas d’accueil) doivent avoir face à ces centaines de milliers de personnes qui tentent de pénétrer sur leurs territoires. Le terme généralement utilisé de « migrants » est déjà intenable car il établit un amalgame entre les réfugiés, demandeurs d’asiles, les fugitifs qui tentent d’échapper aux autorités judiciaires de leurs pays, les clandestins qui pensent trouver aides sociales et emplois. Car les vrais immigrants se présentent aux frontières, aux services d’immigration officiels, munis des documents que suppose l’entrée sur le territoire de toute nation par le monde. Entrer sur le territoire national en fraude est passible de sanctions pénales sans parler de l’expulsion.

     

    Cette protection de la nation, du lien à la nation, et donc du sentiment national s’intègre aux principes essentiels communs à l’humanité, principes qui ont été posés par des textes à vocation universelle, le plus souvent des textes internationaux.

    • La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, en France (1789)
    • La Déclaration universelle des droits de l’homme, des Nations Unies (1948)
    • La Convention européenne des droits de l’homme, du Conseil de l’Europe (1950)
    • Le Pacte international des Nations Unies sur les droits civils et politiques (1966)
    • La Convention internationale sur la discrimination raciale, des Nations Unies (1981)
    • La Charte des droits fondamentaux, Union Européenne (2000)

    Le droit pour la nation de sauvegarder son existence est affirmé par l’article 4 du Pacte des Nations unies pour les droits civils et politiques : « Dans le cas où un danger […] menace l’existence de la Nation, [celle-ci peut] prendre […] des mesures [de sauvegarde] dans le respect du droit des minorités ». De ce texte on infère généralement, que la minorité, si elle doit être respectée, n’est que la minorité et l’exception, et donc que la règle est posée par la majorité historique et culturelle de la nation.

    Le Pacte des Nations unies, dans ses articles 1 à 5, mais aussi la Déclaration universelle des droits de l’homme (article 13) proclament le droit à émigrer. Mais le droit de quitter son pays et, d’ailleurs aussi, celui d’y revenir, n’est nullement le droit d’immigrer qui, lui, n’existe pas et n’est visé par aucun texte sur l’immigration. Entrer dans un pays en fraude, ou même s’y maintenir en fraude, constitue une infraction administrative, qui peut devenir une infraction pénale. En France, peut être puni d’une peine de prison de trois ans l’étranger qui a tenté de se soustraire à une mesure de reconduite à la frontière (article 27, Ordonnance du 2 novembre 1945, désormais, devenue, depuis l’Ordonnance du 24 novembre 2004, l’article L 624-1 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers).

    La décision ambigüe du Conseil constitutionnel

    Dans un contexte politiquement très tendu, dans tous les pays d’Europe, sur la question migratoire survient cette décision du Conseil constitutionnel français après qu’il eut été saisi dans le cadre de la Question prioritaire de constitutionnalité (QPC) par les avocats d’un personne condamnée pénalement pour l’assistance qu’elle offrait à des migrants franchissant illégalement la frontière franco-italienne. Cette décision n’a pas encore été publiée dans son intégralité, à l’heure où j’écris ; toutefois, un communiqué de presseofficiel a été publié par le Conseil.

    Comme bien souvent, hélas, les médias cherchent le sensationnel ou une confirmation de leurs engagements idéologiques. Et ont cru voir dans cette décision une victoire de la cause no border. Par delà les émotions variées, quelle sera la portée pratique juridique de cette décision ?

    Le fait que la Fraternité soit consacrée comme valeur constitutionnelle de notre République n’est ni incongru ni si nouveau. Elle est inscrite comme devise en l’article 2 de la Constitution : « La devise de la République est ‘Liberté, Égalité, Fraternité’. Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».

    Le texte pénal qui était soumis à la censure du Conseil devra être réformé. Il s’agit du L. 622-1 et du L.622-4 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA). Citons le Conseil : « En application du premier alinéa de l’article L. 622-1 de ce code, le fait d’aider directement ou indirectement un étranger à entrer, circuler ou séjourner irrégulièrement en France est un délit puni de cinq ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. Toutefois, son article L. 622-4 prévoit plusieurs cas d’exemption pénale en faveur des personnes mises en cause sur le fondement de ce délit. Le 3° de ce même article accorde quant à lui une immunité pénale à toute personne physique ou morale ayant apporté une telle aide à un étranger lorsque cet acte « n’a donné lieu à aucune contrepartie directe ou indirecte et consistait à fournir des conseils juridiques ou des prestations de restauration, d’hébergement ou de soins médicaux destinées à assurer des conditions de vie dignes et décentes à l’étranger, ou bien toute autre aide visant à préserver la dignité ou l’intégrité physique de celui-ci ».

    Or, selon le Conseil : « Il découle de ce principe [de Fraternité] la liberté d’aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national ».

    Les passeurs seront punis

    Il y a là, de prime abord, une imprécision dans l’expression juridique car le Conseil semble faire un amalgame entre « séjour » et « entrée » sur le territoire national. L’activité de passeur, qui va chercher des clandestins pour les aider à entrer illégalement sur le territoire n’est pas une activité humanitaire. Mais un délit.

    D’ailleurs, le Conseil le précise aussitôt : « Rappelant toutefois, selon sa jurisprudence constante, qu’aucun principe non plus qu’aucune règle de valeur constitutionnelle n’assure aux étrangers des droits de caractère général et absolu d’accès et de séjour sur le territoire national et qu’en outre, l’objectif de lutte contre l’immigration irrégulière participe de la sauvegarde de l’ordre public, qui constitue un objectif de valeur constitutionnelle, le Conseil constitutionnel juge qu’il appartient au législateur d’assurer la conciliation entre le principe de fraternité et la sauvegarde de l’ordre public. »

    Concrètement : « Le Conseil constitutionnel prononce, d’une part, la censure des mots ‘au séjour irrégulier’ figurant au premier alinéa de l’article L. 622-4 du CESEDA, en jugeant que, en réprimant toute aide apportée à la circulation de l’étranger en situation irrégulière, y compris si elle constitue l’accessoire de l’aide au séjour de l’étranger et si elle est motivée par un but humanitaire, le législateur n’a pas assuré une conciliation équilibrée entre le principe de fraternité et l’objectif de valeur constitutionnelle de sauvegarde de l’ordre public. Le Conseil constate, en revanche, qu’une telle exemption ne doit pas nécessairement être étendue à l’aide à l’entrée irrégulière, qui, à la différence de l’aide au séjour ou à la circulation, fait naître par principe une situation illicite.

    D’autre part, formulant une réserve d’interprétation, il juge que les dispositions précédemment citées du 3° de l’article L. 622-4 du CESEDA, qui instaurent une immunité pénale en cas d’aide au séjour irrégulier, ne sauraient, sans méconnaître le principe de fraternité, être interprétées autrement que comme s’appliquant également à tout autre acte d’aide apportée dans un but humanitaire que ceux déjà énumérés par ces dispositions. »

    Pratiquement les passeurs, quelles que soient leurs motivations seront punis pénalement et les textes de lois devront être adaptés d’ici la fin de l’année. Une victoire à la Pyrrhus, sans conséquences ni lendemain pour les no border. On est aux antipodes de l’ « immense victoire » claironnée par les ONG et leurs avocats; ainsi que par des élus de gauche.

    Au Parlement, députés et sénateurs ne sont pas d’accord, sur le projet de loi « asile et immigration » : fin juin, les sénateurs avaient durci le texte adopté en avril par l’Assemblée nationale, qui avait précisément assoupli le « délit de solidarité ». Une nouvelle écriture du texte devra donc tenir compte de la décision du Conseil constitutionnel. Alors, avec cette adaptation anodine, ce sera bien le peuple qui reprendra son propre gouvernement ; le principe constitutionnel primordial.

    CAUSEUR

  • Marine Le Pen face à Jean-Jacques Bourdin (en direct)

    https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/marine-le-pen-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-1088275.html

  • Journalistes et migrants: quand on aime, on ne compte pas!

     

    Ces médias qui nous font croire qu'il y a de moins en moins de migrants

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    « Ils ne sont que 630 ! »

    Parmi les journalistes, les vrais sont ceux qui pensent bien, les « généreux ». Comprenez : ceux qui sont pour une « politique migratoire généreuse ». Le genre de discours confortable qui n’engage que les autres.

     
    Advertisment

    Étrangement, les mêmes médias généreux qui s’offusquent des conditions atroces dans lesquelles sont accueillis les migrants plaident pour que nous en accueillions encore plus.

    Cachez ce caniveau…

    Je connais des gens qui doivent enjamber des migrants pour accéder à la porte de leur immeuble. Ce n’est agréable ni pour eux ni, bien sûr, pour les migrants en question. Mais personne n’est allé demander à ces pauvres gars qui dorment sur les trottoirs, parmi les rats et les immondices, s’ils étaient favorables à l’accueil des passagers de l’Aquarius. Allons, soyez sympa M’sieur, poussez un peu vos jambes qu’on puisse coucher quelques personnes de plus dans ce caniveau.

    Eh non.

    Parce que les gens qui dorment dans les caniveaux, bizarrement, quand l’Aquarius est apparu à l’horizon, on n’en a plus entendu parler. Ils n’existaient pas, ils n’avaient jamais existé.

    Quand on aime, on ne compte pas

    Nos journalistes nous ont joué une version douce du Camp des Saints. Le roman de Raspail met en scène une flotte de cargos chargés de pauvres gens venus du delta du Gange pour débarquer sur la Côte d’Azur. Le monde entier suit, par médias généreux interposés, l’équipée de cette armada sans précédent : un million de personnes fuyant la misère.

    Un million ? A côté, l’Aquarius fait pâle figure, avec ses 630 passagers.

    Combien de fois nous l’a-t-on répété : ils sont seulement 630. Dans les interviews : « Mais ils ne sont que 630 ! Vous ne pensez pas que, quand même, on pourrait peut-être… »

    Seulement, contrairement au scénario du Camp des Saints, l’épisode de l’Aquarius n’était pas sans précédent. Il représentait une énième arrivée de migrants dans le cadre d’un flux dense et continu depuis plusieurs années. Le Camp des Saints, mais au compte-gouttes.

    Un plus un égale trois

    La manipulation consistait donc à tenter de faire croire qu’il n’y avait que 630 migrants à accueillir, alors que c’étaient 630 migrants de plus.

    Malheureusement pour nos journalistes, l’argument du « 630 seulement » devait être rapidement fragilisé par les événements eux-mêmes. Quelques jours après l’arrivée à Valence de l’Aquarius, un autre bateau humanitaire apparaissait à l’horizon. Le Lifeline : 234 migrants. Et quelques jours plus tard, l’Open Arms : 59 migrants. « C’est dégressif ! » objectera-t-on. Mais c’est cumulatif. De même, plus généralement, quand on entend que la crise migratoire est derrière nous parce qu’il y aurait « de moins en moins de migrants » (argument entendu dans la bouche d’un journaliste généreux interrogeant un triste sire non généreux), c’est un mensonge: il y en a de plus en plus; seulement, leur nombre augmente dans des proportions moins importantes qu’avant.

    A lire aussi: L’émission de « fact-checking » qui vous dit quoi penser sur l’immigration

    Oh, bien sûr, nous ne pouvons pas dire que nous ne savions pas.

    On nous a proposé nombre de reportages à bord de l’Aquarius : nous savons tout de la prise en charge médicale et de l’aide psychologique que les associations humanitaires apportent à tous ces malheureux. Nous savons que…

    >>> Lisez la suite de l’article sur le blog d’Ingrid Riocreux <<< 

    CAUSEUR

  • Macron dégringole à 32% de popularité !

    Macron dégringole à 32% de popularité : 84% des Français le trouvent pas humble, 75% pas proche des gens, 74% Président des riches, 71% injuste, 65% inefficace

    12h56

    Emmanuel Macron dégringole à 32% de popularité :
    – 84% des Français le trouvent pas humble
    – 75% pas proche des gens
    – 74% Président des riches
    – 71% trouvent sa politique injuste
    – 65% la trouvent inefficace
    (Sources : Kantar Sofres, Odoxa et Dentsu Consulting)

  • Confiscation de sa dotation publique, deux juges d’instruction ont décidé de tuer le Rassemblement National

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    Confiscation de sa dotation publique, deux juges d’instruction ont décidé de tuer le Rassemblement National

     | COMMUNIQUÉS - 8 juillet 2018
    • Rassemblement National

    Communiqué du service de presse

    Le 5 juillet 2018, en violation de tous les principes de droit, deux juges d’instruction affiliés ou proches du Syndicat de la magistrature, ont confisqué la dotation publique du Rassemblement National qui devait être versée le 9 juillet, Ce coup de force sans aucune base légale fait encourir au RN la cessation de paiement, ce qui signifie pour un parti politique une mort certaine.

    Marine Le Pen réagira à cette très grave violation de notre démocratie et de notre Constitution au cours d’une conférence de presse qui se déroulera au siège du Rassemblement National 78 rue des Suisses à Nanterre (92000) le lundi 9 juillet à 10 heures.

    Par | 8 juillet 2018|Communiqués

    À propos de l'auteur : 

     

     

  • URGENT: Le Rassemblement National menacé de mort par les juges

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    Marine Le Pen, Présidente du Rassemblement National

     

     

      Le système français de financement de la vie politique prévoit que, pour leur fonctionnement, les partis politiques bénéficient d'une dotation accordée en fonction du nombre de voix obtenues aux législatives. Dans ce cadre, le Rassemblement National doit toucher de l'Etat environ 4,5 millions d'euros par an sur la mandature soit 22,5 millions en cinq ans.


    Le Rassemblement National devait donc recevoir ces jours-ci une première partie du versement de sa dotation 2018, avec déjà cinq mois de retard.


    Le 5 juillet 2018, dans le cadre de l'affaire dite des « assistants parlementaires »*, une affaire initiée par l'Union Européenne aux mains de nos adversaires politiques, deux juges d'instruction ont procédé à la saisie de ces sommes vitales pour le fonctionnement du parti. Cette décision est intervenue à la demande du parquet, c'est-à-dire du ministère de la Justice. Cela signe le caractère politique de l'initiative.


    Cette décision de blocage de ses moyens de subsistance signifie que le Rassemblement National serait en cessation de paiement à la fin du mois d'août.


    L'ordonnance des juges d'instruction s'appuie sur une violation manifeste du droit :

    Violation de la présomption d'innocence : le RN se voit appliquer une exécution de peine sans avoir été condamné ni même jugé puisque l'affaire est au stade de l'instruction. Cela est d'autant plus choquant que les faits sont contestés formellement.
    Violation du texte invoqué : les juges font application d'une disposition légale applicable au grand banditisme qui vise à confisquer le bien acquis de manière illégale (ex : bien acquis par le trafic de drogue). Or dans le cas d'espèce, il n'existe aucun lien entre la somme due par l'Etat et l'infraction supposée.
    Violation de toute proportionnalité : les juges ont décidé de saisir plus de 2 millions d'euros, qui excèdent très largement par leur montant les amendes encourues et les préjudices prétendus. Cela a été fait en pleine connaissance des conséquences vitales sur notre mouvement.

     

    Le Rassemblement National fait face à une nouvelle et gravissime persécution financière après les refus de tout prêt par l'ensemble des banques, la clôture autoritaire des comptes bancaires du siège et de nombreuses fédérations, le retrait de ses moyens de paiement. Le pouvoir n'est pas sans savoir que le RN qui est un parti pauvre ne survivra pas à la privation de ses moyens de fonctionnement.


    Marine Le Pen et tout le mouvement vont organiser la résistance à cette tentative de faire disparaître le principal parti d'opposition. Ils vont dénoncer cette situation dans l'opinion, lancer des appels aux dons auprès des Français et inviter les mouvements étrangers partenaires à la solidarité politique.


    Il s'agit d'une question de vie ou de mort.


    Vous tous, cadres du Rassemblement National devez être mobilisés. Organisez des conférences de presse, mobilisez au maximum les réseaux sociaux et communiquez largement autour de vous le besoin de récolter des dons notamment en allant sur le site dédié qui sera ouvert à partir de 20h :
    alertedemocratie.fr !


    Nous ne les laisserons pas nous faire taire.
    Résistons !

     


    *Il est reproché aux députés européens FN (aujourd'hui RN) d'avoir utilisé certains de leurs assistants à des tâches politiques autres que le suivi strict des travaux parlementaires. Le Front National a toujours contesté les faits. L'affaire a été montée par l'Olaf, la brigade financière aux ordres de la Commission de Bruxelles. Elle est aujourd'hui au stade de l'instruction. Cette instruction a été confiée à deux juges dont l'un appartient et l'autre est proche du Syndicat de la Magistrature, organisation d'extrême gauche qui organise des conférences avec des islamistes et les indigènes de la république, et à laquelle on doit l'affaire du mur des cons.

     

     

     

    © 2018 Rassemblement National

     

  • Le Premier ministre irakien exige l'exécution immédiate des terroristes condamnés à mort

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    © Alaa Al-Marjani Source: Reuters
    Le premier ministre irakien Haider Al-Abad
     

    Pour tenter d'enrayer la recrudescence d'actes terroristes sur le sol Irakien, le Premier ministre du pays, Haider al-Abadi, a ordonné que soient exécutés les 300 djihadistes de l'Etat islamique déjà condamnés à mort par la justice irakienne.

    Après l’assassinat de huit hommes par Daesh, les autorités irakiennes ont décidé de faire passer un message à l'organisation terroriste. En l'espèce, le Premier ministre de l'Irak, Haider al-Abadi, a ordonné l’exécution immédiate des djihadistes condamnés à mort. «J'ordonne la sanction immédiate des terroristes condamnés à mort et dont les peines ont passé le degré décisif», a-t-il annoncé dans un communiqué. Sont donc concernés les détenus qui ont vu leur appel rejeté et dont la peine capitale a été ratifiée par la présidence de la République, c'est à dire  pas moins de 300 personnes. Parmi eux, une centaine sont d’origine étrangère. 

    Une grande majorité de Turcs

    Les condamnés étrangers sont principalement turcs ou originaires des anciennes républiques de l’URSS. Tarik Jadaoun, un Belge qui avait rejoint l'Etat islamique en 2014 sous le nom de guerre d’Abou Hamza al-Belgiki, figure sur cette liste.

    Le porte-parole du Conseil suprême de la magistrature, le juge Abdel Sattar Bayraqdar, avait précisé en avril que la grande majorité des personnes condamnées à mort appartenaient à Daesh.

    En décembre dernier, Al-Abadi avait proclamé  «la victoire finale» des forces irakiennes contre l'Etat islamique. Malheureusement, on assiste depuis plusieurs semaines à un retour en masse des attaques, enlèvements et embuscades menés et revendiqués par les djihadistes dans plusieurs secteur où Daesh reste présent.

     

    A lire aussi : Redéploiement d'al-Qaïda en Afrique : le Maroc tire la sonnette d'alarme

  • Trump loue Poutine, le protectionnisme...

    7 juillet 2018

  • La Petite Histoire - Comment les méchants conquistadors ont-ils...

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Petite-Histoire-Les-mechants-conquistadors-ont-ils-extermine-les-gentils-azteques-51482.html

  • Deux individus se filment en train de voler un camion de pompiers en pleine intervention (VIDEO)

     

    Deux individus se filment en train de voler un camion de pompiers en pleine intervention (VIDEO)
     

    En se filmant en train de voler un camion de pompiers qui intervenait pour secourir un septuagénaire ayant chuté sur des rochers dans le Jura, deux individus ont provoqué l'indignation d'internet et le dépôt d'une plainte.

    Sur Snapchat et Twitter, la vidéo du vol d’un véhicule de secours fait grand bruit ce 7 juillet. Partagée sur les réseaux sociaux par l'auteur du délit qui a eu lieu le 1er juillet, on y voit deux individus dérober le véhicule appartenant aux pompiers du Jura.

    Alors que le véhicule était en intervention pour tenter de secourir un septuagénaire ayant chuté sur des rochers, tandis q'un hélitreuillage était en cours, deux jeunes hommes s'introduisent à l'intérieur du camion stationné au bord du lac de Chalain sur la commune de Fontenu, selon France 3.

    Au volant du véhicule volé, les deux malfaiteurs enclenchent le gyrophare, visiblement fiers de leur méfait. «On n'a qu'une vie, on a des couilles», entend-on fanfaronner le voleur. «ll a volé un camion de pompiers, frère», ajoute le second individu. Le compte Twitter du jeune homme ayant posté cette vidéo sur les réseaux a été supprimé dès le 1er juillet. Mais, hasard d'internet, la vidéo a refait surface une semaine plus tard, suscitant l'indignation des internautes.

    Le véhicule a finalement été retrouvé une centaine de mètres plus loin. «Nous sommes obligés de laisser tourner les véhicules de secours pendant les interventions pour tenir en charge certains équipements et assurer au mieux le confort des personnes prises en charge», ont expliqué les pompiers du Jura à France 3. Une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte.

    Raconter l'actualité

    L'expression même de la plus crasse bêtise !

     

  • Israël et le racisme ant-africains

     

     

  • Une tentative d'assassinat politique...

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    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch, Député Européen

    Avec ma mise en examen signifiée aujourd’hui par Mme Thepaut, juge d’instruction français, le Parlement européen a ajouté à la persécution politique et au mépris du contradictoire, le délit d’escroquerie au jugement.

    Par une procédure arbitraire interne, dirigée exclusivement contre des députés d’opposition, son administration hostile et politisée tente de me ruiner malgré la production de preuves surabondantes du travail effectif et considérable de mes collaborateurs, travail conforme en tous points à la législation et aux usages de la vie parlementaire.

    Il s’agit en fait d’une tentative d’assassinat politique qui vise à ruiner nos formations politiques et leurs dirigeants en leur extorquant des sommes faramineuses avant tout jugement et au mépris de toutes les règles de droit.

    Devant le tribunal du Luxembourg que j’avais saisi, l’administration parlementaire européenne avait affirmé n’avoir entamé aucune procédure contre moi, ni au civil, ni au pénal. Son mensonge éclate au grand jour.

    Je continue bien sûr à formuler tous les recours possibles en France et à Luxembourg pour faire valoir mon bon droit et me rendre justice. En outre, j’envisage de porter plainte contre les responsables européens concussionnaires qui sont à l’origine de cette persécution parfaitement relayée.

  • Nantes (44) : « Toute la famille doit venir d’Algérie », le voleur de l’écrin du cœur d’Anne de Bretagne veut sortir de prison pour se marier

     

    13h52

    L’un des voleurs présumés du coeur d’Anne de Bretagne, dérobé au musée Dobrée à Nantes, souhaite sortir de prison pour une raison bien particulière : son mariage, organisé en septembre prochain à Nantes. «Toute la famille doit venir d’Algérie. Il y a le traiteur, la salle ou encore le DJ… 10 000 euros ont été engagés» explique son avocate à Ouest France.

    Sa première demande de remise en liberté a été écartée par la chambre d’instruction de Rennes, car l’affaire est encore en cours et qu’il y a «un risque de concertation avec d’autres personnes». […]

    (merci à Hrvatska38)

    Le Figaro

  • Le GRAND REMPLACEMENT...

  • JOURNAL TVL Vendredi 06/07/2018

  • Huit mois de prison ferme requis contre le chef des identitaires lillois pour une bagarre

     

    21h22

    Fondateur du bar la Citadelle, chef du mouvement Génération Identitaire dans le Nord, Aurélien Verhassel était jugé ce mardi après-midi pour une bagarre à Masséna-Solférino en juillet 2015. Un affrontement apolitique, mais aussi bref que violent.

    Que s’est-il passé le 12 juillet 2015, au petit matin ? Rue Nationale, Ouassim et Zakaria dégustent une pizza. Deux hommes débouchent de la rue Masséna. Quelques minutes plus tard, les convives sont groggy et en sang. La police rattrapera très vite le duo, dont Aurélien Verhassel. Cet habitué des nuits lilloises, 31 ans à l’époque, est surtout le chef du mouvement Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut. Un an plus tard, il ouvrira le bar associatif la Citadelle dont l’inauguration sera saluée à coup de manifestations antiracistes.[…]

    La voix du Nord

    Aurélien Verhassel@A_Verhassel
     
     

    8 mois ferme pour avoir défendu mon honneur face à 2 racailles... http://www.lavoixdunord.fr/409570/article/2018-07-03/huit-mois-de-prison-ferme-requis-contre-le-chef-des-identitaires-lillois-pour 

    La Voix du Nord

    Huit mois de prison ferme requis contre le chef des identitaires lillois pour une bagarre

    Fondateur du bar la Citadelle, chef du mouvement Génération Identitaire dans le Nor...

    lavoixdunord.fr
  • Les Pays-Bas votent l'interdiction de la burqa

  • Omar Sy arrêté par la police après avoir insulté un agent SNCF (Màj : Selon la SNCF, l’acteur n’a traité personne de « petite bite »)

     

    15h42

    05/07/2018

    Hier, mercredi 4 juillet, l’acteur Omar Sy a fait les gros titres de la presse. En cause, une supposée insulte de l’ancien acolyte de Fred Testot à un agent de la SNCF, qui aurait conduit à son arrestation alors qu’il s’apprêtait à embarquer dans un train à la Gare de Lyon. Selon Closer, le comédien avait été arrêté par les policiers de la surveillance ferroviaire pour « outrage à agent ».

    Groupe SNCF
     
    @GroupeSNCF
     
     

    1/2 La regrette vivement que les échanges un peu vifs survenus cet après-midi en Gare de Paris Lyon entre M. @OmarSy et un de ses agents fassent l'objet d'un traitement médiatique fondé sur l'exagération des faits et sur des propos que M. Omar Sy n'a jamais tenus. 1/2

    CNEWS
     
    @CNEWS
     

    #OmarSy interpellé pour avoir traité un contrôleur SNCF de «petite b***» https://bit.ly/2u6yeqN 

    Voir l'image sur Twitter
     

     

    Groupe SNCF
     
    @GroupeSNCF
     

    1/2 La regrette vivement que les échanges un peu vifs survenus cet après-midi en Gare de Paris Lyon entre M. @OmarSy et un de ses agents fassent l'objet d'un traitement médiatique fondé sur l'exagération des faits et sur des propos que M. Omar Sy n'a jamais tenus. 1/2 https://twitter.com/cnews/status/1014557775727398913 

    Groupe SNCF
     
    @GroupeSNCF
     

    2/2 comme l’a confirmé l’agent SNCF auprès de sa hiérarchie.
    Cet incident est clos et M. @OmarSy a pu poursuivre son voyage.

     

     

    L’information a été démentie par la SNCF, qui a apporté plus de précisions concernant cet incident. Car oui, il y a bien eu un incident entre le comédien d’Intouchables et l’un des agents de l’entreprise ferroviaire. Interrogé par sa hiérarchie, l’agent impliqué dans le différend avec l’acteur a par contre formellement nié avoir été insulté par ce dernier. Sur Twitter, la Société nationale des chemins de fer français a simplement évoqué des « échanges un peu vifs ».

    Voici


    04/07/2018

    Il aurait traité un agent SNCF de « petite bite »: l’acteur Omar Sy a été arrêté ce mercredi 4 juillet à la gare de Lyon, à Paris, pour « outrage à agent », selon Closer.
    (…)

    Le comédien, qui avait reçu un César pour le film « Intouchables », en 2011, serait monté dans un train avec sept bagages. Lorsque des contrôleurs sont venus lui dire qu’il ne pouvait emporter que trois valises avec lui, ils lui ont rappelé qu’il y avait « d’autres voyageurs ».
    (…)

    Il l’aurait ensuite légèrement bousculé afin de monter dans le train, avant d’être arrêté par la police. On ignore si le contrôleur bousculé et insulté va porter plainte.

    Le Dauphiné