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Blog - Page 1010

  • Fusillade d'Istres: le tueur s'appellerait Karl Rose

    Article + vidéos:  http://www.laprovence.com/article/actualites/2327972/fusillade-distres-le-profil-psy-et-guerrier-dun-individu-nomme-rose.html

  • VIDEO - Organisation de mariage pour couples homosexuels: le marché est ouvert

    http://www.leparisien.fr/societe/video-mariage-le-marche-des-gay-wedding-planners-est-ouvert-26-04-2013-2761375.php

    Article + vidéo

  • L'inspecteur Derrick aurait été membre de la Waffen SS

    Permalien vidéo : http://api.dmcloud.net/player/pubpage/4e7343f894a6f677b10006b4/517acf6594a6f64eaf00026b/dd501a8109314733a00d3798cf803d19?wmode=transparent&autoplay=1

     

    Un grand quotidien allemand affirme que Horst Tappert, l'acteur qui incarnait le policier de la célèbre série télé allemande, a fait partie de la Waffen SS.

    (France 2 - Arnaud Boutet)

    Par Francetv info

    Mis à jour le 26/04/2013 | 21:41 , publié le 26/04/2013 | 21:40

    Une série culte. Un visage connu de tous. Et derrière, peut-être, un sombre passé. Horst Tappert, l'acteur qui incarnait l'inspecteur Derrick dans la série allemande du même nom, aurait fait partie de la Waffen SS. Le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung l'a affirmé, vendredi 26 avril.

    Né en 1923 et mort en 2008, l'acteur mondialement célèbre a été membre à partir de 1943 d'un régiment de chars SS engagé sur le front russe, selon le journal. Horst Tappert aurait d'abord été réserviste auprès d'une batterie anti-aérienne avant de rejoindre la SS. La compagnie à laquelle il aurait appartenu comprenait 100 à 200 soldats, et la Waffen SS dans son ensemble quelque 250 000 membres. Cette unité était déployée en Ukraine, où de nombreux crimes de guerre et crimes contre l'Humanité ont été commis pendant la seconde guerre mondiale.

    Sur son passé militaire, Horst Tappert a généralement été avare de confidences, remarque le quotidien FAZ. "Dans une interview, il avait dit avoir été ambulancier et avoir passé la fin de la guerre en détention", ajoute le journal.

  • Loi Taubira : la Russie veut revoir les accords d'adoption

    Première conséquence de l'adoption de la loi Taubira : les couples légitimes en attente d'adoption devront attendre encore plus longtemps. Déjà qu'il y a peu d'enfants adoptables pour les milliers de couples demandeurs. Le président Vladimir Poutine a annoncé :

    "J'estime que nous sommes en droit d'introduire des changements. Nous devons réagir à ce qui se passe autour de nous".

    Hors de question pour les Russes de confier des enfants à deux personnes de même sexe.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

     

     

  • Loi Taubira : certains politiques entrent en résistance !

     

    Jean-Claude Massiou, le maire d’Abjat sur Bandiat en Dordogne a fait savoir qu’il refuserait d’appliquer la loi Taubira et de marier des « couples » homosexuels. Et ses adjoints aussi ! Quels que soient les risques encourus, ils ne se plieront pas au texte, a-t-il annoncé hier à France Bleue Périgord !

    « Je maintiens cette position et mes adjoints également. Je n’ai pas du tout changé d’idée sur le sujet« , a-t-il déclaré en soulignant qu’aucun des officiers d’état-civil de sa commune ne s’exécutera.

    « C’est sans homophobie ou quoi que ce soit. C’est leur principe: le mariage c’est entre un homme et une femme« , a-t-il expliqué.

    C’est courageux de la part d’un maire de braver la loi de la République quand elle est contraire aux exigences du droit naturel ! De ne pas être prisonnier de l’idéologie libérale qui considère que la loi n’est rien d’autre que l’expression de la volonté générale, sans prendre appui ailleurs que dans la volonté humaine. De rappeler qu’il existe des principes supérieurs à la volonté du législateur !

    Il faudra attendre ensuite la réaction du pouvoir en place. Mais Jean-Claude Massiou ne s’est pas privé de souligner que l’écologiste Noël Mamère, député-maire de Bègles, en Gironde, avait marié en 2004 un « couple » homosexuel alors que cela n’était pas légal, sans pour autant avoir été sanctionné.

    Nous suggérons par ailleurs à monsieur le maire de ne pas reprendre les éléments de langage de la gauche, et de ne pas se justifier en permanence de ne pas être « homophobe ». A reprendre la rhétorique de l’adversaire, à se placer ainsi sur son terrain, on prend le risque d’être toujours dans un rapport de force défavorable, on prend le risque de demeurer culturellement soumis aux schémas idéologiques de la gauche…

    Contre-info.com

  • Boko Haram aurait reçu 2,4 millions d'euros contre les Moulin-Fournier

     

    Créé le 26-04-2013 à 20h01 - Mis à jour à 20h01

    par Tim Cocks

    LAGOS (Reuters) - La secte islamiste Boko Haram a reçu l'équivalent de 2,4 millions d'euros pour la libération des sept membres de la famille Moulin-Fournier qu'elle détenait en otage, selon un rapport confidentiel du gouvernement nigérian obtenu par Reuters.

    Le rapport ne dit pas qui a payé la rançon pour cette famille française, libérée le 19 avril. Il signale toutefois que le Cameroun a libéré des prisonniers membres de Boko Haram dans le cadre de l'accord négocié avec les ravisseurs.

    La France et le Cameroun ont démenti qu'une quelconque rançon ait été versée. Les autorités nigérianes ont refusé de s'exprimer sur le sujet.

    Tanguy Moulin-Fournier, son épouse, son frère et les quatre enfants du couple avaient été enlevés le 19 février alors qu'ils se trouvaient en vacances près du parc national de Waza dans le nord du Cameroun, à une dizaine de kilomètres de la frontière nigériane. Leur lieu de détention était vraisemblablement situé dans le nord-est du Nigeria.

    Au moment de la libération des otages, le président français François Hollande avait démenti le versement d'une quelconque somme d'argent.

    Le rapport nigérian évoque le versement d'une somme de 1,6 milliard de francs CFA (2,4 millions d'euros) et ajoute que jusqu'à la dernière minute, le chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, en a exigé le double. Il a finalement accepté de revoir ses exigences à la baisse en échange de la libération de certains membres de son organisation emprisonnés au Cameroun.

    "PAS DE RANÇON"

    Au ministère français des Affaires étrangères, on se borne à rappeler, à propos de ce rapport, que la France a fait passer un message clair : elle ne paie pas de rançon.

    Un porte-parole du gouvernement camerounais, Issa Tchiroma Bakary, a pour sa part déclaré : "Le Cameroun n'a pas payé de rançon."

    Selon la chaîne de télévision française i>Télé, une rançon de 7 millions de dollars (5,38 millions d'euros) aurait été payée par le président camerounais Paul Biya ou par GDF-Suez, l'employeur de Tanguy Moulin-Fournier. Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault a démenti.

    Le rapport nigérian indique aussi que les forces de sécurité nigérianes ont décidé de ne pas tenter de sauver les otages pour ne pas mettre leurs vies en danger. Une tentative de sauvetage en mars d'un Britannique et d'un Italien dont on pensait qu'ils étaient détenus par la secte islamiste Ansaru s'est conclue par la mort des deux hommes et de cinq autres otages retenus avec eux.

    Huit otages français sont détenus dans la région du Sahel. Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a affirmé en mars avoir exécuté l'un d'entre eux, Philippe Verdon, en représailles à l'intervention française au Mali, mais cette information n'a pas été confirmée.

    La nouvelle politique de la France consistant à ne pas verser de rançons a été expliquée par François Hollande en début d'année aux familles des otages français retenus au Sahel.

    Avec John Irish à Paris et Tansa Munsa à Yaoundé; Danielle Rouquié pour le service français, édité par Bertrand Boucey

    Le Nouvel Observateur

  • Manif pour tous: bienvenue dans le XXIème siècle !

    25/04/2013 – 10h00
    PARIS (via Polémia) - Les braves gens ont défilé en vain contre la loi Taubira. Michel Geoffroy fait le point. Contrairement à ce qu’espéraient le pouvoir et les organes de propagande médiatique, la lutte continue malgré le vote de la loi Taubira. Les « braves gens » – ceux qui font tourner l’économie, payent des impôts et dont les enfants paieront les retraites – découvrent l’ampleur du mépris dont ils sont l’objet de la part de la classe politico-médiatique. Ils pourraient bien devenir enragés. Polémia.

     

    Les braves gens ont défilé en vain contre la loi Taubira légalisant le mariage des homosexuels, avec force drapeaux et ballons : une vraie kermesse, familiale et bon enfant, comme on les aime dans les patronages et les fêtes de fin d’école maternelle !

    Les braves gens pensaient que, comme leurs parents en 1984 pour la défense de l’école libre, il leur suffirait de défiler en nombre dans les rues pour se faire entendre du gouvernement socialiste. Mais les braves gens ignoraient qu’ils vivent maintenant en post-démocratie. La « manif pour tous » vient de les faire entrer enfin dans le XXIème siècle !

    Les braves gens ont découvert un Etat militant
    Les braves gens pensaient que le Système politico-médiatique reconnaîtrait naturellement l’ampleur de leur mobilisation. Les politiques et les médias n’ont-ils pas habituellement les yeux de Chimène pour les manifestations de sans-papiers, les camps de roms et les défilés d’enseignants ? Mais les braves gens ont eu la mauvaise surprise de voir que les préfectures minoraient systématiquement leur nombre et que les médias emboîtaient servilement le pas, en plaçant sur le même plan les pro et les anti, l’agitation dérisoire des premiers ayant pour fonction de cacher la lame de fond des autres. Et que le gouvernement restait insensible à leur protestation.

    Les braves gens ont découvert la violence d’Etat
    Les braves gens pensaient que les forces de l’ordre se comporteraient comme dans les séries télévisées : féminines et bienveillantes. Les braves gens ont fait l’amère découverte que si la police et la justice se font tout miel vis-à-vis des « jeunes » des banlieues, des agresseurs de RER ou des casseurs de la CGT, elles n’hésitent pas, par contre, à réprimer durement les Français de souche : car vis-à-vis de ces derniers, il n’y a aucun risque de bavures !

    Le port d’un tee-shirt intitulé « Djihad 11-Septembre, je suis une bombe » n’est pas sanctionné quand un jeune Maghrébin l’exhibe (*). Mais, au Jardin du Luxembourg, ceux qui arboraient le tee-shirt de « La Manif pour tous », ont été verbalisés. Bienvenue en post-démocratie !

    Les braves gens n’avaient pas l’habitude des manifs. Certains, dans leur touchante virginité, criaient même : « La police avec nous » !

    Ils ont été fort surpris d’être refoulés, bousculés, aspergés de gaz lacrymogènes, ou placés en garde à vue comme des délinquants par des « forces de l’ordre » – des forces équipées comme pour soutenir un siège : un siège de poussettes et de bambins.

    Les braves gens, qui en général ne fréquentent pas les préfectures, ne vivent pas en banlieue, n’utilisent pas les transports en commun et voient le monde au travers du journal Le Figaro ou de l’hebdomadaire Le Point, ne connaissent pas bien la police ni les institutions post-démocratiques.

    Ils ne savent pas, par exemple, que de plus en plus de policiers, comme de militaires, d’ailleurs, proviennent des « minorités » ethniques et religieuses : ces policiers et ces policières ont en effet pour fonction principale de dialoguer avec les grands-frères des banlieues et ils se trouvent à cent lieues des préoccupations des autochtones hétérosexuels catholiques blancs. Et ce ne sont pas les commissaires de police francs-maçons qui les aideront à mieux comprendre les Français de souche.

    Les braves gens ont découvert la désinformation d’Etat
    Les braves gens haussaient les épaules quand on leur parlait de désinformation et de diabolisation. Ils n’en reviennent pas aujourd’hui d’avoir à leur tour été accusés, comme de vulgaires militants du Front national, d’homophobie, de violence ou d’extrémisme par tout l’appareil d’Etat et ses chiens de garde médiatiques.

    Les braves gens, si respectueux des lois, ont découvert un appareil d’Etat militant, prêt à tout pour museler leur colère : intervenir au Mali pour détourner l’attention, obtenir la libération opportune d’otages de façon que les médias ne parlent que de cela, organiser et médiatiser des « incidents » ou des « agressions » pour présenter les manifestants comme de dangereux factieux, interdire l’accès aux grandes artères de façon à fractionner les cortèges, etc.

    Bienvenue dans la France « normale », c’est-à-dire normalisée et mise au pas !

    Les braves gens ont découvert qui gouverne
    Les braves gens pensaient que le président de la République entendrait leur appel, comme son prédécesseur en 1984. Les consignes données par les organisateurs recommandaient d’ailleurs poliment de proscrire les slogans politiques. Mais les braves gens ignoraient que nous sommes à l’âge du 1984 d’Orwell, pas du 1984 de François Mitterrand.

    Les braves gens, dont bon nombre étaient des cadres moyens ou supérieurs, n’avaient pas encore compris que le mariage homo, comme toutes les réformes « sociétales » mises en œuvre depuis 30 ans tant par la gauche que par la droite, a pour fonction de déstructurer la population, de lui faire perdre tous ses repères, afin de la transformer en docile « ressource humaine », au service des marchés.

    Ils ne savaient pas non plus que l’Etat, socialiste ou non, méprise le peuple car il obéit désormais aux banques et aux marchés et qu’il n’hésitera pas à faire violence à la société s’il le faut, comme en Grèce ou à Chypre. Aujourd’hui, les gaz lacrymogènes : demain, peut-être les canons à eau, l’Etat d’urgence et les chars pour les faire taire.

    Les braves gens qui avaient oublié de descendre dans les rues quand on adoptait les précédentes réformes sociétales, tout aussi calamiteuses que le mariage des homosexuels pourtant, découvrent un peu tard le processus qui se déploie à leurs dépens. Bienvenue dans le monde néo-libéral !

    Les braves gens ont découvert l’UMPS
    Les braves gens faisaient confiance aux partis politiques de la « droite » raisonnable. Ils comptaient sur elle pour faire barrage à la loi Taubira. Las ! Ils découvrent que les élus de droite, soucieux de ne pas paraître « homophobes » et de complaire aux médias, finassent et ne cessent de prendre leurs distances avec eux. Ces élus leur recommandent le « calme », ce qui veut dire qu’il ne faudrait pas trop contester le pouvoir. Ils mettent en garde contre la « radicalisation », c’est-à-dire contre la contestation des fondements du Système… que les élus de droite ont, il est vrai, contribué à mettre en place ! Au Sénat ces élus n’ont même pas demandé de scrutin public.

    Les braves gens se sentent abandonnés et trahis. Bienvenue dans le monde de l’UMPS !

    Merci à François Hollande !
    Il faut, à vrai dire, remercier François Hollande : car avec son projet de mariage des homosexuels, il vient de raffermir la conscience politique de milliers d’autochtones qui jusqu’à présent vivaient dans la fausse quiétude d’une bulle protectrice.

    Car il a fait découvrir aux manifestants contre la loi Taubira qu’en post-démocratie les minorités dictent leurs lois aux majorités que l’oligarchie réduit au silence. Ils viennent de comprendre que l’Etat et les médias mentent. Ils viennent de découvrir la véritable étendue de la « liberté » dont on leur rebat en permanence les oreilles : une liberté où l’on peut se trouver diabolisé dans les médias ou violenté par la police, du simple fait de ne pas partager l’idéologie du Système.

    Les manifestants ont découvert aussi que la classe politique de droite ne soutenait pas le peuple français et se préoccupait plus de l’opinion des médias que de celle des électeurs. Rassemblés symboliquement avenue de la Grande Armée à Paris, les manifestants ont enfin pris conscience que de nombreux concitoyens pensaient et réagissaient comme eux. A Bordeaux, à Nice ou à Nantes aussi.

    Avec le vote de la loi Taubira, l’oligarchie a encore gagné une bataille. Mais elle vient de déniaiser des centaines de milliers de Français : des centaines de milliers de personnes actives, motivées et de futurs électeurs. Il est désormais de moins en moins sûr qu’elle finisse par gagner la guerre qu’elle mène au peuple français.

    Michel Geoffroy

    (*) Tribunal correctionnel d’Avignon, avril 2013.

     

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • La Génération Benoît XVI ressemble à une sorte de nouvelle chouannerie

    Posté le 26 avril 2013 à 07h32 | Lien permanent

    Philippe Vardon, 32 ans, marié et père de famille, commerçant et conseiller en communication, est l’un des fondateurs des Jeunesses Identitaires, avant de fonder Nissa Rebela sur Nice pour participer aux élections locales. Il déclare au Rouge et Le Noir :

    "J’appelle simplement les catholiques à faire de leurs îlots des bases de départ, pas de repli, pour participer à la reconquête.

    Je considère qu’aujourd’hui être catholique a pris une dimension nouvelle, militante presque : on est catholique parce qu’on le veut, plus seulement parce qu’on a (éventuellement) reçu la Foi en héritage. Tout dans la société nous invite à nous débarrasser du lourd fardeau… alors quand on décide de porter sa croix (au sens propre comme au sens figuré) c’est aujourd’hui un choix fort, fondamentalement politique. D’autant que le catholique, si on en vient à le considérer comme un croyant mais aussi donc comme un militant (au sens de la Mission), est un militant politique mais aussi culturel et bien sûr social. Les catholiques d’aujourd’hui, et cette belle « Génération Benoît XVI » que l’on voit s’illustrer avec détermination et courage (je pèse mes mots, j’ai baigné dans l’activisme depuis mes 14 ans mais j’ai vu ces dernières semaines des garçons et des filles dont le courage force le respect, et dont bon nombre de révolutionnaires de salon fort éloquents n’ont pas le dixième !), ressemblent, et ressembleront encore davantage dans l’avenir certainement, aux dissidents catholiques de l’Ukraine soviétique ou à une sorte de nouvelle chouannerie. Après les prêtres réfractaires peut-être aurons-nous d’ailleurs nos maires réfractaires ?

    Alors, pour conclure, mon message ne s’adressera pas qu’aux catholiques, mais j’espère qu’il leur parlera. Je réponds à cet entretien en ce mardi noir, qui a vu une majorité gouvernementale folle défier la nature. Pour autant, je ne sais exactement comment tout cela va se terminer… Le combat n’est en tout cas pas derrière nous, mais bien devant nous. Car le combat vient de débuter ! Il ne s’agit pas là du dernier tour de piste de la France réactionnaire, mais de l’entrée en lutte de la nouvelle France. J’exhorte tous ceux qui me lisent à faire leur cette idée : nous ne sommes pas l’arrière-garde mais l’avant-garde, nous ne sommes pas le dernier carré mais la première ligne. Quelle que soit l’issue de cette bataille contre la loi Taubira, un beau Printemps français s’est levé et les fleurs auxquels il donne naissance actuellement vont porter du sens dans le débat public, peser et s’imposer, dans les mois et les années à venir. S’ils gagnent cette bataille législative, c’est sans doute en amorçant notre victoire prochaine… Foi et Espérance."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Réaction au niveau record du chômage en France

    Communiqué de Presse de Florian Philippot, Vice-président du Front National

    Le chômage record qui frappe la France porte un nom : soumission à l’austérité de la zone euro. En Espagne, le cap des 6 millions de chômeurs, soit 27% de la population active, vient d’être franchi.

    Tant que les gouvernements français, PS ou UMP, continueront de se soumettre à la politique d’hyper austérité destinée à sauver l’euro à tout prix, le chômage continuera sa course folle.
    Tant que les gouvernements français, PS ou UMP, docilement ouvriront grand nos frontières à la concurrence déloyale parce que les Traités européens l’exigent, le chômage explosera.

    L’euro et le libre-échange total sont en train d’éradiquer notre industrie, dans une violence sociale inouïe mais un silence de plomb de la part des responsables politiques.

    Le Front National est le seul mouvement réellement anti-chômage parce qu’il propose de donner un véritable coup de fouet à notre économie en réindustrialisant la France.
    Cela suppose de réarmer notre pays face à la mondialisation, avec des armes nommées monnaie nationale, frontières intelligentes et patriotisme économique.

    Seule la fin de l’Union européenne par la sortie de la France nous permettra de le faire : interrogeons les Français par référendum sur cette sortie. Il est plus que temps.

    25/04/13

  • L'Islande renonce à poursuivre ses négociations d'adhésion à l'Union européenne

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    Le 14 janvier 2013, le gouvernement islandais annonçait publiquement suspendre son adhésion à l’Union Européenne. De récents sondages d’opinion montraient qu’une large majorité d’islandais ne souhaitait pas intégrer l’organisation. Pourtant, la crise financière systémique survenue en 2008 avait revigoré l’intérêt de la population pour l’Union Européenne, Un redressement socio-économique rapide de l’île arctique et l’implosion prévisible de la zone euro ont dissuadé la population de s’aventurer vers un inconnu très incertain.... [1]

    Les chiffres officiels qui viennent de paraître début mars indiquent qu’au mois de janvier les exportations se sont accrues de 18%. De ce fait, rien d'étonnant que la balance commerciale du pays a engrangé un excédent élevé, mais sans une banque centrale nationale islandaise réellement indépendante de la technostructure européenne, les autorités n’auraient pas pu dévaluer la Couronne pour stimuler les exportations. [2]

    Pour couronner le tout, c’est le cas de le dire.., le tribunal de l'Association européenne de libre-échange, dispose, dans un arrêt définitif, que l’Islande était en droit de refuser de rembourser les actionnaires étrangers clients de ses banques en octobre 2008.[3] Deux banquiers escrocs ont d’ailleurs étaient condamnés a des peines privatives de liberté après la débâcle. [4]

    La France est pieds et mains liés, car elle ne peut user de l'arme compétitive de la dévaluation. Les règles de la concurrence libre et sans entrave, prétendument voulue par la caste mondialiste, sont donc faussées. La Chine, les Etats-Unis notamment, utilisent cet outil à leur avange. Pendant ce temps les pays de l'UE se meurent à petit feu. Même la balance commerciale de l'Allemagne dépend pour une bonne part du marché intérieur européen. Un ralentissement significatif est déjà perçu outre Rhin.

    Le chef d’Etat islandais, reconduit pour la cinquième reprise dans ses fonctions par les citoyens du pays ne s’y est pas trompé. Lors de plusieurs de ses déplacements officiels, il a encouragé les grands de ce monde à « penser davantage aux peuples qu'aux banques", prenant son pays pour exemple. Une île où "nous avons laissé les banques faire faillite et nous sommes occupés des citoyens, et ça a marché ». [5]

    Il faut bien admettre que la redressement en cours de ce pays est vertigineux. Au fond du gouffre, le pays s’est relevé en marche ordonnée, ne laissant personne de côté, ni les entreprises, ni le peuple et encore moins les plus démunis. Pour sauver les ménages endettés, l'Etat incite les banques à écrêter les créances. Au-delà de 110% de la valeur du logement, la dette est effacée. Pour sauver les PME, ces entreprises créatrices d’emplois locaux, rappelons-le, l’Etat agit de même. [6]

    En marge du forum de Davos, il avait d’ailleurs déclaré : « La théorie que vous devez payer pour sauver les banques est une théorie selon laquelle les banquiers peuvent jouir de leurs propres bénéfices et de leur succès, puis que les gens ordinaires payent pour leurs échecs au moyen des impôts et de l’austérité, et dans les démocraties éclairées, les gens ne l’accepteront pas sur le long terme ».[7]

    A votre avis, la construction européenne est faite pour une meilleure concentration des richesses entre les mains des puissances d’argent, ou bien il s’agit de la construction d’un modèle de société pour le bien être des populations ? Au fond, la "solidarité" monétaire supra-nationale qui protège le peuple de multiples menaces, n'est-ce pas une simple vue de l’esprit pour appâter le brave peuple des bisounours ?

    J-J-R

    [1] http://tempsreel.nouvelobs.com/mond/

    [2] http://www.lesechos.fr/economie-pol
    [3]http://www.lesechos.fr/economie-pol
    [4] http://www.lemonde.fr/economie/arti
    [5] http://www.franceinfo.fr/economie/d
    [6] http://www.liberation.fr/economie/2
    [7] http://www.youtube.com/watch?v=3-Rj

    Source : AGORAVOX

    INFO REPRISE SUR
    LE BLOG DE DIABLO

     

    Blog canempeche pas nicolas 

    11/03/13

  • Silence radio sur l'Islande

    sans-titre.png Islande  carte.png

    Sans nouvelles d’Islande : pourquoi ?
     
    Si quelqu’un croit qu’il n’y a pas de censure actuellement, qu’il nous dise pourquoi on a tout su au sujet de ce qui se passe en Egypte, en Syrie ou en Lybie et pourquoi les journaux n’ont absolument rien dit sur ce qui se passe en Islande :
     en Islande,
     - les principales banques ont été nationalisées et il a été décidé de ne pas payer la dette qu’elles avaient contractée auprès de banques de Grande Bretagne et de Hollande, dette générée par leur mauvaise politique financière
    - une assemblée populaire vient d’être créée pour réécrire la Constitution.
     Et tout cela, pacifiquement.
     Toute une révolution contre le pouvoir qui a conduit à cette crise.
     Voilà pourquoi rien n’a été publié pendant deux ans.
     Que se passerait-il si les citoyens européens en prenaient exemple ?

     Brièvement, voici l’histoire des faits :
     - 2008 : La principale banque du pays est nationalisée. La monnaie s’effondre, la bourse suspend son activité. Le pays est en banqueroute.
     - 2009 : Les protestations citoyennes contre le Parlement font que des élections anticipées sont convoquées et qu’elles provoquent la démission du Premier Ministre et, en bloc, de tout le gouvernement.
     La situation économique désastreuse du pays persiste. Par le biais d’une loi, il est proposé à la Grande Bretagne et à la Hollande le remboursement de la dette par le paiement de 3.500 millions d’euros, montant que paieront mensuellement toutes les familles islandaises pendant les 15 prochaines années à un taux d’intérêt de 5%.
     - 2010 : le peuple descend à nouveau dans la rue et demande que la loi soit soumise à référendum.
     En janvier 2010, le Président refuse de ratifier cette loi et annonce qu’il y aura une consultation populaire.
     En mars, le référendum a lieu et le NON au paiement de la dette remporte 93% des voix.
     Pendant ce temps, le gouvernement a entamé une investigation pour régler juridiquement les responsabilités de la crise.
    Les détentions de plusieurs banquiers et cadres supérieurs commencent.
     Interpol lance une enquête et tous les banquiers impliqués quittent le pays.
     Dans ce contexte de crise, une assemblée est élue pour rédiger une nouvelle Constitution qui reprend les leçons apprises de la crise et qui se substitue à
     l’actuelle qui est une copie de la constitution danoise.
     Pour ce faire, on a recours directement au peuple souverain.
     On élit 25 citoyens sans filiation politique parmi les 522 qui se sont présentés aux candidatures.

     Pour cela, il faut être majeur et recueillir le soutien de 30 personnes.
    - L’assemblée constituante commence ses travaux en février 2011 afin de présenter, en partant des avis collectés dans les diverses assemblées qui ont eu lieu dans tout le pays, un projet de Grande Charte.
     Elle doit être approuvée par l’actuel parlement ainsi que par celui qui sera constitué après les prochaines élections législatives.
    Voici, en bref, l’histoire de la Révolution Islandaise :
     - Démission en bloc de tout un gouvernement
     - Nationalisation de la banque
     - Référendum pour que le peuple puisse se prononcer sur les décisions économiques fondamentales
     - Emprisonnement des responsables de la crise 
     - Réécriture de la constitution par les citoyens
     
    Nous a-t-on parlé de cela dans les médias européens ?
     En a-t-on parlé dans les débats politiques radiophoniques ?
     A-t-on vu des images de ces faits à la TV ?
     Bien sûr que non !
     Le peuple islandais a su donner une leçon à toute l’Europe en affrontant le système et en donnant une leçon de démocratie au reste du monde.
     
     
     
     
     
  • Antisémitisme en Allemagne

    Un incident antisémite s'est déroulé jeudi 18 avril 2013 dans la capitale de l'état du Würtemberg. Un couple venu d'Israël voyageait dans un transport public pour assister à la pose d’une pierre à la mémoire de cinq membres de la famille du mari, assassinés pendant la Shoah dans le camp de concentration de Theresienstadt.

     

    Trois contrôleurs leur ont demandé leurs tickets de voyage. Selon le quotidien allemand "Stuttgarter Zeitung ", le mari a expliqué en anglais être venu à Stuttgart parce que ses ancêtres avaient été assassinés pendant la Shoah… Les contrôleurs ont réagi en ricanant. L'un d'entre eux a levé le doigt comme s’il voulait dire : "C'est bien fait". Lorsque le couple est enfin parvenu à la station à laquelle il voulait descendre, l'un des contrôleurs s'est placé devant la portière et a empêché son passage. La compagnie de transport locale a présenté ses excuses aux Israéliens.

    Crif

  • "Mur des cons" : le père d'Anne-Lorraine Schmitt va porter plainte

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    Tuée à 23 ans de 34 coups de couteau par un récidiviste

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    Philippe Schmitt, le père d'Anne-Lorraine - assassinée en 2007 dans une rame du RER D - va porter plainte contre le Syndicat de la Magistrature. Son nom figure en effet sur le "Mur des Cons" dont l'existence a été révélée mercredi par le site Atlantico.

    "Sélectionné" sur le "Mur des Cons" du Syndicat de la Magistrature (SM), Philippe Schmitt va porter plainte contre le Syndicat de la Magistrature, révèle le site du Figaro.

    Il est le père d'Anne-Lorraine, assassinée en 2007 dans le RER D par Thierry Devé-Oglou à la suite d'une tentative de viol. "J'avais regardé d'une manière un peu discrète la vidéo (à visionner ici) et je n'avais pas remarqué au départ. Ce sont des amis qui m'ont prévenu. Ma photo n'est pas aussi grosse que d'autres, mais je me suis reconnu", a t-il confié au Courrier Picard.

    Selon Philippe Schmitt, sa présence sur ce mur - dont la révélation mercredi fait polémique - procède des critiques qu'il avait émises au sujet des "libérations irresponsables de violeurs récidivistes" et du "laxisme de certains juges d'application des peines". Dans une déclaration, rendue publique vendredi, il a fait part de son indignation.

    "Parent de victime, c'est avec stupeur et un profond dégoût que j'ai constaté la présence de ma photo sur le "Mur des Cons" du Syndicat de la Magistrature, proche du pouvoir", déclare Philippe Schmitt. "Sur ce mur, il n'y a pas de photos de criminels, de violeurs ou de pervers, mais il y a des photos de plusieurs pères de victimes", s'indigne t-il.

    Le père d'Anne-Lorraine Schmitt va donc décider de porter plainte contre le Syndicat de la Magistrature. L'injure est en effet sanctionnable pénalement, quel que soit son caractère : public ou privée. C'est sur ce fondement que Philippe Schmitt va porter porter l'affaire devant les juges.

     

    "Mur des cons" : Taubira saisit le Conseil supérieur de la magistrature

    Vidéo : le "murs des cons" s'invite à l'Assemblée nationale

    Direct Matin - 25/04/13
  • SM: cinquante nuances d’indignation - Par Bruno Gollnisch

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    Mur des "cons"

    « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant ». Cette saillie du milliardaire rose et parrain de SOS Racisme Pierre Bergé, que nous rapportions sur ce blog en début d’année, illustre bien la mentalité, la vision du monde assez effrayante des partisans du mariage et de l’adoption pour les couples homosexuels.

    Si le Conseil constitutionnel ne la censure pas, la France est donc devenue mercredi le 14e pays à légaliser le mariage entre personnes du même sexe. Et ce, par une loi rendue au nom du peuple français, votée par une écrasante majorité de députés de gauche et avec la complicité d’une partie de l’UMP. Sont cautionnés ici la marchandisation de l’enfant, une rupture anthropologique dans la civilisation , le refus de la loi naturelle que protège toutes les transcendances.

    Avec une incohérence (?) qui la rend décidemment très difficile à suivre, Frigide Barjot, figure médiatique à la tête de la Manif pour tous cornaquée par une UMP qui joue une manche dans chaque camp, a affirmé qu’elle assisterait bien volontiers si elle y était invitée, aux premières unions homosexuelles. Celles-ci pourraient être prononcées courant juin…

    Logique, lui, le Syndicat de la magistrature (SM), créé en 1968, qui s’est officiellement engagé aux côtés des partis, de groupuscules et syndicats de gauche pour soutenir le « mariage pour tous », l’est nettement plus. Les militants politiques qui en sont adhérents affichent clairement leurs convictions.

    Le SM, qui a appelé en 2012 à voter contre Nicolas Sarkozy et l’extrême droite, multiplie depuis sa création les prises de position contre le Front National. C’est le garde des Sceaux, Christiane Taubira, qui a d’ailleurs ouvert son 46e Congrès en novembre dernier.

    Le site libéral proche de l’UMP, Atlantico, a soulevé une polémique hier en révélant l’existence, vidéo à l’appui, d’un mur de photos, visible dans le local syndical du SM, qui représente accessoirement 30% des magistrats de l’ordre judiciaire.

    Ce mur dit «des cons » en interne chez nos extrémistes syndiqués, a suscité les lamentations de Jean-François Copé puisque on y retrouve de nombreux dirigeants de l’UMP : Nicolas Sarkozy, Michèle Alliot-Marie Edouard Balladur, Patrick Balkany Eric Besson François Baroin, Luc Chatel, Luc Ferry, Christian Jacob, Eric Woerth, Nadine Morano, Brice Hortefeux (affublé d’un autocollant FN et de la mention « L’homme de Vichy.»

    D’autres personnalités médiatiques sont épinglés comme le magistrat Philippe Courroye, le criminologue Alain Bauer, le polémiste Eric Zemmour, la journaliste et épouse de Jean-Louis Borloo Béatrice Schoenberg, l’essayiste Guy Sorman, l’ancien directeur du Figaro Etienne Mougeotte, l’ancien patron de TF1, Patrick Le Lay; l’éditorialiste du Figaro Yves Thréard, le présentateur David Pujadas. Quelques figures idéologiques du combat antinational et/ou mondialisme bon teint comme Jacques Attali, Alain Minc, ou encore Alexandre Adler, ne sont pas non plus épargnées.

    Tout juste peut-on s’étonner de l’absence sur ce mur de la honte du groupe islamiste Forsane Alizza qui, apprenait-on en avril de l’année dernière, projetait l’enlèvement d’un délégué du SM, en l’espèce le vice-président du tribunal de grande instance de Lyon, chargé de l’instruction, Albert Lévy. Trop stigmatisant ?

    Car les indignations politiques et sémantiques du SM sont toujours à géométrie variable. On se souviendra qu’en 2008, exemple parmi d’autres, au moment du procès de Michel Fourniret, tueur en série et violeur de jeunes filles plastronnant devant la Cour d’Assise, le SM s’était fendu d’un communiqué indigné pour dénoncer les« propos indignes » de l’avocat général Francis Nachbar.

    Il reprochait notamment vertement à ce dernier d’avoir « humilié ». Fourniret en le qualifiant de « monstre nécrophile », ce qu’il est pourtant bel et bien. Les pudeurs et les nuances dans l’indignation du SM sont bien étranges pour le commun des mortels…

    Mercredi, M. Copé a demandé à Mme Taubira, de «diligenter une enquête» sur ce mur évoqué plus haut. «C’est indigne, c’est un scandale absolu ». Le président de l’UMP a évoqué la possibilité que le Parlement fasse «une enquête». «Il faut qu’on comprenne comment on en est arrivé là à un moment où l’indépendance de la justice est revendiquée, où la séparation des pouvoirs est un élément majeur».

    Le «Syndicat de la Magistrature n’est pas un syndicat comme les autres, c’est un syndicat de magistrats», et démontre ainsi a-t-il ajouté, «un engagement politique» assorti de «mises en cause personnelles extrêmement graves».

    Avec une légitimité bien plus grande dans les critiques, le FN, par la voix de son vice-président Louis Aliot, a souligné le même jour qu’il fallait se poser la question d’une dissolution du SM.

    « Les juges affiliés à ce syndicat peuvent-ils encore juger des femmes, hommes ou organisations politiques en toute indépendance (…) ? » s’est-il interrogé.

    Constatons avec Bruno Gollnisch que l’UMP au pouvoir cette dernière décennie n’a rien entrepris de sérieux pour que les Français reprennent confiance dans leur justice , dans leurs magistrats.

    Cela s’explique en grande part du fait du formatage des juges par l’Ecole nationale de la magistrature, qui les coule dans un moule particulier, qui délivre un enseignement marxisant et au sein de laquelle on apprend notamment que le délinquant est une victime de la société.

    Comment s’étonner après cela que la justice, malgré la présence de nombreux magistrats honnêtes, apparaisse aux ordres et profondément pervertie par des idéologies néfastes ?

    Bref, comment l’UMP qui s’est couchée devant le magistère moral de la gauche, peut-elle fustiger sans hypocrisie, la politisation des procès, des magistrats, telle qu’elle apparaît aussi à travers le militantisme d’extrême gauche du Syndicat de la Magistrature ?

    C’est pourquoi le FN propose d’interdire la politisation et la syndicalisation des magistrats, sachant que ces fonctionnaires là, à commencer par les extrémistes du SM, ne se privent pas de leur droit de publier, en dehors de leurs strictes fonctions, des analyses politiques.

    En décembre dernier, Bruno Gollnisch s’était d’ailleurs interrogé sur la nécessité de récuser dans un procès le concernant les magistrats membres du Syndicat de la Magistrature qui ont pris position officiellement contre le FN. Ce ne serait que justice.