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Blog - Page 1006

  • Le billet d'humeur de Jacques Aboucaya

     

     

    Vie et moeurs du néo-bobo

     

    Le bobo nouveau est arrivé. Il diffère de son aîné des années 70. Plus encore, de leur ancêtre, le snob que connurent Thackeray, Proust ou Waugh. Involution. Le snob, sine nobilitate, singeait la noblesse à laquelle il rêvait d'appartenir. Le bobo, bourgeois-bohème, est descendu d'un palier dans l'échelle sociale. D'abord un bourgeois, au sens flaubertien. Avec le conformisme que cela suppose. Le terme "bohème" implique son aspiration à sortir de sa condition par le biais de l'art, de la fantaisie. Vaste programme qui requiert un effort de tous les instants. Son descendant ? Plus tout à fait un bourgeois, si on se réfère au sens étymologique. Le néo-bobo n'habite plus les arrondissements chics de la Capitale. Il a émigré vers la province. Singulièrement les régions rurales. Ce n'est pas sans effet sur son aspect, ni son comportement. Petite revue de ses us et coutumes.

     

    Art : par principe, il s'enthousiasme pour tout ce qui est nouveau. Fidèle client des galeries vouées à l'art conceptuel, des cinémas et des théâtres d'avant-garde. Décentralisés et dûment subventionnés. D'autant plus radicaux dans leurs choix esthétiques (il faut concurrencer Paris sur son terrain !).

    Bourgeois : en dépit ou à cause de nombreux points de convergence, le "bourge" est considéré comme l'ennemi majeur. Sans doute un effet pervers de la consanguinité.

    Cuisine : nouvelle, bien sûr. Deux brocolis et trois carottes. Mais, en douce, un magret aux haricots tarbais. Histoire de s'adapter aux goûts du pays.

    Démocratie : Le néo-bobo affiche des idées de progrès. Or, pour lui, le Progrès, qu'est-ce, sinon la démocratie en tous domaines ? CQFD.

    Education : adepte de l'égalité des chances, il ne répugne pas à inscrire ses enfants dans les établissements huppés. Ou, à l'inverse, dans des écoles alternatives, furieusement innovantes.

    Finances : l'argent ne fait pas le bonheur. Soit. Mais mener le train d'un néo-bobo suppose des revenus non négligeables. L'ostentation a un prix.

    Gouvernement : on lui pardonne tout, puisqu'il est de gauche. Du reste, de nombreux néo-bobos peuplent les assemblées territoriales où l'on se retrouve entre soi.

    Haschich : sa consommation est à dépénaliser. Ainsi va le progrès. Comme le mariage homo et la procréation assistée. Et puis, quelle tranquillité que de savoir ses enfants dans la légalité.

    Idées : le néo-bobo en a peu de personnelles. Elles sont toutes reçues.  Qu'importe ? Il suffit de s'appuyer sur des références prestigieuses. "Comme me disait l'autre jour X, qui enseigne la philosophie..."

    Jazz : il l'aime, par définition. Surtout bien ennuyeux, bien cérébral. Car il ignore tout des canons et de l'histoire de cette musique dont il disserte pourtant avec un aplomb désarmant.

    Karaté : la mode du judo s'estompant, celle du karaté a pris le relais. Les enfants du néo-bobo sont inscrits au club le plus proche. Affaire de standing.

    Littérature : il faut avoir lu certains livres. Les autres n'existent pas. Les pages culturelles de Télérama et des Inrocks font office de Bible. Leurs engouements et leurs ukases sont indiscutables.

    Migration : fini le Luberon, terre d'élection des précurseurs. Le néo-bobo a choisi d'autres contrées. Principalement la Gascogne, à la suite de quelques acteurs branchés. L'instinct grégaire a fait le reste. Et le retour à la terre a un tel parfum de Flower Power.

    Nature : l'écologie a trouvé chez le néo-bobo un fervent zélateur. Végétarisme et toilettes sèches, lutte contre l'effet de serre. Il pétitionne à tout-va. Tant qu'on ne touche ni à sa piscine, ni à son quatre-quatre...

    Occasion : du dernier chic, la vieille voiture, achetée "pour une bouchée de pain" chez un petit garagiste, "une perle qui a des doigts en or". Pour les longs trajets, toutefois, la grosse Mercedes flambant neuve.

    Paysan : il est de bon ton d'en compter au moins un parmi ses relations. Pour la couleur locale. Et puis, José Bové, quelle figure emblématique ! Et quel type formidable !

    Question : Le néo-bobo n'a cure des questions, fussent-elles existentielles. Fort de ses certitudes en tous domaines, il leur préfère les réponses confortables que lui fournit la presse de gauche

    Religion : hormis celle du Progrès, il y est hostile et bouffe du curé. Avec une férocité comparable à celle de Témoignage chrétien ou de Golias. Le bouddhisme ("qui n'est pas une religion !") bénéficie toutefois de son indulgence, et même de sa sympathie.

    Santé : le néo-bobo prône les médecines alternatives, se déclare contre les vaccins et les antibiotiques. Quand sa température dépasse trente-huit degrés, il se gave de médicaments allopathiques. On ne plaisante pas avec la santé !

    Technologie : prêt, par souci d'"authenticité", à adopter la bougie et le feu de bois, il ne saurait vivre sans la technologie la plus sophistiquée, tablettes I pad et GPS.

    Uniforme : A exécrer. Sauf le jean délavé et la chemise de flanelle de grande marque. Ils signent le néo-bobo et permettent de se reconnaître entre soi.

    Vintage : seul ce qui porte cette étiquette, objets, meubles, disques, tableaux, trouve grâce à ses yeux. Seule entorse au culte de l'avant-garde.

    Water polo : s'intéresser à un sport rare (sans aller jusqu'à le pratiquer), ça vous a une autre allure que suivre les résultats de la Ligue 1 de football !

    X (film): féministe hostile à la prostitution et à toute forme d'amour tarifé, il ne dédaigne pas, pour stimuler sa libido, de jeter un oeil sur les films X où d'infortunées créatures sont traitées comme du bétail.

    Yoga : avec la psychanalyse, indispensable à l'équilibre du néo-bobo auquel il est censé procurer sinon la sagesse, du moins la sérénité.

    Zen : encore un terme galvaudé, mais "tendance". Le néo-bobo entretient volontiers un jardin zen et s'ingénie à créer chez lui une atmosphère apaisante, grâce aux huiles essentielles qui ont désormais remplacé l'encens. Cela ne va guère plus loin.

     

    J.A.

  • Thomas Fabius : le scandale de trop ?

    peloton

     
     
     
     
    Nicolas
    Gauthier
    Journaliste, écrivain.
    Nicolas Gauthier est auteur avec Philippe Randa des Acteurs de la comédie politique. 29 € À commander en ligne sur francephi.com.

    Bravo, les gars ! Quand il n’y en a plus, il y en a encore. Et surtout, si votre plan de carrière consiste à finir pendu à un croc de boucher, ne changez rien… Chaque nouveau matin, sa nouvelle vomissure. Après Christine Lagarde, la grande Duduche du FMI, engluée dans les carambouilles de ce grand humaniste incompris qu’est Bernard Tapie. Après Claude Guéant, avec sa tête de sacristain surpris en train de se tirlipoter le popaul dans le presbytère, avec ses tableaux de maîtres vendus via une banque en Malaisie, avec ses explications foireuses, avec cette arrogance dont il doit aujourd’hui rabattre, c’est au tour de Thomas Fabius, fils de qui vous savez, de battre l’estrade politico-judiciaire.

    Bien sûr, présomption d’innocence oblige, pas la peine de tirer à vue sur la mule ; mais tout de même… Il serait intéressant de savoir comment un chômeur a pu acheter un appartement de 280 m2 dans les beaux quartiers de la capitale, pour la très modique somme de sept millions d’euros. Pour le moment, TRACFIN (Cellule française de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme) n’aurait pas encore diligenté d’enquête, ce qui n’empêche pas cet organisme de se pencher de près sur le cas du fils du père prodige, plus jeune Premier ministre de France en 1984.

    Évidemment, on choisit toujours ses amis et rarement sa famille ; et encore moins ses enfants. Mais le pedigree du rejeton en question sent le lourd. 2011 : condamnation à 15.000 euros d’amende pour abus de confiance. Ce qui nous amène à penser que le délit en question était autre qu’un simple stationnement en double file.

    Pour sa défense, ce pactole serait en partie le fruit de ses gains au jeu. Mais lesquels ? Là encore, il n’est pas interdit de prendre les Français, qu’ils soient juges ou simples contribuables, pour des truffes. Mais il y a des limites au-delà desquelles c’est la porte ouverte à toutes les fenêtres. Le poker ? Dans les cercles clandestins les plus huppés de Paris, personne ne saurait gagner de telles sommes, même pas Patrick Bruel, pourtant champion du monde de la discipline en 1998, à Las Vegas. La roulette ou les machines à sous ? C’est une plaisanterie, sachant qu’il s’agit du plus sûr moyen de se ruiner, après les femmes et l’investissement dans ce qu’il demeure de presse imprimée sur papier… Alors, quoi ? D’où viennent ces sept millions d’euros ? Que la famille Fabius soit richissime n’est pas un crime en soi… Mais ces gens se rendent-ils seulement compte de ce qu’un tel montant peut évoquer pour cette « France qui se lève tôt », histoire de paraphraser la vulgate sarkozienne ?

    À titre d’exemple et d’échelle de valeurs, l’auteur de ces lignes s’est endetté sur quinze ans, juste pour une bicoque de campagne d’une valeur de 150.000 euros. Elle est aujourd’hui remboursée, et pas en ayant vendu des tableaux que je n’ai pas, mais donc je connaitrais au moins le nom du peintre, au contraire de Guéant, et encore moins en ayant risqué mes modestes émoluments dans des jeux à gratter…

    Bref, on se fout de notre gueule. Et cela devient de plus en plus insupportable à des Français de plus en plus nombreux, de droite ou de gauche qui, à un moment ou un autre, ne tarderont pas à demander des comptes à ces gens qui, non contents de piquer dans la caisse, voudraient de plus nous administrer des leçons de morale.

    Attention, les gars… Les crocs de bouchers sont peut-être plus proches que vous ne l’imaginez…

    Nicolas Gauthier, le 1 mai 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Affaire du Pas-de-Calais: Gérard Dalongeville envoie un huissier à l'Elysée

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    Selon nos informations, un huissier a tenté de remettre une convocation au Président de la République pour témoigner dans un procès. En vain. Cette convocation était adressée à François Hollande par Gérard Dalongeville, l’ancien maire PS d’Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais, dont le procès dans une affaire de fausses-factures du temps où il était maire, doit s’ouvrir le 27 mai au tribunal correctionnel de Béthune.

    Pour se défendre, Gérard Dalongeville avait accusé le PS du Pas-de-Calais d’avoir mis en place un système de financement occulte dont la mairie d’Hénin-Beaumont était un des maillons. «Nous souhaitons entendre François Hollande le premier jour du procès, le 27 mai, pour qu’il nous explique ce qu’il savait de ces faits alors qu’il était Premier secrétaire du PS à l’époque», explique Me Francis Terquem, avocat de Gérard Dalongeville. Car «rien n'interdit à un citoyen de demander à un président de la République de témoigner à un procès. On l'appelle citation, invitation... Ou il accepte ou il n'accepte pas», a expliqué l'avocat.

    Mais l’huissier envoyé par Me Terquem n’a pas pu remettre sa convocation. «On lui a demandé de rappeler demain matin pour fixer un rendez-vous avec le colonel de garde», a déclaré Me Terquem.

    Une convocation dans une autre affaire

    Dans le cadre d’un autre procès en appel qui va s’ouvrir le 15 mai, où l’ancien ministre de Mitterrand, René Teulade, est poursuivi pour abus de confiance au détriment de la Mutuelle retraite de la fonction publique (MRFP), un huissier a également tenté de délivrer une citation au président. Les avocats ont reçu un accueil positif de la porte parole du gouvernement.

    Najat Vallaud-Belkacem a relevé que le président Hollande s'était «toujours engagé à contribuer, autant que faire se pouvait, à la manifestation de la vérité». Et d'ajouter : «Est-ce que ça passera par un témoignage ? Pas nécessairement». «Aider les parties civiles à trouver la vérité, ça peut passer par (...) Lire la suite sur LeParisien.fr

    Hollande «invité» par un huissier à venir déposer au procès d'un autre élu PS

    Primes en liquide de Guéant : Valls ouvre une enquête administrative
    Un an de présidence Hollande : le plan com' du gouvernement
    Alsace : un maire homosexuel reçoit un courrier avec des douilles
    Sondage : Hollande perd encore 3 points de confiance à 24%

    Yahoo!Actualités - 02/05/13

  • Italie : Deux Ghanéens violent une étudiante allemande, la gauche dénonce le racisme

    Italie : Deux Ghanéens violent une étudiante allemande, la gauche dénonce le racisme

     
     

    02/05/2013 – 08H00
    VENISE (NOVOpress Breizh) –
    « Indignes d’un pays civilisé » : c’est le jugement sans appel de Laura Boldrini, la nouvelle présidente de la Chambre des députés italienne.

    Mme Boldrini ne parle pas des faits d’il y a quatre jours à Valdagno, dans la province de Vicence en Vénétie. Une étudiante allemande de 22 ans, venue en Italie pour un cursus de spécialisation, avait cru pouvoir sympathiser avec deux immigrés ghanéens, de 27 et 29 ans. Elle avait accepté de venir dîner avec eux dans leur appartement. Sur place, l’un des deux l’a violée, en lui volant, pour faire bonne mesure, son téléphone portable.

    L’autre Ghanéen est alors intervenu en jouant au sauveur et a emmené l’Allemande hors de l’appartement. Mais, sitôt dehors, il l’a violée à son tour avant de l’abandonner dans la rue, vêtue seulement d’un tee-shirt en lambeaux. La jeune fille a fini par trouver une cabine téléphonique et a appelé Police Secours. Les deux Africains ont été arrêtés.

    Ce n’est pas cela qui scandalise Mme Boldrini, et ce n’est pas de la victime qu’elle se préoccupe.

     

    Avant de se faire élire députée sur les listes du parti ultra-immigrationniste Sinistra Ecologia Libertà, Mme Boldrini fut pendant 15 ans, de 1998 à 2012, porte-parole du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés. En cette qualité, elle avait exercé une pression décisive pour obliger le gouvernement italien à accueillir à Lampedusa tous les « réfugiés » d’Afrique, ne perdant aucune occasion de rappeler « l’opposition du Haut Commissariat à toute action de refoulement en mer des migrants qui se dirigent vers les côtes italiennes ».

    En 2010, l’hebdomadaire catho-conciliaire Famiglia Cristiana avait nommé Mme Boldrini « Italienne de l’année » pour « son engagement constant, mis en œuvre avec humanité et équilibre, en faveur des migrants, des réfugiés et des demandeurs d’asile. Et, surtout, pour la dignité et la fermeté qu’elle a mises à condamner les refoulements des immigrés dans la Méditerranée ».

    Ce que Mme Boldrini dénonce comme « indignes d’un pays civilisé », ce sont de supposés commentaires racistes qu’un journaliste de La Repubblica, en fouillant sur Facebook et dans les pages les plus obscures d’Internet, a dénichés après la nomination de la « première ministre de couleur de l’histoire italienne» (comme disent les médias du système pour la glorifier), la militante immigrationniste congolaise Cécile Kyenge Kashetu.

    La gauche est particulièrement scandalisée par les propos de Luca Zaia, l’énergique président de la région Vénétie, après le drame de Valdagno. « Je voudrais, a-t-il déclaré, inviter le nouveau ministre de l’Intégration Kyenge à venir à Vicence rendre visite à la victime, avec le courage d’affronter les problèmes tels qu’ils sont, et pour rappeler à tous qu’il ne peut pas y avoir d’intégration sans légalité ». « Que Zaia, a lancé sur un mode comminatoire la députée du Partito democratico Margherita Miotto, cesse d’alimenter le racisme et la xénophobie par ces stupides associations d’idées ».

    Associations d’idées, c’est le terme qui convient.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Paris VIIe: Anna, 89 ans, enlevée en pleine rue pour ses bijoux

    Une retraitée de 89 ans été enlevée lundi soir à Paris avant d'être séquestrée dans le véhicule de ses ravisseurs qui l'ont forcée à leur remettre ses bijoux. La valeur des bijoux pourrait atteindre 100.000 à 200.000 euros.

    Les faits se seraient déroulés lundi soir vers 21h30 à Paris. Une retraitée a été enlevée en pleine rue par des inconnus puis séquestrée dans leur véhicule jusqu'à ce qu'elle leur remettre ses bijoux, a-t-on appris mercredi de source judiciaire, confirmant une information du Parisien.fr. L'octogénaire regagnait son domicile, situé boulevard des Invalides dans le VIIe arrondissement, quand les individus l'ont contrainte à monter avec eux dans une voiture. La valeur des bijoux pourrait atteindre 100.000 à 200.000 euros, selon la source judiciaire.

    La victime aurait été surprise par deux hommes. Séquestrée dans ce véhicule, elle aurait dû leur remettre ses bijoux avant d'être relâchée à hauteur de la porte de Champerret dans le XVIIe arrondissement de la capitale.

    L'ancienne propriétaire de la citadelle de Belle-Ile-en-Mer

    Sous le choc, elle aurait été prise en charge par un automobiliste. Agée de 89 ans, la victime serait l'ancienne propriétaire de la citadelle de Belle-Ile-en-Mer, fortifiée par Vauban, dans le Morbihan, d'après le site d'information.

    Les enquêteurs du 3ème district de police judiciaire (DPJ) auraient été chargés des investigations après qu'elle ait porté plainte.

    TF1 - 02/05/13

  • Les FEMEN, agents du sionisme ?

     

     
    Mikhail Gamandiy-Egorov, Rédaction en ligne
    25.04.2013, 14:11, heure de Moscou
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    женское движение FEMEN

     
    Photo : RIA Novosti

    L’organisation dont le but est soi-disant de « défendre » les droits des femmes et dont le nom est FEMEN prouve une fois de plus par ses actions que leur « lutte » n’a rien à voir avec les droits des femmes qu’elles sont censées défendre. La longue litanie de leurs attaques violentes contre des lieux consacrés chrétiens et musulmans, indique plutôt un mouvement anticlérical extrémiste mais également orienté... petit et énième retour sur un mouvement emblématique de l’état d’esprit ambiant de certains milieux.

    Dernière action en date : l’attaque à l’encontre de l’Archevêque de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles, André-Joseph Léonard, lors d’une conférence à l’Université Libre de Bruxelles, l’aspergeant d’eau bénite avec des statuettes en plastique en forme de Vierge Marie, accompagnés de cris vulgaires dont les FEMEN seules connaissent le secret. Malgré cette attaque dans un style propre aux FEMEN, Mgr André Léonard est resté impassible face aux « sextremistes » et après évacuation de ces dernières, s’est saisi d’une des statuettes représentant la Vierge Marie pour l’embrasser. Un exemple d’humilité, de sagesse et de dignité. D’ailleurs probablement la meilleure réponse qui soit face à de tels actes.

    Alors que l’Assemblée nationale en France vient d’adopter la très controversée loi du « mariage pour tous », ce qui est indéniablement un nouveau coup pour les valeurs traditionnelles et culturelles non seulement européennes, mais probablement au niveau de toute l’Humanité, il est intéressant de se pencher sur ce que représente véritablement cette organisation.

    Comme nous le savons déjà, le groupe FEMEN a été fondé à Kiev, en Ukraine. Après maintes « actions », dont certaines honteuses, notamment lorsqu’elles ont scié une croix au centre de Kiev en mémoire des victimes de répressions religieuses et politiques durant la dictature stalinienne, elles ont « déménagé » leur siège à Paris. En réalité ces « demoiselles » ne font qu’adopter un style primitif pour se médiatiser au maximum et ne font qu’accroître la désapprobation, y compris au sein de nombreux milieux féministes.

    Mais ce qui importe vraiment dans tout cela, c’est de savoir qui sont derrières ces ultras sexistes et qui les manipulent comme de vraies petites marionnettes. On dit qu’elles sont financées par des milieux d’affaires européens et américains. Intéressant… mais à part cela ? Qui se trouve tout en haut de la pyramide ? Quelques noms circulent : le milliardaire allemand Helmut Geier, la femme d’affaires allemande Beat Schober, ainsi que l’homme d’affaires américain et patron de presse Jed Sunden. George Soros est également mentionné.

    Le mot d’ordre aujourd’hui des FEMEN : combattre les religions par tous les moyens. Le christianisme, aussi bien catholique qu’orthodoxe, a été le premier visé. Puis, ce fut au tour de l’islam de devenir également la cible des « filles » aux seins nus. Bien que géographiquement leurs actions antimusulmanes se soient déroulées dans des endroits où elles ne risquaient de toute façon pas grande chose : en Allemagne, en France. Il aurait été intéressant de les voir s’essayer à faire de même en Arabie saoudite ou au Qatar, en Turquie l’accueil fut déjà tout autre.

    Mais si le christianisme et plus récemment l’islam sont ouvertement visés par FEMEN, et que les églises ainsi que les mosquées sont des cibles privilégiées du mouvement « féministe », on n'a jamais entendu parler ne serait-ce qu’une fois d’une de leur action en Israël ou ailleurs, dans une synagogue ou pourquoi pas devant la Knesset. Étonnant ? Oui car connaissant le débat qui existe dans la société israélienne sur la place de la femme et les nombreuses actions organisées à ce titre par les féministes israéliennes, il est très étonnant d’observer le silence assourdissant des FEMEN à ce sujet. On ne s’attaque pas aux sponsors ? Ou alors c’est BHL, un autre grand admirateur et inspirateur des FEMEN, qui sera déçu ?

    N’ayant reçu aucune réponse officielle de leur part à ce sujet, nous posons cette question ici. Personnellement, je ne soutiendrais en aucun cas une « action » dans une synagogue, au même titre que dans une église ou une mosquée car je pense que le respect de chaque personne et de ses convictions doit prévaloir dans un monde où la violence et l’intolérance règnent constamment. Mais pour revenir à nos militantes du FEMEN, il est très surprenant de voir que dans cette « lutte contre les religions », il y a des bons et des mauvais. Ceux sur lesquels il est possible de s’acharner d’un côté et les intouchables de l’autre. Ceux dont les valeurs ne sont pas à respecter et ceux qu’il faut éviter de blesser. Les FEMEN cachent tant bien que mal que leur « lutte » est ouvertement raciste et discriminatoire. En ce qui concerne les chrétiens et les musulmans, ainsi que leurs relations mutuelles, la seule chose à souhaiter c’est de ne pas céder à la provocation, y compris lorsque cela les concerne réciproquement, et de rester digne et sage en toutes circonstances.

    La Voix de la Russie

  • Florian Philippot au Grand Journal face à la meute rouge ! 01/05/13

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

  • Kosovo: condamnations dans un trafic d'organes organisé par l'Israélien Moshe Harel

    Une affaire remontant à 2008 et dont les ramifications se sont étendues à travers l’Europe, l’Amérique du Nord et jusqu’au Proche-Orient. La plaque tournante était une clinique de la banlieue de Pristina.

    Les donateurs, originaires de Turquie et de pays de l’ancienne Union soviétique, étaient attirés vers cette clinique « Medicus » qui leur promettait le versement de 10 à 12.000 euros. Les receveurs d’organes, des Israéliens pour la plupart, versaient entre 80.000 et 100.000 euros. Certains donateurs n’ont jamais reçu l’argent promis.

    L’affaire a d’autant plus gagné en notoriété qu’elle a fait écho aux accusations de trafic d’organes humains visant l’ex-guérilla albanophone de l’Armée de libération du Kosovo, en lutte contre l’armée serbe à la fin des années 1990. L’ALK est accusée d’avoir opéré des prisonniers – serbes notamment – et vendu leurs organes en Albanie voisine.

    Un rapporteur du Conseil de l’Europe, Dick Marty, a déclaré que les deux affaires étaient liées et touchaient aux plus hautes sphères du pouvoir au Kosovo, dirigé par l’ex-guérilla.

     

    Les cinq condamnations prononcées lundi ne concernent que des ressortissants kosovars. Le directeur de la clinique Medicus, l’urologue Lutfi Dervishi, a été condamné à huit ans de prison pour crime organisé et trafic d’êtres humains. Son fils, Arban, a écopé de sept ans et trois mois. Un anesthésiste a été condamné à trois ans fermes et deux autres prévenus à un an avec sursis.

    Deux mandats d’arrêt ont été émis à l’encontre de deux autres suspects, un chirurgien turc, et le cerveau présumé du réseau, l’Israélien Moshe Harel.

    Alors ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, en visite officielle au Kosovo le 1er mars 2010, avait été interrogé par un journaliste de « Voice of America » sur ces trafics d’organes, alors qu’il était à cette époque chef de la Minuk, la mission de l’Onu au Kosovo. Il a simplement nié l’existence des « maisons jaunes », ces « cliniques » clandestines, ainsi que l’existence du trafic d’organes lui-même.

     

    Il avait également rejeté dans une déclaration à la BBC toutes les accusations qui pourraient peser sur lui, démentant qu’il aurait « fermé les yeux sur l’affaire du trafic d’organes au Kosovo au nom de la stabilité politique »…

    Sources : YahooNews /Euronews / Tf1 / Le Journal du Siècle

    30/04/13

     

  • USA: le "Journal" d'Anne Franck jugé trop "pornographique"

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    Le Journal d’Anne Frank choque certains parents d’élèves américains. Au programme dans de nombreuses écoles dans les classes de 7e (12-13 ans), le livre fait polémique à Northville, dans le Michigan, notamment à cause des passages dans lesquels Anne Frank découvre son anatomie, rapporte le Huffington Post.

    Gail Horalek, mère d’une jeune élève, a déclaré que sa fille avait été "mal à l’aise" lors de la lecture de ces passages. Elle affirme que l’école "devrait avoir la permission des parents" avant de donner des livres à lire à leurs enfants.

    "Des passages explicites"

    Le problème serait la version du Journal d’Anne Frank, non abrégée, que les enfants ont dû lire, et qui contiendrait "des passages explicites" enlevés par le père d'Anne, Otto, au moment de la publication du célèbre livre en 1947. La version non abrégée est ressortie à l'occasion des 50 ans de la mort de la jeune fille dans le camp de concentration de Bergen-Belsen.

    Gail Horalek a déposé plainte auprès du district, et demande à ce que la version "éditée" du Journal remplace la version non-abrégée.

    En 2010, une école de Virginie avait décidé de ne plus faire lire la version non abrégée aux étudiants de 8e, après des plaintes des parents. Ceux-ci se plaignaient de contenus sexuellement explicities et d'allusions à l'homosexualité dans le livre, rappelle le Washington Post.
     
    BFMTV 
  • Les Hommen à Marseille

    Posté le 1 mai 2013 à 23h31 | Lien permanent

    Mardi soir, l’esplanade du Palais de Justice de Marseille a été envahie par une vingtaine d'Hommen venue demander justice pour les enfants de France ! Ils ont rapidement pris place sur les marches du palais hurlant la colère d’une France ignorée et bâillonnée par ceux qui la dirigent. Devant des passants médusés, ils finiront par une Marseillaise résonnant comme jamais et semblant dire : Nous sommes les HOMMEN à Marseille et désormais il faudra compter sur nous !

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    Michel Janva

  • La Manif pour Tous oui, l'union civile non. On ne lâche rien

    Posté le 2 mai 2013 à 00h25 | Lien permanent

     

    La Manif pour tous, on l'aime quand elle pastiche Mélenchon :

    P
    On aime beaucoup moins quand Frigide milite pour l'union civile. Frigide Barjot tiendra une conférence de presse jeudi matin pour l'union civile. Point intéressant : cette conférence de presse n'est pas faite au nom de la Manif pour Tous (les autres porte-parole doivent désapprouver cette prise de position). Frigide Barjot se présente là comme marraine d'Homovox.com et du Collectif Pour l'Humanité durable, en compagnie de Xavier Bongibault (Plus gay sans mariage).

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Cohn-Bendit planqué dans son hôtel, dénoncé en public

     

     
    Olivier Renault , Rédaction en ligne
    1.05.2013, 20:58, heure de Moscou
           

    Cohn-Bendit planqué dans son hôtel, dénoncé en public

    Cohn-Bendit, le Vert ou der Grüne selon la nationalité qu'on lui donne, a navigué durant plus de trente ans entre la France et l'Allemagne surfant sur la vague rebelle de l'homme libre à tous les niveaux et attaquant à souhait des personnalités. Cette fois, l'homme n'a plus la même aura auprès des masses. Ce qui reste du pourfendeur de l'ordre public est l'image d'un homme politique qui inspire le dégoût auprès des gens et des jeunes générations

    Aujourd'hui Daniel Cohn-Bendit ne peut plus sortir ni à Berlin, ni en Pologne sans être rappelé à son passé avec son livre le Grand Bazar. Le célèbre réalisateur polonais, Grzegors Braun, ayant tout récemment appris les dires et les allusions sexuelles de Daniel Cohn-Bendit envers les enfants, a porté une plainte en Pologne pour pédophilie contre l'eurodéputé franco-allemand. A Berlin dans deux conférences, où Daniel Cohn-Bendit participait, un homme a interrompu le bon déroulement de ces dernières et montré du doigt Daniel Cohn-Bendit avant de dire « cet homme est un pédophile » avant de lire le passage incriminé du Grand Bazar et d'interpeller l'assemblée sur le passé de l'eurodéputé.

    Prix Theodor Heuss. Tout commence avec la remise du prix Theodor-Heuss à Daniel Cohn Bendit qui a bien eu lieu ce 20 avril. Ce prix, qui récompense une personnalité politique, est donné à des personnalités qui ont œuvré pour la société et la politique. Le président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, Andreas Voßkuhle,avait refusé de participer à la cérémonie et de remettre le prix à Daniel Cohn-Bendit car « Le Président ne pouvait pas associer la Cour avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants », avait, alors au mois de mars, expliqué son service de presse. De nombreuses personnalités politiques d'outre-Rhin trouvent des excuses pour cet homme politique issu de la génération des années 68 où « il faut comprendre que cette génération a un certain passé. »Mais le jour de la remise du prix à Daniel Cohn-Bendit, ce dernier a été accueilli par une foule en colère.

    Dénoncé en public. Juste avant de partir en déplacement en Pologne, Daniel Cohn-Bendit était l'invité de Médecins sans Frontières le 25 avril à Berlin à la Mairie Rouge qui se trouve juste à côté de la gare Alexanderplatz et de la tour de télévision avec sa grosse boule genre discothèque. Dans le public réuni dans une salle de la mairie de Berlin, un homme a pris la parole après avoir été autorisé à pouvoir poser des questions et à s'exprimer. Seulement, l'homme a calmement demandé à l'organisateur de Médecins sans Frontières qui se trouvait sur l'estrade à côté de Cohn-Bendit : « Comment est-ce possible que Médecins sans frontières invite un homme qui se décrit lui-même comme étant un violeur d'enfants et comment peut-on imaginer que Médecins sans Frontières soutienne la pédocriminalité humanitaire ?» L'organisateur micro en mains, visiblement agacé, a riposté en disant qu'il connaissait parfaitement le passage du livre et que cette intervention était hors sujet et que« Cohn-Bendit est là car il défend une position des Verts et qu'il est député au Parlement européen.»Le 28 avril Daniel Cohn-Bendit était cette fois au Berliner Ensemble, dans le célèbre théâtre tenu par Bertold Brecht et Heiner Müller sous le régime de la RDA. Daniel Cohn-Bendit est sur une estrade avec des représentants du magazine Cicero. Cicero, qui présente des photos et des dessins toujours recherchés et colorés, est un magazine réputé pour son sérieux et son intellectualisme. Un homme sort du public et monte sur l'estrade pour montrer du doigt l'écologiste et lire à haute voix le passage incriminé de son livre le Grand Bazar.

    Pologne. Le 26 avril Daniel Cohn-Bendit devait participer à un colloque à l'université de Wroclaw. Cette fois le député franco-allemand doit s’esquiver et déclare qu'étant malade, il ne pouvait plus participer à la conférence. Ce dernier restera planqué dans son hôtel toute la journée. En Pologne, pays catholique supportant mal « les idées » venues de cette Union européenne qui s’attaque à la famille, l'enfant est sacré. Les manifestants polonais étaient venus pour casser du verre ce jour-là. Le réalisateur polonais, Grzegors Braun, connu pour avoir réalisé un film sur Lech Wałęsa montrant son implication avec la Stasi, a appris tout récemment que Daniel Cohn-Bendit avait évoqué son passé érotique et sexuel avec des enfants dans une émission télévisée. Grzegors Braun a sur le champ porté une plainte au pénal contre Daniel Cohn-Bendit pour pédophilie.

    Parti des Verts allemands. La fondation Heinrich Böll, « mémoire des Verts » possède les archives sur le dossier du Grand Bazar écrit par Daniel Cohn-Bendit. Bien que l'eurodéputé s'efforce d'expliquer qu'il n'a pas donné des ordres pour interdire des chercheurs ou des journalistes pour faire des recherches sur son livre, la fondation du parti des Verts, basé dans le centre de la capitale allemande explique qu'une demande expresse est arrivée aux archives en provenance du bureau de l'eurodéputé pour ne pas dévoiler le contenu des cartons. On apprend dans cet article de la presse allemande que ces archives sont interdites au public, aux chercheurs et journalistes pour une durée de soixante ans jusqu'en 2031. Daniel Cohn-Bendit aurait-il d’autres choses plus terribles à se reprocher ? En tout cas il ne tient pas à faire la lumière sur son passé ! L'auteur de l'article explique que Daniel Cohn-Bendit aurait fait beaucoup plus de déclarations à caractère pédophile et que le livre ne serait pas le seul élément explosif. Dans la gazette intitulée Pflasterstrand des Linke de Francfort-sur-le-Main qui a existé de 1977 à 1990, on y trouve des textes explicites : « L'année dernière une fille de six ans a fleurté avec moi. C'était un moment des plus émouvants et des plus jolis que j'aie pu avoir... et ce n'est pas important d'écrire pour ou contre la pédérastie », peut-on lire dans une édition de 1978 dans Les mémoires d'un dinosaure. Rappelons que Cohn-Bendit était le responsable juridique du Plasterstrand.

    La Voix de la Russie

  • Marathon de Boston: la piste de " l'Etat profond"

    Lire: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Marathon-de-Boston-la-piste-de-l-Etat-profond-17795.html

    + VIDEOS,  PHOTOS

  • Boston : trois autres suspects en garde à vue

    Les trois suspects mis en garde à vue seraient des étudiants, qui pourraient avoir aidé les frères Tsarnaev après l’attentat, selon les médias américains. Ils sont accusés d’entrave à la justice pour avoir notamment cherché à faire disparaître l’ordinateur et le sac à dos du plus jeune des frères Tsarnaev, a annoncé le procureur de Boston.

    « Trois autres suspects ont été placés en garde à vue dans l’affaire de l’attentat de Boston », a annoncé la police de Boston sur Twitter sans autre détail. C’est la première fois depuis le double attentat du 15 avril que la police parle de « suspects » autres que les frères Tsarnaev, auteurs présumés du double attentat qui a fait trois morts et 264 blessés.

    La police a indiqué que les suspects n’étaient pas une menace pour la sécurité publique.

    Selon NBC, ils étaient surveillés depuis 10 jours, et auraient aidé Djokhar Tsarnaev à enlever certaines affaires de sa chambre universitaire après l’attentat. Ils pourraient être poursuivis pour fausses déclarations.

    « S’il s’avère que les suspects ont été impliqués dans l’attentat, ils seront accusés de complot », a déclaré l’avocat de la défense à CNN. Selon le site d’informations américain, deux des étudiants sont originaires du Kazakhstan. Le troisième est un citoyen américain, selon une source fédérale.

    La police s’est aussi intéressée ces derniers jours à la veuve de Tamerlan Tsarnaev, Katherine Russell, 24 ans, après la découverte d’une trace d’ADN de femme sur l’une des cocottes-minute transformées en bombes par les auteurs de l’attentat.

    Barack Obama a défendu mardi le travail réalisé par le FBI avant l’attentat de Boston. La Russie avait alerté en 2011 les autorités américaines sur la radicalisation de Tamerlan Tsarnaev. Le FBI l’avait alors interrogé mais avait ensuite clos son dossier.

    Le Soir.be - 01/05/13

  • Le somptueux pied-à-terre de Thomas Fabius "intéresse" le parquet

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    Thomas Fabius est dans le collimateur de la justice. Selon l'hebdomadaire "Le Point", le parquet de Paris "s'intéresse" aux conditions d'achat du somptueux appartement que le fils du ministre des Affaires étrangères a acheté l'année dernière. Une information que le parquet, interrogé par le "Nouvel Observateur", ne souhaite pas commenter. Il indique cependant que Thomas Fabius fait l'objet d'une enquête préliminaire pour "faux" et "tentative d'escroquerie", confiée en avril 2012 à l'OCRGDF (Office central pour la répression de la grande délinquance financière), après une plainte déposée contre lui fin 2011. C'est dans le cadre de ces investigations que les enquêteurs ont trouvé la trace de l'achat de l'appartement.

    Ce 280 mètres carrés, ancien pied-à-terre du réalisateur Claude Zidi, a été acquis pour sept millions d'euros en juin 2012. Comment Thomas Fabius a-t-il pu financer cet achat sans être soumis à l'impôt sur le revenu ?, s'interroge "Le Point".

    L'homme d'affaires trentenaire a expliqué à l'hebdomadaire avoir acheté son appartement, "comme tout le monde, avec un prêt bancaire". Les revenus générés par TF Conseils, sa société de consulting créée en 2005, auraient suffi selon lui à obtenir ce prêt, toujours selon le "Point". Mais le journal dit n'avoir trouvé trace d’aucun salaire, ni dividende.

    Thomas Fabius aurait indiqué à l'agent immobilier chargé de la transaction qu'il comptait financer son achat en partie grâce à des gains au jeu. Selon l'hebdomadaire, cette transaction aurait déclenché un signalement de Tracfin, l'organisme de Bercy chargé de la lutte contre le blanchiment d'argent et la fraude fiscale.

    Le fils de Laurent Fabius a par ailleurs été condamné en 2011 pour "abus de confiance".

    A.-S. H.

    Nouvel Observateur - 30/04/13