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Bistro Libertés avec Nicolas Bay, vice-président du Front National
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FOLHUMOUR ?
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Bouches-du-Rhône (13) : le département promet un « effort financier considérable » pour héberger les jeunes migrants africains
20h32Les jeunes migrants ont accepté jeudi soir la proposition du département qui a mis à leur disposition 65 places en hébergement d’urgence.
Après une dernière nuit passée dans l’église du Vieux Port à Marseille, la soixantaine de jeunes migrants qui dénonçaient le sort des mineurs étrangers isolés ont rejoint vendredi matin l’abri proposé par le département.
Les jeunes migrants ont accepté jeudi soir la proposition du département qui a mis à leur disposition 65 places en hébergement d’urgence. Par peur d’être chassés dès le lendemain matin, ils avaient dans un premier temps refusé la proposition du département, chargé légalement d’assurer la prise en charge des mineurs étrangers isolés qui arrivent sur son territoire sans famille.
Mercredi la présidente du Conseil départemental Martine Vassal (LR) avait souligné qu’un « effort financier considérable » avait été engagé « avec 20 millions d’euros mobilisés, 60 places d’accueil supplémentaires ouvertes en juillet et la création de 40 nouvelles début 2018.
Merci à Pythéas
NdB: 20 millions d'euros! On hallucine!
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STÉPHANE RAVIER : « DES MIGRANTS SQUATTENT ET DÉGRADENT UNE ÉGLISE DE MARSEILLE, AVEC LA BÉNÉDICTION DE L’ARCHEVÊQUE… »
Stéphane Ravier, sénateur et maire Front national du VIIearrondissement de Marseille, déplore l’occupation et la dégradation de l’église Saint-Ferréol par des migrants, accompagnés par des associations de gauche et d’extrême gauche et facilitée par l’archevêque de Marseille Mgr Pontier. Il constate qu’aucune autre communauté religieuse, notamment la communauté musulmane, ne laisse ainsi dégrader ses lieux de culte en les transformant en lieux d’accueil sauvage pour des étrangers en situation irrégulière. Il demande l’application de la loi et l’expulsion des clandestins.
Stéphane Ravier, des migrants occupent depuis plusieurs jours illégalement, mais à l’invitation du diocèse, l’église Saint-Ferréol de Marseille. En tant qu’élu, que pensez-vous de cette situation ?
Il ne s’agit pas vraiment d’une occupation puisque l’archevêque Pontier a donné son accord.
Cela ne m’étonne pas puisque Monseigneur Pontier est un immigrationniste convaincu. Il ne manque jamais une occasion de le faire savoir. C’est sans doute la raison pour laquelle ces migrants se sont rendus dans cette église. Ils étaient, d’ailleurs, escortés par les militants et les associations de gauche et d’extrême gauche qui savent que les églises sont grandes ouvertes, contrairement à d’autres lieux de culte.
Ils viennent de s’installer et commencent déjà à dégrader les lieux. J’ai reçu des photos qui en disent long sur l’état de cette église Saint-Ferréol. De plus, je rappelle que cette église se trouve sur le Vieux-Port, dans un lieu fréquenté par les Marseillais et aussi par les touristes.
C’est un symbole très fort que je condamne donc de la façon la plus forte qu’il soit, sans m’en étonner toutefois .
La déferlante migratoire touche tous les quartiers de Marseille, y compris ce site ô combien apprécié par les Marseillais.La communauté musulmane a-t-elle proposé des lieux de culte où les migrants pourraient se réfugier ?
Si des responsables de la communauté musulmane ont dit qu’ils étaient prêts à accueillir des migrants, ils n’ont pas dû le faire de façon très forte. Je n’ai jamais entendu un imam inviter des migrants à venir se réfugier dans les mosquées.
Je ne vous cache pas que je leur donne raison.
Les lieux de prière et de culte sont faits pour prier et non pour être souillés.
Je ne ferai pas le reproche aux imams, rabbins ou quel que soit le responsable cultuel de ne pas ouvrir les portes de son lieu de culte à des individus qui ne respectent rien.
Mes clichés démontrent que ces soi-disant mineurs, qui sont mineurs comme moi je suis bonne sœur, ne respectent en rien ce lieu de culte. Les responsables du culte musulman le savent très bien, et se passent très bien de les inviter.Les migrants devraient quitter les lieux samedi. Savez-vous où ils seront acheminés ?
Le flou, qui n’a rien d’artistique, demeure. Ils ont annoncé qu’ils devraient quitter l’église Saint-Ferréol samedi sans que nous en ayons la certitude. Ils gagnent du temps.
Les associations qui les encadrent ne respectent que très rarement leurs engagements. J’attends de voir pour croire. Ils quitteront peut-être l’église Saint-Ferréol pour se réfugier dans un autre lieu à Marseille.
Ils ne seront, de toute évidence, pas expulsés comme ils devraient l’être.En tant que sénateur de Marseille, vous prononcez-vous toujours pour leur expulsion dans leur pays d’origine ?
Évidemment.
Je pense que tout doit être mis en œuvre pour qu’ils soient renvoyés dans leur pays d’origine.
Certains individus sont issus de Côte d’Ivoire. Je ne crois pas qu’ils y risquent particulièrement leur vie.BV
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Michel Delpuech, successeur de Papon, a laissé les gauchistes défiler avec les Indigènes racistes
Le préfet Delpuech
Jean-Yves Le Gallou présent au lieu de rassemblement de la manifestation interdite de Génération Identitaire, a accepté de répondre à nos questions.
Riposte Laïque : Vous étiez donc, ce samedi, à La Motte Picquet Grenelle, pour participer à la manifestation de Génération Identitaire. Pourtant, vous saviez qu’elle avait été interdite, alors pourquoi être venu ?
Jean-Yves Le Gallou : Samedi 18 novembre j’avais invité les participants du Forum de la dissidence à venir manifester. La moindre des choses pour moi était donc d’être présent. Et puis la dissidence ce n’est pas forcément obéir aux décisions LIBERTICIDES d’un préfet de police, fût-il un brillant successeur de Maurice Papon. Après tout la manifestation du 11 novembre 1940, place de l’Etoile n’avait pas non plus été autorisée, ni par le préfet de police, ni par la Kommandantur.
Riposte Laïque : Avez-vous été surpris de cette interdiction ?
Jean-Yves Le Gallou : Oui et non.
Oui, parce que la liberté de manifester est constitutionnelle. Et que la jurisprudence ne reconnait généralement pas le simple fait qu’il y ait une contremanifestation comme suffisant pour interdire une manifestation. Sinon ce serait trop facile. L’ Etat a le devoir de maintenir l’ordre public tout en garantissant la liberté de manifester.
Ceci étant dit l’interdiction ne m’a pas vraiment surpris. Le système a l’habitude d’utiliser les « antifas » comme chiens de garde. Les autoriser dans un premier temps à contremanifester à 300 mètres de GI, c’était une manœuvre de la préfecture de police reposant sur une alliance avec l’extrême gauche. Une extrême gauche que le successeur de Maurice Papon, Michel Delpuech a laissé défiler avec les occupants « racisés », c’est-à-dire racistes, des soi disants « Indigènes de la République ». C’est vraiment le deux poids, deux mesures !
Riposte Laïque : Qu’avez-vous vu, sur ce lieu de rendez-vous, et quelle a été l’attitude des forces de l’ordre ?
Jean-Yves Le Gallou : Pour éviter des risques excessifs, Génération Identitaire a demandé à ses militants de ne pas se rendre à la manifestation. En revanche beaucoup de personnes qui avaient connu la manifestation par les réseaux sociaux , s’y sont rendus.
Ils y ont rencontré un énorme déploiement de forces qu’on aimerait voir lors d’émeutes en banlieue (à Mantes la Jolie ou à Vienne) par exemple. Vers 16 heures un(e) commissaire de police (je peux aussi parler en écriture inclusive !) a demandé à la gendarmerie mobile de mettre en place la nasse.
Une partie des manifestants s’est dispersé et une autre a été « serrée ». Mais comme il s’agissait de personnes plutôt d’âge mur, voire âgées, avec pas mal de femmes, et que le « plan de chasse » de la préfecture de police c’était de « gaver » des hommes jeunes, les manifestant(e)s ont été finalement relâchés. Non sans une tentative illégale de nourrir les fichiers de police : les gendarmes demandaient la carte d’identité aux manifestants pour leur permettre de prendre le métro… et photographiait la dite carte d’identité au portable ! Un fichage sans base légale auquel nous avons mis le holà rapidement !
Riposte Laïque : Vous étiez à Angers, la veille, le vendredi 24 novembre, pour tenir une conférence, dans une université catholique. Et apparemment, votre présence n’a pas été appréciée de tout le monde, puisqu’elle a suscité une contre-manifestation de 120 gauchistes, selon la presse locale. Prenez-vous ces initiatives hostiles comme des hommages à votre combat ?
Jean-Yves Le Gallou : Bien sûr c’est un hommage du vice à la vertu !
Il y a eu deux événements à Angers :
– Le samedi une journée des Associations familiales catholiques (AFC) où je n’étais pas mais qui a quand même été contestée dans la presse locale car certains invités n’étaient parfaitement politiquement corrects !
-Et le vendredi soir je suis intervenu devant Anjou conférences sur la Tyrannie médiatique : un thème qui a déclenché le courroux des « journalistes » locaux qui n’ont pas apprécié que je dénonce le « Parti des Médias » « reposant sur l’alliance du capital financier et du gauchisme de salle de rédaction » . Les chiffres ont été les suivants : 70 contremanifestants gauchistes et non pas 120, 130 participants à la conférence dont 40 jeunes, et une centaine de CRS assurant cette fois la liberté de réunion ! De tous ces chiffres les photos font foi.
Riposte Laïque : Quelle analyse politique tirez-vous des différents événements de ce week-end, entre les manifestations, autorisées, des Indigènes de la République, à Paris et à Nantes, et l’interdiction de celle des Identitaires, à Paris ?
Jean-Yves Le Gallou : La devise du pouvoir macroniste , c’est 2 poids, 2 mesures. Complaisance avec l’extrême gauche et préférence immigrée. Répression pour les patriotes et les Identitaires.
Riposte Laïque : Il y a une semaine, vous organisiez, avec vos amis, le Forum de la Dissidence, sur le thème de la nécessité d’une Droite forte, face à Macron. Etes-vous satisfait du déroulement de cette initiative ?
Jean-Yves Le Gallou : Oui. Des débats de grande qualité. Plus de 500 participants. Et la présence de gens venus de diverses rives de la droite, y compris LR comme Charles Beigbeder et Samuel Laffont. Il y avait même un homme de gauche : un certain Pierre Cassen…
Riposte Laïque : Quels sont vos prochains projets ?
Jean-Yves Le Gallou : Participer à la manif du SIEL sur Ploërmel le 12 décembre, devant le Conseil d’Etat. La cérémonie des Bobards d’Or le lundi 12 mars 2018.
J’ai aussi entrepris la rédaction d’un livre : « Européen d’abord, essai sur la préférence de civilisation »
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose pour conclure cet entretien ?
Jean-Yves Le Gallou : Résistance. Dissidence.
Propos recueillis par Pierre Cassen
RL -
Scandale de la fermeture des comptes du Front National
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Scandale à Palerme (Italie): une école bannit les symboles catholiques, les enfants se rendent en classe munis d’un chapelet
20h59Le directeur retire la statue de la Madone, en protestation les enfants se rendent en classe munis d’un rosaire
«Bas les pattes de la statue». Ils l’avaient annoncé hier, aujourd’hui plusieurs parents d’élève de la Ragusa Moleti, l’école de Palerme dont le directeur a diffusé une circulaire interdisant les moments de prière collective, ont envoyé en classe leurs enfants un chapelet au cou. Une façon de protester contre la décision du directeur, Nicolò La Rocca, qui a décidé de retirer les statues de la Vierge et de Jésus ainsi que les images de saints et du Pape des couloirs et des salles de classe.
Conseil d’Etat vs statue de la Madone
Une protestation arrivée après que plusieurs parents d’élèves ont dénoncé auprès d’un journal quotidien le fait que seraient supprimés les moments de prière collective célébrés avant la classe et le goûter de quatre heures. En effet le responsable pédagogique, à la tête de l’école Ragusa Moleti depuis septembre dernier, a rédigé une circulaire faisant référence à l’avis du Conseil d’Etat du 8 janvier 2009 qui exclut «la célébration d’actes de culte, rites ou célébrations religieuses pendant les horaires scolaires et l’heure de religion catholique».
[…]
«Il faut respecter toutes les religions, sans compter que ces statues sont là depuis des années et qu’elles ont été enlevées sans que les parents en soient avertis», ont protestés plusieurs mères de famille.
[…]
«Je suis un agent de la fonction publique et j’ai l’obligation de respecter les normes», s’est défendu le directeur.Les réactions politiques
Il est sûr que La Rocca ne s’attendait à un tel écho médiatique de l’affaire. «Une interdiction obscurantiste et incompréhensible», a commenté Maurizio Lupi, coordinateur national de Area Popolare (centre-droit chrétien). «Un geste dicté par la volonté d’imposer le laïcisme et l’anticléricalisme», a fait savoir Renato Schifani de Forza Italia (droite), tandis que pour Alessandro Pagano de la Ligue du Nord «interdire à des enfants de 3 à 6 ans de prier à l’école est une chose indigne» et retirer les photos du Pape et les statues de la Vierge est «un acte ignoble».
[…]
Le directeur,[…], réplique: «Il s’agissait de statues très encombrantes, un énorme Bouddha aurait crée les mêmes problèmes». Dans le même temps, est apparue ce matin une banderole sur les murs extérieurs de l’école, «Rends la Madone!» […] une initiative de Forza Nuova […] contre le directeur et son «délire laïciste».Merci à anonimo
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VIDEO - Le déserteur nord-coréen retrouvé avec une quantité énorme de parasites intestinaux
Regardez cette vidéo qui explique pourquoi la nourriture des plus pauvres est infectée...
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Calais : une voiture pleine de migrants fonce sur des CRS
22h49Une voiture avec neuf migrants à bord a foncé samedi soir à Calais sur des CRS pour échapper à un contrôle, faisant un blessé léger parmi les fonctionnaires avant d’être arrêtée, selon la préfecture du Pas-de-Calais. (…)
Merci à Man from Dystopia
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La préfecture décide d'interdire la manifestation de Génération Identitaire à Paris
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Les chiffres effrayants du Général de Villiers sur l’état de l’Armée française.
Le général de Villiers publie son livre “Servir” et livre ses réflexions sur l’état de nos armées, qui ne cesse de se dégrader.
Situation alarmante, confirmée par diverses sources.
Les politiques ont sacrifié notre outil de défense alors que la menace n’a jamais été aussi forte depuis la chute du mur de Berlin.
Avec 32 milliards de budget, l’armée française ne peut plus faire face à sa mission de défense et de protection de la nation.
A titre de comparaison, la France consacre 730 milliards à son budget social.
Alors qu’il promettait de porter l’effort de défense à 2% du PIB d’ici 2025, la première décision d’Emmanuel Macron a été de rogner 850 millions dans le budget des armées. C’est dire quel crédit il accorde à nos soldats !
Il faudrait une augmentation de 2 milliards par an pour atteindre l’objectif de 2% en 2025, soit 50 milliards.
A peine élu, Macron le baisse de 850 millions !
Dans le même temps, l’AME qui soigne les sans papiers coûte 1 milliard par an !
Et les 20 000 "mineurs isolés" arrivés en France en 2017, coûtent aussi 1 milliard.
Combien en 2018 ? 30 000 mineurs isolés ?
Pour les migrants, l’argent coule à flots !
Mais nos soldats assurent leur mission au péril de leur vie avec des matériels vieux de 40 ans !
Voici quelques chiffres effarants, pour une armée qui se veut encore de première catégorie, et qui illustrent l’ampleur du désastre.
Extraits :
Le budget des armées est passé de 5% du PIB en 1964 à 1,5% en 2017 !
Entre 2008 et 2014, l’armée a perdu 40 000 postes de militaires.
50 formations e l’armée de terre ont été dissoutes.
17 bases aériennes ont disparu.
20 navires ont été désarmés.
Les KC135 ravitailleurs volaient déjà il y a 50 ans.
Les blindés ont 30 ans de moyenne d’âge.
60% des véhicules en Opex ne sont pas blindés !
“Il est arrivé plusieurs fois au Sahel, que nous soyons incapables de suivre un groupe de terroristes par manque de drones”.
“Ou d’avoir “marqué” l’objectif, mais de ne pas être en mesure de le neutraliser, par manque d’appui aérien disponible ou faute d’hélicoptères pour transporter les forces spéciales”, nous dit le général de Villiers.
Nos soldats font la guerre sans moyens !
De plus, les engagement tous azimuts décidés par les politiques “dépassent nos capacités d’un tiers” !
30 000 soldats sont en posture opérationnelle. Levant, Sahel, Liban, RCA.
Un ratio exceptionnel, qui fait de l’armée française la deuxième puissance occidentale sur le terrain.
Il ressort également de l’audition du Chef d’état major de l’armée de l’air par la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale que l’état de notre aviation militaire devient inquiétant.
“Le déficit en commandos de l’air s’aggrave. 70 % des fusiliers-commandos militaires du rang ne renouvellent pas leur contrat et quittent l’institution”.
“Le nombre de pilotes de chasse, particulièrement mis à contribution, ne suffit pas à soutenir l’engagement actuel dans la durée”.
“Les ventes de Rafale ont entrainé une « évaporation » des meilleurs mécaniciens au profit des pays acheteurs”.
“Le « déclassement » guette l’Armée de l’air. L’avion de chasse F-35, avion de chasse de dernière génération qui entre en service dans plusieurs armées de l’air européennes mais aussi en Australie constitue l’une des illustrations de ce risque de déclassement par sa discrétion et ses capacités de connectivité.
Pour ne parler que de la RAF, elle aligne aujourd’hui 14 MRTT (Airbus A330 ravitailleur) quand la France n’en attend que 12 dont seulement 9 de commandés et aucun de livré” !
“L’Armée de l’air ne dispose que de 4 AWACS quand la RAF en aligne 6 ! Enfin la flotte de combat de la RAF disposera sous peu d’avions de quatrième et cinquième génération quand son homologue française sera plutôt composée d’appareils de génération antérieure (Mirage 2000 et Rafale)”.
Et au niveau de la maintenance des avions, c’est un véritable désastre.
Sur la base aérienne d’Orléans, récemment, la disponibilité avions était la suivante :
“Sur onze A 400 M en parc, au maximum quatre sont disponibles.
Quant aux Hercules C 130, sur quatorze en parc, il n’y en a que deux ou trois de disponibles” !
Comment ravitailler nos soldats à des milliers de kilomètres de la métropole dans ces conditions ?
Quant à la Marine nationale, son unique porte-avions est en grande révision pour 18 mois.
Le fleuron de notre Marine fait la guerre à mi-temps !
Il paraît que la France, qui a le deuxième domaine maritime du monde, n’a pas les moyens de s’offrir un deuxième PA qui coûte 3 milliards et a une durée de vie de 40 ans.
Mais elle dépense chaque année 730 milliards en social qu’elle partage avec toute la planète, soit l’équivalent de 243 porte-avions par an ! Cela prouve le total désintérêt des politiques pour les armées.
Le constat est accablant : l’effondrement de notre défense est monumental, alors que nos soldats n’ont jamais été autant sollicités sur tous les fronts, intérieur comme extérieur.
La France est tellement ruinée avec ses 2000 milliards de dettes, plus de 30 000 euros par citoyen, qu’elle n’a plus les moyens d’assurer sa défense, alors que l’ennemi est maintenant à l’intérieur de nos frontières.
Une immigration de masse de déshérités, sans qualification et assistés pour la plupart, a englouti des centaines de milliards qui nous font défaut aujourd’hui.
L’immigration, qui absorbe 3 points de PIB depuis des décennies, a plombé le niveau de vie. Elle coûte deux fois plus cher en social que sa contribution au PIB.
Tout s’effondre, l’armée, la police, l’enseignement, l’hôpital, les services publics.
C’est le nivellement par le bas.
Il suffit de regarder l’état de nos routes pour constater que la France est sur la voie de la tiers-mondisation à très grande vitesse.
Et comme il arrive des centaines de migrants chaque jour, nous n’avons encore rien vu du naufrage qui s’annonce.
Publié le 19 novembre 2017 -(merci à Dirk)
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Prostitution : Aïssatou, 16 ans, livrée à cinq hommes dans un hôtel
Adolescente en souffrance, Aïssatou s'est retrouvée aux mains d'un réseau de proxénétisme, attirée par l'argent facile.
Vendre son corps sur des parkings de supermarchés ou dans des hôtels de banlieue pour s'acheter des vêtements de marque et un nouveau smartphone. C'est l'histoire d'Aïssatou*, 16 ans à l'époque. L'histoire d'une chute dans la prostitution. Comme douze autres jeunes filles, dont cinq adolescentes, âgées de 14 à 16 ans, elles ont été sous la coupe d'un chômeur de 21 ans et de sa complice, reconvertis en proxénètes.
LIRE AUSSI
>Prostitution : les cités, nouvel eldorado des proxénètesLes faits se sont déroulés en 2015 en région parisienne. Nous avons eu accès à certaines de ses déclarations faites au cours de l'enquête. Avant d'être prise dans les griffes de ce réseau, Aïssatou a connu une enfance chaotique. Placée en foyer après avoir été victime d'attouchements, elle retourne vivre chez sa mère et se retrouve en échec scolaire. « Il y avait trop de choses intéressantes à faire en dehors des devoirs : la télé, Internet, les sorties, je faisais ce que je voulais », relate-t-elle.
Après une fugue, sa mère la renvoie en Afrique de l'Ouest dans le pays d'origine de ses parents à l'occasion de l'enterrement d'une tante. Isolée, elle fait appel à son père qui accepte de la faire rentrer en France. Il l'accueille chez lui. Mais la jeune ado rêve de vêtements de marques, de chaussures et de téléphone portable dernier cri.
60 hommes la sollicitent en quelques jours
Une de ses copines, âgée de 14 ans, lui explique que son argent de poche, elle le gagne en se prostituant. Aïssatou se met alors en contact avec un homme : « Il m'a dit que je pouvais faire l'escort, c'est-à-dire accompagner des hommes par exemple pour aller au restaurant. Au début, il n'était pas question de sexe. Mais il a fini par m'en parler. Je devais soit faire l'escort masseuse en tenue sexy ou l'escort danseuse. Je ne sais pas pourquoi j'ai accepté. Je voulais me faire de l'argent », raconte-t-elle.
Le proxénète et sa complice lui donnent très vite le « mode d'emploi ». Elle leur envoie des photos d'elle, nue et habillée, qu'ils postent, accompagnées d'un numéro de téléphone, sur des sites d'annonces spécialisés. Aïssatou devient Charley. « Ils m'ont conseillée de dire aux clients que j'avais 19 ans et que c'était 100 € la demi-heure ou 200 € pour une heure. Ils prenaient 40 % des gains », témoigne-t-elle. Au total, soixante hommes vont la solliciter en quelques jours.
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> Vivastreet : le site d'annonces visé par une enquête pour «proxénétisme aggravé»Elle rencontre son premier client sur le parking d'un centre commercial près de Paris. Il lui donne 300 €. « Il m'a juste demandé de le masturber dans sa voiture », explique la jeune fille. Avec cet argent, Aïssatou s'achète un nouveau téléphone. Puis vient un nouveau client. Encore sur un parking de grande surface. Il la fait monter et la conduit chez lui. Elle acceptera un troisième rendez-vous du même type. De quoi empocher 150 € et faire du shopping.
Elle donne l'alerte avec ses parents
Quelques jours plus tard, la jeune fille fugue, en compagnie de sa petite soeur. Elles partent rencontrer un homme qui voulait réaliser des photos d'elles. Conduites dans un « coin chelou sur Paris », Aïssatou comprend que le « photographe » veut obtenir plus. Aïssatou refuse. Les deux sœurs sont emmenées dans le Val-d'Oise et « livrées » pour des passes dans une chambre d'hôtel avec cinq hommes à l'intérieur.
C'est cet événement qui amènera Aïssatou et ses parents à donner l'alerte. Auditionnée, la jeune fille livre ensuite ce constat terrible : « C'est vrai que j'étais d'accord. Mais j'ai mûri et je n'ai plus envie de faire ça. Si on me proposait de refaire la même chose aujourd'hui, je dirais non. »
* Le prénom a été changé.
Le Parisien
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La préfecture de police de Paris décide d'interdire une manifestation de Génération Identitaire
Le préfet de police de Paris a pris un arrêté contre une manifestation de Génération Identitaire. Si la préfecture de police avance un risque d'affrontements violents, les identitaires accusent les pouvoirs publics de céder à l'«extrême gauche».
Une manifestation de l'association Génération Identitaire (GI) prévue pour le 25 novembre 2017 a été interdite par le préfet de police de Paris. La manifestation avait été déclarée au préalable auprès de la préfecture de police. Celle-ci a décidé d'interdire la manifestation ainsi que les contre-manifestations prévues en réaction afin d'éviter des «affrontements violents», d'après l'AFP.
Intitulé «Face aux islamistes, défendons l'Europe», Génération Identitaire souhaitait avec se rassemblement faire entendre sa voix «face aux gouvernements passifs et à leurs politiques laxistes», selon un message diffusé sur Twitter par Clément Galant, un responsable de l'association.
Leonidas, héros de la bataille des Thermopyles en 480 avt JC. Il a défendu l'Europe face à l'envahisseur Perse. Toi aussi fais parti des défenseurs de l'Europe lors de la manifestation du 25 novembre à Paris.
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La députée Danièle Obono LFI défend les stages interdits aux Blancs...
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Souffrons-nous de nos invisibles défaites ? La remarque de Renaud Camus fait réfléchir
Je ne sais pas si j’ai bien compris Renaud Camus mais en tout cas il a ouvert la porte à la réflexion.
Renaud Camus s’est interrogé ainsi : « Peut-être souffrons-nous cette fois de ne pas avoir connu de visible défaite ?«
Je ne sais pas si je vais interpréter cette pensée dans le sens souhaité par son auteur mais il me semble que j’ai le droit de l’analyser comme immédiatement j’ai été tenté de le faire.
Nous n’avons connu que trop de visibles défaites qui ne nous permettaient pas de nous leurrer, les désastres étant apparents, monstrueux, terrifiants, douloureux, tragiques. La Première et la Seconde Guerre mondiale, la collaboration, Vichy, les guerres coloniales, Điện Biên Phủ, l’Algérie, les massacres terroristes, autant de combats perdus, autant de millions de morts ou de victimes de proximité, autant d’ostensibles déroutes auxquelles même les indifférents par vocation ou par confort ne pouvaient échapper, tant elles bouchaient l’horizon, l’avenir.
Comme ces défaites étaient visibles, l’alternative était simple en pleine conscience : on se relevait pour un autre futur ou on les pressentait comme la manifestation d’un déclin fatal.
Mais que faire quand elles sont invisibles et que, même si on a la lucidité de les deviner dangereuses, silencieuses, incorporées à notre quotidienneté, grignotant subtilement notre savoir-vivre collectif, la douceur de l’appartenance, le réconfort de la familiarité, on est frappé d’impuissance ?
Parce que l’adversaire est partout et nulle part, le poison insidieux, les démissions naturelles, la lâcheté évidente et la chute irrésistible.
Parce que l’humanisme nous persuade qu’il convient de tout supporter et que nous serions de mauvais Français si nous nous rebellions contre ce qui nous est sans cesse présenté comme inéluctable.
Parce qu’on a le droit de pleurer les victimes du terrorisme et de pleurer sur elles mais le devoir de moins s’émouvoir sur toutes les autres, les criminels et les délinquants ordinaires faisant, eux, après tout, partie de notre monde.
Parce que les quartiers où la police n’entre plus ou est molestée ne nous concernent pas directement. Ce sont d’invisibles défaites qui nous offrent l’excuse facile d’une action qui serait, prétend-on, plus néfaste que le mal lui-même.
Parce que ne plus se sentir chez soi, dans une France qu’on ne reconnaît plus – une autre France, selon la belle expression de Georges Bensoussan -, trop composite, multiculturelle au goût de Mediapart, se percevoir comme dépossédé, sur le bord de la route, abandonné, contraint de renier sa propre histoire, ses racines chrétiennes, constitue d’invisibles délitements et des reculs si diffus, si intimes pour chacun qu’il serait vain de se croire assez audacieux pour leur résister, pour les réduire.
Parce que les maîtres que les élèves ne respectent plus, l’éducation qui se préoccupe plus des préjugés du genre à détruire que des fondamentaux à enseigner sont les signes impalpables d’une société qui ne se sent pas mourir – la bonne conscience fait de tout progressisme pervers, de toute libération abusive une chance ! – et, les défaites étant invisibles, l’absence de toute victoire est à peine remarquée !
Parce que la cigarette à l’écran est scandaleuse mais que la nudité obsessionnelle y a forcément droit de cité ! Mais j’oubliais : c’est de l’art !
Parce que la liberté d’expression, dans l’indifférence générale, prend l’eau mais qu’on se convainc que des polémiques absurdes et des indignations ridicules peuvent en tenir lieu.
Les invisibles défaites sont les pires qui, éloignées de nos yeux, ne nous agitent pas l’âme ni ne nous secouent l’esprit.
Ou qui nous crèvent les yeux mais, ne nous faisant pas de mal immédiatement, douloureusement, nous permettent de faire comme si elles n’existaient pas.
Je ne sais pas si j’ai bien compris Renaud Camus mais, en tout cas, il a ouvert la porte à la réflexion.
Philippe Bilger
Texte repris du site philippebilger.com
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JT TVL DU 24 NOVEMBRE: "le temps de l'occupation"
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Evasion dramatique d'un soldat nord-coréen vers le Sud où il est soigné pour ses blessures
Pour tenter d'abattre le transfuge, un militaire nord-coréen a brièvement franchi, la semaine dernière, la ligne de démarcation et ainsi violé l'accord d'armistice signé entre Séoul et Pyongyang.
Après avoir annoncé qu' un soldat nord-coréen avait réussi, le 13 novembre, une évasion rocambolesque vers le Sud , le Commandement des Nations unies en Corée (UNC) a présenté ce mercredi matin les images de vidéosurveillance dramatiques de cette défection et révélé qu'un militaire de l'armée nord-coréenne avait même brièvement franchi, ce jour-là, la ligne de démarcation tracée au sol entre les deux nations pour tenter d'abattre le transfuge.
Les images de l'évasion du soldat nord-coréen vers le Sud
L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, avait été atteint de cinq balles tirées par les soldats nord-coréens dans les quelques secondes qui avaient rythmé sa traversée de la frontière sur l'esplanade de la « zone commune de sécurité » (JSA) à Panmunjom, seul secteur ouvert de la longue Zone démilitarisée (DMZ) où les deux armées rivales se font face sans être séparées par des barbelés, de hautes barrières grillagées et des champs de mines antipersonnel.
Après de multiples opérations et une phase médicale très critique, le transfuge nord-coréen, dont l'identité reste secrète, a repris connaissance, mardi, dans un hôpital de Suwon, au sud de Séoul, où il avait été évacué par hélicoptère, quelques minutes après s'être effondré, grièvement blessé, dans un tas de feuilles mortes, derrière un muret situé du côté Sud de la frontière.
Conscient mais dans un état physique précaire
« Il a repris conscience et a demandé à regarder la télévision », a expliqué mardi une source médicale, avant d'indiquer que des films sud-coréens étaient diffusés dans sa chambre pour son « confort psychologique ». Pour le rassurer sur le fait qu'il était bel et bien au sud, les médecins lui auraient aussi accroché un drapeau sud-coréen dans sa chambre.
Le transfuge communiquerait avec le corps médical mais parlerait avec hésitation et montrerait des signes de dépression, a précisé l'hôpital qui s'était inquiété, la semaine dernière, de la précarité de son état physique. Le chirurgien qui l'avait opéré pour retirer les balles de son corps avait notamment expliqué qu'il avait trouvé une quantité phénoménale de vers intestinaux dans son ventre, dont un mesurant près de 27 centimètres. L'homme de 1,70m ne pèse que 60 kilos.
Mouvement de panique
Les images diffusées ce mercredi montrent le mouvement de panique qui a saisi les troupes du Nord dans les secondes où elles ont tenté d'intercepter le transfuge sur un site hautement symbolique, où Pyongyang place traditionnellement ses troupes les plus fidèles pour éviter ce type de défections humiliantes pour le régime.
Les premières minutes de la vidéo montrent une jeep militaire roulant à vive allure sur la route isolée de campagne menant, côté Nord, au « village » frontalier ultra-militarisé de Panmunjom. Le véhicule ne s'arrête pas devant l'un des derniers grands bâtiments nord-coréens de la zone où sont postés plusieurs gardes et fonce directement vers l'esplanade ouverte où passe la frontière. Ce passage semble alarmer les gardes. Quelques secondes plus tard, la jeep coince ses roues dans un fossé d'écoulement, situé près de la ligne de démarcation. Après avoir tenté de relancer le véhicule, le soldat nord-coréen sort en trombe de l'auto, alors que quatre autres militaires courent vers lui et ouvrent immédiatement le feu dans sa direction.
Franchissement de la ligne de démarcation
L'un des poursuivants s'élance même à sa poursuite et passe la ligne de démarcation (LDM), symbolisée par une large ligne blanche au sol. « On le voit courir pendant quelques secondes au-delà de la LDM avant de repartir du côté Nord », a détaillé, ce mercredi matin dans son briefing, le colonel Chad Carroll, porte-parole de l'UNC qui a enquêté, ces derniers jours, sur le déroulé de l'incident.
Le Commandement des Nations unies en Corée a d'ailleurs « demandé une réunion pour discuter des mesures pour empêcher de telles violations futures », a précisé le militaire américain, en référence à cette incursion qui enfreint l'accord d'armistice de 1953 signé par Séoul et Pyongyang à l'issue de trois années de guerre. « Les conclusions clé de l'équipe spéciale d'enquête sont que l'Armée nord-coréenne a violé l'accord d'armistice en tirant au-delà de la LDM et en franchissant temporairement la LDM », a-t-il ajouté.
Sauvetage coordonné
Sur d'autres images, prises une trentaine de minutes après l'incident, trois soldats sud-coréens sont vus rampant au sol derrière le muret pour approcher le transfuge blessé, apparemment inconscient. A quelques mètres, d'autres soldats sud-coréens et américains coordonnent le sauvetage.
Selon le colonel Chad Carroll, ces troupes au Sud auraient parfaitement respecté le Code de conduite mis en place sur cette zone très sensible pour éviter une escalade. « L'accord de l'armistice a été bafoué mais il reste en place », a confirmé le général Vincent K. Brooks qui dirige le Commandement des Nations unies.
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/030911940719-une-video-spectaculaire-montre-levasion-du-soldat-nord-coreen-pour-le-sud-2132214.php#p70LgOuAaCZVxmOF.99 -
Une église marseillaise occupée par de jeunes migrants
https://fr.novopress.info/208534/une-eglise-marseillaise-occupee-par-des-migrants/
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JT TVL 23 NOVEMBRE
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PROTÉGER, PRÉSERVER, PROJETER. Par Nicolas BAY
En Europe et même au sein de l'ensemble de l'espace occidental, bouleversés par les conséquences conjuguées de la globalisation, de la déconstruction sociétale et de l'immigration massive, la question de l'identité se fait chaque jour plus centrale. Le réveil des peuples est en cours, et à l'Union européenne des technocrates et des banquiers, doit désormais succéder le retour de la vraie Europe des nations et des libertés.
Nous devons d'un même élan protéger nos nations et défendre notre civilisation, pour en finir avec l'usurpation d'une Union européenne qui s'est traduite par une anti-Europe, n’œuvrant pas au rayonnement de notre civilisation commune mais tout au contraire à sa destruction progressive. La « libre-circulation des biens et des personnes » est aujourd'hui surtout la libre-circulation des armes, des drogues et des terroristes !
Si notre identité doit être protégée et préservée, c'est bien parce qu'elle est la base sur laquelle nos pays doivent s'appuyer pour se projeter vers l'avenir, tout autant que pour se projeter à nouveau comme des acteurs de premier plan tant sur le plan économique, que sur le plan culturel ou encore diplomatique.
C'est une réflexion à la fois sur la force de notre identité, mais aussi sur les dangers qui la guettent et les moyens d'y faire face, que le groupe Europe des Nations et des Libertés vous propose de partager lors de ce colloque aux invités prestigieux.
Bien à vous,
Nicolas BAY
Co-président du groupe Europe des Nations et des Libertés au Parlement européen
Vice-président du Front National