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JOURNAL TVL DU 26 0CTOBRE 2017
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Michel Audiard a écrit des textes antisémites dans des revues collabos
RÉVÉLATIONS La revue «Temps Noir» dévoile des écrits antisémites publiés dans plusieurs revues collaborationnistes en pleine Seconde Guerre mondiale par le célèbre dialoguiste Michel Audiard...
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Apprécié pour ses talents de dialoguiste, Michel Audiard, la plume, entre autres, des Tontons flingueurs, a également écrit des textes qui font moins l’unanimité. En effet, la revue Temps Noir, parue aujourd’hui, affirme qu’il aurait écrit des propos antisémites dans plusieurs revues collaborationnistes en pleine Seconde Guerre mondiale et que son nom apparaît sur une fiche d’adhésion au mouvement Collaboration datée de 1942.
Et ce n’est pas la première fois que le nom du dialoguiste, mort à l’âge de 65 ans en 1985, est associé à la collaboration. En 1980, le livre Les collaborateurs, de Pascal Ory mentionnait déjà ses publications dans L’Appel. L’Appel, revue collabo dirigée par Robert Courtine, un « ardent collaborateur », antisémite violent, également chroniqueur dans Au pilori et Pariser Zeitung. Son lien avec Michel Audiard ? Il lui a permis de « passer quelques contes et nouvelles dans L’Appel », confie Michel Audiard à la police en 1944.
Le « petit youpin de Joseph Kessel »
En 1943, Michel Audiard écrit une nouvelle, Le Rescapé du Santa Maria, récit humoristique d’un trois-mâts conquis à l’abordage. Le propriétaire du bateau est Jacob Brahm, qui se définit par « une veulerie suante » et « une odeur de chacal ». On lui demande : « Juif, hein ? – Juste un tout petit peu, du côté de mon père. » Un autre homme, Ephraïm, est « une synthèse de fourberie ». Un antisémitisme diffus, qui correspond bien au style de la revue.
Puis Michel Audiard devient critique de théâtre. Il soutient l’auteur Jean-Pierre Liausu, qui plaide pour l’arrêt des « machinations de la juiverie omniprésente » dans le théâtre et dans le cinéma, déteste Léon Blum « chez qui se putréfient toutes les essences judéïques » et constate que, dans le monde du spectacle, « le juif a triomphé ». Le jeune journaliste écrit, en soutien à l’auteur : « Le monde qu’il est convenu d’appeler "artistique" et qui demeure dans sa majorité le plus coquet ramassis de faisans, juifs (pardonnez le pléonasme), métèques, margoulins… » Dans sa rubrique littérature, Audiard critique le « petit youpin Joseph Kessel » et Elsa Triolet qui a cette « prédilection pour tout ce qui est veule, fangeux, équivoque ».
Une adhésion à son insu
Une fiche d’adhésion au groupe Collaboration, numéro 74.208, datée de 1942, a été retrouvée. Ce groupe milite pour une Europe allemande. Interrogé par la police en mars 1947, Michel Audiard affirme que son adhésion s’est faite « à son insu », et qu’il n’a jamais signé. Nul ne sait si c’est vrai.
Plus tard, il tape sur les résistants en étrillant les films qui privilégient « les Don Juan du macadam, les pédérastes intellectuels, les résistants vaudevillesques et les aventurières en panne d’affection ». En revanche, il aime Disney et souligne l’existence d’un « authentique chef-d’œuvre : Les Dieux du stade, de Leni Riefenstahl ». Des écrits pas très connus qui éclairent le réalisateur d’un nouveau jour…
20Minutes
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92 députés d'extrême droite font une entrée remarquée au Bundestag
92 députés d’extrême droite font leur entrée au parlement allemandL’AfD (Alternative für Deutschland ou Alternative pour l'Allemagne) est désormais le troisième groupe politique du parlement, en Allemagne, depuis l’entrée de ses 92 députés, dont la ligne politique affiche une forte direction nationaliste.
Une référence aux nazis dès le premier discours
Outre l’aspect historique de leur arrivée au Bundestag, les députés de l’Afd ont provoqué la polémique, notamment en citant Hermann Göring (l’une des figures les plus importantes du parti nazi durant la seconde guerre mondiale) dès leur première intervention dans l’hémicycle.
Traditionnellement, le discours d’ouverture du Bundestag est prononcé par le doyen des députés, dans ce cas Wilhelm von Gotberg, âgé de 77 ans. Mais l’homme politique a perdu ce privilège pour avoir ouvertement qualifié l’holocauste de mythe, et le discours a finalement échu à Hermann Otto-Solms, 76 ans, plus vieux député non pas en terme d’âge mais d’ancienneté au parlement.
Le vice président du parti de l'AfD, était déjà intervenu plus tôt dans l’année pour faire l’apologie de la Wehrmacht, l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. "Si les Français ont le droit d’être fiers de leur empereur et les Britanniques de l’amiral Nelson et de Churchill, alors nous avons le droit d’être fiers des performances des soldats allemands durant la Seconde Guerre mondiale", avait déclaré Alexander Gauland.
Une politique nationaliste avant tout
Les objectifs de l’AfD sont très clairs, leur élection étant le résultat du mécontentement d’une partie de la population qui a vu arriver plus d’un million de demandeurs d’asile. "Nous voulons récupérer notre pays, c'est inscrit dans notre programme. Je ne veux pas abandonner l'Allemagne face à une invasion d'étrangers issus de cultures étrangères", affirme le vice-président du parti, décrivant du même coup clairement sa ligne politique.
Franceinfo 26.10.2017
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Hommage aux jeune Identitaires, par Pierre Cassen (Riposte Laïque)
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JOURNAL TVL 25 OCTOBRE 2017
Tous les articles sont intéressant! A regarder!
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Mosquée de Poitiers : la déclaration intégrale de Damien Rieu devant le tribunal
25/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Poursuivi dans l’affaire de l’occupation du toit de la mosquée de Poitiers en octobre 2012, Damien Rieu s’est présenté, vendredi dernier, cinq ans après les faits, devant le tribunal correctionnel de Poitiers. Avant de garder le silence, comme il en tout à fait le droit, il a tenu à lire une déclaration, ce que le procédure lui permettait également. Nous publions ci-dessous cette intervention dans son intégralité, accompagnée de notes en bas de page de Novopress.
« Je vous remercie de m’accorder un temps de parole. J’ai en effet choisi de ne pas répondre à vos questions, non par irrespect à l’égard du Tribunal, mais considérant d’une part que les explications qui vont suivre se suffisent à elles-mêmes, et d’autre part parce que j’estime que ma place n’est pas dans ce tribunal aujourd’hui.
Je voudrais tout d’abord vous dire toute ma fierté d’être renvoyé devant le tribunal par les islamistes de l’UOIF, pour avoir participé à l’occupation pacifique du chantier de l’une de leur mosquée, le 20 octobre 2012. Il est important de rappeler que l’UOIF est l’antenne française des Frères musulmans en France, une organisation classée comme terroriste et interdite dans de nombreux pays.
L’imam de la Grande Mosquée de Poitiers, Boubaker El Hadj Amor, sans doute présent aujourd’hui dans le public, est d’ailleurs le vice-président de cette organisation. (1)
Il est également le directeur de l’IESH, un sulfureux institut de formation des imams qui a reçu le cheik Youssef Al Qaradawi, un dangereux prédicateur islamiste recherché par Interpol et désormais interdit de séjour aux USA, au Royaume-Uni et en France.
Pour bien situer, Youssef Al Qaradawi légitime les attentats suicides, la mise à mort des juifs et des homosexuels, la violence contre les femmes et a participé au financement d’Al Qaïda.
Aujourd’hui encore, quand on se rend sur le site internet de l’institut présidé par l’imam de la Grande Mosquée de Poitiers, Iesh.org, on trouve son nom inscrit en référence dans l’onglet Conseils et Fatwas. (2)
Je rappelle également qu’en novembre 2014, l’imam de la Grande Mosquée de Poitiers, également professeur, s’était opposé à la diffusion d’un fascicule par le rectorat sur « la prévention de la radicalisation en milieu scolaire ». J’ai également ici des photos extraites de la page Facebook de la mosquée de Poitiers, où nous pouvons voir des fillettes de 6 ans en hijab (3) et des publicités de conférences avec les prédicateurs Hani Ramadan et Hassan Iquioussen, notamment connus pour ses sorties antisémites et ses propos sur les apostats auquel il faudrait mettre, je cite, 12 balles dans la peau.
J’invite donc chacun à ne pas se laisser avoir par l’habile vernis de tolérance régulièrement utilisé par Boubaker El Hadj Amor, pour cacher la vraie nature de sa mosquée.
Ne soyons pas naïfs : oui la mosquée de Poitiers est radicale, oui les plaignants veulent interdire la critique de l’islamisme.
Maintenons que nous savons qui est qui, je souhaite revenir sur les faits qui me sont reprochés. Après cinq longues et intenses années d’instruction, il n’en reste que deux :
Tout d’abord les dégradations.On nous reproche d’avoir déplacé des tapis de prières. Aussi je demande aux plaignants de nous expliquer : que faisaient des tapis de prières sur ce chantier ? Ce chantier était-il utilisé comme une salle de prière annexe en toute illégalité ? C’est probable. Je tiens également à rappeler que ces tapis n’ont d’ailleurs été ni volés ni dégradés : ils ont simplement été déplacés et ont pris l’eau, car il pleuvait ce 20 octobre 2012 à Poitiers.
Ensuite, concernant les faits d’incitations à la haine, on nous reproche notamment d’avoir utilisé le nom d’un personnage historique (4). Faut-il le retirer des livres d’Histoire au nom du politiquement correct et interdire aux Français de prononcer son nom ?
Vous en déciderez.
Je tiens néanmoins à souligner que le premier à avoir inscrit la mosquée de Poitiers dans cette dimension historique, c’est son imam lui même, qui, pour récolter des fonds pour sa construction, avait fait référence à la symbolique de l’histoire de la ville.
Je rappelle enfin que cette occupation citoyenne d’un chantier s’est déroulée de manière totalement pacifique, et que les participants réclamaient un référendum sur l’immigration et la construction de mosquée, comme cela a été fait chez nos voisins suisses.
Alors si la méthode peut paraître un peu cavalière, j’en conviens, et même si depuis, ne faisant plus partie de Génération identitaire, j’ai choisi d’exprimer mes convictions patriotes sur d’autres terrains et avec des méthodes plus conventionnelles, il n’y a objectivement rien dans ce dossier qui puisse nous être reproché aux yeux de la loi, hormis peut être le fait d’avoir eut raison trop tôt.
Car si en 2012 la chose était peut être moins évidente, personne ne peut aujourd’hui, en 2017, nier le fait que les problématiques de l’islamisme et de l’immigration soient au cœur des débats de société et des enjeux de sécurité qui préoccupent les Français.
Si votre tribunal décide de nous condamner, alors il offrira une victoire symbolique à des islamistes radicaux et enverra un signal terrible à toutes les victimes du terrorisme islamiste et à tous ceux qui risquent leur vie pour dénoncer cette menace dans notre pays.
Un islamisme qui, faut-il le rappeler, a tué des centaines de Français, de Charlie Hebdo au Bataclan, de la promenade des Anglais à Marseille.
Je finis d’ailleurs cette intervention en demandant au tribunal et au public de bien vouloir respecter une minute de silence en la mémoire de Laura et Maurane, tuées il y a 15 jours par un migrant clandestin islamiste. (5) »
Damien Rieu
Notes de Novopress :
(1) Effectivement présent, il s’est même constitué partie civile à l’audience. Il a confirmé avoir été vice-président de l’UOIF mais a déclaré ne plus l’être.
(2) L’imam El Hadj Amor a confirmé la présence de Youssef al Qaradawi dans l’organigramme de l’IESH, comme président de son « conseil scientifique », mais a expliqué avec art que celui-ci n’y figurait pas à titre personnel mais en vertu de sa fonction au sein du Conseil européen de la fatwa !
(3) Là encore, l’imam a confirmé mais a expliqué que ces fillettes étaient ainsi vêtues sur décision de leurs parents, et que d’autres n’étaient pas couvertes.
(4) Il s’agit bien sûr de Charles Martel. Voir à ce propos le long compte-rendu d’audience publié par l’hebdomadaire Minute dans son numéro de cette semaine.
(5) Minute de silence qui n’a pas été respectée.
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Procès Merah : "Ma vie n'est que douleur", raconte Loïc Liber, sur qui Merah a tiré à Montauban
Affaire Merah
Le procès d'Abdelkader Merah, frère du terroriste Mohammed Merah, et de Fettah Malki, un délinquant toulousain, entre ce mercredi dans sa dix-huitième journée. Les deux hommes sont jugés devant la cour d'assises spéciale de Paris jusqu'au 2 novembre. Le premier est poursuivi pour complicité des sept assassinats commis par son frère en mars 2012 à Toulouse et Montauban, pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et vol en réunion. Le second est jugé pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et vol en réunion, pour avoir fourni à Mohammed Merah un pistolet-mitrailleur et un gilet pare-balles.
Vivez cette dix-huitième journée d'audience avec nos envoyés spéciaux à Paris, Jean Cohadon et Frédéric Abéla.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/10/25/2672383-proces-merah-suivez-direct-dix-huitieme-journee-audience-devant-cour.html#AP9BkdCBXSLbMyEg.99 -
Eric Zemmour célèbre « le bonheur des nations homogènes » à l’Est de l’Europe
24/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : « La République tchèque vient après l’Autriche qui vient après la Pologne, qui vient après la Slovaquie, qui vient après la Hongrie », a égrené Eric Zemmour ce matin sur RTL, analysant le nouveau succès électoral des « populistes ». Partout à l’Est en effet, les mêmes causes produisent les mêmes effets :
« Mêmes élections qui tournent autour de la question migratoire et de l’islam. Même victoire d’une droite qui les rejette sans état d’âme. Même rapprochement électoral avec une extrême droite qui fait fi de tous les tabous issus de la Seconde Guerre mondiale. Même bras de fer avec la Commission de Bruxelles qui dénonce les atteintes à l’état de droit. » Mais aussi « même mépris des Etats européens contre les populistes. Et mêmes leçons de morale des dirigeants français et allemands. »
Mais qui sont-ils vraiment, ces peuples qui votent comme bon leur semble ? En fait, « ces peuples rejettent un libéralisme qui serait obligatoirement libertaire comme il l’est chez nous depuis Mai 68. Ils refusent aussi des institutions européennes qui leur imposeraient un quota de migrants ou le mariage gay » :
« Les joies de la diversité qui font le bonheur de la France, de l’Allemagne et de l’Angleterre ne leur font nulle envie. Ils ne veulent ni des mosquées, ni du djihad. »
Et puis, poursuit Eric Zemmour, qui a de la mémoire et sait que ces pays sont tous issus de l’empire des Habsbourg, « l’histoire [aussi] les rassemble » et les a conduits à vouloir retrouver
« le bonheur des nations homogènes où la confiance règne parce qu’on partage la même culture et la même histoire »
Or leur histoire, justement, a longtemps croisé la route de l’islam, raconte Eric Zemmour :
« La Hongrie a été occupé trois siècles par l’empire ottoman. Vienne a subi deux sièges, le dernier remonte à 1683. Alors, c’est une troupe européenne dirigée par un général polonais qui repoussa l’envahisseur musulman. Le roi de France, Louis XIV, ne leva pas le petit doigt. Trois siècles… c’était hier. »
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Défendons notre drapeau !
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"Je peux me regarder dans la glace" : un an après la fin de la "jungle" de Calais, Simone héberge un migrant en Creuse
Un an après le démantèlement de la "jungle" de Calais, que sont devenus les 6 500 migrants qui ont été évacués en bus ? Rencontre avec Abbas et Simone, un Kurde irakien et une Française que la Creuse a réunis par hasard.
Mis à jour le
publié leIl y a près d'un an, le 24 octobre 2016, le plus grand bidonville de France était démantelé. Au total, 6 500 personnes quittaient, en bus, la "jungle" de Calais. Direction les centres d'accueil et d'orientation (CAO) à travers toute la France. Un an après, le quotidien a parfois repris ses droits dans leur vie peu banale. Rencontre avec Simone, institutrice à la retraite installée à Crozant, un petit village de la Creuse. Elle a pris sous son aile quatre jeunes réfugiés kurdes irakiens venus de la "jungle" et tissé avec eux des liens quasi-familiaux.
Monter dans un bus à destination de l'inconnu
Tous les midis, au volant de sa Twingo blanche, Simone va chercher Abbas, bénévole quelques heures par jour au Secours populaire de Guéret. Originaire de Kirkouk, au Kurdistan irakien, le jeune garçon (sic) ne s'épanche pas mais on devine les quatre mois d'enfer qu'il a vécus dans la jungle de Calais, avant d'arriver un peu par hasard en Creuse, avec trois compagnons de galère.
Quand il est monté dans le bus, il ne savait pas du tout où il allait. "Je n'ai eu aucune info", se souvient le jeune homme. Le première rencontre avec ces quatre jeunes, Simone s'en souvient avec émotion. "J'ai eu l'impression qu'ils étaient frigorifiés mais souriants quand même." Elle éclate de rire : "Ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre quatre garçons comme ça !"
Une colocation riche pour tous les deux
Au début, Simone leur a donné quelques cours de français, avant d'accueillir Abbas chez elle, dans sa jolie petite maison en pierre, en bordure de village. "J'habite avec Simone maintenant. J'ai vraiment trouvé beaucoup d'humanité en Creuse parce que j'ai beaucoup d'amis. Simone, c'est comme ma grand-mère", explique Abbas dans un français hésitant. Cette colocation leur a redonné le sourire à tous les deux. Simone venait de perdre son mari.
J'avais besoin de donner. Ça a été très riche dès le départ.
Simone, habitante de Crozant qui héberge Abbas, un Kurde irakienà franceinfo
Pourtant, il n'est pas toujours facile d'accueillir des migrants en Creuse, raconte Simone. "Tout le monde n'est pas d'accord avec moi mais je suis persuadée que ce que je fais, c'est bien." En accueillant Abbas et en aidant ses trois compatriotes, Simone est en accord avec ses convictions. "Le matin, quand je me lève, je peux me regarder dans la glace. Je suis en accord avec moi-même."
Derrière le quotidien, la peur de l'expulsion
Si l'un des quatre garçons a pu obtenir l'asile, les autres attendent toujours. Abbas vient d'essuyer son second refus. Son dernier recours a été déposé à la préfecture de la Creuse. Il aura la réponse d'ici un mois et il angoisse : "C'est la dernière possibilité. S'ils disent non, pour moi, ce sera très difficile parce que je vais devoir partir." Simone est tout aussi désemparée à l'idée qu'Abbas puisse être expulsé. "Il ne souhaite qu'une chose, c'est travailler. Peu importe le travail qu'on lui proposera." Elle ne doute pas de la détermination du jeune Kurde.
Il est prêt à rouler des brouettes s'il le faut. Il veut rester avec nous !
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"Il reste 150 mosquées salafistes en France "
https://www.causeur.fr/alexandre-mendel-partition-islam-daech-2-147381
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L'Emission politique avec Marine Le Pen (19.10)
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JOURNAL TVL 23 octobre
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Nouvelle publicité d'IKEA
20 octobre 2017
(merci à Dirk)
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La Suède, capitale du viol en Occident
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« METOO ! » UNE HYSTÉRIE MONDIALE CONTRE LES MÂLES BLANCS
« Il m’a mis la main aux fesses !
– À moi aussi !
– Moi d’abord ! Et il m’a dit que j’aurais un rôle !
– Et tu l’as eu ?
– C’est pas la question… »Le monde ne bruisse que des viols commis par un producteur de cinéma américain, et du mouvement international de dénonciation qui les a suivis – « MeToo » : « Balance ton porc » en France –, qui demande à chaque femme de mettre un terme au règne, pourtant agonisant, du mâle blanc hétérosexuel.
J’ouvre la presse. « MeToo! MeToo! » On se bouscule, on veut son viol, dont le sens s’étend désormais à des régions très éloignées, où n’a jamais été frappée la même monnaie, où n’a jamais flotté le même drapeau, de sorte que le mot finit par désigner un geste grossier, une blague déplacée, un regard appuyé.
La chanteuse Björk a voulu en être : « Après chaque prise [Lars von Trier] courait vers moi pour me prendre dans ses bras durant un long moment devant toute l’équipe et parfois il me caressait pendant plusieurs minutes sans mon consentement. »
Après le nabab américain et le réalisateur danois, le producteur québécois, un certain Rozon. On annonce « neuf témoignages glaçants », qui deviennent « bouleversants » en sous-titre : « Je travaillais pour l’organisme Vélopousse en tant qu’animatrice-cycliste. Le hasard a voulu que Gilbert et deux autres personnes viennent dans mon Vélopousse. Gilbert Rozon, il était content du choix, parce qu’il avait une belle vue sur un “beau dos cambré”. […] À un moment, il a même détaché le foulard qu’il avait au cou et me fouettait comme pour me dire d’aller plus vite. J’ai tout de suite raconté à mes autres collègues ce qui était arrivé. »
Cette glaçante et bouleversante agression au foulard est suivie du témoignage d’une femme que l’on aurait poussée, au magazine Lui, à poser nue. « J’ai été harcelée », dit-elle, avant d’ajouter qu’elle se sent « violée, maltraitée et pas respectée ».
Je tourne la plage. « MeToo! MeToo! » La fille d’un ancien ministre témoigne des multiples agressions qu’elle a subies, notamment celles de Pierre Joxe qui, à l’opéra, lui a mis la main entre les jambes.
Le mouvement chercherait-il à s’étendre au mâle blanc homosexuel ? « Stéphane Plaza [qui sert d’agent immobilier à la télévision], agressé sexuellement : “On m’avait proposé de faire une petite gâterie” [pour obtenir un rôle quand il était jeune]. »
Quand on n’a rien, on peut toujours fouiller son inconscient : à la télévision, une jeune femme disait, il y a peu, avoir découvert grâce à l’hypnose qu’elle avait été violée à l’âge de cinq ans.
Dans un de ses raccourcis géniaux, Renaud Camus a écrit de ce martyrologe hystérique et mondial : « La petite bourgeoisie, c’est la classe violée par son père (l’héritage, le passé, le patriarcat, les hommes, l’Occident). » Oui, bien sûr ; et elle se consolera avec les « migrants », qu’elle a accueillis avec des « Refugees Welcome »plein les bras, et qui n’ont jamais violé personne.
BV
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Andrej BABIS, le "Trump tchèque"
Les bonnes nouvelles arrivent de l'est européen!
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Sauvetage de la baleine égarée dans le Vieux Port de Marseille (18.10. 2017)
Un rorqual commun de 10 mètres de long s'est retrouvé coincé à l'entrée du Vieux-Port de Marseille. Des plongeurs du bataillon des marins-pompiers sont intervenus pour le libérer et le rediriger vers le large.
Quelle surprise, en fin de matinée. Un rorqual de 10 mètres (ou peut-être une baleine) s'est retrouvé coincé à l'entrée du vieux port de Marseille, du côté du Pharo. "Vers 13H00, une baleine ou un rorqual a tourné à droite en entrant dans le Vieux-Port et y est resté coincé" a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police, "c'est une première, de mémoire de policier marseillais" a-t-il ajouté.
La vidéo de la capitainerie du port de Marseille :
Bloqué pour une raison inconnue, les plongeurs du bataillon des marins-pompiers se sont jetés à l'eau pour secourir le cétacé. A main nue, les plongeurs ont poussé le mammifère "en direction de la sortie" pour le dégager. En surface, les marins-pompiers et la police nationale sont également intervenus pour libérer de la place pour permettre au rorqual d'avoir suffisamment d'espace pour se retourner et s'échapper. Sur la berge, un périmètre de sécurité a été mis en place mais les badauds ont quand même pu assister à cet évènement insolite.
Une baleine coincée dans le Vieux-Port de Marseille
Finalement, peu après 14 heures, le cétacé a réussi à se débloquer et regagner le large. Dans les eaux du littoral marseillais, il est fréquent de rencontrer des cétacés comme des dauphins, des baleines ou encore le rorqual commun.
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Regardez le Grand Paris green et sans âme que l'on nous prépare
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Carte de la « diaspora européenne »
20h21La carte ci-dessus montre le pourcentage de la population de chaque pays qui a une certaine prétention à l’ascendance européenne. Pris ensemble, on pourrait faire valoir que les Européens sont la plus grande diaspora au monde, avec une population estimée à plus de 480 millions de personnes.