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Blog - Page 118

  • Hauts-de-Seine : le violeur de Colombes fait volte-face: il avoue

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    >Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|Valérie Mahaut|21 septembre 2017, 20h47 | MAJ : 21 septembre 2017, 21h14|14

    Sofiane Rasmouk est rejugé en appel à Versailles pour le viol d’une jeune fille, la tentative de meurtre et la tentative de viol d’une autre victime. (DR.)
      

    Condamné à perpétuité il y a plus d’un an, Sofiane Rasmouk est rejugé en appel à Versailles pour avoir massacré une jeune femme et violé une autre victime. Il reconnaît ce qu’il a toujours nié.

    Enfin. Le violeur de Colombes, Sofiane Rasmouk, reconnaît enfin le viol de Sandra, jeune femme agressée avec une rage folle le 7 août 2013 à Colombes. Condamné à la réclusion à perpétuité à Nanterre, en mai 2016, pour ce viol et pour avoir massacré une autre jeune femme désormais handicapée à vie, Sofiane Rasmouk est rejugé en appel à Versailles depuis ce jeudi jusqu’à la fin de semaine prochaine.

    L’accusé se présente sous un jour moins mauvais que lors du premier procès. Il ne croise plus les bras pour faire saillir pectoraux et biceps, se tient plus tassé sur sa chaise, ne défie plus jurés et parties civiles d’un regard noir plein de morgue. Sa nervosité semble contenue. Ce qui n’a pas changé en revanche, c’est son teint de prisonnier. Blafard. Ni ce débit saccadé, ni ce verbe confus qui fait s’entrechoquer les mots jusqu’à ce qu’on n’y comprenne plus rien.

    Alors quand la présidente de la cour lui demande pourquoi vouloir être rejugé, l’accusé répond : « J’ai fait appel pour la tentative de meurtre et la tentative de viol. » Par déduction, il reconnaît donc le viol de Sandra, mais l’aveu semble encore impossible à cet instant. Quelques heures plus tard, quand l’avocat de Sandra, Me Franck Berton, lui demande s’il « reconnaît pour la première fois les faits de viol sur [s] a cliente », l’accusé souffle ce « oui » jamais prononcé. jusqu’alors. Ni en garde à vue, ni lors de l’instruction et encore moins au procès de Nanterre, quand les questions posées sur le viol de Sandra et les preuves incontestables avancées déclenchaient sa fureur. Ce n’est plus un changement, c’est un véritable retournement.

     

    « Même sa mère ne pouvait pas la reconnaître »

    Sur l’épouvantable agression de Priscillia, en revanche, il ne varie pas. « J’ai toujours reconnu l’agression », murmure-t-il en réfutant sa volonté de tuer. Ce soir du 7 août 2013, Rasmouk a suivi la belle brune et son corps de danseuse depuis la gare de La Garenne-Colombes jusqu’à sa résidence proche de la voie ferrée. Au pied de l’immeuble, il a essayé de la violer, n’a pas réussi, et s'est déchaîné avec une extrême violence. La malheureuse n’avait quasiment plus de visage quand il l’a laissée pour morte. « Même sa mère ne pouvait pas la reconnaître, a précisé l’enquêteur de la PJ à la barre. Elle n’a pu l’identifier qu’en regardant ses pieds et son vernis à ongles. « Elle était dans un tel état que j’ai d’abord pensé que Mamadou Traoré, le tueur à mains nues, s’était échappé de prison », confie le policier.

    La photo de la victime sans visage et intubée a été diffusée à l’audience. « Qu’est-ce que ça vous fait de voir cette photo ? » lui demande l’avocat général. « Y’a pas de mots, rétorque l’accusé. J’entends le commandant parler de moi comme si j’étais un kéké mais j’ai vu le dossier. Que voulez-vous que je vous dise ? Pardon ? Que je demande pardon ? Ça sert à quoi ? La vérité, vous voulez que je vous dise quoi. J’ai jamais réagi comme ça avec des bonhommes. Pourtant, j’en ai eu plusieurs des accrochages avec des gars de mon quartier. Mais j’ai jamais tapé une femme. » Décrit comme un « psychopathe » par les psys, Sofiane Rasmouk s’est déchaîné « parce qu’il n’a pas réussi à la violer », suppute l’enquêteur de la PJ. « Après il était frustré d’avoir raté la première, il s’en est pris à Sandra », décrypte le policier.

     

      leparisien.fr
     
    NdB: Tas de merde
  • Lydia Guirous : «Sonia Nour est une élue infiltrée dans les municipalités qui est proche des thèses des islamistes»

     

    1h06

    Lydia Guirous (LR, auteure de «Ça n’a rien à voir avec l’Islam ?») : «L’électoralisme, évidemment est là. Le clientélisme est là. Et d’ailleurs Sonia Nour fait partie de ces élus qui sont infiltrés dans les municipalités, dans les partis politiques, et qui sont proches des thèses des islamistes, du CCIF, de l’UOIF et des mouvements comme le PIR (Parti des Indigènes de la République, ndlr) qui sont dans une forme de lutte des races, des religions, en France, et qui exacerbent tout ce qu’il y a de plus rance (…) »
    – RMC, 5 octobre 2017, 7h41

    Voir aussi : Sonia Nour (PCF) suspendue après avoir qualifié le terroriste de Marseille de «martyr» (03/10/17)

    «Ca existe partout, c’est un véritable problème, j’en parle dans mon livre de cette question de l’infiltration, que ce soit dans l’éducation nationale, dans les lieux de pouvoir, dans la police, dans l’armée également ! Il faut absolument qu’on commence à prendre les choses en mais et qu’on mette un frein à cette situation qui va amener la France dans le mur et dans une décennie noire comme a connu l’Algérie. Il faut absolument éviter ça à notre génération, et à celle qui vient. Moi, je suis très inquiète.»


    Voir aussi :
    – Boyer dénonce dans une lettre ouverte à Schiappa la confusion entre féminisme et islamisme (05/10/17)
    – La suppléante de Ruffin (LFI) «soutient totalement» Sonia Nour pour qui un terroriste est un martyr (04/10/17)

  • Mensonges sur le Code noir et nouvel esclavage

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    Etabli par Colbert en 1685, le Code noir précisait le statut civil et pénal des esclaves qui, auparavant, n’en avaient aucun. Il donnait à ces derniers la possibilité de se plaindre auprès des juges locaux de leurs maîtres en cas d’excès ou de mauvais traitement. Autant de faits que nie absolument l’historien Salas-Molins auteur de l’ouvrage Le Code noir ou le calvaire de Canaan. Un livre partisan qui se veut la Bible en matière de dénonciation de l’esclavage et qui a contribué à noircir le portrait de Colbert et à en faire l’homme à abattre de ces nou- veaux moralisateurs. Cet enseignant qui a fricoté un temps avec Dieudonné est impitoyable avec ses détracteurs. Un de ses défenseurs, Robert Badinter a certes chanté ses louanges mais a reconnu au Code noir le mérite de contenir « certains articles qui tendent à protéger l’esclave », et même vu dans ce texte « une tentative illusoire du pouvoir royal pour maîtriser les pratiques esclavagistes » (cf. Le Nouvel Observateur, juin 1987).

    Des pratiques que n’ont pas abandonnées certains. C’est le cas notamment d’un pasteur évangéliste nigérian récemment arrêté par la police française en compagnie d’une dizaine de mamas africaines et de jeunes lieutenants chargés de « manager » un cheptel d’une cinquantaine de têtes.

    Cet étrange religieux avait mis sur pied un vaste réseau de prostitution en se servant des bandes de passeurs qui prospèrent entre l’Afrique et l’Italie. Il se rendait régulièrement dans un centre pour migrants, faisait son choix parmi de jeunes Nigérianes et les ramenait en France.

    Après quelques rituels vaudous assortis de menaces directes sur leurs familles si elles se montraient récalcitrantes, elles allaient exercer le plus vieux métier du monde dans la banlieue de Lyon ou de Montpellier, étroitement surveillées par des mères maquerelles. L’argent qui coulait à flots partait directement au Nigeria par le biais de transfert de fonds communautaires.

    Extrait d’un article de Françoise Monestier
    paru dans Présent daté du 6 octobre 2017

  • JOURNAL TVL DU 05.10.17

  • Tulsa (USA) : un cambrioleur de 16 ans viole sa victime de 81 ans, puis tue un père de famille devant ses filles

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    17h27

    Un adolescent, âgé de 16 ans, s’est introduit dans une maison d’un couple de retraités à Tulsa, dans l’Oklahoma (États-Unis).

    Muni d’une arme à feu, il a tiré à plusieurs reprises dans les murs et leur a dit que, s’ils appelaient la police, il les tuerait. Il s’en ensuite enfermé dans la salle de bains avec la femme, âgée de 81 ans, et l’a violé.

     

    Puis il a forcé le couple à se rendre avec lui à un guichet automatique pour retirer de l’argent avec la carte bancaire des victimes. Puis ils sont retournés à la maison.

    Deonte Green a quitté les lieux et s’est introduit dans le jardin d’une maison située à proximité, où une mère et ses deux filles se préparaient à entrer dans le garage.

    Il a obligé la maman et les deux enfants à retourner dans la maison.

    C’est à ce moment que le père de famille a tenté de prendre Green par surprise, mais après quelques secondes de lutte, Shane Anderson a été atteint mortellement d’une balle devant le regard horrifié de sa femme et de ses deux filles.

    Shane Anderson, 44 ans, était professeur de géographie à la Broken Arrow Public Schools et était très apprécié de ses élèves.

    Deonte Green a ensuite pris la fuite et, 12 heures plus tard, il a tiré sur un couple sur le parking d’une pizzeria.

    Les policiers, arrivés sur les lieux, l’ont interpellé et le suspect a été placé en détention provisoire. Il est également soupçonné d’avoir commis une série de vols de voitures et de cambriolages dans la région.

    Tulsa World / Source de la traduction

    Merci à Filochard

  • Macron en Corrèze: qui fout le bordel?

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    http://www.leparisien.fr/politique/pour-macron-certains-feraient-mieux-de-chercher-du-travail-que-de-foutre-le-bordel-04-10-2017-7308738.php

     

  • Jeune fille au pair tuée à Londres : «Je voudrais savoir comment ma gamine est morte»

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    >Faits divers|De notre envoyée spéciale, Louise Colcombet, à Saint-Julien-Les-Villas (Aube)|04 octobre 2017, 6h55|1

    Le corps retrouvé calciné il y a quinze jours est bien celui de Sophie Lionnet, comme l’a confirmé Scotland Yard hier.

    DR
     
     
    De notre envoyée spéciale, Louise Colcombet, à Saint-Julien-Les-Villas (Aube)
     
    Faits diversSophie LionnetLondresmeurtre
     

    Patrick Lionnet, le père de Sophie, la jeune fille au pair tuée à Londres, attend des réponses de la part du couple de Français soupçonné de ce crime au mobile inconnu.

    L'espoir était infime. Il n'est plus : mardi, Scotland Yard a confirmé que le cadavre retrouvé calciné il y a deux semaines dans le jardin d'une résidence cossue de Wimblebon, au sud de Londres, était bien celui de Sophie Lionnet. En dépit d'une carte d'identité retrouvée sur place, une comparaison ADN avait été ordonnée afin de permettre une authentification officielle, le corps étant tellement détérioré qu'il n'avait dans un premier temps même pas été possible d'en déterminer le sexe...

     

    Cette terrible confirmation, Patrick Lionnet, le père de la jeune fille au pair de 21 ans, s'y était résigné. « Quand la police vous réveille à 4 heures du matin pour vous annoncer ça, c'est qu'elle est sûre d'elle... » soupire-t-il doucement, le débit légèrement ralenti par les antidépresseurs qui, depuis quinze jours, le « tiennent debout ».

     

    LIRE AUSSI
    >«C'est une mort injuste, affreuse» : le témoignage de la mère de Sophie Lionnet

     

     

    A Saint-Julien-les-Villas, près de Troyes (Aube), où a grandi Sophie avant de partir vivre avec sa mère à Paron (Yonne), Patrick Lionnet a reçu d'innombrables marques d'affection. « Même de la part de voisins que je connais à peine, mais qui se souviennent de Sophie, toute petite », dit-il, soudainement absorbé par ses souvenirs... tout ce qui lui reste de sa fille, anéantie par un couple de Français installés à Londres, Ouissem Medouni, 40 ans, et Sabrina Kouider, 34 ans — elle gardait les deux enfants de cette dernière depuis dix-huit mois. Le couple a été mis en examen pour meurtre la semaine dernière en Angleterre.

     

    Une qualification criminelle qui pourrait évoluer, en fonction des conditions dans lesquelles a péri Sophie. Son père, lui, a reçu les premiers éléments de plein fouet, sans filtre. « Les policiers m'avaient juste parlé d'un homicide très violent... Le jour même, se souvient-il, j'ai vu le visage de ma fille et le sac à viande qui contenait les restes de son corps dans la presse », se désole-t-il.

     

    Une seconde autopsie pour déterminer les causes de la mort

     

    Mardi, les enquêteurs anglais l'ont informé qu'une seconde autopsie allait être menée afin de déterminer les causes de la mort de Sophie. « C'est surtout ça que je voudrais savoir, répète Patrick Lionnet, sans haine. Je voudrais juste savoir comment ma gamine est morte... Je veux savoir si elle a souffert... Je veux connaître les derniers instants de ma fille. »

     

    Pour l'heure, rien n'a filtré des auditions menées en Angleterre sur le mobile de ce meurtre. Il apparaît néanmoins qu'un différend opposait Sophie à sa patronne, et que la jeune fille au pair souhaitait ardemment rentrer en France... ce qu'elle aurait dû faire le 7 août, avant que Sabrina Kouider, Française installée depuis plusieurs années à Londres, où elle se disait « styliste » et « maquilleuse », ne s'y oppose.

     

    Exploitée, affamée, battue, insultée... Sophie n'aurait rien laissé transparaître de son calvaire, notamment à ses parents. « Elle m'a envoyé une carte postale fin juin pour la Fête des pères, elle disait : Papa, je rentre en juillet. Si j'avais su... » répète Patrick Lionnet, qui espère que ses meurtriers soient « sévèrement punis ». « Oui, reprend-il, soudain plus incisif. Je n'avais qu'une fille... et elle ne méritait pas d'être massacrée comme ça. Bon sang, il faudra bien qu'ils répondent à cette question : Pourquoi ? »

  • Calais : un couple et leur fille de sept ans agressés par des migrants !

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    04/10/2017 – CALAIS (NOVOpress) : Un couple de Calaisiens et leur fille de sept ans ont été agressés par des migrants, route de Gravelines à Calais. La fillette, raconte la maman, est tellement choquée qu’elle va devoir aller voir un psychologue. Depuis, tout l’effraie. Les parents eux-mêmes ont peur et envisagent de déménager.

    Les migrants sont maintenant « violents, alcoolisés, plus jeunes et se moquent ouvertement de nous » raconte la mère de famille au micro de Radio 6, la journaliste ajoutant que « les riverains vivent dans la peur et n’osent plus s’exprimer », de crainte de représailles. 

  • JOURNAL TVL 04 octobre

  • Las Vegas: pourquoi la revendication de l'Etat islamique pose question

    http://www.francetvinfo.fr/monde/usa/fusillade-a-las-vegas/fusillade-de-las-vegas-pourquoi-la-revendication-du-groupe-etat-islamique-pose-question_2399902.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20171003-[lestitres-colgauche/titre2]

  • Quand Brigitte Macron reçoit Bernadette Chirac à l'Elysée

     

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    >La Parisienne>News|Ava Djamshidi|01 octobre 2017, 21h45 | MAJ : 02 octobre 2017, 9h36|11


    Brigitte Macron a invité l'épouse de Jacques Chirac à déjeuner à l'Elysée la semaine dernière.

      
     

    Claude et Bernadette Chirac ont déjeuné la semaine dernière au palais présidentiel à l'invitation de Brigitte Macron. L'ancienne première dame était très touchée.

    La rencontre s’est déroulée à l’Elysée, à l’abri des regards indiscrets. Selon nos informations, Claude et Bernadette Chirac ont déjeuné lundi dernier au palais présidentiel, à l’invitation de Brigitte Macron. C’est la deuxième fois que l’ancienne première dame et l’actuelle se retrouvaient, deux mois après un premier rendez-vous en compagnie de leurs époux. Cette fois, pas de président autour de la table mais que d’attentions ! Sur la table, le service préféré de Bernadette Chirac avait été dressé.

     

    Une fois leur repas achevé, Brigitte Macron a proposé à ses invitées de se rendre dans la bibliothèque du Château. Une vingtaine de membres du personnel encore en place à l’Elysée que l’ex-première dame avait connu l’attendaient. Lingères, fleuristes, cuisiniers, huissiers... Ces retrouvailles insolites ont duré environ 45 minutes. « C’était un moment très émouvant, confie un témoin. Madame Chirac était ravie. Elle a eu un mot gentil pour tout le monde. »

    Le Parisien

     

     

     

     

  • Donald Trump et la Première Dame observent une minute de silence en hommage aux victimes de Las Vegas

    http://video.lefigaro.fr/figaro/video/donald-trump-observe-une-minute-de-silence-en-hommage-aux-victimes-de-las-vegas/5595926053001/

  • Attaque de Marseille : interrogations sur de récents versements d’argent au tueur

     

    >Faits divers|Jean-Michel Décugis et Eric Pelletier|03 octobre 2017, 21h21 | MAJ : 03 octobre 2017, 22h51|2

    La gare Saint-Charles de Marseille a été évacuée après l'attaque au couteau qui a fait deux morts ce dimanche.

     
     
    Faits diversHanachiMarseille
     

    Le domicile du suspect dans la cité phocéenne, où il a passé sa dernière nuit, a été perquisitionné. Un sac a été retrouvé selon une source proche de l’enquête.

    C’est apparemment là qu’il a passé sa dernière nuit. Ahmed Hanachi, 29 ans, l’assassin de la gare Saint-Charles, logeait dans le IIIe arrondissement de Marseille. Les policiers de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la PJ et la DGSI ont perquisitionné ce mardi ce domicile présumé. Ils traquent aussi d’éventuels complices.


    Cinq personnes, présentées comme des « relations » inconnues des services antiterroristes, ont été arrêtées au fil de l’après-midi, notamment dans le centre-ville de Marseille. Les enquêteurs sont également intrigués par plusieurs versements d’argent, pour un total d’environ 2 000 euros, dans les jours qui ont précédé l’attaque au couteau. « Rien à cette heure n’indique que ces sommes aient été données pour qu’il commette ses crimes », décrypte une source proche de l’enquête qui insiste sur les activités illicites du suspect dans la délinquance.


    Les investigations tentent de reconstituer l’itinéraire emprunté par le suspect jusqu’au drame de dimanche lorsque peu avant 14 heures, ce dernier se rue sur deux étudiantes de 20 et 21 ans, les poignardant à mort aux cris de « Allahou Akbar ! ». Hanachi quitte Lyon samedi après-midi à sa sortie de garde à vue. Ce Tunisien de 29 ans était initialement soupçonné de vol, accusation finalement abandonnée. Mais les fichiers de police, dans lesquels il est déjà apparu à sept reprises sous diverses identités et nationalités, montre qu’il se trouve en situation irrégulière sur le sol français. Il est pourtant remis en liberté dans des conditions qui débouchent aujourd’hui sur une enquête administrative.

     


    LIRE AUSSI
    Tuerie de Marseille : l’Etat a-t-il failli ?


    Un peu plus tard, Hanachi saute dans un TER en direction de la Provence. Les images de vidéo-surveillance, enregistrées samedi soir à son arrivée, gare Saint-Charles, le montrent, solitaire, avec comme seul bagage un sac noir à la main. Or, le lendemain, au moment de son décès presque au même endroit, Hanachi, tué par les militaires de l’opération Sentinelle, ne portait pas son bagage. Ce sac aurait été retrouvé à son domicile lors de la perquisition de ce mardi après-midi.


    Au moment de la tuerie, seul un iPhone se trouvait à son côté. Comme l’a révélé RTL, l’examen de ce smartphone a conforté l’hypothèse d’une radicalisation. Des vidéos islamistes ont été récemment consultées, notamment des nasheed, des chants religieux psalmodiés très prisés des djihadistes se revendiquant de Daech. Pour l'heure, aucune trace informatique d’allégeance n'a encore été retrouvée. « Rien ne le relie à cette heure à une quelconque cellule djihadiste et à l’Etat Islamique » insiste une source proche du dossier.


    Ahmed Hanachi a effectué plusieurs voyages récents en Europe. Il serait revenu en France en janvier dernier, en provenance d’Italie.

     

      leparisien.fr
     
  • Une collaboratrice municipale suspendue pour avoir qualifié le terroriste de Marseille de "martyr"

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    Sonia Nour a été suspendue par la mairie communiste de La Courneuve après avoir qualifié sur Facebook le terroriste de Marseille, qui a tué deux jeunes femmes, de «martyr». Elle affirme être victime du «déferlement de haine des fachos».

    Collaboratrice de la mairie communiste de La Courneuve, dirigée par Gilles Poux, Sonia Nour a été suspendue après avoir publié un statut Facebook dans lequel elle qualifie de «martyr» le terroriste de Marseille, qui a assassiné deux jeunes femmes de 20 ans à coups de couteau le 1er octobre.

    «Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre, là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation, bla bla bla… Par contre, que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours, on l'entend moins votre grande gueule», affirmait-elle sur le réseau social. Un message qui a suscité une vague d'indignation sur internet.

    En écriture inclusive, Sonia Nour, ça donne : Mehdi.e Meklat.e

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    Sollicité par de nombreux internautes, le maire, Gilles Poux, a fermement condamné ces propos, les qualifiant d'«inacceptables», alors que l'attaque a été revendiquée par l'organisation terroriste Daesh.

    Les propos tenus par Sonya Nour sont inacceptables. Je les condamne sans nuance.

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    Dans un communiqué publié ce même jour, Gilles Poux revient plus longuement sur les raisons de la suspension de Sonia Nour. «Ces propos qui minimisent et banalisent des actes de terrorisme d'une sauvagerie inouïe ne méritent que la condamnation», s'est indigné le maire de la Courneuve, adressant ses pensées aux familles des deux victimes.

    Plainte du FN pour apologie du terrorisme

    Jordan Bardella, secrétaire départemental du Front national (FN) en Seine-Saint Denis et conseiller régional d'Ile-de-France a annoncé avoir saisi le procureur de la République pour apologie du terrorisme. «Alors que nombre de nos compatriotes sont affreusement frappés par le terrorisme islamique, de tels dérapages ne peuvent être autorisés», dénonce-t-il notamment dans sa lettre adressée au tribunal de grande instance de Bobigny.

    Suite aux propos de Sonia Nour, collaboratrice du maire PCF de La Courneuve, j'ai saisi le procureur de la Rép. pour apologie de terrorisme.

    «Pour info je suis enceinte de près de 6 mois...»

    Souhaitant s'expliquer, Sonia Nour avait auparavant posté un autre message sur Facebook. «Le mot martyr ne veut pas dire "le juste"», a-t-elle affirmé. «Je l'emploie pas dans le sens chrétien mais dans le sens psychanalytique du terme. D'un point de vue narcissique», a-t-elle expliqué.

    Pour elle, «les attentats-suicides ne sont liés ni au fondamentalisme islamique, ni à la religion en général». 


    Mais ces explications n'ont semble-t-il pas suffi, car la collaboratrice communiste a annoncé sur le réseau social avoir été suspendue de son poste par le maire. «Je vous demande de l'aide. Je n'ai jamais fait d'apologie de terrorisme. Suite aux déferlements de haine des fachos, je viens de me faire suspendre de mon taf et je vais en conseil de discipline pour un statut Facebook», a-t-elle encore argumenté sur le réseau social. 


    «Je suis choquée. Je ne pensais pas qu'un maire communiste se servirait du déchaînement de l'extrême droite pour me suspendre sans solde et m'emmener en conseil de discipline pour apologie de terrorisme comme le souhaite l'extrême droite. Pour info je suis enceinte de près de 6 mois...», a-t-elle poursuivi dans le fil de commentaires où de nombreux internautes lui ont apporté leur soutien. 

    Lire aussi : Des vidéos de propagande islamiste retrouvées sur le téléphone de l'assaillant de Marseille

    RT

     

     NdB: Après avoir crié sa haine des Français, Sonia Nour pleurniche...

     

  • Journal TVL du 03.10.17

  • FOLHUMOUR ?

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  • TF1 consacre un reportage au meurtre de Sophie Lionnet à Londres

    http://www.fdesouche.com/889919-tf1-consacre-reportage-meurtre-de-sophie-lionnet-couple-franco-algerien-a-londres

    Un reportage bouleversant pour mieux comprendre ce crime sordide