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Blog - Page 110

  • JT TVL 08 NOVEMBRE

  • Emploi fictif d’Anne Hidalgo : nouvelles accusations du Canard Enchaîné

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    0h04

    L’étau se resserre autour de la maire de Paris. Dans son édition de mercredi, le Canard Enchaîné vient étayer nos révélations du 25 octobre sur l’emploi (non) occupé d’Anne Hidalgo entre 2000 et 2002, de nouvelles preuves à l’appui.

     

    La maire de Paris finira-t-elle comme François Fillon ? D’après les calculs du Canard Enchaîné en kiosque demain, Anne Hidalgo a perçu indûment 116.000 euros entre 2001 et 2002. Ce n’est certes pas autant que les 900.000 euros qu’avait empochés l’épouse de l’ancien candidat des Républicains dans des conditions suspectes. Mais ces nouvelles accusations viennent sérieusement alourdir le dossier de l’emploi fictif de la maire de Paris, que nous avons ouvert par nos révélations de fin octobre.

    Pour rappel, Capital a dévoilé, bulletins de paye à l’appui, qu’Anne Hidalgo avait perçu un salaire mensuel de 3.040 euros (+ 1.000 à 2.000 euros de primes) de la part du ministère du travail jusqu’en janvier 2003, alors qu’elle était devenue en mars 2001 première adjointe au maire de Paris, Bertrand Delanoë, et pour cela rémunérée 5.575 euros puis 6.424 euros par mois. Problème : son job d’élue à temps plein ne lui laissait pas le temps d’assumer une activité annexe. Plusieurs de nos sources ont confirmé que l’emploi d’Hidalgo était imaginaire.

    Dans le détail, Anne Hidalgo, inspectrice du travail en chef de son état, était détachée par le Ministère du Travail depuis novembre 2000 au cabinet de Marylise Lebranchu, ministre de la Justice du gouvernement Jospin. Très vite, comme nous l’avons raconté, elle s’est surtout consacrée à la campagne municipale de Bertrand Delanoë. Le Canard de ce mercredi révèle qu’elle a pourtant touché durant cette période deux primes de cabinet – pour un montant total de 3.500 euros par mois – en plus de sa rémunération du ministère du travail, alors qu’elle n’effectuait selon nos confrères, qu’une “partie minime de cette fonction”.[…]

    A l’appui de ces nouvelles révélations du Canard Enchaîné, deux questions se posent : pourquoi Anne Hidalgo a-t-elle attendu août 2002 pour réclamer un détachement qu’elle aurait dû exiger dès l’automne 2000, ou au moins en mars 2001 ? Et ne devrait-elle pas désormais rembourser les rémunérations perçues jusqu’en juin 2002 ?

    Capital

  • Université de Hambourg : de nombreuses plaintes au sujet d’étudiants musulmans qui prient bruyamment

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    22h29

    Un nouveau code de conduite religieuse a été imposé par l’université de Hambourg à ses étudiants après de nombreuses plaintes au sujet d’étudiants musulmans qui priaient bruyamment ou se pressaient dans les sanitaires pour se laver les pieds.

     

    Un nouveau code de conduite religieuse a été mis en place par un philosophe et un groupe d’étudiants en religion à l’université de Hambourg, ville du nord de l’Allemagne, selon les informations de Inside Higher Ed (IHE). Ses règles de bonne conduite ont commencé à être appliquées à la mi-octobre. Selon le président de l’université, Dieter Lenzen, le code a été mis en place après des plaintes reçues contre des étudiants en religion «qui dérangeaient la vie de la faculté». Il ajoute que des salafistes extérieurs à l’université avaient fait pression sur les étudiantes musulmanes pour qu’elles portent des tenues islamiques plus traditionnelles, y compris le voile intégral.

    RT

    Merci à Pythéas

  • L’école se meurt, l’école est (presque) morte

     

    Par Jacques Aboucaya

     

    Le réquisitoire aussi implacable que plaisant d’un membre du sérail

     

    Constat sans appel, notre école est en faillite. En queue du peloton européen. En français, mathématique, histoire, langues étrangères. En culture générale. Les enquêtes se suivent et le confirment. Le quart des élèves entrant en sixième maîtrise mal la lecture et l’écriture. La plupart sortent de l’école aussi ignares qu’ils y étaient entrés. Comment en est-on venu là ? La recette est simple. Placez aux postes clés des idéologues démagogues et sectaires, imbus de leur prétendue science pédagogique, usant d’un jargon qui transforme, par exemple, les parents en « géniteurs d’apprenants ».  Leur seul but, remplacer la hiérarchie du mérite par l’égalité à tout prix. Quitte à pratiquer la discrimination dite « positive ». Dans le même temps, supprimez tout ce qui pourrait ressembler à une sélection, mot honni entre tous. Pour couronner le tout et parachever une entreprise entamée il y a plusieurs lustres, confiez la tête du Ministère à une pécore aussi arrogante qu’incompétente. D’une inculture crasse. D’autant plus péremptoire. Le tour est joué. Oui, mais n’est-ce pas, objectera-t-on, nier l’évidence de résultats prodigieux ? Pour une classe d’âge, plus de 90 pour cent de réussite au bac, qui dit mieux ? Poudre aux yeux. Escroquerie. Que deviennent la plupart de ces bacheliers ? Des chômeurs. Aigris, de surcroît. Bernés. Victimes du miroir aux alouettes. Proies toutes désignées pour les fondamentalistes de tout poil. La drogue. La délinquance. Augustin d’Humières sait de quoi il parle. Professeur de lettres classiques dans un lycée de Seine-et-Marne, il connaît le sérail de l’intérieur. A l’inverse de la plupart de ses collègues, fonctionnaires dociles, esclaves des directives officielles, il a décidé de parler. D’assumer sa part de responsabilité dans l’effondrement d’un système « injuste, inégalitaire et absurde qui n’a fait qu’engendrer l’ignorance, la violence et le ressentiment. » Balançant entre colère froide et franche hilarité, il livre son expérience d’un effondrement prévisible, sinon programmé. Ce qu’il raconte – sur les inspecteurs généraux, les chefs d’établissement, les délégués syndicaux, les profs, les parents et les élèves – fait froid dans le dos. Sauf à prendre le parti d’en rire, car certaines scènes évoquent à la fois Kafka et Courteline. Mais le rire se fige vite si l’on songe qu’il s’agit de nos enfants et de la décadence de notre pays.

    J.A.

    Un petit fonctionnaire, d’Augustin d’Humières. Grasset,  142 p., 15 €.

    Le 07 novembre 2017

  • Le Journal TVL du 7 novembre

  • « Il n’y aura pas de mosquées en Hongrie, c’est une question de sécurité nationale » déclare un député pro-Orbán

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    20h11
    Hongrie – Le député hongrois du Fidesz, Gergely Gulyás, a déclaré « qu’il n’y aura pas de mosquées en Hongrie » et a fait valoir que « du point de vue de notre propre sécurité, les mosquées auraient un impact négatif. »

     

    Bayer Zsolt, l’animateur sulfureux d’émissions politique et éditorialiste pro-Orbán bien connu, a reçu à la télévision  Echo TV le chef de la délégation parlementaire du Fidesz – parti de Viktor Orbán -, Gergely Gulyás.

    Tout en commentant la récente attaque survenue à New York, Zsolt Bayer a félicité le président américain Donald Trump pour avoir appelé publiquement à la peine de mort pour l’attaquant présumé.

    Gergely Gulyás a approuvé Zsolt Bayer, déclarant que « l’Europe occidentale n’a rien fait contre ce danger … Partout où l’islam radical lève la tête et est autorisé à prendre racine, ce genre d’actes peut se produire à tout moment. »

    « C’est vrai, » a acquiescé M. Gulyás. « Il n’y aura pas de mosquées en Hongrie … Nous avons entrepris une initiative en ce sens, […] nous ne pouvons pas changer notre position là-dessus car il ne s’agit pas simplement de liberté de culte mais bien de sécurité nationale. »

    VisegradPost / Hulala

     

     

  • Allemagne: la violence va crescendo dans les centre d'accueil pour réfugiés

    https://fr.gatestoneinstitute.org/11319/allemagne-accueil-refugies<top>

  • Le soutien scolaire gratuit dans les collèges, c'est maintenant

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    Des élèves de collèges dans une cour de récréation.

    Les collégiens pourront se voir proposer ce soutien scolaire "une heure par jour, c'est-à-dire quatre heures par semaine", explique Jean-Michel Blanquer.

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    Les collégiens qui le souhaitent pourront bénéficier, à partir de lundi, de quatre heures hebdomadaires de soutien scolaire gratuit, une aide aux devoirs qui sera étendue l'an prochain au primaire, indique le ministre de l'Education dans un entretien publié dimanche 5 novembre par "20 minutes".

    "Avec la mesure 'devoirs faits', nous offrons un soutien scolaire gratuit à tous les collégiens pour lutter contre les inégalités", déclare Jean-Michel Blanquer, détaillant le fonctionnement de ce dispositif annoncé il y a plusieurs mois.

    Les collégiens pourront se voir proposer ce soutien scolaire "une heure par jour, c'est-à-dire quatre heures par semaine":

    "En fin de journée dans 35% des collèges et lors de la pause méridienne ou des heures de permanence dans 65% des établissements (notamment en zone rurale en raison des contraintes de transport)".

    "Environ 25% des collégiens" pourront en bénéficier, "mais cela pourrait monter à 35% des élèves, lorsque le dispositif sera mieux connu des collégiens et de leurs familles", estime Jean-Michel Blanquer. L'idée est d'"inciter" les élèves qui en ont le plus besoin à s'y inscrire.

     

    Au total, "220 millions d'euros sont destinés à financer ce dispositif pour les collégiens en 2018", précise-t-il, soulignant que la mesure "sera étendue à l'école primaire à la rentrée 2018".

    Professeurs volontaires, assistants d'éducation et associations seront mobilisés.

    S'y ajoutent 7.000 jeunes en service civique.

    "Mais notre objectif est d'atteindre 10.000. Nous allons donc encore en recruter."

    NdB: Une mesure pour favoriser en douce l'immigration... 

  • Immobilier à Grenoble : « Les prix baissent mais personne ne veut acheter. L’insécurité a fait fuir les gens »

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    23h15

    Alors que le marché est reparti à la hausse, 20 Minutes s’est penché sur l’immobilier dans les plus grandes villes de France. A Grenoble, les prix baissent mais paradoxalement, les biens ne se vendent plus…

     

    (…) Autre raison : la délinquance et la criminalité. « Avoir une ville qui n’est plus très sécurisée a fait fuir les gens », avance Martine Manhes. « En 2010, avant les émeutes de la Villeneuve, on vendait en moyenne 24 logements par an dans ce quartier. En 2011, deux seulement ont été vendus et aucun en 2012 », confirme Fabien Caminotti. Et de citer un autre exemple : « Après l’incendie volontaire de la gendarmerie, on a constaté que des transactions de 220.000 euros qui étaient en attente, avaient tout simplement disparu. Elles ont été retirées…»

    20minutes.fr

    Merci à yabonlaseku

  • Les Allemands vont-ils devoir retourner aux urnes ? Le scénario qui effraie Angela Merkel

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    Plus de six semaines après les législatives, les partis qui dominent le Bundestag ne parviennent toujours pas à former une coalition. Face à une CDU d'Angela Merkel affaiblie, les libéraux évoquent l'hypothèse d'un nouveau vote.

    Alors que les négociations entre les trois principaux partis allemands patinent, le chef du Parti libéral allemand (FDP) Christian Lindner pourrait faire trébucher Angela Merkel et brandit la menace de convoquer de nouvelles élections législatives. «Nous n'avons pas peur de nouvelles élections», a-t-il martelé dans le quotidien allemand Berliner Morgenpost le 5 novembre 2017.

    Sortie affaiblie des dernières élection législatives allemandes le 24 septembre, Angela Merkel a toutes les peines du monde à former une coalition politique, une «coalition jamaïcaine», selon le jargon politique allemand, en raison des couleurs des trois partis concernés qui rappelle le drapeau de la Jamaïque. Et la chancelière a dû revoir ses ambitions. Angela Merkel s'estimerait désormais heureuse de pouvoir former un gouvernement... avant Noël. Mais pour le FDP, plusieurs points d'achoppement demeurent avant de rejoindre les rangs de la coalition, dont la question qui a parcouru toute la campagne des législatives, celle de l'immigration. «Nous voulons une loi sur l'immigration [...] qui ouvre la porte aux [migrants] qualifiés et bien plus stricte avec les demandeurs d'asile», a ainsi déclaré Christian Lindner dans la même interview.

     

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  • Journal TVL du 6 novembre 2017

  • Vincennes (94) : un commando dévaste un restaurant japonais pendant le service

     

    23h17
    Si la piste de la vengeance se confirme, elle fait froid dans le dos. Un commando d’une quinzaine d’hommes a pris d’assaut jeudi soir un restaurant japonais de la rue Diderot, à Vincennes. Le fils du gérant a été tabassé, les cuisiniers gazés et le commerce dévasté. Un peu plus tôt dans la journée, c’est le livreur qui avait été attaqué. Pourquoi une vengeance ? Rien ne permet d’y répondre formellement. Mais selon nos informations, encore plus tôt dans la journée, l’employé de caisse, qui était semble-t-il soupçonné de voler de l’argent, a été remercié.

     

    Après le licenciement, le restaurant Sushi Thaï doit trouver un remplaçant en urgence. Le fils du gérant, qui assurait les livraisons, s’y colle. Et un nouveau livreur est appelé à la rescousse. C’est donc lui qui se rend rue Garibaldi à Montreuil (Seine-Saint-Denis) pour honorer une commande. Un guet-apens.

    Une vingtaine d’hommes encagoulés, gantés et vêtus de noir se jettent sur lui et lui portent des coups. L’un tient une matraque, un autre une bombe lacrymogène et un troisième une arme de poing. Ce dernier lui pose le canon sur le torse et lui ordonne de lui remettre son téléphone avant de disparaître avec le scooter. L’affaire aurait pu en rester là avec ce braquage d’un livreur. Mais il ne s’agit pas du fils du gérant. Le commando passe alors à l’action.

    « Il était 21 h 10 exactement, raconte un riverain. Je le sais parce que je regardais la Soupe aux choux. J’ai vu trois groupes d’hommes encagoulés et gantés. Ils étaient environ 12 ou 13. Ils sont entrés dans le restaurant et ont fait sortir les quatre clients. »

    Armés cette fois de matraques, d’une bombe lacrymogène et de marteaux, les malfrats se dirigent aussitôt vers le fils du gérant. Ils le gazent tout d’abord et le tabassent avec leurs poings et leurs matraques. Le jeune homme sera transporté à l’hôpital Bégin de Saint-Mandé. Il présente deux plaies importantes au niveau du crâne et un gros hématome à l’œil. Les deux cuisiniers seront eux aspergés de gaz lacrymogène.

    Les agresseurs ne prennent même pas la fuite. Ils saccagent consciencieusement le restaurant. Les quatre écrans plats sont cassés. Les vitrines du commerce sont brisées ou dégradées. A l’intérieur, le frigo est renversé, les canettes de soda ont roulé au sol. « Ils ont tout cassé », résume un policier. Ils ne laisseront sur place qu’un marteau. Les malfaiteurs en profitent aussi pour voler la recette de 800 €.

    Le Parisien

  • Etats-Unis : tuerie dans une église du Texas, au moins vingt morts

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    >Faits divers|Le Parisien|05 novembre 2017, 21h13|MAJ : 05 novembre 2017, 22h58|11

    Environ une cinquantaine de paroissiens assisteraient d’habitude à la messe de cette église. Max Massey/KSAT 12/via Reuters
     
     

    L’assaillant, identifié dans les médias comme un ancien membre de l’U.S. Air Force, est lui-même décédé. On ignore pour l’heure ses motivations.

    Un homme a ouvert le feu ce dimanche dans une église baptiste de Sutherland Springs, au sud-est de San Antonio, au Texas (Etats-Unis), où il aurait fait au moins vingt morts et environ autant de blessés, selon les médias américains.

    Albert Gamez Jr, un responsable du comté de Wilson où se trouve la First Baptist Church, confie avoir été informé de la présence de «27 morts et plus de vingt blessés», tout en précisant attendre une confirmation formelle de ce bilan.

     

     

     

    L’assaillant, lui-même décédé, aurait été identifié comme Devin Patrick Kellley, selon CBS News, qui cite des sources de la police fédérale. Cet ancien membre de l’U.S. Air Force, qui a servi de 2010 à 2014, serait passé devant une cour martiale pour cause d’indignité, selon la chaîne.

    Un témoin raconte qu’il serait entré dans le bâtiment aux alentours de 11h30 (18h30, heure française) et aurait alors ouvert le feu. Une vingtaine de détonations aurait retenti, affirme CNN.

     

     

     

    Parmi les victimes figurerait un enfant de deux ans, confie un témoin interrogé par Kens-TV. Le pasteur de l’église, exceptionnellement en Oklahoma ce weekend, a confié à ABC que sa fille de 14 ans avait également été abattue. Les journalistes sur place attestent de la présence de nombreux secours, de la police locale et du FBI. Dallas News ajoute qu’au moins six hélicoptères ont été utilisés pour évacuer les blessés, et News4SA que les démineurs seraient en chemin.

     

     

     

    La chaîne précise qu’une cinquantaine de personnes se rendraient habituellement à la messe de cette église, dans une ville d’à peine quelques centaines d’habitants.

     

     

     

    Sur Twitter, Donald Trump a affirmé « contrôler la situation depuis le Japon », où il est actuellement en visite diplomatique. « Que Dieu soit avec les gens de Surtherland Springs », ajoute-t-il. Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, et le sénateur du Texas, Ted Cruz, ont également présenté leurs condoléances sur le réseau social.

     

     

     

    May God be w/ the people of Sutherland Springs, Texas. The FBI & law enforcement are on the scene. I am monitoring the situation from Japan.

     

     

    Il y a un peu plus d'un mois les Etats-Unis ont connu la pire fusillade de leur histoire, avec 58 morts parmi le public d'un concert en plein air à Las Vegas, dans le Nevada.

    Le Parisien

  • Munich (All.) : deux « nafris » font des selfies avec un SDF endormi et essaient de lui mettre le feu

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    21h14

    Deux jeunes hommes ont failli mettre le feu à un SDF endormi. Ils ont allumé un sac en plastique se trouvant juste à côté de leur victime qui ne se doutait de rien […] Juste avant que les flammes n’atteignent les vêtements du sans-abri au risque de le blesser grièvement, un témoin s’est précipité et a écarté du pied le sac qui brûlait. Les deux coupables sont actuellement en fuite.
    […]

    Selon Michael Riehlein, porte-parole de la police, ils s’étaient d’abord amusés à photographier l’homme de 51 ans qui dormait et à prendre des « selfies » avec lui.
    […]

    La police espère l’aide de témoins et décrit ainsi les deux hommes : âgés de 18 à 20 ans, mesurant de 1,70m à 1,80m, de type arabe/nord-africain […]

    (Traduction Fdesouche)

    Süddeutsche Zeitung

    NdB: Les salopards! Mettre le feu à un pauvre homme... Ils ne méritent aucune pitié.

  • Marine Le Pen sur France 3 (05/11/2017) : Dimanche en politique

    https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2FMarineLePen%2Fvideos%2F1950213864994928

  • LES PÉDOPHILES AMÉRICAINS PORTERONT SUR LEUR PASSEPORT LA MENTION DE LEURS AGRESSIONS

     

    Aux Etats-Unis, les agresseurs sexuels de mineurs figurant sur les bases de données américaines auront désormais inscrite sur leur passeport une mention qui préviendra les autorités étrangères de leurs crimes passés. Cette loi a été élaborée afin d’éviter l’exploitation et le trafic d’enfants dans les pays étrangers victimes de tourisme sexuel par des pédophiles.

    Le département d’Etat américain a prévenu qu’il révoquerait les passeports existant et prierait les personnes condamnées pour atteinte ou agression sexuelle sur mineur de refaire leur passeport selon la nouvelle législation. Une notice imprimée à l’arrière de sa couverture signalera : «Le possesseur de ce passeport a été condamné pour une agression sexuelle envers un mineur et il est un délinquant sexuel au regard des lois américaines.»

    «International Megan Law» : la loi qui va tout changer pour les pédophiles voyageurs

     

    Cette mesure découle de l’«International Megan’s Law to Prevent Demand for Child Sex Trafficking», loi américaine pour empêcher le trafic d’enfants, qui a été signée le 8 février 2016 par le président Barack Obama. Elle prévoit également l’obligation pour les agresseurs sexuels de mineurs de se signaler aux autorités américaines 21 jours avant leur départ. 

     

     Après le vote de la loi «Megan» en 2016, les voix de certains groupes et associations de défense des citoyens s’étaient élevées contre cette disposition, évoquant la dangerosité de partager des informations avec des pays étrangers, dans lesquels la vie du délinquant sexuel pourrait être menacée.

    En outre, certains exigent d’établir une distinction entre un pédophile violent et une personne majeure ayant eu une relation sexuelle consentie avec un adolescent mineur proche de la majorité. Un cas avait fait date en 2015, celui d’un majeur de 19 ans qui avait séduit en ligne, puis eu des rapports sexuels consentis avec une jeune fille qui lui avait annoncé avoir 17 ans, alors qu’elle n’en avait que 14. Les parents de l’adolescente avaient porté plainte. Dans ce dernier cas, le jeune homme a été inscrit au fichier des agresseurs sexuels pour une durée de 25 ans.

     

    Source

  • Assises : esclave sexuelle à 13 ans, l'horreur à la barre

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    >Faits divers|Pascale égré|24 octobre 2017, 6h36|11

    Cour d’assises de Paris, hier. Elodie*, 23 ans, a décrit l’abomination 
    vécue depuis son arrivée en France en 2006, alors qu’elle était âgée de 12 ans.

    CHRISTELLE GOTH
     
     

    Enfermée et violée pendant des années par l'homme qu'elle croyait être son père, une jeune femme a eu la force de dénoncer celui qui est jugé depuis vendredi. Le verdict est attendu aujourd'hui.

    Lorsqu'elle se glisse dans la salle, ombre discrète aux longs cheveux noirs, pour rejoindre son avocat, Me Cédric Alépée, sur le banc de la partie civile, lui commence à grimacer et à se tortiller sur sa chaise roulante (il souffre de divers maux). Lorsqu'elle accroche sa frêle silhouette à la barre pour livrer son terrifiant récit, il écoute la tête en arrière, les yeux parfois clos. L'homme, placé hors du box, se retrouve tout près de ce corps menu qu'il est accusé d'avoir violé dès l'âge de 13 ans, enfermé durant des années, privé d'adolescence et d'école... Meurtri à vie. Et lorsqu'en larmes, tournée vers celui dont elle a longtemps cru qu'il était son père, Elodie*, 23 ans, lâche ce cri déchirant — « J'aurais voulu qu'il reconnaisse ! » —, il la fixe, impassible. La scène, glaçante, donne la nausée.

    Avortement forcé

    Bamo Malumba, 54 ans, jugé depuis vendredi devant la cour d'assises de Paris pour viols sur mineure par personne ayant autorité, nie tout en bloc. Au contraire, il salit. Entre le verbiage mensonger et complotiste de cet ancien gardien d'immeuble et la parole limpide de sa victime, le contraste est saisissant. Il révèle tout le courage de cette jeune femme au parcours chaotique, atteinte d'un très fort diabète, qui a fini par réussir à se confier à sa médecin à l'hôpital en mars 2014. « Oui, je dénonce toujours, confirme-t-elle. Ce que j'ai vécu, je n'avais pas la force d'en parler. J'avais peur. Un jour, j'ai craqué. » Elle ajoutera : « Je n'ai plus de mots pour exprimer ma douleur. J'essaie... »

     

    Née à Kinshasa, en République démocratique du Congo, élevée par une grand-mère, Elodie a 12 ans lorsqu'elle est envoyée en France, en 2006, sous une fausse identité. « Tu vas faire des études et rencontrer ton père », lui promet-on. Elle séjourne d'abord chez une tante, puis à l'hôpital lorsqu'on diagnostique sa maladie. « Une histoire avec un oncle », en fait une première tentative de viol, conduit un juge à la placer chez son soi-disant père. « Où dormiez-vous ? » demande la présidente. « Dans son lit. Au bout d'un mois, un jour, je me suis réveillée. Il était en train de me pénétrer. Il m'a expliqué que c'était normal, parce que tous les pères le faisaient avec leurs enfants. » Elle précise : « Après, c'est devenu une habitude. Il continuait toute la journée. Je disais pas non. » « Je ne sentais plus rien », a-t-elle confié depuis à une psychologue.

    A 14 ans, Elodie tombe enceinte. Le Cytotec qu'il lui a fourni, un médicament gastrique connu pour son usage abortif détourné, n'a pas suffi. « J'avais du mal à dormir, il m'a dit : Tiens, prends ça. Plus tard, il m'a dit que c'était pour enlever les bébés. » A l'hôpital où il la conduit pour avorter, il l'oblige à désigner « un ami », puis à accepter une contraception.

    Sex-toys et visionnage de films pornos

    A 16 ans, entre foyers, séjours à l'hôpital, errance dans des hôtels et consommation du cannabis qu'il lui procure, son isolement s'aggrave. Il lui impose sex-toys et visionnage de films pornos, s'en inspire, la filme durant les rapports, menace ses petits copains et la menace elle... Placée, malgré tout elle fugue et revient : « Je ne savais pas où aller. Je ne voulais pas devenir l'enfant de l'Etat qui n'a pas de famille. » « Elle subit une vie de petite femme enfermée. Une soumission absolue, corps et âme, à l'homme qui lui a été désigné comme père », décryptera un psychiatre.

    Des analyses réalisées durant l'instruction ont permis de prouver la paternité de Bamo Malumba lors de l'IVG de 2009. Lui ose, face à la cour : « Sachez que la science ne sait pas tout. » Il invoque « sorcières » et ce drôle de label de « mari de nuit ». Il affirme : « Chez nous, une femme peut utiliser un homme sans qu'il le sache ! » Plus tôt, quand l'avocat général lui a demandé ce qu'elle attendait du procès, Elodie a imploré : « Que je sois reconnue en tant que victime. Parce que ce n'est pas de ma faute ! Maintenant, j'ai peur qu'on ne me croie pas... »

    « Moi, je vous crois ! » lui a répondu, solennel, le magistrat. Le verdict est attendu aujourd'hui. Bamo Malumba encourt vingt ans de réclusion.

     

    * Le prénom a été changé.

    Le Parisien

  • ROBERT MÉNARD : « JE SUIS CONFONDU PAR L’ARCHAÏSME DE NOS DROITES »

     

    Si nous voulons gagner, nous avons le devoir de développer une vision alternative, cohérente, pragmatique, audacieuse.

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste. Fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     
     
     
     

    Si l’on vous entend bien, vous voulez construire, avec Les amoureux de la France, une autre droite…

    Absolument. Une droite girondine. Une droite à la fois fière et ouverte aux autres. Une droite qui s’émeut aux vers d’Edmond Rostand mais sait être pragmatique, de bon sens. Une droite soucieuse du seul bien commun. Une droite qui refuse de se laisser enfermer dans une image ringarde qui sentirait le formol et la naphtaline. Une droite audacieuse dans les questions qu’elle pose et qu’elle se pose, iconoclaste parce que se moquant des diktats des uns et des autres, des médias et de ses pairs. Une droite qui refuse les facilités, les propos de campagne, les promesses qu’elle sait intenables. Une droite de liberté, d’exigence démocratique, profondément européenne. Pour cela, il nous faut regrouper tous ceux qui sont prêts à cette « révolution culturelle » et ils n’étaient pas tous là lors du lancement de notre plateforme, loin s’en faut…

    On vous sent de plus en plus critique à l’égard des prises de position de ceux qui sont pourtant vos partenaires politiques…

    Je suis confondu par l’archaïsme de nos droites. Je constate, comme chacun, d’un côté, la révolution technologique et les avancées de la science et, de l’autre, des politiques quasi muets sur les conséquences de ces changements radicaux. Quelques exemples. Aujourd’hui, une poignée d’entreprises, toutes nord-américaines, peuvent s’immiscer dans notre vie – le mot est d’ailleurs mal choisi puisque c’est volontairement que nous leur confions notre intimité – sans que nous nous interrogions vraiment sur cette nouvelle dépendance. Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft sont le Big Brother du 1984 de George Orwell version cool, sympathique, souriant. Comment répondons-nous à ce défi, à cette ombre portée sur nos libertés ? Je n’en sais rien mais, plus grave, je ne sais pas vers qui me tourner pour m’aider à y voir plus clair. Dans un tout autre domaine, l’homme génétiquement modifié qu’on nous annonce pour demain, le transhumanisme, ne vont pas sans poser des questions, c’est le moins qu’on puisse dire. Pas un mot, si ce n’est des banalités, dans les programmes des politiques les plus proches de nous. Comme s’ils ne pensaient qu’avec des concepts du siècle passé, autant dire du Moyen Âge à la vitesse des changements à l’œuvre…

    Mais il y a d’autres priorités ! Ces questions ne sont pas le quotidien de vos électeurs…

    Vous vous trompez. Si, en effet, on ne s’interroge pas, chaque matin en se levant, sur sa dépendance à l’égard des géants de la Silicon Valley, beaucoup de parents s’inquiètent en revanche du devenir de leurs enfants biberonnés aux écrans de toutes sortes. De même, je ne crois pas être le seul à m’effrayer de ce que nous mettons dans nos assiettes. Des produits dont, en vérité, nous ne savons pas vraiment ce qu’ils contiennent, comment ils ont été faits, par qui ils ont été fabriqués. Ce qui, me semble-t-il, n’est pas étranger à la montée en puissance et en sympathie de mouvements comme L214 ou le véganisme. Tout cela pour vous dire que nous ne pouvons nous contenter du prêt-à-penser qui nous tient lieu de viatique pour, croyons-nous, changer le monde.

     

    Encore une fois, vous n’avez pas le sentiment d’être à mille lieux des préoccupations de nos concitoyens et, notamment, des plus humbles, ceux-là même qui vous font confiance ?

     

    Si nous voulons gagner – et ne pas nous contenter de gérer notre capital électoral comme une sorte de magot… – nous avons le devoir de développer une vision alternative, cohérente, pragmatique, audacieuse. Il nous faut gagner la confiance de nouveaux électeurs qui ne se retrouvent pas dans nos vieux discours, dans nos vieux mots, dans nos vielles habitudes de penser. Prenons une question centrale : celle de l’identité. Si elle est menacée par les flux migratoires – ce que nous ne cessons de répéter avec raison – elle l’est tout autant par des technologies, des modes qui, sous couvert de rendre nos vies plus agréables, font de nous les dévots de la première des religions : le consumérisme. On réussit à nous faire croire que nous voulons ce qu’on veut nous vendre. Une nouvelle forme d’aliénation que le camarade Karl Marx n’aurait osé imaginer !

    Si vous vous mettez à citer Marx…

    Je veux piocher dans les textes de tous ceux qui se sont employés à questionner le monde. Je ne veux passer à côté d’aucune « arme intellectuelle » qui, je l’espère, nous permettra de changer l’existence de mes concitoyens. Or, j’ai la conviction que par habitude, par facilité, par paresse – je ne veux pas imaginer que ce soit également par incompétence – nous nous contentons trop souvent de répéter comme des perroquets les mantras, les tables de la loi d’une vieille droite, coincée entre Maurras, pour les plus radicaux, et l’art de l’auto-flagellation pour les moins assurés. Quitte à me répéter : construisons une droite qui fasse l’éloge du temps long et reprenne le futur en main. Une droite d’avant-garde qui rejette les vieilles lunes conservatrices. Une droite qui ne se contente pas de promettre plus de croissance, moins de chômage et d’insécurité mais une droite d’intelligence, de générosité, de compassion et de panache ! Pas seulement moins d’impôts, moins d’assistanat, moins de bureaucratie, mais plus de vie, plus d’envie, plus de mémoire aussi. Notre politique doit redonner du souffle, proposer un horizon enthousiasmant. Il faut tout remettre à plat.

    Mais comment ?

    En partant de notre plateforme « Les amoureux de la France » pour construire ce programme qui nous fait toujours défaut. Et puis, il faudra trouver celui ou celle qui l’incarnera, qui saura nous faire gagner. Est-ce un responsable politique aujourd’hui identifié ? Ou, au contraire, quelqu’un de nouveau ? Je n’en sais rien. Mais, en revanche, on peut, d’ores et déjà, dessiner une début de portrait robot : à l’écoute, avenant, attentif, un cœur à l’unisson de la France, de conviction et de tempérament. Ça élimine pas mal de monde…

    BV