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Blog - Page 117

  • Gênes (Italie) : un clandestin Marocain dépouille un automobiliste et viole sa femme âgée de 24 ans -

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  • La peste ravage Madagascar : un dernier bilan fait état de 45 morts, l'OMS sur le pied de guerre

     

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    © Rija Solo 
    Bénévoles de la Croix rouge à Madagascar
     

    Depuis août dernier, la peste a contaminé près de 400 personnes à Madagascar et fait 45 victimes. Si l'OMS et la Croix-Rouge se démènent sur place pour empêcher toute épidémie, la tâche se révèle difficile et ravive les divisions politiques.

    Le ministère de la santé malgache a communiqué le 9 octobre un nouveau bilan de la propagation de la peste sur l'île. Depuis le 1er août, la maladie aura fait pas moins de 45 victimes. Au total, ce sont 387 individus qui ont été contaminés, comme le rapporte l'agence de presse réunionnaise imazpress.

    Pour empêcher le phénomène de prendre un caractère épidémique, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le 6 octobre dernier qu'elle avait fourni 1,2 millions de doses d'antibiotiques à Madagascar. 250 000 doses supplémentaires doivent en outre être livrées dans les jours qui viennent. L'objectif affiché donne la mesure du risque : le gouvernement malgache et l'OMS entendent traiter 5 000 patients et protéger jusqu'à 100 000 personnes.

    Sur le terrain, la Croix-Rouge a déployé près de 1 000 volontaires pour soutenir les autorités sanitaires malgaches. Ces dernières ont déjà annoncé la fermeture de toutes les écoles du pays et de certaines universités jusqu'à nouvel ordre, afin d'éviter la propagation de la maladie. Dans un second temps, ce sont les visites en prison qui ont été interdites. Enfin, la compagnie aérienne Air Seychelles a annoncé la suspension de tous ses vols à destination de Madagascar à partir du 8 octobre.

    Des rites funéraires et une polémique politique

    Mais la tâche est parfois complexe, de nombreuses familles refusant de confier leurs morts aux services sanitaires, accroissant d'autant les risques de contagion. «C’est difficile : les rites funéraires sont très importants et les familles veulent garder leurs morts... Elles ont aussi peur de la stigmatisation, car la peste est considérée comme une maladie honteuse, signe d’une mauvaise propreté», relate un bénévole de la Croix-Rouge dans les colonnes du Monde.

    La capitale Antananarivo est particulièrement touchée. Avec 206 malades et 18 décès selon le dernier bilan publié. Début octobre, le gouvernement de Madagascar avait d'ailleurs accusé la municipalité d'être directement responsable de la propagation de la maladie, pointant du doigt la mauvaise gestion du ramassage des ordures.

    Ces accusations pourraient bien ne pas répondre à des seuls impératifs sanitaires : la maire de la capitale, Lalo Ravalomanana, n'est autre que l'épouse de l'ex-président, Marc Ravalomanana. Or, ce dernier a d'ores et déjà annoncé sa candidature à la présidentielle de 2018, contre Hery Rajaonarimampianina, le président actuel. Dès lors, les partisans des deux camps s'accusent mutuellement de ne pas être à la hauteur pour maîtriser la gestion de la crise en cours.

    La peste, après avoir fait des ravages en Europe pendant plusieurs siècles, a presque disparu du Vieux continent. Ce qui n'empêche pas l'OMS de la considérer comme une maladie réémergente dans le monde.

    L'Afrique concentre à elle seule 90% des cas répertoriés chaque année, parmi lesquels un grand nombre se trouvent à Madagascar. Plusieurs rapports notent que, si le nombre de contagions tend à diminuer, la mortalité augmente, notamment à cause de la dégradation du système de santé après la crise politique dont souffre le pays depuis quelques années.

    Lire aussi : Bill Gates met en garde contre une pandémie globale

    RT

  • Youssef et la Croix

    A regarder absolument!

  • Corbeil-Essones (91) : un « déséquilibré » attaque deux personnes au couteau à la gare dont l’une à la carotide

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    0h40

    Les faits se sont produits vers 23 heures. Le suspect, vraisemblablement un déséquilibré, a été interpellé.

    Un homme a attaqué deux personnes au couteau ce samedi soir, vers 23 heures, à la gare RER de Corbeille-Essonnes (Essonne). Les deux victimes ont été transportées à l’hôpital en urgence relative. L’une a été touchée à la carotide, tandis que l’autre souffre de blessures au dos et au thorax. Leurs jours ne seraient pas en danger.

    Le suspect, dont on ignore les motivations, a des antécédents psychiatriques. Il a été neutralisé par la police qui lui a tiré dans les jambes, avant d’être à son tour hospitalisé.

    Le Parisien

  • Des centaines de milliers d'opposants à l'indépendance de la Catalogne défilent à Barcelone

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    Des centaines de milliers d'Espagnols ont défilé dans les rues de Barcelone pour manifester leur hostilité à l'indépendance de la province, une semaine après le référendum d'autodétermination interdit qui a déclenché une grave crise politique.

    «Vive la Catalogne ! Vive l'Espagne !», scandait la foule de manifestants opposés à l'indépendance de la Catalogne, qui ont battu le pavé à Barcelone, le 8 octobre, en brandissant des drapeaux espagnols.

    Il s'agissait de la première grande manifestation anti-indépendantiste dans la capitale régionale depuis le début de la crise, avec pour mot d'ordre : «Ça suffit ! Retrouvons la sagesse !» Selon la police municipale, 350 000 Espagnols – venus de Catalogne et d'ailleurs – ont participé à la manifestation, de 930 à 950 000 selon les organisateurs.

    La démocratie espagnole est là pour rester et aucune conjuration indépendantiste ne la détruira

    «La démocratie espagnole est là pour rester et aucune conjuration indépendantiste ne la détruira», a lancé à la foule le prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa, de nationalités espagnole et péruvienne, qui participait à la mobilisation.

    Les manifestants, arborant aussi des drapeaux catalans ou européens, se voient comme la majorité silencieuse qui n'a pas eu voix au chapitre depuis que les autorités indépendantistes ont organisé le référendum du 1er octobre, interdit par la justice espagnole.

    «C'est très important pour nous de montrer que nous aussi, nous sommes nombreux. On n'entend que les autres», expliquait par exemple à l'AFP, vêtu du maillot de l'équipe de football de l'Espagne et des drapeaux espagnol et catalan, un manifestant de 37 ans, venu en voiture de Tarragone, à 100 kilomètres au sud-ouest.

    Lire aussi : L'Avis continu, épisode 3 : la Catalogne à la croisée des chemins (VIDEO)

    Vers une déclaration unilatérale d'indépendance le 10 octobre ?

    Estimant avoir remporté le référendum avec 90% de «oui» à l'indépendance, les séparatistes envisagent de faire sécession dans les jours qui viennent, peut-être lors de la séance du parlement régional le 10 octobre, durant laquelle le président catalan Carles Puigdemont doit intervenir.

    Pour l'heure, l'impasse est totale entre le chef du gouvernement espagnol, le conservateur Mariano Rajoy, et les autorités séparatistes. Carles Puigdemont réclame une «médiation internationale». Mais Mariano Rajoy n'envisage pas de dialogue tant que les séparatistes n'auront pas retiré leur menace de rupture.

    RT

     

  • Un cambrioleur abattu par un propriétaire dans l'Hérault en légitime défense

     

    >Faits divers|Z.L.|06 octobre 2017, 10h09 | MAJ : 06 octobre 2017, 14h49|44

    La famille du tireur aurait été menacée.  

    LP/Olivier Boitet
     
     

    Le tireur est en garde à vue depuis jeudi soir. 

    Le propriétaire d'un domaine de Servian, au nord-est de Béziers (Hérault) a tué jeudi soir un cambrioleur qui s'était introduit chez lui. 

    Vers 21 heures, deux cambrioleurs armés se sont introduits dans le domaine Saint-Adrien. Le propriétaire s'y trouvait avec son épouse, handicapée suite à un accident. Ils auraient été menacés et frappés. 



    Lorsqu'un des malfaiteurs est monté à l'étage pour y chercher un coffre fort, le propriétaire des lieux s'est alors saisi d'une arme et l'a mortellement blessé. Il s'agissait du fusil du propriétaire qu'il gardait toujours chargé, selon ses dires, pour chasser les sangliers qui passaient sur son domaine.


    Le deuxième cambrioleur est en fuite. Le propriétaire du domaine est en garde à vue, a annoncé Angélique Depétris, substitut du procureur de Béziers. L'enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie pour déterminer s'il était en situation de légitime défense. 

    Le Parisien

  • Ester Gallego (SOM) : « la Catalogne souffre d’une double oppression : celle de l’Espagne et celle de l’immigration-invasion »

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    08/10/2017 – 07h50 Barcelone (Breizh-Info.com) – La veille du référendum d’indépendance de la Catalogne, nous sommes allés à Vic, une ville très indépendantiste située au nord de Barcelone, où nous avons entre autres rencontré Ester Gallego, qui nous a expliqué les idées défendues par son parti – le seul à être identitaire et indépendantiste, opposé à l’immigration massive. 

    Entre-temps, les résultats du référendum ont été officiellement proclamés, ce qui ouvre le compte à rebours : d’après la loi promulguée début septembre en Catalogne, dans 48 h l’indépendance pourra être proclamée. Officiellement, le oui a fait 90.18% des suffrages (2.044.038 voix), le non 7.18%  (177.547 voix) avec une participation de 43% (2.286.217 votants sur  5.313.564 électeurs).

    Le oui est le plus prononcé dans les vigueries [divisions reconnues par les indépendantistes catalans, différentes des provinces espagnoles sauf pour celle de Gérone] des Hautes-Pyrénées et du Val d’Aran, de Gérone justement et de Catalogne centrale (où se trouve Vic).

    Le non est le plus prononcé dans la viguerie de Barcelone (9.83%) où se trouve l’agglomération et une grande partie de la côte touristique. La participation est la plus importante dans les comarques [cantons] du Priorat (85.42%), Moianès (74%), Bergueda (73.6%) Conca de Barbera (73.5%),  Solsonès (70%), Pallars Sobira (70%), Osona (69%), Ripoll (69%)… A Barcelone même – où se trouvent le plus de gens qui le sont pas catalans d’origine – la participation n’est que de 36%.

    La situation continue à se tendre doucement : la première banque catalane, la Caixa, opposée à l’indépendance, a annoncé transférer son siège à Valence, tandis que l’entreprise Mango a assuré qu’elle reste ; Abertis (BTP) et Cellnex (Telecoms) réfléchissent à quitter la Catalogne. Près de 150 agents du groupe d’action rapide de la Guardia Civil, l’équivalent espagnol du GIGN, se sont déployés à l’aéroportpour empêcher la prise de contrôle des infrastructures par les indépendantistes.

    Les événements en Catalogne ont aussi mis les espagnols dans les rues : deux  énormes manifestations a eu lieu à Madrid ce samedi, pour réclamer à la fois l’unité de l’Espagne et le dialogue avec les Catalans. Suite à l’initiative citoyenne « Parlem ? Hablamos ? » des  milliers de manifestants pour le dialogue, en chemises blanches, se sont aussi rassemblés à Barcelone, Saragosse ou encore Valence avec des bannières blanches.

    Breizh Info : Ester Gallego, pouvez-vous vous présenter ?

    Ester Gallego : Je suis entrée en politique lorsque j’avais 14 ans, à l’époque je faisais partie des jeunesses de l’ERC [Esquerra Republicana de Catalunya, créé en 1931, au centre-gauche]. Vers 1982 le parti a viré vers l’extrême-gauche et j’en suis partie, avec d’autres militants qui regrettaient le virage pro-immigration et gauchiste de l’ERC.

    Bien des années après j’ai rejoint la Plateforme pour la Catalogne [PxC] de Josep Anglade, lui aussi natif de Vic, qui était anti-immigration. Cependant il était opposé à l’indépendance catalane et assez outrancier [il a été condamné en 2007, 2009 et 2017 pour délits de droit commun ; la dernière condamnation lui a valu deux ans inéligibilité], donc j’ai quitté la PxC pour créer SOM Catalans en 2014.

    Breizh Info : Quelles sont les idées que défend SOM Catalans ?

    Ester Gallego : Nous sommes nationalistes catalans. Nous voulons défendre l’indépendance surtout, mais aussi les catalans de souche. Nous dénonçons l’invasion d’immigrants alors que les gens d’ici s’en vont à cause de la Crise. Toutes les aides sont pour les immigrants, y compris quand ils sont clandestins. De plus ils font plus d’enfants que les catalans et leur nombre augmente dans la société.

    Breizh Info : dans les rues de Barcelone, il y a peu de migrants qui ne font rien de leur journée comme on peut le voir dans les villes françaises. Ils sont employés dans la restauration, tiennent eux-mêmes des restaurants ou des épiceries, bref, ils bossent. Une intégration réussie ?

    Ester Gallego : Les pouvoirs publics et les collectivités territoriales leur facilitent l’obtention de toutes les licences et autorisations. Pendant ce temps, les commerces catalans stagnent ou ferment. C’est la même chose dans les écoles où ils imposent leur halal. Tout change pour leur plaire, nos traditions, notre culture ne comptent plus et sont mis aux oubliettes.

    Breizh Info : Quelle est votre position au sujet de l’indépendance catalane ?

    Ester Gallego : Nous sommes pour. C’est le peuple qui la demande dans son ensemble. Il n’y a rien en commun entre l’Espagne et la Catalogne, ni la langue, ni la culture, ni l’identité. Rester ensemble n’a pas de sens.

    Breizh Info : Quel est votre avis sur la position de Madrid ?

    Ester Gallego : La Catalogne est pour Madrid une colonie, traitée comme telle. Madrid n’en a rien à faire de la volonté des Catalans, de l’identité nationale concurrente des Catalans. Or la volonté des Catalans de redevenir indépendants dure depuis des siècles [révoltes de la fin du XVIIe, du début du XVIIIe, du XIXe, République proclamée en 1934…] La Catalogne n’a jamais voulu se soumettre à l’Espagne, jamais l’Espagne n’a demandé aux Catalans s’ils voulaient rester en Espagne et elle les spolie économiquement.

    Breizh Info : Quant au Roussillon, cédé par l’Espagne à la France en violation des constitutions catalanes en 1659?

    Ester Gallego : Nous sommes pour que Perpignan et le Roussillon reviennent à la Catalogne, ainsi que l’ensemble des Països Catalans, avec Valence et les Baléares. Mais pas l’ensemble des territoires qui relevaient de la Couronne d’Aragon (Aragon, Italie du sud, Sicile, seigneurie de Montpellier…) au Moyen-Age.

    Breizh Info : Si Madrid réussissait à empêcher le vote ou l’indépendance ?

    Ester Gallego : C’est le moment de voir si nos politiciens catalans sont dignes de confiance. S’ils n’arrivent pas à faire le référendum, il y aura une grande crise politique et le peuple les récusera.

    Breizh Info ; Est-ce que SOM Catalans arrive à se faire une place dans le paysage politique catalan, bien que le parti n’a pas d’élu, contrairement à la CUP de l’autre côté de l’échiquier politique ?

    Ester Gallego : Au début, tous les partis nous avaient boycotté et menacé car nous sommes identitaires et opposés à l’immigration. Maintenant, on commence à faire partie du paysage mais on a toujours des problèmes à cause de notre position sur l’immigration qu’on n’est pas près d’abandonner.

    Breizh Info : Cet été la Catalogne a été touchée par des attentats à Barcelone et Cambrils ; l’enquête a mis en cause une cellule formée par des migrants de la seconde génération, marocains ou d’origine marocaine, qui vivaient presque tous à Ripoll, une petite ville située dans les montagnes. Quel est votre avis ?

    Ester Gallego : Ripoll est une petite ville qui fut un ancien centre de l’industrie textile, plutôt en déclin. Les musulmans y étaient minoritaires mais leur nombre a fortement augmenté ces dernières années. Ils ne travaillent pas pour la plupart et vivent des aides. Le peuple, lui, est scandalisé mais le gouvernement catalan laisse faire et victimise même la minorité musulmane. La vraie victime, c’est le peuple catalan.

    Breizh Info : Selon vous, le peuple Catalan a deux ennemis et doit se battre sur deux fronts ?

    Ester Gallego : La Catalogne souffre d’une double oppression : celle de l’Espagne et celle de l’immigration-invasion. A long terme, c’est l’asphyxie du peuple catalan, dont les cultures, la langue, la tradition sont piétinées, y compris par le gouvernement catalan complice de l’immigration.

    Propos recueillis par Louis-Benoît Greffe

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    (merci à Dirk)

  • PARIS D'ANTAN

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  • Crèche de Noël : interdite en Rhône-Alpes, autorisée en Vendée

     

    Deux décisions de justice rendues ce vendredi ont, pour l’une, autorisé le département de la Vendée à installer temporairement une crèche de Noël dans ses locaux et, pour l’autre, retoqué la décision de la région Auvergne-Rhône-Alpes d’installer une crèche dans ses locaux en décembre 2016. Explications.

    [...]

    Les deux décisions s’appuient sur la jurisprudence du Conseil d’État et la notion d’« usage local » qui a été retenu pour la Vendée, mais qui n’existait pas, selon la justice, en Auvergne.

     

    Une crèche dans les locaux de l’Hôtel de région

    Le tribunal administratif de Lyon a indiqué vendredi annuler la décision de Laurent Wauquiez, président LR du conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, d’installer une crèche de Noël dans les locaux de l’Hôtel de région en décembre 2016.

    L’installation d’une crèche de Noël « par une personne publique dans un emplacement public (...) méconnaît le principe de neutralité en l’absence de caractère culturel, artistique ou festif », souligne dans un communiqué le tribunal, saisi par la Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen et la Fédération de la Libre pensée et d’action sociale du Rhône.

    [...]

    À Nantes, la cour administrative d’appel a estimé que la crèche installée chaque année dans le hall du Conseil général résultait d’un « usage local » qui n’était pas contraire au principe de laïcité, selon des sources judiciaires.

     

    « Usage local » et « tradition festive »

    Appliquant les critères du Conseil d’État, les juges nantais ont estimé « que l’installation temporaire d’une crèche de Noël dans l’hôtel du département de la Vendée résulte, compte tenu des caractéristiques de la crèche et de ses conditions d’utilisation, d’un usage culturel local et d’une tradition festive de plus de 20 ans constituant des circonstances particulières », écrit la cour dans un communiqué.

    La cour de Nantes a donc débouté la Fédération de la Libre pensée de Vendée, qui avait saisi la justice administrative en 2012, après que son président eut constaté la présence d’une crèche en décembre 2010 lors d’une visite aux archives du siège du département.

    Lire l’article entier sur ouest-france.fr

    L’idéologie franc-maçonne a pour but la destruction de la France éternelle, 
    lire chez Kontre Kulture

  • A Londres, une voiture fonce sur les passants: onze blessés dont un enfant

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    Selon des témoins, la voiture aurait «foncé sur les gens» qui se trouvaient au pied du Musée d'histoire naturelle, en plein centre-ville. Le conducteur a été interpellé.

    Une voiture a heurté et blessé onze personnes ce samedi dans le centre-ville de Londres, au Royaume-Uni, laissant présager d'une attaque volontaire, trois semaines à peine après l'explosion d'un sac de voyage dans le métro londonien. L'acte d'un déséquilibré ? Seule certitude, l'incident n'est pas traité comme un acte terroriste par les enquêteurs.

     

    «Nous avons traité 11 patients, la plupart pour des blessures à la tête et aux jambes, et hospitalisé neuf d'entre eux», a précisé le London Ambulance Service sur Twitter.

      

    We attended an incident at Cromwell Road, South Kensington this afternoon. Our statement is below.

     

      


    Un homme a été interpellé immédiatement après les faits. Ceux-ci se sont déroulés à proximité du Musée d'histoire naturelle. Contactés par des médias anglais ou témoignant spontanément sur les réseaux sociaux, des passants indiquent que la voiture serait «montée sur le trottoir» et aurait «foncé dans les gens».
     

    Just witnessed a car drive into people in London. Safe for now please message your friends if they’re here near the national museum

     

     

    Des images diffusées sur Twitter montrent un homme vêtu d'une chemise bleue, plaqué à terre, de petites flaques de sang sous le visage, par deux autres personnes, peut-être des passants. Sur d'autres photos, il est possible de voir une voiture noire dont l'avant est encastré perpendiculairement entre deux autres véhicules garés le long du trottoir.
     

    «Il y avait un petit garçon de huit ou neuf ans...»


    Plusieurs témoins racontent avoir vu des scènes de panique dans ce quartier très fréquenté le samedi après-midi, notamment par les touristes et les familles. J'étais près de la station de métro South Kensington, il y avait beaucoup de policiers. Et puis soudain une policière a crié à la foule de courir, et tout le monde est parti dans un mouvement de panique, beaucoup de gens criaient», relate Leonard, la trentaine.

     

    Katy indique elle sur la radio LBC avoir vu «au moins deux personnes blessées. Il y avait un petit garçon blessé à la jambe, qui ne devait pas avoir plus de huit ou neuf ans. Il y avait aussi une femme allongée, qui elle ne bougeait pas». A Downing Street, la Première ministre Theresa May était tenue informée de l'évolution de la situation, selon ses services.

      leparisien.fr

  • Trump: "Une seule" solution avec la Corée du Nord

     

     

    Le président américain Donald Trump a affirmé dans un message énigmatique posté samedi sur Twitter qu'"une seule chose marchera" avec la Corée du Nord, sans dire laquelle, deux jours après une autre déclaration mystérieuse.

    "Les présidents et leurs administrations parlent à la Corée du Nord depuis 25 ans", a tweeté M. Trump. "Les accords passés et les montants massifs d'argent versés n'ont pas eu d'effet".

     "Les accords ont été violés avant même que l'encre ne soit sèche", a-t-il poursuivi. "Désolé, mais il n'y a qu'une seule chose qui marchera", a conclu le milliardaire, sans autre détail.

    Le Figaro

  • La Hongrie ne changera pas sa politique à l’égard des migrants

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    06/10/2017 – HONGRIE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est confirmé : la Hongrie continuera de refuser l’installation de migrants sur son territoire, a annoncé le Premier ministre hongrois Viktor Orban, lançant :

    « Ils font plus pour les droits des migrants que pour leurs propres citoyens »

    Il a également estimé que lier la question de l’immigration et celle du financement de la cohésion européenne s’opposaient aux règles communautaires et étaient immorales :

    « Nous devons prendre note de cette décision parce que nous ne pouvons pas saper les fondations de l’UE – et le respect du droit est une fondation de l’UE – mais dans le même temps l’arrêt de la Cour n’est pas une raison pour changer notre politique qui refuse les migrants. »

     

  • JOURNAL TVL 06.10

  • Première dame: "un rêve pour elle"

    http://info.madame.lefigaro.fr/societe/brigitte-macron-premiere-dame-elysee-au-feminin-cest-un-reve-pour-elle-041017-134636?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=MadameActu

  • Toulon - Elle est réveillée en pleine nuit par un intrus à côté de son lit

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    Image d'illustration d'un cambriolage. Patrick Blanchard

    Grosse frayeur pour une habitante du quartier du Mourillon à Toulon. Dans la soirée de lundi, elle a été surprise dans son sommeil par un individu qui se trouvait au bord de son lit.

    Ses cris ont fait fuir l’intrus, ainsi qu’un autre qui se trouvait dans la salle de bain. «On cherchait un endroit pour dormir», s’est défendu le duo interpellé dans la rue Castel, et jugé ce mercredi en comparution immédiate.

     

    Ces deux jeunes SDF algériens âgés de 21 ans, en situation irrégulière, n’ont pas livré d’explication convaincante sur les objets volés dans le quartier, retrouvés en leur possession.

    Dans ses réquisitions, le ministère public a regretté de ne pouvoir solliciter "une interdiction du territoire français", les délits de "vols en réunion" et "tentative de vol" n'entrant pas dans le champ d'application de cette peine.

    «Laissez-nous partir et on quitte la France», ont-ils lancé. Le tribunal les a condamnés à un an de prison avec maintien en détention et à une interdiction de séjour de 5 ans dans le Var et les départements voisins. 

    VAR MATIN

  • La Une du nouveau Figaro Magazine

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  • FOLHUMOUR

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