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Blog - Page 115

  • « Il y a probablement un million d’immigrés clandestins au Royaume-Uni » admet la ministre de l’Intérieur

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    22h16

    La ministre de l’Intérieur, Amber Rudd, a admis qu’il pourrait y avoir jusqu’à un million d’immigrés illégaux au Royaume-Uni.

     

    Mme Rudd a été interrogée par David Wood, un ancien directeur général de l’application de la loi sur l’immigration, qui a affirmé qu’il y avait « probablement plus d’un million d’étrangers ici illégalement » et « personne ne pourrait jamais les expulser ».

    Elle a déclaré que l’estimation d’un million « peut être » un « jugement raisonnable ».

    Mirror

     

  • Strasbourg: pose de la première pierre de la mosquée ottomane géante

    http://www.fdesouche.com/894973-strasbourg-pose-de-premiere-pierre-de-mosquee-geante-ottomane-a-lieu-aujourdhui

    +vidéo et photos

  • Les intoxications graves par des champignons en forte hausse

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    Les autorités ont constaté, depuis juillet, un nombre de cas graves supérieur de plus de 50% à la moyenne annuelle.


    Une femme passe devant une amanite tue-mouches, un champignon toxique, le 20 octobre 2012, à Clairmarais (Pas-de-Calais). franceinfo 

    Mis à jour le 
    publié le 

    il y a 1 heure

    DIRECT. Catalogne : 450 000 manifestants indépendantistes défilent dans les rues de Barcelone

    Trente-deux cas d'intoxications graves causées par la consommation de champignons ont été enregistrées en France depuis le mois de juillet, un chiffre en forte hausse par rapport aux années précédentes, ont averti, vendredi 20 octobre, les autorités sanitaires. L'un de ces cas a même causé un décès.

    "Depuis le début de la surveillance, début juillet, 32 cas graves d'intoxication par des champignons ont déjà été rapportés aux centres antipoison, sur 1 179 cas signalés, alors que la moyenne annuelle observée est d'une vingtaine de cas graves", explique la Direction générale de la santé (DGS).

    Deux patients ont dû subir une greffe du foie

    20 cas correspondent à des "syndromes phalloïdiens", des troubles digestifs graves survenant en moyenne 10 à 12 heures après la consommation d'amanites phalloïdes ou encore d'amanites vireuses, de petites lépiotes ou de galères. Ce syndrome peut être à l'origine d'une atteinte hépatique mortelle en l'absence de traitement. "Parmi ces 20 cas, deux ont nécessité une greffe hépatique et un troisième cas est décédé", ajoute la DGS.

    La DGS rappelle aux amateurs de cueillette la nécessité de "faire identifier sa récolte par un spécialiste" au moindre doute, avant de les consommer : pharmaciens, mycologues des associations ou sociétés savantes de mycologie. "En cas d'apparition d'un ou plusieurs symptômes (notamment diarrhées, vomissements, nausées, tremblements, vertiges, troubles de la vue, etc.), appelez immédiatement le 15 ou le centre antipoison de votre région", précise-t-elle, ajoutant qu'une photo de la cueillette avant cuisson peut permettre au centre antipoison d'identifier le champignon responsable

  • Journal TVL 20.10.17

    https://www.tvlibertes.com/2017/10/20/19671/le-pen-jt-tvl-20102017

    (NdB: vidéos: le code embed ne fonctionne plus depuis hier soir)

  • Agressions sexuelles : ce que les victimes présumées de Gilbert Rozon racontent

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    >Faits divers|Sylvain Merle, avec C.Ba. et S.B.|20 octobre 2017, 8h16|18

    8 septembre 2014. Après l'affaire Weinstein aux Etats-Unis, le scandale Gilbert Rozon résonne au Canada et en France.

    LP/ ARNAUD DUMONTIER
     
     

    Après Harvey Weinstein aux Etats-Unis, le magnat de l'humour québécois Gilbert Rozon est la cible d'accusations d'agressions sexuelles. Il a démissionné de toutes ses fonctions.

    L'onde de chocde l'affaire Weinstein n'a pas fini de secouer le monde du spectacle. Partout, la parole des victimes de violences sexuelles se libère, notamment sur les réseaux sociaux avec les hashtags #Balancetonporc en France ou #MoiAussi au Québec. Si notre pays est jusqu'ici épargné, le Canada vient de voir chuter coup sur coup deux nababs du show-business : Eric Salvail, animateur et producteur de télévision, inconnu en France mais star là-bas, mais aussi Gilbert Rozon, magnat de l'humour, fondateur du festival Juste pour rire à Montréal et producteur d'une centaine d'artistes à travers le monde, notamment en France.

     

    Celui qui est aussi, dans l'Hexagone, le juré historique de l'émission «Incroyable Talent» — déprogrammée jeudi en catastrophe par M6 — est visé par des accusations sérieuses. Neuf femmes qui ont remarqué, via les réseaux sociaux, qu'elles avaient toutes subi des comportements inappropriés de la part de Gilbert Rozon, ont témoigné dans le journal Le Devoir de mercredi et à l'antenne de la radio 98.5 FM, rapportant notamment des actes susceptibles d'être qualifiés de viols ou d'agressions sexuelles.

    De nombreux témoignages


    Prescrits pour certains, ces agissements s'étalent sur une trentaine d'années. Certaines victimes étaient mineures, comme Salomé, cette comédienne, alors âgée de 14 ans, qui raconte à la radio avoir été agressée lors d'une fête en 1990. «Gilbert, qui était très intoxiqué, m'a agrippée et a passé sa main sous ma robe. Il a glissé un doigt dans ma culotte...» Lyne, réalisatrice, se souvient de son rendez-vous avec Rozon en 1982 : «Il me saute dessus, baisse mes culottes [...] J'étais paralysée. J'ai eu la peur de ma vie, j'ai eu peur de mourir [...] Je l'ai laissé faire, j'ai attendu qu'il finisse.»

    Plus récemment, il y a un an, Geneviève, 25 ans, a porté plainte pour agression sexuelle. Au terme d'un rendez-vous professionnel arrosé, Rozon l'aurait raccompagnée et serait entré avec elle dans son appartement, s'écroulant sur le lit. A son réveil, il était en elle... Après enquête, il n'y a pas de poursuites, mais le dossier reste ouvert. Selon les médias québécois, une nouvelle plainte a été déposée mercredi à Montréal pour une agression sexuelle qui aurait été commise dans un hôtel à Paris en 1994.

    Contacté jeudi, Gilbert Rozon n'a pas souhaité réagir. Il avait annoncé mercredi avoir démissionné de toutes ses fonctions, dont la direction de sa société. «Ébranlé par les allégations me concernant, je souhaite consacrer tout mon temps à faire le point», a-t-il écrit dans un communiqué, conclu par «A toutes celles et ceux que j'ai pu offenser au cours de ma vie, j'en suis sincèrement désolé.»

     

     

     

    «Dans le monde du show-business au Québec, tout le monde savait que Gilbert Rozon avait ce genre de pratiques, estime la journaliste canadienne Denise Bombardier, jointe jeudi. Le show-business l'a protégé comme l'Eglise catholique protège ses prêtres pédophiles.»

    Déjà en 1998, le producteur avait été poursuivi et avait plaidé coupable d'agression sexuelle sur une jeune femme de 19 ans. En appel, il avait obtenu une «absolution inconditionnelle» de sa peine. En clair : il n'a pas été blanchi mais sa condamnation ne figure pas à son casier judiciaire. Ce qui lui permet de voyager, aux Etats-Unis notamment. «J'ai été traumatisé de me retrouver menotté en public mais être humilié, ça te rend plus fort, nous déclarait-il en septembre lors de l'inauguration de son théâtre place d'Italie. Avec du recul, cela a été bon pour ma gueule car on a toujours trop d'ego, surtout dans le showbiz.»

    Jeudi, la société Juste pour rire affirmait «poursuivre tous ses projets en cours et futurs, au Québec com

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    me à l'international».

     
    Faits diversGilbert RozonQuébecFrance
  • Wanted, Marine Le Pen a disparu

    Invitée de L’Emission politique, Marine Le Pen n’a pas semblé plus assurée hier soir que lors de son débat raté de la présidentielle


    Marine Le Pen était l’invitée de L’Emission politique, hier soir. Elle était attendue puisque c’était sa première grande émission depuis le fameux débat du second tour de l’élection présidentielle. Mais plus encore, la première après le départ de son stratège Florian Philippot. C’est d’abord sur l’euro, point d’achoppement avec ce dernier, qu’elle a été interrogée par François Lenglet. C’est peu dire qu’elle n’a pas été plus convaincante que face à Emmanuel Macron.

    L’euro, monnaie gênante et trébuchante

    Cette fois, ce n’est pas la distinction entre monnaie unique et monnaie commune, insuffisamment maîtrisée, qui l’a fait trébucher, mais le nouveau calendrier du FN, faisant de la souveraineté monétaire un aboutissement et non plus un préalable, laissant même entendre qu’une sortie de l’euro n’était plus obligatoire si on arrivait à réformer la gestion de la monnaie. Marine Le Pen favorable à la perspective de « l’euro sympa », c’était effectivement nouveau, mais on n’y croyait guère, pas davantage qu’elle-même à ce moment-là, d’ailleurs. Marine Le Pen sait très bien, pour l’avoir dit elle-même pendant deux campagnes présidentielles, que la monnaie est d’abord un outil politique et que sa gestion constitue une arme pour faire plier ceux qui refusent de rentrer dans le rang. Qu’on en parle aux Grecs qui ont été menacés par Mario Draghi de voir leurs banques privées de liquidités au plus fort de la crise de 2015.

     

    À terme, la France doit-elle sortir de l'euro? "Nous allons voir", répond Marine Le Pen.  

     

     

    La présidente du FN a malgré tout lâché les véritables raisons de sa volte-face : les sondages et le marketing électoral, qu’elle a pourtant fustigés en fin d’émission, comme pour mieux se convaincre qu’elle n’y avait pas cédé elle-même.

    Tout est à refaire

    C’est ensuite Laurence Parisot qui est venu lui porter la contradiction sur le sujet du féminisme. C’est à ce moment-là que Marine Le Pen a été la plus à l’aise. Divine surprise pour la présidente du FN que cette invitée mystère : une ancienne présidente du Medef. Elle a ainsi pu développer la défense des petits et des sans-grades, au féminin. Un peu d’oxygène dans l’émission avant d’être confrontée à Gérald Darmanin qui lui a donné davantage de fil à retordre sur les questions fiscales.

    Marine Le Pen ne semble pas avoir retrouvé la confiance et la sûreté qui étaient sa marque de fabrique il y a encore quelques mois. Le débat face à Emmanuel Macron pèse toujours et elle en est convenue elle-même, hier soir. Sa crédibilité en a souffert, en souffre toujours. Elle en paraît d’autant plus consciente que ce débat a été le point de départ du processus qui l’a amenée à se séparer de celui qui fut son stratège depuis 2009, pour se retrouver aujourd’hui isolée idéologiquement dans le parti qu’elle préside, et qui l’amène à dire et faire le contraire de ce qu’elle disait et faisait jusqu’au 3 mai dernier, sur les questions économiques.

    Concurrents, un mot qui commence bien mal

    Il ne sera pas facile de remonter la pente dans ces conditions, d’autant que Laurent Wauquiez vient aujourd’hui lui faire de la concurrence sur les questions identitaires, et que Florian Philippot développe sa petite entreprise, qu’on aurait tort de mésestimer. Invité la veille chez Zemmour et Naulleau, il a fait preuve d’une efficacité d’autant plus grande qu’il est, au contraire de son ex-candidate, en total accord avec lui-même. S’il continue d’être considéré comme un bon client dans les médias audiovisuels, son nouveau parti pourrait se développer plus vite qu’on ne l’aurait cru. D’autant plus que la prochaine échéance électorale est européenne… Les divorces sont surprenants. C’est parfois celui dont on croit qu’il va souffrir le plus qui, contre toute attente, se libère, laissant l’autre bien plus malheureux que prévu.

    Retrouvez David Desgouilles sur son blog, Antidote

     

    CAUSEUR.fr

     

  • Le tribunal administratif de Marseille suspend l'annulation du spectacle de Dieudonné Jeudi 19/10/2017 à 19H03 Marseille

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    Le tribunal administratif de Marseille suspend l'annulation du spectacle de Dieudonné
     Marseille
     

    Le polémiste Dieudonné, le 20 mai 2017 au théâtre de la Main d'Or à Paris
     

    La Ville de Marseille, qui avait signé la location d'une salle de spectacle municipale avec Dieudonné puis annoncé qu'elle ne l'accueillerait pas, a été déboutée jeudi par le tribunal administratif de Marseille qui a suspendu l'annulation du spectacle. Dans une décision consultée par l'AFP, le tribunal administratif a jugé que "les allégations" de la mairie "concernant les risques de troubles à l'ordre public que provoqueraient la tenue du spectacle litigieux ne sont étayées par aucun élément précis".

     
     

    "Il est enjoint au maire de la commune de Marseille de respecter la convention de location de la salle du Dôme et de laisser s'y dérouler, le 19 novembre 2017, le spectacle de M. M'Bala M'Bala", a décidé le tribunal.

    De son côté, la Ville de Marseille a réagi via un communiqué et a "pris acte de la décision" tout en annonçant sa décision de "faire appel immédiatement devant le Conseil d'Etat".

    La Provence

  • JOURNAL TVL 19.10.17

  • Soros a transféré 18 milliards d'euros de sa fortune personnelle vers sa fondation Open Society 18 oct. 2017, 21:24

     

     
     

    Contesté notamment en Hongrie, mais aussi aux Etats-Unis, où il ne cache pas son activisme contre Donald Trump, l'homme d'affaires, dont l'ONG Open Society intervient dans la vie politique de nombre de pays, traverse une période difficile.

    A 87 ans passés, le milliardaire américain George Soros a transféré 18 milliards de dollars à sa fondation Open Society, soit l'essentiel de sa fortune. Un simple jeu d'écriture, toutefois, puisque l'argent passe de la Soros Fund Management, le fonds d'investissement qui gère les intérêts du milliardaire ainsi que ceux de l'Open Society Foundations (OSF), directement à cette dernière. Sur le papier, la quasi-totalité des avoirs de Georges Soros, moins un bas de laine estimé à 7 milliards d'euros, appartient désormais en propre à OSF, qui irrigue à son tour une pléthore d'associations. Ce qui en fait par ailleurs la seconde ONG la plus riche aux Etats-Unis après celle de Bill Gates et de son épouse, la Bill and Melinda Gates Foundation.

    Mesure de précaution ?

    Si l'âge venant, l'homme d'affaires d'origine hongroise, qui a fait fortune notamment en pariant contre la livre britannique en 1993, a possiblement pris ses dispositions face à l'inévitable, la généreuse donation de son vivant intervient alors que l'OSF traverse des temps difficiles. Montrée du doigt pour son rôle dans les révolutions dites de couleur, entretenant des relations troubles avec l'agence de développement international des Etats-Unis (USAID), la fondation est, entre autres, mise en cause en Hongrie. Budapest l'accuse notamment de promouvoir l'accueil de migrants dans l'Union européenne.

    En juin 2017, dénonçant l'ingérence dans la vie démocratique du pays d'origine de George Soros et de son réseau d'associations tentaculaire, le parlement hongrois votait une loi visant à renforcer le contrôle sur les ONG étrangères en Hongrie. Dans le collimateur de Budapest également, l'Université d'Europe centrale (CEU), financée par George Soros, accusée d'influencer les élites du pays, ainsi que le fonctionnement de ses institutions démocratiques. «Il soutient tout ce qui affaiblit la nation, tout ce qui modifie le mode de vie traditionnel européen», avait déclaré Viktor Orban dans une interview radiophonique accordée à la radio Kossuth en 2016.

     

    Ingérence de George Soros... aux Etats-Unis ?

    Mais l'OSF est également pointée du doigt aux Etats-Unis depuis l'élection de Donald Trump. Malgré le résultat des urnes, George Soros reste droit dans ses bottes, dans le camp des détracteurs du successeur de Barack Obama. Parmi les partenaires solidaires du mouvement «Women's march», qui avait rassemblé contre Donald Trump des millions de personnes dans la rue en janvier 2017, on trouve ainsi plusieurs ONG ayant reçu des fonds de l'OSF de George Soros, dont la célèbre Human Rights Watch.

    En mars 2017, des membres du Congrès américain écrivaient au secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson pour dénoncer les pratiques d'ingérence de la fondation de George Soros, pointant du doigt son activité d'agitation et de propagande en Macédoine, en vue, selon eux, d'un changement de régime. Les mêmes élus soupçonnent également George Soros d'avoir voulu influencer l'élection présidentielle américaine, puis d'avoir déclaré la guerre à Donald Trump, une fois ce dernier élu. En clair, de réunir les conditions d'une révolution colorée aux Etats-Unis-mêmes.

    Dernier embarras en date pour le milliardaire né en 1939, une pétition ouverte en septembre 2017 demande le classement de l'ONG de George Soros comme organisation terroriste a réuni à ce jour plus de 150 000 signatures. Le texte, s'appuyant sur le droit de pétition garanti par la Constitution américaine, appelle à saisir les biens du milliardaire.

    Lire aussi : George Soros accusé d'avoir voulu renverser le pouvoir en Guinée équatoriale

  • Gabriel, Louise, Mohamed... Quels seront les prénoms les plus donnés en France en 2018 ?

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    L''Officiel des prénoms", à paraître jeudi, répertorie près de 12 000 prénoms populaires en France.


    "L'Officiel des prénoms 2018" sera publié jeudi 19 octobre 2017. (KEVIN LIU / MOMENT RF)
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    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le 
    publié le 

    En manque d'inspiration ? Comme chaque année depuis quinze ans, L'Officiel des prénoms (ed. First) épluche en 600 pages, près de 12 000 prénoms populaires en France, détaille Europe 1. La version 2018 du guide paraîtra jeudi 19 octobre.

    Parmi les prénoms les plus prisés, les prénoms courts : Louise, Emma et Jade suivies de près par Chloé, Alice et Léa pour les filles. Chez les garçons, Gabriel, Raphaël et Jules figure sur le podium, suivis de Léo, Lucas et Adam.

    Pour établir son palmarès, Stéphanie Rapoport, l'auteur.e du livre, a croisé les données de l'Insee et les statistiques en provenance des grandes villes, note BFMTV.  Selon ce classement, les prénoms issus de l'Ancien testament sont de plus en plus en vogue : "Ce qui est intéressant avec les prénoms de l’Ancien testament, c’est que si Nathan, Raphaël sont très connus, Adam, par exemple, était rarement porté jusqu'ici et puis Eden, même chose, avant les années 2000, il n’y en avait quasiment pas dans les maternités", explique l'auteure à BFMTV. A noter, l'arrivée de deux prénoms dans le classement : Aaron et Mohamed.

  • Polémique en Allemagne : Susanne, étranglée à mort à Berlin par un demandeur d’asile en instance d’expulsion

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    RIP Suzanne

     

     

    20h48

    Le 5 septembre, Susanne F. a été assassinée à Berlin. Son meurtrier voulait lui voler 50 euros et un téléphone portable. L’auteur présumé est un jeune homme originaire de Tchétchénie âgé de 18 ans.

     

    C’est un demandeur d’asile débouté, le rapport de police soulève la question de savoir pourquoi il était encore en Allemagne et n’a pas été expulsé.

     

    À la une du très populaire quotidien allemand Bild d’aujourd’hui : « Étranglée parce que son meurtrier n’a pas été expulsé »

    Focus.de

    Merci à Stan le Lubrique

  • Balance ta truie !

    Dans le sillage de l’affaire Weinstein et après un appel sur Twitter, de nombreuses femmes victimes de harcèlement sexuel et même d’agression sexuelle ont décidé depuis vendredi de briser l’omerta et de témoigner.

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     Allez-y, Mesdames, c’est le moment ! Vous toutes, starlettes refoulées, actrices en mal d’engagement, vieilles gloires oubliées… Allez-y, balancez vous aussi votre « porc » et peut-être retrouverez-vous un instant de notoriété en racontant au monde cette scène horrible qui, à votre insu, vous hante depuis tant d’années et vient de resurgir grâce à ce gros dégueulasse d’Harvey Weinstein.

    Depuis huit jours, la liste s’allonge. Ainsi, l’oubliée Florence Darel qui réapparaît ce lundi pour raconter au Parisien avoir éconduit le producteur en 1994, et qui confie : « Je me rends compte que ça m’a beaucoup perturbée et que depuis deux nuits, j’ai plein d’autres souvenirs qui remontent que j’avais soigneusement enterrés. »

    C’est à qui en aura le plus à raconter, preuve qu’on est en plein bal des faux-culs, tout comme on le fut avec notre gloire internationale, le monsieur du FMI : Dominique Strauss-Kahn.

    L’affaire est entendue : les hommes de pouvoirs sont des cochons. Et les hommes de grand pouvoir de grands cochons. Et donc, une fois de plus, une fois encore, les femmes ne sont que d’innocentes victimes contraintes de devoir tout accepter pour pouvoir respirer sur cette basse terre.

    Foutaise.

    Pour autant que je sache, toutes les petites starlettes en herbe qui oscillent du cul sur les plages de Cannes, se précipitent chaque printemps aux partouzes des magnats d’Hollywood, prennent leur ticket dans la file d’attente devant la chambre à coucher des réalisateurs et des acteurs en vue, de même que les grandes dames du cinéma qui acceptent les rôles les plus avilissants ne le font pas avec un flingue dans le dos.

     

    Faut-il rappeler ce qui a valu la gloire à la jeune Léa Seydoux, dont la confession dans le Guardian a occupé les médias pendant trois jours ? C’est la Palme d’or, à Cannes, pour cette ode à l’homosexualité féminine (sorte de manuel pratique) qu’est La Vie d’Adèle, d’Abdellatif Kechiche. Une fois remportées la Palme d’or et la gloire qui va avec, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos, son amante à l’écran, ont dénoncé les agissements épouvantables du cinéaste : « La plupart des gens n’oseraient même pas demander ce qu’il nous demandait et témoignent davantage de respect. »

    Pourquoi ont-elles accepté ?

    Pourquoi tant de ces jeunes femmes démarrent-elles dans le porno ? Pourquoi celles qui sont déjà « arrivées » acceptent-elles des scènes de sexe cru, de perversions, de sado-masochisme, de mutilations, comme l’a fait Isabelle Huppert dans La Pianiste de Michael Haneke ? Ou pire, Charlotte Gainsbourg dans Nymphomaniac, de Lars von Trier, en 2013. Une Charlotte Gainsbourg qui se complaît dans des rôles malsains et dont le mari Yvan Attal a fait, sur un plateau de télé, cette étrange confidence : « C’est bon, elle m’a fait la totale. » Il ajoute que c’est « un drame », surtout que « c’est parfois terrible », pour leurs trois enfants. Non seulement il accepte – il en fait même l’objet de deux films : Ma femme est une actrice, puis Ma mère est une actrice ! –, mais il dédouane son épouse, en fait en quelque sorte une irresponsable : Charlotte « ne se rend pas compte » de l’impact que cela peut avoir dans une cour de récréation, dit-il, ajoutant « mais je comprends qu’elle aille tourner avec Lars von Trier quand même. Même pour faire ça (sic), c’est quand même un des plus grands metteurs en scène qui soit et, du coup, on ne peut pas reprocher à sa femme d’aller dans ses films. »

    Comment faut-il appeler cela ?

    Voilà donc ce qui justifie 5 h 30 de scènes sado-maso avec une Charlotte Gainsbourg. Allons-y pour le cliché ! Un film raccourci en deux fois deux heures pour « répondre à une problématique de durée tout d’abord mais également à un souci de censure car les scènes de sexe les plus explicites ont été enlevées ». Mais néanmoins montrées intégralement à la Berlinale, qui s’en est fait une gloire.

    Bref, tout ce beau monde du cinéma et des médias dansant aujourd’hui au bal des faux-culs, je suggère, pour en finir avec l’hypocrisie et le féminisme misérabiliste, qu’on lance #Balancetapétasse pour faire pendant à #Balancetonporc. Il me semble que l’égalité des sexes y gagnerait.

     

     Marie Delarue – Boulevard Voltaire

    NdB: Nous n'avons rien bien sûr contre les truies animales, qui défendent avec férocité leurs tout petits porcinets roses! Essayez de les approcher ! Ce sont d'excellentes mamans, et bien des mères humains devraient s'en inspirer!

  • JOURNAL TVL 17.10.17

  • A 88 ans, «Mamie nazie» condamnée à six mois de prison pour négationnisme par la justice allemande

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    © Paul Zinken Source: Reuters
    Ursula Haverbeck lors de son procès à Berlin
     

    Une des figures de proue du négationnisme allemand, Ursula Haverbeck, 88 ans, surnommée par la presse «Mamie nazie», a été condamnée le 16 octobre à six mois de prison ferme pour des propos niant l'Holocauste.

    Déjà condamnée à plusieurs reprises dans le passé pour des propos similaires, Ursula Haverbeck a été sanctionnée par un tribunal de Berlin pour avoir publiquement déclaré en janvier 2016, dans un restaurant de la capitale, que le génocide des juifs par les nazis n'avait jamais existé et qu'il n'y avait jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz. Elle avait aussi contesté que des millions de personnes y aient été exterminées.

    A la barre, Ursula Haverbeck a affirmé qu'elle n'avait fait que citer les extraits d'un livre. L'octogénaire, qui a immédiatement annoncé son intention de faire appel, avait été filmée en train de tenir ces propos.

    Ursula Haverbeck a déjà été condamnée à quatre reprises pour des propos similaires, notamment à 10 mois de prison ferme en 2015 pour avoir déclaré que l'Holocauste était «le plus grande mensonge» de l'Histoire.

    Elle ne s'est toutefois jamais retrouvée derrière les barreaux. Car, elle a systématiquement interjeté appel de toutes ses condamnations et aucune des procédures n'a atteint le stade de la condamnation irrévocable.

    En 2009, elle avait écopé d'une amende de 2 700 euros pour avoir menacé la présidente de l'époque du Conseil central des juifs d'Allemagne «d'un nouveau pogrom».

    Sur son site internet, Ursula Haverbeck se présente comme «une représente du révisionnisme historique» et se targue d'être une «combattante intrépide pour la vérité».

    Elle était l'épouse de Werner Georg Haverbeck, un militant d'extrême droite décédé en 1999 avec lequel elle avait fondé en 1963 à Vlotho le Collegium Humanum, présenté comme un établissement d'enseignement, mais réputé pour être un nid de négationnistes. Il a été interdit en 2008.

    Selon les travaux des historiens, quelque 1,1 million de personnes, dont un million de juifs, ont péri entre 1940 et 1945 dans le seul camp d'Auschwitz-Birkenau. Au total, six millions de juifs ont été exterminés par les nazis.

    Lire aussi : Chambres à gaz qualifiées de «détail» : amende de 30 000 euros confirmée pour Jean-Marie Le Pen

     

  • Pourquoi Harvey Weinstein ne fait pour l'instant l'objet d'aucune poursuite judiciaire

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    >Faits divers|C.Si. avec A.R.|17 octobre 2017, 16h54 | MAJ : 17 octobre 2017, 16h56|0

    L'actrice Meryl Streep a dénoncé le comportement «honteux» du producteur Harvey Weinstein.

     
     

    Véritable paria depuis la trentaine d’accusations d’harcèlement sexuel et de viols le concernant, le producteur américain est pour l'heure visé par deux enquêtes policières à Londres et New York.

    Depuis les premières révélations du New York Times le 5 octobre, Harvey Weinstein n’a plus rien du producteur omnipotent dictant sa loi sur les plateaux de cinéma et les tapis rouges du monde entier. Quitté par sa femmegommé des tablettes du septième artlicencié par sa propre maison de production, l’Américain a déjà commencé à payer le prix des accusations de harcèlement sexuel et de viol émises par une trentaine d’actrices et de mannequins. Du moins socialement et professionnellement. Car sur le plan judiciaire, l'homme de 65 ans ne fait, pour l'heure, l'objet d'aucune poursuite, ni d'aucune condamnation.

     


    Depuis le 12 octobre, le magnat est visé par deux enquêtes policières, l’une à New York, l’autre à Londres. Aucune plainte n'a été déposée. Or sans plainte, pas de poursuites possibles, ni d'interrogatoire obligatoire. Contrairement à la France où le parquet peut s'auto-saisir, «dans ce genre d’affaires, aux Etats-Unis, il faut nécessairement qu’au moins une victime porte plainte pour qu’un procureur se saisisse», fait remarquer au Parisien Me Arthur Dethomas, avocat aux barreaux de Paris et de New York.


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    Outre la crainte des représailles et le sentiment de honte, d'autres facteurs peuvent expliquer cette absence de plainte, comme les délais de prescription pour les accusations de viol. C'est le cas en Californie -la prescription de 10 ans a été supprimée en 2016 après le procès de Bill Cosby, sans rétroactivité possible- et même en France, concernée par le cas d'Asia Argento en 1997. Les accords de confidentialité grassement payés par le producteur peuvent également justifier ce silence.
     

    Le cas new-yorkais est le plus avancé

    Toutefois, il est tout de même possible pour «la police d'enquêter après des dénonciations et de faire des perquisitions», poursuit l’expert. C’est ainsi que deux enquêtes ont été ouvertes : les investigations de la police britannique, à Scotland Yard, concernent quatre agressions présumées. La première est survenue dans l'ouest de Londres à la fin des années 1980, les trois autres ont été commises à Westminster en 2010 et 2011, ainsi qu'à Camden en 2015. 

    Les enquêtes de la police new-yorkaise se cantonnent pour l'instant à l'agression sexuelle présumée de l'actrice Lucia Evans, remontant à 2004. Mais c’est sans doute de cette affaire que pourrait naître la saga judiciaire. Il n'existe en effet aucune durée de prescription pour les accusations de viol dans cet Etat. Selon le quotidien new-yorkais Daily News, la police locale cherche à prouver qu'Harvey Weinstein l'a forcée à lui faire une fellation. «Comme toujours, la police de New York encourage toute personne détentrice d'éventuelles informations à le faire savoir», a indiqué J. Peter Donald, porte-parole du New York Police Department Un appel relayé mardi par la police de Los Angeles. Il risque pour cette seule affaire jusqu’à 25 ans de prison. 


    «L'accusation pourrait se baser sur le témoignage de Lucie Evans pour démontrer qu'Harvey Weinstein avait un "modus operandi"», analyse dans le Guardian Corey Rayburn Yung, professeur de droit à l'Université du Kansas. «Il y a certainement eu des cas qui ont été jugés pour moins», précise-t-il.
     

    En vingt ans, une plainte et un classement sans suite

    Cependant, pas sûr que le procureur de New York, Cyrus Vance, ne se saisisse du dossier sans avoir à sa disposition des preuves matérielles irréfutables,comme une trace ADN. Ce qu'on appelle la «cause probable». En 2015, cet homme, déjà à l'origine de l'abandon des poursuites pénales à l'encontre de DSK dans l'affaire du Sofitel, avait classé sans suite la seule plainte recensée en vingt ans contre Harvey Weinstein. Ambra Battilana Gutierrez, une mannequin italienne alors âgée de 21 ans, avait pourtant réussi à enregistrer des aveux d’attouchement sexuel de la part du suspect, rappelle The New Yorker. En vain. Certains médias avaient alors pointé un don de 10 000 dollars réalisé par l'avocat de longue date du producteur, David Boies, pour la campagne de réélection du procureur. Mais celui-ci assure que cela n'a en aucun cas pesé sur sa décision.


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    «Je ne pense pas qu'il va se plier aux pressions politiques, ajoute au Guardian Lowell Sidney, un ancien procureur de New York. Même si ce que Weinstein a fait est déplorable, je ne pense pas qu'ils l’inculperont si ce n’est pas susceptible d'aboutir à une condamnation.» D'autant que le procès, s'il a lieu, est loin d'être gagné. Le producteur, qui affirme que les relations sexuelles publiquement révélées étaient consenties, s'est attaché les services d'un ténor du barreau, une diplômée d'Harvard ayant défendu des célébrités comme Mel Gibson ou Lindsay Lohan. A noter qu'en cas de procès, le producteur déchu aurait sans aucun doute les moyens financiers d'être mis en liberté sous caution.


    Quant à la bataille judiciaire au civil, se déroulant en l'absence d'un procureur, elle pourrait se traduire par des dommages et intérêts. Mais en aucun cas par de la prison. A l'image de DSK ayant conclu un accord financier avec Nafissatou Diallo à hauteur d'1,5 million de dollars. Peut-être le mécène a-t-il déjà songé à cette option, depuis le centre médical de l'Arizona, où il aurait entamé, selon TMZ, une thérapie contre la dépendance sexuelle.
     

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  • Marseille : les éboueurs lèvent le blocage pour négocier

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    Les rats s'amusent beaucoup...

     


    © Photo Henri Seurin

    La grève des éboueurs cessera-telle aujourd'hui ? Une levée du blocage a eu lieu en fin de matinée. Les grévistes seraient en cours de négociation avec la direction Derichebourg Propreté qui les emploie.

    Par Ghislaine Milliet 

    Après huit jours de grève chez les salariés de Derichebourg Propreté, cette journée de mardi va-t-elle marquer la fin du conflit social qui oppose les éboueurs à leur direction ?
    La société privée Derichebourg chargée du ramassage des ordures ménagères dans les 2ème, 15ème et 16ème arrondissements de Marseille, est en conflit ouvert depuis huit jours avec certains de ses salariés. 
    Ces derniers ont bloqué depuis mardi dernier les deux centres de transferts de Marseille, par lesquels transitent les déchets domestiques des 17 communes de la Métropole.
    Cette dernière a déposé jeudi un recours en référé auprès du tribunal administratif pour faire libérer les deux centres. 
    Après de nombreux échecs, les négociations entre les grévistes et la direction locale de Derichebourg pourraient être en bonne voie aujourd'hui. En tous cas, la levée du blocage prouve qu'il y a une avancée dans ces échanges.