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Blog - Page 1177

  • Merah : la bande sonore était placée sous scellés


     

     

    Par Stéphane Durand-Souffland Mis à jour le 09/07/2012 à 22:19 | publié le 09/07/2012 à 12:49
    L'enregistrement sonore n'est consultable qu'au palais de justice de Paris.

     

     

    Les conditions d'accès à cette pièce étaient drastiques pour les acteurs judiciaires.

    Qui a livré à TF1 l'enregistrement de Mohamed Merah, diffusé dimanche soir? Deux enquêtes, judiciaire et administrative, sont ouvertes pour identifier la source de la chaîne. Toutes deux ont été confiées à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la «police des polices», comme si les premiers soupçons portaient sur des fonctionnaires non identifiés.

    Il est vrai que les sources potentielles sont peu nombreuses. La bande sur laquelle sont conservés les échanges de Mohamed Merah, retranché en mars dernier dans son appartement toulousain, avec les hommes du Raid qui l'assiègent, est soumise à des conditions d'accès drastiques, de manière tout à fait exceptionnelle. Si une retranscription sur papier figure de longue date au dossier, le son originel, qui fait partie des pièces de la procédure, est soumis à un régime spécial. Des experts mandatés par les juges d'instruction ont achevé récemment leurs travaux sur cette bande. Et l'ont renvoyée aux magistrats du pôle antiterroriste parisien, qui œuvrent en co-saisine.

    Ceux-ci, en milieu de semaine dernière, ont informé les avocats concernés qu'aucune copie ne serait délivrée, justement pour empêcher la divulgation de cette pièce - placée sous scellés et consultable uniquement au palais de justice de la capitale - auprès du grand public. Une décision qui a fait l'unanimité, tant l'émotion suscitée par les tueries de Mohamed Merah reste vive. La fuite a donc sans doute eu lieu entre jeudi et dimanche, plus vraisemblablement avant le week-end. À noter que des copies ont circulé, pour les besoins de l'enquête, dans différents services de police, tels que la DCRI (renseignement intérieur) et la DCPJ (Direction centrale de la police judiciaire).

    Les parties civiles se sont immédiatement indignées de la diffusion de larges extraits audio par TF1, à l'instar de Me Patrick Klugman, conseil des familles des quatre victimes de l'école juive Ozar Hatorah, à Toulouse: «La parole de Mohamed Merah n'est rien d'autre que de la propagande. Il commente ses crimes, en fait l'apologie, professe son théorème salafiste et ment pour protéger on ne sait qui», commente Me Klugman.

    Le CSA choqué

    Indignation, aussi, d'avoir été mises devant le fait accompli: «TF1 aurait pu prendre la peine de nous prévenir et de présenter le document autrement, avec, par exemple, un grand témoin sur le plateau pour équilibrer l'émission», tempête Me Simon Cohen, l'un des pénalistes les plus renommés de Toulouse.

    La direction de la chaîne met en avant le droit et la liberté d'informer, soutenue en cela par la Société des journalistes. Mais le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) s'est dit «choqué», et la famille de l'une des victimes de Mohamed Merah entend faire diligenter des poursuites à l'égard de la chaîne, notamment pour «recel de violation du secret de l'instruction». Une procédure dont l'issue, de l'avis de plusieurs juristes, serait des plus aléatoires: «Ça se termine toujours en quenouille», soupire l'un d'eux, fataliste. «La liberté d'informer n'est pas en cause mais elle n'exonère pas de la réflexion sur l'opportunité de diffuser ce document audio, à ce moment, de cette manière», a déclaré de son côté le sénateur Assouline lors du point presse hebdomadaire du PS. Qui avait intérêt à rendre public le dialogue entre l'assassin de Toulouse et ceux qui allaient le tuer en tentant de l'interpeller? L'avocate algérienne du père de Mohamed Merah croit pouvoir dénoncer «une pièce de théâtre pour orienter l'opinion publique» alors qu'elle est censée produire, le 12 juillet, des preuves supposées de l'«assassinat» programmé du tueur antisémite, sous la forme de mystérieuses vidéos que personne d'autre qu'elle, jusqu'à présent, ne semble avoir visionnées.

     

    Le Figaro

  • Merah et les négociateurs

    Patientez un peu pour le téléchargment de cette vidéo sur Rutube: le résultat en vaut la peine

  • Des jeunes de six pays accueillis

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    L’association les Colis de la vie, qui vient en aide aux enfants du Blanc-Mesnil et à leurs familles, a vu les choses en grand pour ses 20 ans. Elle accueille ce week-end 46 enfants défavorisés du Liban, Madagascar, Sénégal, Haïti, Burkina Faso et Allemagne et les emmène pendant deux semaines avec 14 enfants de la ville en vacances dans l’Allier.

     
      Le but de ce séjour sous la tente : apprendre à mieux se connaître. Chaque jour, ils découvriront les coutumes et plats d’un pays.

    Le Parisien - 09/07/12

     

     

                         

  • AFGHANISTAN - L'exécution publique de Najiba, 22 ans, soupçonnée d'adultère

     

    NdB: Je choisis de publier cette vidéo précisément en raison de son  caractère extrêmement violent et particulièrement informatif !

  • La vidéo de l'exécution d’une jeune femme afghane suscite l'indignation

     

    Mis à jour à 17h51

    L'exécution filmée d'une jeune Afghane accusée d'adultère circule sur Internet. Les autorités ont lancé une chasse à l'homme pour en retrouver les auteurs.

    La vidéo (dont on voit ici une image de l'assassin) montre l'exécution sommaire d'une jeune femme.

    Image de la vidéo: l'exécuteur tire sur la jeune femme

    Une vidéo montrant l’exécution par balle d’une femme soupçonnée d’adultère dans un village à une centaine de kilomètres de Kaboul relance une nouvelle fois la polémique sur les avancées de la condition féminine en Afghanistan après dix années de présence internationale.

    La publication de cette vidéo intervient quelques heures après une importante réunion internationale à Tokyo des bailleurs de fonds de l’Afghanistan, qui ont pressé les autorités afghanes d’améliorer les droits de la femme en échange de l’octroi d’une aide de 16 milliards de dollars d’ici 2015.

    Les images de la vidéo sont évidemment horribles. Dans un petit village de la province de Parwan, qui touche celle de Kaboul, plusieurs dizaines d’hommes, assis par terre ou regroupés sur des toits de maisons à flanc de montagne, fixent la silhouette d’une femme recouverte d’un voile grisâtre, qui leur tourne le dos.

    L’accusée, assise sur ses talons, écoute son arrêt de mort, sans bouger ni chercher à s’enfuir. Tout juste se permet-elle de tourner fugitivement la tête en début de séquence.

    "Cette femme, fille de Sar Gul, soeur de Mostafa et épouse de Juma Khan, s’est enfuie avec Zemarai. Elle n’a pas été vue dans le village pendant environ un mois", énonce son vraisemblable juge, un homme portant une longue barbe noire, après avoir cité quelques versets du Coran condamnant l’adultère.

    "Dieu nous dit d’en terminer avec elle"

    "Mais heureusement, les moudjahidines l’ont attrapée. Nous ne pouvons lui pardonner", poursuit le juge taliban. "Dieu nous dit d’en terminer avec elle. Juma Khan, son mari, a le droit de la tuer". Une Kalachnikov est alors tendue à un homme vêtu de blanc qui se poste deux mètres derrière l’accusée.

    Aux cris d’"Allah akbar" (Dieu est grand), celui-ci tire deux premiers coups en direction de la femme qu’il manque. Une troisième balle la touche à la tête. La victime s’écroule. Ce qui n’empêche pas son bourreau de faire feu à encore dix reprises sur son cadavre.

    Dans la foule, uniquement composée d’hommes, certains enregistrent la scène sur leurs téléphones portables. D’autres demandent au tueur d’arrêter de s’acharner. D’autres ont le sourire aux lèvres. Des "Longue vie à l’islam" et autres "Longue vie aux moudjahidines" résonnent.

    Arrêtée par les talibans

    La version officielle est substantiellement différente. D’après Roshna Khalid, une porte-parole de la province de Parwan, Najiba, 22 ans, a été arrêtée par les talibans pour avoir eu des "relations" (extra-conjugales) avec un commandant taliban du district de Shiwari, dans la province de Parwan.

    "Il y a seize jours", les insurgés ont décidé "en moins d’un heure qu’elle était coupable et l’ont condamnée à mort. Ils l’ont abattue devant les habitants de son village", a raconté la porte-parole. La police et l’armée, mobilisées ailleurs, n’ont pu intervenir, selon elle.

    Les forces de sécurité préparent toutefois "une grande opération" dans le district "pour retrouver les coupables", a averti Roshna Khalid.

    Un acte "anti-islamique"

    Le ministère afghan de l’Intérieur a "fortement condamné" un acte "anti-islamique et inhumain" commis par "des tueurs professionnels".

    Des crimes odieux perpétrés contre des femmes sont rapportés chaque mois en Afghanistan, surtout dans les campagnes régies par les traditions. Selon l’ONG Oxfam, 87% des Afghanes affirment avoir subi des violences physiques, sexuelles ou psychologiques ou un mariage forcé.

    Dans les grandes villes, où l’influence de la coalition de l’Otan, présente depuis fin 2001, est sensible, des progrès sont palpables.

    Mais ils ne sont pas assez massifs, notamment en raison de la duplicité du gouvernement qui épouse la cause des femmes pour "continuer à recevoir" de l’aide internationale mais écoute "en pratique" "les demandes des éléments extrémistes", dénonce la société civile.

    Début mars, le président Hamid Karzaï a ainsi appuyé le Conseil des oulémas, la plus haute autorité religieuse, lorsque celui-ci a édicté que "l’homme est fondamental et la femme secondaire".

    Droits des femmes en danger

    Nombre d’ONG redoutent que les droits des femmes afghanes ne fassent les frais d’un éventuel futur retour au pouvoir des talibans, avec qui M. Karzaï et les Occidentaux tentent de négocier la paix.

    Dimanche, à Tokyo, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton avait lancé un vibrant plaidoyer pour les femmes d’Afghanistan.

    "Les Etats-Unis sont convaincus qu’aucune nation ne peut parvenir à la paix, la stabilité et la croissance économique si la moitié de sa population n’a pas de droits", a souligné la secrétaire d’Etat.

    Dimanche soir, le chef de la diplomatie britannique William Hague a déclaré qu’il était "choqué et dégoûté" par les informations publiées sur cette exécution.

    "Des actions aussi déplorables que celle-ci soulignent le besoin vital pour une meilleure protection des droits des femmes et des filles en Afghanistan", a-t-il déclaré dans un communiqué.

    NDLR: Nous choisissons délibérément de ne pas diffuser cette vidéo sur notre site d'information en raison de son caractère violent et non-informatif. (ats/Newsnet)

    Créé: 09.07.2012, 13h16

    Tribune de Genève

  • FN à l'Assemblée : un "rôle d’information et d’agitation constructive"

     

    Dans Présent, Marion Maréchal Le Pen, plus jeune député, déclare :

    "Je n’avais jamais idéalisé cette fonction mais je dois dire que je suis restée perplexe. J’ai vu une assemblée qui est vraiment dans un drôle d’état. Il y a déjà un taux d’absentéisme énorme et une frappante indiscipline. Lors des débats sur le Conseil européen, le Front de Gauche, l’UMP et le PS ont dit la même chose. J’ai assisté à la répétition du même point de vue. L’UMP est d’accord sur le fond avec l’extrême gauche de Mélenchon et le Parti socialiste de Hollande et donne vraiment l’impression d’être obligée de critiquer pour la forme. Quant aux socialistes, ils clament intervention après intervention qu’il n’y aura pas de rigueur dans le même temps qu’ils sont à la manœuvre pour l’imposer très durement.

    [...] Nous sommes 8 non-inscrits et notre temps de parole pour les questions au gouvernement est de 5 minutes chacun. Mais nos discours devraient être davantage observés, scrutés et peut-être répercutés que ceux des autres. Au quotidien, c’est surtout le droit d’amendement, garanti par la Constitution, qui pourra nous permettre de nous faire entendre dans l’hémicycle et dans les médias. Si nous déposons un amendement sur chacun des articles d’un projet de loi, nous aurons droit à un temps de parole à chaque fois pour le défendre.

    Et puis il y a la salle des Quatre Colonnes. Nous serons des piliers des lieux. Ce sera notre rendez-vous avec les Français. Après chaque séance, nous avons l’intention de parler : « Regardez ce qui se passe, regardez-les, regardez les connivences, qui a voté quoi, attention à ce qui se prépare. » Nous représentons les « orphelins de la démocratie », les 3 528 000 électeurs du FN aux législatives et les quelque six millions d’électeurs de Marine Le Pen à la présidentielle, nous aurons un rôle d’information et d’agitation constructive. [...]

    Le rapprochement avec Jacques Bompard est-il d’actualité ?

    Il faut être raisonnable. Nous sommes déjà à côté dans l’hémicycle… Et très proches pour le reste ! On ne pourra pas faire l’impasse sur une collaboration. [...] Il y a quelque chose à jouer dans le Sud de la France. Là-bas les principaux partis politiques sont le Front national, la Ligue du sud et la Droite populaire. Et les électeurs là-bas réclament l’union des droites. Le clivage politique est quasiment inexistant. Les lignes bougent. De jeunes UMP sont venus militer pour moi. S’il y a une reconquête politique de la droite française, elle partira du Sud."

    Michel Janva

     

    Le Salon Beige - 09/07/12

  • "Maurice Bardèche" de Francis Bergeron

    Le : 09 Juillet 2012

     


    Après avoir écrit pour la même collection la biographie condensée d’Henri Béraud, de Léon Daudet, de Henry de Monfreid, de Hergé et de Saint-Loup, Francis Bergeron évoque cette fois-ci la vie d’une personne qu’il a bien connue : Maurice Bardèche.

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    On sait que Bardèche fut l’exemple-type de la méritocratie républicaine hexagonale. Ce natif d’un village du Cher en 1907 montra très tôt de belles dispositions intellectuelles pour l’étude et la littérature. Excellent élève, ce boursier se retrouve à l’École normale supérieure (E.N.S.) où il allait côtoyer une équipe malicieuse constituée de José Lupin, de Jacques Talagrand (le futur Thierry Maulnier) et de Robert Brasillach, l’indéfectible ami. « Brasillach lui fait du thé, lui offre des gâteaux catalans. Mais la culture littéraire de Brasillach date un peu; Bardèche lui fait découvrir à son tour Proust, alors qu’il vient d’obtenir le prix Goncourt, Barrès, dont les funérailles nationales datent tout juste de deux ans, et Claudel, ancien de Louis-le-Grand, dont l’œuvre est déjà reconnue (p. 16). »

    À l’E.N.S., Maulnier et Brasillach commencent à publier dans la presse tandis que « Bardèche […] se destine réellement à l’enseignement supérieur, et […] voit son avenir dans l’approfondissement de la connaissance des grands textes et des grands auteurs (p. 20) ». À côté de sa passion littéraire, Maurice Bardèche éprouve de tendres sentiments pour la sœur de son ami Robert, Suzanne Brasillach. Ils se marient en juillet 1934 et partent en voyage de noce pour l’Espagne en compagnie de Robert qui vivra avec eux jusqu’en 1944 ! Francis Bergeron raconte qu’au cours de ce voyage, Maurice Bardèche faillit mourir dans un accident de la route. Bardèche fut trépané et conserva sur le front un « enfoncement dans le crâne (p. 26) ».

    On ne va pas paraphraser cet ouvrage sur le talentueux parcours universitaire de Bardèche qui suscita tant d’aigreurs et de jalousie. Sous l’Occupation, si Robert Brasillach travaille à Je suis partout, Bardèche préfère se tenir à l’écart des événements et se dévoue à Stendhal et à Balzac. Or le mois de septembre 1944 marque un tournant majeur dans la destinée du jeune professeur : il est arrêté, puis emprisonné. Il voit ensuite son cher beau-frère jugé, condamné à mort et exécuté le 6 février 1945. Dorénavant, « la vie et, plus encore, peut-être, le martyre et la mort de Robert [vont] occup[er] une place centrale tout au long de l’existence de Maurice (p. 43) ». Guère attiré jusque-là par la politique, Maurice Bardèche s’y investit pleinement et va produire une œuvre remarquable, de La lettre à François Mauriac (1947) à Sparte et les Sudistes (1969). En outre, afin de publier les œuvres complètes de Robert Brasillach, il fonde une maison d’édition courageuse et déjà dissidente, Les Sept Couleurs.

    Le respectable spécialiste de littérature du XIXe siècle se mue en fasciste, terme qu’il endosse et qu’il revendique d’ailleurs fièrement dans Qu’est-ce que le fascisme ? (1961). Dès la fin des années 1940, il se met en relation avec d’autres réprouvés européens dont les militants du jeune M.S.I. (Mouvement social italien). En 1952, il participe au célèbre congrès de Malmö qui lance le Mouvement social européen dont le bulletin francophone est Défense de l’Occident (titre ô combien malvenu, car les positions qui y sont défendues ne rappellent pas l’occidentalisme délirant d’Henri Massis – il faut comprendre « Occident » au sens d’« Europe » et de « civilisation albo-européenne pluricontinentale »). Sorti en décembre 1952, ce titre est dirigé par Bardèche. Si le M.S.E. s’étiole rapidement, miné par des divergences internes et des scissions, Défense de l’Occident devient une revue qui accueille aussi bien les nationaux que les nationalistes, les nationalistes-révolutionnaires que les traditionalistes. La revue disparaîtra en novembre 1982. Francis Bergeron n’en cache pas l’ensemble inégal du fait, peut-être, d’une forte hétérogénéité thématique visible à la lecture de ses nombreux collaborateurs. Par fascisme, Bardèche soutient une troisième voie hostile au capitalisme et au socialisme. Mais son fascisme, anhistorique et éthéré, cadre mal avec les réalités historiques du fascisme. Dès 1963 dans L’Esprit public, Jean Mabire rédigeait un article roboratif intitulé « L’impasse fasciste » repris successivement dans L’écrivain, la politique et l’espérance (1966), puis dans La torche et le glaive (1994). Au-delà des blessures vives de la Seconde Guerre mondiale, « Maît’Jean » esquissait de nouvelles perspectives européennes et authentiquement révolutionnaires.

    Déjà marqué par son fascisme assumé, Maurice Bardèche accepte d’être un paria de l’histoire parce qu’il ose un avis révisionniste (*) sur les événements contemporains. « Ses exercices de “ lecture à l’envers de l’histoire ”, comme il les appelle lui-même, font partie des points les plus détonants de son discours. Ils démontrent son courage tranquille, et ne peuvent que susciter l’admiration. Sur le fond, il y aurait certes beaucoup à dire, explique Bergeron. De toute façon, comme l’a rappelé Bardèche lui-même à Apostrophe, on ne peut plus s’exprimer librement sur ces questions (p. 87). » Saluons toutefois sa clairvoyance au sujet de la mise en place d’une justice internationale mondialiste. Déjà prévue dans l’abjecte traité de Versailles de 1919, cette pseudo-justice planétaire se réalise à Nuremberg et à Tokyo avant de réapparaître dans les décennies 1990 et 2000 à La Haye pour l’ex-Yougoslavie, à Arusha pour le Rwanda et avec l’ignominieuse Cour pénale internationale qui veut limiter la souveraineté des États.

    Tout en étant fasciste et après avoir prévenu en 1958 le camp national du recours dangereux à De Gaulle, Maurice Bardèche n’hésite pas à vanter le caractère fascisant des régimes de Nasser et de Castro, et à faire preuve dans Défense de l’Occident d’une grande lucidité géopolitique. « Bardèche […] faisait bouger les lignes de la vision géopolitique de son camp (p. 67). » Cet anti-sioniste déterminé encourage le panarabisme et, dès l’automne 1962, appelle les activistes de l’Algérie française à délaisser leur nostalgie et à relever le défi de la nouvelle donne géopolitique. Il est l’un des rares à cette époque à prôner une entente euro-musulmane contre le condominium de Yalta.

    C’est sur la question européenne que Maurice Bardèche a conservé toute sa pertinence. Quand on lit L’œuf de Christophe Colomb (1952) ou Sparte et les Sudistes, on se régale de ses fines analyses. Bardèche réfléchissait en nationaliste français et européen. À la fin de l’opuscule, avant l’habituelle étude astrologique de Marin de Charette et après les annexes biographiques, bibliographiques, de commentaires sur Bardèche et de quelques-unes de ses citations les plus marquantes, Francis Bergeron reproduit l’entretien que lui accorda Bardèche dans Rivarol du 5 avril 1979 (avec les parties supprimées ou modifiées par Bardèche lui-même). Cet entretien est lumineux ! « Devons-nous accepter […] de ne pas nous défendre contre la concurrence sauvage, déclare Bardèche, accepter le chômage, le démantèlement d’une partie de notre industrie, la dépendance à laquelle nous risquons d’être contraints ? » On croirait entendre un candidat à l’Élysée de 2012… Le sagace penseur de la rue Rataud estime que « l’Europe qu’on nous prépare ne sera qu’un bastion avancé d’un empire économique occidental dont les États-Unis seront le centre »… Il prévient qu’« il ne faut pas que l’Europe ne soit que le cadre agrandi de notre impuissance et de notre décadence », ce qu’elle est désormais. Il importe néanmoins de ne pas rejeter l’indispensable idée européenne comme le font les souverainistes nationaux. L’Europe demeure plus que jamais notre grande patrie civilisationnelle, identitaire et géopolitique. « L’Europe indépendante constitue un idéal ou plutôt un objectif », juge Bardèche avant d’ajouter, prophétique, que « la crise économique peut nous aider à la faire plus vite qu’on ne le croit ».

    Ce nouveau « Qui suis-je ? » est bienvenu pour découvrir aux plus jeunes des nôtres l’immense figure de ce fidèle Européen de France, ce magnifique résistant au politiquement correct !

    Georges Feltin-Tracol
    Europe Maxima
    20 mai 2012

    Titre original : Maurice Bardèche, Européen fidèle

    Note de la rédaction :

    (*) A deux reprises, Maurice Bardèche a connu la prison. Une première fois, dans la folle répression de la Libération, il fut arrêté le 1re septembre 1944, pour fait de collaboration – en réalité pour l’unique raison de sa proche parenté avec Robert Brasillach – et libéré le 29 avril 1945. Une seconde fois, deux livres, Nuremberg ou la Terre promise (1948) et Nuremberg II ou les Faux monnayeurs (1950), lui valurent un an de prison ferme et une amende de cinquante mille francs pour apologie de crime de guerre (la loi Gayssot n'existait pas encore) : incarcéré le 30 juin 1954, il a été gracié le 14 juillet suivant par le président René Coty et libéré immédiatement.

    Francis Bergeron, Bardèche, Pardès, coll. « Qui suis-je ? », (44, rue Wilson, 77880 Grez-sur-Loing), 2012, 123 p., 12 €.

    Correspondance Polémia : 9/07/2012

    Image : 1re de couverture

  • La liste des prénoms pour avoir mention "Très Bien" au bac 2012 !

    La probabilité d'obtenir son bac avec mention «Très Bien» (TB) est-elle inscrite dans le prénom du candidat? Depuis quelques années, le sociologue Baptiste Coulmont, auteur d'une Sociologie des prénoms (La Découverte, 2011), étudie les liens entre le prénom et la fréquence des mentions TB au bac, et propose sur son blog les résultats de ses découvertes.

    Pour le bac 2012, Baptiste Coulmont a aspiré la publication des résultats nominatifs de 340.000 élèves, disposant ainsi d'un super-échantillon -même si, comme il le rappelle, comme il faut donner l'autorisation pour que son résultat soit publié, ce qui fait que tous les noms ne sont pas publics, ce qui peut induire un biais.

    Quels sont donc les prénoms de premier(e) de la classe? 25% des Madeleine, Irène, Côme et Ariane qui ont passé le bac ont reçu mention «très bien», note le chercheur. Viennent ensuite les Marie-Anne, Anne-Claire et Gaspard (20% de mentions TB) puis les Violette, Apolline, Iris, Béatrice, Judith, Domitille, Hortense, Fleur, Daphné, Noë, Lara, Henri, Adèle, Rose, Augustin, Astrid et Eléonore (15% de mentions TB).

    A l'autre bout du spectre des prénoms, aucun élève parmi la centaine de Youssef et de Nabil de l'échantillon n'obtient la mention TB. «Seules une ou deux Sandy, Alison ou Sofiane décrochent la mention TB, poursuit Baptiste Coulmont. 4 Christopher (sur 300) et 5 Mohamed (sur 400). 8 Cassandra et 8 Sabrina sur 470. Plus d'un tiers des 140 Yacine et Linda devront passer les épreuves de rattrapage.»

    On sait que les prénoms d'origine anglo-saxonne, diffusés par la culture des séries télé américaines, ont été très populaires parmi les milieux sociaux moins diplômés, ouvriers et employés. L'étude des associations entre prénoms et résultat est donc un moyen détourné de repérer la relation entre le niveau de diplôme des parents et la réussite scolaire des enfants...

    Pour les prénoms d'origine maghrébine Youssef, Nabil, Mohamed, c'est là encore (...) Lire la suite sur Slate.fr

     

    Yahoo!Actualités - 09/07/12


     

  • Paris : les braqueurs tirent sur les bijoutiers

     

     

    Stéphane Sellami | Publié le 08.07.2012, 16h12

    Quatre hommes se sont attaqués samedi à cette bijouterie du XIe arrondissement de Paris.

    Quatre hommes se sont attaqués samedi à cette bijouterie du XIe arrondissement de Paris. | Capture d'écran Google streetview

     

    Un , particulièrement violent, a eu lieu, ce samedi 7 juillet, dans une bijouterie de la rue Oberkampf dans le XIe arrondissement à . Vers 10 h 30, quatre hommes, le visage dissimulé sous des casques de moto, et gantés ont fait irruption dans le commerce avant de s’attaquer aux vitrines contenant les bijoux. Le gérant des lieux et un membre de sa famille ont tenté de s’interposer avant d’être frappés au visage et aspergés de gaz lacrymogène.

     
     

    Un témoin de la scène a tenté de porter secours aux victimes. Un des malfaiteurs a alors pointé une arme de poing dans sa direction avant d’appuyer sur la détente. L’homme visé n’a pas été touché. Au de la rixe, deux autres coups de feu ont été tirés. Les malfrats ont réussi à prendre la fuite après avoir réussi à dérober des bijoux. Les deux bijoutiers agressés ont été conduits à l’hôpital Saint-Louis dans le Xe arrondissement avant de regagner leur domicile. Les investigations ont été confiées aux enquêteurs du 2e district de police judiciaire (DPJ).

     

    Le Parisien

  • Il y a cinquante ans : l’assassinat sordide de Roger Degueldre

     

    par la République, version De Gaulle.

    Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :

    « Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –

    C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
    Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !
    »

    Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
    Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
    « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur. Puis il refusa qu’on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.
    Les soldats qui devaient l’exécuter, émus par son courage, hésitèrent à tirer. La première salve le blessa seulement : Une seule balle l’atteignit sur les douze qui furent tirées : au ventre dirent certains… au bras affirmèrent d’autres.
    Quoiqu’il en soit, le fait certain c’est que Degueldre ne fut pas atteint de manière décisive.

    L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipita, l’arme à la main, pour accomplir sa sinistre besogne et se rendit compte que le condamné était toujours en vie. Sa tâche ne consistait désormais plus à achever un quasi-mort censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes… Il en eut si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission trembla, et que le revolver se déchargea dans le vide.

    Parmi l’assistance, c’était la stupéfaction. Cette situation eut pour effet d’agacer le procureur qui, réveillé un peu tard, n’avait pas eu le temps de prendre son petit déjeuner. Et son estomac gargouillait. Mécontent, il fit signe à l’adjudant de se dépêcher. Pensant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé souffrait. Les coups de feu résonnaient encore à ses oreilles et il se demandait quand son calvaire prendrait fin.

    L’adjudant, toujours tremblant, pointa une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferma les yeux et appuya sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produisit. L’arme s’était enrayé. Une rumeur monta de l’assistance. Degueldre tourna la tête vers son exécuteur comme pour l’interroger. Aucune haine dans son regard… juste de l’incompréhension.
    Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur ordonna qu’une nouvelle arme soit amenée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possédaient. Il fallait courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre était toujours vivant… et il souffrait.

    A partir de ce moment là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels; Il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les Etats Majors, le FLN et l’Elysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.

    Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce qu condamné. Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée. Mais non, l’avocat demeurait prostré, sans voix, mort… alors que Degueldre, lui, était vivant et qu’il le regardait.

    Enfin on remit un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, écoeuré par cette boucherie… mais servile au commandement de tuer, devait en finir puisque tels étaient les ordres et que le défenseur du condamné qui, seul avait qualité pour tenter quelque chose, se taisait.

    Un nouveau coup de feu claqua. Stupeur ! Celui-ci fut tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradia le corps du supplicié. Il regarda vers le ciel et ouvrit grand ses yeux. Peut-être perçut-il à cet instant que son calvaire prenait fin. Il était tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui sembla entendre, là haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ».

    Puis une nouvelle détonation retentit… et ce fut la fin.

    C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Etranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien. Et nous nous devons de ne jamais oublier son ultime message adressé au petit peuple d’Algérie : « Si je ne suis pas de leur race, ni né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours ! »

    Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton.

    Décidément, le crime était profondément enraciné !…

    Contre-info.com

     

    (merci à babotchka)

     

     

  • Milan : la mairie dépense 140.000 euros pour la prière musulmane

     

    Milan : la mairie dépense 140.000 euros pour la prière musulmane
    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir) 
     
     

    08/07/2012 — 15h10
    MILAN (NOVOpress) —
    Il pleut sur les Raphaëls du musée de Milan, faute d’argent pour réparer le toit. Mais la municipalité de gauche vient de dépenser 140.000 euros pour assurer le confort des musulmans pendant le Ramadan (cette année du 20 juillet au 19 août).

    Sur la requête du préfet (aux ordres du gouvernement Monti), la mairie de Milan a acheté deux chapiteaux, situés devant le palais des sports Palasharp, au profit de l’« Institut culturel islamique de Milan ». Les chapiteaux sont dotés d’un plancher et d’un système d’éclairage. Il s’agit, explique l’adjoint à la Sécurité et à la cohésion sociale, « de garantir au Centre islamique la continuité de l’utilisation de ces espaces pour la prière ». La décision est « en outre économiquement avantageuse », puisque le prix d’achat de 140.000 euros ne correspond qu’à neuf mois de location – et que la location, on en a confirmation au passage, était jusqu’ici payée par la mairie. Le Centre islamique pourra ainsi continuer à utiliser les chapiteaux après le Ramadan, pour la prière du vendredi. La gestion sera assurée par la Protection civile de la ville.

    Un reportage très complaisant avait été diffusé par la télévision régionale, à l’automne dernier, sur ces prières musulmanes devant le Palasharp. Deux journalistes italiens, un homme et une femme, ostensiblement voilée de vert pour l’occasion. Le journaliste masculin avait quand même interrogé le porte-parole du Centre islamique sur la ségrégation des femmes. Réponse : « L’homme a un devoir pendant la prière mais les femmes ont d’autres obligations, par exemple d’allaiter leurs enfants ». Quand, pour prouver que l’Islam est pacifique, le musulman donne en modèle la coexistence entre musulmans et chrétiens en Égypte, le journaliste ne bronche pas. Les images, en tout cas, sont parlantes.

    La nouvelle majorité de gauche avait célébré sa conquête historique de la mairie de Milan, l’année dernière, en clamant : « Nous embrassons nos frères Roms et musulmans ». À ces déclarations d’amour-là, la gauche est toujours fidèle.

    Crédit image : copie d’écran de Panorama.it.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
  • Un référendum sur le droit de vote des étrangers !

    08/07/2012 — 18h30
    PARIS (NOVOpress) —
    Le Bloc Identitaire réclame un référendum sur le droit de vote des étrangers et une pétition “Droit de vote des étrangers : nous voulons que le peuple s’exprime !” est lancée pour l’obtenir.

    Dans ses motifs le Bloc explique :

    La gauche a gagné les élections législatives. Mais elle a perdu la bataille du droit de vote des étrangers. En effet, elle ne dispose pas au Parlement des 3/5ème d’élus nécessaires au vote d’une réforme de la Constitution, préalable à une loi sur ce sujet.

    Le Bloc Identitaire s’en félicite. Pour autant, le débat ne doit pas être esquivé. Le peuple doit pouvoir s’exprimer. Il faut interdire à l’avenir à la gauche, par un vote clair et net, de continuer à entretenir un doute malsain sur ce sujet.

    Le vote des étrangers aux élections locales était clairement défendu dans le projet du candidat Hollande. Le président Hollande et son gouvernement avaient affirmé qu’ils le réaliseraient rapidement. Depuis des mois, les socialistes et leurs alliés (politiques ou médiatiques) nous ont expliqué que les Français y étaient favorables.

    Nous pensons pour notre part l’inverse. Comme nous, la majorité des Français sont encore attachés au lien entre nationalité et citoyenneté. Un lien fondamental, que la gauche voudrait détruire après avoir déjà brisé celui entre identité et nationalité.
    […]

    La pétition se trouve ici.
    Elle sera remise à Jean-Marc Ayrault (Premier ministre), François Hollande (Président de la République), Claude Bartolone (Président de l’Assemblée nationale), Jean-Pierre Bel (Président du Sénat).

    Et la pétition de conclure : “Ensemble, mettons les socialistes face à leurs contradictions. Forçons-les à consulter le peuple, notre peuple ! Ensemble, exigeons un référendum pour dire définitivement NON au droit de vote pour les étrangers ! Avant que ce soit les étrangers naturalisés par nos gouvernements successifs qui en décident…”

     

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  • Des extraits audio de Mohamed Merah avec la police dévoilés [audio]

     

    Merah
     
     
     

    08/07/2012 — 23h45
    PARIS (NOVOpress) —
    Ce dimanche 8 juillet, pour la première fois, ont été diffusés des extraits audio des négociations entre Mohamed Merah et les hommes du Raid pendant le siège de son appartement en mars dernier à Toulouse.

    C’est TF1 qui a présenté ces extraits dans son émission Sept à Huit. La chaîne assure détenir quatre heures et demie d’enregistrement des négociations.

    De ce que l’on entend on peut penser que Merah était un bon islamiste, intelligent et cohérent avec la doctrine du djihad.

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
  • Mohamed Merah: " La mort, je l'aime comme vous aimez la vie"


    Mohamed Merah: "La mort, je l'aime comme vous... par lefigaro

    Extrait de "Sept à Huit" diffusé dimanche 8 juillet sur TF1

  • La Russie entre colère et polémiques après les crues meurtrières

         

    Une habitante sinistrée à Krymsk, dans la région de Krasnodar, le 8 juillet 2012.
    Une habitante sinistrée à Krymsk, dans la région de Krasnodar, le 8 juillet 2012.
    Reuters/Eduard Korniyenko
    Par RFI

    En Russie, l'heure est aux questions, ce dimanche 8 juillet, après les violentes crues survenues dans la nuit de vendredi à samedi et qui ont fait au moins 160 morts dans le sud-ouest du pays. De nombreux habitants affirment ne pas avoir été prévenus avant le déferlement de la crue qui les a surpris dans leur sommeil. Le président Vladimir Poutine a rendu visite aux sinistrés. Il a promis des aides financières pour les maisons détruites et des indemnisations pour chaque famille de victime. Ce lundi 9 juillet sera un jour de deuil national en Russie.

     

    Avec notre correspondante à Moscou, Veronika Dorman

    Les autorités de Krasnodar avaient été averties quelques heures avant la catastrophe que les pluies torrentielles risquaient de faire déborder les cours d’eau dans la région. C’est ce qu’a déclaré le gouverneur Alexandre Tkatchev aux habitants de Krymsk, ville qui a le plus souffert des inondations, avec au moins 160 morts, selon les données officielles. « Vous pensez qu’on aurait pu aller prévenir chacun individuellement ? Et que vous auriez abandonné vos maisons ? », a demandé Tkatchev.

    Les habitants clament qu’ils n’ont entendu ni reçu aucune alerte. Krymsk a été saccagée vendredi dans la nuit par une vague de sept mètres, racontent les témoins. La plupart des riverains, très remontés, soupçonnent les autorités d’avoir délesté un lac artificiel situé en amont. C’est aussi la version diffusée massivement par la blogosphère et certains médias indépendants, mais démentie par les autorités.

    Le président Vladimir Poutine, qui s’est rendu sur place samedi soir, a fait subir un interrogatoire au chef du district de Krymsk sur la manière dont les habitants ont été prévenus du danger imminent. Une enquête a été ouverte pour homicides par imprudence.

    Après avoir promis des indemnités et aides financières à toutes les victimes, Vladimir Poutine a décrété un jour de deuil national pour le lundi 9 juillet.

  • La France donnera 230 millions d'euros à l'Afghanistan

    sans-titre.png fabius.png

    La France va fournir 230 millions d’euros d’aide au développement à l’Afghanistan entre 2012 et 2016, afin d’aider ce pays ravagé par la guerre à faire sa transition vers une « économie de paix », a annoncé dimanche le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius.

     

    Source : Le Point, merci à Chris

     

    Défrancisation - 08/07/12

  • France: profanation de 40 tombes de soldats allemands dans les Ardennes

     Vue du cimetière de Sedan dans les Ardennes où demeure une nécropole allemande

     

    Mis en ligne le 08/07/2012 à 01h51

    Quarante tombes de soldats allemands de la Première Guerre mondiale ont été profanées dans un cimetière militaire à Saint-Etienne-à-Arnes dans les Ardennes (nord de la France), a annoncé samedi soir le ministère français de l'Intérieur

    . Ces profanations interviennent alors que la France et l'Allemagne célèbrent ce week-end le cinquantenaire de leur réconciliation avec en point d'orgue une rencontre dimanche entre Angela Merkel et François Hollande à Reims, à peine une quarantaine de kilomètres à l'ouest des lieux de la profanation. Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls "condamne fermement", dans un communiqué, "la profanation de quarante tombes de soldats allemands de la Première Guerre mondiale dans un cimetière militaire à Saint-Etienne-à-Arnes dans les Ardennes". "Une enquête est en cours et tous les moyens seront mis en oeuvre pour retrouver les responsables de ces dégradations insupportables", indique le ministère.

      Selon les premiers éléments de l'enquête, quelque 40 stèles ont été arrachées et certaines utilisées pour un feu de camp. L'alerte a été donnée samedi en fin d'après-midi aux gendarmes par la mairie de ce petit village, a expliqué une source proche de l'enquête.

      "A la veille de la grande cérémonie du cinquantenaire de réconciliation franco-allemande qui se déroulera à Reims en présence de la chancelière allemande et du président de la République, ces actes sont totalement intolérables", s'indigne l'Intérieur. Dimanche, une gerbe de fleurs sera déposée sur les lieux de la profanation afin de "marquer l'attachement indéfectible de la République à l'amitié franco-allemande", indique le ministère.

    (TIP)

    © BELGA
    PARIS 08/07 (BELGA/AG)

  • Adresse aux femmes voilées : en France, merci de respecter nos traditions vestimentaires

     

    Au Qatar, les femmes étrangères sont priées de respecter les coutumes vestimentaires locales, comme en témoigne cette affiche :
    « Si vous êtes dans ce pays, vous êtes l’une de nous. Alors… au Qatar, genoux et épaules doivent être couverts« .


    On ne sera pas étonnés de savoir que ce sont des femmes Qataris qui ont pris l’initiative de cette campagne. Comme pour l’excision, où ce sont les mères elles-mêmes qui sont les plus impitoyables pour que soit imposée à leurs propres filles la mutilation leur permettant, croient-elles, d’être acceptées et intégrées dans la communauté, avec le même destin qu’elles : épouse fidèle et soumise et mère, point barre.
    Au Qatar, bien évidemment, on devine la haine que doivent générer nos belles dépoitraillées en short ou mini-jupes. Haine associée à de la frustration, de la jalousie et à l’envie irrépressible de faire rentrer dans le rang les fauteuses de trouble.
    J’ignore comment les autorités qataries accueilleront cette campagne. Gageons qu’elles ne voudront pas mettre mal à l’aise leurs expatriées qui leur servent de caution pour leurs échanges avec le monde occidental et notamment la France que le Qatar est en train d’acheter mais qu’elles se réjouiront de voir les femmes qataries mettre la pression sur les Occidentales.
    En tout cas, il nous appartient à nous, hommes et femmes vivant en France, de demander à notre tour à celles qui vivent sur notre sol de respecter nos coutumes et valeurs. Hommes et femmes, parce qu’en France ce sont les hommes et les femmes, ensemble, qui les défendent.

    En France, nous ne portons ni voile ni burka. En France, nous ne cachons ni les épaules ni les bras, ni les cheveux, ni le visage, ni les jambes. En France, nous n’avons pas besoin de mettre un foulard sur la tête pour nous faire respecter. En France, nous n’avons pas besoin de mettre un foulard pour faire croire que nous sommes vertueuses. En France, la qualité et la grandeur des femmes est dans leur esprit, dans leur cœur, dans leur humanité, pas dans leur capacité à cacher leurs cheveux ou leur corps que les hommes respectent, parce qu’ils ne sont pas des fauves en rut, tout simplement.
    Christine Tasin

    Résistance républicaine

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Une archive révèle qu'Hitler a protégé un ancien camarade juif

     

    samedi 07 juillet 2012 à 14h45

    Un document d'archives de la Gestapo de Düsseldorf, retrouvé par une historienne, établit qu'Adolf Hitler a accordé sa protection à un officier juif de son unité combattante pendant la Première Guerre mondiale, a-t-on appris samedi auprès de l'historienne.

    sans-titre.png Hitler.png

    Adolf Hitler (photo non datée).© Reuters

    Ce document qui porte l'en-tête du chef de la SS, Heinrich Himmler, a été retrouvé par Susanne Mauss, historienne et membre du comité de rédaction du journal "Jewish Voice from Germany", qui produit une copie de la lettre, dans son numéro de juillet.

    On peut y lire qu'Ernst Hess, un juge du tribunal d'instance de Düsseldorf, "était pendant la guerre 1914/1918 dans la même compagnie que le Führer et provisoirement le chef de compagnie du Führer".

    Le document fait remarquer que M. Hess "est Juif avec quatre grands-parents juifs" mais souligne qu'Adolf Hitler souhaiterait voir la demande du juge d'obtenir un traitement d'exception être prise en compte "avec bienveillance".

    La lettre se termine par une invitation lancée aux autorités compétentes à "laisser tranquille à tous égards" l'intéressé.

    Mme Mauss a découvert ce document à l'occasion de la préparation d'une exposition intitulée "Avocats sans droit" sur l'histoire des avocats d'origine juive dans le district de Düsseldorf. "Le document fait référence au souhait (Wunsch en allemand) du Führer et ça, c'est vraiment étonnant", a expliqué l'historienne qui souligne que l'évocation du Führer dans ce type de correspondances était très rare.

    Selon l'enquête conduite par l'historienne, Ernst Hess a pu effectivement profiter de cette protection mais de manière provisoire, puisque ce document qui porte la date du 19 août 1940 lui a été retiré au printemps 1941.

    L'ancien officier supérieur d'Hitler a ensuite été déporté au camp de Milbertshofen, près de Munich. Ernst Hess, dont Mme Mauss a retrouvé la fille Ursula, aujourd'hui âgée de 86 ans, a survécu à la guerre et est décédé le 14 septembre 1983 à Francfort.

    Le Vif.be, avec Belga

  • La justice gâchera-t-elle le séjour de Sarkozy au Québec ?

    Première publication 3 juillet 2012 à 19h27
     
     
     
     
    Par Olivier Bourque | Agence QMI
     

    La quiétude du Lac Écho à Morin-Heights pourrait être troublée dans les prochaines journées alors que s'amènera vraisemblablement l'ancien président de la France Nicolas Sarkozy pour des vacances dans les Laurentides.

    Au-delà de la sécurité imposante autour de M. Sarkozy, qui a 10 gardes du corps, une affaire pourrait venir le hanter durant son séjour. Des perquisitions ont été menées à son domicile mardi ainsi que dans ses nouveaux bureaux à Paris.

    Selon plusieurs médias français, une dizaine de policiers de la brigade financière se sont rendus sur place avec le juge responsable de l'affaire. Le tout est relatif à un présumé financement illicite de sa campagne en 2007 par l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt.

    Toute cette affaire fait grand bruit en France depuis plusieurs mois. Mais depuis la fin de l'immunité présidentielle de M. Sarkozy, le 16 juin dernier, la justice peut enquêter sur cette affaire nébuleuse.

    Chalet des Desmarais

     

    Encore selon des journaux français, M. Sarkozy est arrivé au Québec mardi. Selon des sources, il serait dans la région de Charlevoix, probablement dans le domaine Sagard de la famille Desmarais, avec toute sa famille.

    Mais il devrait arriver dans le chalet d'André Desmarais situé dans les Laurentides lors des prochaines journées. Mardi après-midi, M. Sarkozy n'était pas sur place. Le chalet semblait désert. Il n'y avait aucune sécurité, mais les rumeurs allaient bon train.

    «Personne ne sait ! On ne sait pas quand il viendra, mais on sait qu'il sera là», a indiqué une voisine originaire du Manitoba, qui coule des jours heureux aux abords du lac.

    Selon elle, une équipe est venue vérifier la sécurité sur les lieux il y a quelques jours. «Un hélicoptère est venu alors nous avons su que c'était du sérieux», a-t-elle poursuivi.

    Un autre voisin croyait qu'il s'agissait seulement de rumeurs. «Il est dans Charlevoix et il va rester là», nous a-t-il dit.

    Il a été impossible de savoir si M. Sarkozy en profitera pour rencontrer des dignitaires québécois. Le bureau du premier ministre Jean Charest n'a pas retourné notre appel.

     

    TVA Nouvelles