Marine Le Pen, candidate du Front National à la... par rtl-fr
02/02/12
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Marine Le Pen, candidate du Front National à la... par rtl-fr
02/02/12
Questions des Journalistes sur la Conférence de... par MarineLePen
02/02/12
Marine Le Pen lance un appel aux Français pour... par MarineLePen
02/02/12
Lu pour vous sur LeMonde.fr
Le Conseil d’Etat a décidé, jeudi 2 février, de transmettre au Conseil constitutionnel la question prioritaire de constitutionalité (QPC), soulevée par le Front national (FN), concernant la publicité du nom des élus donnant leur parrainage aux candidats à l’élection présidentielle.
L’anonymat des signatures est une revendication que Marine Le Pen met en avant depuis le début de sa campagne présidentielle. Et pour cause : la candidate du FN a bien du mal à recueillir ses 500 parrainages. Selon elle, c’est, entre autres, à cause de la peur des pressions qu’ils pourraient subir que les maires refusent de lui accorder leur paraphe. La prétendante à l’Elysée avait aussi écrit, fin novembre 2011, au premier ministre, François Fillon, pour lui demander de modifier la loi de 1976 et de rendre les parrainages anonymes. M. Fillon lui avait répondu par une fin de non-recevoir.
Tournons-nous vers l’Antiquité. Elle a toujours à nous apprendre. Et d’abord que les Romains votaient, comme nous, pour élire leurs magistrats, édiles, sénateurs, tribuns de la plèbe, duumvirs, membres de la Curie, dès la période républicaine et bien après. Autant dire qu’ils connaissaient déjà les campagnes électorales – bien différentes, toutefois, de celles qui nous mettent périodiquement en transe.
Pas de partis, pas de programmes. Pas de promesses hasardeuses. On vote pour celui que l’on juge le plus capable de remplir la fonction. Pour celui qui semble le plus honnête. Une fois établie la liste officielle des candidats, la campagne commence. Elle dure souvent plusieurs mois, suscite les passions, mobilise les « supporters » les plus frénétiques, soucieux de communiquer leur enthousiasme. Parmi eux, beaucoup de femmes qui, pour n’avoir pas le droit de vote, n’en sont pas moins influentes.
Un témoignage sur ces épisodes de la vie politique nous est fourni par les inscriptions retrouvées sur les murs de Pompéi. Relevées par de savants épigraphistes, archéologues, historiens, soigneusement classifiées, datées, traduites, elles se révèlent précieuses pour la connaissance des moeurs antiques.
Un petit livre remarquablement documenté, vivant et drôle, nous fait pénétrer au cœur même de l’effervescence politique telle qu’elle se manifestait au pied du Vésuve. Fièvre électorale à Pompéi (1) de Karl-Wilhelm Weeber, universitaire allemand, présente un catalogue d’inscriptions par lesquelles les voisins, les amis, exhortent leurs concitoyens à élire tel ou tel candidat. Pas ou peu d’argumentation, surtout des injonctions. Juste quelques exemples : « Gnaeus Helvius Sabinus édile ! Loreius, va donc voter pour lui, c’est un homme intègre – et il ira voter pour toi. » Ou encore : « Bruttius Balbus duumvir ! Génialis demande de voter pour lui. Il ne dilapidera pas le trésor municipal. » Enfin, « Vettius Firmus édile ! Marchands de fruits, allez donc voter pour lui ! » D’autres, encore plus cocasses.
Les commentaires de K.-W. Weeber se caractérisent par le sérieux qu’on attend d’un professeur, allemand de surcroît. Clairs et alertes, ils sont toutefois accessibles à tous et ont le mérite de restituer à l’histoire antique, austère, figée dans les manuels, les couleurs de la vie.
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Chez le même éditeur, un autre ouvrage qui nous fait pénétrer, narines grandes ouvertes, dans l’univers quotidien des Grecs et des Latins. Deux spécialistes d’histoire ancienne, Lydie Bodiou et Véronique Mehl, ont rassemblé, dans Odeurs antiques (2), une centaine de textes qui couvrent une vaste période, d’Homère aux Ve et VIe siècles après J.-C. Certains connus, d’autres que l’on découvre, tous surprenants ou pittoresques, témoignent de l’importance du parfum dans un monde où le paraître est primordial.
Les odeurs, naturelles ou artificielles, bonnes ou mauvaises, jouent en effet un rôle éminent dans tous les domaines de la vie. Offrandes aux dieux, mariages, morts, parures corporelles des femmes mais aussi des hommes, éléments constitutifs de la cuisine et du banquet aussi bien que de la pharmacopée, les parfums, onguents, huiles parfumées ne sont pas seulement des artifices. Leur fonction est essentielle en ce qu’ils dévoilent aussi bien les rituels sociaux et culturels que la vie intime.
Nous suivons, au fil des extraits, aussi bien les constantes dans l’utilisation que les évolutions dans la fabrication, ces dernières dues à l’arrivée de nouveaux produits lors de l’époque d’Alexandre et des rois hellénistiques, puis de l’empire romain. Un voyage passionnant.
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On ne quittera pas le domaine de l’histoire ancienne sans jeter un œil à Naissance des écritures (3), que Michel Renouard publie aux éditions Ouest-France. Ce qu’il est convenu d’appeler un « beau livre », tant en raison de la qualité du texte que d’une iconographie aussi abondante que somptueuse.
Y sont abordées toutes les questions relatives à l’écriture : quand est-elle apparue et où ? Pourquoi ici et pas ailleurs ? Comment expliquer que de brillantes civilisations l’aient ignorée ? Quels rapports entretient-elle avec les religions ? Certains écrits attendent-ils toujours d’être décryptés ? Autant d’interrogations, parmi d’autres, auxquelles l’auteur répond avec précision et concision. « Même aujourd’hui, assure-t-il, il naît de nouvelles écritures (…) [mais] c’est toujours une écriture de seconde main, la simple reprise d’un modèle matriciel apparu en Orient il y a quelques millénaires, dans cet Orient où s’est épanoui l’alphabet, notre alphabet. »
P.-L. MOUDENC
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1 – Fièvre électorale à Pompéi, de Karl-Wilhelm Weeber, traduit de l’allemand par Hélène Feydy. Les Belles Lettres, 158 p., 13,50 €.
2 – Odeurs antiques, textes réunis et présentés par Lydie Bodiou et Véronique Mehl, précédé d’un entretien avec Pierre Bergé. Les Belles Lettres, coll. « Signets », 302 p., 13,50 €.
3 – Naissance des écritures, de Michel Renouard, préface de Marie-Hélène Pottier. Editions Ouest-France, 128 p., 17,90 €.
01/02/12
Nicolas Sarkozy s'est posé jeudi en défenseur de la culture, tout en critiquant la promesse de Martine Aubry, candidate à la primaire socialiste en vue de la présidentielle de 2012, d'augmenter le budget du ministère de la Culture. Le président français était venu inaugurer à Chaumont, ville culturellement défavorisée de Haute-Marne, le "Centre Pompidou mobile", un musée itinérant qui présente des oeuvres majeures d'artistes du XXe siècle dans une structure démontable qui ira dans six autres villes de province d'ici début 2014.
"Partout on a coupé les budgets de la culture. Je n'ai pas voulu qu'on touche à un centime du budget du ministre de la Culture parce que la culture, c'est la réponse à la crise", a-t-il dit lors d'une table ronde avec des représentants du monde culturel, dans un gymnase rempli d'habitants de la région. Pour lui, la culture n'est pas une question d'argent. "J'ai vu qu'il fallait augmenter de 50 % le budget du ministère de la Culture", a-t-il dit en faisant allusion à une proposition de Martine Aubry. "Mais pourquoi pas 100, pourquoi pas 150 % d'ailleurs, pendant qu'on y est ? Ça n'a pas de sens. Ce qui a du sens, c'est les projets."
Il a regretté qu'un Français sur deux "n'aille jamais au musée", "c'est une véritable fracture" a-t-il expliqué avant d'ajouter qu'il estimait qu'il n'y avait pas opposition entre culture et économie. Il a cité en exemple la ville basque espagnole de Bilbao, jadis cité industrielle sinistrée, aujourd'hui transfigurée et en pleine renaissance grâce à l'implantation du Musée Guggenheim dû à l'architecte américain Frank Gehry. "C'est par le patrimoine, c'est par la culture qu'on va développer la France avec nos 80 millions de touristes chaque année", a ajouté le chef de l'État. Nicolas Sarkozy a flatté au passage un monde de la culture qui lui reste dans une large mesure hostile et se tourne traditionnellement en France plutôt vers la gauche. "Et si le sport et la culture, c'était encore plus sérieux que le reste ?" a-t-il lancé.
Le Point - 01/02/12
01/02/12
Nicolas Sarkozy ne s'avoue pas vaincu. Le président français déposera «tout de suite» un nouveau texte si la loi pénalisant la négation du génocide arménien est censurée par le Conseil constitutionnel, a-t-il affirmé mercredi en Conseil des ministres, selon un membre du gouvernement. Cent-quarante et un élus ont en effet saisi mardi les Sages contre le texte définitivement adopté par le Parlement le 23 janvier.
D'après une autre personne présente, le chef de l'Etat a reproché aux ministres récalcitrants vis-à-vis de cette loi de «ne pas voir plus loin que le bout de leur nez», soulignant le fait que certains pourraient tirer profit de la censure des Sages pour présenter une Question prioritaire de constitutionnalité afin de remettre en cause la loi pénalisant la négation de la Shoah, seul génocide dont la négation est aujourd'hui punie par la loi française. Deux ministres ont exprimé des réserves sur la loi sur le génocide arménien: Alain Juppé, qui la juge «inopportune» et craint qu'elle n'entrave les relations franco-turques, et Bruno Le Maire, parce qu'il n'est «pas favorable par principe aux lois mémorielles».
Le Conseil constitutionnel peut censurer une loi qu'il juge contraire à la Constitution, s'il est saisi par 60 députés, 60 sénateurs, le chef de l'Etat, le président de l'Assemblée nationale ou celui du Sénat. Il doit statuer dans un délai d'un mois. Mais deux députés UMP, Eric Straumann et Jean-Philippe Maurer, ont demandé mardi au gouvernement «la mise en oeuvre de la procédure accélérée» afin que le Conseil puisse statuer dans un délai de sept jours.
Avant même cette annonce, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a dénoncé mercredi une montée de l'islamophobie et du racisme en Europe, affirmant que le vote en France d'une telle loi constituait la «manifestation grave d'un danger insidieux en Europe». Il avait salué la veille la saisine du Conseil constitutionnel.
Depuis le vote de la loi, de nombreuses voix s'élèvent contre elle. Considérée comme électoraliste, décriée par les historiens, elle a déclenché une vague de boycott en Turquie, qui met à mal les entreprises françaises présentes sur ce marché de 77 millions d'habitants, à la croissance de 7,5% en 2011.
Le Figaro - 01/02/12
Le son est meilleur sur cette vidéo
01/02/12
Communiqué de l’Union des Français juifs
Mais qui est donc Hans-Christian Strache, qui a invité Marine Le Pen à Vienne vendredi 27 janvier ?
M. Strache est le leader du FPO (Parti de la Liberté, un parti autrichien actuellement crédité de 28 % des voix dans les sondages).
Dans la presse bien-pensante, le FPO est systématiquement présenté comme un parti d’extrême-droite, et dans certaines publications gauchistes, M. Strache est carrément dépeint comme un néo-nazi.
Il est donc temps de remettre les pendules à l’heure, et de continuer à démasquer, inlassablement, les menteurs :
Alors de qui se moque-t-on ?
Depuis quand l’extrême-droite reconnait-elle le judaïsme comme partie intégrante des identités nationales européennes, et les néo-nazis vont-ils se recueillir à Yad Vashem ?
Pour les donneurs de leçons de la bien-pensance, les mots ont-ils encore un sens ?
Hurlant à l’antisémitisme fantasmé lorsque cela les arrange, ils se gardent bien de voir dans notre pays le véritable antisémitisme, celui des islamistes radicaux.
Incapables de formuler une critique construite à l’égard du projet ou du programme de Marine Le Pen, qu’ils n’ont souvent pas même lu, ils crient au loup qui n’existe plus, en espérant berner, une fois de plus, les électeurs, sans se rendre compte un instant que cela ne prend plus.
A l’Union des Français juifs, nous savons encore faire la différence entre nos amis et nos ennemis.
Pour le bureau de l’union des Français juifs
Jacques Rosen
1 http://www.fpoe.at/dafuer-‐stehen-‐wir/partei-‐programm/
2 http://www.israel7.com/2010/12/ayoub-‐kara-‐rencontre-‐le-‐leader-‐du-‐fpo-‐ autrichien/
3 http://english.savefreespeech.org/?p=267
4 http://tundratabloids.com/2011/01/rabbi-‐hollander-‐directs-‐open-‐plea-‐towards-‐ austrian-‐jewish-‐community-‐president-‐and-‐leaders-‐of-‐eu-‐states.html
Communiqué de presse de Marie-Christine Arnautu, Vice-Présidente du Front National en charge des Affaires Sociales et conseiller aux Affaires sociales, à la Famille et aux Handicaps de Marine Le Pen
A grands coups de tintouins médiatiques, la Fondation Abbé Pierre appelle aujourd’hui tous les candidats à la Présidentielle à signer sa pétition. Tous sauf une : Marine Le Pen…
Cette même fondation n’a évidemment pas daigné nous en donner la raison, malgré nos multiples interrogations restées sans réponse. Est-ce à dire que l’esprit de cette pétition ne se retrouve nullement dans les propositions du projet présidentiel de Marine Le Pen en matière de logement :
Est-ce à dire que l’esprit de cette pétition ne se retrouve nullement dans notre volonté de rétablir enfin une véritable solidarité nationale en venant en aide à ceux de nos compatriotes les plus démunis, victimes invisibles et oubliés des applications des traités européens, contre et sans les peuples. Ils en paient en silence les abominables conséquences : chômage, délocalisations de leurs entreprises, pouvoir d’achat en berne…. Ils se rappellent avec amertume et colère un célèbre engagement de Nicolas Sarkozy en 2006 : « Si je suis élu président de la République, je veux que d’ici à deux ans plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid. Le droit à l’hébergement, je vais vous le dire, c’est une obligation humaine. »
Visiblement, le bilan du quinquennat en terme de logement n’émeut pas la Fondation Abbé Pierre qui a convié le Président Candidat à signer sa pétition …
Dans sa profession de foi de juin 1946, l’Abbé Pierre, alors membre du MRP, exigeait de « garantir la souveraineté du peuple, favoriser une vraie justice sociale, rendre forte et grande notre France ». Il réclamait par ailleurs : « une immigration étroitement filtrée et l’expulsion immédiate des immigrés indésirables » : tout comme Marine Le Pen aujourd’hui, gageons qu’il n’aurait sans doute pas été invité à signer la pétition de sa fondation…
Posté par Willy Legrand le 1er février 2012
Le site Israël7.com annonce que Ayoub Kara, vice-ministre israélien du Développement du Néguev et de la Galilée du Likoud, était en déplacement en Autriche et a bien rencontré Heinz-Christian Strache le président du FPÖ, le Parti de la Liberté.
Lire la suite de l’article Israël7.com
NPI
01/02/12
http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-16831933#TWEET70766
Il était resté caché depuis plus d'un siècle dans un coin du laboratoire de Thomas Edison, et on le croyait définitivement perdu. Un simple cylindre de cire. Dedans, une voix. Celle d'Otto von Bismarck, grand chancelier d'Allemagne dans la seconde moitié du XIXe siècle.
La découverte, révélée lundi 30 janvier par le Thomas Edison National Historical Park dans le New Jersey, permet d'entendre ce personnage historique pour la première fois, précise un article du New York Times.
Pour ouïr ces voix tout droit sorties du passé, gravées par un phonographe dans ces drôles de cylindres, il a fallu convertir les signaux électriques en fichiers WAV, puis les faire identifier par deux historiens des sons. Les enregistrements contiennent également quelques bribes de parole d'un militaire allemand, Helmuth von Moltke, né en 1800, ainsi que des chants et rhapsodies allemandes et hongroises, et enfin, pense-t-on, le premier enregistrement d'une œuvre de Chopin.
En 1889, Edison envoie un de ses collègues, un certain Adelbert Theodor Edward Wangemann, en Europe, pour présenter sa grande découverte, le phonographe, à l'exposition universelle de Paris. Ce dernier en profite pour faire un tour dans son Allemagne natale, promenant le très moderne appareil – qui permet d'enregistrer et de rediffuser des sons – chez des artistes renommés de son temps comme chez des membres de la haute société prussienne.
Parmi eux, Bismarck, donc, alors chancelier. Ce dernier se prend à réciter, devant l'oreille évasée du phonographe, des poèmes et chansons en anglais, en latin, en allemand et en français, rapporte le New York Times. Et même, alors que la guerre de 1870 n'est pas très loin, la Marseillaise. Ces instants d'enthousiasme lyrique passés, il donnera quelques conseils à son fils (sur les vertus de la modération), qui les écoutera ensuite, magie, depuis Budapest.
Jusqu'ici, seul un morceau de Brahms passablement détérioré était revenu de ce voyage du phonographe en Europe. Ces nouveaux enregistrements réhabilitent les mérites de l'appareil d'Edison, et viennent s'ajouter à une collection chère aux historiens du son. Depuis quelques années, ceux-ci se réjouissent de pouvoir "écouter l'histoire" grâce à ces fragments sonores, dont, par exemple une comptine Au clair de la lune de 1860, récemment déchiffrée
Le Monde - 01/02/12
Lettre ouverte de Bertrand Dutheil de La Rochère, porte-parole de la campagne de Marine Le Pen, ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre Chevènement
Madame le Maire,
Monsieur le Maire,
Vous avez apporté votre parrainage administratif à Jean-Pierre Chevènement afin qu’il puisse être candidat à la prochaine élection présidentielle. Mais celui-ci a été amené à se retirer sans condition.
Au-delà de vos convictions personnelles, vous pensiez, à juste titre, que Jean-Pierre Chevènement devait pouvoir participer, avec d’autres, au débat démocratique précédant ce scrutin déterminant pour la vie politique de notre pays. Cependant, avec ce retrait, vous constatez que tout est mis en œuvre pour restreindre le choix proposé à nos concitoyens. Vous avez peut-être vous-même subi des pressions des appareils des partis installés.
Parmi les candidats qui sont directement victimes de ces pressions, l’un d’entre eux recueille dans les sondages environ un cinquième des intentions de votes au premier tour. Aussi, l’absence de Marine Le Pen à cette élection, pour une raison purement administrative, serait un déni démocratique. La légitimité du président élu, quel qu’il soit, en serait entamée. L’image de la France en serait entachée.
C’est pourquoi en tant que porte-parole de sa campagne, mais aussi en tant qu’ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre Chevènement, je prends la liberté de vous demander d’apporter votre parrainage administratif à Marine Le Pen. Comme vous le savez, en aucun cas, il ne s’agit d’un soutien politique. D’ailleurs, nous avons demandé le rétablissement de l’anonymat de cet acte administratif pour que toute ambigüité soit levée.
En espérant pouvoir compter sur votre concours pour que les Français puissent voter en toute liberté, je vous prie d’agréer, Madame le Maire, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée.
Hollande enfariné pendant la signature de la... par BFMTV
Une jeune femme lui a lancé un paquet de farine lors d'un discours à la Fondation Abbé-Pierre...
C’est au moment où il signait la charte Abbé-Pierre en faveur du logement que François Hollande a été «enfariné». Sur la tribune, face aux membres de la Fondation, le candidat socialiste est resté stoïque tandis que l’auteur des faits a été appréhendée par le service de sécurité.
C’est une femme, Claire Seguin, qui lui a jeté un paquet de farine à la figure. Elle a crié au déni de justice après son geste: «J'ai 45 ans et je suis en train d'être assassinée à Lille par les socialistes», a indiqué «l'enfarineuse», sur LCP. «Je suis à bout de ressources, parce que la loi n'est plus appliquée», a-t-elle expliqué, tout en renvoyant vers son blog, où elle dénonce des atteintes aux liberté et à la vie privée contre sa personne.
François Hollande a ensuite reconnu devant la presse «ne pas avoir vu grand-chose». Le candidat socialiste, qui n'a pas perdu son calme après cet «enfarinage» a parlé également d'une «personne irresponsable, qui a essayé d'utiliser cette réunion à d'autres fins». Il a également tenu à relativiser, expliquant que «le principal, c'est d'avoir délivré le message que je voulais prononcer sur le logement».
20minutes - 01/02/12
VIDEO: http://bcove.me/yvgfw9ev
François Hollande, candidat PS à la présidentielle, a vécu mercredi l'une de ces mésaventures qui jalonnent une campagne exposée. Il a été enfariné alors qu'il se trouvait sur scène, porte de Versailles, pour signer le contrat social proposé par la fondation Abbé Pierre ; quelqu'un dans la foule a lancé sur lui de la farine. De nombreux journalistes étaient présents et ils se sont empressés d'envoyer photos et commentaires sur twitter. François Hollande a ensuite réagi sur son propre compte : "Je suis heureux d'avoir signé le contrat social de la fondation Abbé Pierre malgré cet acte isolé qui n'honore pas son auteur.
Le Point - 01/02/12
Pour de bon, il a la "gueule enfarinée" !