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Blog - Page 1341

  • La fille de Carla Bruni s'appelle Giulia

    Le bébé présidentiel s'appelle bien Giulia. Coupant court aux extrapolations, Carla Bruni l'a confirmé sur son site Web: «Je suis très touchée par les nombreux messages de félicitations qui me parviennent depuis la naissance de notre petite fille Giulia».

    «En cette heureuse occasion, mon époux se joint à moi pour remercier chaleureusement tous ceux qui nous ont adressé ces témoignages de sympathie», poursuit Carla Bruni.

    20/10/11

    Elle aurait pu lui donner un prénom français! C'était la moindre des choses!

  • Les dernières images de Kadhafi vivant


    Les dernières images de Kadhafi vivant par Nouvelobs

    Aucune précision n'est donnée sur le lieu du lynchage

    20/10/11

  • KADHAFI EST MORT (selon le CNT)

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    (Cliquez sur la photo)

    Il était recherché, traqué depuis le 23 août. Il aura donc fallu attendre le 20 octobre pour que Mouammar Kadhafi soit retrouvé à Syrte, ville dans laquelle il est né. Annoncé gravement touché aux jambes en premier lieu, il a ensuite succombé à ses blessures. La mort du Guide libyen met fin à 42 ans de règne.  Faisant face à une insurrection sans précédent qui dure depuis plus de quatre mois, le colonel Kadhafi, 69 ans, plus ancien dirigeant arabe et africain, s'était toujours accroché au pouvoir, malgré la pression internationale et les bombardements de l'Otan.

    Né, selon sa propre légende, sous une tente bédouine dans le désert de Syrte le 7 juin 1942, Mouammar Kadhafi, fils de berger de la tribu des Kadhadfa, reçoit une éducation religieuse rigoureuse avant d'entrer dans l'armée en 1965. Il a 27 ans quand il renverse le vieux roi Idriss le 1er septembre 1969, sans qu'une goutte de sang ne soit versée. En 1977, il proclame la « Jamahiriya » qu'il définit comme un « Etat des masses » qui gouvernent par le biais de comités populaires élus, et s'attribue le seul titre de Guide de la révolution. Son pouvoir reste intact.

    Son style de vie, ses tenues traditionnelles, sa façon fantasque d'exercer le pouvoir sur cet immense et riche pays pétrolier peu peuplé, apparaissent incongrus et imprévisibles pour les Occidentaux, mais aussi pour les Arabes. En saharienne kaki, en uniforme militaire chamarré d'or ou en gandoura, la robe des Bédouins, Kadhafi aime recevoir sous la tente, à Syrte ou dans la cour de la caserne Bab al-Aziziya, à Tripoli. Séducteur, il apprécie la compagnie féminine. Entouré souvent par des femmes en tenue de soldat, ses « amazones », il se nourrit frugalement, notamment de lait de chamelle. Personnage théâtral, il se singularise par des actes et des propos qui ont amusé le monde, distribuant les affronts à ses pairs arabes ou émettant des théories très personnelles sur l'histoire et les hommes.

    "Les élections, c'est une mascarade"

    Lors d'un sommet arabe en 1988, on le voit la seule main droite gantée de blanc. Il explique qu'il veut ainsi éviter de serrer des « mains tachées de sang ». Au sommet suivant, il se trouve à côté de l'ex-roi saoudien Fahd. Fumant un gros cigare, il se tourne ostensiblement vers son voisin chaque fois qu'il exhale la fumée. Son Livre vert, instituant la « Jamahiriya », affirme que la démocratie ne peut être établie par les urnes. « Les élections, c'est une mascarade », dit-il. Dans les années 1990, Kadhafi, affaibli sur la scène internationale, déçu par ses partenaires arabes, se tourne vers le continent noir.

    Elu à la tête de l'Union africaine début 2009, il donne le ton de sa présidence en demandant à ses pairs de l'appeler désormais « Roi des rois traditionnels d'Afrique ». Après une année chaotique où ses prises de position dissonantes brouillent l'image de l'institution, il cède la place au président du Malawi. Traité pendant des décennies de chef d'un Etat « terroriste », il décide de se réconcilier avec l'Occident. En 2003, à la surprise du monde entier, il annonce le démantèlement de ses programmes secrets d'armement. Il reconnaît ensuite la responsabilité de son pays dans les attentats contre un avion américain au-dessus de Lockerbie, en Ecosse (270 morts en 1988) et un avion français au Niger (170 morts en 1989), et verse des indemnisations aux familles des victimes.

    Ouverture vers l'Occident

    L'ex-paria s'ouvre enfin à l'Occident. Kadhafi reçoit les dirigeants occidentaux, tandis qu'à l'étranger on lui déroule le tapis rouge, comme à Paris puis à Rome, suscitant des polémiques. Fort de son pétrole, il réussit en 2008 à solder son passé avec l'Italie en obtenant des excuses et des dédommagements de Rome pour la période coloniale. Plus récemment, il fait plier la Suisse qui lui présente ses excuses, un an après l'arrestation d'un de ses fils, Hannibal, pour des violences sur ses domestiques.

    Et il accueille triomphalement Abdelbasset al-Megrahi, condamné pour l'attentat de Lockerbie, libéré pour raison de santé. Kadhafi a été confronté à une révolte contre son pouvoir le 15 février. La contestation s'est rapidement transformée en guerre civile et l'ex-leader avait pris la fuite après la chute de son QG à Tripoli en août. La fin de l'histoire s'achève en ce 20 octobre. Une page se tourne pour la Libye.

    Actu France-Soir - 20/10/11

  • Jeux de mots, devinettes et à-peu-près

    Que va obtenir ce chef, amateur d'expériences culinaires, en mélangeant des oeufs avec des feuilles de thé?

  • Iran: pendaison d'un homme ayant tué une femme avec une hache

    IRIB- Un homme, condamné à mort, pour avoir tué une femme avec une hache, a été pendu, mercredi, à Shiraz, dans le sud de l'Iran, a rapporté l'agence de presse Fars.

    L'année dernière, cet homme de 35 ans avait tué une de ses parentes, en lui portant plusieurs coups à l'arrière de la tête, avant d'attaquer, toujours, à la hache, son fils de six ans et sa fille de neuf mois, les blessant grièvement, selon la même source.

    19/10/11 

  • Libye: utilisation par l'OTAN de bombes incendiaires - A quand l'ouverture d'une enquête parlementaire ?

    De nombreuses sources d'information font état de l'utilisation récente par l'Otan de bombes incendiaires contre la population de Bani Walid .

    Ces bombes sont de type FAE « Fuel Air Explosive », surnommée « la bombe atomique du pauvre ». C’est une bombe à effet de souffle qui aspire tout l’oxygène autour d’une surface d’impact de 2m2, tuant par asphyxie toute personne présente autour du point d'impact

    Voici pour information les protocoles additionnels à la Convention de Genève visant à l'interdiction de ce type d'armement et qualifiant de crimes de guerre leur utilisation

    Protocole III sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi des armes incendiaires : Le Protocole III sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi des armes incendiaires (comme les bombes au phosphore ou au napalm), signé le 10 octobre 1980 et entré en vigueur le 2 décembre 1983, compte 93 États parties. Ce Protocole interdit l’utilisation des armes incendiaires contre des civils ou contre des cibles militaires situées à l’intérieur de concentrations civiles.., le texte désigne les armes utilisées intentionnellement pour incendier une cible mais pas celles qui les enflamment de manière collatérale. En 1983 l’Onu interdit leur utilisation offensive et classe utilisation comme relevant de crimes de guerre.

    En dehors de ces catégories d'armes,l'Otan par ses campagnes de bombardements « ordinaires » est directement responsable de la mort ou de l'exil forcé de centaines de milliers de citoyens libyens.

    Par ailleurs de nombreuses sources indépendantes apportent chaque jour de nouveaux témoignages établissant que cette guerre a été déclenchée sur la base de preuves fabriquées de toutes pièces, comme cela est aujourd'hui avéré pour la guerre menée contre l'Irak et pour justifier un blocus responsable de la mort de 600 000 Irakiens selon les propres chiffres de l'ONU.

    Il existe en France, au Royaume uni,en Italie et dans tous les pays membres de l'Otan, des Partis, des organisations habilitées à demander l'ouverture d'une enquête officielle sur les actions militaires accomplies par leur gouvernement contre un État souverain,en dehors de toute déclaration de guerre.

    Mesdames et Messieurs Aubry, Hollande, Mélenchon et leurs représentants dans les Assemblées parlementaires ont le pouvoir d'interpeller le gouvernement et de demander l'ouverture d'un débat ou la création d'une commission d'enquête parlementaire.

    Au moment où chacun proclame son attachement aux valeurs démocratiques et son opposition à la politique de Nicolas Sarkozy, personne ne comprendrait le refus d'une demande si légitime.

    Que chacun prenne ses responsabilités et que les Français jugent et sanctionnent comme c'est le droit d'un peuple souverain, les actes et les paroles de chacun.

     

    Documents annexes

    CIRET-AVT le rapport

    Guerre Humanitaire en Libye : Il n'y a pas de preuves vidéo

    Maître CECCALDI vidéo

    AGORA VOX - 19/10/11

     
  • Libye - Bani Walid sous les bombes incendiaires

    IRIB-De nombreuses sources d'information font état de l'utilisation récente par l'Otan de bombes incendiaires contre la population de Bani Walid . La même tragédie semble se répéter en ce moment même à Syrte.

     Ces bombes sont de type FAE « Fuel Air Explosive », surnommée « la bombe atomique du pauvre ». C’est une bombe à effet de souffle qui aspire tout l’oxygène autour de la surface d’impact, tuant par asphyxie toute personne présente autour du point d'impact.

    http://french.irib.ir/info/afrique/item/148179-bani-walid-sous-les-bombes-incendiaires

    Farid Merrad

     

  • "Recommencer à croire, retourner au combat", par Philippe Vardon-Raybaud (Tribune libre)

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    Ils nous ont dit que cela ne servait à rien. Ils nous ont dit qu’il valait mieux « profiter de la vie ». Ils nous ont dit que la seule solution était l’exil. Nous ne les avons pas écoutés, encore moins entendus…

    En seulement quelques jours, les identitaires de Provence ont poussé les musulmans du canton de Fayence, dans le Var, à abandonner leur projet de mosquée géante (grossièrement travesti en centre culturel). Pour cela il a fallu dénicher l’information, enquêter pour en savoir plus, alerter ensuite la population et recueillir son soutien (la pétition lancée par le Bloc a réuni 600 signatures !), interpeller les politiques locaux et les mettre devant leurs responsabilités. En somme il a fallu lutter.

    Car lorsqu’on est confrontés à l’islam conquérant*, il n’y a pas de discussion, pas d’arrangement, pas d’accommodement raisonnable à chercher. Tout cela n’a pas été prévu dans le Coran d’ailleurs. Nous – peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne – n’avons pas à composer avec une religion qui nous est imposée par l’immigration massive, elle-même d’ailleurs imposée sans que jamais nous n’ayons été consultés.

    Oui, désormais nous ne reculons plus. L’islamisation – entendue comme la modification, l’altération, en profondeur de notre civilité et de notre société à travers la rencontre avec l’islam – de nos régions, de notre pays, de notre continent, doit être combattue sur tous les terrains : politique, idéologique, judiciaire, économique, culturel, spirituel.

    Face aux hérauts du renoncement, les militants identitaires – aujourd’hui dans le Var, hier à Montluçon, et avant-hier au cœur de Nice – ont prouvé qu’il était possible de faire pousser des fleurs dans le désert. En ne considérant aucun combat comme perdu d’avance, en menant chaque bataille avec le même enthousiasme. Plus que jamais, la chanson dit vraie : la révolution est comme le vent. Et ce vent s’est levé, il souffle aux quatre coins du pays.

    Vous pensiez que tout était foutu, que tout était fini ? En réalité, cela ne fait que commencer…

    Philippe Vardon-Raybaud

    * Face à vos contradicteurs utilisez cet argument historique simple : guère plus de 100 années séparent la révélation de l’islam à Mahomet (610), dans les sables d’Arabie Saoudite, et l’arrêt de son invasion de l’Europe occidentale par les guerriers de Charles Martel (732), entre Poitiers et Tours !

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    L’action des Identitaires de Provence vue par FR3 à sa façon.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

    19/10/11

  • Gilad, Salah et les candidats du CRIF

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    Emotion et  scènes de liesse symétriques en Israël et dans les territoires palestiniens après la libération du soldat israélien Gilad Shalit, par ailleurs titulaire d’un passeport français, enlevé par le Hamas et retenu en otage depuis 2006 à Gaza, en échange de l’élargissement à terme de plus d’un millier de prisonniers Palestiniens. Difficile d’échapper à cette information littéralement matraquée par tous les médias.

    Nicolas Sarkozy et son entourage ne manquent pas de rappeler en ce début de campagne le rôle essentiel joué par la France dans ce retour au bercail du jeune tankiste de Tsahal  qui sera reçu prochainement par le chef de l’Etat. 

    Le président de la république a d’ailleurs tenu à le faire savoir plus spécifiquement en intervenant hier soir à ce sujet sur deux radios communautaires juives RCJ et Radio J. Une première pour un chef d’Etat français.

     En février 2008, lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), M. Sarkozy s’était engagé solennellement en faveur de  la libération du soldat Shalit, alors que la famille de ce jeune homme a rappelé Le Monde, débutait   « un effort de mobilisation d’opinion menée en Europe » en engageant à cette fin « un cabinet d’avocats français ». Toujours devant le  Crif, en février 2011, Nicolas Sarkozy affirmait : « dès mon élection j’ai dit que Gilad Shalit, je le voyais comme un Français et que toucher à Gilad Shalit, c’était s’attaquer à la France ».

    Les militants de la cause palestinienne, la gauche antisioniste et/ou droit de l’hommiste, et bien évidemment les sites communautaires musulmans, n’ont pas manqué de faire un parallèle entre la médiatisation de l’affaire Shalit et le silence entourant la détention du franco-palestinien Salah Hamouri, emprisonné en Israël depuis 2005. Questionné ce matin sur France-Inter à ce sujet, le ministre de la Défense Gérard Longuet a affirmé ne pas avoir connaissance de l’existence même de cette affaire !

     Pour être tout à fait juste soulignons que le Premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, avait refusé en aout 2009 de donner suite à la demande de Nicolas Sarkozy, qui lui avait écrit afin d’obtenir la  libération anticipée de ce détenu alors âgé de de 24 ans.

     Né d’une mère française originaire de l’Ain, professeur de son métier, et d’un père palestinien restaurateur à Jérusalem-Est, Salah Hamouri a été scolarisé dans une école privée catholique de garçons à Jérusalem-Est. Il a été arrêté une première fois, à l’âge de 16 ans, pour « propagande anti-israélienne » et libéré plus de trois mois plus tard. Etudiant à l’université de Bethléem, il est arrêté une seconde fois à cause de ses fréquentations de militants anti-israéliens et rendu à ses proches au bout de quatre mois de détention.

     Le 13 mars 2005, il est arrêté une troisième fois, accusé d’avoir participé à un complot visant à éliminer le rabbin Ovadia Yossef, chef spirituel du parti fondamentaliste et extrémiste SHAS. Il lui est aussi reproché d’appartenir à une association proche du Front populaire  de libération de la Palestine (FPLP). Condamné à 7 ans de prison lors de son procès en avril 2008,  M. Hamouri aurait plaidé coupable pour éviter une peine plus lourde mais n’a jamais reconnu les faits, ni présenté d’excuses. D’après ses avocats, le projet d’attentat n’a pas été mis à exécution, l’accusation ne disposerait d’aucune preuve tangible. Salah Hamouri est potentiellement libérable le 28 novembre prochain.

     Une affaire qui a embarrassé un PS tiraillé entre une direction historiquement très pro-israélienne, et une base électorale notamment dans les « quartiers populaires », selon la terminologie socialo-médiatique, qui ne l’est pas du tout pour les raisons que l’on sait. Déjà tricards aux dîners du Crif, il n’y a guère que des membres du Front de gauche et des Verts pour avoir osé évoquer le cas Hamouri…

     On notera aussi que le Crif ne s’est pas contenté de dire son émotion, bien compréhensible, à l’annonce de la libération de Gilad Shalit. Il a aussi félicité François Hollande pour sa victoire face à Martine Aubry, cette dernière étant jugée trop pro-palestinienne et trop pro-arabe en France même par beaucoup au sein de la « communauté ».

     A contrario, « le CRIF, qui connaît de longue date le profond attachement de François Hollande au respect des individus dans leur diversité, espère qu’il fera valoir au cours de sa campagne présidentielle les sentiments d’amitié pour la communauté juive de France et de compréhension empathique vis-à-vis de l’Etat d’Israël qu’il a toujours manifestés jusqu’à maintenant. »

    Richard Prasquier, président du CRIF a affirmé en effet que M. Hollande « figure parmi ceux au parti socialiste qui ont une sympathie ancienne envers Israël ». Michel Zerbib, directeur de l’information de Radio J, a manié l’euphémisme en soulignant que l’entourage de ce dernier est constitué de pro-israéliens – Pierre Moscovici, Vincent Peillon…  Pour ne rien dire d’un Manuel Valls qui a déclaré « (être) lié de manière éternelle à Israël. »

    « Entre un François Hollande et un Nicolas Sarkozy il n’y aura pas une différence fondamentale sur la question israélienne ,ce qui n’aurait sans doute pas été le cas avec Martine Aubry notamment par les alliances qu’elle allait opérer» a relevé encore  M. Zerbib. Un constat que Bruno Gollnisch fait  sien. Quand on vous dit que ces deux là sont interchangeables…

    Blog de Bruno Gollnisch - 19/10/11

  • Carla Bruni a accouché d'une fille

    Selon son entourage, l'épouse du chef de l'Etat a donné naissance à une petite fille vers 20 heures mercredi, à la clinique de la Muette, dans le 16e arrondissement de Paris. Une déclaration qui vient confirmer les informations distillées précédemment par Europe 1 et BFMTV. « Pour l'instant on ne connaît pas le prénom », a précisé la source proche de la première dame. Nicolas Sarkozy serait actuellement de retour d'un déplacement à Francfort où il a participé à une réunion avec Angela Merkel.
    Il s'était déjà rendu à la clinique en fin d'après midi, avant de s'envoler pour l'Allemagne. Carla était prise en charge depuis le milieu de la matinée. C'est la première fois dans l'histoire de la République française qu'un président en exercice s'apprête à devenir père. L'Elysée a assuré qu'il ne communiquerait pas sur la naissance du bébé présidentiel.

    Depuis le début du mois d’octobre, la rue Nicolo et les abords de la clinique ont été bouclés en prévision de l'événement, au grand dam des habitants du quartier qui commençaient à trouver le temps long. « Cela fait quinze jours que le quartier est truffé de forces de police et de paparazzi », commentait mardi soir, lasse, une riveraine.

    Selon une source policière contactée par le Figaro, un doublement des effectifs de police aurait été décidé mardi soir autour de la clinique en prévision du séjour de Carla Bruni-Sarkozy.

    Un peu plus tard dans la journée de mardi, Nicolas Sarkozy de retour de Nice à l'issue d'une visite sur l'emploi et la formation, aurait dit à des journalistes qu'il espérait « que Carla n'accoucherait pas dimanche », comme l'ont révélé nos confrères du JDD.fr. Les chefs d'Etats européens se retrouvent en effet dimanche pour évoquer l'avenir de la zone euro.

    La naissance du quatrième enfant de Nicolas Sarkozy devrait affoler la toile. Internet a en effet bruissé de rumeurs et de contre-rumeurs depuis le début du mois d'octobre. Il y a quinze jours, des internautes ont même annoncé sur Twitter la naissance de Vadim Sarkozy, 2,9 kilos pour 52 centimètres. Un canular qui a fait le buzz et qui en dit long sur ce qui attend Carla Bruni-Sarkozy à la sortie de la clinique dans quelques jours.

    Agé de 56 ans, Nicolas Sarkozy a déjà trois fils (Pierre, 26 ans, Jean, 25 ans, et Louis, 14 ans). Il est également une fois grand-père. Carla Bruni-Sarkozy, 43 ans, a eu un fils avec le philosophe Raphaël Enthoven : Aurélien, 10 ans.

    Fabrice Amedeo et Le Figaro.

    19/10/11

  • Au lycée Mariette de Boulogne-sur-mer (62), enfin une promesse de Sarkozy tenue

     

    Communiqué du Front National de Boulogne-sur-Mer

    Et pour preuve : L’enseignement de l’arabe est désormais accessible depuis la rentrée au lycée Mariette de Boulogne-sur-mer !

    De plus ce lycée public boulonnais est en pointe dans ce domaine pour le Pas-de-Calais.

    Lors des assises de l’enseignement de la langue et de la culture arabes en France qui se sont tenues le 9 octobre 2008 à l’Assemblé nationale. Dans un message lu à la tribune, Nicolas Sarkozy avait alors fait de grandes déclarations : « La langue arabe est une langue d’avenir et de progrès, de science et de modernité. Il n’y a pas de contradiction entre préparer l’avenir et investir dans la langue arabe. » Avant de conclure : « Je souhaite que ces assises débouchent sur des pistes concrètes de développement de l’enseignement de l’arabe en France. »

    Ajouter à cela l’obsession des socialistes à donner le droit de vote aux étrangers, rien ne s’annonce de bon sous les bannières funestes de l’UMPS.

    Le Front National de Boulogne-sur-Mer dénonce cette inversion totale des valeurs et le parti pris maintenant systématique de l’UMP et du PS pour les populations immigrées au détriment des fondements de l’identité française.

    Voir l’article de La Voix du Nord

    19/10/11

  • Pétition contre le droit de vote des étrangers: la Droite populaire sort ses gros sabots électoralistes et feint d'oublier les convictions de son mentor Sarkozy

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Créée et programmée dans ce but, la Droite populaire nous fait un nouveau numéro électoraliste, cette fois en lançant une pétition contre une mesure prônée par le Parti socialiste : le droit de vote des étrangers aux élections locales.

    Avant de se lancer dans cette nouvelle croisade à visée médiatique, la Droite populaire serait bien inspirée de relire les déclarations de Nicolas Sarkozy sur le sujet.

    C’était le 23 décembre 2005, dans Libération : « J’ai écrit dès 2001, dans mon livre Libre, que j’étais favorable au droit de vote des étrangers aux municipales ».

    Ou dans Le Monde du 24 octobre 2005 : « Je ne trouve pas anormal qu’un étranger en situation régulière, qui travaille, paie des impôts et réside depuis au moins dix ans en France, puisse voter lors des élections municipales. J’ouvre un débat en faveur d’une mesure que je pense juste ».

    En réalité, Nicolas Sarkozy n’est pas du tout au clair sur la question du droit de vote des étrangers. Ses convictions sur le sujet ne portent pas à lui faire confiance pour être le meilleur barrage contre cette mesure anti-républicaine.

    Seule Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle de 2012, a une position claire, ferme et précise : citoyenneté et nationalité ne peuvent être dissociées : le droit de vote à toutes les élections doivent être réservé aux citoyens français.

  • Après Guilad Shalit, le franco-palestinien Salah Hamouri sera-t-il libéré?

    Nicolas Sarkozy espère la libération de Salah Hamouri en prison en Israël depuis 2005.

    Mardi, le soldat franco-israélien Gilad Shalit a enfin retrouvé sa famille après avoir passé plus de cinq ans aux mains du Hamas. C’est l’issue qu’espère Nicolas Sarkozy pour Salah Hamouri, ce Franco-Palestinien détenu en Israël depuis 2005. Le président français a exprimé, lors d’un entretien accordé mardi à Radio J, RCJ, et l’AFP, sa volonté de voir Salah Hamouri faire partie des prisonniers palestiniens libérés en échange de Gilad Shalit. "Nous l'avons demandé avec insistance" aux Israéliens car "comme tout citoyen français", Salah Hamouri "a le droit à la protection et à l'attention du gouvernement de la République française", a affirmé Nicolas Sarkozy.

    477 prisonniers palestiniens, dont 27 femmes, en majorité des condamnés à perpétuité, ont été libérés mardi en même temps et en échange de Gilad Shalit. 550 autres doivent être libérés dans les deux mois, conformément à l'accord conclu le 11 octobre entre Israël et le Hamas, sous l'égide de l'Egypte. C’est parmi cette seconde vague de libération que Nicolas Sarkozy espère voir celle de Salah Hamouri.

    Double accusation

    Salah Hamouri est né en 1985 d’une mère française, née dans l'Ain, et d’un père palestinien. Étudiant en sociologie, il avait intégré l’université de Bethléem après son baccalauréat obtenu dans un établissement chrétien de Jérusalem.

    En 2005, il a été inculpé par Israël, accusé d’avoir projeté un attentat contre le rabbin Ovadia Yossef ainsi que d’appartenir au Front populaire de libération de la Palestine (FPLP). Selon l’accusation, Salah Hamouri connaissait Moussa Darwish qui, lui, avait reconnu le projet de passer devant la maison du rabbin en moto et d'ouvrir le feu. Dans un premier temps, Salah Hamouri avait nié les faits qui lui étaient reprochés. Mais, après trois ans de détention, sur les conseils de son avocate israélienne, il a finalement négocié afin d’obtenir une peine moins importante malgré l’absence de preuves sur son implication dans le projet d’assassinat. Il a donc plaidé donc coupable et a été condamné à sept ans de prison le 17 avril 2008 quand Moussa Darwish, lui, a écopé de douze ans de prison.

    "L’armée cherchait des armes, des plans"

    La mère de Salah pour qui le procès a été partial s’est confiée au micro d’Europe 1 : "Il a été arrêté à un check-point à Ramallah. Il est resté en interrogatoire pendant près de trois mois. Et c’est au bout d’un mois qu’on a su par la presse de quoi il était accusé. Entre temps, l’armée israélienne avait fouillé notre maison de fond en comble mais sans rien trouver. Ce qu’ils cherchaient, c’était des armes, des plans ou je ne sais quoi. Mais rien n’a pu être trouvé"

    En 2009, Salah Hamouri avait demandé une libération anticipée qui lui a été refusé par la commission israélienne chargée de statuer sur son sort.

    Europe1 - 19/10/11

  • Shalit: le Consistoire "choqué" par le PS !

    Le président du Consistoire Central Joël Mergui, se dit "particulièrement surpris et choqué" par la teneur du communiqué publié par le Parti Socialiste suite à la libération de Gilad Shalit dans lequel il dit se "réjouir" de la libération des prisonniers palestiniens. Joël Mergui déplore que "ce communiqué mette sur le même plan la libération d'un jeune Israélien, innocent, enlevé sur le sol de son pays et retenu en otage depuis plus de cinq ans dans des conditions inhumaines par des terroristes, et des assassins ayant pour la plupart d'entre eux du sang sur les mains et condamnés à la prison à perpétuité par des tribunaux réguliers".

    "Une telle comparaison, souligne le président du Consistoire, constitue un choc et une offense à la mémoire des victimes des attentats. Les auteurs et les complices de ces crimes n'ont pu bénéficier que de la seule volonté des autorités israéliennes de sauver une vie humaine, celle de Gilad Shalit". "

    Joël Mergui "espère que le candidat socialiste à l'élection présidentielle, ainsi que les principaux élus et maires de ce parti, se démarqueront publiquement de cette déclaration éthiquement condamnable".

    Hier, le Parti Socialiste s'était réjoui de la libération de Gilad Shalit, indiquant que "de nombreux élus socialistes se sont mobilisés partout en France pour appuyer le combat digne et inlassable de sa famille".

    Dans son communiqué, le PS ajoutait: "Nous nous réjouissons de la libération dans le même temps de prisonniers palestiniens qui vont pouvoir retrouver leur famille".

    Le Figaro - 19/10/11

  • Une pétition contre le droit de vote des étrangers...

    19/10/11 – 13h50
    PARIS (NOVOpress) –
    Le collectif « Citoyens contre le droit de vote aux étrangers » a lancé hier une pétition pour s’opposer à l’instauration du droit de vote des étrangers en France.

    Les auteurs de la pétition rappellent que :

    “Le droit de vote est la manifestation politique la plus importante de l’appartenance d’une personne à sa collectivité nationale.
    Comme citoyens français, nous pouvons voter aux élections locales, régionales et nationales.
    Comme citoyens européens, depuis le traité de Maastricht de 1992, nous pouvons voter aux élections locales et aux élections au parlement européen quel que soit notre pays de résidence.
    Par ces gestes citoyens nous donnons une réalité à notre triple espace d’appartenance, la région, le pays et l’Europe.”

    Le collectif appelle à se mobiliser d’urgence pour éviter que la “Gauche xénophile” “avec l’aide de centristes, régularise massivement les clandestins et les pseudo-réfugiés, et fasse adopter le droit de vote aux étrangers comme préambule au grand remplacement dont rêvent les idéologues du Parti socialiste ou leurs alliés de SOS Racisme : comme le peuple ne vote plus à gauche, changeons le peuple.
    Ce ne sont pas des mots en l’air, Martine Aubry a déclaré publiquement que c’était un objectif prioritaire du Parti socialiste si la gauche reprend le pouvoir en 2012.

    Le collectif souhaite que la pétition soit signée “pour démontrer qu’au-delà des appartenances partisanes et des divergences idéologiques” le peuple français “ne veut pas se voir diluer dans un magma multiculturel où la nationalité française ne serait plus qu’une qualité administrative lorsque l’on voyage, ou un titre honorifique.”

    Le texte complet de la pétition est lisible ici.

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  • La prostitution étudiante: un phénomène bien réel


    "Quand on se regarde dans la glace" par Europe1fr

    "Au début, c’est léger, c’est sympa"

    La prostitution étudiante est difficile à quantifier mais le phénomène est bien réel.

    Les étudiants reprennent actuellement le chemin de l’université et, comme à chaque rentrée, la question du coût des études refait surface. Une partie des étudiants se financent grâce à des petits boulots. D’autres, garçons et filles, se retrouvent contraints de faire le trottoir. Un phénomène difficilement quantifiable mais bien réel.

    "Le phénomène de la prostitution étudiante n'est pas nouveau (mais) les personnes concernées ne se reconnaissent pas en situation de prostitution", se déclarant "’escort’, hôtesses, etc.", souligne Philippe Andrès, de l'Amicale du Nid à Montpellier, une association de prévention.

    Ainsi Morgane, "escort" depuis deux ans via un site Internet, ne se considère pas comme prostituée. "Pour moins d'heures de travail, on gagne beaucoup plus. Ça s'accorde bien avec des études", estime cette étudiante de 24 ans en master de lettres à Grenoble.

    "Entre 2.000€ et 3.000€ par mois"

    Marie confirme sur Europe 1. "Je gagne entre 2.000€ et 3.000€ par mois, selon les périodes. Je n'ai pas fini mes études, je suis obligée de continuer si je veux plus tard une vie et un métier stable", commente-t-elle. "Même si cela restera un traumatisme, je pense que je contrôle cela. Je choisis mes clients, je fixe les prix", explique cette étudiante en droit qui passe des annonces sur le site leboncoin.fr pour proposer des "massages".

    Le cas de Marie, qui a été conseillée par une amie qui parvenait ainsi à payer ses études, n'est pas isolé. "Je ne pensais pas qu'il y en avait autant. Il y a une quinzaine de personnes dans ma fac. Des filles, des garçons aussi".

    Très vite, "la descente aux enfers"

    Lydia Guirous, la fondatrice de l’association "Future, au féminin" et qui milite "pour un féminisme modernisé, pragmatique, avec des hommes, qui place les femmes dans la société", raconte comment des étudiantes finissent par se prostituer. "Au début, c’est léger, c’est sympa. On gagne énormément d’argent, on apporte une certaine forme de confort à son quotidien", détaille-t-elle sur Europe 1, avant de montrer l’envers du décor : "mais ensuite, quand on se regarde dans la glace après avoir accepté certaines choses, on comprend qu'on est devenue une 'pute'… et à partir de là, la descente aux enfers commence. Une exclusion sociale se met en place".

    "Un phénomène qui n'est pas marginal"

    Très peu d'études existent pour évaluer l'ampleur de la prostitution étudiante, notamment parce que la plupart des personnes travaillent via Internet, rendant ce phénomène peu visible. Mais le syndicat Sud étudiant l’affirme : "le phénomène n'est pas marginal".

    D’après les chiffres d’un rapport parlementaire, "le nombre des jeunes de 18 à 25 ans se prostituant serait de l'ordre de 7.000 à 10.000, sur une base de 5 millions de jeunes appartenant à cette tranche d'âge. Cela n’inclurait pas les cas qui ne sont pas connus", détaille Jean-Sébastien Mallet, expert européen sur les questions de prostitution.

    "J'ai pu reprendre mes études"

    Chloé, 32 ans, "revendique" de son côté son choix : "c'est parce que j'ai commencé la prostitution, que j'ai pu reprendre mes études", affirme cette étudiante dans le secteur médico-social. Mais, à Bac +3, faire le trottoir la nuit porte Dauphine rend les réveils plus difficiles et ses feuilles de notes moins brillantes.

    Selon Sud Étudiant, un étudiant qui travaille a 40% de chances en moins d'obtenir son diplôme qu'un étudiant non salarié, ce qui expliquerait, selon le syndicat, que certains se tournent vers la "prostitution".

    L’association "Future, au féminin" organise mercredi une conférence-débat "Étudiante et prostituée : état d’urgence".

    19/10/11