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Blog - Page 1339

  • Un journal algérien: "L'immigration coûte plus de 30 milliards d'euros à la France"

    Lu sur « El Watan », journal algérien de référence :

    Expulser ou apporter une aide au retour volontaire des migrants illégaux revient six fois moins cher que de les garder sur le territoire français. Environ 15% du déficit de toute l’immigration, plus de 30 milliards d’euros, sont imputables à l’immigration irrégulière.

     
    La France compte aujourd’hui pas moins de 10 000 élèves sans papiers  dont la scolarisation revient à près de 57 millions d’euros.
    El Watan

    C’est la conclusion à laquelle a abouti l’expert international sur l’Afrique et les migrations, Jean-Paul Gourévitch, au terme de sa récente étude, où est décortiqué le «prix de revient» de l’obsession du rêve européen. L’embauche de migrants irréguliers est, d’emblée, l’un des meilleurs indicateurs des retombées de la présence étrangère illégale dans l’Hexagone, fait observer l’auteur. Ainsi, est-il indiqué dans cette étude dont El Watan a été destinataire d’une copie, 5% des 70 000 entreprises, contrôlées en 2010, utilisent une main-d’œuvre étrangère sans titre de travail pour un coût total s’élevant à 1,7 milliard d’euros.

    Allant dans le détail, cet expert, qui a à son actif plusieurs ouvrages consacrés à l’Afrique et aux aspects sociaux et économiques de l’immigration en France, estime les pertes générées à 1 milliard en termes de cotisations sociales pour emploi d’étrangers sans titre, 609,6 millions de manque àgagner dû au travail illégal d’étrangers sans titre, 40 millions de coût supporté par l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et l’emploi d’étrangers sans titre (Ocriest), 6,3 millions en termes d’interpellations et 5,9 millions pour les contributions non recouvrées par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) pour emploi d’étrangers sans titre.

     Pour mieux sensibiliser les politiques sur l’impact de l’immigration illégale sur l’économie française, M. Gourévitch mettra en exergue les dépenses publiques induites par la prise médicale des migrants irréguliers, considérant, à ce titre, l’aide médicale de l’Etat (AME) comme étant une exception à l’échelle européenne, car aux étrangers en situation irrégulière, elle consacre les mêmes droits que les titulaires de la Couverture maladie universelle (CMU).

    En 2010, fait-il savoir, l’AME était de l’ordre de plus de 620 millions d’euros sur les 662 millions représentant le coût global des soins de santé, dont ont pu bénéficier les migrants irréguliers vivant sur le territoire français. Pour le spécialiste en migration, 2010 est l’année de tous les records, puisque de seulement 77 589 en 2000, le nombre de bénéficiaires est passé à 202 403, portant les dépenses de l’Etat de 75 à 623 millions d’euros. Autre souci, autre dimension. Dans la même étude, l’accent est en outre mis sur la scolarisation des élèves et étudiants en situation irrégulière. En la matière, la France compte aujourd’hui pas moins de 10 000 élèves sans papiers (4800 en maternelle ou en élémentaire, 4300 au collège et 900 au lycée) dont la scolarisation revient à près de 57 millions d’euros. Le nombre d’étudiants en situation irrégulière s’élève, quant à lui, à 5800 pour un coût avoisinant les 55 millions d’euros.

    Source : El Watan, Merci à Marie

    Défrancisation - 24/10/11

  • Loi islamique instaurée en Libye: pour Juppé, il y a un problème... - Trop tard!

    Le ministre des affaires étrangères pointe les risques relatifs au "respect de la dignité de la femme".

    Alain Juppé, le 14 septembre 2009, à Bordeaux.
    Alain Juppé, le 14 septembre 2009, à Bordeaux. | MAXPPP

    Au lendemain de l'annonce, dimanche, de la réintroduction de la charia – loi islamique - en Libye, après quarante-deux années de règne de Mouammar Kadhafi, Paris a tenu à réagir.

    La France sera " vigilante à ce que les valeurs que nous avons défendu aux côtés du peuple libyen soient respectées : l'alternance démocratique, le respect de la personne humaine, l'égalité des droits entre l'homme et la femme. Pour nous c'est absolument essentiel", a expliqué lundi, Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères.

    Tout en rappelant que le nouvel homme fort de Tripoli, le président Moustapha Abdeljalil, avait asssuré que les Libyens étaient des "musulmans modérés", Alain Juppé a cependant concédé : " C'est un problème pour nous, notamment en ce qui concerne le respect de la dignité de la femme".

    Sous Kadhafi, la loi interdisait la polygamie et autorisait le divorce. Aujourd'hui, ce texte a vécu. "Cette loi est contraire à la charia et elle n'est plus en vigueur", a annoncé le président libyen.

    Si, pour Alain Juppé, "les printemps arabes sont un très grand espoir mais sont aussi porteurs de risques", pas question de remettre en cause l'intervention militaire en Libye. "Cela peut être une opportunité fantastique pour nous, nos entreprises", a-t-il dit.

    Hamon et Le Pen "inquiets"

    De son côté, Benoît Hamon, le porte-parole du PS, s'est dit "inquiet" de l'annonce de la réintroduction de la charia en Libye, mais fait "confiance au peuple libyen pour se doter d'institutions et d'un gouvernement qui garantira demain l'égalité des droits".

    Marine Le Pen, qui n'avait pas caché sa sympathie pour les partisans de Kadhafi, a dit son inquiétude de voir des pays "aux portes de l'Europe" "basculer dans une dictature islamiste".

    Le Post- 24/10/11

  • Cergy: Océane, deux ans et demi, violemment agressée en maternelle

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    Océane avec son papa - (Cliquez sur la photo)

    Il parle d’un « lynchage » avec les mots sans doute excessifs d’un père encore sous le choc des violences subies par sa petite fille de 2 ans et demi, lors de la récréation à l’école maternelle des Plants, à Cergy dans le Val-d'Oise. A l’abri des regards, derrière une petite cabane située en haut d’un toboggan, Océane a été frappée par un groupe de quatre garçons de grande section le mois dernier.

     
     

    « La directrice m’a appelé en m’expliquant que ma fille venait de se faire agresser. Sur le coup, je ne me suis pas vraiment inquiété. J’ai pensé: Ce sont des enfants qui jouent… »

    Ce jour-là, Max comprend ensuite rapidement que la situation est plus sérieuse. « Elle avait des cheveux arrachés, des bleus sur le visage, poursuit le papa d’Océane. Ce qui m’a inquiété le plus, c’est de voir la petite en panique qui ne pleurait pas. Apparemment, l’un d’eux a lancé A l’attaque! et c’est parti. Ils étaient tous les quatre à donner des coups. Une enseignante serait intervenue en voyant voler les touffes de cheveux… »

    L’enfant a été examinée à l’unité médico-judiciaire de Pontoise à l’issue de la plainte déposée à Cergy le jour des faits, le 16 septembre. Un mois plus tard, le père de l’enfant doit encore prendre en charge les conséquences des brutalités. « Océane était propre, elle fait de nouveau pipi au lit. Elle fait des cauchemars et frappe son frère de 7 ans à coups de poing. Ma fille garde encore un comportement violent, même si cela s’atténue un peu. C’est aussi le retour des doudous, la lumière qui doit rester allumée pour dormir. On est un peu déboussolés… »

    Le père marque une pause, puis poursuit. « J’ai vu les enseignants, l’inspectrice. On m’a répété : On est désolé. Je ne demande pas l’exclusion définitive des enfants, mais il faut peut-être les déplacer dans différentes écoles pour les séparer. On nous a expliqué que nous pourrions bénéficier de toutes les dérogations possibles pour inscrire ailleurs la petite, où nous voulons. Mais ce n’est quand même pas à nous de partir! J’ai demandé à l’un d’eux pourquoi il avait fait cela : j’ai rencontré le silence et des yeux vides. » Autre sujet de colère pour le père : la punition infligée selon lui aux quatre auteurs des violences. « Ils ont été privés de récréation pendant une semaine. »

    Du côté de l’inspection académique du Val-d’Oise, on assure « suivre l’affaire de près ». « L’inspectrice est intervenue auprès des équipes enseignantes. Des mesures éducatives ont été prises pour les enfants, le nécessaire a été fait pour que cela ne se reproduise pas. Les familles des quatre enfants concernés ont notamment été reçues. » L’inspection, qui ne précise pas quelles actions ont été entreprises, ajoute qu’une aide psychologique a été proposée à la petite fille. Pour le père de famille, cette agression justifie en tout cas la mise en place de tests, pour dépister dès l’âge de 5 ans les élèves à haut risque, projetée par le ministère de l’Education nationale.

    Quant à sa plainte au pénal, elle ne pourra déboucher sur aucune procédure, au vu de l’âge des mis en cause (la responsabilité pénale débute à 13 ans). Toutefois, les policiers du commissariat de Cergy devraient convoquer les parents des quatre écoliers pour les auditionner...

    Le Parisien  - 24/10/11

  • Anvers: un voleur de 16 ans tué par sa victime de 84 ans

    Un jeune homme de 16 ans a été tué ce dimanche midi à Borgerhout, dans la province d'Anvers, par l'occupant de la maison qu'il était en train de cambrioler. L'habitant n'a pas été placé actuellement sous mandat d'arrêt.

    23 Octobre 2011 19h59

    Un adolescent de 16 ans a été tué dimanche à Borgerhout, près d'Anvers, par l'occupant d'une maison où il s'était introduit avec un complice, a indiqué le parquet d'Anvers. L'habitant n'a pas été placé actuellement sous mandat d'arrêt. Le parquet d'Anvers a toutefois désigné un juge d'instruction pour cette affaire.

     L'habitant se défend

    Les deux voleurs s'étaient introduits vers 12h40 dans une habitation située Vooruitzichtstraat. Ils ont contraint l'habitant à ouvrir un coffre-fort, mais la victime a réussi à s'emparer d'un objet pointu pour se défendre. "La personne s’est emparée d’un couteau et a blessé l’un des voleurs avec celui-ci", a indiqué Veerle De Vries, porte-parole de la police d’Anvers, au micro de Nadia Bouria et Eric Demortier pour RTL-TVI. Les deux auteurs ont tenté de prendre la fuite mais l'adolescent blessé par l'objet pointu est décédé un peu plus loin des suites de ses blessures. Son complice est lui toujours en fuite.

    L'habitant est un homme âgé de 84 ans. En état de choc, il ne peut être actuellement auditionné. Selon le parquet, deux malfaiteurs sont impliqués dans cette affaire mais on ignore encore à ce stade si le complice de l'adolescent décédé se trouvait lui aussi dans l'habitation visitée.   

     Tension entre la police et les jeunes

    Dans le quartier c’est l’émoi, des dizaines de jeunes se sont rassemblés, mécontents que l’un d’entre eux, issu du quartier soit tué, peu importe qu’il se soit introduit chez un habitant sans y être invité. La tension était palpable et est montée entre les policiers et les jeunes.

    RTL INFO. be - 23/10/11

     

  • La nouvelle Libye: la législation du pays sera fondée sur la loi islamique

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    (Cliquez sur la photo)

    dimanche 23 octobre 2011, par La Rédaction

    Le président du Conseil national de transition (CNT) Mustapha Abdel Jalil a répété, dimanche, à Benghazi, où la "libération" de la Libye a été proclamée, que la législation du pays sera fondée sur la charia (loi islamique). "En tant que pays islamique, nous avons adopté la charia comme loi essentielle et toute loi qui violera la charia sera légalement nulle et non avenue", a indiqué Abdel Jalil devant des dizaines de milliers de personnes réunies pour une cérémonie de proclamation de la "libération" du pays.
    À la mi-septembre, le chef des autorités de transition avait déjà affirmé que l’islam serait la principale source de législation dans la nouvelle Libye et avait rejeté toute "idéologie extrémiste". Dimanche, il a cité en exemple la loi sur le divorce et le mariage qui, sous le régime de Muammar Kadhafi, interdisait la polygamie et autorisait le divorce. "Par exemple, la loi sur le divorce et le mariage (...), cette loi est contraire à la charia et elle n’est plus en vigueur", a indiqué Mustapha Abdel Jalil.
    Il a également annoncé l’ouverture de banques islamiques en Libye qui, conformément à la loi islamique, interdisent de toucher des intérêts. "Il y a de bonnes intentions derrière la régulation de la loi sur les banques. Nous cherchons en particulier à établir des banques islamiques qui (...) interdiront l’usure dans l’avenir, selon la tradition islamique", a-t-il indiqué.

    AL-OUFOK

     

  • VIDEO - Entretien avec Jean-Marie Le Pen et Omar Djellil

    Entretien exclusif avec Jean-Marie Le Pen et Omar Djellil à Marseille, au Conseil régional, le 21 octobre 2012

    23/10/11

  • Indice pour Jeux de mots, devinettes et à-peu-près

    Sortez de votre cuisine après avoir mélangé les oeufs avec le thé et allez taper la bonne réponse sur votre clavier!

    Il s'agit d'un mot précis et non d'un à-peu-près.

  • La guerre en Libye va coûter un peu plus de 300 millions d'euros à la France

    Un lien intéressant, avec de nombreuses photos de BHL : http://www.forum-algerie.com/actualite-internationale/59723-saif-e-s-t-sauf.html

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    »La facture de l'intervention de la France en Libye «va tourner un petit peu au-delà de 300 millions d'euros en coût direct». Invité dimanche du Grand Rendez-vous Europe 1 - iTélé - «le Parisien», Gérard Longuet confirme un chiffre proche de celui qu'il avait déjà avancé en septembre. Le ministre de la Défense évoquait alors un coût de 320 millions d'euros.

     

     Cela réprésente «un tiers du budget» des Opérations extérieures (Opex) de l'armée françaises pour 2011, a-t-il précisé.

    Commentant les images sanglantes de la dépouille de qui ont tourné en boucle sur les télévisions du monde entier, Longuet a lancé : «Je suis assez chrétien de ce point de vue. Le visage ensanglanté ne doit pas faire oublier tous les visages ensanglantés depuis 40 ans.»  Il juge néanmoins «déshonorantes» les conditions de la mort de l'ex-dirigeant . «Nous avons une armée retenue, ce n'est pas le cas de tout le monde», a taclé le numéro 3 du gouvernement. «La commission des droits de l'homme des Nations Unis a demandé une enquête. Nous bénéficierons des résultats de cette enquête», a-t-il rappelé. Pour autant, il espère que les rapports entre la France et la Libye pourraient se normaliser dans les mois à venir. «Nous aurons des relations d'Etat à Etat» a-t-il assuré.

    Dépouille de Marie Dedieu : «La France va payer». Le ministre est également revenue sur la mort de Marie Dedieu. dont les ravisseurs ont réclamé de l'argent pour rendre la dépouille de cette otage, dont la mort a été annoncée cette semaine. «La France va payer, mais l'information n'est pas confirmée», a-t-il assuré. Gérard Longuet en a profité pour donner des nouvelles des autres autres otages au Niger. «Des négociations sont en cours, la ligne n'est pas rompue. Pour l'otage en Somalie, la situation est difficile. Mais ceux là sont vivants, on s'occupe d'eux, comme de nos journalistes», a-t-il assuré.

    Irak : ce conflit «n'est pas une victoire de l'Amérique». Interrogé sur la guerre en Irak, le ministre de la Défense a souligné que c'était une erreur. «Je crois qu'il n'y avait pas de guerre à faire. Il y avait une pression à mettre sur un dictateur finissant et qui aurait sans doute fini comme les autres par une mobilisation de son propre peuple», a-t-il commenté. Pour le ministre, ce conflit guerre «n'est pas une victoire de l'Amérique. C'est une guerre dont on a du mal à comprendre la sens. Les Etats-Unis se sont lancés dans une gestion difficile d'un terrain ambitieux et ils se sont affaiblis».

    Hollande, «le meilleur de la classe». Concernant l'investiture de François Hollande comme candidat socialiste à la présidentielle, il juge sévèrement le prétendant à l'Elysée. «S'il fallait élire le meilleur camarade de classe, aurait peut-être sa chance. En revanche, s'il faut choisir un patron pour aller à l'assaut, je préfère l'expérience de Nicolas Sarkozy», a ssuré Gérard Longuet.

    Le Parisien- 23/10/11

     

  • Echec de la Charte de la diversité de Claude Bébéar

    Face l’échec promotionnel retentissant de la Charte de la diversité initiée par Claude Bébéar en 2004, le rapport 2011 est accablant de médiocrité. Dans la chronique présentée par Pierre-Henri de Menton, directeur de la rédaction de l’hebdomadaire Challenge, diffusée vendredi 21 octobre sur BFM Business, on grossit les chiffres sur le nombre d’entreprises qui ont signées cette charte. Sur l’écran vous pourrez lire 4.000 entreprises signataires alors qu’il y en a que 3.357, ce qui est loin d’être brillantissime au bout de 7 ans d’existence, d’autant plus que la France compte plus de 2 millions d’entreprises.

    Dans cette vidéo, on apprend que, selon Claude Bébéar, « la Charte de la diversité doit donner aux entreprises les couleurs de la France, il s’agit de les pousser à réserver [...] mais aussi et surtout aux minorités visibles et c’est sur ce dernier point que les choses n’avancent pas ! ». 90 % d’entre-elles n’appliquent pas les engagements. De l’aveu même de Claude Bébéar, beaucoup d’entreprises signent sa charte pour se donner bonne conscience, pour se vanter de l’avoir fait. Il est précisé que la Diversité reste surtout « une affaire de Com’ ». Le département de Seine-Saint-Denis est le symbole des « minorités visibles ».

    NPI - 23/10/11

  • La sorcière Clinton rit de la mort de Kadhafi: toute l'ignominie du NOM!

    (Merci à lemartien de m'avoir communiqué le code embed de cette vidéo à revoir!)

    *****************

    Paraphrasant l’imperator Jules César à l’issue de la guerre des Gaules (« Veni, vidi, vici » c’est-à-dire : « je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu »), la secrétaire d’État des États-Unis d’Amérique, Hillary Clinton, a déclaré en riant à CBS à l’issue de la guerre contre la Libye : « We came, we saw, he died ! » (« Nous sommes venus, nous avons vu, il [Kadhafi] est mort ! ») [1]

           

    [1] Dans le contexte culturel de l’armée US, ce jeu de mot porte une connotation particulière soulignant que Mouammar Kadhafi était personnellement la cible : Veni, Vidi, Vici est en effet la devise de l’école des tireurs d’élite de l’armée de terre.

    Thierry Meyssan - Réseau Voltaire

    23/10/11

  • Elections tunisiennes - Les premières observations de l'Atide

    La mission d’observation de l’Association tunisienne pour l’intégrité et la démocratie des élections (Atide) a fait un point sur le déroulement des élections de la Constituante à 13 h.


     

    L’Atide, qui a déployé ses observateurs dans les bureaux de vote, et qui dispose aussi d’un système de traitement et d’analyse des données collectées basé sur une plateforme de télécommunication performante, a retenu au cours de la matinée plusieurs points positifs, notamment une grande affluence (accompagnée d'une  lenteur des opérations de vote !), l’ouverture à l’heure convenue (7h) de la grande majorité des bureaux de vote et la présence de la plupart des membres de bureau. Le nombre requis étant de 4, l’Atide a noté la présence de 4 membres dans 65% des bureaux, 3 membres dans 15% et 2 membres dans 2%.

    Parmi les irrégularités, l’Atide a relevé, dans les bureaux spéciaux une «mauvaise orientation des électeurs qui sont adressés vers des bureaux éloignés.» Conséquence : «Il y a des groupes politiques qui en profitent pour organiser le transport de ceux qui comptent voter pour eux. Ce qui compromet l’équité du vote. Ceux qui n’ont pas trouvé une solution de transport ont abandonné leur droit de vote.»

    Par ailleurs, l’absence de comptabilité électorale claire fait régner «un flou sur les chiffres électoraux (le nombre d’inscrits sur les listes). Ce qui compromet l’intégrité et la transparence des résultats.»

    Les membres des bureaux ont refusé le vote aux électeurs pourvus de cartes d’identité nationale émises après le 14 août 2011.

    Autres irrégularités soulignées :
    - Peu de représentants de listes présents dans les bureaux de vote. Dans 1 bureau sur 3, le représentant a été refoulé.
    - Des observateurs Atide ont été refoulés par le président de certains bureaux de vote, et n’ont pas pu observer.
    - Kebili : tentatives d’achats de vote par distribution de colis alimentaire (le colis contient de l’alcool dans certains cas).
    - Béja : tentatives d’achats de vote par la distribution d’argent liquide.
    - Nabeul : propagande autour des centres de vote par certains partis politiques

    http://www.kapitalis.com/fokus/62-national/6477-elections-tunisiennes-les-premieres-observations-de-latide.html

    Kapitalis - 23/10/11

  • Marine Le Pen Face à l'actu sur M6

    23/10/11

  • Eric Besson: le peuple français n'existe pas !

    Vidéo du 19 janvier 2010

    A revoir!

    23/10/11

  • Des CV vidéo pour promouvoir l'immigration

    22/10/2011 – 10h00
    PARIS (NOVOpress) –
    Nouvelle innovation dans la promotion de l’immigration : le cabinet Mozaïk RH, situé au 3 Boulevard Saint-Martin à Paris et spécialisé dans « la promotion de la diversité et de l’égalité des chances », va mettre en ligne sur son site internet des centaine de CV vidéo de diplômés des « quartiers populaires ». Traduction non politiquement correcte : ces candidatures proviennent du vivier de l’immigration extra-européenne qui concurrence un peu plus la main d’œuvre française et européenne.

    Multiculturalisme économique : des CV vidéo pour promouvoir l’immigration

    Cette initiative s’accompagne d’une campagne de communication classique en faveur de « l’égalité des chances et de la diversité », contre les « discriminations ». Elle vise à valoriser le multiculturalisme économique, véhiculé également à grande échelle dans le sport, la publicité, les médias ou la politique. Une inversion des valeurs où l’identité du pays arrive au dernier rang. Dommage pour les très nombreux chômeurs de souche, qui, eux, n’ont pas le droit à tant d’égards chez eux pour retrouver un travail…

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Des jeunes du Renouveau Français interrompent le spectacle blasphématoire de Castellucci

    Voici la video de l’action menée jeudi par des jeunes militants du Renouveau français Paris (une dizaine face à 400 bobos décadents) contre l’immonde pièce de théâtre scatologique antichrétienne.

     

    Voici le communiqué du RF à ce sujet :

    Jeudi 20 octobre avait lieu au Théâtre de la ville, la première représentation à Paris de la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu ».
    L’auteur de la pièce, Roméo Castellucci, y met en scène un vieillard déféquant sur scène et son fils venant le nettoyer, avec pour arrière-plan le portrait du Christ. Les excréments récoltés par le fils étant destinés à être lancés par des enfants sur le portrait du Christ à la fin de la pièce.

    La haine antichrétienne se montre ici sous son aspect le plus primaire et le plus immonde, comme avec l’affaire du « Piss Christ » à Avignon où cette fois-ci, il était question de représenter le Christ dans de l’urine.

    Pour l’auteur, interrogé lors du festival d’Avignon, il ne s’agit pas d’une œuvre christianophobe mais « d’une pièce faisant appel à l’intelligence et la sensibilité de chacun des spectateurs.
    A la fin du spectacle, un voile noir d’excréments coule sur le portrait du fils de Dieu : Dieu se retire dans le brouillard du fond de la scène, depuis lequel il avait fait son apparition »

    Aurait-il osé s’en prendre de la même façon à l’islam ou au judaïsme ? Certainement pas.
    Dès septembre, les recours légaux avaient été utilisés pour faire interdire ce spectacle scandaleux… Sans succès.
    En France, nation façonnée par le Christianisme, il est toléré de s’en prendre à cette religion de toutes les façons possibles ; c’est même encouragé par les autorités, puisque le spectacle en question a bénéficié de subventions publiques…
    Mais la réaction s’est organisée.

    Les militants du Renouveau français ont eu l’honneur d’inaugurer la chaîne de protestation contre ces blasphèmes !

    C’est ainsi que les spectateurs outrés (et plus encore les responsables du théâtre) ont eu la mauvaise surprise de voir leur représentation interrompue durant plus d’une demi heure.

    Face aux 400 bobos venus se délecter de pseudo « art » scatologique, les militants du Renouveau français sont montés sur la scène aux cris de « Christianophobie, ça suffit ! »
    Avec ce slogan, parfaitement visible sur la banderole qui fut déployée, tous devraient avoir saisi la raison de notre action, mais surtout, avoir compris que les défenseurs de la Chrétienté ne tolèreront désormais plus que l’on s’en prenne ainsi à la religion, colonne vertébrale de notre civilisation.
    Après une dizaine de minutes plutôt animées, nos militants ont entamé le chapelet d’abord face aux spectateurs en guise de réponse à leurs insultes, puis face à la sainte image du Christ, désarçonnant ainsi la sécurité des lieux, avant d’être finalement délogés par la police.

    Ils s’en sont tirés avec près de vingt-quatre heures de garde-à-vue : une répression ahurissante et scandaleuse alors qu’aucune violence n’avait été commise.

    Le Comité directeur du Renouveau français félicite la dizaine de jeunes militants qui se sont illustrés ce jeudi et sait qu’ils feront des émules, au service de la dignité, de notre civilisation et de la chrétienté.
    Il invite les Français las du climat actuel à le rejoindre, ou du moins le soutenir, et à travers lui soutenir les jeunes Français qui ont sauvé l’honneur ce jeudi.

    Contre-info.com - 22/10/11

  • PARIS - Manifestation contre la christianophobie - Un militant de l'Action Française écrasé par un car de police

    22/10/11 – 20h30
    PARIS (NOVOpress) –
    La mobilisation des milieux catholiques et de divers groupes de la droite patriote contre le spectacle blasphématoire de Roméo Castelluci, “Le concept du visage du fils de Dieu” (1) actuellement joué au Théâtre de la ville, a suscité une répression policière d’une rare violence.

    Visiblement plus efficaces et moins terrorisés par la « bavure » en face des militants nationalistes que lorsqu’ils sont confrontés aux bandes ethniques de banlieues, les forces de l’ordre ont en effet réprimé de façon particulièrement « musclée » les manifestations organisées devant le théâtre parisien.

    Outre une trentaine de jeunes militants du mouvement royaliste arrêtés, un jeune manifestant a eu la jambe écrasée par un car de police alors qu’il était menotté et maintenu au sol. Il a été conduit par les pompiers en urgence à l’hôtel Dieu.

    On pourra s’étonner de l’assourdissant silence médiatique entourant cette bavure, alors même que les journalistes et autres associations sont d’ordinaire si prompts à dénoncer la moindre « violence policière » dès lors qu’elle touche un membre de l’un des désormais sacro-saintes « minorités ».

    (1) On peut lire ici l’analyse par France Culture du spectacle quand il a été joué à Avignon.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • PAU - Le corps du jeune Alexandre Junca a été retrouvé: un crime satanique ?

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    Le beau-père et la mère d'Alexandre Junca, 13 ans - (Cliquez sur la photo)

    La terrible confirmation est tombée hier en début d'après-midi : les ossements humains retrouvés sous la digue du canal Marsan, rue Amédée-Roussille, à Pau, sont bien ceux du corps d'Alexandre Junca, le collégien de 13 ans disparu dans la nuit du 4 au 5 juin 2011. « Les résultats des expertises ADN nous ont été communiqués à midi. Ils démontrent qu'il s'agit de l'adolescent », a indiqué le procureur de la République de Pau, Jean-Christophe Muller, lors d'une conférence de presse, précisant que « la quasi-totalité du corps » a été découverte pendant les fouilles. Elles avaient démarré mardi et se sont achevées hier en fin de matinée. De plus, des « résidus non identifiables pour l'instant » ont également été mis au jour.

    Découpé puis jeté dans l'eau

    Tous ces éléments ont été déterrés « dans un périmètre très réduit », dans une zone « envasée et très boueuse », sous les 700 tonnes de gravats qui constituaient la digue. Ce qui signifie que le corps a été déposé à cet endroit avant la construction du bâtardeau érigé en une journée le 15 juin dernier, soit onze jours après la disparition d'Alexandre. « Ces travaux n'étaient pas annoncés, car ils n'ont pas été réalisés sur la voie publique », a indiqué le magistrat.

    L'ensemble des prélèvements a été envoyé pour analyse à l'institut médico-légal de Bordeaux, où doit être réalisée une batterie d'expertises scientifiques. Elles pourraient permettre de dater le décès d'Alexandre et de connaître les causes de sa mort. Deux questions capitales mais toujours sans réponse certaine, plus de quatre mois après la disparition de l'adolescent.

    Selon les premières constatations des experts légistes, le corps aurait été découpé puis jeté dans le canal, qui était en eau avant les travaux d'érection de la digue. Les ossements découverts cette semaine auraient été découpés « dans les mêmes conditions de temps et de moyens » que le fémur retrouvé le 26 juin à une centaine de mètres de là, dans le gave de Pau, a déclaré le procureur. L'autopsie de la cuisse avait révélé qu'elle avait été tranchée post mortem. Mais comment ce membre a-t-il pu sortir du canal et se retrouver dans le gave, où un SDF l'a découvert flottant dans l'eau ? L'hypothèse la plus probable est qu'il soit parti à la dérive sous l'effet des travaux de construction de la digue, d'après le procureur.

    L'enquête sort de l'impasse

    « Cette découverte constitue un moment très important pour l'enquête, qui s'engage dans une nouvelle phase », estime le magistrat. Et sort de l'impasse dans laquelle elle se trouvait. Les experts disposent enfin de nombreux éléments à « faire parler ». Et les enquêteurs d'un nouveau lieu à exploiter, le quartier de la rue Amédée-Roussille, une zone non éloignée du centre-ville mais peu fréquentée la nuit, où se côtoient pavillons, immeubles modestes et anciens bâtiments industriels squattés. Mais aussi de nouvelles données à confronter avec le millier d'auditions et les centaines de perquisitions qu'ils ont déjà réalisées depuis le début de cette affaire et qui n'ont pour l'instant débouché sur aucune interpellation. Une piste pourrait enfin surgir.

    « Aujourd'hui, c'est une nouvelle page qui s'ouvre dans ce dossier », reconnaît Me Emmanuelle Leverbe, l'avocate de Philippe Junca, le père de l'adolescent. « C'est également un moment extrêmement douloureux pour les parents d'Alexandre. Nous souhaitons que la justice puisse leur apporter la réponse à cette horrible question : qui a tué, découpé et jeté dans une rivière leur enfant ? »

    Une quinzaine d'enquêteurs de la police judiciaire y travaillent.

    Sud-Ouest - 22/10/11

     

  • La veuve de Kadhafi: " Je suis fière de lui, il a vécu en combattant et il est mort en martyr"

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    Safia Ferkache, la seconde épouse de l'ex-leader libyen et mère de Moâtassim Billah, Hannibal, Saadi, Seif El Arab et Aïcha, dans une déclaration à la chaîne " Erraï", a demandé l'ouverture d'une enquête sur les conditions de la mort de son époux Mouammar Kadhafi.
    Safia, qui se trouve en Algérie, s'est dite « fière du courage mon mari qui était un moudjahid, fière du courage de mes enfants qui ont affronté l'agression des forces de l'Otan pendant six mois. Ils auront leur place parmi les martyrs au Paradis », a-t-elle dit.

    Par ailleurs, et selon Mohamed Saieh, membre du conseil national de transition, le corps de Mouammar Kadhafi sera enterré quelques part en Libye, sans préciser l'heure, se contentant de dire que ce serait fait dans les 24 heures. « Le CNT n'annoncera pas l'heure de l'enterrement et il n'y aura que peu de gens avec l'imam qui fera la prière », a-t-il dit, avant d'ajouter « notre devoir de musulman nous oblige à respecter le rite d'enterrement selon la charia de l'Islam ».

    http://www.djazairess.com/fr/ennaharfr/8530


    Kadhafi et son fils Moâtassim, torturés avant d'être exécutés

    Une vidéo de trois minutes, dont Ennahar détient une copie, montre le colonel Mouammar Kadhafi et son fils Moâtassim Billah, en vie et en bonne santé lors de leur capture à Syrte. Le leader libyen et son fils ont été exécutés, contrairement aux versions de l'Otan et des combattants du CNT, selon lesquelles les deux hommes étaient morts des suites de leurs blessures. Une vidéo de trois minutes, dont Ennahar détient une copie, montre le colonel Mouammar Kadhafi et son fils Moâtassim Billah, en vie et en bonne santé lors de leur capture à Syrte. Le leader libyen et son fils ont été exécutés, contrairement aux versions de l'Otan et des combattants du CNT, selon lesquelles les deux hommes étaient morts des suites de leurs blessures.
    La première vidéo de Moâtiassim Billah Kadhafi, de quelques secondes seulement, montre le jeune homme dans une salle en bonne santé, assis sur un tapis.
    Il n'avait pas de blessures au cou. Il fumait une cigarette et écoutait sans montrer de signes de peur, les combattants qui scandaient des slogans et insultaient son père. D'autres criaient « Misrata..Misrata » pour l'énerver.
    Les taches de sang sur les membres inférieurs de Moâtassim, plus exactement sur sa jambe gauche et sur son ventre, seraient dues aux éclats des bombardements aériens. Les blessures étaient légères, contrairement à ce qui a été montré sur les photos et vidéo lorsqu'il était mort. De profondes blessures sont apparentes sur son cou, causées par des coups de feu.

     
    L'autre vidéo de trois minutes et 55 secondes, montre les premières images de la capture de Kadhafi. Ce dernier marchait au milieu des combattants, ce qui veut dire qu'il était en bonne santé. Quelques secondes plus tard, dans le désordre total après la venue d'autres combattants, la capture de Kadhafi se transforme en lynchage par des combattants ivre de vengeance. Ces derniers ont fait montre d'une sauvagerie inouïe, sans respect pour la vie ni les droits de l'homme. Kadhafi est jeté par terre avant que des combattants ne commencent à lui donner de violents coups de pieds dans la tête et sur la figure. Un autre lui tire une balle dans la tête.
    Les images les plus odieuses sont celles où les combattants traînaient le corps de Kadhafi par terre pendant qu'un autre dirige son Kalachnikov et lui tire dessus.
    Dans la confusion la plus totale et les cris de « Allah Akbar », on entend « laissez-le en vie », d'autres criaient « tuez-le ». Kadhafi était blessé et saignait de la tête.

    La vidéo muette diffusée par les chaînes Al Arabia et Al Jazira, pour éviter d'entendre les insultes, en plus de la suppression de certains passages horribles, montre le colonel au milieu des combattants sur le capot devant d'un véhicule, puis allongé par terre entouré d'un grand nombre de combattants qui le photographiaient ou l'enregistraient sur leurs téléphones portables.
    Ces vidéos montrent les violentes tortures qu'a subit le colonel Kadhafi avant de mourir des suites de ses blessures. Pendant qu'il saignait abondamment de la tête, un combattant lui assène un violent coup à la tête avant qu'un autre ne le jette par terre alors qu'il agonisait.

    http://www.djazairess.com/fr/ennaharfr/8531

    Farid Merrad

     
    ALTER INFO.NET - 22/10/11


  • Mort de Kadhafi: la Russie a des questions à poser

    IRIB-La mort de l'ex-leader libyen Mouammar Kadhafi soulève à Moscou nombre de questions et notamment la légalité de la frappe de l'Otan contre son convoi, a déclaré vendredi le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a souligné vendredi que le convoi de l'ex-leader libyen "ne menaçait personne" lorsqu'il a été frappé par les forces de l'Otan, dont le mandat était la défense de la zone d'exclusion aérienne. Il n'y a aucun rapport entre la zone d'exclusion aérienne et une attaque contre un objectif au sol, en l'occurence le convoi, d'autant qu'il ne peut être question de protéger des civils vu que ce convoi n'attaquait personne, on peut même dire qu'il était en fuite", a déclaré M. Lavrov à l'antenne de la radio Echo de Moscou.

    http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/148592-le-convoi-de-kadhafi-ne-menacait-personne-quand-il-a-ete-frappe-par-lotan-lavrov

     

     
    Farid Merrad
    ALTER INFO - 21/10/11