Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1345

  • Creuse: Sarkozy oublie de payer "sa tournée" dans un bar

    1649233_photo-1318334066775-2-0_640x280.jpg bar.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    C'est sans doute un simple oubli , une étourderie... Mais en tout cas, la scène, quelque peu cocasse, n'aura pas échappée aux journalistes. Selon le journal La Montagne, tout se passe dans un bar de La Villetelle (Creuse).

    En déplacement sur le thème des «défis de la ruralité», entre dans un établissement «multiservices» tenu par Bruno Durand. 
    Le président s'accoude au comptoir et commande quatre cafés. Il en profite ensuite pour vanter sa politique, et plus particulièrement la baisse de la TVA à 5,5 % dans la restauration, dont il est l'artisan.
    Il lance alors un «C'est ma tournée» pour le moins enthousiaste, avant d'encenser «un bel endroit où on a envie de s’installer », qui sert aussi de marchand de journaux, de station essence, de bureau de poste... dans un village qui ne compte que 160 habitants. 
       
    Seulement, le patron du bar, lui, attend toujours la monnaie ! Parce que planning oblige, Nicolas Sarkozy ne s'est évidemment pas éternisé sur les lieux, et a poursuivi le timing serré de son déplacement, entouré d'une horde de journalistes et de gardes du corps. Dans la mêlée, on l'imagine bien, le chef d'Etat a souri, salué le patron du bar et passé la porte... en oubliant de régler la note.

    Montant du préjudice : 6,60 euros. Dans Libération, la femme du gérant du bar, elle, préfère en sourire. La note du président, pas de problème, c'est pour elle ! «Il y a tellement de monde et de contraintes d'organisation dans ces déplacements que je comprends le ratage. Je ne me serais pas imaginée lui réclamer 6,60 euros pour les quatre cafés commandés».
     
    Le Parisien - 12/10/11
     
  • Béziers: une enseignante s'immole par le feu en s'écriant "C'est pour vous" à l'adresse de ses élèves

     

    Communiqué de Guillaume Vouzellaud, membre du Bureau politique du Front National, secrétaire départemental FN de l’Hérault

    Ce matin 13 octobre 2011 à 10 heures, une enseignante de mathématiques, gravement touchée par un drame familial, mais également poussée à bout de nerfs par des élèves difficiles, s’est immolée par le feu dans la cour d’un lycée de Béziers, Jean-Moulin.

    Le Front National, par l’intermédiaire de son secrétaire départemental de l’Hérault, Guillaume Vouzellaud, apporte son soutien à l’enseignante, sa famille, ses proches, ses collègues et les élèves traumatisés. A n’en pas douter, ce drame illustre d’une manière terrible la situation difficile à laquelle sont confrontés au quotidien enseignants, personnels et élèves.

    Un lycée qui, hélas, porte bien son nom : à entendre élèves, professeurs ou agents techniques, on y entre « comme dans un moulin » ! Ajoutons à cela que ce lycée est aux abords d’un quartier de non-droit – la Devèze – et d’un quartier difficile – La Grangette – et vous aurez compris qu’armes, drogues et autres carburants y entrent en toute impunité. Certains individus fréquentent même l’établissement alors qu’ils n’y sont pas inscrits. Ni portique, ni contrôle efficace, ni surveillance réelle, les élèves, les professeurs comme le personnel ATOS sont livrés à eux-mêmes. C’est la jungle urbaine et cela ne date pas d’hier ! Qu’adviendra-t-il demain dans ce lycée ? Jusqu’où irons-nous dans l’intolérable ?

    Lors de son discours de clôture du colloque du Club Idées & Nation, le jeudi 29 septembre dernier, sur le thème « Comment redresser l’école de la République », Marine Le Pen déclarait : « J’ai entendu beaucoup de souffrance, beaucoup d’inquiétude, beaucoup de déception [de la part des professeurs, des parents et des élèves]. C’est vrai. Il serait fou de prétendre que l’école va bien, que les professeurs en sont satisfaits, que les résultats sont là, et que l’égalité des chances est assurée. »

    Guillaume Vouzellaud, membre du Bureau politique du FN, rappelle que l’élève n’est pas l’égal du professeur et pour que cela soit clair il importe que la discipline soit une valeur remise à l’ordre du jour. L’insécurité à l’école doit être traitée de la même manière que l’insécurité tout court à savoir tolérance zéro (portiques de détection des métaux, ronde de police, aggravation des peines pour les personnes coupables d’avoir insulté ou agressé un enseignant, etc.). Enfin, tout élève doit sortir de l’école en sachant vraiment lire, écrire, compter et chanter « La Marseillaise » (niveau certificat d’étude).

    Seule, Marine Le Pen aura les compétences, le cœur, la force et l’intransigeance pour faire appliquer dans nos établissements scolaires, les lois et les valeurs de la République.

  • Déni de démocratie: l'UE a fait revoter la Slovaquie

    Pour faire suite au refus par le parlement slovaque de l’élargissement du FESF (Renforcement du fonds de stabilité financier), l’Europe anti-démocratique a aussitôt exigé que la Slovaquie revote !

     Chose effective ce soir, puisque le Parlement slovaque a approuvé ce jour (13 octobre 2011) le renforcement du Fonds européen de stabilité financière lors d’un second vote, permettant l’entrée en vigueur de cet outil.

    Déni de démocratie surtout quand plus de 60 % des Slovaques refusent le FESF dans deux sondages parus la semaine dernière.

    NPI - 13/10/11

  • L'Iran prépare une bombe nucléaire selon le dernier rapport de l'AIEA

    0e0b06d0-f5c4-11e0-a34c-422193d90c6d.jpg Iran.jpg

    Centrale de Bouchehr  (Cliquez sur la photo)

    INFO LE FIGARO - Preuves à l'appui, l'AIEA va dénoncer sans ambiguïté le caractère militaire du programme nucléaire de Téhéran.

    Ce devrait être le rapport le plus dur et le plus complet jamais écrit par l'Agence internationale de l'énergie atomique sur l'état d'avancement du programme nucléaire iranien. Restée pendant des années ambiguë, puis prudente, l'AIEA, à l'occasion de son prochain conseil des gouverneurs, le 17 novembre à Vienne, s'apprête, selon les informations obtenues par Le Figaro, à dénoncer, preuves à l'appui, le caractère militaire de ce programme qui vise à doter l'Iran de la bombe. «Ce rapport sera l'un des plus importants sur le sujet», affirme un spécialiste proche du dossier.

    À Paris et dans les chancelleries qui s'inquiètent du développement de la prolifération nucléaire, le caractère militaire du programme iranien est depuis longtemps un secret de Polichinelle, alimenté par des photos satellites, des rapports d'experts ou des confessions de dissidents. Mais l'agence de l'ONU, tout en s'inquiétant publiquement des activités d'enrichissement de l'Iran, ne l'a jamais affirmé aussi clairement qu'elle s'apprête à le faire le mois prochain. Pourquoi maintenant ?

    D'abord parce que, malgré la contestation politique qui a placé le régime sur la défensive depuis 2009, l'Iran persévère dans sa marche rapide vers la bombe. Installations de nouveaux fourneaux, création de centrifugeuses supplémentaires, poursuite des activités d'enrichissement…

    Rien de neuf sous le soleil, diront les spécialistes du dossier, dont certains estiment que l'AIEA aurait pu et dû frapper du poing sur la table beaucoup plus tôt. Mais le départ de Mohamed ElBaradei, qui a quitté la tête de l'agence fin 2009, aurait selon eux libéré la parole des spécialistes de l'agence et permis l'arrivée d'équipes nouvelles, plus professionnelles. Le patron égyptien de l'AIEA a en effet longtemps été soupçonné de minimiser le programme nucléaire iranien, voire d'en dissimuler certains éléments.

    Course contre la montre 

    Mais le contexte diplomatique et géopolitique explique également le changement de ton de l'AIEA. Dans les capitales occidentales, on est persuadé qu'il faut agir sur le dossier avant 2012, année d'élections très importantes. À Moscou d'abord, où le retour annoncé de Vladimir Poutine à la présidence pourrait se traduire par un durcissement de la position russe vis-à-vis de l'Occident. Alors que des tensions se profilent en amont du sommet de l'Otan à Chicago sur la défense antimissile, le pouvoir russe devrait être tenté, pensent les diplomates, de jouer la carte iranienne pour faire valoir ses positions. À Washington, où les difficultés rencontrées par Barack Obama pourraient contraindre le président américain à se détourner momentanément de certains dossiers internationaux au profit de la scène intérieure. À Paris, où l'éventualité d'une défaite de Nicolas Sarkozy, qui a fait du dossier iranien l'une de ses priorités internationales, risquerait d'affaiblir la détermination de la France vis-à-vis de Téhéran. À Pékin enfin, où l'arrivée au pouvoir de la cinquième génération du Parti communiste chinois, couplée aux élections législatives et présidentielle de Taïwan, pourrait faire disparaître le dossier iranien de l'agenda. À cela, s'ajoute la conviction de certains observateurs que les sanctions internationales prises à l'encontre de Téhéran commencent à avoir des effets, même si les conséquences économiques sont encore camouflées par le pouvoir.

    Il s'agit donc d'une course contre la montre, engagée depuis plusieurs mois déjà par l'ensemble des capitales occidentales afin d'atteindre le pouvoir iranien avant qu'il ne soit trop tard et tant que le contexte géopolitique le permet.

    Pour arriver à leurs fins, les nations ont fourni de nombreux documents relatifs au programme nucléaire iranien à l'AIEA. Elles planchent également sur de nouvelles sanctions, destinées à faciliter un éventuel effondrement du régime. Car si certains experts estiment qu'il est peut-être trop tard pour empêcher Téhéran de se doter de la bombe, ils redoutent par-dessus tout que la nucléarisation de l'Iran ait lieu sous le régime actuel. Ils aimeraient également éviter qu'Israël ne décide de lancer des frappes préventives contre les centrales iraniennes, avec les lourdes conséquences qu'aurait une telle action sur la région.

    Le Figaro - 13/10/11

  • Libye: les forces du CNT reculent à Syrte sous le feu des pro-Kadhafi

    Les forces du nouveau régime libyen, qui disaient avoir cerné les derniers fidèles de Mouammar Kadhafi dans deux quartiers de Syrte, ont reculé de deux kilomètres jeudi sous leur feu nourri, selon un journaliste sur place.

    Le Conseil national de transition (CNT), l'ex-rébellion qui a renversé le régime Kadhafi, attend la chute de Syrte, à 360 km à l'est de Tripoli, pour proclamer la "libération totale" du pays et reprendre ses discussions en vue de former un gouvernement chargé de gérer la transition.

    "Nous avons dû nous retirer vers le QG de la police (pris mardi, près de la place centrale de la ville) et nous allons utiliser l'artillerie lourde pour frapper les forces de Kadhafi", a déclaré Hamid Neji, un combattant pro-CNT sur la nouvelle ligne de front.

    "Plus tôt dans la journée, nous étions engagés dans des combats de rue, mais nous avons arrêté. Les pro-Kadhafi tirent sur nous des roquette, des mortiers et des bombes", a déclaré Faysal Bringo, un autre combattant pro-CNT qui revenait de la ligne de front.

    Mais selon Rawad Friwane, chirurgien à l'hôpital de campagne situé à l'entrée ouest de Syrte, les pertes enregistrées jeudi --quatre pro-CNT tués et 40 blessés-- étaient dues en majorité à des tirs fratricides et aux balles des tireurs embusquées pro-Kadhafi toujours positionnés dans la ville.

    "Il y a encore 500 combattants pro-Kadhafi dans Syrte et nos forces en ont arrêté 15 aujourd'hui" (jeudi), a affirmé Faysal Bringo, assurant que "le quartier n°3 est libérée" mais faisant toujours état de "violents combats dans les quartiers n°1 et 2", au bord de la Méditerranée dans le nord-ouest.

    Le contrôle des différentes zones de la ville est toutefois régulièrement annoncé puis démenti par les diverses brigades engagées dans les combats sur les fronts Est et Ouest de Syrte.

    Outre Syrte, les forces du CNT assiégeaient toujours l'oasis de Bani Walid, un autre bastion pro-Kadhafi à 170 km au sud-ouest de Tripoli.

    Mais Youssef Amrou, un combattant de l'une des principales brigades engagées sur ce front, a annoncé qu'elle avait reculé d'une trentaine de kilomètres mercredi en raison d'un différend avec d'autres brigades accusées de ne respecter aucune consigne.

    Le chef du comité local du CNT de Bani Walid, Al-Haj Mbarak Al Fatnani, a démenti et expliqué que les combats étaient suspendus pour préparer la prochaine offensive. Selon lui, il reste 1.500 combattants pro-Kadhafi dans Bani Walid, dont 5% des habitants n'ont pas encore fui.

    Mercredi soir, des tirs de joie et des concerts de klaxon ont résonné à Tripoli et à Misrata pour saluer l'annonce de l'arrestation à Syrte de Mouatassim, l'un des fils Kadhafi, mais cette information a été démentie jeudi.

    Après avoir confirmé l'arrestation mercredi soir, Abdelkarim Bizama, conseiller du chef du CNT, Moustapha Abdeljalil, est revenu jeudi sur ses propos.

    "A Syrte, le commandant Wissam ben Ahmed, l'un des chefs des opérations du CNT sur le front Est, a assuré que Mouatassim Kadhafi n'avait pas été arrêté.

    "Mais certains prisonniers que nous avons capturés disent que (Mouammar) Kadhafi se trouve à Syrte", a-t-il ajouté. L'ancien dirigeant est en fuite depuis la chute de son QG à Tripoli le 23 août, après 42 ans au pouvoir.

    Les annonces erronées ou non confirmées sur l'arrestation, la fuite ou le décès de proches de M. Kadhafi se sont multipliées ces derniers mois.

    Jeudi matin, un combattant pro-CNT a raconté avoir arrêté la veille avec quatre camarades le mufti de Libye, Khaled Tantouche, plus haute autorité religieuse sous le régime Kadhafi, alors qu'il avait changé d'apparence et tentait de fuir Syrte.

    Dans un rapport publié jeudi, Amnesty International (AI) a exhorté le CNT à mettre rapidement fin aux détentions arbitraires et aux mauvais traitements des prisonniers, faisant valoir que cette réminiscence du régime déchu ternissait leur image.

    Nombre de prisonniers ont été battus, et "dans certains cas, il y a des preuves de tortures pour obtenir des aveux ou punir" les personnes soupçonnées de liens avec le régime déchu, tout particulièrement les Noirs, selon AI.

    Sur le plan économique le gazoduc Greenstream, le seul reliant la Libye à l'Italie et à l'Europe, a été relancé jeudi, près de huit mois après sa suspension en raison du conflit, a annoncé le géant pétrolier et gazier italien ENI, qui gère ce gazoduc avec la compagnie libyenne NOC.

    "NOC (National Oil Corporation) et ENI (...) ont entamé aujourd'hui les activités d'injection de gaz naturel dans le gazoduc Greenstream qui relie l'unité de traitement de Mellitah, sur la partie ouest de la côte libyenne, à Gela", en Sicile, selon un communiqué d'ENI.

    TopNews

    Le Nouvel Observateur - 13/10/11

  • Humour ?

    1002127.jpg Chappatte.jpg

    (Cliquez sur le dessin)

  • DSK/Banon: le parquet classe sans suite la plainte de la jeune femme

    1634973_photo-1317460732321-1-0_640x280.jpgBanon.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Trois mois après le dépôt de plainte de contre DSK, pour tentative de viol en 2003, le parquet de Paris a décidé de classer l'affaire sans suite, même si la justice a reconnu qu'il y avait bien eu «agression sexuelle». Mais pour ce seul chef d'accusation, il y a prescription trois ans après les faits.

     La plainte est donc classée.
    Tristane Banon, elle, s'y attendait un peu : déterminée à aller jusqu'au bout, la journaliste avait prévenu que si le parquet classait sa plainte, elle irait immédiatement se porter partie civile. Une nouvelle procédure qui entraîne automatiquement la désignation d'un juge d'instruction. 

    A l'annonce du classement de la plainte, la réaction de l'avocat de Tristane Banon, Me David Koubbi, ne s'est pas faite attendre. Pour lui et sa cliente, même si la décision du parquet est «insatisfaisante», la justice a tout de même reconnu que Dominique Strauss-Kahn était un «agresseur sexuel non jugé».
    «C'est une première victoire pour Mlle Banon, se réjouit-il d'ailleurs, puisqu'au terme de cinq mois d'une bataille acharnée, il est établi sans réserve que son dossier n'est pas vide, et que les faits qu'elle a dénoncés ne sont pas "imaginaires" contrairement aux affirmations de M. Dominique Strauss-Kahn».

    Pour Me Frédérique Beaulieu, l'avocate de Dominique Strauss-Kahn, son client est désormais «totalement blanchi». Sur BFMTV, la défenseur de DSK s'est justifiée ainsi : «Quand quelqu'un fait l'objet d'une plainte et que cette plainte est classée sans suite, ça veut dire qu'il n'y a pas lieu à poursuivre la personne. Cela s'appelle être blanchi».

    La romancière - dont le livre-confession vient justement de paraître ce même jour, «Le bal des hypocrites» (Au Diable Vauvert) et dans lequel elle livre sa version des faits - avait passé plus de deux heures le 29 septembre dernier, dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne à Paris, face à son agresseur présumé, Dominique Strauss-Kahn. Une confrontation qu'elle avait elle-même demandée. Lors de ce face à face, au cours duquel DSK n'aurait, selon Banon, pas «osé la regarder», l'ancien patron du FMI avait confirmé avoir «tenté de l'embrasser», tout en démentant l'agression. 

    C'est au tout début du mois de juillet, alors que DSK est plongé au coeur d'une autre affaire de viol et d'agression sexuelle à New-York, que Tristane Banon se décide à porter plainte contre DSK, huits ans après les faits présumés. La journaliste raconte qu'en février 2003, Strauss-Kahn a tenté de la violer lors d'un entretien professionnel dans un appartement parisien. 
    «Il y a eu une tentative de viol et ça je le maintiens», a-t-elle toujours martelé.

    Le Parisien - 13/10/11

     

  • A propos de la libération de l'étudiant franco-palestinien Salah Hamouri

    salah-2-2-79c11.jpg

    Communiqué de l'Association France Palestine Solidarité (AFPS)

    Heureuse libération de Gilad Shalit : et Salah Hamouri ?

    http://www.france-palestine.org/article18481.html

    L’Association France Palestine Solidarité (AFPS) se félicite de la conclusion d’un accord aboutissant à la libération de Gilad Shalit et de 1027 prisonniers palestiniens.

    « Nous avons une pensée pour toutes les personnes libérées et pour leurs familles. Nous voulons y voir une étape de la marche vers la réconciliation nationale palestinienne. » a déclaré Jean-Claude Lefort, président de l’AFPS. « Cette bonne nouvelle ne doit toutefois pas éclipser le fait que 5000 autres prisonniers politiques sont toujours détenus, dont un autre ressortissant français, Salah Hamouri, emprisonné depuis sept ans suite à un procès inique, ainsi qu’un grand nombre de députés et responsables politiques palestiniens. » a-t-il ajouté.

    L’AFPS appelle les autorités françaises à agir pour la libération de notre compatriote franco-palestinien. Salah Hamouri, détenu arbitrairement depuis près de sept ans. Ce dernier, dont la détention doit se terminer en novembre, risque actuellement de voir sa peine rallongée de 140 jours sous l’effet de la loi dite « Shalit ».

    L’AFPS exprime par ailleurs sa préoccupation face à l’aggravation récente des conditions de détention des prisonniers palestiniens. Parmi ces mesures figurent l’interdiction faite aux prisonniers palestiniens de poursuivre des études universitaires, l’interdiction à l’accès aux livres, l’intensification de la pratique de fouilles humiliantes sur les prisonniers, la limitation drastique du droit de visite, la mise à l’isolement des leaders palestiniens, et l’aggravation arbitraire des peines d’emprisonnement. Depuis le 27 septembre, plusieurs centaines de prisonniers palestiniens ont entamé une grève de la faim illimitée dans plusieurs prisons israéliennes pour protester contre ces punitions collectives, qui constituent une violation du droit international.

    13/10/11

    Pas de visites de la Croix-Rouge?

  • Commentaires

    En raison du grand nombre des commentaires reçus ce soir, je ne pourrai les publier que demain, vu l'heure tardive!

    Merci pour votre compréhension!

    Bien cordialement,

    Gaëlle Mann

  • Prévu aujourd'hui, le procès d'Houria Bouteldja est reporté !

    Houria-Bouteldja-500x250.jpg

    Pour elle, les Français sont des "sous-chiens"

    PARIS (NOVOpress) – Le procès d’Houria Bouteldja aura-t-il lieu un jour ? Pourra-t-on un jour condamner ses propos racistes sur les « souchiens » ? L’on peut légitement se poser la question lorque l’on apprend que le procès, conséquence d’une plainte de l’Agrif, prévu aujourd’hui est reporté en raison de la “maladie” d’une employée du Tribunal en charge de ce dossier.

    Dans un communiqué, le Bloc Identitaire condamne fermement la dérobade judiciaire et maintient la mobilisation.

    Pour le Bloc Identitaire, « à qui fera-t-on croire que l’indisponibilité d’une seule personne puisse constituer la véritable cause de report d’un procès aussi dérangeant pour l’ensemble de la classe politique ? Si c’était le cas, cette situation serait révélatrice de la déconfiture de l’ensemble de l’appareil judiciaire. »

    De plus, toujours selon le Bloc Identitaire, « cette affaire qui remonte à plus de quatre ans s’annonce comme un véritable fiasco judiciaire car elle démontre qu’il existerait une double échelle des peines et des traitements. Pour injures raciales, un simple quidam “sous-chien” sera présenté en comparution immédiate, fera l’objet de lourdes amendes, éventuellement de prison avec sursis et depuis peu de mesures de détention provisoire… Et inutile de s’attarder sur les écrits de dirigeants identitaires dont les condamnations se chiffrent en dizaines de milliers d’euros. »

    12/10/11

  • Une lettre d'Einstein sur le "péril abominable" nazi vendu 10.000 euros

    1650804_einstein.jpg

    (Cliquez sur la lettre pour l'agrandir)

    Une lettre d' datée de 1939 qui évoque le «péril abominable» nazi a été vendue 13 936 dollars (10 094 euros) aux enchères mardi à Los Angeles en Californie (Etats-Unis), doublant ses estimations, a annoncé la maison d'enchères Nate D. Sanders.

    Le lot comprenait une lettre datée du 10 juin 1939, écrite à la machine et signée à la main, avec pour en-tête l'adresse d'Einstein à l'université de Princeton, ainsi que l'enveloppe originale décrite comme «en très bon état».

     


     
    «Contribuer à apporter une aide si importante à nos compagnons juifs persécutés»

    Le savant, prix Nobel de physique 1921, avait écrit à un homme d'affaires de New York, Hyman Zinn, pour le féliciter d'aider les juifs qui quittaient l'Allemagne et les persécutions nazies.

    «Cela doit être une source de grande satisfaction pour vous de contribuer à apporter une aide si importante à nos compagnons juifs persécutés, de les sauver de ce péril abominable et les conduire vers un avenir meilleur», écrit le savant.

    Albert Einstein, qui avait fui l'Allemagne à l'arrivée des Nazis au pouvoir en 1933, dit que les juifs doivent s'entraider. «Le pouvoir de résistance qui a permis au peuple juif de survivre pendant des milliers d'années, repose sur les traditions d'entraide», écrit le savant.

    «Dans ces moments de détresse, notre volonté de nous aider les uns les autres est mise particulièrement à l'épreuve. Puissions-nous réussir cette épreuve comme nos pères l'ont fait avant nous». «Nous n'avons pas d'autres moyens pour nous défendre que d'être solidaires et d'être conscients que notre cause est sacrée», écrit-il.

    Le Parisien - 12/10/11

  • Jean Dujardin, acteur 300% français ! Enfin un!

    chauvin.jpg

    Jean Dujardin, né Jean Edmond Dujardin le 19 juin 1972 à Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine, est un acteur, réalisateur et producteur français.

    Ça vous plairait de faire carrière aux États-Unis ?
    Pas spécialement. Le luxe, la liberté de lancer des projets, de produire, je l'ai en France. Si j'avais une belle proposition, je ne dirais pas non, mais pas parce que c'est aux États-Unis. Je ne peux pas m'imaginer m'installer là-bas, je suis trop français. J'ai envie de tourner avec des potes, dans ma langue, et je trouverais lâche de me barrer. Je fais peut-être du populisme, mais je pense qu'il y a beaucoup de choses à faire ici. Je suis chauvin. Français à 300% ! Au fond, l'Amérique, je m'en fous un peu... Et puis ils ont déjà tous les acteurs qu'il faut.

     

  • Pourquoi l'israélien Guilad Shalit a-t-il aussi la nationalité française?

    Il a acquis la citoyenneté française par filiation de sa grand-mère et de son père auprès du consulat français en Israël. (Wikipédia)

    Papiers de citoyen français de Guilad Shalit: http://en.wikipedia.org/wiki/File:Guilad_Schalit_-_Papiers_Fran%C3%A7ais.png

    12/10/11

  • Gilad Shalit érigé au rang de symbole en Israël

    JERUSALEM (Reuters) - La vie du soldat franco-israélien Gilad Shalit, enlevé à l'âge de 19 ans à la lisière de la bande de Gaza, tient en cinq phrases.

    "Gilad Shalit, fils de Noam et Aviva et frère de Yoel et Haddas, est né à Nahariya le 28 août 1986. Alors qu'il a deux ans, sa famille part s'installer à Mitzpe Hila, dans l'ouest de la Galilée. Gilad a été scolarisé à l'école élémentaire de Maona et au collège de Kfar Vradim. Il a étudié au lycée Manor Kavri où il a excellé dans les matières scientifiques. En 2005, Gilad a été enrôlé dans les forces de défense israéliennes et a servi le bataillon 71 du 188e régiment", peut-on lire sur un site internet militant pour sa libération.

    Au-delà de ce profil commun à de nombreux jeunes Israéliens, très peu de détails ont filtré sur les cinq années de captivité du jeune soldat détenu dans la bande de Gaza.

    Mais malgré cette courte biographie qui aurait pu avoir du mal à embraser l'opinion israélienne, le timide jeune homme à lunettes est devenu un symbole pour ses concitoyens.

    Dans un pays où le service militaire est considéré comme un "rite d'initiation", ses parents, Noam et Aviva, n'ont eu aucun mal à gagner la sympathie de nombre de leurs compatriotes qui se sont facilement identifiés en tant que parents d'appelés.

    Depuis son enlèvement, ils ont lancé une campagne de mobilisation en faveur de sa libération sans lasser, semble-t-il, l'opinion publique.

    BASKET-BALL ET ORDINATEUR

    Au lendemain de l'annonce d'un accord entre Israël et le Hamas, fruit d'une médiation menée par l'Egypte et l'Allemagne, le décompte des jours de détention de Shalit continuait mercredi d'égrener les heures et les minutes avant sa libération.

    Fréquents, les échanges de prisonniers sont souvent vus à la lumière des textes bibliques en Israël. "Tes enfants doivent revenir chez eux", a ainsi déclaré mercredi le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, citant le Livre de Jérémie.

    Décrit l'année dernière par sa mère comme un jeune "calme et introverti", Gilad Shalit passait, dit-elle, "beaucoup de temps sur l'ordinateur, devant la télévision et surtout sur les courts de basket."

    Shalit, qui est aujourd'hui âgé de 25 ans, avait été capturé le 25 juin 2006 à la lisière de la bande de Gaza lors d'une opération d'activistes palestiniens qui s'était soldée par la mort de deux autres soldats israéliens.

    La dernière preuve de vie du soldat, qui a depuis été promu sergent, remonte à septembre 2009 dans une vidéo diffusée par les activistes.

    Pâle et amaigri, Shalit avait plaidé pour sa vie et n'a reçu aucune visite du Comité international de la Croix-Rouge.

    "J'espère que le gouvernement actuel dirigé par Benjamin Netanyahu ne gâchera pas cette occasion de conclure un accord et qu'en conséquence je pourrai enfin réaliser mon rêve et être libéré (...) Merci beaucoup et au revoir", disait-il.

    Pour sa "Une" mercredi, le quotidien Yedioth Ahronoth a opté pour un titre sobre: "Gilad rentre à la maison".

    Marine Pennetier pour le service français, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo!Actualités - 12/10/11

  • Arnaud Montebourg, contre la mondialisation, pour "l'internationalisme"

    Attaque d’une chaîne privée de télévision en Tunisie par plusieurs centaines d’islamistes protestant contre la diffusion d’un film jugé  non « hallal » , des dizaines de coptes égyptiens tirés comme des lapins au Caire   par les forces de l’ordre lors d’une manifestation contre les persécutions dont ils sont victimes, engagement d’Angela Merkel et de Nicolas Sarkozy, pour rassurer « les marchés »,  de présenter rapidement un plan devant régler le problème de la dette en Europe…

    Autant d’événements largement  éclipsés  ces dernières heures    par les primaires socialistes. Pour autant, Arnaud Montebourg savourera toute  cette semaine son statut de diva courtisée par les sociaux-démocrates européistes du PS. A commencer bien sûr par   François Hollande et Martine Aubry que M. Montebourg qualifiait de « jumeaux du delorisme » ces dernières semaines ce qui dans sa bouche, n’était évidemment pas un compliment…

     Arnaud Montebourg attendra au minimum   la confrontation télévisée entre les deux présidentiables socialistes demain et surtout  le  sondage qui en découlera,  pour officialiser son soutien et se vendre pour un plat de lentilles. Il convient pour lui de maintenir l’illusion qu’il pourra peser sur les orientations politiques du PS. Au risque de rendre visible rapidement les limites de son combat antimondialisation qui ne peut être porté en tout état de cause par le candidat du PS en 2012.  Et encore moins servir de ligne politique en cas de victoire des socialistes à la prochaine présidentielle.

     Un  score de M.  Montebourg qui contribue surtout à fragiliser le PS selon les soutiens de Jean-Luc Mélenchon.  Dans L’Humanité, Jean-Emmanuel Ducoin assure ainsi  que « le peuple de  gauche regarde forcément avec sympathie le score d’Arnaud Montebourg, en tant  qu’il ouvre une brèche à l’intérieur du PS »…

     Bruno Gollnisch estime que les nationaux, les souverainistes, peuvent se féliciter de la  publicité donnée au concept de protectionnisme par la campagne de M. Montebourg. Dans un communiqué, les Identitaires ont appelé de leur côté  ce dernier à « aller plus loin à travers une démondialisation intégrale ne se couchant pas devant le politiquement correct et visant à fixer les populations dans leurs aires d’origine, selon les mots de Walden Bello, créateur du concept de démondialisation », au nom d’une doctrine forgée à l’origine pour aider les pays du sud.

     L’universitaire  philippin  Walden Bello, directeur de l’ONG Focus on the Global South, représente en effet un  courant minoritaire au sein de la mouvance altermondialiste,  qui s’oppose  aux principes mêmes de mondialisation et de gouvernance globale. Il milite notamment pour un démantèlement des organisations économiques internationales, prône le localisme politique et la relocalisation économique  qui induit entre autres,   un retour au protectionnisme, un développement autocentré et une politique de substitution aux importations.

     Mais nous le relevions dernièrement, la démondialisation dans sa version de gauche  reste entachée d’un cosmopolitisme qui est la  marque de fabrique des  éléphants socialistes, toutes tendances confondues. C’est pourquoi dans un récent entretien accordé au JDD, M. Montebourg avouait la raison d’être du créneau antimondialisation qu’il défend, à savoir agir comme un « rempart du lepénisme », c’est-à-dire empêcher les électeurs socialistes cocufiés par le PS,  de rallier l’opposition nationale. Bref,  stériliser la colère populaire.  

     Et  comme François Hollande et  Martine Aubry, Arnaud  Montebourg a   précisé, qu’il était porteur d’un «  projet  internationaliste » qui lui interdit  notamment de condamner la politique d’immigration   de peuplement.  Les Français jugeront.

    Blog de Bruno Gollnisch - 11/10/11

     

  • Le PS bienvenue au "Club"...

    mondialisme-bis.jpg

    Sur l’antenne de  BFMTV-RMC,  Martine Aubry  a déclaré hier  qu’elle était en droit de recueillir les suffrages qui se sont portés au premier tour des primaires du PS sur Arnaud Montebourg. En effet a-t-elle affirmé  « Arnaud, finalement, derrière des mots qui ne sont pas ceux que j’aurais utilisés, propose à 90 % ce que j’ai proposé : le juste échange, la régulation des banques et la République nouvelle ». Mme Aubry a pris soin de préciser que si   le « protectionnisme », « ça ne marche pas », la définition de ce concept qui serait celle  du député de Saône-et-Loire recoupe la proposition  qu’elle a fait « voter dans le projet socialiste ».

    Une manière de signifier de nouveau que François Hollande serait bien le candidat de la « gauche molle », coupable d’ores et déjà de toutes les compromissions, sur le dos des travailleurs français, avec  l’idéologie ultra-libérale,  les « banques », le  monde de la finance,  du capitalisme spéculatif. Dérives, a souligné  Bruno Gollnisch,  dont la gauche s’est si bien accommodée depuis trois décennies,  notamment à l’époque où Mme Aubry était ministre du gouvernement Jospin

    A bien y regarder, et de nombreux blogs «  de  gauche » n’ont pas manqué de le relever, il y a une quasi complète identité de vue entre François Hollande et Martine Aubry,  seulement une différence de discours et de positionnement stratégique pour remporter cette élection.

    Comme Pascal Lamy, Alain Minc, Dominique Strauss-Kahn Jean-Claude Trichet , Jacques Attali, Claude Bébéar, Édouard de Rothschild,  François Bayrou, Éric Besson, Jean-Pierre Chevènement (dans le rôle de l’alibi  souverainiste qui appellera comme il se doit  à voter PS en 2012…), Jean-François Copé, Laurent Fabius, François Fillon, Alain Juppé, Bernard Kouchner, Pierre Moscovici, Jean-Pierre Raffarin, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls,  ou Laurence Parisot,  François Hollande et  Martine Aubry sont au nombre des 500 membres  du club Le Siècle.

    « En 40 ans, rappelait Emmanuel Ratier,  cela fait environ 2000 personnes qui s’y sont succédés,  ces 2000 personnes, sont celles qui ont dirigé la France et qui dirigent notre pays depuis 40 ans. Il s’agit des principaux hommes politiques, des patrons de journaux et présentateurs de télévision, des grands hommes d’affaires et des financiers. Ils représentent la quintessence du pouvoir oligarchique français, concentrant entre leurs mains l’essentiel du pouvoir et sans doute près de 90% du PIB français. On y compte des personnalités aussi bien de droite que de gauche (chaque gouvernement comprend au moins la moitié de membres du Siècle, en général le Premier ministre et presque tous les présidents de la République)».

    Si  « à l’ombre des projecteurs, la complicité des oligarques transcende les clivages politiques »,  les verts, les communistes comme les frontistes sont absents des agapes du Siècle  (une mise à l’écart que l’on retrouve d’ailleurs  au dîner du Crif !) et il est à noter que  ni Arnaud Montebourg ni  Ségolène Royal n’ont souhaité intégrer ce club «transcourant ». Tout juste peut on reprocher à M. Hollande d’avoir été moins discret  que Mme Aubry. Le blog de gauche voie militante rappelle ainsi « l’existence d’un projet de société fondamental (défendu par François Hollande) qui transcende les partis politiques   ». « Lors d’une université d’été du PS » le rival de Martine Aubry    « a proclamé la nécessité d’un nouvel ordre mondial que nous portons depuis des années, les socialistes mais pas simplement les socialistes….. »

    Alors adepte d’une « gauche molle » François Hollande ? Qu’importe puisque « le mondialisme dur » reste bien comme à l’UMP la boussole  du  PS et du vaste parti de l’étranger auquel  il se rattache. Et ce ne sont pas les exigences de « l’internationaliste » Montebourg qui changeront quoi que ce soit à cette réalité là.

    Malgré l’écran de fumée déployé par les socialistes,  il appartient au FN  d’expliquer aux    Français  que la gauche ne saurait   être une réelle alternative au sarkozysme.  C’est  le règne de l’oligarchie anti-nationale qu’il s’agit de remettre  en cause relevait ce blog en mars dernier.  Soit la domination de l’hyper-classe mondialiste qui a toute sa part de responsabilité   dans le déclenchement de la crise financière et économique actuelle ;   la  volonté  de ses acteurs de  faire passer leurs obsessions idéologiques, leurs  intérêts financiers, politiques   avant ceux de notre   nation.

    Blog de Bruno Gollnisch - 12/10/11

     

  • ALGERIE POLITIQUE - Histoire de l'OAS

     

    pierre-sergent.jpg

    Pierre Sergent, patron de l'OAS Métro

    Cliquez sur le lien: http://encyclopedie-afn.org/index.php/ALGERIE_POLITIQUE_-_Histoire_de_l'OAS

    12/10/11

  • Une stèle à la mémoire des victimes de l'OAS inaugurée par Delanoë au Père-Lachaise

    Par yriou, le 7 octobre 2011, dans la rubrique En bref - Vie locale

     

    Ce jeudi 6 octobre 2011, une stèle en hommage aux victimes de l’OAS a été dévoilée au cimetière du Père-Lachaise en présence de Bertrand Delanoë. Le maire de Paris, comme l’explique lefigaro.fr, a exprimé sa « fierté » de faire de Paris la première commune à installer un tel monument.

    Sur la stèle est inscrit : « 1961-1962. En hommage à toutes les victimes de l’OAS en Algérie et en France. Civils, militaires, élus, magistrats, fonctionnaires, défenseurs des institutions et des valeurs de la République ».

    Source Le 75020.fr