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Blog - Page 137

  • Militaires renversés à Levallois, un suspect interpellé

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     L'individu, identifié comme Hamou B., a été arrêté, ce mercredi après-midi, sur l'autoroute en direction de Calais à bord de la BMW recherchée. Tôt ce matin, la voiture a percuté six soldats de l'opération Sentinelle à Levallois-Perret. Les autorités évoquent un «acte délibéré».

    Le ministre de l'Intérieur a évoqué un «acte délibéré». Ce mercredi matin, des militaires de l'opération Sentinelle ont été renversés par une voiture à Levallois-Perret. Alors que le conducteur du véhicule a pris la fuite, un important dispositif a été mis en place pour le retrouver. Après plusieurs heures de traque, un individu a été interpellé en début d'après-midi par les Brigades de recherche et d'intervention (BRI) de Lille et de Rouen sur l'autoroute A16, entre Boulogne et Calais. Cet homme, né en 1980, est «susceptible d'être l'auteur» de l'attaque «car il était à bord du véhicule recherché et a tenté de prendre la fuite», a affirmé une source judiciaire à l'AFP. Selon plusieurs sources concordantes, il s'agit d'Hamou B., un individu a priori inconnu des services de renseignement et fiché ILE pour infraction à la législation sur les étrangers.

    Pour échapper à son arrestation, le conducteur a percuté un ou plusieurs véhicules, et les policiers ont fait feu à plusieurs reprises. Blessé par balle, tout comme un policier, il a été hospitalisé à Lille, selon une source policière.

    Sa garde à vue a été levée mercredi après-midi compte tenu de son hospitalisation, tandis que des perquisitions étaient en cours, selon des sources concordantes. «Son état de santé ne permettait pas qu'il soit entendu» par les policiers et la garde à vue de cet Algérien de 36 ans «a été rapidement levée», a indiqué une source judiciaire. Elle reprendra si les médecins jugent son état compatible avec cette mesure.

    Si les enquêteurs sont certains que la voiture de location qu'il conduisait est bien celle qui a percuté les militaires ce matin, ils ne confirmaient pas, à ce stade, que le conducteur arrêté était bien celui qui a renversé les soldats.

    » LIRE AUSSI - Des médecins nous racontent comment ils soignent les terroristes et les grands criminels

    L'attaque a eu lieu à 8 heures ce matin, au moment de la relève, a indiqué au Figaro la Préfecture de police de Paris. Selon nos informations, les soldats étaient à pied et rejoignaient leurs véhicules stationnés place de Verdun, non loin de la mairie. Ils se trouvaient près d'une base de cantonnement, où ils sont hébergés dans le cadre de l'opération Sentinelle, lorsqu'une voiture les a violemment percutés. Six soldats du 35e régiment d'infanterie de Belfort «ont été blessés, quatre légèrement et deux plus grièvement», toujours d'après la Préfecture de police. Leur pronostic vital n'était toutefois pas engagé et leurs blessures n'inspiraient plus d'inquiétude dans l'après-midi, selon le premier ministre Edouard Philippe, les blessures subies étant «fort heureusement légères».

    «Un acte lâche»

    Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et la ministre des Armées Florence Parly se sont rendus, à la mi-journée, au chevet des militaires blessés à l'hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne. Le locataire de la place Beauvau a dénoncé «un acte délibéré» et donné quelques détails quant au déroulé de la scène: «Une voiture qui était dans le quartier est arrivée vers le dispositif, elle roulait doucement, à 5 mètres à peu près des militaires, elle a accéléré de manière à pouvoir les percuter. (...) Nous savons que c'est un acte délibéré, ce n'est pas un acte accidentel», a-t-il affirmé.

    » LIRE AUSSI - Policiers et militaires, des cibles récurrentes

    Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, et Florence Parly, ministre des Armées, se sont rendus au chevet des militaires blessés à la mi-journée.
    Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, et Florence Parly, ministre des Armées, se sont rendus au chevet des militaires blessés à la mi-journée. 

    Plus tôt, la préfecture des Hauts-de-Seine avait également évoqué un «acte a priori volontaire». «C'est sans aucun doute délibéré», a déclaré, pour sa part, Patrick Balkany, sur BFMTV. Le maire de Levallois-Perret a précisé que les forces de l'ordre étaient à la recherche d'une voiture de marque BMW. Selon lui, le véhicule était positionné dans une impasse, ce qui laisse penser que le conducteur avait bien l'intention de foncer sur les soldats.

    Des secouristes s'occupent des militaires blessés ce mercredi matin.
    Des secouristes s'occupent des militaires blessés ce mercredi matin. 

    Dans un communiqué publié dans la matinée, la ministre des Armées a condamné «avec la plus grande fermeté cet acte lâche qui n'entame en rien la détermination des militaires à œuvrer pour la sécurité des Français». «L'enquête en cours déterminera ses motivations et les circonstances dans lesquelles (l'auteur) a agi», a ajouté Florence Parly. Devant l'Assemblée nationale, le premier ministre Edouard Philippe a rendu hommage aux militaires et félicité «l'ensemble des forces de sécurité qui dans un délai très court ont permis d'appréhender le suspect, principal à ce stade, de cette attaque».

    » LIRE AUSSI - Militaires blessés à Levallois: vif émoi au sein de la classe politique

    En fin de matinée, le parquet antiterroriste a ouvert une enquête de flagrance pour les chefs de tentatives d'assassinats sur personne dépositaire de l'autorité publique en lien avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste et criminel. Les investigations ont été confiées à la section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris, à la sous-direction antiterroriste et à la Direction générale de la sécurité intérieure.

    Un très important dispositif de police a été déployé. Des vérifications dans plusieurs endroits précis et un travail de recherche sur le véhicule - une berline de couleur sombre - et son propriétaire ont été effectués, d'après une autre source policière. Les enquêteurs ont également par ailleurs exploité les bandes de caméras de vidéosurveillance. Avec la ville de Nice, Levallois-Perret est une des villes les plus équipées.

    Rapidement, plusieurs élus ont manifesté leur soutien aux militaires blessés, à l'image d'Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes.

     
  • Le Festival interceltique

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  • Florian Philippot invité de BFM TV - 07/08/17

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    Toujours vif et intéressant!

     

     

  • Marion Maréchal-Le Pen : le retour à la réalité

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    Avec Jérôme Cochet elle a coupé court aux fantasmes ! Ne reste que la réalité.


    Magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole

     
     
     

    Marion Maréchal-Le Pen a le droit d’aimer qui elle veut et de mener sa vie comme elle l’entend. Apparemment, elle entretient une relation avec Jérôme Cochet, responsable du FN de Grasse, chargé de la communication de David Rachline (Closer).

    Jérôme Cochet n’a pas toujours été délicat dans ses tweets, mais qu’importe. J’ai bien conscience qu’il est déjà de mauvais goût de s’immiscer si peu que ce soit dans une liaison qui ne concerne que le couple.

    Et pourtant ! Comment expliquer qu’en apprenant cette information j’aie éprouvé comme une légère déception tenant à la certitude que cette banalisation estivale l’avait atteinte comme tant d’autres ?

     

    Parce que même ceux qui étaient, comme moi, très éloignés du FN sur le plan politique attendaient de cette jeune femme – nièce de Marine Le Pen dont la prestation lamentable au second tour de l’élection présidentielle avait frappé beaucoup d’esprits, y compris au sein de son parti – une démarche singulière, moins classique.

     

    Elle avait annoncé sa retraite des joutes politiciennes et des aigreurs intestines, dont certaines lui avaient été réservées par la présidente ou par Florian Philippot. Mais sur un mode ambigu ménageant l’avenir et laissant espérer un retour tonitruant de nature à donner au FN un nouveau visage imprégné d’une authentique philosophie conservatrice, en l’ayant purgé de ses contradictions idéologiques internes.

     

    Elle avait déjà exprimé à ce sujet, en plusieurs occasions, son point de vue en n’hésitant pas à provoquer, en manifestant sa lassitude à l’égard de la notion de République ressassée pour tout et n’importe quoi et en rappelant cette évidence que la France n’avait pas commencé en 1789. Ce qui rejoignait la pensée drôle de Raymond Radiguet disant qu’il avait mal à la tête depuis cette même année.

    À tort ou à raison, la personnalité de Marion Maréchal-Le Pen, par ailleurs très douée sur le plan médiatique, en même temps qu’elle suscitait une inquiétude démocratique encore plus vive chez certains de ses adversaires, semblait pouvoir offrir des perspectives d’entente de la droite, que sa tante a toujours récusées par principe.

    Aussi, au risque d’être un goujat mêlant l’intimité d’une vie privée aux choses sérieuses de la politique, voir Marion Maréchal-Le Pen dans les bras du FN le plus classique et provocateur qui soit n’emballe pas le citoyen s’il la comble, elle. Un désabusement absurde si on veut, mais subtil, indéniable. Un retour en arrière. Une retombée.

    Avec Jérôme Cochet, elle a coupé court aux fantasmes ! Ne reste que la réalité.

    Peut-être faut-il la remercier.

     
    Extrait de : Justice au Singulier
    BV 08/08/17
    CLOSER n° 634 du 4 août 2017
  • La Corée du Nord subira «le feu et la colère» si elle poursuit ses menaces, prévient Donald Trump 8 août 2017, 21:42

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    © Jonathan Ernst Source: Reuters
     

    Le 8 août, le président américain a promis le feu à la Corée du Nord si elle continuait de menacer les Etats-Unis alors même qu'elle développement son arsenal nucléaire, en violation du droit international.

    «La Corée du Nord ferait mieux de ne plus proférer de menaces envers les Etats-Unis», a déclaré Donald Trump depuis son golf de Bedminster, dans le New Jersey, où il passe ses vacances. 

    «Elles se heurteront au feu et à la colère», a-t-il ajouté, promettant une réaction d'une ampleur «que le monde n'a jamais vue jusqu'ici».

     

    Pyongyang a assuré le 7 août que le durcissement sensible des sanctions des Nations unies ne l'empêcherait pas de développer son arsenal nucléaire, menaçant les Etats-Unis de leur« faire payer le prix de leur crime [...] un millier de fois».

    Sous l'impulsion de Washington, le Conseil de sécurité de l'ONU a imposé à la Corée du Nord des sanctions qui pourraient lui coûter un milliard de dollars de revenus annuels, tout en restreignant ses échanges économiques cruciaux avec la Chine, son principal allié et partenaire économique.

    Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a exclu un retour rapide au dialogue avec la Corée du Nord, estimant que la nouvelle volée de sanctions démontrait que la planète avait perdu patience face à ses ambitions nucléaires.

    Lire aussi : «Nous ne sommes pas vos ennemis» : après les menaces, Washington tente le dialogue avec Pyongyang ?

  • 6 mois de prison ferme pour un homme qui téléchargeait des vidéos pédopornographiques à Grasse

     

    Image d'illustration / © MAX PPP
    Image d'illustration / © MAX PPP

    Un concierge de Grasse  a comparu devant le tribunal correctionnel de Grasse. Il était poursuivi  après la découverte sur un disque dur de  24.000 vidéos mettant en scène des enfants. Il a été condamné à 18 mois de prison dont douze avec sursis et il reste en détention.

    Un concierge de Grasse, poursuivi pour l'enregistrement sur internet de vidéos pornographiques mettant
    en scène des enfants et qualifiées d'"insoutenables" par son propre avocat, a été condamné à 18 mois de prison dont douze avec sursis et maintenu en détention lundi.
    C'est en téléchargeant des fichiers particulièrement violents que cet homme de 47 ans, divorcé puis remarié avec une Mauricienne et membre d'une Eglise pentecôtiste, avait attiré l'attention des enquêteurs spécialisés de la police judiciaire de Nice.


    24.000 vidéos retrouvées à son domicile



    Dans l'un de ses ordinateurs, saisis en avril 2016, la trace de plus de 24.000 vidéos avait été retrouvée. Une infime partie était lisible dont 135 vidéos pédopornographiques. Un second disque dur contenait également 26 vidéos et quatre photos tombant sous le coup de la loi. Toutes téléchargées gratuitement, et cela durait depuis environ
    dix ans.


    Comment en êtes-vous arrivé là ? C'est misérable pour tout le monde



    l'interroge le président Marc Joando en donnant lecture d'un rapport psychiatrique concluant à des indices de "dangerosité majeure", document resté plus d'un an dans un tiroir, avant que la procédure ne débouche sur l'arrestation du concierge.
    "Je ne réalisais même pas  je cherchais tout ce qui est pornographique", répond ce dernier qui minimise ses intentions quand on l'interroge sur les mots clés qu'il tapait pour lancer la consultation, "viols, "inceste", "frère de 15 ans", "soeur de 11 ans".


    18 mois d'incarcération requis  par le procureur


    "Monsieur J. ne fera pas croire que ces vidéos sont arrivées par magie sur son ordinateur!", s'exclame le représentant du parquet qui requiert 18 mois ferme.
    "C'est parce que vous existez et qu'il y a des clients que ces images sont tournées", assène Caroline Rémond, représentante de L'Enfant bleu, association de lutte contre l'enfance maltraitée qui s'était portée civile et avait médiatisé l'affaire.

    Abusé  à l'adolescence


    D'un ton détaché, l'accusé confie qu'il a été violé à 16 ans en internat d'hôtellerie. 
    "Même une image, c'est une de trop ! Mais la solution, vous l'avez, ce n'est pas de l'incarcérer", plaide son avocat  Eudes Loubaki-Kaya, réclamant une obligation de soins et de suivi socio-judiciaire pour son client. Il sera entendu.
     
    Franceinfo
  • «Ce grand écart n’est pas tenable» : le contenu de l'audition du général de Villiers révélé 8 août 2017, 18:46

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    Emmanuel Macron et le général de Villiers le 14 juillet
     

    La retranscription de l'audition du général de Villiers révèle que celui-ci n'a pas mâché ses mots concernant l'avenir de la Défense en cas de coupes budgétaires, assumant une divergence politique frontale avec l'exécutif.

    La démission du général de Villiers le 19 juillet dernier a fait couler beaucoup d'encre. On connaît désormais le contenu de l'audition de l'ancien chef d'état-major des armées qui s'était tenue à huis clos le 12 juillet. Ce sont les propos qu'il avait tenus à cette occasion qui lui avaient valu un recadrage par Emmanuel Macron, prélude à une crise dont la démission du général de Villiers avait été l'épilogue. 

    Mis en ligne par l'Assemblée nationale, le verbatim de l'audition du général de Villiers révèle que ce dernier s'était sans ambiguïté opposé aux coupes claires prévues par le gouvernement dans le budget de la Défense (850 millions d'euros en moins). «Les exécutions budgétaires ont été préservées en 2015 et 2016. Cela doit être le cas également en 2017, car les armées ne sont pas moins sollicitées, loin s’en faut», avait-il déclaré. Il avait ainsi fait part de ses inquiétudes de manière franche : «Ce grand écart n’est pas tenable, je suis désolé de devoir vous le dire avec force ! Notre liberté d’action en souffre.»

    Tout en entrant dans les détails de la technique budgétaire, le général de Villiers avait alors tenu des propos plus ouvertement critiques encore. «Je ne suis pas un lapin de six semaines : je sais bien que si l’objectif de 50 milliards est fixé à 2025 et que la courbe d’évolution du budget démarre très bas, l’élévation de cette courbe ne se produira qu’en fin de période. Nous connaissons la ficelle de cette remontée tardive et l’avons déjà expérimentée sous les deux quinquennats précédents», s'était-il permis d'observer. 

     

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  • Australie : un adolescent a eu la peau dévorée par de petites créatures marines

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    L'événement est survenu samedi soir, sur une plage de Brighton, dans la banlieue de Melbourne (Etat de Victoria, sud de l'Australie). Les images sont impressionnantes. Le jeune homme aurait été attaqué par des puces de mer particulièrement voraces.


    Sam Kanizay à l'hôpital de Melbourne (Australie), le 5 août 2017
    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le 
    publié le 

    La baignade a viré au bain de sang. Sam Kanizay, 16 ans, a vécu un événement dont il va sûrement se souvenir, rapporte ABC (en anglais). Samedi 5 août, en fin d'après-midi, il se sentait fatigué après son entraînement de football. Il a alors décidé de tremper ses jambes dans l'eau à Dendy Street Beach, une plage de Brighton, dans la banlieue de Melbourne (Australie).

    Des petits trous de la taille d'une tête d'épingle

    Au bout d'une demi-heure, il ressort ses jambes de l'eau. Et s'aperçoit qu'elles sont ensanglantées. La scène est digne d'un film d'horreur. "Je suis sorti [de l'eau] et vu ce que je pensais être du sable sur mes jambes (...) J'ai regardé en bas et j'ai remarqué que j'avais du sang partout sur mes chevilles", a raconté l'adolescent. Il a affirmé qu'il n'avait pas mal et est rentré chez lui pour prendre une douche.

    Finalement, après avoir observé ce qu'il avait aux jambes, il remarque des centaines de petits trous de la taille d'une tête d'épingle. La mère de Sam, Jane Kanizay, relate avoir amené son fils à l'hôpital de Melbourne en voyant l'ampleur des blessures.

    Le père de Sam, Jarrod Kanizay, affirme qu'à l'hôpital, l'équipe soignante n'était pas en mesure d'expliquer exactement l'origine des blessures. "Ils ont appelé de nombreuses personnes, des experts en toxicité, des experts marins et d'autres médecins des environs de Melbourne... mais personne ne savait", a-t-il détaillé. 

    "Ces petites choses aiment la viande"

    La nuit suivante, Jarrod Kanizay, muni de viande rouge, est retourné sur la plage où s'était baigné son fils. Et il a réussi à capturer les petites créatures à l'origine des blessures. "Ce qui est clair, c'est que ces petites choses aiment la viande", a-t-il remarqué, vidéo des bestioles capturées à l'appui.

    Alistair Poore, spécialiste des invertébrés marins à l'université du New South Wales, a indiqué au Guardian (en anglais) ne jamais avoir vu un tel cas. Il évoque de possibles "puces marines", sans pouvoir en dire davantage.

    Une hypothèse partagée par la biologiste Genefor Walker-Smith. Auprès du quotidien australien Herald Sun, elle estime aussi qu'il pourrait s'agit de puces de mer, mentionnant des lysianassid"Il est possible que l'adolescent ait perturbé un groupe en train de manger, mais généralement ils ne sont pas là à attendre et attaquer comme des piranhas", a-t-elle commenté.

    Quant à Sam Kanizay, le jeune homme attaqué, il va bien. Ses blessures sont impressionnantes, mais relativement superficielles et, une fois cicatrisées, ne laisseront pas de séquelles.

     

  • Éditorial : «L'inutile controverse»

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    Par Yves Thréard

    Faut-il, ou non, donner un statut au conjoint du chef de l'État? Dans la torpeur de l'été, à mi-chemin entre la politique et l'actualité dite «people», la polémique enfle. Non que Brigitte Macron défraie la chronique par des sorties intempestives. En dehors d'une apparition en simple jean sur le perron de l'Élysée pour accueillir la chanteuse Rihanna et de son nouveau titre de marraine du premier bébé panda né en France, elle est même moins présente dans les médias que pendant la campagne présidentielle. Excepté les tenants d'un strict protocole vestimentaire et les détracteurs des zoos, nul ne s'en plaint.

    C'est, en fait, Emmanuel Macron lui-même qui avait allumé la mèche. Il avait promis, s'il était élu, de «sortir d'une hypocrisie française». Son épouse, disait-il, aurait un rôle public. Il lui paraissait donc souhaitable de définir un cadre à sa fonction «non rémunérée par le contribuable».

    Alors que les emplois familiaux sont désormais interdits aux parlementaires, beaucoup voient aujourd'hui un insoutenable paradoxe dans cette promesse présidentielle. Depuis quinze jours, une pétition a recueilli 220.000 signatures pour s'y opposer. Assimilant ce statut à un privilège, les élus de La France insoumise sont vent debout.

    Le chef de l'État respectera-t-il sa promesse? Des urgences d'un autre niveau l'attendent: lutte contre le chômage, les déficits, le terrorisme, l'insécurité… Et puis, qu'apporterait pareille réforme? Même au nom de la sacro-sainte transparence, elle ne changerait pas grand-chose: depuis Nicolas Sarkozy, les budgets de l'Élysée sont régulièrement examinés par la Cour des comptes. On sait ce que «coûte» la première dame, qui sera peut-être un jour un premier monsieur! Environ 450.000 euros par an. Somme que peuvent justifier des actions charitables ou humanitaires. Au président de la République d'en estimer l'opportunité plutôt que d'alimenter une inutile controverse. Car vouloir officialiser un rôle qui n'existe pas serait prendre le risque de lui conférer une consistance politique que personne n'approuverait.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 08/08/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

  • CLASH à l'Assemblée Nationale: Emmanuelle Ménard fait hurler la majorité en disant la vérité qui blesse

    Remarquable: à écouter absolument!

     

    (merci à Dirk)

  • FOLHUMOUR

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  • Italie : une mannequin britannique kidnappée pour être vendue aux enchères sur le dark web

    https://francais.rt.com/international/41742-italie-kidnappee-pour-etre-vendue-aux-encheres-dark-web-mannequin-relachee

    6 août 2017

    RT

  • L'assaillant de la tour Eiffel, un «déséquilibré» de 18 ans condamné pour apologie du terrorisme

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    Français né en Mauritanie, l'homme qui a forcé un barrage de sécurité de la tour Eiffel en criant «Allah Akbar» armé d'un couteau voulait commettre un attentat sur un militaire et dit avoir eu des contacts avec un membre de l'Etat islamiste.

    On en sait un peu plus au sujet de l'auteur de l'attaque au couteau survenue le 5 août au soir à la tour Eiffel. L'homme, un Français né en Mauritanie âgé de 18 ans, se trouvait en permission de sortie de l'hôpital psychiatrique lorsqu'il a forcé un barrage de sécurité à la tour Eiffel en criant «Allah Akbar», avec pour intention, selon ses dires, de commettre un attentat contre un militaire.

    C'est cette dernière précision, faite par l'intéressé devant les enquêteurs, qui a conduit à l'ouverture d'une enquête pour «association de malfaiteurs terroriste en vue de commettre des crimes d'atteinte aux personnes» et «tentatives d'assassinat sur personnes dépositaires de l'autorité publique». Ecartée dans un premier temps, la piste terroriste a donc finalement été retenue et l'enquête confiée à la section antiterroriste de la brigade criminelle et à la Direction générale de la sécurité intérieure.

    En outre, le suspect a assuré avoir des liens avec l'Etat islamique. Lors de son interrogatoire, il a en effet déclaré être «en contact» avec l'un des membres de l'organisation terroriste. Ce serait ce dernier qui l'aurait encouragé à passer à l'acte, selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. 

    Les premières investigations ont mis en lumière la personnalité très fragile du suspect et plusieurs sources le décrivent comme un «déséquilibré». Le jeune homme avait d'ailleurs été condamné en décembre 2016 à quatre mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve de deux ans pour apologie du terrorisme et menaces de mort. Il était hospitalisé dans un service psychiatrique depuis plusieurs mois et sa mesure d'hospitalisation avait été renouvelée le 27 juillet pour six mois : il se trouvait en permission de sortie du 4 au 6 août.

    Cette nouvelle tentative d'attentat vient prolonger la liste déjà longue des attaques ou tentatives d'attaques récentes contre les représentants des forces de l'ordre. La dernière en date a eu lieu le 19 juin dernier, sur les Champs-Elysées, lorsqu'un conducteur a précipité son véhicule contre un fourgon de la gendarmerie, sans faire de blessés.

    Lire aussi : Avec 271 Français de retour du djihad, Gérard Collomb juge «la menace terroriste très élevée»

    RT

  • 6 AOÛT 1945: SOUS LE NUAGE D'HIROSHIMA

    A 8 h 15 du matin, le 6 août 1945, le bombardier B-29 américain baptisé « Enola-Gay » et piloté par le commandant Paul Tibbets lâchait sur la ville japonaise de Hiroshima la première bombe atomique de l’histoire. C’était la fin de la seconde guerre mondiale, et le début de l’ère nucléaire. La bombe allait tuer, d’un coup, 100 000 personnes, et provoquer des formes inédites de souffrance humaine. L’Américain John Hersey fut l’un des premiers journalistes étrangers à se rendre sur place. Paru d’abord dans The New Yorker, son témoignage est considéré comme l’un des classiques du reportage de guerre.

    Ce matin-là, avant 6 heures, il faisait si clair et si chaud déjà que la journée s’annonçait caniculaire. Quelques instants plus tard, une sirène retentit : la sonnerie d’une minute annonçait la présence d’avions ennemis, mais elle indiquait aussi, par sa brièveté, aux habitants de Hiroshima qu’il s’agissait d’un faible danger. Car chaque jour, à la même heure, quand l’avion météorologique américain s’approchait de la ville, la sirène retentissait.

    Hiroshima avait la forme d’un ventilateur : la cité était construite sur six îles séparées par les sept fleuves de l’estuaire qui se ramifiaient vers l’extérieur à partir de la rivière Ota. Ses quartiers d’habitations et de commerces couvraient plus de six kilomètres carrés au centre du périmètre urbain. C’est là que résidaient les trois quarts des habitants. Divers programmes d’évacuation avaient considérablement réduit sa population. Celle-ci était passée de 380 000 âmes avant la guerre à quelque 245 000 personnes. Les usines et les quartiers résidentiels, ainsi que les faubourgs populaires, se situaient au-delà des limites de la ville. Au sud se trouvaient l’aéroport, les quais et le port sur la mer intérieure saupoudrée d’îles (1). Un rideau de montagnes fermait l’horizon sur les trois côtés restants du delta.

    Le matin était redevenu calme, tranquille. On n’entendait aucun bruit d’avion. Alors, soudain, le ciel fut déchiré par un flash lumineux, jaune et brillant comme dix mille soleils. Nul ne se souvient avoir entendu le moindre bruit à Hiroshima quand la bombe a éclaté. Mais un pêcheur qui se trouvait sur sa barque, près de Tsuzu, dans la mer Intérieure, vit l’éclair et entendit une explosion terrifiante. Il se trouvait à trente-deux kilomètres de Hiroshima et, selon lui, le bruit fut beaucoup plus assourdissant que lorsque les B-29 avaient bombardé la ville d’Iwakuni, située à seulement huit kilomètres.

    Un nuage de poussière commença à s’élever au-dessus de la ville, noircissant le ciel comme une sorte de crépuscule. Des soldats sortirent d’une tranchée, du sang ruisselant de leurs têtes, de leurs poitrines et de leurs dos. Ils étaient silencieux et étourdis. C’était une vision de cauchemar. Leurs visages étaient complètement brûlés, leurs orbites vides, et le fluide de leurs yeux fondus coulait sur leurs joues. Ils devaient sans doute regarder vers le ciel au moment de l’explosion. Leurs bouches n’étaient plus que blessures enflées et couvertes de pus…

    Des maisons étaient en feu. Et des gouttes d’eau de la taille d’une bille commencèrent à pleuvoir. C’étaient des gouttes d’humidité condensée qui tombaient du gigantesque champignon de fumée, de poussière et de fragments de fission qui s’élevait déjà plusieurs kilomètres au-dessus de Hiroshima. Les gouttes étaient trop grosses pour être normales. Quelqu’un se mit à crier : « Les Américains nous bombardent d’essence. Ils veulent nous brûler ! » Mais c’étaient des gouttes d’eau évidemment, et pendant qu’elles tombaient le vent se mit à souffler de plus en plus fort, peut-être en raison du formidable appel d’air provoqué par la ville embrasée. Des arbres immenses furent abattus ; d’autres, moins grands, furent déracinés et projetés dans les airs où tournoyaient, dans une sorte d’entonnoir d’ouragan fou, des restes épars de la cité : tuiles, portes, fenêtres, vêtements, tapis…

    Sur les 245 000 habitants, près de 100 000 étaient morts ou avaient reçu des blessures mortelles à l’instant de l’explosion. Cent mille autres étaient blessés. Au moins 10 000 de ces blessés, qui pouvaient encore se déplacer, s’acheminèrent vers l’hôpital principal de la ville. Mais celui-ci n’était pas en état d’accueillir une telle invasion. Sur les 150 médecins de Hiroshima, 65 étaient morts sur le coup, tous les autres étaient blessés. Et sur les 1 780 infirmières, 1 654 avaient trouvé la mort ou étaient trop blessées pour pouvoir travailler. Les patients arrivaient en se traînant et s’installaient un peu partout. Ils étaient accroupis ou couchés à même le sol dans les salles d’attente, les couloirs, les laboratoires, les chambres, les escaliers, le porche d’entrée et sous la porte cochère, et dehors à perte de vue, dans les rues en ruines… Les moins atteints secouraient les mutilés.

     

    Des familles entières aux visages défigurés s’aidaient les unes les autres. Quelques blessés pleuraient. La plupart vomissaient. Certains avaient les sourcils brûlés, et la peau pendait de leur visage et de leurs mains. D’autres, à cause de la douleur, avaient les bras levés comme s’ils soutenaient une charge avec leurs mains. Si on prenait un blessé par la main, la peau se détachait à grands morceaux, comme un gant…

    Beaucoup étaient nus ou vêtus de haillons. Jaunes d’abord, les brûlures devenaient rouges, gonflées, et la peau se décollait. Puis elles se mettaient à suppurer et à exhaler une odeur nauséabonde. Sur quelques corps nus, les brûlures avaient dessiné la silhouette de leurs vêtements disparus. Sur la peau de certaines femmes – parce que le blanc reflétait la chaleur de la bombe, et le noir l’absorbait et la conduisait vers la peau –, on voyait le dessin des fleurs de leurs kimonos. Presque tous les blessés avançaient comme des somnambules, la tête dressée, en silence, le regard vide.

    Des silhouettes humaines sur les murs

    Toutes les victimes ayant subi des brûlures et les effets de l’impact avaient absorbé des radiations mortelles. Les rayons radioactifs détruisaient les cellules, provoquaient la dégénération de leur noyau et brisaient leurs membranes. Ceux qui n’étaient pas morts sur le coup, ni même blessés, tombaient très vite malades. Ils avaient des nausées, de violents maux de tête, des diarrhées, de la fièvre. Symptômes qui duraient plusieurs jours. La seconde phase commença dix ou quinze jours après la bombe. Les cheveux se mirent à tomber. Puis vinrent la diarrhée et une fièvre pouvant atteindre 41 degrés.

    Vingt-cinq à trente jours après l’explosion survenaient les premiers désordres sanguins : les gencives saignaient, le nombre de globules blancs s’effondrait dramatiquement tandis qu’éclataient les vaisseaux de la peau et des muqueuses. La diminution des globules blancs réduisait la résistance aux infections ; la moindre blessure mettait des semaines à guérir ; les patients développaient des infections durables de la gorge et de la bouche. A la fin de la deuxième étape – si le patient avait survécu – apparaissait l’anémie, soit la baisse des globules rouges. Au cours de cette phase, beaucoup de malades mouraient d’infections dans la cavité pulmonaire.

    Tous ceux qui s’étaient imposé un certain repos après l’explosion avaient moins de risques de tomber malades que ceux qui s’étaient montrés très actifs. Les cheveux gris tombaient rarement. Mais les systèmes de reproduction furent affectés durablement : les hommes devinrent stériles, toutes les femmes enceintes avortèrent, et toutes les femmes en âge de procréer constatèrent que leur cycle menstruel s’était arrêté…

     

    Les premiers scientifiques japonais arrivés quelques semaines après l’explosion notèrent que le flash de la bombe avait décoloré le béton. A certains endroits, la bombe avait laissé des marques correspondant aux ombres des objets que son éclair avait illuminés. Par exemple, les experts avaient trouvé une ombre permanente projetée sur le toit de l’édifice de la chambre de commerce par la tour du même bâtiment. On découvrit aussi des silhouettes humaines sur des murs, comme des négatifs de photos. Au centre de l’explosion, sur le pont qui se situe près du Musée des sciences, un homme et sa charrette avaient été projetés sous la forme d’une ombre précise montrant que l’homme était sur le point de fouetter son cheval au moment où l’explosion les avait littéralement désintégrés…

    John Hersey

    John Richard Hersey (1914-1993), journaliste àTime Magazine et au New Yorker. Auteur, entre autres, de A Bell for Adano (prix Pulitzer, 1945) et de Hiroshima (New York, 1946), d’où sont tirés les extraits publiés ici. Il a consacré sa vie à la lutte antinucléaire.
     
     
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  • La pétition contre le statut de Première dame atteint les 140.000 signatures

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    Emmanuel Macron avait indiqué en avril vouloir un véritable statut pour la Première dame pour sortir d'une "hypocrisie française".

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    Les signataires se font de plus nombreux jour après jour. Alors que le statut de la Première dame a encore fait débat à l'Assemblée nationale lors de l'examen des projets de loi de moralisation, la grogne s'organise sur les réseaux sociaux. 

    140.000, c'est le nombre d'internautes qui ont signé la pétition "Contre le statut de Première dame pour Brigitte Macron"- repérée par LCI et lancée par Thierry Paul Valette, président du mouvement politique Egalité Nationale. Lors de la campagne présidentielle, le candidat d'En Marche !, Emmanuel Macron, avait dit vouloir "clarifier" le statut de l'épouse du président : "Je souhaite qu'un cadre soit défini et je demanderai qu'un travail soit conduit en la matière".

    Il "se pose un problème de conscience nationale"

    "Avec un tel statut la première dame usera de son rôle comme bon lui semble  et ce sera lui reconnaître une existence juridique qui permettrait de bénéficier d'un budget , d'un rôle important, de nombreux collaborateurs, chauffeurs , protection renforcée et autres avantages... A l'heure où l'état souhaite faire des économies dans le budget de l'armée et souhaite moraliser la vie politique , se pose un problème de conscience nationale", avance au contraire la - très populaire - pétition.

    Et le texte de soulever  que "paradoxalement le recours aux emplois familiaux sera bientôt interdit à l'Assemblée nationale." 

     

    Pourtant, comme l'avait révélé "Capital", il n'y a rien de nouveau à cette pratique, si ce n'est la volonté de poser un cadre juridique à la mission de la Première dame. Mise en place d'un secrétariat, d'un cabinet, d'agents de sécurité, les épouses des présidents sont systématiquement entourées de collaborateurs payés par l'Elysée et donc par les contribuables : 600.000 euros bruts annuels pour Carla Bruni ou encore près de 400.000 en 2013 pour l'ancienne compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, selon les calculs de nos confrères. 

    L'OBS

  • L’État Islamique annonce une guérilla urbaine contre les chrétiens en Occident

     

    Contre les chrétiens et même contre les enfants chrétiens ! C’est de que révèle la dernière livraison (n° 11) de Rumiyah, magazine de propagande de l’État Islamique (EI) qui appelle à la guérilla urbaine dans tout l’Occident. En voici des extraits. La totalité de cet article peut se lire sur Les Observateurs qui l’a repris de Dreuz Info (© Rosaly). Les menaces proférées devraient être prises au sérieux, ne serait-ce qu’en raison de la multiplication des attaques au couteau de “loups solitaires” islamistes dans de nombreuses villes européennes…

    […] Les attaques contre leurs églises ont été bénies par Allah. Mourir en perpétrant ces attaques est un acte solennel, car c’est Allah qui nous a guidés dans ce parcours de la foi.

    Tuez les mushikrin, ceux qui attribuent des associés à Allah, [les chrétiens] partout où ils se trouvent. Capturez-les, assiégez-les et tuez-les. Attendez le moment opportun pour les frapper, mais s’ils se repentent, laissez-les partir, car Allah est miséricordieux.

    Tuer pour la défense d’Allah est permis, mais les mushikrin devront être épargnés s’ils récitent la chahada et embrassent la véritable foi.

    Le sang des mushikrin n’est pas sacré, à l’exception de celui des dhimmis, ayant accepté le Pacte de soumission à la loi islamique. Ces derniers doivent payer un impôt spécial [la jiziya] leur assurant la « protection » en vertu du Pacte. Mais, il s’agit là d’une mesure exceptionnelle et momentanée. À l’échéance du contrat, leur sang devra baigner la terre.

    Les actions physiques ne sont que le moyen d’atteindre l’objectif spirituel et l’enlèvement d’enfants d’infidèles en est un.

     

    L’objectif de l’enlèvement n’est pas de demander une rançon, mais de perpétrer un massacre et répandre ainsi la terreur dans le cœur des incroyants. Séquestrez-les, non pour négocier une rançon, mais pour les tuer. Poursuivez votre mission, jusqu’à ce qu’Allah vous rappelle à lui. Les enfants devront être tués avant l’arrivée de la police.

    Ne compromettez pas une opération, si vous ne disposez pas d’une arme à feu, car immense est la récompense pour ceux qui massacrent les croisés avec un couteau. Il suffit d’un peu d’imagination et d’une planification de base.

    Les otages serviront de boucliers humains et leur massacre distillera la peur dans le cœur des incroyants.

    L’objectif d’un enlèvement est la publicité, qui en découle. Dans certains cas, il est opportun de maintenir momentanément les otages en vie, d’informer les autorités et leur expliquer l’enjeu de la mission, que le soldat de l’EI s’apprête à accomplir, car le but est de créer la terreur […]

    Sources : Dreuz Info, 20 juillet ; Les Observateurs, 22 juillet

    Observatoire de la christianophobie

  • UNE PÉTITION CONTRE LE STATUT DE PREMIÈRE DAME REMPORTE UN VIF SUCCÈS!

       

    Sur Internet, Thierry Paul Valette, fondateur de l’Égalité nationale, mouvement de lutte contre la corruption, a lancé il y a deux semaines une pétition “contre le statut de Première dame pour Brigitte Macron”. Adressée à Emmanuel Macron et Édouard Philippe, elle a déjà récolté plus de 98.300 signatures, dont plus de 70.000 au cours des dernières 24 heures, raconte La Voix du Nord.

    Sans statut juridique, la Première dame de France ne bénéficie aujourd’hui que d’un bureau et de collaborateurs. De plus, aucun budget ne lui est réellement attribué, rappelle le quotidien régional. En revanche, les moyens mis à sa disposition ont été estimés à 450.000 euros par an, selon la Cour des Comptes en 2014.

     

    Les signataires de la pétition craignent que la création d’un statut sur mesure ne fasse bénéficier la Première dame de fonds propres. “Avec un tel statut, la Première dame usera de son rôle comme bon lui semble et ce sera lui reconnaître une existence juridique qui permettrait de bénéficier d’un budget. […] Il n’y a aucune raison pour que l’épouse du chef de l’État puisse obtenir un budget sur les fonds publics”, écrit Thierry Paul Valette.

     

    Pour appuyer ses dires, l’initiateur de la pétition explique: “À l’heure où l’État souhaite faire des économies dans le budget de l’armée et souhaite moraliser la vie politique, se pose un problème de conscience nationale”. Et de poursuivre en glissant une allusion à la loi de moralisation de la vie publique: “Paradoxalement, le recours aux emplois familiaux sera bientôt interdit à l’Assemblée nationale”.

    Enfin, Thierry Paul Valette se réfère aux sondages en rappelant que “les Français à plus de 65% sont défavorables à la création d’un statut particulier pour Brigitte Macron”.

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    Pétition signée le 06/08/17

  • Pythéas, un astronome antique dans l'Arctique

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    EXPLORATEURS MÉCONNUS (1/6) - Vers 330 av. J.-C., ce savant grec est allé jusqu'aux mers gelées du Grand Nord, peut-être pour s'assurer de la rotondité de la Terre.

    Du grand voyage qui mena Pythéas des rives ensoleillées de Massalia, l'antique Marseille, aux mers gelées du Grand Nord, on ne sait finalement pas grand-chose. L'astronome grec disposait-il d'une flotte ou d'un bateau unique? Nul le sait. Pour autant qu'on sache, il est tout à fait envisageable que le savant ne soit même pas un navigateur et qu'il se soit embarqué sur des bateaux commerciaux, de proche en proche. On ne connaît pas plus les dates de son périple que sa durée ou son itinéraire précis. Les historiens estiment, à la louche, qu'il s'est déroulé entre 335 et 325 avant J.-C. Quel âge avait alors Pythéas? Mystère. Qui était-il exactement? Quelles étaient ses motivations précises? Tout le monde l'ignore.

    Les deux récits de cet explorateur méconnu, un Traité sur l'océan et une Description de la Terre, ont été perdus (encore une fois, dans des circonstances qui restent à établir). Les seules traces que l'on ait de l'existence de cet homme et de son expédition viennent d'historiens ou de savants grecs. Les citations qui lui sont directement attribuées tiennent en quelques pages à peine. Elles sont pour leur quasi-intégralité rapportées par le géographe Strabon au Ier siècle avant J.-C., qui n'en croyait pas un traître mot! Pythéas est, selon lui, «le plus menteur des hommes».

    On doit notamment à Pythéas d'avoir mesuré avec une précision exceptionnelle l'ob­liquité de la Terre, à savoir l'inclinaison de son axe de rotation

    Personne ne remet aujourd'hui en cause l'existence de ce grand astronome, ni la véracité de son périple nordique. De grands savants comme Ératosthène, à qui l'on doit l'une des premières estimations de la circonférence de la Terre, ou Hipparque, considéré comme le plus grand astronome de l'Antiquité, n'en ont jamais douté eux non plus. Les observations et les aventures de leur aîné suscitent bien au contraire leur admiration sans borne. On doit notamment à Pythéas d'avoir mesuré avec une précision exceptionnelle l'obliquité de la Terre, à savoir l'inclinaison de son axe de rotation. Rappelons que la rotondité de la Terre ne faisait aucun doute pour les savants grecs. De cette valeur, Pythéas déduit vraisemblablement qu'il existe au nord du globe une zone où le soleil ne se couche jamais en été. On comprendrait alors son désir irrépressible de s'aventurer dans ces contrées froides pour vérifier cette prédiction.

    Le savant était-il en mission commandée par les dirigeants de Massalia pour découvrir de nouvelles routes commerciales pour l'ambre et l'étain? C'est l'avis de certains historiens. «Il n'y a aucune preuve formelle , rappelle François Herbaux, auteur de plusieurs ouvrages sur l'astronome grec. Cela expliquerait comment Pythéas a financé son aventure. Mais je ne pense pas que ce soit le ressort intime qui l'anime.»

    Le savant aurait longé les côtes ibériques puis gauloises, «découvrant» la Bretagne, puis la Grande-Bretagne, dont il est le premier à rapporter l'existence

    Le savant serait passé par le détroit de Gibraltar, puis aurait longé les côtes ibériques puis gauloises, «découvrant» la Bretagne, puis la Grande-Bretagne, dont il est le premier à rapporter l'existence. Winston Churchill qualifie d'ailleurs lui-même Pythéas de «Christophe Colomb des contrées nordiques». L'astronome évoque la forme triangulaire de ces îles et en détermine la longueur. Il y décrit les mœurs des habitants qui ne boivent pas du vin, mais «une liqueur fermentée à base d'orge». Il découvre probablement dans l'Atlantique le phénomène des marées et émet pour la première fois l'hypothèse que leur amplitude dépend des phases de la Lune, une intuition brillante.

    Peut-être Pythéas se rend-il alors en Islande. Il évoque en tout cas dans ses textes une mystérieuse île de Thulé, située au nord de l'Angleterre, à six jours de navigation. Les bribes qui nous sont parvenues sur ce lieu ne permettent pas vraiment de savoir si Pythéas s'y est rendu lui-même ou s'il rapporte des connaissances glanées chez les populations locales du nord de l'Europe. Sur cette terre, la plus septentrionale du monde, lui expliquent-elles, le soleil reste toujours couché au cœur de l'hiver et ne disparaît jamais au milieu de l'été.

    Qu'il passe ou non par l'Islande, l'aventurier a poussé son expédition plus au nord. Vraisemblablement jusqu'aux prémices de la banquise, à en croire sa description d'une mer gélatineuse, qu'il compare aux méduses, dans laquelle les bateaux ne peuvent naviguer mais sur laquelle on ne peut pas non plus poser le pied. L'astronome aurait alors sans nul doute vécu les journées sans fin qu'il recherchait tant.

    Pythéas est le premier scientifique à avoir déterminé la latitude précise d'un lieu. En l'occurrence, sa ville d'origine, Marseille. Aurait-il pu déterminer la latitude d'une autre ville pendant son voyage afin d'établir une mesure de la taille du globe terrestre, inspirant la fameuse mesure d'Ératosthène un siècle plus tard? C'est bien possible. Mais comme souvent avec cet explorateur d'un genre nouveau, peut-être le premier à être animé par la curiosité scientifique, cette question restera très certainement à jamais sans réponse.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 05/08/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

  • Emmanuelle Ménard : « Les électeurs de droite se sont massivement reportés sur moi malgré la diabolisation »

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    20h20

    Pour la députée de l’Hérault apparentée Front national, les Français attendent des solutions mais pas d’opposition systématique. Elle veut se démarquer du «spectacle» des Insoumis.

     

    ● Certains au FN évoquent des échanges possibles avec Wauquiez, Dupont Aignan, même avec Mélenchon. Qu’en pensez-vous? Cela peut-il conduire à la formation d’un groupe?

    EM : « On ne peut pas mettre ces différentes personnalités sur le même plan. Je ne crois pas une seconde à un grand rassemblement de tous les «souverainistes». La droite et la gauche existent! Depuis des années, une partie du Front National fait une véritable danse du ventre pour attirer un Jean-Pierre Chevènement. Pour quel résultat? Aucun. En revanche, je suis persuadée que bien peu me sépare de Laurent Wauquiez. Ses électeurs le savent. Il nous reste à lui prouver que l’union des droites est la clé pour arriver au pouvoir… »

    ● Sur quels thèmes politiques imaginez-vous des passerelles pour vous permettre de constituer un groupe parlementaire?

    EM : « Prenons l’exemple des sujets abordés en Commission des affaires économiques, dans laquelle je siège. A l’écoute des discours de certains LR, je me dis qu’une feuille de papier à cigarette nous sépare! Sur, par exemple, le rétablissement de la journée de carence dans la fonction publique – qui, dans des villes comme Béziers, avait permis de faire baisser significativement l’absentéisme quand elle était en vigueur – nous y sommes favorables les uns et les autres. De même, nous accordons sur le fait que le «front républicain» n’a plus aucun sens pour les Français. À Béziers, les électeurs de droite se sont massivement reportés sur ma candidature alors qu’on m’avait collé l’étiquette «extrême droite». Les gens s’intéressent aux idées, pas aux étiquettes. »

    ● Certains FN hésitent encore entre abstention et vote contre la loi de moralisation de la vie publique: et vous quel a été votre choix?

    EM : « Je me suis abstenue. Il y a dans cette loi des points positifs, c’est incontestable. En revanche, son article 1er, qui prévoit une peine d’inéligibilité pour quiconque se verrait condamner pour diffamation, injure ou discrimination (racisme, homophobie ou antisémitisme notamment, NDLR) est tout simplement liberticide. C’est le règne du politiquement correct, c’est la censure pour les opinions dérangeantes, c’est la mise à l’index de tous ceux qui pensent en dehors des clous. C’est pour cela notamment que je n’ai pas voté pour. »

    […] Le Figaro