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Suite à l’attentat de Barcelone, le président américain Donald a tout d’abord condamné l’attaque, proposé son aide à l’Espagne, et exprimé son amour pour le peuple espagnol : «Les Etats-Unis condamnent l’attaque terroriste de Barcelone en Espagne, et nous ferons tout ce qui est nécessaire pour aider. Soyez durs, forts, nous vous aimons !»
Il a ensuite évoqué une légende selon laquelle le général américain John Pershing aurait durant la guerre américano-philippine (1899-1902) exécuté 49 terroristes philippins à l’aide de balles trempées dans du sang de porc, les aurait enterrés parmi les porcs, puis aurait dit au 50ème : «Retourne parmi les tiens et raconte-leur ce qui s’est passé». Trump a tweeté : «Après cela, il n’y a plus eu de terrorisme islamique radical pendant 35 ans !». Donald Trump avait déjà évoqué cette anecdote en février 2016.
«Etudiez ce que le Général Pershing des Etats-Unis a fait aux terroristes qu’il a attrapés. Après cela, il n’y a plus eu de Terrorisme Islamique Radical pendant 35 ans!»
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (16/08/2017) Donald Trump est revenu sur les événements de Charlottesville (Virginie, USA), où une marche nationaliste a été attaquée par l’extrême-gauche avant qu’un déséquilibré ne tue une personne avec son véhicule.
Une manifestation légale attaquée par des groupes marxistes violents
Ayant dénoncé hier les « néo-nazis » et le « Ku Kux Klan » présents lors de la manifestation, le président a tenu à rappeler des points volontairement omis par les médias, largement orientés à gauche. Donald Trump a souligné le rôle des groupes communistes violents (Antifas) dans le déclenchement des troubles.
La manifestation était organisée pour protester contre la volonté du maire de la ville, Michael Signer (Démocrate), de faire enlever une statue du Général Robert E. Lee, figure militaire respectée de la Confédération lors de la Guerre de Sécession. Il fut d’ailleurs plus tard réintégré dans ses droits en 1888 par le gouvernement américain.
Le président américain a tenu à rappeler, lors d’une conférence de presse à New-York, que s’il avait condamné les violences des quelques néo-nazis présents, les violences avaient éclatée après que des groupes d’extrême-gauche armés décident de s’en prendre physiquement à la manifestation nationaliste.
Celle-ci avait en effet été autorisée par un juge fédéral, comme le garantit la constitution. La police cependant n’a pas séparé les deux groupes dans ce qui ressemble à une volonté délibérée, de la part du maire, de créer des troubles dans la ville.
Donald Trump dénonce les groupes violentes d’extrême-gauche
Les médias dominants américains ont tenté de déstabiliser le président américain depuis ce week-end en tentant de faire croire qu’il soutenait les émeutiers en ne les dénonçant pas nommément. Chose qu’il a faite le lendemain lors d’une conférence spéciale. « Je voulais m’assurer, contrairement à la plupart des politiciens, que ce que je dirais était exact […] vous ne faites pas de déclaration avant de connaître les faits, cela prend un peu de temps pour avoir les faits. C’est un processus très, très important pour moi. Donc je ne veux pas faire une rapide déclaration juste pour faire une déclaration. Je voulais connaître les faits », a-t-il insisté.
Au sujet de l’attaque menée par un déséquilibré, Donald Trump a dénoncé « un meurtrier » qui s’est avait fait une « chose horrible et inexcusable », ajoutant qu’il s’était « déshonoré, a déshonoré sa famille et le pays ».
Revenant sur les violences initiées par les anarcho-communistes dits « Antifas », le président américain a déclaré avoir « vu les choses de très près, de beaucoup plus près que vous [les journalistes, NDLR]. Vous aviez un groupe d’un côté qui était mauvais et vous aviez aussi un groupe, de l’autre côté, qui était très violent. Personne ne veut dire ça, mais je le dis maintenant. Vous avez un groupe qui est venu, qui a chargé, qui n’avait pas de permis de manifester, qui était très, très violent ».
Le président américain s’inquiète de la réécriture de l’histoire par les marxistes
Donald Trump s’est inquiété de l’origine des violences déclenchées par l’extrême-gauche, à savoir la volonté des marxistes et du Parti Démocrate de réécrire l’histoire des USA, notamment dans le Sud des États-Unis.
« J’ai condamné les néo-nazis, j’ai condamné beaucoup de groupes. Mais tous ceux qui étaient là n’étaient pas des néo-nazis. Tous ceux qui étaient là n’étaient pas des suprémacistes blancs. Des gens étaient aussi là parce qu’ils voulaient protester contre le retrait de la statue de Robert E. Lee. Je me demande, est-ce que ce sera George Washington la semaine prochaine ? Et est-ce que ce sera Thomas Jefferson la semaine suivante ? Vous devez vraiment vous demander où est-ce que ça s’arrête […] George Washington possédait des esclaves, allons-nous retirer les statues de George Washington ? Qu’en est-il de Thomas Jefferson ? Thomas Jefferson était un très grand propriétaire d’esclaves. Vous changez l’histoire, vous changez la culture et vous avez des gens – et je ne parle pas des néo-nazis, car ils doivent être condamnés totalement – mais vous avez beaucoup de gens dans cette manifestation qui ne sont pas néo-nazis et la presse les a traité de manière absolument injuste. Dans l’autre groupe aussi vous aviez des gens bien, mais il y avait aussi des éléments très, très violents » a rappelé le président.
Des initiatives similaires sont lancées un peu partout dans le but évident de susciter des troubles. Ainsi, dans le Texas, les organisations juives gérant le « musée de l’holocauste » ont annoncé vouloir lancer des destructions de monuments dressés à la mémoire des soldats confédérés (source).
Vaste enquête du gouvernement US sur les agissements des groupes d’ultra-gauche
Suite aux violences générées par l’extrême-gauche ce week-end et le meurtre par un déséquilibré d’une contre-manifestante, le gouvernement américain a annoncé une vaste enquête sur les organisations présentes.
Contrairement à ce qui se passe en Europe et en France où les gouvernements protègent les groupes communistes dits « antifas », le gouvernement américain entend faire la lumière sur les responsabilités de ces réseaux extrémistes, généralement agités par le Parti Démocrate à des fins de basse politique.
Le ministère de la Justice a déjà annoncé la saisie de serveurs appartenant à des administrateurs de sites internet supervisant l’agitation de rue contre le président américain. Plus de 1,3 million d’adresses IP sont concernées (source).
Le Parti Démocrate et ses organisations gigognes comme « Black Lives Matter » ont été à l’origine de nombreuses actions violentes contre les meetings de Donald Trump ou contre d’autres cibles. Ainsi, un activiste noir avait assassiné 5 officiers de police (source).
Ils sont partis quand l'État islamique gagnait du terrain en Irak et en Syrie. Aujourd'hui, leur «rêve» de califat s'est évanoui. Nombre des quelque 42.000 étrangers recensés sur place dans les rangs djihadistes songent au retour. Ils sont ressortissants du Golfe, maghrébins, américains… Européens aussi, pour 5000 d'entre eux.
Plus de 250 Français, dont des femmes et des mineurs, sont déjà revenus. La plupart dorment dans nos prisons. Et attendent leur procès. Pour les accueillir, la loi a changé: beaucoup comparaîtront en cour d'assises. Des images et des témoignages étaieront l'accusation. Ils disent la violence et l'horreur, l'insoutenable et l'indicible. Quand on est commandé pour tuer - élevé, pour les plus jeunes -, peut-on en sortir? Même après des années de rééducation, placés sous étroite surveillance? Terroriste islamiste un jour, terroriste islamiste toujours? Sans être définitif, le verdict appelle la plus grande prudence.
Pour la France et l'Europe, le défi est donc immense. Aucune expérience de déradicalisation n'a encore fait ses preuves. Bien qu'elle provoque des haut-le-cœur aux arbitres des élégances, la déchéance de nationalité devrait s'imposer aux ennemis de l'Occident. Elle se révélerait pourtant plus symbolique qu'efficace.
De retour du front, rien n'interdit, en effet, aux fortes têtes de rentrer dans la clandestinité et de voyager sur le sol européen en toute liberté. Plusieurs des assaillants de novembre 2015 à Paris et de mars 2016 à Bruxelles étaient passés d'un pays à l'autre sans crier gare. Se faufilant entre les réfugiés.
L'Europe sans frontières est une gageure contre ces bombes humaines. Des experts mettent plutôt l'accent sur le renforcement des dispositifs de renseignements. C'est certes utile pour éradiquer le mal. Par tous les moyens, on doit empêcher les «revenants» de revoir un jour l'Europe. Mais quand ils sont là, pour éviter le pire, il paraît urgent de pouvoir aussi les intercepter sur le seuil de notre porte.
Des policiers autrichiens submergés par un afflux massif de migrants à la frontière avec la Slovénie en 2015 (illustration)
Les autorités du Land autrichien du Tyrol ont annoncé le 16 août avoir appelé 70 soldats en renfort sur le col du Brenner, à la frontière avec l'Italie, où plusieurs milliers de migrants affluent chaque mois, mettant les autorités en difficulté.
Depuis quelques mois, la situation migratoire dans la région du Col du Brenner, qui marque la frontière entre l'Autriche et l'Italie, se fait toujours plus préoccupante. Dépassés par un afflux massif de migrants provenant d'Afrique via l'Italie, les autorités d'Innsbruck, la capitale du Tyrol, ont décidé de déployer environ 70 soldats pour intensifier les contrôles à l'entrée dans le pays et surtout, empêcher les migrants de se cacher dans les trains de marchandises au péril de leur vie.
A l'heure actuelle, environ 700 à 1 000 migrants sont interceptés chaque mois dans le Tyrol
Interrogé par le quotidien allemand Die Welt, le chef de la police du Tyrol, Helmut Tomac, s'est voulu rassurant : «On ne parle pas de chars, ni de déploiement massif de troupes armées. La situation là-bas est assez stable. Cependant, en juillet, de nombreux migrants illégaux ont été retrouvés dans des convois et des trains de marchandises», a-t-il expliqué. «A l'heure actuelle, environ 700 à 1 000 migrants sont interceptés chaque mois dans le Tyrol. Il s'agit non seulement de lutter contre l'immigration illégale, mais aussi de sauver des vies», a-t-il poursuivi, défendant ce renfort de 70 soldats déployés le long de la frontière italienne.
Le 3 juillet dernier, Hans Peter Doskozil, le ministre de la Défense autrichien, avait déclaré au quotidien Krone que les contrôles aux frontières seraient rétablis avec une mission «d'assistance» de l'armée, dans la contexte d'un accroissement des flux migratoires en provenance d'Italie. Le ministre avait alors souligné qu'il comptait sur 750 hommes et quatre blindés mobilisables en 72 heures, une mesure qu'il avait jugée «indispensable» pour le cas où les arrivées de migrants ne faiblissaient pas.
Une adolescente a perdu la vie et 12 autres personnes ont été blessées dans l'attaque à la voiture-bélier d'une pizzeria de Sept-Sorts (Seine-et-Marne). Parmi les victimes, la serveuse du restaurant, blessée à la jambe, et hospitalisée à l'hôpital de Meaux. Frédérique Zajac vient de sortir du bloc opératoire : fracture ouverte du tibia, côtes cassées, contusions au bras. Hier soir, la jeune serveuse de 20 ans travaillait sur la terrasse de la pizzeria au moment où la voiture a foncé. "Je l'ai vu arriver avec la main sur le volant, et un grand sourire sadique", se rappelle-t-elle, au micro de France 3.
Hantée par les images du drame
"Au début, j'ai cru qu'il allait faire peur à des amis à lui qui étaient sur la terrasse, et puis en fait, à la vitesse où il arrivait, il n'aurait jamais eu le temps de freiner ou de tourner. Et puis c'est arrivé tellement vite, il nous a foncés dessus, et le choc nous a fait traverser et atterrir dans le restaurant",raconte la jeune femme. Courageuse, digne, Frédérique refuse de s'apitoyer sur son sort, mais elle est hantée par les images de cette soirée d'horreur. Bouleversée par le souvenir des victimes.
La tension s'est fortement accrue sur la péninsule coréenne ces dernières semaines après les tests réussis, mais interdits par la communauté internationale, de deux missiles nord-coréens présentés comme intercontinentaux par Pyongyang et capables, selon les experts, de frapper la côte ouest des Etats-Unis et peut-être même la côte est.
Donald Trump avait choisi d'adopter un ton très martial pour répondre à ce que Washington voit comme une provocation, promettant notamment «le feu et la colère» au gouvernement de Kim Jong-Un, allusion à la puissance nucléaire américaine.
La situation s'est encore envenimée lorsque l'armée nord-coréenne a fait part de son intention de lancer, par-dessus le Japon, quatre missiles de portée intermédiaire à proximité de l'île américaine de Guam, qui abrite une base aérienne stratégique pour les opération de Washington dans la région.
Mais le 15 août, Kim Jong-un a souhaité calmer les choses en expliquant qu'il allait «observer encore un peu le comportement idiot et stupide des Yankees» avant d'éventuellement lancer ses missiles.
Le chef de la diplomatie américaine, Rex Tillerson, a déclaré peu après que les Etats-Unis restaient toujours ouverts au dialogue avec Pyongyang, mais sous conditions.
Identifiée seulement par le prénom Robin, cette femme a déclaré lors d'une conférence de presse à Los Angeles mardi 15 août qu'elle avait été "abusée sexuellement" par le célèbre cinéaste franco-polonais lorsqu'elle avait tout juste 16 ans, en 1973.
"Le lendemain, j'ai dit à un(e) ami(e) ce que Monsieur Polanski m'avait fait", a-t-elle expliqué en lisant une déclaration.
"Mais, à cette seule exception près, la raison pour laquelle j'ai gardé cela pour moi, c'est que je ne voulais pas que mon père fasse quelque chose qui aurait pu l'envoyer en prison pour le reste de sa vie."
Le cinéaste, qui aura 84 ans vendredi 18 août, est accusé d'avoir drogué Samantha Geimer quand elle avait 13 ans, et de l'avoir violée dans la maison de Jack Nicholson à Los Angeles en 1977 pendant que l'acteur était en voyage.
Roman Polanski avait reconnu avoir eu des relations sexuelles illégales avec une mineure et, en échange, le juge avait accepté de ne pas retenir d'autres chefs d'inculpation plus graves, notamment le viol avec fourniture et usage de drogue. L'accord juridique avait été obtenu avec le consentement de la famille et de leurs avocats.
Après quarante-huit jours en détention pour subir un examen psychologique, il avait été libéré pour pouvoir terminer un tournage. D'après des documents déposés par son avocat Harland Braun, Roman Polanski avait obtenu par le juge en charge de l'affaire que les sept semaines qu'il avait déjà passées en détention seraient sa seule peine d'incarcération. Mais en 1978, convaincu que le juge allait revenir sur cette promesse et l'envoyer en prison, pour peut-être des décennies, il a fui les Etats-Unis pour la France.
Une foule nombreuse de Marseillais se pressait dans la belle cathédrale La Major, implorant la Vierge de sauver Marseille et la France. Beaucoup de personnes portaient leur chapelet autour du cou.
Les orgues acccompagnaient les chants à la gloire de Marie.
Selon BFMTV, le 15 août férié est une « survivance » d’une fête chrétienne qui célèbre la montée au ciel du corps de la Vierge Marie.
Que vous soyez croyant ou pas n’y change rien. Si le 15 août est férié, c’est qu’il est au départ une fête chrétienne, en l’occurrence le moment où la Vierge Marie monte au ciel. Cet épisode est l’accomplissement de la plus importante promesse chrétienne: à la fin des temps, la résurrection des âmes, mais aussi des corps.
(Raphaël, retable de Fano représentant des épisodes de la Vie de la Vierge, l’Assomption, 1497)
Cette fête de l’Assomption, dont la date tombe toujours un 15 août, ne doit pas être confondue avec l' »Ascension », qui figure l’élévation de Jésus Christ, 40 jours après la Pâques. Un moyen mnémotechnique rappelé par l’Internaute permet de se souvenir de la différence: dans « Assomption », il y a un « m » comme pour « Marie ».
De manière plus profane et républicaine , l’Assomption fait partie des 11 jours légalement fériés et listés comme tels par le Code du travail aux articles L3133-1 à L3133-3.
« […] Si le parquet de Meaux parle d’un « acte délibéré », les premiers éléments de l’enquête conduite par les gendarmes de la section de recherches de Paris écartent la piste terroriste. L’homme au volant de la BMW, inconnu des services de police, aurait tenté de mettre fin à ses jours après avoir raté sa première tentative dimanche.
Une version que met en doute ce témoin. « Ce regard qu’il avait là, toute ma vie ce sera ancré dans ma tête. Toute ma vie. On ne peut pas avoir ce regard-là quand on vient de faire un truc comme ça, a-t-il estimé. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi posé. Tranquille, serein. Le gars, il avait réussi son coup. » »
L'établissement, situé dans les Alpes suisses, a placardé deux affiches s'adressant exclusivement à ses clients juifs. Israël a demandé des excuses officielles et condamné un «acte antisémite de la pire espèce». La Suisse a quant à elle rappelé qu'elle condamnait toute forme de racisme.
Un hôtel suisse ayant placardé une affiche jugée antisémite est au cœur d'une vive polémique en Israël qui a demandé des excuses officielles à Berne. L'Aparthaus Paradies, situé dans le village d'Arosa, dans les Alpes suisses, a affiché un mot demandant à ses clients juifs de se doucher avant d'entrer dans la piscine.
L'établissement accueille pourtant depuis des années de nombreux clients juifs, particulièrement des ultra-orthodoxes, en provenance du Royaume-Uni, des États-Unis ou encore d'Israël, soulignent les médias helvétiques qui ont rapporté l'affaire ce mardi. Mais la directrice de l'établissement, voulant apparemment rappeler les règles d'hygiène aux utilisateurs de la piscine, a spécifiquement ciblé les «clients juifs» à la suite de plaintes concernant deux jeunes filles juives qui étaient entrées dans l'eau sans avoir pris de douche, a rapporté le journal israélien The Times of Israel.
«À nos clients juifs, femmes, hommes et enfants, vous êtes priés de prendre une douche avant et après la baignade. Si vous ne respectez pas cette règle, nous serons forcés de vous exclure de la piscine. Nous vous remercions de votre compréhension», est-il écrit en anglais sur la feuille de papier. Une autre affiche placardée sur le congélateur de l'hôtel s'adressait là encore aux seuls clients juifs, autorisés par la direction à y entreposer de la nourriture casher. «À nos clients juifs: vous pouvez avoir accès au congélateur seulement pendant ces créneaux horaires: 10h00-11h00 et 16h30-17h30. J'espère que vous comprenez que notre équipe n'aime pas être dérangée sans arrêt».
Tensions diplomatiques entre Israël et la Suisse
Les affiches ont été photographiées par un client et placées sur les réseaux sociaux, déclenchant un tollé en Israël où la vice-ministre des Affaires étrangères, Tzipi Hotovely, a exigé des excuses officielles pour cet «acte antisémite de la pire espèce». La directrice de l'établissement, citée par le journal suisse de langue allemande Blick, a indiqué que les affiches avaient depuis été retirées, mais se défend de toute arrière-pensée antisémite.
«Actuellement, nous avons de très nombreux clients juifs et je remarque que certains ne prennent pas de douche avant d'aller nager», a-t-elle confié. «Étant donné que d'autres clients m'ont demandé de faire quelque chose, j'ai écrit un peu naïvement cette affiche», a-t-elle reconnu. «J'aurais mieux fait d'adresser cette demande à tous les clients de l'hôtel». Le ministère suisse des Affaires étrangères a indiqué ce mardi dans un communiqué qu'il avait réaffirmé à l'ambassadeur d'Israël que la Suisse «condamne le racisme, l'antisémitisme et toute discrimination».
Le Centre Simon Wiesenthal a pour sa part demandé à la ministre suisse de la Justice, Simonetta Sommaruga, de «fermer l'hôtel de la haine» et de «punir sa direction». Il demande en outre au site de réservation Booking.com de «retirer l'Aparthaus Paradies» de ses listes et «à la communauté juive de mettre sur liste noire cet horrible hôtel».
La rencontre d'une vie. Hans Nilsson, qui vit dans le comté de Värmland, dans le centre de la Suède, a réussi à filmer, vendredi 11 août, un élan entièrement blanc en train de prendre un bain dans un cours d'eau. Cet homme, qui se décrit comme un "amoureux de la nature", a raconté à la radio suédoise Sveriges que cette expérience était aussi "intense que de voir un léopard en Afrique".
C'est que ce type de spécimen est rarissime. Il n'en existerait qu'une centaine dans toute la Suède, selon les autorités locales citées par la BBC. Ces animaux complètement blancs ne sont pas albinos : leur couleur serait simplement liée à une mutation génétique exceptionnellement rare.
Hans Nilsson a indiqué à la presse avoir pu rester une vingtaine de minutes à proximité de l'animal, et avoir pu l'approcher jusqu'à cinq mètres environ. L'élan, comme le montrent ces images, n'avait pas l'air effrayé.