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Blog - Page 133

  • NIGEL FARAGE DÉNONCE L’INACTION DES DIRIGEANTS DE L’UE FACE AU TERRORISME! (VIDÉO)

     

     

     

    L’ancien leader de l’UKIP et chef de file de la campagne pour le Brexit, Nigel Farage, dénonce dans un entretien sur Fox NewsTucker Carlson Tonight, l’inaction des dirigeants de l’Union européenne qui est selon lui responsable de la poursuite des actions terroristes dans l’UE revendiquées par l’Etat islamique. Ils se contentent d’affirmer leur « solidarité » face au terrorisme, « mais pas une seule fois nous n’entendons un seul dirigeant de l’Europe proposer quelque solution politique que ce soit ».
     
    « Ils sont toujours dans le déni parce qu’ils sont tellement gênés par le fait qu’ils sont à la racine de tout cela », estime Farage.
     
    Il commentait l’attaque à la camionnette qui a fait au moins 14 morts à Barcelone jeudi, ainsi qu’une centaine de blessés.
     

    Nigel Farage relie l’action de l’Etat islamique et la politique migratoire de l’UE

     
    « Il y a un lien direct et une relation entre le nombre de personnes de religions et de cultures différentes que vous faites entrer et le nombre d’attaques terroristes », a affirmé l’eurosceptique. Nigel Farage a rappelé que l’Europe centrale et orientale est à l’abri des attaques terroristes de l’Etat islamiques, dans les pays où les gouvernements s’opposent aux quotas de migrants que tente de leur imposer Bruxelles. La Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie refusent d’accueillir les migrants islamiques d’origine africaine et proche-orientale qui réussissent à pénétrer dans les pays frontaliers de l’Union – Italie, Espagne, Grèce…
     
    C’est encore la meilleure protection face au terrorisme islamique.
     
    Farage a d’ailleurs souligné que ces pays d’Europe de l’Est ont encore le souvenir de l’oppression nazie et communiste que nombre de leurs citoyens ont personnellement connue. Une bonne raison pour qu’ils ne se soumettent pas à la pression de l’UE en vue de leur faire accepter la « migration islamique  », analyse Farage.
     
    Celui-ci pense que le projet européen est en train de s’écrouler face à la réalité où cohabitent des peuples très divers qui ne veulent pas d’une forme d’Etats-Unis d’Europe.
     

     
    L’inaction des dirigeants de l’Union européenne au service du terrorisme de l’Etat islamique

     
    Les Britanniques, qui ont eu la possibilité d’exprimer ce refus, ont choisi le Brexit pour des raisons de protection et de sécurité et non d’un quelconque « anti-islamisme », afin de mieux pouvoir contrôler leurs frontières, a ajouté Farage : « En réalité, nous voulons contrôler nos frontières, non parce que nous en avons contre tel ou tel, mais parce que nous croyons avant toute chose au contrôle sensé des frontières. » Selon lui, le vote du Brexit s’explique au moins en partie par la volonté d’agir face à la multiplication des attaques terroristes que l’UE refuse de prendre à bras-le-corps.
     
    « On peut dire que l’Union européenne a payé le prix politique fort à travers le Brexit », a conclu Farage, tout en regrettant que nombre de partis en Europe qui s’opposent à l’immigration islamique paraissent eux-mêmes « un peu extrémistes ».
     
    Mais il a également dénoncé la véritable volonté de l’Union européenne qui est d’ôter toute forme de pouvoir aux Etats individuels pour les soumettre à Bruxelles.

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  • FOLHUMOUR

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  • Marseille : l'initiative incroyable de Juifs rescapés de la Guerre auprès de migrants

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    Marseille : l'initiative incroyable de Juifs rescapés de la Guerre auprès de migrants
     Marseille
     

    À bord de trois voitures pilotées par des membres de l'UJFP, une quinzaine de migrants tchadiens et soudanais ont fait le voyage depuis la vallée de la Roya jusqu'à Nice. Quatre d'entre eux, mineurs, ont continué le voyage jusqu'à Marseille, où ils attendront d'être pris en charge par l'Aide sociale à l'enfance.PHOTOS VALÉRIE VREL
     
     

    Des Juifs rescapés de la 2e Guerre mondiale ont transporté mercredi des Tchadiens et Soudanais jusqu'à Marseille. Récit.

     

     
    Checkpoint. C’est comme ça qu’ils appellent le barrage policier qui a arrêté leurs trois voitures à Sospel (Alpes-Maritimes). "Ils laissaient passer tous les autres véhicules, mais pas nous, qui avions quinze Noirs à bord" soupire Nicole, 74 ans. Elle fait partie des six membres de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP) qui ont conduit quinze migrants tchadiens et soudanais depuis la vallée de la Roya jusqu’à Marseille, en passant par Nice. Ils attendaient depuis un mois chez Cédric Herrou, l’agriculteur condamné le 8 août à quatre mois de prison avec sursis pour "aide à l'immigration clandestine." Lui affirme "faire le travail de l’État" en accueillant des migrants sur ses terres, juste derrière la frontière italienne.

    Mercredi à l’aube, les militants de l’UJFP retrouvent leurs passagers à Breil-sur-Roya (Alpes-Maritimes), où la gendarmerie les retiendra trois heures, en attendant la Police aux Frontières (Paf), qui n'est jamais venue. Ils finissent par passer. Une demi-heure plus tard, des policiers inspectent leurs papiers au "checkpoint" de Sospel. Tout est en règle, et les trois voitures continuent leur périple vers Nice, en évitant les grands axes routiers ; trop de risques de contrôles. Là-bas, les majeurs descendent. Seuls quatre enfants restent à bord, direction Marseille, où les militants espèrent leur trouver un accueil plus clément qu'à Nice…

    Retrouvez l'intégralité de cet article dans notre journal du jour ainsi que sur LaProvence.com

  • Russie : un homme abattu par la police après avoir poignardé 8 personnes, l’Etat islamique revendique l’attaque (MàJ)

     

    12h52

    L’organisation Etat islamique (EI) a revendiqué peu après l’attaque, dans un message diffusé par son agence de propagande Aamaq. « L’assaillant dans la ville de Sourgout en Russie est un soldat de l’EI », a précisé l’organisation djihadiste dans le communiqué.

    Le Monde


    Sourgout est une ville de 330.000 habitants située en Sibérie occidentale. L’assaillant « a attaqué des passants, blessant au couteau huit personnes » aux alentours de 11 h 20 heure locale (8 h 20 en France) alors qu’il se trouvait « dans les rues centrales » de la ville, a précisé le Comité d’enquête en Russie, organe chargé des principales investigations criminelles.

    L’attaquant a été identifié par la police, qui a indiqué que la piste terroriste n’était pas privilégiée. « La version selon laquelle l’attaque serait un attentat terroriste n’est pas notre (version) principale », a déclaré l’antenne de police locale à l’agence de presse russe Interfax, ajoutant qu’elle examinait ses éventuels antécédents psychiatriques. […]

    Deux des blessés sont dans un état grave, a indiqué le gouvernement de la région de Khanty-Mansi dans un communiqué. L’attaquant n’a pas été identifié, selon la même source.

     

    Merci à Cochonaille Deluxe

  • Attentats de Barcelone et Cambrils : les djihadistes veulent «récupérer» l'Espagne

     

     
     

    Malgré l'efficacité des services anti-terroristes et policiers espagnols, les attentats de Catalogne n'étonnent pas le géopolitologue Alexandre Del Valle, tant les revendications djihadistes sur l'Espagne sont, selon lui, ancrées dans leur discours.

     

    RT France : L'Espagne a une longue expérience de lutte antiterroriste et n'avait pas connu d'attentat depuis celui de Madrid en 2004. Comment expliquer la double attaque du 17 août à Barcelone et Cambrils ?

    Alexandre Del Valle (A. D. V.) : Je reformulerais presque de manière inverse. Il est assez étonnant que depuis 2004 il n'y ait pas eu d'attentat de grande ampleur en Espagne. Ce pays est cité depuis des années, voire des décennies, dans d'innombrables vidéos, déclarations et textes de la mouvance djihadiste «takfiriste» en général, pas uniquement venant de Daesh ou d'Al-Qaïda. Dans les années 1980, en Afghanistan, le fondateur même de cette mouvance, l'ancien maître de Ben Laden, Abdallah Azzam, avait déjà théorisé la conquête de l'Espagne, qu'il appelle Al-Andalus et qui désigne un territoire dépassant largement l'Andalousie actuelle et comprenant la Catalogne, et donc Barcelone. Tous les mouvements djihadistes déclarent régulièrement que l'Espagne est, à l'instar de la Palestine, une terre islamique reconquise par les chrétiens croisés qui doit être récupérée à tout prix. Cette revendication avait déjà été entendue en 2004. Cet attentat n'était pas uniquement dû à la participation de l'Espagne à la guerre en Irak en 2003.

    Il est très étonnant qu'il n'y ait pas eu plus d'attentats en Espagne

    Ainsi, il est très étonnant qu'il n'y ait pas eu plus d'attentats. Je pense que ceci peut s'expliquer par deux phénomènes. Premièrement, les islamistes voient l'Espagne comme une sorte de base arrière, une zone de transit entre le Maghreb – notamment le Maroc – et le reste de l'Europe. Alors, un peu comme pour l'Italie, il valait mieux ne pas trop toucher à l'endroit où l'on arrive et où l'on exporte des réseaux clandestins et criminels par les passeurs. La deuxième raison est liée aux décennies de lutte contre le terrorisme basque et à l'attentat de la gare d'Atocha à Madrid en 2004. Il y a eu une extrême efficacité des réseaux anti-terroristes et policiers espagnols que l'on peut saluer. Ils ont été parmi les plus efficaces au niveau occidental et européen et bien moins laxistes que dans d'autres pays de l'Union européenne. 

     

    RT France : L'Espagne est une des zones de passage des flux migratoires depuis l'Afrique du Nord vers l'Europe. Cela influence-t-il la situation sécuritaire du pays ?

    A. D. V. : L'Espagne contrôle bien mieux les flux migratoires tant légaux que clandestins qu'auparavant. Il y a quelques années, Lampedusa n'était pas la principale zone de transit pour les passeurs. Ils privilégiaient Gibraltar, le sud de l'Espagne, et toute l'Andalousie jusqu'à Alicante. Depuis quelques années, le passage est devenu beaucoup plus difficile, à l'inverse de ce que nous constatons en Italie, pays qui accueille désormais des centaines de milliers de clandestins chaque année. Ce passage par l'Italie est aujourd'hui encore considéré comme aisé, il n'y a donc aucun intérêt pour les terroristes de détruire un point de passage et de ravitaillement. Tandis que l'Espagne bloque bien plus les flux migratoires, coopère avec toutes les polices européennes et celle du Maroc, et se montre très vigilante.

    L'Espagne a envoyé 300 conseillers techniques dans la coalition internationale contre Daesh

    Il faut aussi rappeler que le pays est actuellement gouverné par la droite. Aujourd'hui, Mariano Rajoy est à la tête du pays. En 2004, au moment des attentats, c'était son mentor José Maria Aznar. Dans les deux cas, on note une certaine solidarité avec les Etats-Unis et une présence militaire en Irak. L'engagement espagnol aujourd'hui en Irak est certes symbolique mais le pays a tout de même envoyé 300 conseillers techniques dans la coalition internationale contre Daesh. Pour toutes ces raisons, les djihadistes veulent punir l'Espagne.

     

    RT France : Après Nice, Londres ou Berlin, Barcelone et Cambrils ont connu des attaques à la voiture-bélier. Les responsables européens n'ont-ils, selon vous, pas tiré les leçons de ce type d'attaque ou de tels attentats sont-ils simplement impossible à prévoir ?

    A. D. V. : On voit l'échec de notre justice et de nos polices pour assurer la sécurité des citoyens européens quand on observe le profil des terroristes. Ils sont quasiment tous fichés soit pour terrorisme soit pour délinquance. Pratiquement tous ceux qui ont commis des attentats en Europe ces dernières années – qu'il s'agisse de personnes issues de l'immigration, d'étrangers immigrés en Europe ou de convertis – étaient plus au moins connus des services de police.

    Là où le système ne fonctionne pas, c'est qu'il ait permis de remettre en liberté des gens qui n'auraient pas dû l'être. Quand ils sont étrangers, ils auraient dû être reconduits dans leur pays d'origine depuis très longtemps. On aurait pu faire en sorte que toute personne identifiée soit mieux contrôlée ou renvoyée lorsqu'elle était expulsable. C'est à mon avis l'un des points les plus importants.

    RT

  • «L'Europe est perdue» : le grand rabbin de Barcelone encourage les juifs à songer à Israël

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    Le grand rabbin de Barcelone Meir Bar-Hen a enjoint sa communauté à acheter des logements en Israël, dans l'optique d'un éventuel départ. Il estime en effet au lendemain des attentats de Catalogne que les juifs sont menacés par l'islam radical.

    Après les attentats djihadistes de Catalogne, qui ont coûté la vie à 14 personnes et blessées plus d'une centaine d'autres, le grand rabbin de Barcelone a encouragé les juifs de la région à ne pas répéter les erreurs des juifs «algériens ou vénézuéliens» et à se préparer à quitter l'Europe, «avant qu'il ne soit trop tard». 

    «Je le dis à mes confrères : ne pensez pas que vous êtes ici [à Barcelone] pour de bon, et je les encourage à acheter des propriétés en Israël», a confié Meir Bar-Hen à l'agence de presse JTA («Jewish Telegraphic Agency», basée à New York). Dans ce même entretien, il a estimé que les attaques en Espagne avaient mis en évidence la présence de «franges radicales» parmi la population musulmane de la région. Il a en outre jugé que les autorités espagnoles étaient timorées dans leur traitement du terrorisme. 

    Le rabbin a notamment pris pour exemple, afin d'étayer ses propos, le cas de l'autorisation accordée par les autorités espagnoles à l'écrivain palestinien membre de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) Leïla Khaled, d'entrer sur son territoire, alors que cette dernière avait été impliquée dans un détournement d'avion en 1969 et une tentative d'en détourner un second en 1970, au nom de la cause palestinienne. 

    L'opinion de Meir Bar-Hen n'est toutefois pas partagée par toutes les instances communautaires juives locales. Ainsi, la Fédération des communautés juives d'Espagne (FCJE) a publié un communiqué le 17 août, dans lequel elle enjoint les Espagnols de confession juive à «faire confiance aux forces de l'ordre du pays qui travaillent chaque jour à empêcher les fanatiques et les islamistes de semer le chaos et la souffrance». Le FCJE a aussi demandé aux responsables politiques de traiter de manière intelligente et déterminée le fanatisme, dans le sens de la «liberté et de la démocratie». 

    L'Etat islamique a revendiqué les attaques meurtrières des Remblas de Barcelone et de Cambrils, en Catalogne, du 17 août, qui ont fait au total 14 morts et une centaine de blessés.

    Lire aussi : Attentats en Espagne : perquisition chez un imam, la chasse à l'homme se poursuit

  • BARCELONE/ 18 février 2017/ “NOUS VOULONS ACCUEILLIR”, “CHEZ NOUS, C’EST CHEZ VOUS”

     

     

     

    Quelque 160.000 personnes ont participé samedi à une manifestation à Barcelone pour réclamer que l’Espagne accueille « dès maintenant » des milliers de réfugiés comme elle s’y était engagée en 2015, selon une estimation de la police municipale.

    La maire de gauche de la deuxième ville d’Espagne, Ada Colau, avait appelé les manifestants à « emplir les rues » pour cette marche intitulée « nous voulons accueillir » (« volem acollir », en catalan).

    Vers 17H00 locales, la Via Laietana – avenue traversant la vieille ville jusqu’au port – était pleine de manifestants, a constaté le photographe de l’AFP.

     

    Ils étaient nombreux à porter sur eux la pancarte « plus d’excuses, accueillons maintenant ». Le défilé était organisé par la plateforme « Chez nous, c’est chez vous » (« Casa nostra casa vostra », en catalan).

     

    En vertu de ses engagements envers l’Union européenne, l’Espagne devait recevoir quelque 16.000 candidats à l’asile déjà admis dans d’autres pays, à partir de 2015. Mais seuls 1.100 sont arrivés jusqu’à présent.

    Le Figaro ( 18 février 2017)

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  • La première famille « gender fluid » du Royaume-Uni a les honneurs de la presse tabloïde

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    Louise, Star Cloud et Nikki Draven, dans leur maison à Middlesbrough.


     
    Opération matraquage. Le Daily Mail, quotidien britannique tabloïde de réputation conservatrice, présente dans son numéro de dimanche un portrait de la « première famille » au Royaume-Uni au genre indéfini – « gender fluid », comme disent les idéologues du genre. Monsieur n’est pas un homme à part entière, puisqu’il est en pleine « transition » vers la féminité. Madame est biologiquement femme mais se sent à la fois mâle et femelle. Leur fils – car ils ont un enfant – fera ce qu’il voudra. Ses parents refusent de se laisser emporter par l’« obsession » quant à son « genre ». On s’en serait douté.
     
    « C’est une personne, pas un garçon », proclament Nikki et Louise Draven, de Middlesborough – deux « personnes » très ordinaires d’une ville très moyenne du Royaume-Uni ; on est loin du « glamour » et de la « jet-set ». Symboles d’une société qui perd ses repères ou plutôt les fait délibérément perdre à ses membres, Nikki et Louise sont présentés au lectorat populaire du Daily Mail comme des gens comme vous et moi. Après avoir été portée par les milieux universitaires et le monde du show-bizz, l’aberration de l’idéologie du genre s’installe dans les classes moins que moyennes. Consternant…
     

     

    Même la presse tabloïde conservatrice s’y met

     
    Peu importe qu’ils soient un homme et une femme qui ont – de la manière la plus classique – donné naissance à un enfant après s’être mariés comme Monsieur et Madame Tout-le-Monde. Enfin, presque : ce fut une cérémonie païenne, célébrée en 2012. Leur fils s’appelle « Star Cloud » (nuage d’étoiles) : il a identifié Louise, son père biologique, comme sa mère alors même qu’il est né de Nikki, qu’il appelle « Papa ». Le Daily Mail ne trouve pas l’énergie pour crier à la maltraitance…
     
    Star Cloud, 4 ans, sous le regard attendri de ses parents « fluides », répond pleinement à leurs attentes inavouées puisqu’il aime « se maquiller, mettre du vernis à ongles, jouer à la poupée et porter aussi bien des vêtements de fille que de garçon ». Liberté ? Voire. Il serait bien étonnant que son père et sa mère n’y soient pour rien. Leçon bien apprise : le garçonnet affirme très volontiers qu’il sera « un homme ou une femme » quand il sera grand. Quant à ceux qui s’interrogeront sur le fait de laisser un enfant de quatre ans se badigeonner de vernis et de fards, qu’ils passent donc outre. On n’en est plus là.
     

    Star Cloud Draven, déjà « gender fluid »

     
    Il est vrai que ni Nikki ni Louise ne lui ont jamais dit qu’il est un garçon : « Nous lui disons qu’il peut être ce qu’il a envie d’être. Nous ne lui achetons pas de jouets genrés et nous le laissons choisir ses vêtements. Le rose est l’une de ses couleurs préférées. » Pauvre gosse – que ses propres parents jettent dans l’incertitude à propos de sa propre identité, avec l’aide et le soutien de sa propre école !
     
    La famille « gender fluid » – totalement normale sur le plan biologique mais détraquée dans sa vision d’elle-même – prépare en effet l’entrée de Star Cloud à l’école avec achat d’un uniforme panaché à la clef, pantalon et veste traditionnels mais chaussettes et chemises de corps roses. C’est lui qui les a choisies et ses parents sont « plus qu’heureux » de le voir… se conformer à leurs choix. Les responsables de sa future école ont abondé dans leur sens, « Ils ont l’air très content d’accueillir une famille inclusive », explique Nikki.
     

    La première « famille » indéfinie du Royaume-Uni, un vrai modèle !

     
    Leur grand souci reste de voir que leur enfant est confronté, à la garderie et ailleurs, à des garçons et des filles qui tentent de lui imposer des stéréotypes du genre : « Un garçon ne joue pas à la poupée. » Tout fiers, ils rappellent sa réaction lorsqu’ils l’ont recadré en lui expliquant qu’il pouvait jouer à la poupée parce que cela l’aiderait plus tard lorsqu’il serait lui-même papa : Star Cloud a réagi en disant qu’il ne serait peut-être pas un papa mais une maman.
     
    Message reçu cinq sur cinq.
     

    Jeanne Smits

    Réinformation TV

  • Gérard Collomb veut «mobiliser les hôpitaux psychiatriques» pour débusquer des terroristes 18 août 2017, 13:14

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    Après l'attentat qui a frappé Barcelone, le ministère français de l'Intérieur projette de mettre en place une collaboration avec les structures psychiatriques afin de repérer et d'identifier plus facilement les profils terroristes.

    Pour parer à la menace terroriste, une nouvelle piste est explorée par le gouvernement français. Invité ce 18 août sur RTL, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a annoncé vouloir «mobiliser les hôpitaux psychiatriques et les psychiatres libéraux de manière à essayer de parer à cette menace terroriste individuelle». 

    Alors que l'Espagne a été touchée en moins de 24 heures par deux attentats ayant fait de nombreuses victimes, le ministre a détaillé la mise en place d'un projet de collaboration avec Agnès Buzyn, la ministre de la Santé. L'objectif de ce nouveau plan est de contrer la menace terroriste en identifiant les individus isolés attirés par l'islamisme radical. 
    «Nous sommes en train de travailler avec ma collègue ministre de la Santé pour essayer de repérer l'ensemble de ces profils qui demain peuvent passer à l'acte», a expliqué le locataire de la place Beauvau au micro de RTL. 

    Gérard Collomb a aussi annoncé la mise en place de «protocoles» avec les services médicaux dans le cas «où lorsqu'un certain nombre de gens [auraient] des délires autour de la radicalisation islamique», ils pourraient ensuite avoir «un échange avec celles et ceux qui les côtoient».

    Cette nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme serait le moyen de faire face à deux types d'attaques, d'après l'ancien maire de Lyon. Il a insisté sur les «attaques planifiées», à l'instar de celle qui vient de se produire en Espagne, mais aussi sur les attaques perpétrées par «des gens qui se radicalisent brutalement avec souvent des profils psychologiques extrêmement troublés».
    Lire aussi : 26 Français blessés dans l'attentat de Barcelone, au moins 11 sont dans un état grave

  • Charlottesville : Près de 70% des électeurs républicains approuvent la réponse de Trump

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    16h00

    D’après un sondage CBS News, 67% des électeurs républicains approuvent la réponse de Donald Trump à l’attaque de Charlottesville. En revanche, 10% des électeurs démocrates sont de cet avis, pour un total de 55% de désapprobation. Ceci est en décalage avec les médias qui condamnent presque unanimement ses propos.
    – CBS News, 17 août 2017, 7h33

    Voir aussi :
    – Charlottesville : Trump condamne les extrémistes de gauche et de droite (vidéos) (16/08/17)
    – Fake News : Quand Sylvain Cypel affirme que Trump n’a réussi à faire voter aucune loi (15/06/17)

  • JOURNAL TVL 18 août 2017

  • DIRECT - Attentats islamistes en Espagne: 14 morts selon un dernier bilan et 126 blessés

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/direct-attentats-en-catalogne-une-deuxieme-attaque-fait-sept-blesses-a-cambrils-18-08-2017-7198875.php

    NdB: Des fleurs et des bougies, toujours le même rituel imbécile... alors que nous sommes en guerre

  • Charlottesville : le maire de New York annonce le retrait d'une plaque d'hommage au maréchal Pétain

     

    Après les violences de Charlottesville, Bill de Blasio a affirmé que "tous les symboles de haine" présents à New York seraient "étudiés". 


    Le maire de New York Bill de Blasio, le 25 juin 2017 à New York (Etats-Unis).  (MOHAMMED ELSHAMY / ANADOLU AGENCY)
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    publié le 

    imageil y a 3 heures

    "Des gens ont été projetés en l'air" : à Barcelone, les témoins de l'attaque à la camionnette racontent

    Son nom était gravé dans une rue de New York (Etats-Unis) depuis plus de dix ans. Une plaque en l'honneur du maréchal Pétain, située sur la célèbre avenue Broadway de Manhattan, va être retirée après les violences à Charlottesville. Le maire de New York, Bill de Blasio, l'a annoncé sur Twitter mercredi 16 août.

    "Après les événements violents de Charlottesville, la ville de New York va étudier pendant 90 jours tous les symboles de haine sur son territoire", a annoncé le maire sur le réseau social. "La plaque commémorative du collaborateur nazi Philippe Pétain, sur la promenade 'Canyon of Heroes', sera l'une des premières que nous retirerons."

    The commemoration for Nazi collaborator Philippe Pétain in the Canyon of Heroes will be one of the first we remove. https://twitter.com/NYCMayor/status/897926610271166464 

     

    Selon le Jerusalem Post (en anglais), cette plaque d'hommage au maréchal Pétain a été érigée pour célébrer le défilé auquel le militaire a pris part à New York, en 1931. Philippe Pétain avait alors été honoré pour son rôle au cours de la première guerre mondiale, notamment lors de la bataille de Verdun, en 1916.

    Plusieurs plaques et statues retirées 

    La plaque du maréchal Pétain faisait déjà l'objet de critiques avant les événements de Charlottesville. Comme le rapporte le Jerusalem Post (en anglais), l'élu américain Dov Hikind a réclamé le retrait de cette plaque début mai. Jeudi, ce démocrate a remercié Bill de Blasio sur Twitter pour son geste. "Merci, Monsieur le maire, d'avoir répondu à mon appel", a-t-il réagi. 

    Thank you @NYCMayor for answering my call to remove Nazi collaborators's monument- NYC is setting the right example http://bit.ly/2uJdtoa 

     

    Dov Hikind a également appelé au retrait d'une deuxième plaque commémorative à New York : celle de Pierre Laval, chef du gouvernement sous Vichy, précise le New York Post (en anglais). Celle-ci se trouve également sur la promenade "Canyon of Heroes", avenue Broadway à Manhattan.

    Depuis les violents rassemblements de groupes d'extrême droite à Charlottesville, et la mort de l'avocate et militante antiraciste Heather Heyer, tuée par un suprémaciste blanc, plusieurs villes ont décidé de retirer des statues et autres monuments confédérés. Quatre statues de confédérés ont été déboulonnées à Baltimore dans le Maryland, dans la nuit de mardi à mercredi 16 août.

  • L'Etat islamique revendique l'attentat de Barcelone

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    Un couple de touristes à Barcelone après le carnage

     

    L'attentat qui a fait, selon un dernier bilan, une douzaine de morts et 80 blessés, à Barcelone ce jeudi, a été revendiqué par l'Etat islamique via son agence de propagande Amaq.

    En fin d'après-midi, une fourgonnette a foncé dans la foule sur l'une des avenues les plus fréquentées de la ville.

    La police affirme avoir interpellé deux personnes. Un suspect a été identifié. Un homme aurait été tué dans un échange de coups de feu avec la police peu après l'attaque.

    Le Figaro

  • Paris : plus d’un milliers de jeunes migrants primo-arrivants installés porte de la Chapelle

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    0h50

    En juillet 2017, la police avait procédé une nouvelle fois au démantèlement d’un des campements de fortune de migrants situé porte de la Chapelle à Paris.

     

    Mais depuis quelques jours, plus d’un millier de jeunes, principalement des Soudanais et des Afghans, arrivés pour la première fois en France, se sont de nouveau installés dans les rues et sous les ponts, dans l’espoir d’être pris en charge par les autorités.

     

    De nouveaux exilés se sont installés aux alentours du centre d’accueil et d’orientation de la porte de la Chapelle, à Paris, entourés d’une dizaine de fourgons de la police et de riverains qui leur donnent à manger.

    Pour Antoine Bazin, coordinateur d’Utopia 56, une association d’aide aux migrants, environ 1 000 à 1 400 jeunes adultes vivent dans la rue. «Ce sont des primo-arrivants, des personnes qui arrivent pour les mêmes raisons que les précédents, explique-t-il. Ce qu’ils veulent, c’est une prise en charge au titre de la demande d’asile ».

    «Ils veulent intégrer le centre de premier accueil pour pouvoir après être intégrés à la demande d’asile et puis avoir à terme le statut de réfugié pour pouvoir arriver enfin à ce qu’ils voulaient à la base, c’est-à-dire fuir la guerre et fuir la misère dans laquelle ils étaient dans leur pays», poursuit-il.

    Ces nouveaux arrivants viennent principalement du Soudan et d’Afghanistan. Parmi eux, Brahime Ousmane, un jeune Soudanais de 21 ans, vit dans la rue depuis qu’il est arrivé en France.

    « Je dors dans la rue, raconte-t-il. Je mange dans la rue. Il n’y a pas de médicaments, il n’y a pas de toilettes. On est dans la merde. On nous dit ‘demain’. Jusqu’à aujourd’hui, on ne nous a pas pris».

    Le centre de premier accueil de Paris, qui ne dispose que de 400 places de transit, distribue en effet des convocations au compte-gouttes pour l’instruction de nouveaux dossiers de demande d’asile.

    rfi

    Merci à Pythéas