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Trump prend exemple sur Israël pour construire son mur anti-migrants
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Affaire Penelope Fillon : la pétition qui demande au couple de «rendre les 500.000 euros»
||28 janvier 2017, 15h45 | MAJ : 28 janvier 2017, 15h46|86Une pétition sur Internet appelle la femme de François Fillon à verser à l'Etat les 500 000 euros qu'elle aurait perçus comme assistante parlementaire entre 1998 et 2006. Alors que la justice a ouvert une enquête préliminaire, près de 120 000 personnes ont déjà signé le texte ce samedi.
«Bravo pour cette mobilisation. En 24 heures, nous sommes 100 000 à avoir signé la pétition», s'est félicité ce samedi son auteur, Christophe Grébert. Vendredi, cet élu centriste de Puteaux (Hauts-de-Seine) a lancé sur la plateforme Change.org un appel à Penelope Fillon à rendre les 500.000 euros de salaires perçus comme assistante parlementaire de son mari, puis de son suppléant, alors que personne n'avait jusqu'ici entendu parler de cette activité de Mme Fillon.
Alors qu'une enquête préliminaire est ouverte pour détournement de fonds publics et abus de biens sociaux, la pétition connaît un franc succès sur Internet. En début d'après-midi ce samedi, elle approchait même les 120 000 signatures.Fillon réfute l'accusation
«Au total, 500 000 euros d'argent public ont été versés pour cet emploi. Un montant qui vous semblera sans doute très exagéré, puisque dans différentes interviews vous affirmez n'avoir "jamais été impliquée dans la vie politique" de votre mari», justifie le texte de Christophe Grébert. Depuis mercredi, plusieurs extraits de vieilles interviews de Penelope ou de François Fillon refont surface. Rare dans les médias, la femme de l'ex-député de la Sarthe a régulièrement expliqué être en retrait de la vie politique. Son mari s'est quant à lui épanché sur la reconnaissance qu'il avait pour sa femme, qui s'occupait de leurs cinq enfants pendant qu'il travaillait à l'Assemblée ou à Matignon. Ce dernier a toutefois assuré, jeudi au 20 heures de TF1, qu'elle le conseillait depuis sa première élection, en 1981. L'ancien Premier ministre affirme également avoir fourni toutes les preuves nécessaires à la justice.
Le Parisien
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Marine Le Pen invirée du JT de TF1
https://www.facebook.com/MarineLePen/videos/vb.123316887684644/1620427927973525/?type=2&theater
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VIDEO - Trump qualifie les jihadistes de Daech de "rats sournois et sales"
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Monsieur 2% fait la leçon à Donald Trump sur les "réfugiés" !
François Hollande a demandé au président américain de respecter le principe de l'accueil des réfugiés et d'éviter le repli sur soi au cours d'un entretien téléphonique.
Donald Trump s'est également entretenu aujourd'hui avec Angela Merkel, Vladimir Poutine et Shinzo Abe.
Au cours de la première conversation téléphonique qu'il a eue avec le nouveau président américain Donald Trump, François Hollande lui a dit samedi «sa conviction que le combat engagé pour la défense de nos démocraties» n'était «efficace» que «dans le respect des principes qui les fondent, en particulier l'accueil des réfugiés». Une conversation qui intervient au lendemain d'un décret du nouveau locataire de la Maison Blanche sur l'immigration et l'entrée de réfugiés visant particulièrement les ressortissants de sept pays musulmans.
Le président français l'a aussi mis en garde «contre les conséquences économiques et politiques d'une approche protectionniste», en soulignant que, «face à un monde instable et incertain, le repli sur soi est une réponse sans issue». «Le président de la République a rappelé l'importance pour la planète de la mise en oeuvre de la convention de Paris sur le réchauffement climatique», a indiqué l'Elysée dans un communiqué.
Le Parisien
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Affaire Penelope Fillon : les enquêteurs vont éplucher les déclarations de patrimoine
|28 janvier 2017, 18h07|22
Les enquêteurs saisis de l'affaire Penelope Fillon vont prochainement éplucher les déclarations de patrimoine et d'intérêts de François Fillon, transmises par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
L'enquête sur le «Penelopegate» se poursuit, les enquêteurs s'apprêtent à éplucher les déclarations de patrimoine et d'intérêts de François Fillon. Des documents que la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) assure avoir transmis samedi aux enquêteurs saisis de l'affaire Penelope Fillon. La Haute Autorité, contactée à la suite d'une information d'Europe 1, a par ailleurs confirmé avoir reçu une réquisition judiciaire lui enjoignant de transmettre le dossier mais elle n'a pas souhaité donner davantage d'informations sur la démarche des enquêteurs.
Penelope Fillon est visée par des accusations d'emplois fictifs lancées par Le Canard enchaîné. En cause : 500 000 euros de salaires perçus comme assistante parlementaire de son mari, puis de son suppléant, alors que personne n'avait jusqu'ici entendu parler de cette activité de Penelope Fillon. L'enquête vise aussi des soupçons d'abus de biens sociaux : Madame Fillon aurait été salariée de 2012 à 2013 de la Revue des Deux Mondes pour environ 5 000 euros brut par mois.
>>>A LIRE AUSSI : Madame Fillon, employée par son mari
Le parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire, notamment sur des soupçons de «détournement de fonds publics» et d'«abus de biens sociaux», et lancé ses investigations. Une perquisition a été menée jeudi à la Revue des Deux Mondes, propriété de Marc Ladreit de Lacharrière, PDG de Fimalac et ami de François Fillon.
>>>A LIRE AUSSI : Penelope, la très discrète épouse de François Fillon
Pas de mise en examen avant l'élection présidentielle
Au terme de l'enquête, le parquet peut classer sans suite le dossier ou, s'il estime avoir réuni des charges suffisantes, citer directement le ou les mis en cause devant le tribunal pour un procès, sans passer par une mise en examen. Si l'affaire requiert des investigations complexes, ou pour éloigner toute suspicion de manipulation politique, le parquet peut aussi saisir un juge d'instruction. Difficile alors d'imaginer que des mises en examen interviennent avant l'ouverture de la campagne présidentielle, le 10 avril. D'autant que la justice a pour pratique de s'abstenir de prononcer des mises en examen avant un scrutin.
Les dégâts risquent d'être très lourds dans l'opinion pour celui qui avait fait de «la probité» son credo. «On ne peut pas diriger la France si on n'est pas irréprochable», clamait en novembre François Fillon. Aujourd'hui, seuls 32% des Français le jugent «honnête», selon un sondage Odoxa. Ébranlés, François Fillon et son entourage ont montré un certain flottement, avec des explications parfois contradictoires. Semblant anticiper d'autres «boules puantes», François Fillon a confié jeudi avoir, quand il était sénateur de 2005 à 2007, «rémunéré pour des missions précises deux de (ses) enfants qui étaient avocats, en raison de leurs compétences». Problème : ni sa fille, ni son fils n'étaient alors officiellement avocats. «Imprécision de langage», a tenté de minorer son entourage.
Le Parisien
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Décret Trump : des ressortissants de pays musulmans interdits d'embarquer pour les Etats-Unis
Donald Trump a interdit par décret l'arrivée de ressortissants de sept pays musulmans. Une décision déjà appliquée, notamment par KLM, qui suscite des critiques de toute part. Téhéran a décidé de faire de même avec les Américains.
La décision prise vendredi par Donald Trump d'interdire pendant trois mois l'entrée de ressortissants de sept pays musulmans (Iran, Irak, de Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen aux Etats-Unis, a déjà été suivie d'effets. Même les détenteurs de la «Green card», qui permet non-Américains de s'installer et de travailler légalement, sont concernés. Des ressortissants irakiens mais aussi iraniens détenteurs de visa n'ont pas pu embarquer samedi pour les Etats-Unis. Par mesure de rétorsion, Téhéran a aussitôt décidé d'appliquer la réciprocité aux citoyens américains.
Le «décret Trump», visant à lutter contre les «terroristes islamistes radicaux», a suscité immédiatement l'inquiétude de l'ONU qui a demandé aux Etats-Unis de conserver leur tradition d'accueil. Plusieurs associations de défense des droits civiques ont décidé d'attaquer cette mesure en justice, alors que deux Irakiens ont été interpellés à l'aéroport JFK de New York.
KLM refuse d'embarquer sept personnes vers les Etats-Unis. La société aérienne néerlandaise KLM a refusé d'embarquer sept personnes. «Nous aurions bien aimé les faire voyager avec nous mais cela n'a pas beaucoup de sens, l'entrée du pays leur aurait été refusée», a affirmé une porte-parole de KLM, Manel Vrijenhoek pour justifier sa décision. Sur les sept personnes, cinq ont pu être prévenues avant leur embarquement, a-t-elle ajouté, refusant de donner des détails sur la nationalité de ces voyageurs, leur aéroport d'origine ou leurs destinations. Deux personnes ont été informées lors d'une escale et KLM leur a offert le voyage de retour. «Il y a une semaine, ils auraient pu voyager sans problèmes, ils avaient les papiers nécessaires mais aujourd'hui, ils n'auraient pas pu entrer dans le pays», a souligné la porte-parole.
Emirates, Turkish Airlines et Etihad Airways n'acceptent pas les Iraniens. Concrètement ce samedi, des responsables de deux agences de voyage ont affirmé avoir reçu des instructions de la part des compagnies Emirates, Turkish Airlines et Etihad Airways, de ne plus vendre de billet à des Iraniens ayant un visa américain car ces dernières refusent de les embarquer à bord. Une Iranienne, étudiante en gestion en Californie, devait retourner le 4 février aux Etats-Unis. «J'avais un billet sur Turkish (Airlines) le 4 février, mais il a été annulé», a-t-elle déclaré sous couvert de l'anonymat. L'Iran et les Etats-Unis n'ont plus de relations diplomatiques depuis plus de 37 ans, mais environ un million d'Iraniens vivent aux Etats-Unis.
Téhéran prend une mesure similaire. «La République islamique d'Iran (...), tout en respectant le peuple américain et pour défendre les droits de ses citoyens, a décidé d'appliquer la réciprocité après la décision insultante des Etats-Unis concernant les ressortissants iraniens et tant que cette mesure n'aura pas été levée», a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué repris par la télévision d'Etat. Le ministère iranien a également ordonné aux ambassades et consulats iraniens de prendre des mesures pour aider les ressortissants iraniens qui sont «empêchés de rentrer à leur domicile, sur leurs lieux de travail et d'études» aux Etats-Unis.
Une famille irakienne bloquée en Egypte. Au Caire (Egypte), un couple irakien et leurs deux enfants qui avaient réservé des billets sur un vol de la compagnie EgyptAir ont été informés qu'ils ne pouvaient pas embarquer en raison des nouvelles règles, ont indiqué ces responsables. Selon eux, cette famille disposait cependant de visas pour les Etats-Unis.
Une action en justice. Plusieurs associations de défense des droits civiques américaines ont attaqué samedi en justice ce décret. La plainte contre le président Trump et le ministère de la Sécurité intérieure a été déposée samedi matin devant un tribunal fédéral de New York par l'American Civil Liberties Union et d'autres associations de défense des droits et des immigrés, qui exigent notamment la libération de deux citoyens irakiens interpellés vendredi soir à l'aéroport JF Kennedy sur la base du décret qui venait à peine d'être promulgué.
Les associations ont demandé à ce qu'ils soient relâchés et qu'ils puissent au moins exercer leur droit à déposer une demande d'asile aux Etats-Unis pour éviter d'être renvoyés en Irak, où ils ont de bonnes raisons de craindre pour leur sécurité. L'un des deux Irakiens, un interprète qui avait travaillé au nom du gouvernement des États-Unis en Irak, a été relâché au bout de dix-neuf heures, selon le «New York Times». Les associations souhaitent que cette plainte concerne toutes les personnes dans le même cas qui pourraient se voir bloquées dans les aéroports.
Une manifestation a lieu au terminal 4 de l'aéroport new-yorkais (tweet ci-dessous)
Des soldats irakiens dénoncent le décret Trump. A Mossoul, des soldats irakiens pestent contre le décret du président américain Donald Trump, ne comprenant pas pourquoi ils seraient empêchés d'aller aux Etats-Unis alors qu'eux mêmes luttent contre un groupe terroriste. «Ce n'est pas juste! (...) Je devrais avoir le droit de visiter ma famille», plaide Assem Ayad, un soldat de 23 ans déployé dans la grande cité septentrionale qui dit avoir trois cousins vivant au Texas, dans le sud des Etats-Unis.
L'appel de l'ONU pour l'accueil des réfugiés
L'ONU a appelé samedi le président américain Donald Trump à poursuivre la longue tradition d'accueil des réfugiés aux Etats-Unis et à ne pas faire de distinction de race, de nationalité ou de religion. Dans une déclaration conjointe, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) ont rappelé que «le programme américain de réinsertion est l'un des plus importants dans le monde».
«Les places de réinsertion offertes par chaque pays sont vitales. L'OIM et le HCR espèrent que les Etats-Unis vont continuer à jouer leur rôle important de leader et poursuivre leur longue tradition de protection de ceux qui fuient les conflits et les persécutions», ajoute leur déclaration.
Washington a annoncé arrêter pendant quatre mois le programme fédéral d'admission et de réinstallation de réfugiés de pays en guerre, toutes nationalités confondues y compris les Syriens.
Le Parisien
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Journée de l'Holocause: Trump ne mentionne pas les Juifs
Le président américain Donald Trump a promis ce vendredi « la tolérance partout dans le monde » à l’occasion de la journée mondiale à la mémoire des victimes de l’Holocauste, sans évoquer spécifiquement les Juifs. Dans ce communiqué, il rend hommage aux « victimes, survivants et héros » de l’Holocauste sans citer nommément les Juifs.
L’association Anti-Defamation League, qui recense les actes d’antisémitisme, a jugé cet oubli étrange. « C’est déconcertant et inquiétant que le communiqué de la Maison Blanche ne fasse pas mention des Juifs. Les présidents républicains et démocrates l’ont fait dans le passé », a tweeté le directeur de l’ADL Jonathan Greenblatt.
En 2016, l’ex-président Barack Obama avait salué la mémoire des « six millions de Juifs et des millions d’autres (personnes) assassinés par les Nazis pendant l’Holocauste ». Quand le président George W. Bush avait commémoré le 60e anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz en 2005, il avait déclaré: c’est un « rappel que lorsque nous rencontrons de l’antisémitisme, nous devons nous rassembler pour le combattre ».
BV
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Discours de Philippe de Villiers: Nous sommes à la veille d'un changement de peuplement que nous ne voulons pas
(merci à Dirk)
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Trump : « Madonna est dégoûtante et fait honte au pays »
10h24Donald Trump a déclaré lors d’une interview à Fox News le 26 janvier 2017 que Madonna était dégoûtante et que ses propos faisaient honte aux Etats-Unis. La star américaine avait déclaré vouloir faire exploser la Maison Blanche lors de la « Marche Pour Les Femmes » du week-end dernier.
Sean Hannity : « Quand vous avez vu la Marche Pour Les Femmes ce week-end et entendu Madonna dire : « J’ai très fortement pensé à faire exploser la Maison Blanche. », imaginez si j’avais dit ça quand Barack Obama était ici … »
Donald Trump : « Honnêtement, elle est dégoûtante. Elle fait beaucoup de mal à elle-même et à toute sa … cause. C’est valable pour elle et beaucoup d’autres, mais pour elle tout particulièrement. Ses propos font honte à notre pays. »
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Justice. La langue française devient un motif de discrimination!
27/01/2017 – 19H00 Paris (Breizh-info.com) – Il est désormais interdit de pratiquer la discrimination vis à vis d’un individu sur la base de critères linguistiques. C’est ce que préconise la loi de modernisation de la justice. Le changement, discret, de l’article 225 du code pénal introduit la notion de discrimination linguistique en faveur des étrangers ne parlant pas français.
La loi dite de “modernisation de la justice” instaure une véritable préférence étrangère en France. Pour la première fois en France, il est en effet établi comme discriminatoire d’opérer «toute distinction entre les personnes morales sur le fondement […] de la capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français». Comprenez langue étrangère et/ou langue régionale.
Concrètement il est désormais interdit de refuser la vente d’un bien ou la location d’un appartement à un individu sous prétexte qu’il ne parle pas français. Le Français, vendeur, employé ou fonctionnaire doit désormais s’adapter et être en mesure de communiquer avec l’étranger, et, le cas échéant se payer les services d’un traducteur en bambara, en zulu ou en afghan pour pouvoir conclure un contrat. En cas d’infraction au texte les Français encourent 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Avec cet article, c’est un outil supplémentaire qui est offert aux officines dites “anti racistes” contre les citoyens français. Loin d’être anecdotique le texte s’inscrit dans un mouvement de fonds.
Depuis plusieurs années, le législateur quelle que soit la coloration politique de la majorité, n’a de cesse de créer des textes d’exceptions au profit de minorités. Sont ainsi créées des circonstances aggravantes au nom du racisme, de l’antisémitisme, de l’orientation sexuelle ou du sexisme. Se détachant progressivement de la loi comme texte à portée impersonnelle et générale, le droit français est de plus en plus soumis aux exigences idéologiques et communautaristes et cela toujours au détriment de la majorité.
En plus d’être nuisible au justiciable français, ce texte sera très difficile à appliquer et risque d’être coûteux puisqu’il induit le recours systématique à des traducteurs devant un appareil judiciaire déjà en manque de moyens.
Seule exception : le champ professionnel. La loi prévoit en effet un aménagement possible s’il est, dans le cadre de l’entreprise, «une exigence essentielle et déterminante» obligeant les employés à manier le français et une langue étrangère.
Question qui intéressera la Bretagne, : les locuteurs bretons refusant de louer un appartenant à un individu ne parlant que le swahili seront ils eux aussi condamnés ?
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017 Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine -
Pénélopegate: on est mal, on est mal!
http://www.causeur.fr/francois-penelope-fillon-sarkozy-macron-42378.html
Une analyse juridique de l'affaire
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Miami ne veut plus être une "ville sanctuaire"
Le maire de Miami a ordonné hier à ses prisons d’obéir aux demandes d’incarcérations d’immigrés sans-papiers émanant des autorités fédérales afin de sortir de la liste des villes américaines « sanctuaires » ciblées par Donald Trump qui menace de les priver de fonds fédéraux. Un choix chaleureusement salué par le nouveau président américain sur Twitter: « Le maire de Miami-Dade a abandonné la politique des sanctuaires. Bonne décision. Fort! », a réagi Donald Trump, d’abord sur son compte personnel puis en se retweetant sur le compte officiel du 45e président des Etats-Unis (@potus).
Miami-Dade Mayor drops sanctuary policy. Right decision. Strong! https://t.co/MtPvaDC4jM
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 26 janvier 2017 »
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Carlos Gimenez, maire républicain du comté de Miami-Dade, a ordonné jeudi aux autorités pénitentiaires « d’honorer toutes les demandes de détention d’immigrés reçues de la part du ministère de la Sécurité intérieure », a expliqué un porte-parole de la mairie.
Donald Trump a lancé mercredi la bataille contre les villes américaines dites « sanctuaires » pour immigrés clandestins en signant un décret les privant de fonds fédéraux. De nombreux maires, à commencer par ceux de New York et Los Angeles, les deux premières villes du pays, s’en sont indignés et ont promis de continuer à accueillir les sans-papiers. Plus de 200 villes et 300 juridictions locales américaines revendiquent ce statut de sanctuaire et affirment haut et fort leur volonté d’empêcher les expulsions de clandestins, estimés à quelque 11 millions aux Etats-Unis.
Miami, mégapole de Floride où vivent de nombreux Américains d’origine hispanique et immigrés, est classée parmi les « villes sanctuaires » car sa police locale refusait, jusqu’à ce jeudi, d’incarcérer les clandestins recherchés par les services fédéraux d’immigration, à moins que Washington ne paye la facture liée à leur détention.
La décision de son maire est donc plus financière qu’idéologique, a-t-il expliqué au journal local Miami Herald: « Je veux m’assurer que nous ne mettons pas en péril les millions de dollars de fonds que nous recevons du gouvernement fédéral pour une question de 52.000 dollars », en référence au coût estimé de l’incarcération des sans-papiers recherchés par les autorités fédérales l’an passé.
Environ 650.000 immigrés clandestins résident en Floride, selon le centre d’études Migration Policy Institute, faisant de cet Etat du sud-est des Etats-Unis le quatrième hébergeant le plus de sans-papiers derrière la Californie (plus de trois millions), le Texas (1,5 million) et New York (870.000).
BV
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Le Président Trump apporte son soutien à la Marche pour la Vie
BREIZATAO – ETREBROADEL (28/01/2017) Le Président Trump a apporté son soutien à la Marche pour la Vie de Washington, un événement pour la défense de la vie des enfants à naître.
« La Marche pour la Vie est tellement importante. A tous ceux qui marchent, vous avez mon soutien total ! »
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IVG: Marion Maréchl-Le Pen fustige les "féministes ringardes"
(merci à Dirk)
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JOURNAL TVL DU 27.01.17
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Donald Trump rencontre Theresa May à la Maison-Blanche
La Première ministre britannique était le premier dirigeant à être reçu par le président américain à la Maison-Blanche, ce vendredi.
Baptême du feu diplomatique pour Donald Trump. Une semaine tout juste après son investiture, et 24 heures avant de s'entretenir avec Vladimir Poutine, Angela Merkel et François Hollande, le président des États-Unis recevait, ce vendredi, la Première ministre britannique, Theresa May, à la Maison Blanche.
Après s'être entretenus pendant plus d'une heure dans le Bureau ovale, les deux dirigeants se sont présentés devant les journalistes pour une conférence de presse commune. Durant ce bref exercice (à peine plus d'un quart d'heure), Donald Trump a semblé moins agressif qu'à l'accoutumée.
En guise d'entrée en matière, Trump et May ont vanté «la relation très spéciale» entre le Royaume-Uni et les États-Unis. «De beaux jours s'annoncent pour nos peuples et nos deux pays», a affirmé le président américain. La Première ministre britannique a quant à elle félicité le nouvel occupant du Bureau ovale pour sa «sensationnelle victoire». Donald Trump aura d'ailleurs l'occasion de venir à Londres avant la fin de l'année pour honorer une invitation de la reine Elizabeth II.Trump est à «100% derrière l'Otan»
Le président américain et la Première ministre britannique ont également abordé les questions de défense et l'avenir de l'Otan. L'Alliance atlantique, qualifiée d'«obsolète» à plusieurs reprises par Trump, «est un rempart pour notre défense commune», a déclaré Theresa May. «Monsieur le Président, je crois que vous avez confirmé que vous étiez à 100% derrière l'Otan», a-t-elle ajouté. De son côté, la locataire du 10 Downing Street a appelé ses partenaires européens à consacrer 2% de leur PIB à leur budget de défense. De quoi contenter Donald Trump, qui n'a cessé de se plaindre du fait que les États-Unis payaient à la place des autres membres de l'Alliance.Theresa May et Donald Trump ont aussi abordé les sanctions visant la Russie depuis l'annexion de la Crimée. La dirigeante britannique est convaincue que celles-ci «doivent rester en vigueur». Pour Donald Trump, il est encore «trop tôt» pour évoquer une telle mesure.
Autre sujet majeur abordé lors de cette conférence de presse : le futur partenariat commercial entre Londres et Washington. Un dossier délicat, puisque la marge de manoeuvre du Royaume-Uni reste limitée tant que le pays reste membre de l'Union européenne. Donald Trump se réjouit à l'avance de cette perspective. Il a une nouvelle fois affirmé que le Brexit sera «fantastique» pour les Britanniques. «Nous sommes en train de discuter sur la façon dont nous pouvons jeter les bases sur un accord entre le Royaume-Uni et les États-Unis. Je suis persuadée qu'un partenariat commercial est dans l'intérêt de nos deux pays», a assuré Theresa May.LE PARISIEN
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Quand Penelope Fillon affirmait qu'elle ne s'impliquait pas dans la vie politique de son mari
Penelope Fillon en 2008, "Je n'ai pas de rôle, je l'accompagne de temps en temps comme ça" -
L'élection de Donald Trump est aussi importante que la chute du Mur de Berlin
Avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, nous prenons conscience qu’il existe un peuple américain qui nous ressemble.
Le « mur de Berlin » symbolisait la chape de plomb que le communisme soviétique faisait peser sur la Russie, communisme dont la doctrine, paradoxalement, prônait un monde sans frontières.
L’espace Schengen des « Européens » qui voulaient s’affranchir desdites frontières a vu s’ériger dans les pays de l’Est des murs pour garantir leur nouvelle liberté retrouvée contre l’invasion migratoire.
Aux États-Unis, Donald Trump s’apprête à poursuivre l’œuvre de ses prédécesseurs (ses opposants « oublient » de préciser que c’est George Bush junior qui a initié le projet en 2006 !) en achevant le mur de séparation entre les États-Unis et le Mexique.
Ainsi, les frontières qui n’avaient pas besoin, autrefois, d’être délimitées par un mur pour être respectées réapparaissent comme autant de barrières bien concrètes contre l’utopie mondialiste, laquelle a succédé à l’utopie marxiste, « l’internationalisme » se muant en « mondialisation» et le « grand capital », cher aux imprécations de Georges Marchais, devenant un « gentil » mais sournois social-libéralisme apatride.
Dans cette grande confusion idéologique, l’Europe artificielle dite « de Bruxelles », « de Schengen », « de Maastricht » ou « de Lisbonne » s’est succédé à elle-même comme une couleuvre à avaler en boucle par les peuples européens ; ces derniers se sont retrouvés d’abord désemparés devant ce gigantesque hold-up ; puis ils ont commencé à prendre conscience de la situation grâce, principalement, aux réseaux sociaux qui ont révélé l’escroquerie.
Pour les anciens dissidents soviétiques, Zinoviev et Boukovsky, l’Union européenne ressemble désormais à l’Union soviétique avec ce que tout cela implique d’obsolète, de totalitaire, de sordide et d’anachronique, puisque le communisme a échoué partout dans le monde.
Pour nos amis dissidents, l’Ordre mondial est une « superstructure » basée aux USA, monstre froid échappant à toute personnalisation et à toute autorité, son seul but étant de « faire de l’argent », par tous moyens, en asservissant le monde. Le Système emploie, selon Zinoviev, une cinquantaine de millions de personnes dans le monde.
Nous, qui lui résistions, n’avions à lui opposer que nos traditions, notre histoire millénaire, notre spiritualité, notre sol et notre sang. Nous avions donc considéré que notre ennemi était, dans sa globalité, l’Amérique.
Et puis, patatras !
Voilà que, avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, nous prenons conscience qu’il existe un peuple américain qui nous ressemble, qui est confronté aux même casseurs que l’Ordre mondial a lancés de par le monde, qui détruisent notre cadre de vie, nos structures traditionnelles, nos âmes, la beauté du monde.
L’élection de Trump, sans préjuger de son action future, est aussi importante que la chute du mur de Berlin. Il y a désormais deux mondes qui s’affrontent : celui des peuples traditionnels sur leurs terres et les hordes sataniques de la décadence. Times are changing!
BV
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Donald Trump : « Nous construirons le mur ! »
Le mur ! Ce fameux mur dont on parle depuis 18 mois, depuis juillet 2015 exactement, lorsque Donald Trump réunit les journalistes dans sa tour de Manhattan pour leur annoncer qu’il briguait la magistrature suprême. A ce moment-là, le magnat de l’immobilier lança l’idée de construire un mur – pas une palissade, pas une barrière, pas des barbelés, un mur – le long des 3 300 kilomètres de frontière qui séparent les Etats-Unis du Mexique.
Au début, les médias prirent ce projet pour une bravade bien dans le style du New-Yorkais jamais en retard d’un coup de pub, d’un éclat qui provoque. Mais l’idée fit son chemin. Et Trump s’aperçut très vite qu’elle pouvait se transformer en un excellent slogan de campagne électorale. Le mur régna dans tous les discours, franchit tous les obstacles, meubla tous les débats. Plus tard, les historiens s’apercevront qu’il leur sera impossible d’écrire une ligne sur l’iconoclaste sans parler de ce fameux mur. Il est devenu une bannière, c’est-à-dire le contraire d’un mythe.
Un monument emblématique
Il sera construit, ce mur, Trump l’a dit et répété mercredi dans le bureau ministériel du département de la Sécurité nationale, où il avait tenu à présider une petite cérémonie de signatures de décrets-lois concernant la lutte contre le fléau de l’immigration. Le mur, c’est la pièce maîtresse du dispositif, le monument emblématique, l’incontournable sceau. Mais bien d’autres mesures l’accompagnent. Elles poursuivent toutes les mêmes buts : verrouiller la totalité des frontières, éradiquer l’illégalité intérieure, filtrer les visas d’entrée. Ces mesures n’ont rien d’extraordinaire. Elles font même partie de la panoplie normale d’un chef d’Etat soucieux de protéger son pays de prédateurs allogènes et d’une subversion intestine.
Sur ce terrain explosif, Trump paraît monstrueux parce que ses prédécesseurs (Bill Clinton, George Bush et Barack Obama), confrontés au même défi, n’ont rien construit, rien proposé, rien imaginé pour y faire face. Trump passe pour un anticonformiste forcené tout simplement parce qu’il avance sur un terrain en friche, terrible miroir de l’establishment et de son incurie.
Faire en sorte que l’Amérique soit impénétrable aux sans-papiers et invivable aux clandestins. Pour cela, trois tours de vis qui s’articulent autour d’une constatation claironnée à tous les vents du pays : « Une nation sans frontières n’est pas une nation. »
D’abord, recruter 15 000 agents supplémentaires, dont 5 000 patrouilleurs de terrain, et se doter d’un matériel ultra-performant afin de rendre l’outil ministériel plus opérationnel. Ensuite, inciter à une plus grande collaboration entre les autorités fédérales et locales dans la recherche des illégaux au lourd passé criminel. Enfin, interdire indéfiniment l’accès de l’Amérique aux réfugiés syriens et, pendant trente jours, aux ressortissants de pays à risques comme l’Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. A ces trois promesses tenues, s’ajoutent quelques compléments caractéristiques : les chrétiens du Moyen-Orient qui parviennent jusqu’aux portes de l’Amérique ne seront plus traités comme des chiens galeux. Les familles de victimes d’illégaux ne seront plus considérées comme d’horribles parias. Et les dizaines d’enclaves urbaines où pullule un tiers-monde incontrôlé ne seront plus regardées comme des sanctuaires intouchables.
En guerre contre les médias
L’obstination audacieuse et lucide du président a provoqué dans la mare somnolente de Washington des centaines d’ondes de choc, qui apparaissent à la surface en cercles concentriques. Le cercle du Mexique : furieux de devoir finalement verser, directement ou indirectement, sa contribution financière à la construction du mur, le président Enrique Pena Nieto vient d’annuler un voyage officiel aux Etats-Unis. Le cercle des shérifs : bien placés pour apprécier le trumpisme en action, quelques-uns de ces policiers ont décidé de rassembler certains de leurs prisonniers sur la frontière méridionale où le travail ne manquera pas. Le cercle du Congrès : étourdi par la fulgurante trajectoire de Trump, qui arrive au pied de son mur comme il l’a toujours annoncé, les élus de la nation se rassurent en se disant qu’ils sont plus que jamais les grands argentiers de ces virils projets. En d’autres termes, il faudra débattre, négocier, puis voter. Les batailles s’annoncent âpres. Mais Trump, porté par l’opinion, a de bonnes chances de voir son plan recueillir une majorité de voix.
Le cercle de la presse : c’est le plus affligeant. Il pousse même à la nausée. On le sait, Trump est en guerre contre les médias depuis 18 mois. Avec de bonnes raisons : informations falsifiées, scandales fabriqués, chiffres tronqués, interviews piégées – en plus d’un dénigrement systématique, méchant et souvent imbécile dans les éditoriaux. Celui du Wall Street Journaldépasse ses concurrents. « Un pays où la liberté est sacrée et qui a toujours accueilli et assimilé les immigrants, vient d’envoyer un message corrosif aux nouveaux arrivants qui ont toujours fait l’Amérique plus grande. » Emphase et contre-vérités. Le Wall Street Journal, comme le New York Times, le Washington Post et les autres, n’est que le porte-parole du Grand remplacement, du métissage et du terrorisme.
Christian Daisug
correspondant de Présent aux Etats-UnisArticle paru dans Présent daté du 28 janvier 2017