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Montréal : le flop. Seulement quelques dizaines de personnes défilent contre Trump ce samedi (MàJ)
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Marseille (13) : les migrants manifestent pour dénoncer «les promesses non-tenues»
21h07Omar (Photo), Lamine et Dabo sont réunis derrière la même banderole ce lundi midi : « Préfet ! Respecte les promesses de Calais ! » Pourtant, ces trois jeunes hommes, l’un originaire du Soudan et les deux autres de la Guinée, ne se sont jamais croisés de leur vie.
Mais depuis quelques mois, ils sont dans la même galère. Et aujourd’hui, ils veulent se faire entendre car « ils désespèrent face à leur situation qui ne change pas. » Avec le soutien de plusieurs associations, ils tentent donc le coup de force face à la préfecture. « On nous avait promis la fin des procédures de Dublin en quittant Calais. Mais, c’était un mensonge », s’énerve Omar. (…)
« Nous, on ne veut surtout pas retour en Italie. On ne parle même pas la langue. Il n’y a rien là-bas. Ils nous ont forcés à mettre nos empreintes. On veut vivre en France ! », explique Lamine et Dabo (…)
Merci à Pythéas
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« On ne veut pas se retrouver dans la situation de la France avec une large population musulmane »
17h06Dimanche soir, un haut responsable de l’administration Trump a briefé les journalistes en ces termes :
« La réalité est que nous ne voulons pas nous retrouver aux Etats-Unis dans la situation de la France, de l’Allemagne ou de la Belgique avec une large population musulmane. »
« On ne veut pas d’une situation où dans 20-30 ans il devient normal qu’il y ait régulièrement des attaques terroristes sur notre sol. Les Etats-Unis est un pays souverain qui n’a absolument pas l’obligation d’intégrer n’importe quel immigré.«
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Neil Gorsuch, choisi par Donald Trump pour occuper le siège vacant à la Cour suprême
Neil Gorsuch, choisi par Donald Trump pour occuper le siège vacant à la Cour suprême, incarne certains thèmes chers à l'Amérique conservatrice. Quatre informations à retenir sur ce magistrat discret à l'ascension rapide.
• Il est le plus jeune juge nommé à la Cour suprême depuis 25 ans
Neil Gorsuch, choisi par le président américain Donald Trump pour occuper le siège vacant à la Cour suprême des États-Unis, devient, à 49 ans, le plus jeune juge nommé à la Cour en un quart de siècle. Il doit maintenant se préparer à l'épreuve de sa confirmation par le Sénat où certains élus démocrates menacent de faire barrage au choix de Donald Trump.
• Il vient du Colorado
Neil Gorsuch se dit attaché au Colorado, État qui l'a vu naître en 1967. Il y vit avec son épouse Louise et leurs deux filles; il y pratique la pêche à la mouche et y élève des chevaux, des volailles et des chèvres.
Le magistrat issu d'un milieu aisé a toutefois vécu une partie de sa jeunesse à Washington, où sa mère dirigeait sous la présidence de Ronald Reagan l'Agence de protection de l'environnement (EPA). Il est passé par la prestigieuse université de Columbia et par la Harvard Law School avant de traverser l'Atlantique pour peaufiner son CV à Oxford, en Grande-Bretagne. Le juriste a ensuite arpenté en 1993/1994 l'imposant édifice en marbre de la Cour suprême, étant l'assistant d'Anthony Kennedy qui, à 80 ans, fait toujours partie de la vénérable institution. Gorsuch a aussi travaillé dix ans comme avocat d'affaires dans un cabinet privé, avant de rejoindre les services du ministère de la Justice sous la présidence de George W. Bush. C'est d'ailleurs Bush qui l'a nommé à la cour d'appel de Denver, le magistrat obtenant facilement sa confirmation par le Sénat en 2006.
• Il appartient à l'école dite «originaliste»
Neil Gorsuch incarne des thèmes chers à l'Amérique conservatrice en matière de famille, de religion et d'interprétation littérale de la Constitution. Ses opinions sont principalement connues par ses écrits et jugements: il a rédigé un livre développant des arguments contre l'euthanasie et a soutenu des entreprises qui refusaient de fournir une couverture santé incluant une contraception à leurs employées. Comme le juge Antonin Scalia décédé en février 2016 et dont Gorsuch s'apprête à reprendre le siège, il est favorable à la peine de mort. Et, comme son mentor, il appartient à l'école de jurisprudence américaine originaliste, qui soutient que la Constitution doit être interprétée conformément à son sens originel à l'époque de son adoption. «Je respecte (...) le fait que dans notre ordre juridique, il appartient au Congrès et non aux cours d'écrire de nouvelles lois», a-t-il ainsi déclaré mardi, au côté de Trump, après l'annonce de sa nomination. «Il appartient aux juges d'appliquer, et non d'altérer, le travail des représentants du peuple. Un juge qui aime tous les jugements auxquels il parvient est en toute probabilité un mauvais juge», a-t-il ajouté, s'opposant ainsi à une interprétation plus large du texte de la Constitution.
• Il est reconnu pour ses talents de diplomate
Neil Gorsuch pourrait rassurer les républicains qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau président américain. Doté d'une politesse indéfectible, le juge Gorsuch est également réputé pour ses talents de diplomate et sa rigueur intellectuelle. Il présente enfin l'atout de ne jamais avoir proféré de déclaration fracassante susceptible d'entraver sa confirmation, en particulier sur l'avortement.
Le Figaro
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Penelope Fillon : « Envoyé spécial » va diffuser une vidéo embarrassante
||02 février 2017, 0h17 | MAJ : 02 février 2017, 0h29|0Dans une interview à un journal anglais en 2007, que le magazine d'Elise Lucet a retrouvée, Penelope Fillon expliquait qu'elle n'était pas l'assistante de son mari.
Ce jeudi soir, l’enquête des reporters Yvan Martinet et Tristan Waleckx dans le magazine « Envoyé spécial », sur France 2 à 21 heures promet de nouvelles révélations sur l’affaire Fillon. «La question centrale au niveau judiciaire, pénal et politique est: Pénélope Fillon a-t-elle oui ou non occupé un poste d’assistante parlementaire auprès de son mari pour lequel elle a été déclarée ou s’agit-il d’un emploi fictif ? » avance la journaliste et présentatrice du magazine Elise Lucet. Des élus ont salarié leur conjoint et c’est légal. Mais un emploi fictif est passible du pénal, ce qui aurait des conséquences sur la suite de la campagne».
Or, au cours de ses investigations, l’équipe d’ «Envoyé Spécial » a recupéré les images -aujourd’hui inaccessibles sur internet- d’une interview de 45 minutes que l’épouse galloise du candidat des Républicains avait accordée au quotidien britannique « The Sunday Telegraph » le 18 mai 2007. Alors que son mari venait d’être nommé à Matignon, Pénélope Fillon y évoque sa vie quotidienne. « Elle explique qu’ elle se rend parfois à des meetings, se met au fond de la salle et écoute de loin, qu’elle a été très investie à Sablé-sur Sarthe, (ndlr : le fief historique de François Fillon) précise Elise Lucet. Et, il y a deux phrases déterminantes où elle dit : « Je n’ai jamais été l’assistante de mon mari et je ne me suis pas non plus occupée de sa communication ».
Ces propos apportent un autre éclairage. « Ils sont prononcés en 2007 alors qu’on sait que Pénélope Fillon a été payée pendant quatre ans comme assistante parlementaire par son mari de 1998 à 2002. Cela pose de vraies interrogations sur l’emploi fictif ». D’autant que Madame Fillon racontait alors avoir repris des cours de littérature anglaise après avoir réalisé que ses enfants l’avaient « connue uniquement dans le rôle de mère ».Selon Elise Lucet, «on est loin de quelqu’un d’investi dans la vie politique auprès de son mari ». Mais difficile d’en savoir plus sur les réelles fonctions de l’épouse du député. « Nous avons posé la question lors du meeting de François Fillon dimanche dernier ainsi qu’à Sablé-sur-Sarthe et nous avons été extrêmement étonnés de voir que personne ne se pressait pour nous répondre. La plupart des gens a refusé alors que beaucoup ont côtoyé Pénélope Fillon pendant des années».
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Affaire Fillon: un contrat de travail au coeur de l'enquête
Déroulez l'article jusqu'au bout
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Qui est Neil Gorsuch, nommé juge à la Cour suprême par Donald Trump
01/02/2017 – FRANCE (NOVOpress avec Le Salon beige) : La nuit dernière, Donald Trump a annoncé sur Twitter avoir désigné Neil Gorsuch pour siéger à la Cour suprême des Etats-Unis, ajoutant : « C’est un homme bon et brillant, respecté par tous. » Et qui pourrait siéger plusieurs décennies si dieu lui prête vie puisqu’il n’est âgé que de 49 ans et que les juges de la Cour suprême, qui sont neuf, sont nommés à vie par le Président des Etats-Unis. Neil Gorsuch viendra remplacer le juge Antonin Scalia, décédé en février 2016, dont le remplacement avait été différé en raison de l’entrée du pays en campagne présidentielle : les Républicains étaient parvenus à bloquer les tentatives de Barack Obama de nommer un juge progressiste.
Docteur en droit, il a été assistant du juge fédéral à la cour d’appel pour le circuit du district de Columbia, puis aux côtés des juges de la Cour suprême Byron White et Anthony Kennedy, en 1993 et 1994. Il a travaillé ensuite pendant dix ans, de 1995 à 2005, comme avocat d’affaires dans un cabinet juridique de Washington. De 2005 à 2006, il a été le premier adjoint du procureur général associé des États-Unis, Robert McCallum. En 2006, le président George W. Bush l’a nommé au poste de juge fédéral à la cour d’appel pour le dixième circuit, et le Sénat a confirmé cette nomination peu de temps après, à l’unanimité des votants.
Episcopalien, hostile à l’avortement, le juge Gorsuch s’est illustré dans ses décisions contre l’euthanasie et contre certaines dispositions de la loi sur la santé (l’« Obamacare »). Il a ainsi jugé légitime, au nom de la liberté religieuse, l’opposition des propriétaires de la chaîne de distribution Hobby Lobby, en juin 2014, à la prise en charge les frais de contraception de leurs employées dans le cadre de la protection sociale permise par l’Obamacare.
Sur les neuf juges de la Cour suprême, deux des juges les plus âgés sont des démocrates. Ruth Bader Ginsburg et Stephen Breyer ont dépassé l’âge moyen auquel ces juges nommés à vie se retirent ordinairement. Un juge nommé par un président républicain, Anthony Kennedy, se trouve dans ce cas et c’est justement celui qui se rallie à la gauche sur les sujets de société… Ce pourrait donc ne pas être la dernière nomination de Donald Trump.
La nomination de Neil Gorsuch, qui a suscité un Tweet immédiat de Bernie Sanders, inquiet pour « les droits des femmes » – autrement dit l’avortement – devra être confirmée par le Sénat mais il ne devrait pas y avoir de surprise : ce juge fait l’unanimité parmi les élus républicains.
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Le Parlement britannique lance le Brexit
Par Florentin Collomp
Mis à jour le 01/02/2017 à 22h07Les députés se prononcent à une large majorité pour le déclenchement de la sortie de l'Union européenne.
De notre correspondant à Londres
Le compte à rebours est lancé, avant le déclenchement officiel de la procédure de divorce du Royaume-Uni avec l'Union européenne par l'article 50 du traité du Lisbonne. Theresa May a promis d'en notifier Bruxelles avant fin mars. Pour tenir ce délai, un Blitzkrieg législatif a débuté mardi, une semaine après la décision de la Cour suprême la forçant à obtenir, au préalable, l'assentiment du Parlement sur cette procédure.
Intitulé «projet de loi de l'Union européenne (notification de retrait)», le texte, très court, a été approuvé à une très large majorité lors d'un premier vote, ce mercredi soir: 498 députés se sont prononcés en sa faveur, contre 114 s'y opposant. Un retournement remarquable: les trois quarts de ces élus avaient voté contre la sortie de l'UE lors du référendum en juin.
Le projet de loi sera à nouveau discuté en commission la semaine prochaine, avant un nouveau vote aux Communes. Il sera ensuite transféré à la Chambre des lords à la fin du mois, dans l'espoir d'une adoption définitive le 7 mars. Theresa May devrait donc obtenir le pouvoir de notifier l'article 50 en temps voulu, grâce au soutien de sa majorité conservatrice et d'une partie de l'opposition travailliste à la Chambre des communes.
Le ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, a salué un«vote historique» et s'est félicité de cette «énorme majorité pour faire avancer nos négociations sur le Brexit». Si certains conservateurs proeuropéens s'inquiètent de la marche vers un Brexit «dur», hors du marché unique, ils ne tiennent pas à se lancer dans une fronde contre-productive contre la première ministre sur cette question de principe. Ils ont été amadoués par la promesse du gouvernement de publier, ce jeudi, un «livre blanc» détaillant ses projets. Seul, parmi eux, l'ancien ministre franc-tireur Ken Clarke a voté contre le gouvernement. Il a regretté que le Royaume-Uni «embarque pour un voyage vers un avenir inconnu qui sidère tous nos amis». Les députés tories avaient été priés de rester dans l'enceinte du Palais de Westminster jusqu'à minuit mardi soir, pour parer toute adoption subreptice d'amendements par l'opposition.
Le Labour déchiré
Les travaillistes, de leur côté, se sont déchirés sur la consigne ferme donnée par leur leader Jeremy Corbyn de voter avec la majorité. Quelque 47 députés Labour ont bravé ce mot d'ordre, entraînant le parti dans une nouvelle crise existentielle. Le député chargé du Brexit, Keir Starmer, avait reconnu qu'il s'agissait d'un choix «difficile» pour les travaillistes. «Nous sommes un parti fondamentalement internationaliste, nous sommes proeuropéens. Mais nous n'avons pas réussi à convaincre. Nous avons perdu le référendum», a-t-il reconnu, dépité. Plusieurs membres du «gouvernement fantôme» de Corbyn ont toutefois démissionné de leur poste pour assumer leur dissidence avec la ligne officielle. Son rival dans la course à la tête du parti l'an dernier, Owen Smith, a déposé une motion soutenue par douze autres élus travaillistes pour réclamer un second référendum sur la sortie de l'UE. Un autre amendement déposé demandait le maintien dans le marché unique, un troisième, la consultation des parlements régionaux d'Écosse, d'Irlande du Nord et du pays de Galles. Un autre encore visait à obtenir la protection du statut des ressortissants européens installés au Royaume-Uni. Plus de 80 pages de modifications supplémentaires au texte initial devront être discutées la semaine prochaine. Cinquante élus nationalistes écossais, 7 libéraux-démocrates ont voté mercredi contre l'article 50 avec les 47 frondeurs travaillistes, faute d'avoir réussi à imposer leurs amendements. Une guérilla qui s'apparente à un baroud d'honneur pour les partisans du maintien dans l'Europe. «Ce n'est pas un projet de loi sur le fait de sortir ou non de l'UE ou sur la façon de le faire. Il s'agit simplement d'appliquer une décision déjà prise», avait rappelé le ministre de la Sortie de l'UE, David Davis. «La seule question à laquelle vous devez répondre est: faites-vous confiance au peuple?», dramatisait de son côté Theresa May.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 02/02/2017.
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Lycéen poignardé à Paris : le suspect a reconnu les faits
||01 février 2017, 18h49 | MAJ : 01 février 2017, 19h34|6Adama a reconnu avoir poignardé à mort un autre élève de son lycée parisien.
Il a reconnu les faits. En garde à vue depuis lundi soir, Adama, principal suspect dans l'affaire du lycéen poignardé lundi devant son établissement professionnel Charles-de-Gaulle (Paris XXe), a avoué avoir mortellement blessé Madiara, 17 ans, avec un couteau.
Selon les explications fournies à son avocat, Me Adrien Gabeaud, Adama assure qu'il n'y avait ni préméditation ni intention de donner la mort. Tout serait parti d'une altercation dans la cour du lycée à la pause du matin, sur fond de vieilles rivalités entre quartiers du XIIe et XXe arrondissement. Le drame s'est noué à l'heure du déjeuner : avec un ami, Adama aurait affronté Madiara, lui aussi accompagné de copains. Selon son avocat, Adama aurait saisi le couteau de l'un de ses adversaires et poignardé Madiara dans la lutte.
Le jeune homme, qui se dit «dépassé par les événements», notamment par les menaces que sa mère auraient subies, aurait un profil «banal», bien loin de celui d'un caïd, selon son avocat.
Sa garde à vue doit se terminer ce mercredi soir et il devrait être présenté à un juge demain. L'autre suspect est lui toujours en fuite.
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JOURNAL TVL DU 01.02.17
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Immigration. « No ban, no wall » : Macron dénonce le décret de Trump
14h20« No ban, No wall » : le candidat à l’élection présidentielle Emmanuel Macron a dénoncé dimanche les mesures prises par le nouveau président américain Donald Trump à l’encontre des réfugiés et des ressortissants de pays musulmans et a apporté son soutien aux personnes « fuyant la guerre et les persécutions« .
« Etats-Unis : je soutiens ceux qui fuient la guerre et la persécution, je soutiens ceux qui défendent nos valeurs #NoBanNoWall« , écrit l’ancien ministre de l’Economie et fondateur du mouvement « En marche! », sur son compte Twitter, en anglais.
Merci à Pythéas
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Le décret anti-terroriste de Trump met Riyad "dans une position délicate"
Excellent article à lire absolument
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HUMOUR ?
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Décret contre l'immigration musulmane: Trump ne fléchit pas!
http://ripostelaique.com/ce-que-les-medias-vous-cachent-sur-le-decret-anti-immigration-de-trump.html
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Iris Mittenaere, une Française sacrée Miss Univers
Vidéo
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Marine Le Pen en déplacement à Grande-Synthe et à Calais (24.01.17)
Calais, une ville martyrisée
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Le PVV de Geert Wilders mène campagne sur des thèmes identitaires
Très bons "visuels" de campagne
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Pénélope Fillon: pas de badge ni de boîte mail à l'Assemblée nationale
Des enquêteurs étaient, ce mardi, à la mi-journée, dans l'enceinte de l'Assemblée nationale pour se faire remettre des documents dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs de Penelope Fillon. Nos révélations.
Permanence inexistante dans la Sarthe, son fief électoral, absence de badge d’accès et de messagerie électronique pour son épouse à l’Assemblée nationale... Au lendemain de l’audition de François Fillon par la police judiciaire, sa défense se trouve fragilisée.
Depuis plusieurs jours, le Parquet national financier (PNF) négocie avec l’Assemblée nationale pour obtenir des documents, à commencer par les fiches de paie de l’épouse du candidat de droite à l’élection présidentielle. Ce mardi matin même, les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) ont saisi des documents, notamment au sein des services administratifs.
Selon nos informations, ces diverses investigations ont permis aux policiers et aux magistrats d’avoir la certitude que Penelope Fillon ne disposait ni de badge d’accès, ni de messagerie électronique spécifique, lorsqu’elle était assistante parlementaire de son mari et du suppléant de celui-ci, entre 1998 et 2007 ainsi qu'en 2012.
«Pas un sujet», selon l'avocat de François Fillon
L’avocat de l’ancien Premier ministre, Me Antonin Lévy, le confirme au Parisien, mais assure que ce point n’a pas été abordé lors de la longue audition du couple (plus de cinq heures) menée lundi à Versailles. «De nombreux assistants parlementaires venant de province ne disposent pas de badge. Penelope Fillon est loin d’être la seule dans ce cas. Quant à la messagerie électronique, elle n’en avait pas... tout simplement parce que la grande majorité des assistants parlementaires n’en ont pas. Ces deux points ne sont donc pas un sujet.»
De fait, les collaborateurs utilisent souvent la messagerie électronique des députés. Selon des sources internes au palais Bourbon, «ceux qui travaillent à l'Assemblée disposent forcément d'un badge. En revanche, pour ceux qui sont en circonscription, il n'y a pas forcément de carte d'accès. Ils peuvent demander une carte d'invité le temps de leur passage au Palais Bourbon. Dans ce cas, on est enregistré. Enfin, il est possible de passer en compagnie du député.
« Je ne connais pas un seul de mes collègues de circonscription qui n'a pas de badge. Dans l'absolu, c'est possible. Dans la pratique, c'est très peu répandu », précise Thierry Besnier, secrétaire général du Syndicat National des Collaborateurs Parlementaires (SNCP-FO).
«Des éléments utiles à la manifestation de la vérité»
Lors de l’audition d’hier, les questions des enquêteurs se sont surtout concentrées sur la permanence de François Fillon dans la Sarthe... qui n’existe pas. « [Cette] permanence se situait à leur domicile, et à votre avis, qui est au domicile de la Sarthe s’il n’y a pas de permanence ? Penelope Fillon !, a affirmé Antonin Lévy ce mardi matin sur RTL. Tout le monde connaît l’adresse de François Fillon dans la Sarthe.»
L’enquête du PNF cherche à établir la nature du travail effectué par Penelope Fillon pour le compte de son mari, puis pour le suppléant de celui-ci, ainsi que la réalité des prestations pour «La Revue des deux mondes». Au sortir de son audition, le couple a estimé, dans un communiqué, avoir «apporté des éléments utiles à la manifestation de la vérité afin d’établir le travail réalisé par Mme Fillon».
Le Parisien
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Penelope aurait touché plus de 900 000 €, les enfants 84 000 €, Fillon crie à la «calomnie»
||31 janvier 2017, 17h33 | MAJ : 31 janvier 2017, 20h25|117
L'épouse de François Fillon, Penelope, soupçonnée d'emplois fictifs, a touché au total plus de 900.000 euros brut comme collaboratrice de son mari et de son suppléant ainsi qu'à la Revue des Deux Mondes assure ce mercredi le Canard Enchaîné.
Après ses révélations de la semaine dernière, le Canard enchaîné récidive ce mercredi. Selon l'hebdomadaire, ce n’est pas 600 000 euros mais plus de 900 000 euros qu'aurait touchés la femme du candidat de la droite à la présidentielle, Penelope Fillon, en tant qu’assistante parlementaire et à la Revue des deux mondes. Ses deux enfants, que le candidat a reconnu avoir embauché «pour des missions précises» lorsqu’il était sénateur entre 2005 et 2007, auraient quant à eux touché 84 000 euros comme «assistants parlementaires».
Le Canard chiffre désormais ainsi à 831.440 euros brut la somme perçue par Penelope Fillon comme assistante parlementaire de son mari ou de son suppléant Marc Joulaud. Non pas seulement de 1998 à 2002, comme écrit la semaine dernière par la même source, mais aussi de 1988 à 1990. La femme du candidat n'aurait donc pas bénéficié de cet emploi 8 mais 15 ans. Cette version vient contredire les dires de François Fillon, qui assurait jeudi dernier sur TF1 que sa femme avait travaillé bénévolement pendant des années avant d'être embauchée après le départ de son collaborateur parlementaire en 1997.
Le Parisien
QUESTION DU JOUR. Soupçons d'emplois fictifs : êtes-vous convaincu par la défense de François Fillon ?
VIDEO. Le passage de François Fillon sur TF1
«Une opération de calomnie trés professionnelle»
Ces nouvelles révélations interviennent quelques heures après la visite d'enquêteurs dans le bureau de François Fillon à l'Assemblée nationale. Le président du groupe LR à l'Assemblée, Christian Jacob, a évoqué une « perquisition ». En réponse à ses nouvelles révélations, François Fillon a dénoncé à Reuters, « une opération de calomnie très professionnelle, sans précédent sous la Ve République. » Le candidat s'est dit « serein et confiant dans l'attente de la clôture de l'enquête. »
LIRE. Les assistants parlementaires, une affaire de famille
Des révélations qui ne vont pas arranger la campagne de l’ancien premier ministre François Fillon. Après une semaine médiatique largement rythmée par les suspicions d’emploi fictif visant sa femme, le candidat a ébauché une défense fragile, basée dans un premier temps sur le caractère « misogyne » de l'hebdomadaire. L'ouverture, mercredi dernier, par le parquet national financier d'une enquête préliminaire l'a poussé à revenir plus en profondeur sur ces allégations. Sur le plateau du 20 heures de TF1 jeudi soir, puis lors de son grand meeting ce dimanche à La Villette (Paris) le candidat a assuré « n’avoir rien à cacher », niant la réalité des affirmations du Canard enchaîné. Toujours selon le palmipède, contrairement aux dires du député de Paris, l'élu n'aurait pas un mais « plus d'une quinzaine de comptes » au Crédit agricole de Sablé-sur-Sarthe.
Lors de son passage au 20 heures de TF1, l'ancien premier ministre avait lui-même fait des révélations concernant ses enfants : «Lorsque j'étais sénateur, il m'est arrivé de rémunérer pour des missions précises deux de mes enfants qui étaient avocats, en raison de leurs compétences. » Le Canard enchaîné révèle ce mercredi qu'ils auraient été rémunérés 84 000 euros en tant qu'«assistants parlementaires ». 57.084 euros bruts, d'octobre 2005 à décembre 2006 pour Marie Fillon, et 26.651 euros pour Charles Fillon de janvier jusqu'à juin 2007.
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Donald Trump lance les préparatifs militaires pour « détruire l’État Islamique et son idéologie islamiste radicale »
BREIZATAO – ETREBROADEL (29/01/2017) Alors que la gauche occidentale, française en tête (voir ici), se lamente sur la politique de défense anti-islamiste entreprise par Donald Trump, le président américain ne perd pas une minute pour mettre en oeuvre son programme.
Le chef de l’État Américain vient de signer un mémorandum portant sur la destruction de l’Etat Islamique. Le Président Trump donne « 30 jours » à l’état-major américain pour mettre au point un plan en ce sens.
Une copie du mémorandum est parue sur le site officiel de la Maison Blanche (source) où le Président Trump détaille ses motivations :
« L’Etat Islamique d’Irak et de Syrie, ou « EIIS », n’est pas la seule menace de la part du terrorisme musulman radical que doivent affronter les USA, mais elle est parmi les plus perverse et agressive. Il essaie de créer son propre état, que l’EI appelle un « califat ». Mais il ne peut y avoir aucun accommodement ou négociation avec lui. Pour cette raison, j’ordonne à mon administration de développer un plan complet pour vaincre l’EI.
Il ajoute :
L’État Islamique est engagé dans une campagne de persécution et d’extermination systématique dans les territoires qu’il pénètre ou contrôle. Si l’EI reste en place, la menace qu’il pose ne fera que croître. Nous savons qu’il a essayé de développer des capacités d’armement chimique.
Le Président Trump affirme ainsi que « la politique des États-Unis est de défaire l’Etat Islamique ».
Il déclare ainsi que « le développement d’un nouveau plan pour défaire l’EI commencera immédiatement », stipulant que « dans les 30 jours, une ébauche préliminaire du plan pour la défaite de l’EI sera soumis au Président par le Secrétaire à la Défense ».
Le Président Trump stipule en outre que le plan devra intégrer « diplomatie publique, opérations d’information et cyber-stratégie pour isoler et délégitimer l’EI et son idéologie islamiste radicale ».