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L’affaire provoque pas mal de remous sur les réseaux sociaux. La femme aurait crié à la jeune fille « Vous ne faites pas partie de ce pays » et « Terroriste ». Puis la collégienne se serait retrouvée sur les voies, un passant l’aurait hissée au dernier moment sur le quai. La jeune fille de 14 ans aurait également été à l’hôpital. Et ses parents auraient porté plainte.
« Je trouve ça très grave et ces actes me font horreur ». Cette réaction et d’autres du même type, il y en a eu des quantités sur Internet peu de temps après que l’affaire a été connue [...]. La jeune fille a échappé de justesse à la mort, pouvait-on lire sur la « Page des agressions racistes en Autriche ».
[...] Mais manifestement la jeune fille a tout inventé.
Interrogée par notre journal, la police a démenti cet incident. « Il y a certes une plainte, mais sur les enregistrements des caméras de surveillance on ne trouve nulle trace d’une altercation physique », a déclaré Irina Steirer, chargée des relations avec la presse. » On y voit seulement la jeune fille et la femme se tenir sur le quai et ensuite monter ensemble dans le RER. »
[...] La jeune fille de 14 ans va être entendue de nouveau et la vidéo va lui être montrée. Elle risque maintenant d’être poursuivie pour diffamation.
La lettre du président sortant à son successeur est une tradition aux Etats-Unis. Donald Trump a adoré celle que lui a laissée Barack Obama dans le Bureau ovale.
Donald Trump a promis de ne pas révéler ce qui était écrit. Mais le nouveau président américain Donald Trump a évoqué dimanche avec une certaine émotion «la magnifique lettre» laissée par son prédécesseur Barack Obama à son intention dans le Bureau ovale de la Maison blanche.
Selon une tradition américaine ancienne, le président sortant laisse à son successeur un mot qu'il ne découvre que lors de son installation dans le Bureau ovale. «Je suis allé dans le Bureau ovale et j'ai trouvé cette magnifique lettre», a déclaré le président républicain en brandissant la missive lors d'une brève déclaration dans les salons de la Maison Blanche. «C'était vraiment très gentil de sa part».
L'antécédent Bush-Clinton
Celle laissée en 1993 par le républicain George H.W. Bush à son successeur démocrate Bill Clinton a particulièrement marqué les esprits par son élégance. «Votre succès est le succès de votre pays», y écrivait le 41e président des Etats-Unis. «Je vous soutiens totalement, ajoutait-il à l'attention de son adversaire politique qui venait de le priver d'un second mandat.
«Il y aura des moments très durs», ajoutait-il. «Ne laissez pas les critiques vous décourager ou vous faire dévier de votre trajectoire».
Par Caroline Beyer Mis à jour le 22/01/2017 à 20h07 | Publié le 22/01/2017 à 20h00
Les organisateurs du défilé qui a réuni plus de 10.000 personnes veulent une politique de santé qui fasse baisser le nombre d'IVG.
Record battu pour les antiavortement. La Marche pour la vie a réuni dimanche 50 000 manifestants entre Denfert-Rochereau et la place Vauban à Paris, contre 45 000 lors de la précédente édition en 2015, selon les organisateurs. D'après la police, ils étaient entre 10.500 et 11.500, soit le même nombre qu'en 2015. Primaire à droite, puis à gauche, échéance présidentielle, examen ce mercredi de la proposition de loi PS sur l'extension du délit d'entrave, qui vise les sites anti-IVG... La question de l'avortement fait son retour dans le débat politique, aidée par une communication musclée et revisitée.
«On considère souvent que la femme est seule concernée. Mais la maternité est une aventure collective, pas isolée», considère Emile Duport, l'un des architectes de la campagne de communication qui a joué sur le message «tous concernés». Pour le jeune homme de 36 ans, le message «mon corps, mon choix, mon droit» appartient au passé. «La loi Veil, c'est nos parents qui l'ont votée, pas nous», poursuit le porte-parole des Survivants, ce mouvement ainsi nommé en référence aux «rescapés», expliquent-ils, de la loi de 1975. Outre les associations traditionnellement mobilisées sur le sujet, la Fondation Jérôme Lejeune ou Choisir La Vie, la 11e édition de la Marche pour la vie a pris un coup de jeune, avec les Survivants et les Éveilleurs d'espérance, créés dans le sillage de la Manif pour tous. «Les féministes n'ont pas fait d'enfants. Le camp de la défense de la vie en a fait. C'est la loi de la démographie», lance Emile Duport.
«Garder son bébé, c'est la vraie liberté», «protéger le faible, ça, c'est fort»... Place Denfert-Rochereau, le lion de Belfort est orné de ces slogans que les manifestants promènent, au milieu de ballons colorés. Sweat-shirt et bodies pour bébé aux couleurs de la Marche pour la vie se vendent comme des petits pains, tandis que de petits fascicules sur la bioéthique ou la théorie du genre, réalisés par la Fondation Lejeune, sont distribués gratuitement. Sur place, beaucoup de familles, des couples de tout âge, de jeunes «volontaires», quelques prêtes en soutanes... En ce dimanche froid, ils sont venus de Paris, sa banlieue, du Morbihan, de Lyon ou de Lille pour défendre le droit à la vie et promouvoir un nouveau modèle de société. «Nous sommes dans une société qui prône aujourd'hui l'eugénisme, à travers l'avortement et l'euthanasie», estime Gerault, 32 ans venu de Lyon, avec sa femme Jeanne et leurs quatre enfants. En 2005, alors étudiants, ils étaient déjà présents pour la première manifestation.
«Vous êtes prêts à crier votre amour pour la vie? Faites du bruit!» Sur le podium, intervenants et témoins se succèdent, du juriste Gregor Puppinck, qui en appelle à «la dignité et la sainteté de la vie» à Nicolas Sévillia, porte-parole de la Marche pour la vie, qui rend hommage à Vincent Lambert, dont la fin de vie fait débat. Le tout entrecoupé d'Uprising (soulèvement), du groupe de rock Muse.
Président de la Fondation Lejeune, Jean-Marie Le Méné appelle de son côté les candidats à la présidentielle à mener une politique de santé qui fasse baisser le nombre d'avortements. En France, ils sont deux fois plus nombreux (229.000) qu'en Espagne, en Italie ou en Allemagne. Il se félicite de voir que l'IVG revenue «dans le champ du politique», comme «un critère clivant». Cette année, les militants pro-vie ont reçu le soutien du mouvement Sens commun, émanation politique de la Manif pour tous, composante du parti les Républicains et soutien actif de François Fillon. Présent dans le défilé, Philippe de Villiers, a lancé sibyllin : «Certains hommes politiques plongent la main dans le bénitier et disent à ce moment-là que l'avortement est inacceptable. Et à la sortie, ils plongent la main dans l'urne et disent que c'est acceptable.» Une attitude selon lui «totalement hypocrite».
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 23/01/2017.
22/01/2017 – LYON (NOVOpress) : Le vendredi 27 janvier ouvrira officiellement à Lyon la première salle de sport identitaire de France : l’Agogé. Réservée aux patriotes de tous âges, elle propose à ses adhérents 4 cours de boxe par semaine dont une séance féminine, mais aussi des séances de musculation, de cross-fit et des stages d’auto-défense encadrés par des professionnels.
L’ouverture de ce nouvel espace sportif de 90m2 s’inscrit dans le cadre du développement de la maison de l’identité « La Traboule » présente depuis déjà 7 ans dans le Vieux-Lyon.
Répondant à une demande de plus en plus importante des Lyonnais en matière d’auto-défense, dans un contexte d’insécurité généralisée qui n’épargne pas Lyon, l’Agogé permettra à tous de se former physiquement dans des conditions optimales avec un tarif attractif adapté aux jeunes dont profitent déjà ses 70 adhérents.
Avec l’aboutissement de ce projet, Génération Identitaire Lyon anime désormais plus 180 m2 de locaux enracinés au cœur de la ville, offrant en plus de l’action politique, un espace de conférence, une structure sportive de qualité et s’impose comme le premier mouvement de jeunesse de la région.
« Donald Trump veut du changement, même sur le site internet de la Maison Blanche. Certaines pages ont d’ailleurs été supprimées, notamment celles dédiées aux droits LGBT créées sous la présidence Obama. Même sort pour les références au réchauffement climatique ».
21 janvier : anniversaire du régicide (récit + testament) 21 janvier 2017 par admin4
Vu chez Thibaut de Chassey : Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans. Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape. Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.
Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire. Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé. Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… » Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient. Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? » D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…
Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ». Certains spectateurs se barbouillèrent le visage du sang du malheureux. On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines structures comme le Renouveau français y ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.
Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 : Lire la suite Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/ |
NdB: On finit par croire que tout le monde le sait, mais non: il faut le dire et le redire, jusqu'à ce que l'on ne rencontre plus de regards sceptiques!
Pour la première fois, l’Allemagne a été frappée par un attentat musulman d’envergure revendiqué par Dae’ch, le 19 décembre 2016, dans le symbolique marché de Noël de Berlin, après une série de moindres attaques annonciatrices. Le terme ”musulman” est préférable à ”islamiste”, car ce dernier vocable suggère qu’il ne s’agit pas de l’islam mais de sa déformation extrémiste. Ce qui est faux : l’islamisme et toutes ses exactions, dont le terrorisme, sont le produit du véritable islam, parfaitement conforme au Coran, livre de chevet de tous les djihadistes. Cet attentat est la conséquence de la politique d’encouragement de l’invasion migratoire de son pays – et des voisins européens– de la très perverse chancelière Angela Merkel, folle vêtue de la robe des sages. Le nouveau Président Trump a parfaitement compris la nocivité de la Chancelière.
Face à l’agression, la réponse bisounours
Et comme toujours, à cet attentat de Berlin, on a réagi avec des larmes, des bougies, des bouquets de fleurs, des pleurs, des pardons. Les Allemands sont aussi affaiblis que les Français, voire plus. On exprime la ”tristesse”, pas la colère. On donne de soi une image de défaite, de déréliction et donc de soumission, catastrophique.
Les viols et agressions sexuelles de masse commis à Cologne par des Maghrébins (faux réfugies et vrais envahisseurs) pour le nouvel an 2015 contre des Allemandes de souche n’ont pas tellement fait réagir l’opinion allemande (sauf une minorité diabolisée comme politiquement incorrecte), totalement abrutie par la propagande du système. Ces faits participent du début de la guerre civile ethnique qui menace l’Europe.
Après l’attentat de Berlin ; Angela Merkel s’est dite « très fière du calme avec lequel un grand nombre de personnes ont réagi à la situation ». Ce ”calme” n’est que de l’apathie et de la soumission. Et Angela Merkel est objectivement complice – organisatrice plutôt – du processus d’invasion migratoire et donc de tous les maux que cela provoque, dont la criminalité et le terrorisme. Le cynisme froid de cette femme de tête obéit à une logique, non pas en fait la plus nuisible des dirigeants politiques européens depuis 1945. Et, malheureusement, la plus influente, du fait du rabaissement tragi-comique du partenaire français – entièrement de sa faute, l’Allemagne n’étant pour rien ans les clowneries de François Hollande.
En Allemagne, 168.000 clandestins déboutés du droit d’asile restent en attente d’expulsion. Ils ne risquent pas grand–chose, tout comme en France et ailleurs en Europe. Les agressions sexuelles massives du nouvel ans 2015 à Cologne par de faux réfugiés maghrébins (voir plus haut) ont été réfutées dans leur réalité par l’idéologie antiraciste du déni, dont Mme Merkel est la gardienne, elle qui a invité et fait entrer plus d’un million d’envahisseurs, appelés ”migrants”, et qui continuera à le faire si elle est réélue. Une partie de l’opinion publique allemande, abrutie et infantilisée, appelle la chancelière Mutti (”maman”), comme si elle était une protectrice du peuple allemand ; alors qu’elle en est une destructrice.
L’Allemagne, malade et masochiste
En pleine forme économique (provisoire), l’Allemagne meurt néanmoins à petit feu, pour d’implacables raisons démographiques. Elle vit son chant du cygne, sa dernière illusion. De moins en moins de jeunes Allemand(e)s de souche naissent et se reproduisent. Le pays doit aller chercher sa main d’œuvre ailleurs. Un peuple qui vieillit est comme un capital qui s’épuise. Si rien ne change, dans deux générations, le peuple allemand aura disparu sous le double choc de la dénatalité et de l’invasion migratoire. C’est plié. Même la langue allemande deviendra doucement une langue morte. La dégermanisation de l’Allemagne est entamée.
À peine investi, le nouveau président des États-Unis a marqué sa rupture avec l'ancienne administration en signant un décret contre le système de santé «Obamacare». Cette réforme, qu'il a promis d'abroger, est un symbole des années Obama.
Donald Trump, nouveau président des États-Unis, a signé vendredi un premier décret contre l'emblématique loi «Obamacare» de son prédécesseur, engageant la politique de rupture présentée plus tôt au monde dans un discours aux accents populistes et nationalistes. Le texte, signé peu après la fin de la parade militaire inaugurale, demande aux services gouvernementaux de «lever, reporter, décaler l'application ou octroyer des exemptions» pour les dispositions de l'Affordable Care Act imposant des contraintes fiscales aux États, sociétés ou personnes.
L'abrogation et le remplacement de l'Affordable Care Act, réforme emblématique de l'assurance maladie de Barack Obama qui a fourni une couverture santé à 20 millions de personnes, est l'une des promesses clés de la campagne de Trump. Le décret demande aussi aux agences d'accorder plus de flexibilité aux États dans la mise en œuvre des programmes d'assurance santé en développant «un marché libre et ouvert dans le cadre d'un commerce inter-États pour offrir des services de santé et d'assurance santé».
Les experts anticipent en particulier un assouplissement de l'obligation individuelle d'être assuré mise en œuvre par Obama, ou de l'obligation de fournir une assurance-santé pour les entreprises de plus de 50 employés. Une réduction de la couverture maladie en matière de maternité ou de maladies mentales est également attendue. La Maison blanche n'a pas fourni davantage de précision sur le contenu de ce premier décret présidentiel.
Les élus républicains au Congrès n'ont pas encore publié de plan concret pour succéder à la loi votée en 2010 et entrée en vigueur le 1er janvier 2014, dont ils dénoncent notamment l'effet sur les primes d'assurance et les franchises, en hausse. Lors d'une cérémonie organisée à la hâte, Trump s'est assis vendredi soir au bureau présidentiel, le Resolute desk, et a signé le décret entouré de ses plus proches conseillers.
Il a également certifié la nomination de l'ex-général James Mattis au secrétariat à la Défense et celle de l'ancien général John Kelly à la Sécurité intérieure, peu après la confirmation apportée par le Sénat vendredi. Les deux hommes ont été investis par le vice-président Mike Pence lors d'une cérémonie distincte.
La nouvelle Première dame Melania Trump a conçu avec le couturier français Hervé Pierre la robe qu'elle a portée vendredi soir à l'Armed Services Ball, le premier des trois bals auxquels elle devait assister avec son mari. Plus tôt dans la journée, et pour la cérémonie d'investiture, la nouvelle First Lady avait porté un manteau et une robe bleue du créateur américain Ralph Lauren.
Hervé Pierre officie aujourd'hui en tant qu'indépendant après avoir quitté, en février 2016, la maison Carolina Herrera, où il a été directeur de la création durant quatorze ans. Selon plusieurs médias, il a travaillé avec Melania Trump sur le modèle de cette robe crème fendue et aux épaules dénudées, rehaussée d'un volant brodé qui serpente de haut en bas.
Dans une déclaration transmise au site spécialisé Women's Wear Daily, Hervé Pierre a souligné qu'il avait habillé successivement les quatre dernières Premières dames des Etats-Unis. Hillary Clinton, tout d'abord, alors qu'il était designer chez Oscar de la Renta à la fin des années 90, puis Laura Bush et Michelle Obama pour le compte de Carolina Herrera, avant de travailler avec Melania Trump, sous son propre nom, cette fois.
Outre ces deux maisons, Hervé Pierre (51 ans) est passé par d'autres créateurs prestigieux comme Dior et Balmain, en France, avant de rejoindre les Etats-Unis, en 1992. Hervé Pierre Braillard, son nom complet même s'il est surtout connu dans le monde de la mode comme Hervé Pierre, a été nommé directeur de la création de la maison Balmain à 25 ans seulement. Il est également connu pour ses collaborations avec des troupes de danses, notamment celle du chorégraphe français Angelin Preljocaj.
Coup de folie ou goût du risque ? Un canard sauvage est entré dans la petite piscine de l'enclos de Jalur, un tigre mâle de Sumatra, pesant 126 kg, au parc animalier Symbio d'Helensburgh, à 45 km de Sydney (Australie). La vidéo a été postée sur Facebook par les employés du zoo, mercredi 18 janvier.
Dix minutes de jeu du chat et de la souris
Le jeu semble beaucoup plus amusant pour le canard que pour le tigre, explique le zoo Symbio sur sa page YouTube. A chaque fois que le tigre s'approche, le canard plonge pour lui échapper, avant de réapparaître un peu plus loin. Au bout de dix minutes, Jalur a fini par renoncer, frustré, et est parti se reposer à l'ombre des arbres. Le canard, lui, a tranquillement passé le reste de l'après-midi à se rafraîchir dans la piscine.
L'ex-actrice a donné un entretien dans lequel elle affirme que «trente ans de laxisme» ont fait perdre au pays «la majesté qu’il avait». Partisane d'un retour des frontières, elle souhaite l’arrivée du FN pour «reprendre la France en main».
Brigitte Bardot n'a pas sa langue dans sa poche. Elle l'a encore prouvé lors d'une interview donnée au Figaro dans laquelle elle dépeint la situation sociale de la France en pleine décrépitude.
«C’est lamentable ! Nous vivons dans une période où tout est vulgaire, ordinaire et médiocre. La France n’a plus le rayonnement, la majesté qu’elle avait. Aujourd’hui, le pays est à l’image de ceux qui le dirigent», a estimé la star de cinéma. «Pour redonner de l’éclat au pays [...] Il faudrait mettre en place un régime autoritaire», a-t-elle assuré.
Interrogée sur Marine le Pen, Brigitte Bardot a salué sa «volonté de reprendre la France en main», de remettre des frontières et de redonner la priorité aux Français». «Je suis contre le vivre ensemble, mais je ne suis pas facho, pas plus que Marine Le Pen», a-t-elle déclaré.
Ex-finaliste d'un télé-crochet américain, la jeune fille âgée de 16 ans a chanté à Washington ce 20 janvier, pour célébrer l'arrivée au pouvoir du président élu des États-Unis.
L'autre star de l'investiture de Donald Trump, c'était Jackie Evancho, 16 ans. La jeune femme avait pour mission de chanter l'hymne national américain ce vendredi 20 janvier, lors de la passation de pouvoir entre le président élu et Barack Obama à Washington.
Elle fut l'une des rares artistes à avoir accepté de chanter pour l'événement. Ce qui lui a valu une salve de critiques, notamment sur les réseaux sociaux.
"C'est juste quelque chose de personnel, je crois", avait-elle expliqué dans le New York Times. "Je me suis juste dit que je faisais ça pour mon pays. Alors si les gens me haïssent, c'est pour la mauvaise raison".