C'est la mort que mériteraient cet homme et cette femme.
Blog - Page 253
-
Lorraine: la mère avait livré sa fillette de 5 ans à son amant pédophile; 20 et 30 ans de réclusion
-
Paris : Un islamiste radical fiché S fait voler un drone au dessus du quartier des ministères
BREIZATAO – ETREBROADEL (04/11/2016) Un islamiste radical de 35 ans, fiché par les services de renseignement français et portant un bracelet électronique, a été surpris en train de se livrer à ce qui semble être une opération de repérage.
Le Progrès (source) :
Mardi, les policiers parisiens ont interpellé un homme fiché S qui faisait voler un drone place du Bataillon du Pacifique, à Paris, rapporte Le Point.
Un lieu situé tout proche de l’Accor Hôtel Arena, qui accueille cette semaine le Masters de tennis BNP Paribas, et du ministère de l’Économie et des Finances.
L’homme interpellé, porteur d’un bracelet électronique, est fiché S et serait en lien avec la mouvance islamiste radicale.
-
Interview exclusive avec Julian Assange (04/11/16)
Ajoutée le 4 nov. 2016Dans une interview exclusive accordée à la chaîne russe RT, le lanceur d'alerte Julian Assange se prononce sur les récentes révélations concernant les couriels d'Hillary Clinton et sur le financement sous-terrain du groupe djihadiste Daech.
-
Assange: «Daech et la Fondation Clinton financées depuis une même source»
© REUTERS/ Peter NichollsInternational12:11 04.11.2016(mis à jour 17:15 04.11.2016) URL courteDossier:Les révélations de WikiLeaks (89) 37107861205
Les récentes révélations de WikiLeaks jettent une lumière crue sur le financement du groupe terroriste Daech, qui n’est pas sans liens avec la Fondation Clinton, affirme le lanceur d’alerte Julian Assange.Dans une interview exclusive accordée à la chaîne russe RT, le lanceur d'alerte Julian Assange se prononce sur les récentes révélations concernant les couriels d'Hillary Clinton et sur le financement sous-terrain du groupe djihadiste Daech.
Dans un email datant de 2014, Hillary Clinton s'adresse à John Podesta, alors conseiller de Barack Obama (à présent le chef de la campagne électorale d'Hillary Clinton, ndlr), et l'appelle à « faire pression » sur le Qatar et l'Arabie saoudite, « qui apportent clandestinement un soutien financier et logistique à Daech et à d'autres groupes sunnites radicaux », rappelle le lanceur d'alerte. Il a également indique que le courriel de la candidate démocrate contenait des informations sur le plus important contrat en matière de vente d'armes conclu par les États-Unis avec l'Arabie saoudite, dont le montant s'élevait selon certaines estimations à 80 milliards de dollars.
© REUTERS/ Toby MelvilleAssange: pas de «main de Moscou» derrière les révélations sur Clinton concernant les liens entre la Fondation Clinton et le financement clandestin de l'État islamique, M. Assange affirme que le groupe terroriste a été créé grâce à un versement de fonds provenant des mêmes personnes que celles qui soutient actuellement l'ONG de la candidate démocrate. Auparavant, le site WikiLeaks a publié une partie des courriels confidentiels de John Podesta contenant des citations d'interventions privées d'Hillary Clinton qui ont eu lieu en 2013-2014. Un discours crucial a été prononcé par Clinton lors d'une rencontre avec des banquiers durant laquelle elle a indiqué qu'elle suivait deux lignes politiques, « publique et privée, qui sont totalement différentes ».
En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/international/201611041028533909-assange-daech-fondation-clinton-financement/ -
Des électeurs d’Hillary attaquent une femme noire SDF parce qu’elle soutient Trump…
L’antiracisme dans toute son horreur. Une femme noire SDF qui soutient Trump a été brutalement malmenée puis agressée physiquement par des « social justice warriors » fous. La victime a été identifiée comme Denise Scott. Trump va la récompenser personnellement. Voici sa page GoFundMe :
NDF
-
Brexit : 3 juges contre 17 millions de Britanniques
Interpellée par une riche femme d’affaires opposée au Brexit, la Haute Cour de Justice de Londres, siégeant à trois juges, a décidé hier que la décision prise en juin par 17,4 millions de citoyens britanniques, soit près de 52 % des votants, n’avait qu’une valeur consultative. Pour les trois juges, seul le Parlement de Westminster peut invoquer l’article 50 du Traité de l’UE qui enclenchera le processus de sortie de l’UE.
C’est pourtant bien ce parlement qui avait pris la décision de déléguer sa décision au peuple par référendum ; le pouvoir de signer et révoquer les traités internationaux est au Royaume-Uni une prérogative royale, et revient donc en théorie au Gouvernement de Sa Majesté. C’est pourquoi le Premier ministre Theresa May entend bien faire appel de cette décision devant la Cour suprême, qui devra statuer sur cette question dans les prochaines semaines.
Si les juges de la Cour suprême confirment malgré tout la décision des trois juges de la Haute Cour de Justice, il faudra alors un vote du parlement, dont 480 membres sur 650 avaient soutenu le maintien du Royaume-Uni dans l’UE. Si le parlement vote contre la décision du peuple, Theresa May pourrait être contrainte de convoquer des élections anticipées. Et même si les députés n’osent pas annuler le résultat d’un référendum qu’ils avaient eux-mêmes convoqué, la procédure de sortie de l’UE pourrait être retardée d’au moins un an.
La presse britannique fait remarquer qu’un des trois juges de la Haute Cour de Justice est un ami proche de Tony Blair, l’ancien Premier ministre qui a milité pour rester dans l’UE, et un deuxième juge est le cofondateur d’une organisation juridique européiste. Plusieurs leaders des Tories et de l’UKIP ont violemment dénoncé l’activisme politique de ces juges et ont mis en garde contre la colère qu’un blocage du Brexit pourrait provoquer dans le peuple. Le tract envoyé à tous les ménages du pays avant le référendum était en effet très clair : « C’est votre décision. Le gouvernement mettra en œuvre ce que vous aurez décidé. Si vous avez 18 ans ou plus au 23 juin et que vous avez le droit de voter, c’est l’occasion pour vous de décider. »
Olivier Bault
Article paru dans Présent daté du 5 novembre 2016
-
JOURNAL TVLibertés DU 04/11/16
Ce Journal est particulièrement riche en informations: écoutez-le jusqu'au bout!
-
Wikileaks : L’administration Obama aurait privilégié les réfugiés musulmans
23h06Selon WikiLeaks, l’administration Obama aurait favorisé les réfugiés musulmans au détriment des chrétiens.Une nouvelle fois, les démocrates sont pointés du doigts par les chrétiens qui s’indignent de cette discrimination. (…)
Merci à oxoxo
-
Le jouet français à l'assaut de la planète
À quelques semaines de Noël, les produits fabriqués en France sont à l'honneur dans plusieurs enseignes.
Impossible de rater le slogan: «Cette année, le Père Noël est toujours fier de fabriquer et de créer en France.»Il est visible dans les rayons des magasins de jouets, qu'il s'agisse de JouéClub, La Grande Récré, Toys'R'Us ou King Jouet. La profession s'est mobilisée le mois dernier pour placer le début de la saison sous l'égide de l'Association des créateurs-fabricants de jouets français (ACFJF), créée il y a deux ans. Dans les catalogues des principaux distributeurs spécialisés, le logo «made in France» a également fait son apparition. Les centres E.Leclerc aussi souhaitent aller plus loin dans cette démarche. Dans les nouveaux magasins Jouets E.Leclerc, l'enseigne indiquera en rayon, sur une carte de France, l'origine géographique des marques qu'elle commercialise.
Ces initiatives sont un moyen de sensibiliser les consommateurs et de gagner en visibilité, à l'approche de Noël. Aujourd'hui, un peu plus de 7 % des jouets vendus en France sont produits sur le territoire national, selon l'organisme qui rassemble 34 marques. C'est deux points de plus qu'il y a cinq ans. «Nous sommes convaincus que les jouets français vendus au niveau national pourraient atteindre 10 % d'ici à trois ans», estime Serge Jacquemier, président de l'ACFJF. Le marché du jouet français est estimé à un chiffre d'affaires annuel de 3,3 milliards d'euros.
Même si la concurrence face à la Chine est rude (65 % des jouets y sont fabriqués), le «made in France» n'a jamais été aussi en vogue, dans l'alimentaire comme dans le jouet. Plus que jamais, les consommateurs veulent connaître l'origine des produits et être rassurés sur leur qualité. «Cela fait cinq ans environ que les clients y sont plus sensibles, souligne Alain Bourgeois-Muller, président de JouéClub. Les crises sociales dans certains secteurs industriels interpellent et incitent à jouer la solidarité avec la production nationale.» Certes, il est difficile pour ces fabricants français de rivaliser avec les poids lourds comme Hasbro, Mattel ou Lego, avec des phénomènes comme Pokémon ou les Yo-kai Watch, ou avec les licences de personnages de films (Star Wars, La Reine des Neiges…). Il n'empêche, certains jouets se sont fait une place au classement des meilleures ventes à l'image des jeux de société d'Asmodee ou de Dujardin. «Les fabricants de jouets français ont réussi à se tailler de belles positions dans de nombreuses catégories, estime Franck Mathais, porte-parole de La Grande Récré. Ils parviennent à exprimer leur savoir-faire et leur talent sans avoir recours à des moyens marketing massifs.» C'est le cas de Sentosphère dans les jeux créatifs, de Smoby et d'Ecoiffier dans les jouets de plein air ou de Sophie La Girafe en premier âge. Des nouveaux venus tirent aussi leur épingle du jeu à l'image de Mako Moulages, qui connaît une deuxième vie après vingt ans de sommeil, ou de Topi Games (Memotep, Sauve Ton Permis), start-up lancée en 2014.
Beaucoup n'ont pas hésité à rapatrier tout ou partie de leur production en France. C'est le cas de Smoby, racheté par l'allemand Simba, qui a fait le pari de doper ses usines hexagonales en y investissant 30 millions d'euros depuis 2008. Même pari pour les maquettes en plastique d'Heller Joustra. L'entreprise a relocalisé sa production en Normandie depuis le début des années 2000 et ouvert un atelier de conditionnement. «Cela nous permet de faire la différence à l'international, notamment vis-à-vis de la clientèle asiatique», explique une porte-parole de l'entreprise.
De son côté, Sentosphère a racheté une société de cartonnage et dispose désormais de trois sites en France, ce qui lui permet de renforcer son autonomie en matière de production. «Fabriquer en France a un coût réel, notamment en raison du niveau des charges, commente Véronique Debroise, PDG de Sentosphère. Mais produire en Asie présente des risques financiers, des coûts de stockage et limite la réactivité en raison des délais liés au transport. Cela pose problème lorsqu'un jouet fonctionne bien avant Noël et que le temps manque pour réapprovisionner.»
Mais tous déplorent que, pour les jouets nécessitant des moules à injection ou ayant une composante électronique ou textile, il soit presque impossible de produire hors de Chine. «Il est difficile d'être compétitif lorsque les produits demandent beaucoup de main-d'œuvre, même si les coûts ont augmenté en Chine, déclare Serge Jacquemier. Pour continuer à créer en France, il est indispensable de se démarquer par l'innovation. Si le produit est basique, il est vite copié. On est alors battus!»
L'export représente une planche de salut pour de nombreux fabricants. Le succès des tracteurs Falquet ou des jeux Dujardin (Mille Bornes, Chrono Bomb'!…), vendus aux quatre coins du globe, illustre le potentiel du jouet français à l'international. Encore faut-il disposer de distributeurs ou d'équipes spécialisées dans l'export. Ce qui reste complexe, notamment pour les PME. Pour la première fois, les fabricants français disposeront d'un pavillon au salon de Nuremberg, la grand-messe du secteur, en janvier. Business France joindra ses forces pour promouvoir le savoir-faire hexagonal. Tous comptent bien profiter de cette nouvelle tribune.
Trois réussites en France et à l'export
•SMOBY,premier fabricant de jouets français, racheté en 2008 par l'allemand Simba, se porte bien. L'entreprise, qui est de nouveau en croissance depuis deux ans, a réalisé 150 millions d'euros de chiffre d'affaires l'an passé (+ 6 %). Son actionnaire a investi 30 millions d'euros en huit ans dans ses usines. Ce qui lui permet de continuer à miser sur le «made in France»: 70 % de ses jouets sont fabriqués dans l'Hexagone, 10 % en Espagne (tricycles, poussettes) et 20 % en Chine (nounours, poupées…). Cette année, le fabricant jurassien lance une gamme d'instruments de cuisine pour enfants (Smoby Chef) afin de séduire les 5-8 ans.
•SOPHIE LA GIRAFE ,qui fête ses 55 ans, a permis à Vulli de quadrupler ses ventes en dix ans, à 29 millions d'euros. Ce jouet mythique, né à Paris, est fabriqué en Haute-Savoie. Il connaît depuis dix ans une nouvelle vie à l'international. Sur ses emballages, Vulli a choisi des tours Eiffel, une surpiqûre qui rappelle la couture à la française et des couleurs censées incarner un chic français, beige et blanc. Il est vendu dans 77 pays dont les États-Unis, son premier marché. Après le Brésil, Sophie vient de partir à la conquête des bébés chinois. Hochets, jouets de bain, doudous, meubles… La licence fait partie de ses leviers de croissance.
•BIOVIVA, avec ses jeux éducatifs (Bioviva Le Jeu, Sauve Moutons, L'Arbre des 4 Saisons…), souhaite favoriser une prise de conscience collective du respect de l'environnement. Son grand succès, Bioviva Le Jeu, qui permet de découvrir la planète et ses richesses naturelles, s'est vendu à 200.000 exemplaires dans le monde. Cette PME de l'Hérault, qui fête ses 20 ans, fabrique ses jeux dans la Drôme. Tous sont labellisés Origine France Garantie, une spécificité du secteur. En forte croissance, l'entreprise a enregistré 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2016.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 02/11/2016. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
La rédaction vous conseille : -
L'association L214 dénonce l'abattage des vaches gestants et la destruction des foetus
-
Délinquance sexuelle : Bill Clinton a utilisé à de nombreuses reprises le "Lolita Express" de Jeff Epstein
- Publié le : jeudi 3 novembre 2016
- Mots-clés : Délinquance ; États-Unis; Pédocriminalité; Sexualité; Wall Street
- Commentaires : 13
- Nombre de vues : 18 353
- Source : les-crises.fr
- E&R
Bill Clinton a pris, pour des voyages tous frais payés, 26 fois en seulement trois ans le « Lolita Express », l’avion de Jeffrey Epstein, le délinquant sexuel tombé en disgrâce.
Le financier Jeffrey Epstein a eu une légère peine de prison de 18 mois pour avoir recruté des prostituées et s’être offert les services sexuels de jeunes mineures.
Bill Clinton, avec ses célèbres penchants donjuanesques, fait partie des célébrités qui ont fréquenté Epstein avant que la gravité de ses problèmes juridiques ne soit rendue publique.
Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les hôtes avaient des relations sexuelles avec de jeunes filles.
Les registres de vol montrent que l’ancien président s’est rendu à Brunei, en Norvège, en Russie, à Singapour, à Hong-Kong, au Japon, aux Açores, en Afrique, en Belgique, en Chine, à New York et en Belgique dans l’avion d’Epstein.
Bill Clinton a passé tant de temps à bord de l’avion « Lolita Express » du nabab de Wall Street tombé en disgrâce qu’il pourrait prétendre à un programme de fidélité pour voyageur fréquent, selon de choquantes informations parues dans la presse qui dévoilent à quelle fréquence l’ancien président des États-Unis a fait route avec le délinquant sexuel condamné par la justice.
Les livres de vol analysés par Fox News montrent que Bill Clinton a fait 26 voyages à bord du Boeing 727 d’Epstein, ce qui est plus du double des 11 vols comptabilisés antérieurement.
Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les invités avaient des activités sexuelles de groupe avec de jeunes filles.
L’une d’elles, Virginia Giuffre, a soutenu avoir été amenée à rejoindre le harem d’Epstein quand elle n’avait que 15 ans et s’appelait alors Virginia Roberts.
L’ancienne adolescente prostituée a affirmé qu’on l’utilisait comme une « esclave sexuelle ».
-
VIDEO - Le réseau pédophile de Bill et Hillary Clinton
https://ripostelaique.com/le-reseau-pedophile-de-bill-et-hillary-clinton-video.html
-
Primaire à droite : «Les candidats sont tous des petits boutiquiers immatriculés à Bruxelles»
A voir absolument !
-
Rennes : L’imam salafiste de Brest suit illégalement un cours clandestin dans un lieu secret, sous la protection de l’état
http://breizatao.com/2016/10/31/33374/
"Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" Michel AUDIARD
-
ZOOM - Général Antoine Martinez: L'Etat de droit est un Etat de faiblesse
TVL
-
JOURNAL TVLibertés DU 03/11/16
-
Donald Trump, une enfance agitée, corrigée dans un cadre militaire 100% masculin
Une belle demeure aux colonnes victoriennes, sur une colline plantée de grands chênes dans une enclave prospère de New York: c'est là que grandit Donald Trump, turbulent et imprévisible dès l'enfance mais qu'un père très strict remit sur les rails d'une grande carrière immobilière.
Le bouillonnant candidat républicain, qui défie les pronostics en faisant jeu égal avec Hillary Clinton dans les sondages, est né le 14 juin 1946 dans le quartier à l'époque très "blanc" de Jamaica Estates dans le district du Queens, à une heure de la 5e Avenue où trône aujourd'hui la Trump Tower, avant-dernier d'une famille de cinq enfants typique de l'après-guerre.
Sa mère, née Mary McLeod, est fraîchement arrivée d'Ecosse. Son père, Fred Trump, incarne le rêve américain: né à New York d'un père arrivé d'Allemagne sur un bateau à vapeur, entrepreneur immobilier, il "travaillait dur" et "avait contribué à développer le quartier" de Jamaica Estates en y construisant de nombreuses maisons. Et il avait réussi, car la famille Trump était "seule dans le quartier à avoir des chauffeurs", a raconté à l'AFP l'un des rares voisins à les avoir connus, qui a demandé à n'être identifié que par son prénom George.
Celui qui se présente comme le candidat "anti-establishment" démarre donc bien dans la vie, arrivé à quatre ans dans cette maison qui comptait alors 23 pièces, avec très vite son chauffeur pour l'emmener à l'école élémentaire privée de Kew Forest, dans le quartier voisin de Forest Hills.
Goût de la compétition
Mais le jeune "Donny" a déjà le penchant bagarreur et imprévisible qui fait frémir aujourd'hui ses opposants. Une anecdote célèbre veut qu'il ait mis un jour un oeil au beurre noir à son professeur de musique. Ses initiales, "DT", deviennent synonymes de punition, selon ses camarades d'alors, cités dans la biographie "Trump Revealed" de journalistes du Washington Post.
Le turbulent Donald est cependant surveillé de près par un père sévère, ce qui explique peut-être qu'il dise souvent que "ça n'a pas été facile pour moi".
Fred Trump initie Donald à l'immobilier en l'emmenant très vite dans ses tournées. Et instille en lui un goût de la compétition qui ne le lâchera plus, en prenant un malin plaisir à "finir ses chantiers avant ses concurrents", à louer ses bâtiments le premier et à "racheter l'un ou l'autre de ses concurrents en faillite" ensuite, se souviendra Trump adulte.
Mary Trump, au contraire, aime les mondanités et le grandiose. Trump passera des heures en juin 1953 à regarder avec elle le couronnement d'Elizabeth II, qui la fascinait. C'est en partie d'elle, dira-t-il ensuite, qu'il tient son "sens de la mise en scène" qui a fait le succès de son émission de télé-réalité "The Apprentice", avant d'attirer les foules à ses meetings de campagne.
'Don Juan'
A l'aube de l'adolescence, Donald s'encanaille et fait des virées secrètes à Manhattan.
Lorsque son père - qui préfère se cantonner à Queens et Brooklyn pour ses affaires - l'apprend, son verdict est sans appel: à 13 ans, Donald est chassé du cocon familial et envoyé en internat au lycée militaire de Cornwall, dans le nord de l'Etat de New York, près de l'académie militaire de West Point.
Donald Trump reconnaîtra plus tard que son père voulait le "remettre dans le droit chemin".
Il y restera cinq ans, et s'épanouira dans cet environnement très masculin et hiérarchisé, où le machisme tant décrié par ses opposants fait alors partie de la culture. Il dira y avoir appris à canaliser son "agressivité": il y décroche ses premiers galons de chef et excelle en sport, notamment au baseball.
Il sortira en dernière année avec le rang de capitaine des cadets et la distinction moins formelle de "Don Juan" de la classe, après avoir ramené sur le campus de jolies filles.
Un de ses camarades a raconté au site d'informations économiques Business Insider que lors du défilé annuel du lycée sur la 5e Avenue, pour Columbus Day, Donald Trump aurait confié à un supérieur: "j'achèterais bien de l'immobilier ici un jour".
C'est grâce à un prêt de son père que Donald Trump se lancera finalement lui aussi dans l'immobilier. Et qu'après avoir décroché un diplôme de la prestigieuse école de commerce Wharton, il bâtira un empire en s'imposant à Manhattan, là où son père avait toujours refusé de s'aventurer.
-
La revendication des policiers qui défilent ce soir à Toulouse : « La racaille en prison »
22h02 -
Découverte d’un réseau de trafic d’organes palestiniens en Israël
Une "entreprise illégale" mais un commerce courant
Trois personnes soupçonnées de trafic d’organes palestiniens ont été arrêtées mardi après une enquête secrète qui a duré plusieurs mois, a indiqué la police israélienne. Les trois suspects seraient à l’origine d’un réseau de trafic d’organes de même qu’ils auraient trouvé des vendeurs et des acheteurs dans le but de développer cette « entreprise illégale » dont les bénéfices peuvent s’élever à des centaines de milliers de dollars.
L’enquête policière a révélé que les suspects ont été localisés et que les potentiels vendeurs seraient issus de milieux socio-économiques défavorisés, justifiant la nécessité de vendre leur rein afin de répondre à un besoin d’argent.
Les suspects avaient également trouvé des personnes assez fortunées pour acheter le rein et financer une greffe.
Ils avaient par ailleurs trouvé un médecin prêt à effectuer l’opération et une procédure médicale.
Dans le cadre de l’enquête, des preuves ont été rassemblées contre trois membres du réseau soupçonné de planifier la procédure médicale, ainsi qu’un grand nombre de personnes qui étaient en train de recruter des personnes et de recevoir de l’argent pour cette opération.
Les maisons de trois individus ont été fouillées pour rechercher des preuves les reliant aux infractions commises.
Le trafic d’organes est un commerce courant en « Israël », plusieurs réseaux de trafic d’organes ont été découverts cette décennie. Plusieurs rabbins éminents l’ont même jugé licite selon la Halakha (la Loi juive), estimant qu’il était permis de sacrifier un gentil pour sauver la vie d’un juif.
En novembre 2012, CNN avait relevé dans un rapport que « les organes des gens qui tentaient d’entrer en Israël par le désert du Sinaï étaient victimes du trafic ». Dans ce contexte, un certain nombre de charniers contenant des cadavres d’Africains à qui manquaient certains organes ont été découverts dans cette région.
-
Hillary Clinton: "Si je suis présidente, nous attaquerons l'Iran"
Sous-titres français