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Blog - Page 305

  • Barcelonnette (04) : L’accueil de migrants embrase l’Ubaye

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    13h52

    «Je veux que ma vallée reste paisible [...] et ne devienne pas un second Calais.» Depuis le début de semaine, l’Ubaye est traversée par un torrent d’inquiétude, qui inonde les rues et les réseaux sociaux. L’objet de ces remous : l’arrivée prochaine de migrants de la “Jungle” de Calais à Barcelonnette.[...]


    «Il y a un projet de création d’un centre d’accueil et d’orientation (CAO) à l’automne prochain, confirme le sous-préfet Richard Mir. La perspective est d’accueillir entre 34 et 36 migrants dans six ou sept logements sociaux vacants, dans la résidence Les Allaris. C’est un effort qui est demandé à tous les départements.» [...]

    En ligne, sur la plateforme “change.org”, une pétition appelle le maire de Barcelonnette à s’opposer à la création de ce centre sur sa commune. [...]

    «Ils ne sont pas destinés à rester, veut également rassurer le maire. Ils arriveront pour une durée maximum de 2 à 3 mois, avant d’être dirigés sur Marseille où ils seront aiguillés en fonction de leur statut : soit réfugiés politique soit migrants économiques ». [...]

    Il conclut : «La question ne se pose plus de savoir si cela se fera ou non. La question est aujourd’hui de faire en sorte que cela se passe le mieux possible »

    L’aricle complet sur ledauphine.com

  • EN DIRECT - Fusillade à Munich : la police suspecte «un acte terroriste», trois tireurs en fuite

    http://www.lefigaro.fr/actualites/2016/07/22/01001-20160722LIVWWW00259-en-direct-munich-fusillade-centre-commercial.php#757750

    Une fusillade a éclaté dans un centre commercial près du stade olympique de Munich, faisant au moins neuf morts et des dizaines de blessés. Trois tireurs présumés sont toujours en fuite.

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    Un bain de sang à Munich

     

    Donald Trump s'exprime après l'attaque de Munich

     
    Le candidat républicain à la Maison Blanche a adressé, sur Facebook, ses "prières à ceux touchés par l'horrible attaque de Munich". 

    "Cela ne peut pas continuer. La montée du terrorisme menace le mode de vie de toutes les personnes civilisées, et nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour l'empêcher".

     

  • Fusillade à Munich : plusieurs morts, trois tireurs présumés

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    >Faits divers|22 juillet 2016, 20h27 | MAJ : 22 juillet 2016, 20h42|0
        
    Faits diversMunichAllemagneFusillade
     

    L'Alllemagne est, à son tour, frappé par un drame. Une fusillade a éclaté un peu avant 18 heures dans un centre commercial de Munich, la capitale de la Bavière, dans le Sud de l'Allemagne, faisant plusieurs morts, au moins 6 selon un premier bilan. Toujours selon la police, les tireurs sont au nombre de trois. Les tirs ont éclaté peu avant 18 heures dans un McDonald's d'une galerie commerciale de Munich, la capitale de la Bavière dans le sud de l'Allemagne, selon «le Spiegel».

     

    Suivez les événements en direct

     

    20h27. Des tirs dans une brasserie ? Des tirs auraient été entendus dans la brasserie Franziskaner, d'après la chaîne de télévision n-tv.

     

    20 h 24. Probablement au moins 6 morts et plusieurs blessés. 

     

    20h22. La police de Munich tweete en français. Elle appelle à éviter les lieux publics.

        

    20 h 13. La solidarité 2.0 déjà en marche. Comme à chacun des terribles événements dramatiques, un hastag «Portes ouvertes» est en train de prendre de l'ampleur sur les réseaux sociaux. En allemand, l'expressions s'écrit « #offenetür »

     

    20h08. La police de Munich, sur son compte Facebook, évoque « trois personnes différentes » avec des armes à feu, selon les témoins.  Les forces spéciales et la police fédérale sont venues renforcer les effectifs de la police de la ville et recherchent les auteurs. La police demande aux Munichois de rester chez eux, la situation étant encore « floue ».

     

    19h30. Une porte-parole de la police a rapidement indiqué qu'il s'agissait d'une opération de «grande envergure». Plusieurs équipes d'intervention de la police allemande sont sur les lieux et sont à la recherche du tireur. Il se serait enfui dans le métro, selon le site du Bild.

    19h15. Le forces de l'ordre sont sur place pour sécuriser la zone.

     

    19 heures. Un amateur a filmé le abords du centre commercial sur Périscope.

      leparisien.fr
  • Huit jours après l’attentat de Nice, Paris Plages fête la Tunisie !

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    Et pourquoi pas l’Irak ou la Syrie, puisqu’il s’agit de donner aux Parisiens le goût des échanges culturels hauts en couleurs ?

     

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     

    Elle n’a pas de chance, madame Hidalgo, ou alors elle a un flair qui devrait lui ouvrir toutes grandes les portes de la reconversion quand elle aura quitté la mairie de Paris : voyante extra-lucide. Une jolie petite roulotte sur le parvis de l’hôtel de ville, avec des géraniums en plastique aux fenêtres sous un rideau de cretonne rouge : « Madame Hidalgo, voyance, retour d’affection, prévision d’attentats, inversion des courbes du chômage », etc.

    Paris Plages, ses tonnes de sable, ses palmiers, ses brumisateurs, ses policiers en arme, ouvre aujourd’hui ses transats et ce cru 2016 s’annonçait sous les meilleurs auspices. Sauf que… sauf que madame Hidalgo a eu l’idée de coupler des opérations de tourisme mercantilo-culturel avec la bronzette. Autrement dit de parrainer la quinzaine commerciale de nos amis du Maghreb. Et là, comment vous dire, la pythie n’a rien vu venir, ou alors trop bien…

    L’an passé, déjà, en août 2015, Anne Hidalgo s’était attiré les critiques avec sa journée joliment intitulée « Tel Aviv sur Seine ». Il s’agissait d’une « journée culturelle et festive » visant à faire « découvrir la culture, la gastronomie ou les loisirs » de la deuxième plus grande ville d’Israël. Bronca du côté du Parti de gauche, la conseillère de Paris Danielle Simonnet soulignant « l’indécence » de cette manifestation « une année après les massacres sur la bande de Gaza par l’État et l’armée israélienne (sic), et alors que le gouvernement israélien intensifie sa politique de colonisation ».

    Bruno Julliard montait alors à la tribune pour défendre sa patronne : il ne faut pas faire « l’amalgame entre la politique brutale du gouvernement israélien et Tel Aviv, ville progressiste, symbole de paix et de tolérance », disait-il. Et l’on envoya la troupe en nombre et armée jusqu’aux dents pour surveiller la distribution des falafels.

    Cette année, une semaine après l’attentat de Nice dont l’auteur est tunisien, c’est… la Tunisie qui est à l’honneur. « Du 20 au 24 juillet, une partie de la voie Georges-Pompidou se transformera en “Quai Jasmin” pour promouvoir la destination tunisienne et ses atouts culinaires, artisanaux et culturels. Tunis et Sousse, particulièrement affectées par les attaques terroristes, sont cette année en tête d’affiche », se réjouit la mairie de Paris.

    Comme le rapporte Jeune Afrique, « pour 2016, le cœur de la capitale française “battra au rythme de l’été tunisien”, a fièrement indiqué Bouraoui Limam, le responsable de communication de l’ambassade de Tunisie à Paris ». En un sens, il n’a pas tort, monsieur Bouraoui Limam : la Tunisie sera cet été au cœur des Français.

    À l’heure où je vous écris, on attend l’inauguration de cet événement. Il doit avoir lieu tout à l’heure en présence de madame Hidalgo bien sûr, mais aussi de Selma Elloumi Rekik, ministre du Tourisme et de l’Artisanat de Tunisie, ainsi que des maires de Tunis et de Sousse et de l’ambassadeur de Tunisie à Paris. Je me demande si l’on aura invité l’ineffable Estrosi et son ombre Philippe Pradal, le maire de Nice que tout le monde cherche…

    Quant à madame Hidalgo, si elle cherche des idées de partenariat pour l’année prochaine, on peut lui suggérer l’Égypte du maréchal Sissi ou, peut-être, la Turquie d’Erdoğan, à moins qu’elle ne préfère le Yémen ? Et pourquoi pas l’Irak ou la Syrie, puisqu’il s’agit de donner aux Parisiens le goût des échanges culturels hauts en couleurs ?


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/huit-jours-apres-lattentat-de-nice-paris-plage-fete-la-tunisie,272776#MGiz2a2SVuykOw4e.99
  • Deux tweets

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  • Attentat de Nice : quand la justice demande en urgence à la mairie de détruire 24 heures d'images

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    Une caméra de surveillance sur le front de mer, à Nice

    INFO LE FIGARO - Une réquisition judiciaire urgente a été envoyée au centre de supervision urbain de Nice mercredi 20 juillet. Le parquet de Paris évoque un souci «d'éviter la diffusion non contrôlée de ces images».

    Panique et incompréhension à la mairie de Nice. Mercredi à 11 heures, la sous-direction antiterroriste (SDAT) a envoyé aux agents qui gèrent la vidéosurveillance de la ville une réquisition citant les articles 53 et L706-24 du code de procédure pénale et de l'article R642-1 du Code pénal leur demandant l'effacement «complet» de 24 heures d'images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l'attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet.

    De quoi mettre en état de sidération les agents du centre de supervision urbain de Nice. «C'est la première fois que l'on nous demande de détruire des preuves, précise une source proche du dossier. Le centre de vidéosurveillance et la ville de Nice pourraient être poursuivis pour cela et d'ailleurs les agents en charge du dispositif n'ont pas compétence pour se livrer à de telles opérations».

    La demande paraît d'autant plus étonnante que la SDAT a envoyé depuis vendredi dernier des serveurs afin de récupérer les 30.000 heures de vidéosurveillance liées aux événements. Une opération de sauvegarde qui va s'étendre encore sur plusieurs jours. «Nous ne savons pas si donner un ordre de destruction alors que nous sommes en pleine sauvegarde ne va pas mettre en rideau tout le système», s'inquiète-t-on dans l'entourage du dossier.

    Contacté par Le Figaro, le parquet de Paris a confirmé l'information et précisé: «cela a été fait dans ce cas précis pour éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces images». Du côté de la police nationale, on rappelle que «sur les mille caméras installées à Nice, 140 présentaient des éléments d'enquête intéressants. La police judiciaire a récupéré 100% des vidéos de ces dernières. La PJ et le parquet ont donc demandé d'effacer les images de ces 140 caméras afin d'éviter l'utilisation malveillante de ces dernières par souci de la dignité des victimes et pour éviter la reprise de ces images par les sites internet djihadistes à des fins de propagande». Enfin, à la chancellerie, on précise que la demande d'un effacement «complet» s'explique par l'impossibilité de procéder à des destructions partielles sur ce type de matériel.

    Images partagées par plusieurs services

    Le lendemain du drame tragique de la promenade des Anglais, des officiers de police judiciaire étaient venus faire une première recension des caméras en prise directe avec l'événement. Cela a donné lieu à un premier rapport envoyé au ministère de l'Intérieur. Étrangement, ce serait ces mêmes caméras qui sont visées par la réquisition de la SDAT.

    Dès samedi, l'Élysée avait demandé copie des images de l'attentat. Une autorisation accordée par le parquet de Paris. «Ce n'est pas choquant que le président de la République ait voulu visionner l'attentat. Faudra-t-il demander à l'Élysée de restituer le CD qui lui est parvenu?», s'interroge un bon connaisseur du dossier. En tout état de cause, ces vidéos sont partagées par plusieurs services concomitamment à savoir ceux de la Police et de la gendarmerie nationales, de la police judiciaire et des pompiers.

    LE FIGARO

  • Lyon métropole: les Identitaires disent NON à l'islamisation!

    http://www.fdesouche.com/742365-lyon-linstitut-francais-de-la-civilisation-musulmane-ifcm-sera-finance-par-la-ville

    Vidéos, photos

    Déroulez l'article!

  • Attentat de Nice : la réquisition judiciaire urgente demandant la destruction des images

    http://www.youscribe.com/catalogue/tous/actualite-et-debat-de-societe/actualite-evenements/attentat-de-nice-la-requisition-judiciaire-urgente-demandant-la-2746942

     

    Un document hallucinant, à lire d'urgence!

  • NORMAL !

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    Vu dans "FEMME ACTUELLE" magazine féminin n°1658 (du 4 au 10 juillet 2016) avec cette légende en blanc: "Dites à Manuel que je termine un dossier important, j'arrive dans cinq minutes"

  • Une pompe à essence et des voitures incendiées à Beaumont, des incidents à L’Isle-Adam

    http://www.leparisien.fr/beaumont-sur-oise-95260/climat-tres-tendu-a-beaumont-des-incidents-a-l-isle-adam-22-07-2016-5985597.php

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  • Beaumont-sur-Oise: d'après l'autopsie, Adama Traoré souffrait d'une «infection très grave»

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/beaumont-sur-oise-d-apres-l-autopsie-adama-traore-souffrait-d-une-infection-tres-grave-21-07-2016-5985091.php

    5985223_adama-traore-wtmk.jpg Troré.jpg

  • Gilbert Collard sur BFM TV et RMC

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/gilbert-collard-face-a-apolline-de-malherbe-en-direct-844667.html

    Très intéressant

  • Morts en été…

       

     

    On ne se sépare pas impunément de sa jeunesse, à moins d’y être forcé par l’exil. Aussi, Nice est-elle restée dans mon cœur comme la ville d’adoption que l’Oranais de vingt ans que j’étais découvrit en y venant faire ses études en 1965.

    Nice était pimpante quand Marseille et Toulon étaient grises, elle présentait au sud ses façades blanches, ocres ou bleues quand Marseille croulait sous Le Corbusier, enfin, la Méditerranée ressemblait à celle qui baignait Oran. Je m’y sentis chez moi…ou presque. J’y revins aussi souvent que possible, ne pouvant – ni ne voulant – retourner dans ma cité natale.

    Mais Nice, chaque année descendait d’un cran vers le délabrement, tandis que sa population, élégante dans les années 60 et 70, s’encanaillant, s’enlaidissait et surtout se « tiersmondisait ».

    On comprendra que l’insistance des Niçois à se choisir des édiles qui ont favorisé l’invasion, bâtissant des mosquées en nombre et ayant pour l’islam « les yeux de Chimène », laisse pantois. Le politiquement correct des UMP puis « Les Républicains » qui dirigent la ville est la cause de l’horreur. A ce titre on doit citer l’incurie de Christian Estrosi qui a permis à 900 lieux de culte musulmans clandestins de s’installer, sans ne jamais donner l’ordre de les fermer. Mais pire, l’autorisation d’un rassemblement populaire d’importance sur la promenade des Anglais, toujours ouverte à la circulation, était criminel en plein état d’urgence.

    On peut être encore plus interloqué quand on songe à la proportion de Français d’Algérie installés dans cette ville, qui ont connu dans leur chair la cruauté du monde qui nous fait la guerre, et dont les avis ne comptent pour rien dans cette municipalité. Mais voilà, après qu’on leur a permis de faire de certains quartiers des fiefs où la police est à peine tolérée, les berbéro-musulmans ont frappé.

    Un camion loué dix jours plus tôt circula sur une promenade ouverte aux véhicules. Trente mille personnes s’y pressent en famille pour admirer un feu d’artifice tiré à la gloire d’une France en faillite, et 84 vies détruites ainsi que plus d’une centaine d’estropiés.

    Comment des hommes et des femmes de même ascendance, que l’histoire a rendu frères et sœurs, ne voient-ils pas qu’ils sont la cible de cette barbarie ? Comment ne comprennent-ils pas qu’on veut les évincer, les exterminer ? Comment ne se rendent-ils pas compte que leurs élus sont ceux qui organisent cette tragédie par leurs accointances et leurs mensonges ?

    J’attendais de la dégénérescence gauchiste dans tous ses états, de « Nuit debout » aux incultes de la CGT et aux ministricules sans savoir mais avec portefeuille qui pensent « gouverner », qu’elle osât reprendre l’antienne « pas d’amalgame », ce qu’elle fit. Leur presse qu’hélas bien des Français lisent, écoutent ou regardent, hésita, puis osa mettre en doute l’islamité de l’attaque. Il fallut un communiqué de l’Etat Islamique pour quelle cesse cette falsification. Mais elle continue dans la minimisation de l’acte en parlant d’un « fou », mauvais musulman de surcroît, et alla jusqu’à oser, dans Libération, écrire « qu’il ne fallait pas se focaliser sur l’argument religieux ». Nice-Matin se permit de mettre en première page la mort de Fatima « la première tombée » pour dénaturer l’acte du terroriste, en montrant qu’en tuant une musulmane l’attentat ne pouvait être taxé « d’islamiste ». C’est ignoble pour les autres victimes, mais faux historiquement : le FLN a tué bien des musulmans qui passaient en visant des européens, comme en témoigne par exemple l’attentat des « réverbères » à Alger en 1957. Ces morts musulmans dues au hasard ne prouvent rien sinon qu’ils ne seront jamais un obstacle à l’avancée de l’islam.

    Mais si la presse et l’armée des gouvernants de tous bords, fonctionnaires compris, sont dans leurs rôles de fourriers de l’invasion, ce qui fut surprenant est la relative passivité des Niçois eux-mêmes dans un premier temps.

    Ils ne furent que quelques uns à huer François Hollande, mais devinrent une foule le lendemain pour siffler Valls lors de l’hommage de la nation aux victimes du 14 juillet.

    Le soleil brillait et la beauté du site, la masse des Niçois assemblés derrière les élus et le gouvernement firent de la minute de silence un instant de grandeur. Mais la grandeur ne se satisfait pas de l’imposture, et lorsque les « autorités » s’en furent en colonne, la voix du peuple s’éleva enfin, sévère, véridique, qui stigmatisa les responsable du massacre : le gouvernement avec Valls à sa tête.

    Est-ce de cette « guerre civile » dont parle le patron de la DGSI, Patrick Calvar ? Car que voudrait-il à la fin ? Que nous acceptions le mensonge et le dédain, les assassinats et les viols, puis, enfin, l’exclusion de notre propre patrie sans broncher ? Est-ce cela « être d’extrême droite » refuser de baisser la tête devant l’humiliation ? Il faudrait qu’il s’explique au lieu d’alerter. Que veut-il ? Qu’on arrête tous les siffleurs de président et les parents fous de rage devant le corps d’un enfant ? Confond-il la haine avec la colère ?

    On peut se demander si certains ne confondent pas résistants et occupants. Eussent-ils été dans la milice pour défendre l’ordre et lutter contre la xénophobie antiallemande pendant la guerre ?

    Alors, le jour où les Niçois ont hué Manuel Valls, fut un jour de gloire que notre grande bleue apprécia en scintillant, à deux pas des élites isolées, sur la plage, là où la Méditerranée joue toujours avec les galets…

    Et Honni soit qui mal y pense !

    Georges Clément

    NDF

  • Reims : les fillettes d'un centre de loisirs priées de mettre un short sous leur jupe

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    Des parents outrés. A Reims, Alice Nayrac et son mari emmènent régulièrement Prunille, leur petite fille de quatre ans, au centre d'animation des Trois Piliers. Lundi 18 juillet, lorsqu'ils sont allés la récupérer, ils ont, comme le rapporte L'Obs , trouvé, glissé dans son sac, un message très spécial appelant les fillettes à mettre un short sous leur jupe.

     

     «Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra à votre enfant déjà d’avoir une meilleure mobilité pour les activités et sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait. Nous voulons juste éviter des situations complexes à gérer.»

     

     

    La réaction d'Alice, furieuse, sur Facebook n'en finit pas non plus d'être retweetée. «Ma fille ne doit pas avoir à choisir entre une coquetterie - toute relative- et normale et la tranquillité de faire du toboggan sans avoir à subir les «comportements déplacés» de mômes à qui on apprend pas le respect de l'autre. Elle a quatre ans putain.»

      

      

    Jointe par L'Obs, la maman explique : «En voyant ce mot, j’étais très en colère. La responsabilité était déplacée du côté des petites filles qui portent des jupes. Je comprends que le rôle de l’animateur n’est pas d’éduquer les enfants mais il peut dire 'non' à un garçon s’il embête une fille parce qu’elle a une jupe. Lui expliquer qu’il ne faut pas soulever la jupe d’une fillette ou l’embêter à cause de cela.»

     

    Les parents ont fini par contacter le centre de loisirs pour expliquer qu'en aucun cas la tenue de leur fille ne pouvait être liée au fait que d'autres enfants puissent avoir des «comportements déplacés». Sans incriminer les éducateurs.

     

    Jointe par «l’Obs», la directrice générale des maisons de quartier de Reims, Noëlle Harmand s’étonne de l’ampleur qu’a pris l'affaire.

    «Nos centres de loisirs accueillent des filles et des garçons, certains entre 11 et 12 ans. Les animateurs ont repéré que les enfants pouvaient avoir des réflexions envers les fillettes. Un travail éducatif a d'abord été fait avec les enfants pour rappeler les notions de respect mutuel. La directrice du centre a ensuite pris l'initiative de ce mot.»

     

    La directrice générale de se défendre : «Je comprends que le mot ait pu être mal interprété. Il n'y a eu aucun geste déplacé entre les enfants, nous avons voulu anticiper. Le but n'était pas du tout de demander aux fillettes de se cacher, il s'agissait avant tout d'éviter tout malaise et d'assurer le confort lors des activités extérieures. Il est hors de questions qu'on remette des pantalons à toutes les filles, nous sommes sensibles à la question d'égalité.»  

    LA PARISIENNE

    NdB: On a tout compris... A quand la burka taille 4 ans ?

     

  • Un enfant palestinien tué par des soldats israéliens

    http://www.liberation.fr/planete/2016/07/19/un-enfant-palestinien-tue-par-des-soldats-israeliens_1467269

  • Nice : le tueur a mûri son projet pendant des mois , 1278 appels et SMS échangés avec ses complices

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    >Faits divers|21 juillet 2016, 18h16 | MAJ : 21 juillet 2016, 18h57|16

    Le procureur François Molins lors d'une conférence de presse le 21 juillet 2016 à Paris

     
      

    Une semaine après le terrible attentat qui a fait 84 morts le 14 juillet à Nice, le procureur de Paris, François Molins a annoncé jeudi que l'enquête menée par les différents services de police avait connu des «avancées notables». Quatre hommes et une femme, arrêtés car ils étaient en contact avec Mohamed Lahouaiej Bouhlel avant la tuerie ou sont soupçonnés de lui avoir fourni un pistolet, ont été déférés jeudi matin et ont été présentés à des juges d'instruction antiterroristes.

    Il s'agit de Ramzi A., franco-tunisien né le 28 novembre 1994 à Nice, de Chokri C., Tunisien né le 11 juillet 1979, d'Artan H., Albanais né le 30 janvier 1978, de Mohamed Oualid G., franco-tunisien né le 19 février 1976 et d'Enkeledja Z., née le 3 mars 1974, de nationalité française et albanaise.

     

    «Nique le camion»

     

    Ils sont toujours entendus, a souligné le procureur. A ce stade des investigations, il apparaît que de nombreux contacts téléphoniques ont eu lieu entre ces personnes avec le tueur fou au camion, Mohamed Lahouaiej Bouhlel. «Les investigations menées depuis la nuit du 14 juillet dernier n'ont cessé d'avancer et ont permis non seulement de confirmer plus encore le caractère prémédité du passage à l'acte mortifère de Mohamed Lahouaiej Bouhlel, mais également d'établir que ce dernier avait pu bénéficier de soutiens et de complicités dans la préparation et la commission de son acte criminel», a souligné le procureur, en évoquant l'exploitation des données téléphoniques et informatiques.

     

     

     

    Détaillant les résultats de ces exploitations, le procureur est formel. Mohamed Lahouaiej Bouhlel a pu bénéficier de complicités et «semble avoir envisagé et mûri plusieurs mois avant son passage à l'acte». Il a indiqué que des SMS ont été échangés entre le tueur et l'un de ces complices, un certain Choukri. S, lui conseillant de «charger le camion de fer, de le niquer, couper les freins et moi je regarde».

     

    Des échanges de SMS depuis un  an

     

    Des images relevées sur le portable du terroriste attestent d'un acte prémédité avec un soutien logistique important de ses complices déférés devant la justice. Pour exemple, le procureur souligne que l'exploitation des téléphones et des ordinateurs a permis de détecter 1 278 échanges entre le terroriste de Nice et ses complices entre juillet 2015 et juillet 2016. Le tueur avait des clichés sur son téléphone du feu d'artifice, à Nice, en 2015, avec des zooms sur la foule. Une autre photo d'un concert sur la Promenade des Anglais, théâtre de son effroyable attentat, avec, toujours, un zoom sur la foule.

     

    «Le parquet a ouvert à la mi-journée une information judiciaire des chefs de participation à une association de malfaiteurs terroristes, en vue de la préparation d'un ou plus crimes d'atteinte aux personnes», a indiqué François Molins. Toutes ces infractions «étant en relation avec une entreprise terroriste», a-t-il précisé. Il a indiqué avoir requis le placement en détention provisoire de ces cinq personnes, qui ne sont «pas connues des services spécialisés de renseignement».

     

    L'attentat a fait 84 morts et 331 blessés. Le pronostic vital de 15 d'entre eux est toujours engagé.

     

      leparisien.fr
  • JOURNAL TVLibertés DU 2I JUILLET 2018

    A voir absolument