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http://philippevardon.fr/petition-imam-sadouni/
Je viens de signer la pétition de Philippe Vardon
La chancelière allemande Angela Merkel a « fermement » rejeté jeudi 28 juillet les appels à remettre en cause l’accueil des migrants dans son pays après deux attentats perpétrés par des réfugiés ces derniers jours.
Les djihadistes « veulent remettre en cause notre disposition à accueillir des gens en détresse. Nous nous y opposons fermement », a lancé la dirigeante conservatrice lors d’une conférence de presse à Berlin, après avoir écourté ses vacances en vue de défendre sa politique d’accueil, de plus en plus contestée.
« Nous allons y arriver »
La dirigeante conservatrice a réaffirmé son credo, « nous allons y arriver » (« wir schaffen das »), lancé à la fin de l’été 2015 quand l’Allemagne a ouvert ses portes à des centaines de milliers de réfugiés "fuyant la guerre ou la misère".
« Je suis aujourd’hui comme hier convaincue que nous allons arriver à mener à bien cette épreuve historique en ces temps de mondialisation. Nous allons y arriver et nous avons déjà réussi beaucoup, beaucoup de choses ces derniers mois. »
Si elle a reconnu que les attentats provoquaient « une grande insécurité » dans l’opinion, elle a souligné que « la peur ne peut servir de fondement pour l’action politique », en réponse à ceux qui dans son propre camp l’appellent à donner un net tour de vis à sa politique d’immigration. Selon elle, « un pays comme l’Allemagne ne peut renoncer à sa responsabilité humanitaire, mais au contraire doit l’assumer ».
Elle a cependant annoncé certaines mesures pour faciliter l’expulsion de réfugiés déboutés ou enfreignant la loi, mieux déceler la radicalisation islamiste chez les demandeurs d’asile et a également évoqué la possibilité pour l’armée allemande d’intervenir pour la sécurité intérieure en cas de gros attentats ; ce qui serait une première.
(…) Le Monde
NdB: L'ex-communiste Merkel préfère que l'Allemagne se suicide plutôt que de renoncer au plan Kalergi
Kate Moss, Eva Longoria, Catherine Deneuve ou Sharon Stone font le tri dans leurs armoires. Une centaine de stars françaises ou internationales ou mis aux enchères un de leurs jeans dans le cadre de l’opération « Jeans for Refugees », indique 20 Minutes.
Les enchères ont été lancées sur le site Catawiki et sont ouvertes jusqu’au 30 octobre. Le résultat de la vente sera intégralement reversé au profit des réfugiés, notamment à l’International committee for refugees (ICR). (…) Chaque pantalon a été travaillé par le designer américain Johny Dar pour en faire une pièce unique. Ce mardi 26 juillet, c’est le jean de Sharon Stone qui enregistrait l’enchère la plus haute à 5000 euros.
Merci à gloubiboulga
>> Attaque d'une église de Saint-Etienne-du-Rouvray : suivez les événements de la journée en direct
Le jeune homme de 19 ans, dont la carte d’identité a été retrouvée au domicile de Kermiche, était connu des services de renseignements. Depuis le 29 juin dernier, il faisait l’objet d’une fiche S pour avoir tenté de rejoindre la Syrie via la Turquie. Originaire de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges), il s’était filmé avec son complice pour prêter allégeance à l’Etat islamique. La séquence a été diffusée mercredi soir par Amaq, l’organe de propagande du groupe djihadiste.
Selon nos informations, il est également soupçonné d'être l’auteur d’une vidéo de menace envers la France, publiée sur Internet la semaine dernière. Informés dès vendredi de l’existence de ce message, les enquêteurs de la DGSI tentaient depuis d’en identifier l’origine.
Comme nous le révélions mercredi soir, trois suspects, présentés comme des membres de son entourage, ont été arrêtés puis placés en garde à vue. Par ailleurs, les enquêteurs de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) étaient toujours en train d’exploiter les ordinateurs et téléphones portables au domicile d’Adel Kermiche et Abdel Malik Petijean.
LE PARISIEN
NdB: Mais ce n'est pas un attentat islamiste... puisque le bus était vide
L’égorgement du père Hamel marque un pas supplémentaire.
Sur le parvis de la cathédrale de Rouen, mardi soir, après la messe célébrée avec beaucoup de recueillement pour le père Jacques Hamel en présence d’une foule nombreuse, les réactions de colère le disputaient à la tristesse. Profondément affectés, les Normands qui se sont réunis semblaient comprendre que l’irréparable était arrivé chez eux, dans leur région, sur un prêtre de chez eux, que la plupart ne connaissaient pas, mais qu’ils ont immédiatement reconnu comme l’un des leurs. Et la colère perçait sous l’effroi. Une colère sourde, mesurée, exprimée avec respect et retenue. Une colère quand même.
Tout a été dit depuis ce drame, et bien avant ce drame, lors des précédents, sur les responsabilités de nos dirigeants. L’égorgement du père Hamel marque un pas supplémentaire : ce n’est plus une foule anonyme qui est frappée, c’est un vieux prêtre qui célèbre la messe, pendant sa messe, égorgé après un prêche en arabe. La force du symbole est là. Les musulmans qui ont commis ce crime s’inscrivent dans la sombre lignée des bourreaux vendéens qui, les derniers dans notre histoire, ont assassiné des prêtres à l’autel parce qu’ils célébraient la messe. Les uns le faisaient en prétendant lutter contre le fanatisme, les autres au nom d’une religion fanatique. Quelle différence ?
L’ennemi n’est plus le soldat républicain, évidemment. Il est désormais le soldat d’Allah. Et, par une sorte de prémonition, le cardinal Burke, ancien archevêque de Saint-Louis (États-Unis), déclarait il y a quelques jours : « L’islam veut gouverner le monde. » Et d’ajouter, à propos du dialogue interreligieux, une critique à l’encontre des prélats qui « pensent simplement que l’islam est une religion comme la foi catholique ou la foi juive. Ce n’est objectivement pas le cas. »
L’Américain donne également une leçon de réalisme à tous ceux qui parlent de vivre ensemble en rappelant qu’à titre individuel, les musulmans sont des gens charmants et peuvent discuter très pacifiquement de questions religieuses. « Mais lorsqu’ils deviennent une majorité dans un pays, alors ils ont l’obligation religieuse de gouverner ce pays. Si c’est cela que les citoyens veulent, bien, alors qu’ils le permettent. Mais si ce n’est pas ce qu’ils veulent, ils doivent trouver le moyen de traiter la question. »
C’est ce que nous aimerions que nos prélats français comprennent. Ce qu’exprimaient les Rouennais en colère mardi soir, devant des prêtres un peu étonnés et désapprobateurs. Oui, le Christ nous demande d’aimer nos ennemis, de leur pardonner et de prier pour eux. C’est, pour les catholiques, un impératif catégorique. Mais, comme le disait un passant croisé sur cette place emplie de foule et de policiers, il ne nous demande pas de nous laisser tuer sans nous défendre. Sans défendre nos enfants, nos familles, ceux qui célèbrent les sacrements qu’il a institués.
Oui, l’Église doit avoir une parole de paix. Mais une parole qui n’empêche pas de voir les choses en face : lorsque l’ennemi est sur notre sol et veut nous détruire, notre devoir est soit d’accepter de témoigner jusqu’au martyre, soit de le combattre pour l’empêcher de gagner cette guerre. Jeanne d’Arc ne disait pas autre chose. Ce qui ne l’empêchait pas d’aimer les Anglais et de les combattre avec détermination, mais sans haine ni cruauté.
BV
JMJ : une Rouennaise pardonne aux assassins du... par leparisien
NdB: Il est de bon ton aux JMJ de pardonner aux assassins, surtout aux égorgeurs islamistes...
« L’honnêteté exige de dire clairement qu’à Würzburg, Reutlingen et Ansbach, il y a eu des crimes horribles commis par des réfugiés. Ces crimes ont été commis de la manière la plus cruelle, avec des haches, des machettes et des matériaux explosifs. Ne nous faisons pas d’illusions : nous avons fait venir dans notre pays des gens d’une extrême sauvagerie capables de commettre les crimes les plus barbares. »
Ce n’est pas un politicien d’extrême droite qui le dit, ni même un leader du parti conservateur et souverainiste AfD ou un leader de Pegida, mais Frank Henkel (ci-dessus), maire et sénateur de Berlin, membre de la CDU d’Angela Merkel. Des députés de la CDU au Bundestag demandent aussi le rapatriement accéléré des demandeurs d’asile qui ont été déboutés et qui pourraient être plus de 200 000 actuellement en Allemagne.
Le terroriste qui s’est fait exploser à Ansbach en faisait partie. C’est un député du parti d’extrême gauche, Die Linke, qui était intervenu pour empêcher son expulsion en raison du traitement psychiatrique qu’il suivait. Aujourd’hui, le député Weinberger affirme qu’il agirait encore de même si la situation se représentait. Pas plus de remords chez ce gauchiste donc, que n’en a eu Mohammad Daleel juste avant de commettre son attentat, quand il a enregistré avec son téléphone une vidéo où il prévenait qu’il n’était pas seul et que d’autres hommes avaient quitté l’État islamique pour mener des actions terroristes en Europe.
Le Ministre-président de Bavière, Horst Seehofer, de la CSU, annonce qu’il va demander que l’on contrôle une nouvelle fois tous les réfugiés séjournant en Allemagne. « Nous devons savoir qui se trouve dans notre pays », a-t-il dit. Mieux vaut tard que jamais. Le chef du groupe CDU au Bundestag, Volker Kauder, exige de son côté l’expulsion rapide de tous les étrangers qui commettent des délits en Allemagne.
Quant au président de la Commission des affaires intérieures au Bundestag, le député CDU Armin Schuster, il a déclaré dans un entretien avec les médias que l’Allemagne devait remplacer sa culture de l’accueil (« Willkommenkultur ») par une culture de l’adieu (« Abschiedskultur »).
Serait-ce donc un début de prise de conscience chez les amis d’Angela Merkel ?
Olivier Bault
Article paru dans Présent daté du 28 juillet 2016
sous le titre « L’Allemagne commence à ouvrir les yeux »
Le peuple n’aura bientôt plus le droit de savoir que les assassins sont des immigrés de confession musulmane que l’oligarchie mondialiste a laissé envahir la France :
Après les attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray, de nombreuses voix se sont élevées, parmi les politiques et sur les réseaux sociaux, pour réclamer l’anonymisation des terroristes dans les médias. Ce mercredi, la chaîne d’information en continu BFMTV et le quotidien Le Monde ont décidé de ne plus publier les photos des auteurs d’attentats « pour éviter d’éventuels effets de glorification posthume ». La Croix, ainsi que la radio Europe 1 ont de surcroît annoncé leur intention de ne pas rendre publique l’identité des terroristes.
Pour l’instant, Le Figaro refuse cette injonction. Pour l’instant…
NDF
NdB: Il ne faut pas que le peuple puisse établir un lien avec l'immigration de masse!
De nombreux journalistes participent aux débats sur la médiatisation de l'image, plus précisément sur la question de savoir si la diffusion des photos des terroristes est capable d'inciter de nouvelles personnes à entreprendre de tels actes.
Selon BFMTV, après les attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray, le débat a été relancé dans les médias français, notamment par Jérôme Fenoglio, directeur de la rédaction du Monde. La question s'est posée très sérieusement.
Le Monde a donc pris la décision de renoncer à la publication de photographies des auteurs d'attentats pour éviter un possible phénomène de glorification de ces derniers. BFMTV lui a emboîté le pas.
Selon Alexis Delahousse, directeur adjoint de la rédaction de BFMTV, la seule exception à ce principe est représentée par les avis de recherche diffusés par les forces de l'ordre et qui sont susceptibles d'aider les enquêteurs.
SPUTNIK
Publié à 07h39, le 27 juillet 2016 , Modifié à 10h28, le 27 juillet 2016
Jusqu'ici, l'idée était surtout portée à des degrés divers par certains à droite, à l'instar de Jean-François Copé, Gérald Darmanin ou encore le juppéiste Benoist Apparu. Mais visiblement, Bernard Cazeneuve soupèse la question. Dans cette France régie par la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État, faut-il instaurer un concordat avec l'islam, à l'image du régime d'exception qui existe en Alsace-Moselle pour les cultes catholique, luthérien, réformé et israélite ?
Le ministre de l'Intérieur, qui est aussi celui des Cultes, a en effet abordé le sujet lors du séminaire gouvernemental du 23 juillet, selon Le Canard Enchaîné en kiosque ce 27 juillet. Voici ce qu'a déclaré Bernard Cazeneuve, dans ce propos rapporté par l'hebdomadaire :
"Tout en gardant mes principes républicains, je m'interroge sur l'usage vis-à-vis de l'islam d'un concordat tel que celui qui est en vigueur en Alsace-Moselle."
Cette réflexion serait née, toujours selon Le Canard, des propos de l'imam niçois Abdelkader Sadouni dans une interview au journal italien Il Giornale, publiée cinq jours après l'attentat sur la Promenade des Anglais. Le religieux y était cité en ces termes : "La laïcité française est responsable des attentats". Abdelkader Sadouni a depuis, sur Facebook, démenti avoir prononcé ces mots, dont il a assuré qu'ils étaient "d'une extrême gravité". L'imam a également annoncé vouloir porter plainte.
Lors du séminaire gouvernemental en question, Bernard Cazeneuve avait quoi qu'il en soit fustigé "ce genre de propos intolérables [qui] réclament une réponse", toujours selon le palmipède.
En toile de fond au contexte de terrorisme islamiste et de radicalisation de certains individus se réclamant de l'islam, c'est donc la question de l'organisation du culte musulman en France qui resurgit. Si l'islam en soi n'est pas visé par les réflexions des tenants de ce nouveau "concordat", ce sont ses dérives - "prêcheurs de haine" et financements étrangers troubles, notamment - qui justifient ce questionnement. L'idée est donc la suivante : mieux encadrer, sous la houlette plus proche de l'État, la formation des imams et le financement des mosquées, tout en réaffirmant les principes de la République parmi lesquels celui de laïcité et donc de liberté de culte. Avec comme objectif que les phénomènes de radicalisation et de dévoiement de cette religion soient endigués.
Contrairement aux autres cultes en France, l'islam n'est pas doté d'une organisation hiérarchique incontestable. La représentativité du Conseil français du culte musulman (créé en 2003 par un ministre de l'Intérieur nommé Nicolas Sarkozy), interlocuteur officiel de l'État, est en effet remise en cause au sein de la communauté musulmane. Soulignant l'effort de Nicolas Sarkozy pour "organiser l'islam de France", Bernard Cazeneuve a, rapporte encore Le Canard Enchaîné, estimé qu'il n'y était pas totalement parvenu.
[Edit 8h20]
Sur RTL ce mardi, François Fillon n'a pas précisément parlé de "concordat", mais il a expliqué :
Il faut maintenant poser la question de l'intégration de la religion musulmane dans la République et la démocratie françaises. Il y a eu par le passé un bras de fer entre l'État et les religions, notamment la religion catholique, pour que cette religion accepte les règles qui étaient celles de la République et de la démocratie. Ça a été très long, ça a duré presque 200 ans. Eh bien aujourd'hui, il n'y a aucune raison pour que les musulmans n'acceptent pas les règles qui ont été acceptées par les catholiques, les protestants et les juifs. Donc ça veut dire qu'il faut une surveillance administrative des lieux de culte, l'autorisation d'ouverture des lieux de culte, un contrôle de ceux qui prêchent dans les lieux de culte, il faut interdire les financements étrangers du culte musulman - comme ça a été fait dans le passé pour les autres religions - et il faut enfin interdire, dissoudre toutes les associations qui se réclament des salafistes ou des frères musulmans, c'est-à-dire de ceux qui prônent justement la guerre contre nos valeurs.
Le Lab Europe1 27 07 2016