Si vous avez envie de rire un peu!
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Dieudonné revient sur l’enfer niçois : “les sans dents sont devenus des sans têtes”
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Six prédicateurs salafistes se font virer de Corse
24/07/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Six prédicateurs salafistes se sont fait virer de Corse où ils étaient venus porter la parole du prophète. Mercredi dernier, l’heure de la prière étant venue et ne trouvant pas de lieu de culte musulman à proximité, ils ont entrepris de prier sur la plage de Corbara, un village de Balagne (ci-dessus) à proximité de L’Ile Rousse. Hélas pour eux, qui dit sable ne dit pas forcément désert : en l’espèce, la plage était peuplée, et les personnes présentes leur ont gentiment – ou pas – demandé d’aller faire leurs clowneries ailleurs.
Exit les six salafistes, qui sont partis se faire voir ailleurs, où ça s’est encore plus mal passé puisque, au terme d’un fâcheux concours de circonstances, monsieur le président, les pneus de leur camionnette se sont retrouvés crevés allez savoir comment… Jugeant sans doute que ça commençait à prendre une mauvaise tournure, ils ont fini par filer sans même déposer plainte, et regagner le continent…
Même le Conseil régional du culte musulman n’est pas venu à leur rescousse puisque un de ses représentants a déclaré à France 3 Corse-Via Stella : « Cela fait bien longtemps que nous leur avons fermé la porte de nos mosquées. Nous discutons avec eux mais nous ne les laissons pas prêcher dans nos lieux de culte. Le responsable d’Ile Rousse qui a la même vision que nous a dû faire pareil. »
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Attentats en Allemagne : le ministre de l’Intérieur rejette tout « soupçon généralisé » contre les réfugiés
25/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress)
Malgré la multiplication des agressions et des attentats qui touchent l’Allemagne, le ministre allemand de l’Intérieur a rejeté aujourd’hui tout « soupçon généralisé » à l’encontre des réfugiés.Thomas de Maizière a ainsi déclaré ceci :
Nous ne devons pas porter de soupçon généralisé contre les réfugiés, même s’il y a des procédures qui sont engagées dans des cas isolés.
« Cas isolés ». Le mot est donc encore lâché.
Même si la plupart des attentats ou agressions des derniers jours ont notamment été perpétrés par des demandeurs d’asile, il n’est donc pas question de remettre en cause la politique d’accueil des migrants.
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Sandra Bertin serait une proche d'Estrosi
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Manuel Valls, solidaire avec les copains : “Je n’ai aucun doute sur Bernard Cazeneuve”
Pourris. En pleine polémique sur les responsabilités de l’attentat de Nice, Manuel Valls, invité de BFMTV et RMC ce lundi, a réaffirmé sa confiance en Bernard Cazeneuve. “Un homme intègre, un homme d’Etat, un ministre de l’Intérieur formidable”, selon le chef du gouvernement. “Je n’ai aucun doute sur Bernard Cazeneuve”, a assuré Manuel Valls, pour qui cette polémique est d’origine “politique” et “vise à déstabiliser le gouvernement” :
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Berne (Suisse) : Trois jeunes filles harcelées sexuellement par un Nigérian
17h33Un Nigérian de 25 ans a harcelé sexuellement trois jeunes filles à la piscine de Marzili à Berne, en Suisse.
Le maître-nageur a aussitôt réagi et a maîtrisé l’homme jusqu’à l’arrivée de la police.
20 Minuten (Source en allemand)
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Juvisy-sur-Orge (91) : une femme insultée pour une robe trop courte
19h49A Juvisy-sur-Orge, une passante a été « insultée en pleine rue par un individu estimant que sa robe n’était pas suffisamment couvrante ». Elle a déposé une main courante. L’auteur des insultes, s’est révélé être un intérimaire, employé par la municipalité.
Les faits se sont déroulés mercredi 20 juillet sur les coups de 14 heures, a rapporté le site Internet de l’hebdomadaire de l’Essonne. Accompagnée de son fils de 12 ans, cette jeune mère se trouvait alors dans le centre-ville de Juvisy-sur-Orge lorsqu’une personne s’en est pris à elle et à sa «robe toute simple. Une robe d’été parce qu’il faisait chaud», a précisé le cabinet du maire de la commune au Républicain. « Il a continué en la suivant alors même qu’elle lui disait de s’occuper de ce qui le regarde.»
Robin Reda, le (jeune) maire LR de Juvisy-sur-Orge, s’est alors exprimé sur son compte Facebook pour dénoncer l’incident survenu dans sa commune. «J’ai demandé des sanctions fermes», a-t-il écrit dans un message publié ce jeudi 21 juillet, avant d’affirmer que le contrat de l’intérimaire avait pris fin et de conclure : «L’intransigeance avec les valeurs de la République commence sur le terrain, soyons intraitables.»
Merci à Stormisbrewing
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L'État islamique revendique l'attentat d'Ansbach en Allemagne
- L'organisation terroriste a revendiqué lundi l'attentat suicide qui a blessé 15 personnes à l'entrée d'un festival de musique à Ansbach (Bavière). Plus tôt, le ministre de l'Intérieur de Bavière avait déjà indiqué que l'homme avait prêté allégeance à l'Etat islamique dans une vidéo retrouvée dans son portable.
L'auteur de l'attentat suicide perpétré dimanche en Allemagne près d'un festival de musique à Ansbach (sud) était un «soldat» de Daech, selon un communiqué publié lundi par l'agence Amaq, un organe de propagande de l'organisation extrémiste. Il «répondait aux appels à prendre pour cible les États de la coalition qui combat l'Etat islamique» en Irak et en Syrie, ajoute le groupe. L'attentat à la bombe a fait 15 blessés, dont trois graves, et tué son auteur.
Le ministre bavarois de l'Intérieur, Joachim Herrmann, avait auparavant annoncé que l'auteur de l'attentat, un Syrien, avait «fait allégeance» à l'EI d'après une vidéo retrouvée sur son téléphone portable. Selon le ministre, le réfugié syrien a «explicitement annoncé (agir) au nom d'Allah, a fait allégeance (au chef du groupe EI), Abou Bakr al-Bagdadi» et «annoncé expressément une vengeance contre les Allemands qui se mettent en travers de la voie de l'islam», selon une vidéo qui a été retrouvée dans son téléphone portable. La police bavaroise annonçait toutefois quelques minutes auparavant qu'il n'y avait pas, pour l'instant, de preuves de lien direct entre l'auteur de l'attentat et des groupes terroristes. Une prudence partagée par le ministre fédéral de l'Intérieur. Lors d'une conférence de presse donnée lundi après-midi, Thomas de Maizière avait dans un premier temps déclaré qu'il n'y avait «pas de confirmation du lien avec l'État Islamique».
Le réfugié syrien, âgé de 27 ans, s'est fait exploser près du lieu où se tenait un festival de musique rassemblant quelque 2500 personnes, dans la ville d'Ansbach, près de Nuremberg, a indiqué lors d'une conférence de presse le ministre de l'Intérieur bavarois, Joachim Herrmann, dans la nuit de dimanche à lundi. Cette explosion, qualifiée d'attentat par les autorités, a provoqué une quinzaine de blessés, dont trois graves. «Il s'agit malheureusement d'un nouvel attentat», avait déclaré le ministre de l'intérieur du Land de Bavière, Joachim Herrmann dimanche soir.
Assez d'explosifs pour faire un grand nombre de victime
Le directeur adjoint de la police d'Ansbach, Roman Fertinger, a parlé d'«indices» selon lesquels des pièces de métal ont été ajoutées à l'explosif. Les éléments retrouvés dans son sac à dos étaient suffisants pour faire un grand nombre de victimes, a précisé le ministre bavarois de l'Intérieur.
L'homme a tenté de pénétrer dans le périmètre où se tenait ce festival, mais a été refoulé à l'entrée. Si son identité n'a pas été dévoilée, il avait effectué il y a un an une demande d'asile qui avait été refusée. Il avait pu néanmoins rester sur le territoire allemand en raison de la situation en Syrie. Joachim Hermann a indiqué que l'homme avait déjà tenté de se suicider à deux reprises par le passé, et avait fait un séjour en clinique psychiatrique. Plus tôt dans la nuit, un porte-parole de la police avait affirmé que l'homme tué dans l'explosion était probablement seul. Il n'y a «aucun signe d'autres agresseurs», avait-il déclaré.
» LIRE AUSSI: Quatre précédents en Allemagne
L'explosion a été entendue à 22h12, à côté d'un restaurant situé à l'entrée du festival Ansbach Open Music Festival. Cette manifestation a été interrompue dans la foulée. Tout le centre de cette localité de Bavière a été investi par les secours et ses accès bloqués par la police.
L'Allemagne frappée par une série d'attaques
L'Allemagne a connu ces jours-ci plusieurs attaques visant des civils. Lundi dernier, un réfugié de 17 ans avait attaqué les voyageurs d'un train de Bavière avec un couteau et une hachette, blessant cinq personnes avant d'être pris en chasse et abattu par la police. Le groupe djihadiste Etat islamique (EI) avait revendiqué cet acte.
Vendredi soir, à Munich, un Germano-Iranien de 18 ans a ouvert le feu sur la foule aux abords d'un centre commercial et à l'intérieur, faisant neuf morts et 35 blessés, avant de se suicider. Tout mobile terroriste a été écarté par les enquêteurs.
Enfin, ce dimanche, un demandeur d'asile syrien de 21 ans a tué une femme à la machette et blessé trois autres personnes, à Reutlingen, dans la région de Stuttgart. Les autorités penchent pour le «crime passionnel».
» LIRE AUSSI: L'Allemagne avait conscience d'un haut niveau de menace
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Allemagne : un réfugié syrien se fait exploser à l'entrée d'un festival de musique
Un réfugié syrien de 27 ans a déclenché un engin explosif devant un restaurant, à l'entrée d'un festival de musique à Ansbach (Bavière), près de Nuremberg, faisant 12 blessés dont trois graves. L'assaillant a été tué dans l'explosion.
Le ministre de l'Intérieur bavarois, Joachim Herrmann, a indiqué lors d'une conférence de presse, dans la nuit de dimanche à lundi, qu'un réfugié syrien de 27 ans s'était fait exploser près du lieu où se tenait un festival de musique rassemblant quelque 2500 personnes, dans la ville d'Ansbach. Cette explosion, qualifiée d'attentat par les autorités, a provoqué une douzaine de blessés, dont trois graves. «Il s'agit malheureusement d'un nouvel attentat», a déclaré le ministre de l'intérieur du Land de Bavière, Joachim Herrmann, qui n'a «pas exclu» une piste islamiste.
Le ministre a précisé que l'homme avait tenté de pénétrer dans le périmètre où se tenait ce festival, mais avait été refoulé à l'entrée. S'il n'a pas dévoilé son identité, il a toutefois précisé que sa demande d'asile en Allemagne avait été refusée il y a un an mais avait pu rester sur le territoire allemand en raison de la situation en Syrie. «Il avait l'intention d'empêcher» la tenue d'un festival de musique pop auquel participaient 2500 personnes, a déclaré le ministre Joachim Herrmann.
Assez d'explosifs pour faire un grand nombre de victimes
«Il n'est pas clair si l'homme a voulu se suicider, ou s'il voulait tuer des gens», a ajouté Joachim Hermann, après avoir indiqué que l'homme avait déjà tenté de se suicider à deux reprises par le passé, et avait fait un séjour en clinique psychiatrique. Pour l'heure, il n'était, selon le ministre, pas possible de dire si l'auteur était radicalisé, même si aucune piste n'était à exclure.
Plus tôt dans la nuit, un porte-parole de la police avait affirmé que l'homme tué dans l'explosion était probablement seul. Il n'y a «aucun signe d'autres agresseurs», avait-il déclaré. La quantité d'explosifs retrouvés dans son sac à dos était suffisante pour faire un grand nombre de victimes, a précisé le ministre bavarois de l'Intérieur.
» LIRE AUSSI: Quatre précédents en Allemagne
L'explosion a été entendue à 22h12, a indiqué la police locale, à côté d'un restaurant situé à l'entrée du festival Ansbach Open Music Festival. Cette manifestation a été interrompue. Tout le centre de cette localité de Bavière a été investi par les secours et ses accès bloqués par la police.
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Nice: la policière municipale, Sandra Bertin, maintient ses accusations
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Pour l’imam préféré d’Estrosi, la laïcité française est responsable des attentats !
24/07/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Incroyable mais vrai : pour Abdelkader Sadouni, l’imam préféré de Christian Estrosi, c’est « la laïcité française [qui] est responsable des attentats » ! En version originale : « L’imam di Nizza : « La laicità francese è responsabile per gli attentati » », car c’est au quotidien italien de centre droit Il Giornale, propriété de la famille Berlusconi, que Abdelkader Sadouni, imam de Nice choyé par le président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, est allé livrer cette odieuse explication dans une interview publiée le 19 juillet, soit dès le lendemain de la fin du deuil national dans lequel l’attentat de Nice, avec ses 84 morts, avait plongé la France.
Le propos de l’imam Sadouni, qui prêche à Nice à la mosquée Attaqwa, dans le quartier des Moulins, et dirige la librairie islamique de la rue de Suisse, est étayé par un argumentaire dont vous livrons des extraits.
« La laïcité serait un principe équitable si elle garantissait la liberté de culte à tous. Ce n’est pas ce qui se passe. Aujourd’hui, la laïcité est un extrémisme qui tente d’éradiquer toutes les religions. […] Si la laïcité continue à être appliquée ainsi, alors le désir de rejoindre les musulmans qui luttent en Syrie restera fort chez de nombreux jeunes. »
« Le problème de la communauté musulmane est qu’elle n’a pas sa place dans la société française. La France est un pays laïc, qui est opposé à la promotion de la religion et de sa manifestation. Ce faisant, l’islam est mis dans le coin, discriminé, et les musulmans sont attaqués parce qu’ils veulent pratiquer leur foi. Le problème ne vient pas de la communauté musulmane, mais du fait qu’il y a un manque de volonté de lui donner plus d’espace dans la société. »
En fait, pour l’imam Sadouni, la laïcité est condamnable… parce qu’elle fait obstacle à l’islamisation de la France ! Autres citations, extraites du même entretien à Il Giornale :
« Au cours des dernières années, nous avons assisté au départ pour la Syrie de nombreux jeunes musulmans de Nice, qui emmènent souvent avec eux leurs femmes et leurs enfants. Dans la plupart des cas, ce sont des gens qui ont tout le confort et la nationalité française, et pourtant, ils décident de quitter la Côte d’Azur pour prendre part à un conflit armé, mettant en danger leur propre vie et pour leur famille. Ceci témoigne de l’échec des politiques françaises envers l’Islam. La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de l’usage des symboles religieux dans l’espace public sont les raisons qui poussent ces jeunes gens, qui ne se sentent pas partie de la communauté nationale, à partir pour rejoindre ceux qu’ils croient être leur prochain. »
« Je pense que la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse de nombreux jeunes hommes à se battre. Tant que les mosquées seront si peu nombreuses, tant que leur construction entraînera des manifestations, tant que les musulmans seront discriminés, alors ces réactions existeront. Ce sont des réactions certainement mauvaises mais elles sont réelles, et il faut éradiquer le phénomène qui les génère. »
Ces propos ont conduit Philippe Vardon (ci-contre), conseiller régional (FN) de Paca, élu sur la liste conduite par Marion Maréchal-Le Pen et auteur de l’ouvrage L’Imam Estrosi – Demain, à Nice, 20 mosquées ?, à rappeler que l’imam Sadouni n’en est pas à sa première provocation. Il est même en état de récidive, puisque, en novembre 2014, il avait déjà écrit sur Facebook : « Quand les mosquées sont si peu nombreuses, […] quand les musulmans sont discriminés et stigmatisés, alors il faut s’attendre à ce genre de réactions condamnables certes mais réelles. »
En août 2015, l’imam Sadouni, questionné par Nice Matin sur ses rapports avec la municipalité, alors que la ville de Nice était dirigée par Christian Estrosi , avait eu cette réponse : « Nous avons la chance d’avoir une oreille attentive. » Ce que Christian Estrosi avait plus que confirmé sur l’antenne de RTL : « Je le soutiens de toutes mes forces parce que c’est quelqu’un qui est un relais social » ! Moyennant quoi l’imam Sadouni avait fait campagne lors des élections régionales pour l’élection d’Estrosi !
Questions posées par Philippe Vardon : « Christian Estrosi considère-t-il toujours que celui qui “comprend“ les djihadistes est à la tête d’une “association modérée“ ? Que celui qui explique les attentats islamistes par la laïcité est “un relais social“ ? Christian Estrosi se rendra-t-il à nouveau, comme il l’a déjà fait, dans sa mosquée pour le ramadan [ci-contre] ? Si ce sont en tout premier lieu les mots de cet imam qui doivent être dénoncés, la complicité – par cécité ou par cynisme – de ses soutiens politiques doit l’être tout autant. »
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VIDEO - Déclaration en direct de Sandra Bertin qui maintient ses accusations contre le Ministère de l'Intérieur
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Un mort et onze blessés dans une explosion en Allemagne: un acte intentionnel selon le ministre bavarois de l'Intérieur
© REUTERS/ Michaela RehleUne personne a été tuée et onze autres blessées dans une explosion dans la ville allemande d'Ansbach, près de Nuremberg. Selon le ministère bavarois de l'Intérieur il ne s'agit pas d'une fuite de gaz, mais d'un "acte intentionnel".
Une personne a été tuée et onze autres blessées dans une explosion qui s'est produite dimanche dans un restaurant à Ansbach, près de Nuremberg, en Bavière.
"Il y a un mort et onze blessés", a indiqué un représentant de la police locale par téléphone.
Selon la maire d'Ansbach Carda Seidel, un engin explosif est à l'origine de l'explosion. Plusieurs médias ont initialement supposé qu'il s'agissait d'une fuite de gaz.
La police estime que la personne tuée dans l'explosion était l'auteur de l'attentat.
L'incident s'est produit vers 22h15 locales au centre de la ville, non loin du centre culturel Reitbehn où devait se tenir un festival, Ansbach Open,, a annoncé le journal allemand Süddeutsche Zeitung.
Près de 2.500 personnes ont dû quitter la zone dangereuse. Les hôtels et maisons voisines ont aussi été évacuées.
Le ministère bavarois de l'Intérieur Joachim Herrmann a confirmé qu'il s'agissait d'un acte intentionnel.
La police a bouclé la zone de l'explosion.
Le ministre bavarois de l'Intérieur est en route vers le lieu de l'explosion, rapportent les médias.
Au moins un hélicoptère survole la ville d'Ansbach.
Dimanche, un homme armé d'une machette a attaqué un groupe de personnes, tuant une femme et blessant deux autres personnes dans la ville allemande de Reutlingen, à 40 km de Stuttgart (Bade-Wurtemberg).
Ces incidents surviennent quelques jours après la fusillade de Munich dont le bilan s'élève à 10 morts et 35 blessés. Un Germano-iranien de 18 ans a abattu neuf personnes dans le centre commercial Olympia de Munich le 22 juillet dernier, avant de se suicider. Sept ressortissants étrangers — trois Kosovars, trois Turcs et un Grec — font partie des personnes tuées vendredi. Selon l'enquête, la fusillade n'a pas de lien avec le djihadisme.
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VIDEO - Florian Philippot en direct sur Facebook
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Nice : une policière municipale dit avoir subi des pressions de l'Intérieur
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Attentat de Nice : vers une affaire d’État
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Allemagne : un mort dans une explosion dans un restaurant
Une explosion dans un restaurant a tué une personne et en a blessé plusieurs autres à Ansbach, en Bavière, près de Nuremberg, rapporte dimanche soir le journal local Nürnberger Nachrichten. La cause de l'explosion reste inconnue. Celle-ci s'est produite dans un bar à vins nommé "Eugens Weinstube". Un festival de musique, se déroulant à proximité, auquel participaient quelque 2500 personnes, a été évacué.
Le caractère intentionnel ou accidentel de l'explosion doit encore être déterminé, a dit un porte-parole du ministère de l'Intérieur de Bavière. -
La policière responsable de la vidéosurveillance à Nice accuse le ministère de l'Intérieur
23 juillet 2016 | Mise à jour le 24 juillet 2016
EXCLUSIF - En poste le soir du 14 juillet, Sandra Bertin, chef du Centre de supervision urbain (CSU) de Nice et secrétaire générale du Syndicat autonome de la Fonction publique territoriale (SAFPT) Métropole-Ville de Nice, revient pour le JDD sur sa nuit aux commandes de la vidéosurveillance... Et se confie sur les pressions exercées par la place Beauvau.
Paru dans leJDDSandra Bertin à la mairie de Nice, vendredi. (Eric Dessons/JDD)
Depuis quelques jours, la polémique enfle autour de la présence de la police nationale à Nice le soir du 14-Juillet. Dimanche, dans un entretien exclusif au JDD, Sandra Bertin, la chef du Centre de supervision urbain (CSU) de Nice, accuse le ministère de l'Intérieur de l'avoir mise sous pression.
Quand le camion de Mohamed Laouhaiej-Bouhlel entre sur la Promenade des Anglais, ce 14 juillet, que voyez-vous sur vos écrans?
Je me rappellerai toute ma vie de cette heure-là : 22h33. J’étais devant les écrans du CSU avec les équipes. Nous recevons alors des policiers municipaux positionnés sur la Promenade le signalement d’un camion fou. Nous récupérons tout de suite son image à l’écran et nous demandons son interception. Le camion était lancé à 90 km/h, sans phares, sans qu’on l’entende à cause du bruit. Il contourne le barrage de la police municipale. Les équipes n’ont pas pu l’arrêter. On ne crève pas les pneus d’un 19 tonnes avec un revolver! A ce moment-là, d’autres policiers municipaux sont en civil dans la foule, qui se retrouvent face à lui. S’ils avaient été armés comme nos collègues de la police nationale, une de nos revendications, ils auraient pu le stopper. Le poids-lourd se retrouve finalement face aux policiers nationaux, qui tirent et le neutralisent. Il est 22h34."J’ai été harcelée pendant une heure, on m’a ordonné de taper des positions spécifiques de la police nationale que je n’ai pas vues à l’écran"
La sous-direction anti-terroriste vous a demandé, le 20 juillet "l’effacement complet des enregistrements de vidéosurveillance" sur la Promenade pour cette nuit du 14 juillet afin d’éviter les fuites. Ce à quoi s’oppose la ville de Nice….
Le lendemain des attentats, le cabinet du ministre de l’Intérieur a envoyé un représentant au CSU qui m’a mis en ligne avec la place Beauvau. J’ai alors eu affaire à une personne pressée qui m’a demandé un compte-rendu signalant les points de présence de la police municipale, les barrières, et de bien préciser que l’on voyait aussi la police nationale sur deux points dans le dispositif de sécurité. Je lui ai répondu que je n’écrirais que ce que j’avais vu. Or la police nationale était peut-être là, mais elle ne m’est pas apparue sur les vidéos. Cette personne m’a alors demandé d’envoyer par email une version modifiable du rapport, pour "ne pas tout retaper". J’ai été harcelée pendant une heure, on m’a ordonné de taper des positions spécifiques de la police nationale que je n’ai pas vues à l’écran. A tel point que j’ai dû physiquement renvoyer du CSU l’émissaire du ministère! J’ai finalement envoyé par email une version PDF non modifiable et une autre modifiable (...)Pour retrouver la longue interview que Sandra Bertin a accordée au JDD en kiosques, cliquez ici. Lire également le JDD sur iPad ou sur Internet. Découvrez également nos offres d'abonnement.
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Attentat de Nice: une policière mise sous pression par le ministère de l'Intérieur?
Mis à jour leSelon une policière municipale en charge d'écrire un rapport sur le dispositif de sécurité installé le soir de l'attentat de Nice, le ministère de l'Intérieur lui aurait fait subir des pressions, révèle le JDD. Le but? Rédiger deux versions du rapport.
La polémique sur le dispositif de sécurité mis en place à Nice le soir de l'attentat qui a fait 84 morts sur la Promenade des Anglais continue. Une policière municipale en charge de la vidéosurveillance assure au JDD avoir reçu des pressions de la part du ministère de l'Intérieur pour modifier son rapport.
"Le lendemain des attentats, le cabinet du ministre de l'Intérieur a envoyé un commissaire au CSU (centre de supervision urbain) qui m'a mise en ligne avec la Place Beauvau", raconte Sandra Bertin, chef du CSU.
Deux versions du rapport transmises au ministère
"J'ai alors eu affaire à une personne pressée qui m'a demandé un compte rendu signalant des points de présence de la police municipale, les barrières, et de bien préciser que l'on voyait aussi la police nationale sur deux points dans le dispositif de sécurité", ajoute la secrétaire générale du Syndicat autonome de la fonction publique territoriale (SAFPT) de Nice.
"Je lui ai répondu que je n'écrirais que ce que j'avais vu. Or la police nationale était peut-être là, mais elle ne m'est pas apparue sur les vidéos. Cette personne m'a alors demandé d'envoyer par e-mail une version modifiable du rapport, pour 'ne pas tout retaper'. J'ai été harcelée pendant une heure, on m'a ordonné de taper des positions spécifiques de la police nationale que je n'ai pas vues à l'écran.", poursuit la policière municipale.
Finalement, Sandra Bertin envoie les deux versions de son rapport puis "quelques jours plus tard, la sous-direction antiterroriste m'a demandé d'effacer les bandes des six caméras que j'ai mentionnées dans mon rapport, celles qui ont filmé la tuerie", poursuit-elle.
L'effacement des images a bien été demandé par la sous-direction antiterroriste. Son but: éviter les fuites et la diffusion d'images de l'attentat. La Ville de Nice a refusé de répondre à la demande.
Remise en cause du dispositif de sécurité
Jeudi, Libération affirmait que Christian Estrosi et le gouvernement avaient menti sur la réalité du dispositif de sécurité mis en place ce soir-là. Le journal assurait que les policiers municipaux avaient été relevés de leurs fonctions vers 20h30, ne permettant pas de bloquer la chaussée par des voitures de police.
Le quotidien a révélé une image de vidéosurveillance fournie par une source policière, montrant que de simples barrières et un policier municipal bloquaient l'accès à la route. Bernard Cazeneuve a démenti, estimant que l'enquête de Libération "emprunte aux ressorts du complotisme".
Le ministère de l'Intérieur a saisi jeudi, l'Inspection générale de la police nationale "d'une évaluation technique du dispositif de sécurité et d'ordre public" mis en place à Nice le soir du 14 juillet.
BFM TV
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Tueur à la machette en Allemagne : et celui-là, c’est un émule de Breivik ?
24/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Un tueur à la machette a assassiné une femme ce dimanche, et blessé deux autres personnes, à Reutlingen, à environ 40 kilomètres de Stuttgart : un disciple de Breivik lui aussi ? Il y a peu de chances : l’homme, arrêté, est « un demandeur d’asile syrien de 21 ans » !